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DOSSIER DE PRESSE F Christine Lemaire À contretemps GÉRER MOINS, VIVRE MIEUX

À contretemps. Gérer moins, vivre mieux

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Gestion du temps, réflexion, trucs et conseils

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DOSSIER DE PRESSE

F

Christine Lemaire

À contretempsG É R E R M O I N S , V I V R E M I E U X

mariejosee
Barrer
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À propos des publics concernés :

Pour les femmes :Peu de femmes écrivent sur la gestion du temps. La réalité des femmes modernes n’y est donc jamais vraiment abordée, sauf quand il s’agit de prétendre que les techniques décrites peuvent s’appliquer aussi à la vie privée et domestique. Bien qu’il ne leur soit pas adressé de façon spécifique, je pense que mon essai, partant d’une expérience de femme tiraillée entre sa vie professionnelle et sa vie privée, pourra toucher les femmes d’une façon particulière.

Pour les personnes à la retraite :Il n’est plus à démontrer que la population du Québec vieillit et que de plus en plus de gens seront à la retraite dans les prochaines années. On dit souvent que ces personnes rencontrent de multiples difficultés en commençant cette nouvelle période de leur vie. Elles perdent leurs repères, ce qui les rend vulnérables à la dépression. Et elles manquent encore de temps ! Je suis certaine que les idées présentées dans mon manuscrit pourront aider ces personnes à s’inventer ou à valoriser d’autres façons de vivre le temps, beaucoup plus fidèles à leur nouvelle réalité.

Pour les travailleurs et travailleuses autonomes :On peut penser que la volonté de devenir travailleur ou travailleuse autonome tient beaucoup à un désir de vivre un travail gratifiant autrement que dans le cadre rigide du 9 h à 5 h. Cependant, malgré tous les critères de gestion du temps provenant d’un milieu organisationnel extrêmement structuré, il est difficile d’ajuster notre rythme à ce qui nous convient vraiment. Dans ce cas aussi, les idées de cet essai pourront amorcer des réflexions pertinentes.

Pour les parents à la maison :Dans le documentaire de Marie-Pierre Duval intitulé Bébé ou CV ? (Productions Virage, 2009), les femmes interviewées affirment toutes avoir abordé le travail très particulier de mère à la maison, avec les connaissances qu’elles avaient acquises en entreprise. Je raconte dès l’avant-propos ce réflexe qui consiste à gérer la famille comme une entreprise… Pour en découvrir peu à peu les limites. Cet essai est avant tout le résultat de ce contraste énorme entre le temps vécu dans l’organisation et le temps de la maison, le temps privé et le temps domestique.

Blogue de l’auteure : http://christinelemaire.com

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c o m m u n i q u éPour diffusion immédiate • en librairie le 23 septembre 2011

G é r e r m o i n s , v i v r e m i e u x : é l a r G i r l ’ e x p é r i e n c e h u m a i n e

F www.editionsfides.com

pour toute information :

Marie-Claude Bressan, attachée de presseTél.: (514) 745-4290, poste 365Courriel : [email protected]

26,95 $ • 312 pages 

Fides est sur Twittertwitter.com/EditionsFides

— 30 —

Montréal, le 2 septembre 2011Ce livre — qui part d’une expérience de vie et qui a valeur de témoignage — propose une réflexion originale sur le concept de « gestion » du temps tel qu’il est présenté en Occident depuis une trentaine d’années. Afin d’être efficace en toute chose et dans tous les domaines de ma vie, j’ai mis en pratique bien des méthodes de gestion du temps, sans toutefois parvenir à atteindre la sérénité qu’elles promettaient. J’en suis arrivée à me demander si cette volonté de gérer mon temps ne me tenait pas éloignée de la vie elle-même... En effet, apparte-nant au système de valeurs du monde des affaires, ces méthodes de gestion du temps privilégient certains types d’actions au détriment d’autres, transformant tout notre rapport au temps, à nous-mêmes, aux autres et à l’environnement.

Cette perception du temps comme une ressource à exploiter au maximum ne serait-elle pas la cause principale de notre angoisse, de cette sensation perpé-tuelle de manque de temps, de cette course sans trève contre la montre ? Notre manière actuelle de vivre le temps ne serait-elle pas le premier obstacle à l’avène-ment d’un monde plus sain, plus paisible et plus respectueux de la nature ? À

trop vouloir gérer le temps, nous avons peut-être, peu à peu, oublié de vivre.

Auteure et conférencière, Christine Lemaire a une maîtrise en

histoire et un baccalauréat en administration des affaires ; elle a

travaillé plusieurs années dans les domaines de la vente et du mar-

keting. Elle est mère de deux enfants.

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Quatrième de couverture

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Ce livre — qui part d’une expérience de vie et qui a valeur de témoignage — propose une réfl exion originale sur le concept de « gestion » du temps tel qu’il est présenté en Occident depuis une trentaine d’années. Afi n d’être effi cace en toute chose et dans tous les domaines de ma vie, j’ai mis en prati-que bien des méthodes de gestion du temps, sans toutefois parvenir à atteindre la sérénité qu’elles promettaient. J’en suis arrivée à me demander si cette volonté de gérer mon temps ne me tenait pas éloignée de la vie elle-même... En effet, appartenant au système de valeurs du monde des affaires, ces méthodes de gestion du temps privilégient certains types d’actions au détriment d’autres, transformant tout notre rapport au temps, à nous-mêmes, aux autres et à l’environnement.

Cette perception du temps comme une ressource à exploiter au maximum ne serait-elle pas la cause principale de notre angoisse, de cette sensation perpétuelle de manque de temps, de cette course sans trève contre la montre ? Notre manière actuelle de vivre le temps ne serait-elle pas le premier obstacle à l’avènement d’un monde plus sain, plus paisible et plus respectueux de la nature ? À trop vouloir gérer le temps, nous

avons peut-être, peu à peu, oublié de vivre.

Auteure et conférencière, Christine Lemaire

a une maîtrise en histoire et un baccalauréat

en administration des affaires ; elle a travaillé

plusieurs années dans les domaines de la vente

et du marketing. Elle est mère de deux enfants.

G É R E R M O I N S , V I V R E M I E U X

À contretemps

26,95 $

isbn 978-2-7621-3107-9

Christine Lemaire

À contretempsG É R E R M O I N S , V I V R E M I E U X

Stép

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À propos de l’auteure

Notes biographiques

CHRISTINE LEMAIRE détient une maîtrise en histoire de l’Université de

Montréal (1990). Son mémoire s’intitule : Les femmes à l’Université de Montréal vues à

travers un journal étudiant Le Quartier Latin (1927-1945).

En 1989, elle obtient un baccalauréat en Marketing à l’école des Hautes Études

Commerciales de Montréal. Elle y arrive dans le peloton de tête et, de ce fait, obtient

quelques bourses d’excellence ainsi que le titre, très prisé, d’étudiante de l’année.

Elle a travaillé au sein d’entreprises québécoises prestigieuses : Imprimeries

Transcontinental, Imprimeries Québecor et Provigo. Elle a pu toucher à plusieurs

domaines du marketing : ventes, développement de nouveaux produits, mise en marché.

Elle connaît bien le climat d’urgence et de pression continuelle. Elle se sert

abondamment de cette expérience dans ce livre.

Dans le cadre de son travail en mise en marché, elle a eu à donner des séances de

formation sur la gestion par catégories à plusieurs employés de l’entreprise.

Enfin, son adhésion au groupe L’autre Parole lui a permis de faire quelques

interventions à la radio ainsi qu’à la télévision. Elle a pu donner des conférences et

animer des ateliers de réflexion.

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Mot de l’auteure

Cet essai est avant tout une entreprise de déculpabilisation personnelle, qui s’est peu

à peu transformée en une réflexion sur notre manière moderne de vivre le temps.

J’ai mis en pratique bien des méthodes de gestion du temps sans jamais atteindre la

sérénité qu’elles me promettaient. J’en suis venue à me demander si c’était moi le

problème ou si ce n’était pas plutôt les auteurs de ces méthodes…

Je suis donc partie à la recherche des origines des techniques de gestion du temps et

me suis rendu compte :

• qu’elles orientent notre façon de vivre le temps

• qu’elles s’appuient sur un système de valeurs néo-libérales

En conséquence, nous devons tous les jours nous conformer à un système temporel

qui peut réduire dramatiquement notre richesse humaine.

J’ai découvert six façons de voir et de vivre le temps et que j’ai nommées :

Le temps panoramique

Le temps en spirale

Le temps écosystème

Le temps maillon

Le temps mosaïque

Le temps à double fond.

Ces temps multiples existent depuis toujours; je vise à les présenter de façon

moderne et concrète.

Notre perception d’un temps exclusivement linéaire est la cause principale de notre

angoisse devant sa précarité. Cette sensation qu’il manque toujours, qu’il se rétrécit,

qu’il nous est compté.

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Notre manière actuelle de vivre le temps est le premier obstacle à l’avènement d’un

monde plus sain, plus paisible et plus respectueux de la Nature.

Deux conceptions du temps se superposent :

•Le temps long de l’Histoire

•Le temps toujours plus court, toujours plus urgent, du monde des affaires.

Le but de cet essai n’est pas de démolir les méthodes de gestion du temps. J’utilise

encore ces techniques quand il s’agit d’accomplir des tâches.

Je veux plutôt montrer que :

• la gestion du temps a envahi notre quotidien.

• La gestion de temps appliquée à tous les domaines de notre vie ne garantie pas le

bonheur.

Je propose :

• d’élargir la perspective et remettre la gestion du temps à sa juste place dans un éventail

beaucoup plus riche de manières de vivre le temps.

• de montrer qu’à trop gérer le temps, nous avons peu à peu oublié de le vivre.

Un regard différent

Un livre déculpabilisant

Quand nous achetons un livre sur la gestion du temps, c’est généralement parce que nous

nous sentons à l’étroit dans le nôtre… Souvent, notre premier réflexe est de nous en

culpabiliser. Bien sûr, nous savons que notre société et notre époque ont fait du manque

de temps un malaise chronique. Mais nous voyons autour de nous des gens qui semblent

tout à fait bien s’en sortir. Alors, que faisons-nous de travers? Si seulement nous faisions

preuve d’un peu plus de discipline et de volonté… Bref, nous nous sentons inadéquats.

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En fait, notre situation face au temps est bien plus complexe que ce qui nous en est

présenté dans les ouvrages sur sa gestion. Et le fait de sortir notre cravache pour nous en

asséner un coup supplémentaire a ses limites; nous savons aujourd’hui que cela peut

même nous mener à l’autodestruction. Dans ce livre, je veux démontrer que, si nous

sommes responsables de notre temps, nous sommes aussi conditionnés par le système de

valeurs de la société dans laquelle nous vivons. Ce système est solide et très cohérent.

Ainsi, vivre «à contretemps», c’est bien souvent vivre à contre-courant d’un système

idéologique bien établi. D’où l’ampleur du défi!

Concret …

Cet essai s’adresse au commun des mortels qui lutte au quotidien contre sa montre. Les

concepts que j’aborde sortent de l’ordinaire et remettent en question des idées acquises,

des «paradigmes» jamais remis en question. Pour les expliquer, j’adopte un style très

personnel et concret. Afin d’appuyer mes affirmations, je donne toujours beaucoup

d’exemples.

… avec quelques accents poétiques!

Pour aborder les notions de temps et de gestion du temps, le langage de la gestion des

affaires est le plus employé. Mais, comme je voulais aller en amont de la gestion, comme

je voulais ouvrir d’autres perspectives, j’ai pu adopter un autre langage, souvent plus

poétique que celui auquel nous sommes habitués dans ce genre de livre.

Un partage

J’ai bien pris soin, en écrivant cet essai, de ne pas me présenter en gourou de la gestion

du temps. Je n’ai pas la science infuse et les erreurs que je raconte sont, la plupart du

temps, les miennes. Je n’ai pas de méthode infaillible à vendre.

Je veux simplement partager ma réflexion. De fait, les statistiques accablantes au sujet du

taux d’accroissement des maladies professionnelles, l’engouement pour les pèlerinages et

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les séjours dans les ashrams (pour ne nommer que ces deux exemples), m’indiquent que

je ne suis pas la seule à chercher d’autres manières de vivre le temps.

Analyse du marché

Regroupement québécois pour la Simplicité Volontaire

Au mois d’avril 2008, j’ai présenté deux ateliers sur les sujets de mon livre. Le premier,

intitulé Et si le temps était généreux?, était la présentation de la deuxième partie de ce

manuscrit. Le deuxième, intitulé Le temps écosystème. Réflexion sur la surchauffe de nos

agendas, allait plus en profondeur sur ce temps écosystème élaboré dans les chapitres 5 et

8. La réaction a été extrêmement positive.

J’ai par la suite écrit un texte sur le même sujet dans le numéro de la revue Simpli-Cité

portant sur ce colloque (« Élargir la perspective », Simpli-Cité, vol 9, no 2, été 2008, p. 4-

6). Cet article a été repris dans : GARIÉPY, Diane. Nous, de la simplicité volontaire,

Montréal, Éd. Écosociété, 2011.

Université de Montréal

En octobre 2010, dans le cadre d’un cours de théologie intitulé Éthique théologique

donné au premier cycle par Denise Couture (professeure titulaire au département de

Théologie de l’Université de Montréal), j’ai été invitée à présenter une conférence sur le

sujet de mon essai.

b) Publics cibles :

Mon livre s’adresse à tous ceux et celles qui remettent en question notre façon effrénée

de vivre le temps aussi bien que les valeurs de notre société néo-libérale. Les gens que la

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maladie oblige à une telle remise en question ou qui cherchent à simplement ralentir la

course folle de leur vie, seront interpellés par cet essai.

Voici des exemples de personnes que je souhaite rejoindre :

Les femmes :

Peu de femmes écrivent sur la gestion du temps. La réalité des femmes modernes n’y est

donc jamais vraiment abordée, sauf quand il s’agit de prétendre que les techniques

décrites peuvent s’appliquer aussi à la vie privée et domestique.

Bien qu’il ne leur soit pas adressé de façon spécifique, je pense que mon essai, partant

d’une expérience de femme tiraillée entre sa vie professionnelle et sa vie privée, pourra

toucher les femmes d’une façon particulière.

Personnes à la retraite :

Il n’est plus à démontrer que la population du Québec vieillit et que de plus en plus de

gens seront à la retraite dans les prochaines années. On dit souvent que ces personnes

rencontrent de multiples difficultés en commençant cette nouvelle période de leur vie.

Elles perdent leurs repères, ce qui les rend vulnérables à la dépression. Et elles manquent

encore de temps! Je suis certaine que les idées présentées dans mon manuscrit pourront

aider ces personnes à s’inventer ou à valoriser d’autres façons de vivre le temps,

beaucoup plus fidèles à leur nouvelle réalité.

Travailleurs et travailleuses autonomes :

On peut penser que la volonté de devenir travailleur ou travailleuse autonome tient

beaucoup à un désir de vivre un travail gratifiant autrement que dans le cadre rigide du 9

h à 5 h. Cependant, tous les critères de gestion du temps provenant d’un milieu

organisationnel extrêmement structuré, il est difficile d’ajuster notre rythme à ce qui nous

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convient vraiment. Dans ce cas aussi, les idées de cet essai pourront amorcer des

réflexions pertinentes.

Les parents à la maison :

Dans le documentaire de Marie-Pierre Duval intitulé Bébé ou CV? (Productions Virage,

2009), les femmes interviewées affirment toutes avoir abordé le travail très particulier de

mère à la maison, avec les connaissances qu’elles avaient acquises en entreprise. Je

raconte dès l’avant-propos ce réflexe qui consiste à gérer la famille comme une

entreprise… Pour en découvrir peu à peu les limites. Cet essai est avant tout le résultat de

ce contraste énorme entre le temps vécu dans l’organisation et le temps de la maison, le

temps privé et le temps domestique.

Blogue : http://christinelemaire.com

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Plan de l’essai

AVANT-PROPOS

INTRODUCTION : Élargir la perspective

PREMIÈRE PARTIE : La force du courant

Introduction à la première partie

Chapitre 1. De l’usine à la maison

Avant la « gestion du temps »

Un autre rythme de travail

Gérer le temps, tout le temps

Chapitre 2. Discours de la méthode

Des promesses

Une méthode

Deux outils

Chapitre 3. De l’usine à la maison : un transfert de valeurs

Progrès et croissance illimitée

Performance et compétition

Rationalité et mesure

Utilité et efficacité

Ordre et discipline

Confusion des genres

Conclusion de la première partie : La fatigue du gestionnaire

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DEUXIÈME PARTIE : La route et le paysage

Introduction à la deuxième partie

Chapitre 4. Troubles de vision

Le focus est réducteur

L’objectif souffre de presbytie

L’objectif n’a pas de vision périphérique

L’objectif est myope

Chapitre 5. Questions d’équilibre

Le poids énorme du faire

L’insoutenable légèreté de l’être

Le temps spirale

Le temps comme un écosystème

Marcher en équilibre

Chapitre 6. Quelques réhabilitations afin d’équilibrer la marche

Des travers à apprivoiser

Les ennemis de la gestion du temps

De la beauté d’être humain

Conclusion de la deuxième partie

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TROISIÈME PARTIE : Conduire en Angleterre

Introduction à la troisième partie

Chapitre 7. Dégager l’essentiel

Le choix, un cadeau de la modernité

Remonter à la source

La mission

La mission au cœur de nos pas

S’inscrire dans la durée

Chapitre 8. Le temps vivant

Les grandes décisions

Observer

Comprendre

Créer

Soigner

Chapitre 9. Sur la route

Le corps

Le domestique

Le travail

Les compagnons de voyage

La vie citoyenne

L’argent et la consommation

Conclusion de la troisième partie

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CONCLUSION : En pratique

Une seule méthode, la nôtre

Vivre le temps, dans tous ses états

ÉPILOGUE : Un pas de plus

Bibliographie

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Structure de l’essai

Cet ouvrage se compose de trois parties principales, composées de trois chapitres

chacune.

Partie 1 : La force du courant

En passant de la vie paysanne à la vie en entreprise, nous avons considérablement

changé notre façon de vivre le temps. En confiant à l’entreprise la gestion de nos

heures de travail, nous lui avons remis aussi, progressivement et par souci de vivre un

temps « unifié », l’ensemble de notre vie. L’entreprise a assumé la charge de notre

éducation face au temps.

Sous-produits des grandes théories managériales, les méthodes de gestion du temps

nous ont fourni des outils et des manières de faire nous promettant de vivre le temps

de la meilleure façon qui soit, c'est-à-dire de façon efficace. Jean-Jacques Servan-

Schreiber affirme : « … seuls peuvent profiter du temps ceux qui ont appris à l’utiliser au

mieux »1. Et, à ce titre, quel meilleur professeur pourrons-nous trouver que

l’organisation?

Cette première partie a donc pour but de montrer d’où vient la gestion du temps en

analysant (chapitre 1) dans quel contexte elle a été développée, (chapitre 2) de quelle

manière et en fonction de quels besoins, ainsi que le système de valeur bien particulier

sur lequel elle s’appuie (chapitre 3). Cette démarche nous amène à mieux nous rendre

compte de la force du courant qui nous entraîne quand il s’agit de vivre le temps.

Partie 2 : La route et le paysage

Et si le temps était beaucoup plus riche et plus complexe que cette course sans limite

vers le progrès; s’il pouvait évoluer autrement que vers le sommet d’un plan incliné? S’il

1 SERVAN-SCHREIBER, Jean-Louis. Le nouvel art du temps, 2000, p. 39.

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Page 17: À contretemps. Gérer moins, vivre mieux

pouvait aussi aller vers la profondeur, s’arrêter et même marquer un recul? S’il était

aussi éternel, immobile et même, en de très courts instants, parfait? S’il pouvait aussi

s’étendre aux autres, se fondre dans le temps des autres ou se gonfler du temps des

autres? Si le chemin était quelque chose d’autre qu’une piste étroite et balisée? Et si le

temps n’était pas un, mais multiple et varié, une palette de couleurs à choisir pour chaque

heure de notre vie? Si tous ces temps qui ont déjà existé, existaient encore? Si nous les

avions simplement oubliés ou mis de côté?

Les deux premiers chapitres de cette deuxième partie vont à la recherche de ces temps

perdus. Le troisième chapitre s’attarde ensuite sur quelques « défauts » spécifiquement

humains, qui ne sont considérés comme des tares que parce qu’ils appartiennent à une

autre manière de vivre le temps que celle de l’organisation. Tout au long de cette partie,

les conséquences très concrètes que l’évincement de ces autres visions du temps

provoque, tant dans nos vies personnelles que dans la vie des communautés, seront

évoquées.

Partie 3 : Conduire en Angleterre

Conduire en Angleterre nous oblige à la pleine conscience, en nous méfiant de nos

propres biais, des réflexes de conduite que nous avons développés au cours de notre vie.

Non seulement avons-nous à marcher à contre-courant mais, puisque ce courant nous

habite et nous constitue, nous avons à choisir chaque jour de marcher avec un regard

renouvelé dans le pays que nous avons choisi.

On nous a dit qu’avec un peu d’efficacité, nous pourrions tout faire, que nous n’aurions

pas (ou très peu) besoin de choisir. Mais dans les faits, le choix s’impose souvent, parfois

conscient, parfois par défaut. Car nos journées elles, n’ont et n’auront toujours que 24

heures. Je propose le mot dégagement pour parler d’une longue démarche à accomplir

afin d’arriver à faire face au foisonnement de possibles qui s’offrent à nous dans nos

sociétés modernes. Dégager l’essentiel, un essentiel singulier, très réfractaire aux

méthodes, voilà le sentier à dessiner, pour soi. Ce n’est pas en devenant efficaces que

nous célébrerons la générosité du temps, mais en devenant épicuriens.

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Dans cette troisième partie, je m’emploie à concrétiser les implications de ces autres

façons de voir et de vivre le temps, développées précédemment. Les temps panoramique,

maillon, mosaïque et à double fond élargissent sensiblement notre perspective, ils

complexifient un chemin que les techniques de gestion du temps s’efforcent pourtant de

simplifier à l’extrême et de baliser. Nous verrons comment le temps en spirale (chapitre

7) et le temps écosystème (chapitre 8), peuvent nous aider à vivre cette nouvelle

complexité de façon plus sereine. Enfin, le dernier chapitre donne des exemples très

concrets de domaines de notre vie professionnelle ou personnelle, où un changement de

regard provoque un changement d’attitude et donc des changements de comportements.

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DANS LES MÉDIAS

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Couverture du livre À contretemps. Gérer moins, vivre mieux

Photo: La Presse

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Publié le 16 septembre 2011 à 14h26 | Mis à jour le 16 septembre 2011 à 14h26

Vous courez? Ralentissez maintenant!

Silvia GalipeauLa Presse

Le hasard fait parfois bien les choses.C'est en faisant ma recherche pour ledossier sur la conciliation famille-travailpublié ici que je suis tombée sur cetitre, fort approprié: À contretemps.Gérer moins, vivre mieux, sur l'art nonplus de gérer son temps, mais de bienle vivre. Une fois pour toutes. Tiens,tiens, comme ça tombe bien...

L'occasion était donc trop bonne, et j'aivoulu en savoir plus. Sans surprise,l'auteure de l'ouvrage publié chezFides, Christine Lemaire, ex-femme decarrière désormais auteure, s'est renducompte, un jour, après avoir posé sonfiston de quelques mois aux petitesheures à la garderie, pour le récupérer

à la nuit, malade comme un chien en prime (bonjour la culpabilité), que sa vie était devenue un «non-sens». «C'estabsurde. J'ai fait un enfant et je vais le voir seulement deux heures dans ma journée!» Et ainsi s'est entamée saréflexion sur le temps...

Ce qui est intéressant, c'est que l'auteure aborde ici la question du temps sous l'angle de la gestion, et ce, à fortjuste titre: elle est elle-même issue du monde de l'administration des affaires, et a travaillé plusieurs années envente et marketing. Le saviez-vous? Nous avons aussi tous tendance à «gérer» ainsi notre temps. Quelle erreur,dit-elle. Car nous gérons du coup notre vie privée comme notre vie professionnelle, avec des objectifs quantifiables,des délais à respecter, des résultats escomptés. D'où l'épuisement. Et d'où la culpabilité. En effet, si nous n'yarrivons pas, sommes-nous pour autant de mauvais parents?

«Quand on arrive dans tout ce qui est relationnel, être disponible pour nos enfants, les éduquer, cela devientbeaucoup plus bancal, parce qu'il n'y a pas de résultats concrets! Cela nous fait perdre pied.» Pas surprenant,dit-elle, qu'il soit plus facile de gérer un après-midi au cinéma avec notre enfant que de «passer une journée» toutsimplement avec lui. «On est toujours en train de faire des affaires, parce que c'est ce qu'on sait faire! déplore-t-elle.C'est pour ça qu'on est essoufflés et qu'on se sent coupables. On a une vision d'entreprise, selon laquelle on doitfaire des choses, toujours plus en moins de temps!»

Mais est-ce que c'est ça, la vie de famille? Évidemment... non. D'où l'importance, croit-elle, d'être présent là,maintenant, en faire moins, mais mieux, et, surtout (surtout!), valoriser autant sa vie professionnelle que personnelle,aussi improductive soit-elle.

Non, ce ne sont pas là des suggestions révolutionnaires. Mais avouez qu'elles ont le mérite de remettre enperspective notre manque de temps...

Sur le même thème

Le fameux guide du Dr Yves Lamontagne, Être parent dans un monde de fous, aux éditions Guy Saint-Jean, revienten librairie ces jours-ci dans une nouvelle version revue et améliorée, avec, notamment, des conseils entourant lesquestions de la cyberintimidation, de l'internet et des réseaux sociaux. Un livre qui se veut inspirant et non directif,complice et, surtout, optimiste. À lire.

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Entrevue Radio-Canada - Au coeur du mondehttp://bit.ly/AnObJu

Entrevue avec Isabelle Maréchalhttp://bit.ly/AcDoZ9

Entrevues avec Christine Lemaire

À contretemps. Gérer moins, vivre mieux / Dossier de presse 28