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BIENVENUE «Chez tante Juliette» Laisser le temps aux enfants d’être des Enfants…

L aisser le temps aux enfants dêtre des Enfants…

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  • L aisser le temps aux enfants dtre des Enfants
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  • tre accueillant premire valeur du CPE
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  • Responsabilit ABORDABLE,ACCEPTANT,ACCESSIBLE, ADMETTANT,AFFABLE,AGRABLE, AIMABLE,HOSPITALIER,LIANT, OFFRANT,OUVERT,RECEVANT, SALUANT,SERVIABLE,SYMPATHIQUE, EMPATHIQUE Passion
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  • Pleurer avec ceux qui pleurent, cest porter avec eux leur douleur en vue de la soulager, dans une intention dlibrment active, dans un lan durable de tendresse et de rconfort. Elle est un acte de bont, anim par la bienveillance.
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  • tre centr sur lenfant et non sur la tche.
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  • C est lenfant qui fait lhomme Cest lamour qui fait lenfance Quand tous les enfants seront aims Les hommes seront meilleurs
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  • EMMY PICKLER
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  • Contrairement la relation maternelle, c'est le soin qui est fondateur de la relation et non linverse. SOINS
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  • ON ESPRE INITIER UN PROCESSUS SUSCITER DES DUCATRICES, DES DUCATEURS QUI AU LIEU DAIMER LES ENFANTS VONT PROUVER POUR EUX UNE VRITABLE AMITI EXEMPTE DE TOUTE POSSESSIVIT ON SATTEND CE QUE CES INTERVENANTES, INTERVENANTS, SOIT CONTRAINTS DTRE SIMPLEMENT ATTENTIVES, ATTENTENTIFS, SOIENT SOUDAIN BLOUIES PAR LA PERSONNE DE LENFANT ET RESSENTE POUR LUI UN IMMENSE RESPECT
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  • Le temps des soins(repas, change, toilette, repos) sont privilgis comme moments individualiss de rencontre entre enfant et adulte. Une chorgraphie, une danse qui sexprime par des gestes dlicats et enveloppants travers ces temps de soins, l'enfant et ladulte vont apprendre ce connatre, scouter et sapprcier mutuellement.
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  • Lducatrice et ou lducateur veille informer et prvenir lenfant, de tout ce quil ou quelle fait avec lui.
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  • Lducatrice doit avoir une attitude observante empathique qui est la recherche dajustement pour chaque enfant. Lenfant joue dans le regard de ladulte plutt que sous!...
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  • D onner une certitude telle lenfant quil na pas besoin de sen proccuper ni de guetter ou dattendre.
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  • LAUTO-RGULATION
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  • APPRENDRE SASSEOIR SUR NOS MAINS
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  • Ladulte nintervient pas de faon directe avec lenfant lors dactivit, mais pourtant le stimule constamment par la diversit du matriel
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  • Lorsque l'enfant conduit son exploration, lducatrice ou lducateur ne doit pas faire dintervention, ce qui lui laisse plus de temps pour rpondre aux besoins de base et de scurit de l'enfant. Elle ou il comprend quil est trs important doffrir du bon matriel de jeu. Et pour tre rassurant,offrir le mme matriel de jeux aux enfants l'accueil. Ou faire un coin dans laire de jeu qui reste pareil. PRVISIBILIT
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  • P our ne pas estropier les pulsions dindpendance de lenfant, sa curiosit et son got dexprimenter et de dcouvrir. Une rflexion simpose avant toute intervention: lorsque son environnement est scuritaire et bien adapt, quil existe une relation de confiance entre lui et ladulte qui se trouve pas trs loin, est-il opportun de se mler de ses affaires ou plus propice son apprentissage de le laisser russir lui-mme sa solution? Il faut viter dintervenir inutilement, au risque de saboter chez l'enfant son got et sa motivation apprendre et aller courageusement de l'avant. Ce principe de la non-intervention directe est le fondement de l'apprentissage de l'autonomie chez l'enfant. D epuis toujours, les enfants naissent avec le dsir de devenir grands, et ce dsir contient toute leur motivation.
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  • RESPECTER LENFANT FAVORISER LACTION AUTONOME FAVORISER DES RELATIONS AFFECTIFS STABLES INVESTIR DANS LES MOMENTS PRVILGIS
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  • Un enfant qui est spar de ses parents est un enfant qui souffre.
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  • L'adulte devra se faire rassurant auprs de l'enfant. Le pari quon doit se donner; Scuriser suffisamment l'enfant en son for intrieur, pour quil puisse un peu lcart des adultes soccuper de lui-mme, avec le monde autour de lui, avec les autres. Les soins seront plus importants que les activits lors de la sparation. Comme 70% du temps pass avec les enfants sont aux soins quon lui apporte, il est donc trs important que ce soit des moments ducatifs et privilgis. L'enfant pourra choisir son ducatrice ou ducateur attitr de rfrenceet pourquoi pas ?
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  • APPRENDRE AUX ENFANTS UTILISER TOUS LEURS TALENTS
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  • Le conte des maux de tte, par Jacques Salom. Publi par zamah dans ContesContes Dans ce pays-l, que je connais bien pour lavoir visit, tous les enfants naissaient avec une graine damour, qui ne pouvait germer que dans leur cur. Ce quil faut savoir, cest que cette graine avait une particularit trs originale, en ce sens quelle tait constitue de deux moitis de graines. Une moiti de graine damour pour soi et une moiti de graine damour pour autrui. Vous allez tout de suite me dire : Ce nest pas juste, cest disproportionn, a ne peut pas marcher ! Une moiti pour un, daccord, car il faut saimer. Mais une seule moiti de graine damour pour autrui, pour tous les autres, ah non alors ! Cela va bien au dbut de la vie, quand un enfant na pas beaucoup de personnes aimer, seulement sa mre, son pre, un ou deux grands-parents Mais plus tard, vous y pensez, plus tard, quand devenu adulte chacun est susceptible daimer beaucoup de personnes, cela est dsquilibr. Une seule moiti de graine damour partager entre tant damours Cela est invivable ! .
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  • Oui, vous me diriez tout cela avec passion, mais ctait ainsi dans ce pays ! Et dailleurs, ceux qui savaient laisser germer et laisser fleurir chacune de leurs moitis de graine damour, avec intensit, avec passion, avec enthousiasme et respect, ceux-l dcouvraient plus tard quils pouvaient la fois saimer et aimer, aimer et tre aims. Ceux qui ne dveloppaient quune moiti de graine, soit en saimant trop, soit en naimant que les autres, soit encore en naimant quune seule personne au monde, ceux-l avaient des mi-graines qui durcissaient, qui durcissaient tellement leur cur que parfois leur tte clatait de douleur. Ah ! Vivre seulement avec une mi-graine damour, cela doit tre terrible ! Dautant plus quil ny a aucun remde ces migraines et quelles sont susceptibles de durer des annes. Ainsi se termine le conte des maux de tte qui sont surtout des maux de cur. Extrait de: Contes gurir, Contes grandir, Jacques Salom
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  • La confiance est le ciment invisible qui conduit une quipe gagner. confiancecimentinvisibleconduitquipegagner Et cest aujourdhui, en ce jour du 27 fvrier 2012, que tout commenc! Au CPE Chez tante Juliette Inc. (Installation II).