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P ie rr e L a r o s e & F l o r e n t D a r t h o u t H E R O E S U N D E R T H E W A V E S

Dossier de Presse

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press folderfebruary 2011

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Page 1: Dossier de Presse

PierreÊLaroseÊ&ÊFlorentÊDarthoutHERO

ESÊUNDERÊTHEÊWAVES

Page 2: Dossier de Presse

1. Me

aning

2. Portofolio 3. Les vidéos

4.

Proc

essu

s

5. Exhibitions 6. Projets à venir

6. Pre

sse /

Radio / TV 7. Contact

Page 3: Dossier de Presse

1. meaning

Heroes under the waves c’est la fuite d’une généra-tion qui manque de repère. Nous y invitons les modèles à continuer à croire, à s’exprimer, à se dépasser, à faire face à la contrainte et explorer des sensations et des environnements que ne leur sont pas commun. Dans un espace presque vierge nous laissons la place à leurs instincts. Nous voulons qu’Heroes under the waves soit plus qu’un projet photographique, cinématographique, qu’une performance: nous avons voulu créer des univers où nous laissons les modèles vivre leur humanité comme un acte initiatique. Ils en ressortent souvent changés, bouleversés, ahuris par leur condition même d’être vivant, d’animaux qu’on essai d’étou�er un peu plus chaque jour. Il n y a aucune vérité, il n’y a que quelques instants capturés qui �nalement ne sont qu’un indice d’un avant et d’un après qui se sont perdus en route, mais que chacun saura retrouver à sa manière.Héros contemporains proche de l’épopée, ils nous rappellent qu’en chacun de nous se cache un mythe. Nous sommes livrés en bataille dans nos plus beaux apparats, dans la plus grande immensité qui soit.

Pierre Larose et Florent Darthout

Page 4: Dossier de Presse

2. Portofolio

the girl under the waves100x50cm aluminium

Page 5: Dossier de Presse

Hero as a pop landscape boy100x50cm aluminium

Page 6: Dossier de Presse

Hero as the blue beast100x50cm aluminium

Page 7: Dossier de Presse

Hero in the stop water100x50cm aluminium

Page 8: Dossier de Presse

Quadrathlon ACT I100x50cm aluminium

Page 9: Dossier de Presse

Hero on dynamic square180x75cm aluminium

Collaboration avec Philippe Tourriol

Page 10: Dossier de Presse

3. Les videos

Hero as the blue beastVideo HD

1’16’’

Page 11: Dossier de Presse

Hero in the stop waterVideo HD

45’’

Page 12: Dossier de Presse

Hero as a pop landscape boy IIVideo HD

1’35’’

Page 13: Dossier de Presse

The heroes lost momentVideo HD

1’04’’

Page 14: Dossier de Presse

Hero against waterVideo HD

2’28’’

Page 15: Dossier de Presse

Hero, just wanderlustVideo HD

1’52’’

Page 16: Dossier de Presse

Quadrathlon act IVideo HD

1’50’’

Page 17: Dossier de Presse

Quadrathlon act IIVideo HD

1’12’’

Page 18: Dossier de Presse

Hero on dynamic squareVideo HD

1’57’’

Page 19: Dossier de Presse

4. ProcessusLe modèle.

Heroes under the waves c’est dans un sens le constat d’une génération. Les modèles qui performent lors des photoshoot et videoshoot sont exclusivement des jeunes qui ont entre 18 et 25 ans. Nous tenons, au maximum, à collaborer avec des personnes qui ne soient ni acteur, comé-dien ou encore mannequin. Nous cherchons à ce que les gens se décou-vrent, se confrontent à eux même en dépassant l'objectif photographique pour vivre pleinement leur expérience.Parmi nos modèles nous avons des amis proches, des inconnus… L’idée est qu’à partir de ce que nous connaissons du modèle, ou de notre ressen-tit face à lui, nous créons un univers dans lequel nous le laisserons évoluer en toute liberté. Il y a, entre cette personne et nous comme un pacte de con�ance. En e�et le modèle est libre de commencer et d’arrêter quand bon lui semble, tout comme de notre côté il accepte les contraintes que nous lui imposons souvent à la dernière minute comme par exemple le lieu qu’il n’a jamais vu au par avant. Les contraintes peuvent être de l’ordre du maquillage (à base de vaseline ou de glycérine) ou du costume, ou alors de devoir cohabiter avec un objet et devoir s’en servir, se créer une histoire avec tout cela, être quelqu’un d’autre et ainsi se surpasser.Lorsque nous arrivons sur le shooting nous annonçons une intention au modèle; à lui ensuite d'évoluer dans l'espace qui est le sien, de la manière qui lui convient autour de cette intention. Le modèle est alors libre de tout, et nous capturons ces moments.

Le thème.

Toutes nos vidéos traitent de l’errance, de la solitude et du combat mais aussi de l’espoir. Avec la série QUADRATHLON nous nous sommes attachés au thème du sport qui renferme beaucoup de possibilités par rapport au projet : le dépassement de sois, l’adversité, la performance, l’inapropriation (le fait d’amener une personne non sportive dans un espace exclusive-ment réservé à la pratique sportive et la laisser performer avec des outils qui s’éloignent un tant soit peu du monde sportif ).

Page 20: Dossier de Presse

L’accessoirisassions, le maquillage, le vêtement.

Pour l’ensemble de nos shooting nous confectionnons nous même les accéssoires. Ce processus de création est aussi long que la préparation sémantique de la performance. Nous tenons à une extrême cohérence entre le propos de l’image et le propos général qui s’en dégagera dans l’ensemble des œuvres du projet. Les accessoires majeurs que nous avons créés sont l’attrapes rêve géant que le modèle (Florent DAR-THOUT) porte autour du cou dans « Hero as a pop landscape boy ». Cet accessoire évoque l’ethnicité et le primitivisme mais également les croyances qu'elles soient religieuses, païennes ou simplement supers-titions populaires. Dans le cas du bâton totem appelé « témoin » il s’agit une nouvelle fois de se faire rencontrer la culture primitive et la culture pop. Le primitivisme du totem et de ses nuées de fumée quasi chamaniques tranchent avec la radicalité des matériaux qui le décorent issu d'une culture de masse occidentale: grelot, vêtements tressés, peinture acrylique ou encore pompons de Cheerleader. La phase de recherche et de création des accessoires est très excitante, mais pas autant que les surprises que nous réservent les modèles lors des shooting . Nous n’avions pas anticipé par exemple que lors du shooting de « Quadrathlon ACT 1 » le « témoin » ait autant une fonc-tion d’arme à l'image.

La post production.

A la sortie des shootings nous avons souvent une grande profusion de matière. Nous nous sommes donnés pour contrainte depuis le début du projet, de réaliser des planches de 12 photos. Ce système de polyp-tyque nous permet de travailler, à la façon du cinéma, le temps en photographie. La façon dont l'oeil balaye une image nous importe énormément et nos compositions prennent en compte cet aspect. Le montage vidéo fonctionne sur le même mode: derusher pour obtenir l’essentiel et créer un personnage, un univers dans lequel il est possible de s'immerger. Les sons de nos vidéos sont aussi des créa-tions. Généralement c'est par remodelage de bandes sonores qui nous intéressent (son du shooting, bruitage, �lm, chanson..) que l'on réalise nos propres univers.Autant pour la photo que la video, nous cherchons à exploiter les caractéristiques propres de chacune et ainsi donner deux dimensions, deux approches de la performance.

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5. Exhibitions

2010 - Pristine Galerie / Solo show Monterrey. Mexico MX

2010 - Art fair San Diego / Group show / Book San Diego. America USA

2011 - Le Cube Orange / Group show Paris. France FR

2011 - Le vecteur / Solo show Charleroi. Belgium BE

2011 - Pristine Galerie / Group show Muera el perro Monterrey. Mexico MX

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6. Projets à venir

- Quadrathlon Act III et IV

- Video portrait avatar

- Video performance procession primitive

Page 23: Dossier de Presse

7. Presse / TV / Radio

Ce sont nos corps que se propose de ranimer le nouveau lieu parisien, appartement et galerie, nommé sans ironie, le cube orange. Soit, un appartement avec son canapé, sa télévision, sa cuisine (un cube orange qui donne le nom au lieu), ses chambres et ses hautes fenêtres ouvertes sur la Place des Vosges comme beau cadre de circulations, de rencontres et de dîners organisés. Et galerie comme lieu de découvertes, réunis-sant, à l’initiative de Jean Stéphane Jund, pour cette première édition, une suite importante de peintures, dessins et sculpture de Philippe Tourriol, des tableaux-collages de Xavier Theunis, des installations de Renaud Layrac, des sculptures de Frédéric Platéus et des vidéos du duo Pierre Larose et Florent Darthout.. Les artistes, conscients de ce cadre mixte, ont inventé une scénographie entre art, design et espace de vie, esquissé un drôle de compromis puisque « meublant » pour ainsi dire, en hôtes particuliers, cet appartement qui ressemble fort peu à une galerie. Ici, il n’est pas question de confrontation, obser-vée dans des appartements de collectionneurs où les œuvres signifient une rupture radicale avec l’architecture patrimoniale. Mais plutôt d’un cadre de mimétisme pour ce groupe d’amis artistes qui ont en commun une réflexion sur l’objet et sur les statuts ambiguë de l’œuvre d’art. Aussi, la fonction décorative, d’ordinaire si honnie, affleure. Elle s’exprime d’abord par la qualité de leurs œuvres, leur finition, leurs matériaux requis d’ordinaire aux objets, au mobilier ou à la construction, tels l’aluminium peint, les adhésifs vernis, l’aluminium thermola-qué, la fibre de carbone époxy, plexiglass, miroir, peinture de carroserie ou encore l’inox. Mais elles jouent aussi du déni

d’une décoration intérieure selon un mode minimal, ironique et réactif. Ainsi, les sculptures métalliques, structures vert pomme de Renaud Layrac, membre du fameux groupe BP dont Jean-Stéphane Jund montre pour la première des œuvres personnelles, épousent-elles une étagère ou scindent en l’épousant le canapé des visiteurs.  Le « flipper fantomatique » de Philippe Touriol détourne l’objet de distraction par son énig-matique ligne blanche de néon, allusion à Dan Flavin comme au ready-made, comme ses peintures opèrent une suave distraction de l’art abstrait. Les peintures de Xavier Theunis évoquent l’obsession décorative et le dessin d’architecture tout en les maintenant à forte distance par l’humour et une sorte de placidité plastique.Les sculptures de Frédéric Platéus, affichent, elles aussi, ambiguïté et mutation d’objets domestiques et étrangers, son « Ajax revisited  » prenant forme d’un drone égaré ou d’une table profilée alors que son miroir éclaté en vitrail de couleur altère son pouvoir réfléchissant. Enfin, un peu à part, mais diffusées ironiquement sur les murs d’une pièce de bibliothèque, les vidéos de Pierre Larose et Florent Darthout intronisent les remakes de l’exotisme et la chevauchée de héros travestis presque comiques dans une sorte de vidéothèque à domicile. « Histoires de votre vie » dit le catalogue Ikéa 2011, (qui pourrait bien être posé sur une table basse de cet apparte-ment,) vantant, comme le font les artistes du cube orange, des « objets esthétiques et fonctionnels »…

Laurent Boudier, Paris, janvier 2011

Page 24: Dossier de Presse

Dans le cadre du vernissage à la Pristine Galerie au Mexique, interview lors du vernissage pour chaine de tv GANTV

Dans le cadre de l’exposition au Mexique, passage dans l’emissionIMAGINARTE de la chaine nationale TELE NUEVO LEON.

Page 25: Dossier de Presse

Heroes.

Photographies prises lors du vernissage de la toutepremière exposition du Cube Orange. Une galeriesingulière, qui est en fait un superbe appartement

donnant sur la place de Vosges. Un surprenant cubeorange laqué, la cuisine, se dresse à l'entrée du salon.

Un lieu de rencontres et de découvertes, remarquablement inauguré.

Les artistes ont investit chaque pièce, mêlant leursœuvres - vidéos, sculpture, tableaux, installations,

peintures - au mobilier, réorganisant ainsi l'espace devie.

Attention particulière pour Pierre et Florent, quiexposent pour la première fois en France quatre

vidéos issues de leur projet Heroes Under The Waves,ainsi qu' une très belle collaboration avec PhilippeTourriol. Des extraits sont disponibles sur leur site,

mais le mieux est de venir apprécier les versionsintégrales à la galerie!

http://www.colettecalli.com/

Page 26: Dossier de Presse

8. Contact

[email protected]

Ozge Ispir / chargée de communication [email protected]

www.pierreetflorent.com

groupe heroes under the waves.

http://pierreetflorent.tumblr.com/

http://twitter.com/PierreetFlorent

Page 27: Dossier de Presse

Le modèle.

Heroes under the waves c’est dans un sens le constat d’une génération. Les modèles qui performent lors des photoshoot et videoshoot sont exclusivement des jeunes qui ont entre 18 et 25 ans. Nous tenons, au maximum, à collaborer avec des personnes qui ne soient ni acteur, comé-dien ou encore mannequin. Nous cherchons à ce que les gens se décou-vrent, se confrontent à eux même en dépassant l'objectif photographique pour vivre pleinement leur expérience.Parmi nos modèles nous avons des amis proches, des inconnus… L’idée est qu’à partir de ce que nous connaissons du modèle, ou de notre ressen-tit face à lui, nous créons un univers dans lequel nous le laisserons évoluer en toute liberté. Il y a, entre cette personne et nous comme un pacte de con�ance. En e�et le modèle est libre de commencer et d’arrêter quand bon lui semble, tout comme de notre côté il accepte les contraintes que nous lui imposons souvent à la dernière minute comme par exemple le lieu qu’il n’a jamais vu au par avant. Les contraintes peuvent être de l’ordre du maquillage (à base de vaseline ou de glycérine) ou du costume, ou alors de devoir cohabiter avec un objet et devoir s’en servir, se créer une histoire avec tout cela, être quelqu’un d’autre et ainsi se surpasser.Lorsque nous arrivons sur le shooting nous annonçons une intention au modèle; à lui ensuite d'évoluer dans l'espace qui est le sien, de la manière qui lui convient autour de cette intention. Le modèle est alors libre de tout, et nous capturons ces moments.

Le thème.

Toutes nos vidéos traitent de l’errance, de la solitude et du combat mais aussi de l’espoir. Avec la série QUADRATHLON nous nous sommes attachés au thème du sport qui renferme beaucoup de possibilités par rapport au projet : le dépassement de sois, l’adversité, la performance, l’inapropriation (le fait d’amener une personne non sportive dans un espace exclusive-ment réservé à la pratique sportive et la laisser performer avec des outils qui s’éloignent un tant soit peu du monde sportif ).

Page 28: Dossier de Presse

4. ProcessusLe modèle.

Heroes under the waves c’est dans un sens le constat d’une génération. Les modèles qui performent lors des photoshoot et videoshoot sont exclusivement des jeunes qui ont entre 18 et 25 ans. Nous tenons, au maximum, à collaborer avec des personnes qui ne soient ni acteur, comé-dien ou encore mannequin. Nous cherchons à ce que les gens se décou-vrent, se confrontent à eux même en dépassant l'objectif photographique pour vivre pleinement leur expérience.Parmi nos modèles nous avons des amis proches, des inconnus… L’idée est qu’à partir de ce que nous connaissons du modèle, ou de notre ressen-tit face à lui, nous créons un univers dans lequel nous le laisserons évoluer en toute liberté. Il y a, entre cette personne et nous comme un pacte de con�ance. En e�et le modèle est libre de commencer et d’arrêter quand bon lui semble, tout comme de notre côté il accepte les contraintes que nous lui imposons souvent à la dernière minute comme par exemple le lieu qu’il n’a jamais vu au par avant. Les contraintes peuvent être de l’ordre du maquillage (à base de vaseline ou de glycérine) ou du costume, ou alors de devoir cohabiter avec un objet et devoir s’en servir, se créer une histoire avec tout cela, être quelqu’un d’autre et ainsi se surpasser.Lorsque nous arrivons sur le shooting nous annonçons une intention au modèle; à lui ensuite d'évoluer dans l'espace qui est le sien, de la manière qui lui convient autour de cette intention. Le modèle est alors libre de tout, et nous capturons ces moments.

Le thème.

Toutes nos vidéos traitent de l’errance, de la solitude et du combat mais aussi de l’espoir. Avec la série QUADRATHLON nous nous sommes attachés au thème du sport qui renferme beaucoup de possibilités par rapport au projet : le dépassement de sois, l’adversité, la performance, l’inapropriation (le fait d’amener une personne non sportive dans un espace exclusive-ment réservé à la pratique sportive et la laisser performer avec des outils qui s’éloignent un tant soit peu du monde sportif ).