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of the fixation disc and its total population may be 1600. in function these cones differ somewh~.t from the surrounding and proi,q'essively larger populations delined by zones No. 2 and No. 1. This statement is supported by findings from recent studies which a number of researchers have made with visual targets o~' small subtense angle (0.4'-15'). Anatomical and neurelogical descriptions of the human fov~a seem to lack data which ,:cxrelate with the location of the observed border of the fixation disc. This group of cones is a peculiarly valual:Ic functional asset to the organism and should no,~ be recklessly exposed to hazardous radiant stimulation. Determination of the relative size of the foveal fixation disc, for an intended observer, and consideration of some of the functional traits of this popula- tion of cones, may prove desirable in connection with fundamental or al:plied research in some problem areas.

CONTRIBUTION E.E.G. A L'i~TUDE DE LA PERCEPTION DU

MOUVEMENT CHEZ DES SPECTATEURS ASSISTANT A LA

PROJECTION DE FILMS EXPIERIMENTAUX

PAR

G. COHEN-SEAT et G. I.,ELORD

(:i%,avail des l~aboratoires de I'In.vtitut de Filmologie et de la Clinique de Neuropsychiatrie lnfontile (Service du Pr. Heuyer), Paris)

Parnd les probl~mes concernant la perception du mou,v.~ment I'un des plus int&essants est celui du mouvement d'accompagnement, voire des ma~life,~tations plus complexes de i'empathie. Dans le domaine du film ces ph~nom~nes rev~tent une importance particuli~re et ont ~t~ group,s par I 'un des auteurs sous [e nora d' <<induction posturomotrice)~.

Qu'il s'agisse de formes tr~s 61abor~es de sympathie, ou d'aspects plus e~ lt~.mentaires de r~activit6 au mouvement, il semblv hasardeux d'en recher- chef la traduction au niveau de I'E.E.G. Pourtant (l~s 1953 une ~tudc ~ l i t entreprise dans ce sens. (Rev. Intern. Filmo, 1954 T.V., n ° 16). La di.~l:,arit~ de certains rtsultats s'av~rait, i~ est vrai, assez embarrassante. Tou~efois, grace /i i'utilisation systtmatique de films exp~rimentaux, des rela~tions ~troites et ~)lus ¢onstantes ont pu ~,tre ~tabfies r~vmment entre ca;~ins plans et des manifestations E.E.G. observ~'s chez le spectateur (Re~/. Intern. Filmo, 1956 T. VII, nos 27, 28).

L"~tude pr~sente porte sur 50 adultes normaux. [.4~ stimulation est constitute par trois films exp~rimentaux (certains plans

BASr~ HEUROLOGIQUF.S DE LA PERCEPTION 247

oat ~t~ r~alis~s sp~ialement en fonction de l'hypoth~se pr~c~dente: plan.,; de mouvements humains, queiquefois rythmiques).

L'enregistrement est 6ffectu~ suivant une technique courante. Les r6sultat$ rev~tent dans un petit nombre de cas un aspect tr~s singalier: survenant au mm;zcnt des plans repr~sentant un mouvement humain; se manifestant par des modifications qui transforment I'aspect da trac~

(sur une iigne aplatie et irr~guli~re ~ que l'on observe habituellement quand ie sujet garde les yeux ouverts - - surgissent des bouff~es de rythme

10 c/s qui apparaissent au d~but du plan de mouvement et se terminent avec lui);

ces ph~nomenes si~geant au niveau de la zone sensitivomotrice. Bien que ces modifications ne soient nettes que chez certains sujets,

leur survenue Iors des plans de mouvements est tr~s frappante. Parfois il s'agit uniquement de mouvements humains, d'autres lois de mouvements plus vari~ (d~'placement de la camera, ou d'un objet a travers le champ, e t c . . . ) voire de moments mettant en jeu ~galement des composantes affcctives (combat d'u~te araign~e et d'un serpent).

Ainsi la pr~sentatior~ du mouvement ou du moins de certains mouve ments privil~gi~s est susceptible d'amener un retentissement du niveau de I'E.E.G. En d6pit des incertitudes qui planent sur sa signification et sur son d~ter- minisme, I'existence dc ce ph~nom~ne m~rite d',~tre signal~e dans ie cadre des probl6mes neurologiques int6ressant la perception.

ELECTRICAL MEASUREMENT OF EYE MOVEMENT DURING

PERCEPTION

BY

CHRISTINE KRIS

( Massachusett.~' Institute of Technology, Cambridge, Mass.)

Effect of fluctuations in physiological level are differentiated from per- formance variations in rate, precision and regularity on prolc.nged rep ',rive oculomotor task, by means of periorbitally measured eye potential changes accompanying controlled fixation shifts.

STATEMENT OF PROBLEM

Whenever the causes of variation in rate, precision and regularity of performance on repetitive sensory-motor respo.se tasks are investigated, it is necessary ~to distinguish between differences due to diurnal and post-