2
 Mercredi 1 er février 201 2 Ouest-France Dinan T ADEN - DI NAN Mercredi 1 er et jeudi 2 février SPÉCIAL 3 pour 2 Café moulu CARTE NOIRE Soit le kg du lot 8,60€ Soit l’unité 2x250g : 6,45€  RA  YON MARÉE Origine : FRANCE Pêché en : ATL. N/E L OFFRE DU BOUCHER 12 90 Le lot de 3 Saucisse fraîche à l’ancienne Horaires : 8 h 30 à 19 h 30 - vendredi 20 h - Ouvert dimanche de 9 h à 12 h 45 -02 96 39 48 35 Cabillaud à la coupe 9 98 Le kg Le kg 5 80   F  a  b  r  i  c  a  t  i  o  n  M a  i  s  o  n Rédaction : 9, placeDuclos. Tél .02 96876380 -Tél.sport s: 029668 51 4 1 Courriel :  redaction.dinan@ouest-france .fr Relations abonnés :  tél. 02 99 32 66 66 La médecine se spécialise de plus en plus Dinan, avec ses spécialistes libéraux et salariés, est très bien dotée. Malgré tout, certaines spécialités n’attirent plus les jeunes. Unevillebiendotéeen spécial iste s Si les généralistes peuvent parfois manquer (lire  Ouest-France de lundi et d’hier), les spécialistes sont pré- sents en grand nombre à Dinan. Al- lergologues, angiologues, rhumato- logues, stomat ologues… Quasimen t  toutes les spécialités sont représen-  tées dans le domaine libéral ou à l’hô- pital. « Pour une ville de notre taille, on a un panel très complet de mé- decins. Avec certaines spécialités rares comme la neuro logie, l’infec-  tiologie ou l’hématologie que l’on effectue grâce à des vacations croi- sées avec l’hôpital de Saint-Malo », précise Marc Taillandier, directeur dé- légué du centre hospitalier de Dinan. Tr op despécialistes ? « C’est une tendance générale en France : on compte 55 % de spécia- listes pour 45 % de généralistes », anal yse le Dr Herv é Seignard, de l’Ordre des médecins. Un pourcen-  tage qui inquiète un peu le médecin : « Les patients vont désormais chez un spécialiste pour tout et n’importe quoi Sans passer par leur médecin  traitant ». L’idée du médecin référent imposé par la Sécurité sociale devait limiter cette déviance. Malgré tout, le patient continue de s’adresser direc-  tement au spécialiste et  « personne ne fait la synthèse du dossier médi- cal ». Des spécial ités plus fragi les Certaines spécialités sont  « sinis-  trées » .  « Il y a peu d’anesthésistes, de réanimateurs, de radiologues et d’ur gentiste s sur le marché »,  note Marc Taillandier. Si bien que l’hôpital est parfois obligé d’avoir recours à des intérimaires. Dans le cadre de la communautéhospitalière de territoire, les hôpitaux de Saint-Malo et Dinan sont amenés à échanger leurs méde- cins pour assurer les gardes et la per- manence des soins. « Cela concerne déjà les radiologues. Nous pour- rions créer des équip es médical es de territoire pour d’au tres spéciali-  tés »,  envisage le directeur délégué de l’hôpital. Un manqued’ophtalmo logist es Avec huit ophtalmologistes dans le centre de Dinan, on pourrait croire que la ville est bien dotée. Pourta nt, il n’est pas rare de devoir attendre jus - qu’à six mois pour obtenir un rendez- vous. Si bien que certains patients n’hésitent pas à aller jusqu’à Dinard ou Saint-Malo pour les urgences. L’ar- rivée du Dr Josselin (lire ci-contre) ne suffira pas à combler le manque. Des gynéc ologu es en voie de dispari tion Exercer la gynécologie en libéral de- vient de plus en plus dur. « C’est une spécialité à risque, comme les anes-  thésistes. Maintenant, à la moindre complication de grossesse, le mé- decin risque un procès »,  constate le Dr Seignard. Une désertion de la spé- cialité qui inquiète les gynécologues. « Quand on retirera les plaques de nos cabinets, on sait que l’on n’aura pas de successeur », prédit un gyné- cologue du centre-ville. Émilie CHASSEVANT. Dernier volet de notre enquête sur la densité médicale avec les médecins spécialistes. 1 2 3  3 Des prat ic iens de pl us en pl us po intus à la poly cl in ique « La chirurgie générale n’a plus le vent en poupe. Désormais, les pa-  tients veulent le spécialiste de l’or- gane pour se faire opérer. »  Daniel Caille, président du groupe Vivalto Santé, qui vient de racheter la polycli- nique de la Rance, connaît les enjeux actuels.  « On ne veut plus, comme avant, des chirurgiens qui vont opé- rer une appendicite, puis une frac-  ture du bras, puis un intestin. Désor- mais, nous avons des spécialistes dela pro thè sede han che , degeno u, de la main… » renchérit Bernard Ca- belguen, directeur de la polyclinique. Déjà très performante avec ses 40 praticiens, la polyclinique veut atti- rer des chirurgiens de pointe. « Pour remplacer les praticiens qui parti- ront à la retraite, nous recruterons des chefs de clinique, des pros en matière de formation. » Le conseil d’administ ration réflé- chit actuellement à ses carences en conc ertat ionavecla clini quede l’Éme- raude de Saint-Mal o (appartenant également au groupe Vivalto).  « Pour la chirurgie réfractive, nous avons recruté un nouvel ophtalmo. Pour l’orthopédie, un secteur de plus en plus demandé, nous avons accueilli un nouv eaumédecinl’an dern ier . Un nouvel anest hésist e vien t égale ment d’arriver », explique le directeur . Mais la polyclinique voudrait déve- lopper d’autres secteurs. La chirur- gie vasculaire lourde, par exemple. « Nous pourrions faire se déplacer un praticien à Dinan pour éviter que des patients aillent à Rennes ou Saint-Brieuc »,  imagine Bernard Ca- belguen. Une réflexion est également en cours pour l’urologie. En 2010, la polyclinique a accueilli 15 700 patients (4 560 patients hos- pitalisés, 6 345 en ambulatoire, 3 267 en endoscopie et 1 540 en soins ex-  ternes). Le directeur de la polyclinique Bernard Cabelguen, Jean-Luc L’Helgouarc’h , président du conseil d’administration et Daniel Caille, président du groupe Vivalto, le 16 janvier, lors de la signature de leur accord.      A     r     c      h      i     v     e     s       O     u     e     s      t         F     r     a     n     c     e  . Un nouvel ophtalmo pour combler le manque Profil 1999 à 2004.  Études de médecine à Rennes. 2004 à 2009.  Internat au CHU de Brest. 2009 à 2011.  Chef de clinique au CHU de Rennes Janvier 2012. Arrivée à Dinan. Des délais de rendez-vous allant jus- qu’à six mois, des patients préférant parfois aller à Saint-Malo ou à Di- nard… Comme partout en Bretagne, Dinan manque d’ophtalmologistes. Une carence que le Dr Pierre-Ma- rie Josselin ne va pas combler à lui seul. Mais l’arrivée du jeune ophtal- mologiste de 32 ans va améliorer la situation. Formé au centre hospitalier de Brest, « un des meilleurs en ophtal- mologie », le Dr Josselin s’est instal- lé début janvier dans le cabinet situé rue Yves-Guyot.  « Je vais prendre la succession du Dr Mathaut, qui part à la retraite l’an prochain », explique le médecin. Travailler avec quatre confrères ne présente que des avantages selon lui.  « Un cabi- net de groupe est souvent mieux équipé et permet de faire plus de choses. » Également médecin à la polycli- nique de la Rance pour la chirurgie des yeux, le Dr Josselin explique le manque d’ophtalmo par le numerus clausus qui a fait baisser le nombre de médecins.  « En 2005, il y avait 5 400 ophtal mos en Fra nce. En 2015, il n’y en aura plus que 3 000. Alors que les besoins augmentent à tousles âge s. Lepremierexame n est conseillé dès neuf mois. Avec les maladies liées à l’âge, on a plus de personnes âgées également », s’inquiète-t-il. Avec le départ des ba- by-boomers à la retraite, la situation n’est pas prête de s’améliorer . E. C. Le Dr Pierre-Marie Josselin. C’est le nombre de médecins au centre hospitalier René-Pleven. Un chiffre en hausse constante, puis- qu’il était de 83 en 2008 et de 89 en 2009. Plus de la moitié sont des praticiens à temps plein. On compte 55 % de femmes pour 45 % d’hommes. 93 Ophtalmologue Dermatologue Gynécologue Psychiatre Cardiologue Pédiatre Gastroentérologue Angiologue Pneumologue et allergologue 3 mois 6 mois       O     u     e     s      t         F     r     a     n     c     e de 2 semaines à 6 mois de 2 semaines à 3 mois de 2 semaines à 2 mois de 10 jours à 2 mois de 3 jours à 1 mois de 2 à 3 semaines de 3 à 8 jours 3 jours 4 mois Délais pour obtenir un rendez-vous chez un spécialiste à Dinan Forum lecteurs. Réagis sezet donnez votre avisdans notre foruminternet sur :  www.ouest-france.fr/dinan L’info en direct sur Faits divers Deu x blessé es dans un acc ident à T rél at Hier matin à 9 h, un acc ident de cir- culation s’est produit entre deux véhi- cules à l’entrée de Trélat, sur la route de Ploubalay, dans la direction de Di- nan. Les deux conductrices de 36 et 80 ans ont été blessées légère ment dans la collision. Les pompiers et la genda rmer ie deDinan sontinterve nus sur les lieux.Une des femm es, piégé e dans son véhicule, a été secourue par les pompiers qui l’ont transportée au centre hospitalier de Dinan. Col lisi on de deu x voi tur es qua rtier de l’Europe Il était 16 h hier après-midi, lorsqu’un accid entde la circ ulatio n s’e st prod uit au bout du boulevar d de l’Euro pe, près de la cas erne des pomp iers . Une Peug eot 206 brea k conduite par un homme de 87 ans et une Peu- geo t 406conduite parune femme de 36 ans, sont entrées en collision. Les deux conducteurs, légèrement bles- sés, ont été conduits au centre hos- pitalier par les pompiers de Dinan. Le passager de la Peugeot 406 n’est pas blessé. La circulation a été tem- porairement perturbée. Scoo ter cont re voitu re rue de Chat eaubr iand Hier, aux alentours de 16 h 20, un ac- cident s’est produit dans le milieu de la rue de Chateaubriand. Un scoo-  ter, conduit par un jeune homme de  trente ans, et une Mercedes, sont e n-  trés en collision. Le conducteur du deux roues a été conduit au centre hospitalier de Dinan.

Enquête médecins 3/3

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: Enquête médecins 3/3

5/13/2018 Enquête médecins 3/3 - slidepdf.com

http://slidepdf.com/reader/full/enquete-medecins-33 1/2

 

Mercredi 1er  février 2012

Ouest-FranceDinan

TADEN - DINAN

Mercredi 1er et jeudi 2 février

SPÉCIAL 3 pour 2

CafémouluCARTE NOIRESoit le kg du lot 8,60€Soit l’unité2x250g : 6,45€

 

RA YON MARÉE

Origine :

FRANCEPêché en :

ATL. N/E

L’OFFRE DU BOUCHER

12€90Le lot de 3

Saucisse fraîcheà l’ancienne

Horaires : 8 h 30 à 19 h 30 - vendredi 20 h - Ouvert dimanche de 9 h à 12 h 45 - 0 2 9 6 3 9 4 8 3 5

Cabillaudà la coupe

9€98Le kg Le kg5€80

 

 F a b r i c a t i o n

 M a i s o n

Rédaction : 9, place Duclos.

Tél.02 96876380 -Tél.s ports : 029668 5141

Courriel : [email protected] 

Relationsabonnés :  tél.02 99326666

La médecine se spécialise de plus en plusDinan, avec ses spécialistes libéraux et salariés, est très bien dotée. Malgré tout,

certaines spécialités n’attirent plus les jeunes.

Unevillebiendotéeen spécialistesSi les généralistes peuvent parfoismanquer (lire Ouest-France de lundiet d’hier), les spécialistes sont pré-sents en grand nombre à Dinan. Al-lergologues, angiologues, rhumato-logues, stomatologues… Quasiment

 toutes les spécialités sont représen- tées dans le domaine libéral ou à l’hô-pital. « Pour une ville de notre taille,on a un panel très complet de mé-decins. Avec certaines spécialitésrares comme la neurologie, l’infec-

  tiologie ou l’hématologie que l’oneffectue grâce à des vacations croi-sées avec l’hôpital de Saint-Malo »,précise Marc Taillandier, directeur dé-légué du centre hospitalier de Dinan.

Trop despécialistes ?« C’est une tendance générale enFrance : on compte 55 % de spécia-listes pour 45 % de généralistes »,analyse le Dr Hervé Seignard, del’Ordre des médecins. Un pourcen-

 tage qui inquiète un peu le médecin :« Les patients vont désormais chezun spécialiste pour tout et n’importequoi… Sans passer par leur médecin

  traitant ». L’idée du médecin référentimposé par la Sécurité sociale devaitlimiter cette déviance. Malgré tout, lepatient continue de s’adresser direc-

  tement au spécialiste et « personnene fait la synthèse du dossier médi-cal ».

Des spécialitésplus fragiles

Certaines spécialités sont « sinis- trées ». « Il y a peu d’anesthésistes,de réanimateurs, de radiologues etd’urgentistes sur le marché », noteMarc Taillandier. Si bien que l’hôpital

est parfois obligé d’avoir recours àdes intérimaires. Dans le cadre de lacommunautéhospitalière de territoire,les hôpitaux de Saint-Malo et Dinansont amenés à échanger leurs méde-cins pour assurer les gardes et la per-manence des soins. « Cela concernedéjà les radiologues. Nous pour-rions créer des équipes médicalesde territoire pour d’autres spéciali- tés », envisage le directeur déléguéde l’hôpital.

Unmanqued’ophtalmologistesAvec huit ophtalmologistes dans lecentre de Dinan, on pourrait croireque la ville est bien dotée. Pourtant,

il n’est pas rare de devoir attendre jus -qu’à six mois pour obtenir un rendez-vous. Si bien que certains patientsn’hésitent pas à aller jusqu’à Dinardou Saint-Malo pour les urgences. L’ar-rivée du Dr Josselin (lire ci-contre) nesuffira pas à combler le manque.

Des gynécologues en voiede disparition

Exercer la gynécologie en libéral de-vient de plus en plus dur. « C’est une

spécialité à risque, comme les anes-  thésistes. Maintenant, à la moindrecomplication de grossesse, le mé-decin risque un procès », constate leDr Seignard. Une désertion de la spé-cialité qui inquiète les gynécologues.« Quand on retirera les plaques denos cabinets, on sait que l’on n’aurapas de successeur », prédit un gyné-cologue du centre-ville.

Émilie CHASSEVANT.

Dernier volet de notre enquête sur la

densité médicale avec les médecins

spécialistes.

1 2 3

 

3

Des praticiens de plus en plus pointus à la polyclinique« La chirurgie générale n’a plus levent en poupe. Désormais, les pa-

 tients veulent le spécialiste de l’or-gane pour se faire opérer. » DanielCaille, président du groupe VivaltoSanté, qui vient de racheter la polycli-nique de la Rance, connaît les enjeuxactuels. « On ne veut plus, commeavant, des chirurgiens qui vont opé-rer une appendicite, puis une frac-

 ture du bras, puis un intestin. Désor-mais, nous avons des spécialistesdela prothèsede hanche, degenou,de la main… » renchérit Bernard Ca-belguen, directeur de la polyclinique.

Déjà très performante avec ses 40praticiens, la polyclinique veut atti-rer des chirurgiens de pointe. « Pourremplacer les praticiens qui parti-ront à la retraite, nous recruteronsdes chefs de clinique, des pros enmatière de formation. »

Le conseil d’administration réflé-chit actuellement à ses carences enconcertationavecla cliniquede l’Éme-raude de Saint-Malo (appartenantégalement au groupe Vivalto). « Pourla chirurgie réfractive, nous avonsrecruté un nouvel ophtalmo. Pourl’orthopédie, un secteur de plus enplus demandé, nous avons accueilliun nouveaumédecinl’an dernier. Unnouvel anesthésiste vient également

d’arriver », explique le directeur.Mais la polyclinique voudrait déve-

lopper d’autres secteurs. La chirur-gie vasculaire lourde, par exemple.« Nous pourrions faire se déplacer

un praticien à Dinan pour éviter quedes patients aillent à Rennes ouSaint-Brieuc », imagine Bernard Ca-belguen. Une réflexion est égalementen cours pour l’urologie.

En 2010, la polyclinique a accueilli15 700 patients (4 560 patients hos-pitalisés, 6 345 en ambulatoire, 3 267en endoscopie et 1 540 en soins ex-

 ternes).

Le directeur de la polyclinique Bernard Cabelguen, Jean-Luc L’Helgouarc’h, président du conseil d’administration et 

Daniel Caille, président du groupe Vivalto, le 16 janvier, lors de la signature de leur accord.

     A    r    c     h     i    v    e    s      O    u    e    s     t   -     F    r    a    n    c    e .

Un nouvel ophtalmo pour combler le manque

Profil

1999 à 2004. Études de médecine àRennes.2004 à 2009. Internat au CHU deBrest.

2009 à 2011. Chef de clinique auCHU de RennesJanvier 2012. Arrivée à Dinan.Des délais de rendez-vous allant jus-qu’à six mois, des patients préférantparfois aller à Saint-Malo ou à Di-nard… Comme partout en Bretagne,Dinan manque d’ophtalmologistes.Une carence que le Dr Pierre-Ma-rie Josselin ne va pas combler à luiseul. Mais l’arrivée du jeune ophtal-mologiste de 32 ans va améliorer lasituation.

Formé au centre hospitalier deBrest, « un des meilleurs en ophtal-mologie », le Dr Josselin s’est instal-lé début janvier dans le cabinet situérue Yves-Guyot. « Je vais prendrela succession du Dr Mathaut, quipart à la retraite l’an prochain »,explique le médecin. Travailler avecquatre confrères ne présente quedes avantages selon lui. « Un cabi-net de groupe est souvent mieux équipé et permet de faire plus dechoses. »

Également médecin à la polycli-nique de la Rance pour la chirurgiedes yeux, le Dr Josselin explique le

manque d’ophtalmo par le numerusclausus qui a fait baisser le nombrede médecins. « En 2005, il y avait5 400 ophtalmos en France. En2015, il n’y en aura plus que 3 000.Alors que les besoins augmententà tousles âges. Lepremierexamenest conseillé dès neuf mois. Avecles maladies liées à l’âge, on a plusde personnes âgées également »,s’inquiète-t-il. Avec le départ des ba-by-boomers à la retraite, la situationn’est pas prête de s’améliorer.

E. C.

Le Dr Pierre-Marie Josselin.

C’est le nombre de médecins au centre hospitalier 

René-Pleven. Un chiffre en hausse constante, puis-qu’il était de 83 en 2008 et de 89 en 2009. Plus de

la moitié sont des praticiens à temps plein. On compte 55 % de

femmes pour 45 % d’hommes.

 

93

Ophtalmologue

Dermatologue

Gynécologue

Psychiatre

Cardiologue

Pédiatre

Gastroentérologue

Angiologue

Pneumologue et allergologue

3 mois 6 mois      O    u    e    s     t   -     F    r    a

    n    c    e

de 2 semaines à 6 mois

de 2 semaines à 3 mois

de 2 semaines à 2 mois

de 10 jours à 2 mois

de 3 jours à 1 mois

de 2 à 3 semaines

de 3 à 8 jours

3 jours

4 mois

Délais pour obtenir un rendez-vous chez un spécialiste à Dinan

Forum lecteurs. Réagissezet donnez votre avisdans notre foruminternet

sur : www.ouest-france.fr/dinan

L’info en direct sur

Faits divers

Deux blessées dans un accident à Trélat

Hier matin à 9 h, un accident de cir-culation s’est produit entre deux véhi-cules à l’entrée de Trélat, sur la routede Ploubalay, dans la direction de Di-nan. Les deux conductrices de 36 et80 ans ont été blessées légèrement

dans la collision. Les pompiers et lagendarmerie deDinan sontintervenussur les lieux.Une des femmes, piégéedans son véhicule, a été secourue parles pompiers qui l’ont transportée aucentre hospitalier de Dinan.

Collision de deux voitures quartier de l’Europe

Il était 16 h hier après-midi, lorsqu’un

accidentde la circulation s’est produit

au bout du boulevard de l’Europe,

près de la caserne des pompiers.

Une Peugeot 206 break conduitepar un homme de 87 ans et une Peu-

geot 406conduite parune femme de

36 ans, sont entrées en collision. Les

deux conducteurs, légèrement bles-

sés, ont été conduits au centre hos-

pitalier par les pompiers de Dinan.

Le passager de la Peugeot 406 n’est

pas blessé. La circulation a été tem-

porairement perturbée.

Scooter contre voiture rue de Chateaubriand

Hier, aux alentours de 16 h 20, un ac-

cident s’est produit dans le milieu dela rue de Chateaubriand. Un scoo-

 ter, conduit par un jeune homme de

 trente ans, et une Mercedes, sont en-

  trés en collision. Le conducteur du

deux roues a été conduit au centre

hospitalier de Dinan.

Page 2: Enquête médecins 3/3

5/13/2018 Enquête médecins 3/3 - slidepdf.com

http://slidepdf.com/reader/full/enquete-medecins-33 2/2