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La revue de Presse KYLIA 1 LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE Du 31 mars au 4 avril 2014 LES ARTICLES DE LA SEMAINE Achat immobilier : toujours plus loin, toujours plus petit Le 31/3/2014 Selon une étude du Crédit Foncier, les Français achètent un logement plus petit et plus loin que dans leurs rêves. Selon une étude du Crédit Foncier, les Français achètent un logement plus petit et plus loin que dans leurs rêves. (c) Sipa Compte tenu des prix élevés de l’immobilier actuels, les Français doivent souvent faire des concessions pour devenir propriétaires de leur résidence principale. Deux leviers : ils s’éloignent de la zone recherchée initialement et achètent un logement plus petit que celui souhaité. Ainsi, selon une

Revue de presse kylia semaine du 31 mars au 4 avril 2014

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Retrouvez une sélection des meilleurs articles de la presse immobilière de la semaine.

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La revue de Presse KYLIA

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LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE

Du 31 mars au 4 avril 2014

LES ARTICLES DE LA SEMAINE

Achat immobilier : toujours plus loin, toujours

plus petit Le 31/3/2014

Selon une étude du Crédit Foncier, les Français ach ètent un logement plus petit et plus loin

que dans leurs rêves.

Selon une étude du Crédit Foncier, les Français achètent un logement plus petit et plus loin que dans

leurs rêves. (c) Sipa

Compte tenu des prix élevés de l’immobilier actuels, les Français doivent souvent faire des

concessions pour devenir propriétaires de leur résidence principale. Deux leviers : ils s’éloignent de la

zone recherchée initialement et achètent un logement plus petit que celui souhaité. Ainsi, selon une

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étude publiée par le Crédit Foncier intitulée "Parcours d'acquisition de la résidence principale: du rêve

à la réalité", 61 % des Français ayant acheté un bien immobilier affirment avoir dû faire des

concessions par rapport à leur projet initial. Une proportion qui monte jusqu'à 76 % à Paris et dans

certaines communes de la petite couronne. 21 % des acquéreurs ont dû s'éloigner du lieu où ils

voulaient acheter et 20 % ont fait l’acquisition d’un logement plus petit qu'espéré.

La clé du crédit immobilier

Pour devenir propriétaires, 29 % des sondés ont dépassé leur budget initial, en moyenne de 10 %. La

solution ? Allonger la durée de leur prêt immobilier (32 %), ou avoir recours à un don ou un prêt

familial (21 %) "pour les plus modestes", précise le Crédit Foncier. Les ménages plus aisés ont

augmenté la mensualité de leur prêt (35 %) ou ont ponctionné leur épargne (35 %). Mais 19 % des

candidats à l’accession à la propriété ont dû abandonner leur projet au bout d'un an de recherches.

Parmi les facteurs bloquants, le crédit immobilier : 27 % n’ont pas pu emprunter une somme

suffisante, et 19 % des personnes se sont vues refuser leur prêt. A noter que 21 % ont été

découragés par des prix jugés trop élevés.

La maison, le rêve

Sur les motivations des Français, 41 % des sondés ont indiqué ne plus vouloir payer de loyer à fonds

perdu, 41 % voulaient devenir propriétaires de leur résidence principale et 40 % veulent aménager

leur logement selon leurs désirs. En pratique, 65 % ont négocié à la baisse le prix de vente, de l'ordre

de 8 %. 53 % des Français ont acheté au bout d'un an de recherches. 64 % des acquéreurs sont

passés par un professionnel de l'immobilier, tandis que 24 % ont acheté directement à un particulier.

92 % des futurs acquéreurs des communes de moins de 5.000 habitants et 37 % de ceux des villes

de plus de 100.000 habitants rêvent d’une maison. C’est d’ailleurs le souhait de 91 % des ménages

ayant 3 enfants, contre 52 % pour ceux qui n'en ont pas. Parmi ceux-ci, 56 % cherchent une maison

ancienne tandis que 44 % veulent faire construire.

Source : LeNouvelObs.com

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Cécile Duflot laisse de grands chantiers

inachevés au Logement Le 1/4/2014

Les mesures contracycliques de la ministre écologis te n’ont pas permis d’enrayer la baisse de

production de logements.

Cécile Duflot. - AFP

Les promoteurs, comme les agents immobiliers, ont salué ce mardi le départ annoncé de Cécile Duflot

du gouvernement d’un grand « ouf » de soulagement. « Tenons nous en aux faits, assène Alain Dinin,

le président de Nexity, nous produisions près de 350.000 logements en France lorsqu’elle est arrivée.

En 2014, les chiffres ne dépasseront probablement pas 250.000, alors que l’objectif de 500.000 est

martelé au plus haut niveau de l’Etat. » La ministre de l’Egalité des territoires et du Logement n’a

pourtant pas chômé. Mais en vain à ce stade : au cours des vingt-deux mois qu’elle a passés rue de

Varenne, les chiffres des permis de construire et des ventes de logements neufs n’ont fait que

baisser.

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« La ministre du Logement a juste oublié qu’elle était là pour faire du logement », déplore Alain Dinin.

Ses deux premières mesures adoptées dès 2012 avaient donné le « la » : l’encadrement des loyers

dans les zones les plus tendues , plus symbolique qu’efficace, et un dispositif défiscalisant plus

complexe et moins rentable pour l’investisseur que le Scellier (très coûteux pour l’Etat) clignotaient

comme deux signaux inquiétants pour les investisseurs, jamais rassurés depuis.

Deux lois d’ampleur

Cécile Duflot laisse tout de même deux lois d’ampleur qui ont pour l’instant produit peu d’effets. Il est

trop tôt pour juger Alur – pour un accès au logement et un urbanisme rénové – tout juste promulguée .

Le texte est technique et ratisse large, passant en revue les rapports entre propriétaires et locataires,

les honoraires des agents immobiliers et des syndics, les plans locaux d’urbanisme. Il n’est surtout

pas applicable en l’état : « Nous sommes au milieu du gué, déplore Jean-François Buet, le président

de la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim). De très nombreux points doivent être précisés par

des décrets qui ne sont pas encore écrits. Les fragiles équilibres que nous avions trouvés avec le

cabinet de Cécile Duflot risquent de voler en éclats et, avec eux, l’esprit de la loi. » Sans parler des

deux mesures les plus emblématiques et controversées défendues bec et ongles par la ministre :

l’encadrement des loyers et la garantie universelle des loyers ne s’appliqueront qu’en… 2016. La

GUL, rendue facultative pour les propriétaires, est beaucoup plus consensuelle aujourd’hui.

Peu de la libérations des terrains publics

L’autre texte, porté par Cécile Duflot dès septembre 2012, promettait la libération des terrains publics

destinés à accélérer la construction de logements sociaux. Plus d’un an après, les parcelles décotées

vendues par l’Etat ou ses établissements publics se comptent sur les doigts d’une seule main. Même

les ordonnances prises pour limiter les recours contre les permis de construire ou faire revenir les

investisseurs institutionnels vers le logement peinent à atteindre leurs objectifs. Difficile enfin de savoir

ce qu’il adviendra du chantier « Objectifs 500.000 » encore sur le métier. Alors que la loi Alur était déjà

en discussion, Cécile Duflot, peut-être consciente des limites de son texte, avait chargé quatre

groupes d’experts de réfléchir à la simplification de la réglementation, la mobilisation des terrains

privés et des modes constructifs innovants.

Plus politique que pragmatique ? Cécile Duflot a tout de même fait avancer, mais pas seule, le réseau

express du Grand Paris. Ainsi que la rénovation thermique des logements anciens. Deux dossiers

chers à son cœur de militante écologiste.

Source : LesEchos.fr

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Investissement immobilier à Paris : le

rendement est en banlieue Le 1/4/2014

Malgré une légère baisse des prix à Paris et sur l' ensemble de l'Ile-de-France, la région

demeure un marché solide où les prix résistent plut ôt bien. Les loyers aussi, grâce à une forte

demande.

Le haut niveau des prix de l'immobilier à Paris rendent la ville moins attractive pour les investisseurs.

Getty Images/iStockphoto/Sergey Borisov

Malgré des prix en baisse de 1,5 % en 2013 à Paris (8 140 euros / m2 en moyenne) et de 1,9 % sur

l'ensemble de l'Ile-de-France selon les dernières statistiques des notaires, la région prouve qu'elle

demeure un marché solide où les prix résistent plutôt bien face à la crise économique d'ampleur. Les

loyers aussi, l'activité locative étant soutenue par une demande forte.

Les valeurs sûres

Concentrez-vous sur les quartiers centraux, très recherchés des étudiants, des célibataires et des

jeunes couples aux revenus confortables. "Dans les Ier, IIe, IIIe et IVe arrondissements, les

investisseurs privilégient la sécurité de biens de qualité qui se revendront sans difficulté ", constate

Nathalie Naccache, responsable d'agences Century 21 à Paris. Mais, avec des prix moyens entre 9

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570 et 10 970 euros le mètre carré, le moindre studio nécessite au bas mot 200 000 euros de budget.

Rue Thérèse (Ier ), l'un d'entre eux, de 18,4 m2, s'est négocié 210 000 euros et se louera 800 euros

par mois. Dans le Ve, qui regorge d'écoles très réputées (Henri-IV, Louis-Le Grand) et d'universités, "

les petites surfaces se négocient 12 000 euros le mètre carré ", affirme Alain Sitbon, de l'Immobilier de

la Sorbonne. Privilégiez le deux pièces de 30 m2 qui se louera plus cher qu'un studio de même

superficie. Avec des prix à peine inférieurs à ceux de Paris, Neuilly-sur-Seine, Boulogne-Billancourt,

Levallois-Perret, Vincennes..., sont aussi à prospecter.

Les valeurs de rendement

Hormis les quartiers les plus populaires comme la Goutte d'Or, la Villette, Flandres..., où l'on peut

dénicher des biens à 6 000 euros/m² et se loueront 23 à 25 euros/m² et peuvent rapporter 5 % brut, à

condition d'être en bon état, difficile de dénicher de bons rendements à Paris. Mieux vaut se tourner

vers la périphérie populaire dont les prix tournent autour de 3 000 à 5 000 euros le mètre carré. C'est

la Seine-Saint-Denis qui remporte la palme. A Saint-Denis, par exemple, qui affiche un prix moyen à 2

250 euros le mètre carré (- 27,5 % sur un an) pouvant toutefois grimper à 3 000 euros, les

rendements sont excellents. Pour preuve, ce studio de 20 m2 acquis 65 000 euros s'y loue 550 euros,

offrant 10 % de rentabilité. Mêmes possibilités à Aubervilliers ou Pantin... Dans le Val-de-Marne, en

revanche, à Alfortville, Choisy-le-Roi ou Créteil, un studio de 21 m² acquis 120 000 euros et loué 500

euros, ne rapporte que 5 %.

La fausse bonne idée

N'investissez pas dans une sur face inférieure à 14 m2 habitables. Certes, les rendements peuvent

être bons, même à Paris. Mais n'oubliez pas qu'il existe désormais une sur taxe pour ces micros

logements, qui s'ajoute à l'imposition habituelle, dès lors que le loyer excède 41,37 euros le mètre

carré. Une surtaxe dont le taux oscille entre 10 et 40 % selon le loyer.

Source : .L’Express.fr

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Copropriété : les nouvelles contraintes

qu’impose la loi sur le logement aux vendeurs Le 1/4/2014

© REA

Deux discrètes mesures issues de la nouvelle loi sur le logement ALUR risquent fort de chambouler

les ventes de biens en copropriété dans les prochains mois.

Afin de garantir plus de transparence aux acheteurs, tout copropriétaire, mettant en vente son

logement, est dorénavant contraint d’afficher - en plus du fameux diagnostic de performance

énergétique - de nouvelles informations sur la petite annonce : nombre de lots de l’immeuble, charges

moyennes réglées par le vendeur, et surtout éventuelles procédures judiciaires en cours de la

copropriété avec le voisinage… "De nouvelles obligations d’affichage qui risquent d'avoir un impact

sur les négociations entre vendeurs et acheteurs", pronostique Jean-François Buet, président de la

Fnaim.

D’autant que les contraintes de transparence imposées par la loi Alur ne s’arrêtent pas là. Dès le

compromis de vente, les copropriétaires-vendeurs sont désormais tenus de fournir une kyrielle de

documents relatifs à l’état et à la gestion de la copropriété. Tant que ces éléments n'ont pas été

apportés, l'acheteur a la liberté de se rétracter.

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Jusqu’à présent, un certain nombre de ces justificatifs n’était exigible qu’au moment de la signature de

l’acte définitif : il en va ainsi du règlement de copropriété, des procès-verbaux des assemblées

générales des trois dernières années ou encore des documents relatifs à la santé financière de la

copropriété (montant des charges courantes du budget prévisionnel, les sommes restant dues par le

vendeur au syndic de copropriété, le carnet d’entretien de l’immeuble…). Le fait pour le vendeur de

devoir les présenter en amont, dès le début de l’opération, pourrait renforcer là encore les tractations

entre les parties…

Plus ennuyeux : d’autres documents, tout à fait nouveaux ceux-ci, risquent d’être sources de casse-

tête pour les copropriétaires vendeurs. Ces derniers doivent tout d’abord obtenir de leur syndic un

rapport global sur les éventuelles dettes vis-à-vis des fournisseurs… ce qui risque de ne pas être une

mince affaire. Surtout, chacun doit apporter aux acheteurs un listing complet et daté de toutes les

modifications apportées à l’immeuble (division d’appartements…). "Un véritable travail de bénédictin,

qui nous contraint à faire des aller-retours entre les services des hypothèques et les syndics, et qui de

facto risquent fort de prendre des semaines sur chaque vente", s’étouffe Thierry Delassale, de la

Chambre des notaires de Paris. Durant ce laps de temps, les acheteurs peuvent revenir sur leur

décision... au risque de faire capoter bon nombre de ventes.

Source : Capital.fr

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Il faut consacrer 20 ans de ses revenus pour

s'offrir un 56 m2 au cœur de Paris Le 2/4/2014

Compte tenu de la cherté des prix, les Parisiens doivent faire presque trois à quatre fois plus d'efforts

financiers que leurs voisins en Ile-de-France pour devenir propriétaires de leur résidence principale, a

calculé la Fnaim.

Bien qu'ils aient un peu baissé depuis deux ans et demi, les prix de l'immobilier à Paris restent très

élevés. Pour devenir propriétaire de leur résidence principale, les Parisiens sont donc toujours

contraints de faire de très importants efforts financiers. Ainsi, pour acheter un appartement de 56 m2,

qui correspond à la taille moyenne d'un logement parisien, un habitant du IVe arrondissement devra

payer l'équivalent de 20,5 années de ses revenus, a calculé la Fnaim du Grand Paris! On constate la

même tendance (plus de 18 ans de revenus) dans les cinq autres arrondissements les plus centraux

de la capitale (Ier, IIème, IIIème, Ve et VIe). Un record sûrement en France.

La Fnaim a évalué le pouvoir d'achat immobilier des Franciliens en tenant compte du revenu moyen

des habitants dans chaque arrondissement et dans de très nombreuses communes d'Ile-de-France.

Dans les autres arrondissements de Paris, mais aussi dans certaines communes de la petite

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couronne, comme Neuilly, les acquéreurs consacrent en moyenne entre 11 et 18 années de leurs

revenus pour devenir propriétaires d'un 56 m2.

Dès qu'on s'éloigne un peu de la capitale, les prix sont plus abordables. Pour acheter un 56 m2 à

Saint-Ouen, les habitants de la commune doivent débourser l'équivalent de 10,8 années de leurs

revenus, ceux du Plessis-Robinson, 7,9 années, mais seulement 5 années (ou moins) aux extrémités

de l'Ile-de-France. Résultat, même s'ils ont des revenus souvent supérieurs, les Parisiens doivent faire

trois ou quatre fois plus d'efforts financiers que leurs voisins pour devenir propriétaires. C'est d'ailleurs

pour cela que seuls un tiers des habitants de la capitale étaient propriétaires de leur résidence

principale en 2009 (47% des Franciliens, mais 58% des français).

Baisse des prix de 1 à 5% dans 17 arrondissements

À Paris, en dépit d'un léger sursaut depuis quelques semaines, le nombre de transactions reste

inférieur à celui constaté au cours des dix dernières années, souligne la Fnaim. Le rebond est d'abord

saisonnier, puisque c'est généralement au printemps que les familles deviennent propriétaires afin

d'être dans leur nouvel appartement à la rentrée scolaire de septembre. «Nous constatons aussi que

de plus en plus de propriétaires bailleurs mettent en vente leur bien pour profiter de l'abattement

exceptionnel de 25% sur les plus-values de cession valable jusqu'au 1er septembre», constate Gilles

Ricour de Bourgies, président de la Fnaim du Grand Paris.

Depuis le début de l'année, les prix ont reculé de 1 à 5% dans 17 arrondissements. Le XVIIIe est le

seul arrondissement où les prix restent constants. La tendance est assez comparable dans plusieurs

départements voisins. Les prix s'effritent ainsi en petite couronne (Hauts-de-Seine, Val-de-Marne et

Seine-Saint-Denis). Mais la baisse est nettement plus marquée (entre -3% et -8%) dans le Val-d'Oise

et l'Essonne.

Pour aider les Franciliens à trouver un logement en Ile-de-France (à l'exception de la Seine-et-Marne)

correspondant à leurs critères de choix (budget, nombre de pièces du logement, temps de transports

par rapport à son travail…), la Fnaim vient de mettre en ligne une carte interactive très pratique et très

bien renseignée (données statistiques sur le type de logements du quartier, profil des occupants avec

le nombre d'habitants, sexe, propriétaires ou locataires). Un peu à l'image de ce qui existe déjà

notamment dans les pays anglo-saxons.

Source : LeFigaro.fr

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Immobilier : acheter en union libre Le 4/4/2014

Vivre à deux amène parfois à acheter ensemble un bi en immobilier destiné à devenir la

résidence principale, secondaire ou un placement lo catif. Avant de signer chez le notaire,

chaque membre du couple doit être conscient de l’en gagement patrimonial et financier d’une

telle opération.

Les problèmes se posent lors de la séparation ou du décès. - Shutterstock

Le bien acheté en commun hors des liens conjugaux est censé appartenir aux deux; il tombe sous le

régime de l’indivision. La contribution financière de chacun peut être égale (50-50), ou différente (60-

40, 70-30, etc.). Il est donc important que la quote-part de chacun soit précisée au notaire le jour de la

signature de l’acte de vente. Cette mention conditionne la répartition des droits de propriété. « Pour

prévenir les problèmes, ce partage doit correspondre au financement réel et à la participation

financière de chacun», explique Stéphanie Gaillard-Sérougne, notaire à Paris. De fait, sauf mention

contraire dans l’acte, le logement appartiendra aux deux à parts égales même si l’un des deux a payé

plus que l’autre. Si l’un des deux concubins est seul propriétaire de la résidence principale, il peut la

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vendre sans avoir à solliciter l’accord de l’autre, même si ce dernier l’a aidé à payer les travaux ou les

mensualités du crédit. Si les choses se gâtent lorsque que le couple se sépare. Deux scénarios sont

possibles. Si l’un des deux veut conserver le logement commun, il devra acheter à l’autre sa « quote-

part » de l’indivision. En revanche, si celui qui reste manque de moyens financiers pour passer à l’acte

ou si le « partant » ne veut pas lui vendre et souhaite récupérer ses billes : la seule issue reste la

vente du logement.

Prévoir une convention d'indivision

Quelques aménagements sont à prévoir en amont pour éviter des scénarios désagréables. Rédiger

une « convention d’indivision » permet de prévoir l’administration d’un bien pendant une durée

déterminée sans remettre en cause l’indivision. La durée maximale d’une telle convention est de 5 ans

avec la possibilité de la renouveler. « Ce document est précieux lorsque le couple ne s’entend plus.

Au moins, on sait qui doit faire quoi et qui paie quoi», commente Pierre Lemée, notaire à Pont-

l’Evêque. En cas de décès, le concubin survivant se retrouve en indivision avec des personnes qu’il

n’aura pas choisies, à savoir les héritiers (enfants, parents, etc.) de son compagnon défunt. Là

encore, ces derniers peuvent demander leurs parts et donc provoquer la cession du logement. Le

concubin survivant risque alors de se retrouver à la rue. Considéré comme un étranger par la loi, il

devra payer 60 % de droits de succession.

Des clauses spécifiques peuvent prévoir que le survivant puisse racheter les parts du défunt à ses

héritiers. C’est possible grâce à l’insertion, dans l’acte authentique, d’une clause de « rachat prioritaire

» qui laisse une porte de sortie en cas de décès de l’une des parties prenantes à l’indivision.

Source : LesEchos.fr

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A propos de Kylia

KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau d’agences immobilières Nouvelle Génération : Le 1er réseau immobilier à partager sa croissance avec l’ensemble de ses agents. Kylia développe un modèle économique orienté « Agent » : Une entreprise construite par et pour ses agents immobiliers. Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com Contact Presse : KYLIA Immobilier

Marie LAURENT / [email protected] / 01 47 70 24 18