JE suis un PAYSAGEProjet de la classe 302 du collège Jean Rostand de Sains-du-Nord

avec Mme Marine Verbaere professeure de français.

Résidence Nouvel AtelierBarbara Ryckewaert 2015

Mes yeux ébahis face à ce paysage immenseet magnifique fait disparaître toutes mes pensées.Je suis stupéfait par cette nature.Je suis comme paralysé par tant de beauté.Je n’arrive pas à me dégagerde cet endroit comme si ce paysage me retenait.

Danse,

Tu me fais rêver et tu m’aides pour ma liberté.Cette liberté, celle qui est si chère à mes yeux, celle qui m’aide à me surpasser!Danser pour rêver, danser pour s’exprimer et danser sans parler.Cet art sans paroles mais même sans expression, cela touche notre imagination.Les mots dansent quand je danse et mon sang danse quand je danse.La musique me fait danser comme elle me fait rêver.Danse, passion si importante à mes yeux depuis tellement d’années...Ce sont tellement d’heures passées à travailler pour seulement quelques minutes à danser.Dans mon coeur tu es entrée et jamais je ne t’enlèverai.Je suis une danseuse dans l’âme.

Je suis seul au milieu de cette nature comme ce but.Mon seul espoir grandirMon seul désespoir rétrécirMon envie, trouver une personne pour descendre de cette barre.J’ai le temps d’attendre, mon passetemps dans cette nature.

Derrière moi, ce talus seul dans cette nature avec ses pâturesDans ces pariries on y trouve des mûresMoi seul, pendu à ce but sur cette butte, je désespère.

La pluie ne cessa de tomber sur moi et cette natureCette pâture commençait à subir une inondationEt moi j’étais encore perché, trempé jusqu’aux pieds.

Mes bras commençaient à se fatiguer tout comme le temps qui commençait à noircir.Ma seule envie, descendre de cette barre et rentrer chez moi en regardant cette pluie tomber à clochette devant ma petite maisonnette.

Seul au milieu de cette nature,Je suis sportif dans l’âme.J’aimerais devenir un homme dur,Mais pour l’instant, je cherche toujours le sésame.

La vie est comme une bicyclette,Avancer pour ne pas perdre l’équilibreDans ma tête cette chansonnetteQui me rend vraiment très libre.

Sur cette photo, je suis petitDevant ces buts grandissimesPrès des poteaux, juste mon espritUn peu d’herbe, et mon estime.

Mon But

C’est de rattraper le tempsLe temps de la mi-tempsMais je n’ai pas le tempsCar le temps passe tantLe temps d’attendreDevient mon passe-tempsLe temps m’emprisonne dans ses filetsLes minutes et les secondes me sont comptéesJe dois y retournerMême si je dois sauter et le ratrapper.

L’après-midi sur la mer.Avec ses vagues merveilleusesJ’admirais ce paysage.J’ai soudain eu une idée.J’ai pris une chaise et me suis installé sur le Néant.C’est moi là-bas, c’est moi le Dieu des Océans.On m’appelle Poseïdon!Je reste toujours le Maître des Eaux.Je surveille en restant, sur ma chaise, de là-haut.

Mon univers

Regardez cette cour de récré,qui permet aux élèves de se libérer.Vous voyez cette personne sur le banc,Seule écoutant le rire des gens.Cette personne c’est bien moi,confinée dans son univers.Téléphone et musique,Me mettent la tête à l’envers.J’en deviens nostalgique,Et ne sais plus m’en défaire...Mon petit monde à moi,Se résume juste à cela.Je me renferme là-dedans,Pour ne pas écouter,toutes les critiques des gens.

Moi devant mon butJe suis le plus grandJe serai toujours le plus grandAu foot je suis le plus fortDevant moi, tu t’écrasesJe suis le plus grandJ’ai mangé beaucoup de soupeJ’ai des têtes de plus qu’un butJe suis plus grand, c’est moi le plus grand.

Moi Elisa,

Voulant passer tous les obstacles aussi vite que le vent.Cherchant la liberté dans tous les recoins de ces lignes blanches bien dessinées sur ce parquet.J’écris pour vous déclarer ma détermination et a l’envie du haut niveau.J’écris pour vous dire chère adversaire que le gagnant c’est celui qui se bat jusqu’au bout.J’aime jouer avec les limites de mon jeu, même si je sais que la faute sera siffléeLa rage de vaincre est bien plus forte.Et non, la fatigue ne me rattrape pas, quand je ne sais plus courir avec mes jambes, je cours avec mon coeur.

Le soir dans la nature.On aperçoit une ombre.Cette ombre c’est moi.Je surveille tous ceux qui veulent franchir cette forêt.A la lumière je disparais et dans l’obscurité j’apparais.Si tu m’entends et que tu te retournes.Je ne suis plus là et te guette à un autre endroit.Et quand tu crois être sauvé,Je bondis sur toi.Et savoure la marre de sang autour de toi.

Ce soir sur ce stade de sang. L’herbe est passée de vert à rouge de sang.J’arrête tout ce qui est sur mon passage.Je suis un gardien d’enfer.Je reviens de l’enfer.

Ecouter Une mélodieDonne un sens à la vie

LirePermet de s’enfuirDe tout souvenir

AvancerPour se libérerDe tout secret

Respire,La vie pour bien repartirEt ne pas y revenir.

Notre but réussir dans la vieCette usine permettra notre survieDans un futur incertain

Mon passé est plein de souvenirsMais je dois partir vers l’avenirPour dire au revoir aux souvenirs

J’ai de bons moments en ces instantsQui ne durent que très peu de tempsÇa tombe bien car je n’ai pas le temps

Cette porte nous montre le futurMais ferme celle du passéMais reste entre-ouverte pour le présent.

Je voyage,dans les livres,sans en devenir ivre.

Je m’évade,dans mes pensées,sans jamais en abuser.

J’imagine,des histoires,sans jamais les voir.

Je m’enfuis,de la réalité,sans jamais y rester.

Musique!

Chaque fois que je l’écoute, ma vie à côtén’est que souffle et doute.Avec elle je me libère et espère.Elle me fait m’enfuir loin d’ici pour endéduire que ma vie n’est qu’au paradis.Chacun de ses battements, sont apparem-ment le signe que la vie existe ailleursqu’à Paris.La liberté est sa spécialité, mais nonpas la réalité.