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“Et Avraham ligota son fils Yits’haq…”(Béréchith 22:9) “L e mérite essentiel du ligotage d’Yits’haq sur l’autel réside dans la volonté et les aspirations de sainteté d’Avraham et de son fils. Leur épreuve consistait, l’un à vouloir se sacrifier et l’autre à vouloir sacrifier son fils pour la sanctification du Nom de D-ieu. Ainsi leur volonté fut tellement forte et sans faille que du ciel on considéra qu’ils avaient vraiment procédé au sacrifice même si en vérité Avraham ne fit rien à son fils.  Par conséquent il s’avère que le mérite essentiel du ligotage d’Yits’haq résidait dans la puissance de leur volonté. Et grâce au fait qu’Yits’haq fit preuve d’une si forte aspiration à la sainteté, au point d’être prêt à sacrifier sa propre vie, il transmit cette force aux âmes de tout Israël. Ainsi il y a en chaque juif une âme sainte qui, au plus profond d’elle-même, est constamment prête à donner sa vie pour D-ieu.” (Adapté du Liqouté Halakhoth, hilkhoth oumanin 4)  Commentaire Nous sommes les descendants d’Avraham et d’Yits’haq et nous avons reçu d’eux la capacité de nous sacrifier pour la sanctification du nom de D-ieu. Hélas notre histoire a été parsemée de périodes de crises pendant lesquelles on a pu constater la noblesse et la grandeur de l’âme juive par l’intermédiaire de personnes qui préférèrent partir de ce monde plutôt que de renier leur foi ou qui moururent parce qu’elles étaient juives ou en défendant leur peuple (que D-ieu protège nos soldats, Amen). Nous sentons nous aussi que nous serions prêts à faire de telles choses en cas de situation dramatique, D-ieu en préserve. Par exemple, personne ne pourrait nous faire jeter un sefer Tora à terre.  Cette force nous la puisons des actions de nos patriarches et nous apprenons de cela un enseignement fondamental : quand des parents se sacrifient pour passer une épreuve, ils donnent à leurs enfants la force de la passer à leur tour. Quand des parents produisent un effort, ils transmettent la potentialité de produire ce même effort dans l’âme de leurs enfants. C’est la raison pour laquelle tous les spécialistes en éducation affirment que la meilleure manière d’éduquer son enfant est dans l’exemple. Les enfants s’inspireront essentiellement des La Paracha De La Semaine La reussite ° Le fait de prélever convenablement le ma’asser (10% des gains) n’entraîne aucune perte. ° S’attacher à quelqu’un qui réussit entraîne la réussite. ° La bénédiction réside dans ce qui est caché à l’œil. ° La réussite est une aide du ciel (Syata dichmaya). ° S’affairer à étudier la Thora est propice à la réussite. ° Celui qui ne laisse pas du pain sur la table après le repas, ne verra pas de signes de bénédiction. ° Celui qui divorce sa femme, ne réussit pas. ° Celui qui ne prononce pas de paroles vaines réussit dans tout ce qu’il entreprend. ° Celui qui dit toujours la vérité réussit. ° Entendre un juste prononcer la prière du Chéma’ Israël est bon pour la réussite. ° La foi dans les sages entraîne la réussite. Paracha Vayera . 15 Hechvan 5771 . 23 Octobre 2010 Le Coeur בס“דN o 1 Edition [email protected] 054 539 99 92 / 054 688 33 36 Horaires de Chabbat Tel Aviv 16H40 16H40 16H20 16H39 16H30 17H38 17H38 17H36 17H37 17H36 Jerusalem Ashdod Raanana Haifa de la Semaine Sefer Hamidot Recueil alphabétique de toutes les qualités auxquelles l’homme doit aspirer ainsi que celles qu’il doit corriger “ C’est lui qui a fait de moi un juif ” a dit Rabbi Nahman de Breslev en parlant de ce livre. Le coeur de la semaine n°1 est dédié à la libération et la refoua chelema de Guilad Shalit Amen Nous remercions de tout coeur pour leur patience, leur conseil et leur écrit Rav Avraham Ifrah (www.breslev.fr), Rav Itzhak Israël Besançon (www.boncourage.com), Rav Eliahou Haviv (édition Berechit), et Mr Dimermanas pour sa collaboration et ses traductions . (suite à la page suivante)

Le coeur de la Semaine : Parachat Vayera

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Page 1: Le coeur de la Semaine : Parachat Vayera

“Et Avraham ligota son fils Yits’haq…”(Béréchith 22:9)

“Le mérite essentiel du ligotage d’Yits’haq sur l’autel réside dans la volonté et les aspirations de sainteté d’Avraham et de son fils. Leur épreuve consistait, l’un à vouloir se sacrifier et l’autre à vouloir

sacrifier son fils pour la sanctification du Nom de D-ieu. Ainsi leur volonté fut tellement forte et sans faille que du ciel on considéra qu’ils avaient vraiment procédé au sacrifice même si en vérité Avraham ne fit rien à son fils. Par conséquent il s’avère que le mérite essentiel du ligotage d’Yits’haq  résidait dans la puissance de leur volonté. Et grâce au fait qu’Yits’haq fit preuve d’une si forte aspiration à la sainteté, au point d’être prêt à sacrifier sa propre vie, il transmit cette force aux âmes de tout Israël. Ainsi il y a en chaque juif une âme sainte qui, au plus profond d’elle-même, est constamment prête à donner sa vie pour D-ieu.” (Adapté du Liqouté Halakhoth, hilkhoth oumanin 4) CommentaireNous sommes les descendants d’Avraham et d’Yits’haq et nous avons reçu d’eux la capacité de nous sacrifier pour la sanctification du nom de D-ieu. Hélas notre histoire a été parsemée de périodes de crises pendant lesquelles on a pu constater la noblesse et la grandeur de l’âme juive par l’intermédiaire de personnes qui préférèrent partir de ce monde plutôt que de renier leur foi ou qui moururent parce qu’elles étaient juives ou en défendant leur peuple (que D-ieu protège nos soldats, Amen).Nous sentons nous aussi que nous serions prêts à faire de telles choses en cas de situation dramatique, D-ieu en préserve. Par exemple, personne ne pourrait nous faire jeter un sefer Tora à terre. Cette force nous la puisons des actions de nos patriarches et nous apprenons de cela un enseignement fondamental : quand des parents se sacrifient pour passer une épreuve, ils donnent à leurs enfants la force de la passer à leur tour. Quand des parents produisent un effort, ils transmettent la potentialité de produire ce même effort dans l’âme de leurs enfants. C’est la raison pour laquelle tous les spécialistes en éducation affirment que la meilleure manière d’éduquer son enfant est dans l’exemple. Les enfants s’inspireront essentiellement des

La Paracha De La Semaine

La reussite° Le fait de prélever convenablement le ma’asser (10% des gains) n’entraîne aucune perte.

° S’attacher à quelqu’un qui réussit entraîne la réussite.

° La bénédiction réside dans ce qui est caché à l’œil.

° La réussite est une aide du ciel (Syata dichmaya).

° S’affairer à étudier la Thora est propice à la réussite.

° Celui qui ne laisse pas du pain sur la table après le repas, ne verra pas de signes de bénédiction.

° Celui qui divorce sa femme, ne réussit pas.

° Celui qui ne prononce pas de paroles vaines réussit dans tout ce qu’il entreprend.

° Celui qui dit toujours la vérité réussit.

° Entendre un juste prononcer la prière du Chéma’ Israël est bon pour la réussite.

° La foi dans les sages entraîne la réussite.

Paracha Vayera . 15 Hechvan 5771 . 23 Octobre 2010

Le Coeur בס“ד

No1 [email protected] 539 99 92 / 054 688 33 36

Horaires de Chabbat

Tel Aviv 16H40

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16H20

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17H38

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17H36

Jerusalem

Ashdod

Raanana

Haifade la Semaine

Sefer Hamidot

Recueil alphabétique de toutes les qualités auxquelles l’homme doit aspirer ainsi que celles qu’il doit corriger “ C’est lui qui a fait de moi un juif ” a dit Rabbi Nahman de Breslev en parlant de ce livre.

Le coeur de la semaine n°1 est dédié à la libération et la

refoua chelema de

Guilad ShalitAmen

Nous remercions de tout coeur pour leur patience, leur conseil et leur écrit Rav Avraham Ifrah (www.breslev.fr), Rav Itzhak Israël Besançon (www.boncourage.com), Rav Eliahou Haviv (édition Berechit), et Mr Dimermanas pour sa collaboration et ses traductions .

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Le Coeur de la Semaine

La Patience1) Prendre conscience que tout ce qui nous arrive est pour notre bien, c’est avoir un avant-gout du Monde Futur. On y arrive en déversant son cœur et en confessant ses péchés devant un maître de la Torah… On comprendra que tout provient de l’amour que Dieu nous porte. Faire preuve de sérénité et de patience, quoi que la vie puisse nous réserver, constitue le plus haut niveau du Da’ath, la connaissance de Dieu. On doit seulement avoir foi que tout n’a pour but que le bien ultime (4 :1,3,4). 2) Celui qui supporte ses souffrances dans la joie, pourra découvrir des commentaires originaux sur la Torah. Ce faisant, il montre qu’il a supporté ses souffrances comme il le devait (ibid.) 3) Il faut accepter avec amour toutes les épreuves et les souffrances, car en vérité Dieu se comporte avec l’individu avec clémence et il aurait du subir davantage selon la gravité de ses fautes (165). 4) Il convient de faire preuve de patience, dans tous les aspects de son caractère et ne jamais être pointilleux ni s’irriter contre rien. Quoi qu’il puisse arriver, il faut tout endurer et continuer à servir Dieu dans la joie, le zèle et l’enthousiasme et ne pas se laisser préoccuper. On accède à ce niveau grâce à la foi parfaite qu’on atteint par la Terre d’Israël (155 ; cf. Vérité et Foi).

(“Conseils” pour la version française) – Ce livre offre des conseils directs sur toutes les situations de la vie et pour tous les instants. Ces conseils ont été rassemblés par Rabbi Nathan qui les a puisés des nombreuses leçons et de la sagesse de Rabbi Na’hman.

Quelques Conseils : Liqouté Etzoth

comportements où les parents ont fait preuve d’une volonté sans faille, pour lesquels ils étaient prêts à se sacrifier. À part le fait que les enfants admirent une personne entière dans ses actions, ils reçoivent en cadeau la force d’agir eux aussi. Ceci est un aspect du fameux concept qui dit que les juifs sont garants les uns des autres. Un parent qui fait des efforts pour s’améliorer même quand ses enfants ne le regardent pas verra son sacrifice porter ses fruits. Telles sont les forces spirituelles provoquées par le don de soi.

Nous voyons avec l’épisode du sacrifice d’Yits’haq que la source du don de soi réside dans une aspiration et une volonté pures et sans faille. L’être humain possède une partie en lui qui ne peut être retenue prisonnière, une force où le libre-arbitre reste pur : il s’agit du vouloir. Si l’on ligote un homme, le privant de tous ses mouvements, on ne pourra quand même pas l’empêcher de vouloir. Ainsi la volonté et les aspirations de sainteté représentent notre vrai espace de liberté.

Rabbi Nathan, l’élève principal de Rabbi Na’hman de Breslev, nous enseigne que lorsque l’être humain quitte ce monde et passe en jugement, on lui demande alors s’il a pu effectuer les commandements. Si pour certains d’entre

eux il répond non on lui pose alors une autre question : “Mais au moins l’as-tu vraiment voulu ?” Si tel est le cas alors on lui compte comme s’il l’avait fait. Nous apprenons de cela la force des aspirations à la sainteté.Quel est le signe qui prouve qu’on a vraiment voulu quelque chose même si on ne l’a pas faite ? Rabbi Nathan enseigne qu’il s’agit de la prière. Ainsi notre volonté, si elle ne peut s’exprimer par des actes, peut au moins se traduire par des prières. En sens inverse celui qui ne prie pas fait preuve de désespoir spirituel. Son erreur réside dans l’impression que sa prière ne sert à rien. C’est un manque de conscience de la force incroyable léguée par nos ancêtres, qui n’ont jamais cessé de prier même lorsque tout semblait perdu et qui ont donné naissance au peuple juif. C’est aussi un manque de connaissance de l’importance de la volonté.

Dans une société où seuls les résultats comptent, on a détruit des notions essentielles comme l’importance de la volonté. Mais le Gardien d’Israël ne dort ni ne sommeille, dans le domaine de la sainteté les vraies bonnes intentions, celles qui ont été accompagnées par des prières, ont autant d’importance que les actions. Au niveau du vouloir tous les juifs sont égaux, peu importe leur niveau spirituel de départ. Rabbi Na’hman nous invite à ne jamais oublier de “vouloir vouloir.” Chabbat chalom.

Eliahou Haviv

שבת שלום!

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Pour dédier un numéro , des informations ou bien des dons contactez nous au : 054 53 99 99 2 / 054 688 3336 / [email protected]

בס“ד

Même si vous tombez un nombre incalculable de fois, sachez que le désespoir n’est pas de ce monde ! Recommencez, de nouveau ; comme si vous n’aviez jamais commencé. Rabbi Na’hman de Breslev

Un homme doit constamment aspirer au degré le plus élevé. Rabbi Na’hman de Breslev

Pour quelle raison une personne n’obtient-elle pas ce qu’elle désire ? Parce qu’elle ne désire pas ce qu’elle possède. Si cette personne désirait ce qu’elle possède, elle obtiendrait ce qu’elle désire. Rabbi David de Novardok

Citations ...

Enseignement De La Semaine

L’essentiel du repentir, le chemin du retour vers Dieu consiste à éveiller

le Bien qui est enfoui en nous. D’où l’importance de ne considérer que les aspects positifs d’une personne: c’est le meilleur moyen pour lui permettre de corriger ses erreurs.

On raconte l’anecdote suivante:En sortant de la synagogue, un beau Chabath matin, Rav Lévy Yts’hak de Bérditchov rencontra un juif qui arpentait la rue principale avec un cigare à la bouche. Le Tsadik, qui était connu pour être l’avocat du peuple juif auprès de Dieu, ne s’affola nullement du spectacle. Il s’approcha du mécréant et lui demanda aimablement: “Sais-tu mon enfant que c’est Chabath aujourd’hui?” “Bien sûr” répondit l’homme. “Mais alors, peut-être ignores-tu qu’il est interdit

Azamra- Je Chanterai d’allumer du feu?” “Je le sais tout aussi bien!” Alors, levant ses yeux au Ciel, le saint homme s’exclama: “Maître du l’Univers! Regarde comme le pire de tes enfants refuse de dire un mensonge!”

Il y a une grande leçon à tirer de cette anecdote: la recherche du point positif en toute circonstance. Le Rabbi n’a pas pardonné la transgression du Chabath, il ne l’a pas non plus minimisée. Il a simplement cherché quelque chose de bon dans cet homme, dans cette situation. Employée de cette façon, l’indulgence n’est plus une faiblesse, mais une force, un génie qui permettra de sauver des situations que la rigueur aurait condamnées.

Au chapitre 282 du Likouté Moharane I, Rabbi Na’hman nous recommande la même attitude et de façon

systématique: Même si tu constates que l’homme est complètement perverti, juge-le du bon côté. Cherche en lui quelque point valable, une Mitsvah ou une bonne action. Il n’est pas possible que de toute sa vie il n’ait pas accompli au moins une action valable.Cet enseignement se nomme Azamra: “je chanterai”. Rabénou explique plus loin, qu’avec tous les bons points que l’on a pu recueillir, on composera une mélodie qui nous permettra de chanter, d’être gai. En jugeant les gens avec indulgence, on leur permettra de faire Téchouvah. Le Tsadik n’est autre qu’un berger fidèle qui juge le monde avec tant de clémence qu’il attire tous les cœurs vers le Bien.

Itzhak Besançon

Page 4: Le coeur de la Semaine : Parachat Vayera

Le Coeur de la Semaine

בס“ד

Les Contes de Rabbi Na’hman

La Princesse Disparue 

Treize histoires qui transmettent les  secrets mystiques les plus profonds et qui contiennent le pouvoir de guider les personnes sur leur chemin de la vérité. Le Rabbi a dit à propos de ce livre que son intention était de nous éveiller spirituellement de notre sommeil. “Et maintenant, je vais commencer à vous raconter des histoires...”

En chemin, j’ai raconté une histoire qui a provoqué chez tous ceux qui l’ont entendue

une réflexion sur la teshouvah. 

Il était une fois un roi qui avait six fils et une fille. Cette fille lui était très chère, il l’aimait beaucoup et il était souvent en sa compagnie. Un jour qu’ils étaient ensemble, il se mit en colère contre elle et ces mots s’échappèrent de sa bouche : « Que le Pas-Bon t’emporte ! ». Le soir venu, elle regagna sa chambre. Au matin, on ne la trouva pas. Son père fut très triste et se mit à la chercher partout. Voyant cela, le Vice-Roi se présenta devant le roi et demanda qu’on lui donnât un serviteur et un cheval, de l’argent pour ses dépenses et il partit à la recherche de la princesse. Il la chercha pendant très longtemps et finit par la retrouver. 

Voici comment il la chercha et finit par la trouver. 

Il fut parti longtemps. Il la chercha dans les déserts, les champs et les forêts. Alors qu’il traversait le désert, il remarqua un chemin sur le côté de sa route. Il se dit : « Cela fait si longtemps que je chemine et pourtant je ne peux la retrouver. Je vais emprunter ce chemin et j’arriverai peut-être à un endroit habité. » Il suivit le chemin et arriva en vue d’un château. Autour du château qui était très beau, se tenaient des soldats bien rangés. Il avait peur que les soldats ne l’empêchent d’entrer, mais il se risqua à essayer. Il laissa son cheval, se dirigea vers le château, et on le laissa entrer.

Il alla d’une pièce à l’autre et personne ne se mit en travers de son chemin. Il arriva à un palais où trônait un roi couronné. Autour du roi se tenaient des soldats ainsi qu’un grand nombre de musiciens. Tout était très beau. Personne ne lui posa de questions, pas même le roi. Apercevant des mets

succulents, il en mangea puis partit s’allonger dans un coin pour voir ce qui allait se passer.

Il vit le roi ordonner de faire amener la reine, ce qui fut fait. Lorsque la reine arriva, des cris d’allégresse retentirent et les musiciens jouèrent et chantèrent. On lui installa un siège et on la fit asseoir à côté du roi. En la voyant, le Vice-Roi reconnut la princesse. Celle-ci promena son regard sur la salle et remarqua que quelqu’un était allongé dans un coin. 

Elle le reconnut, se leva, se dirigea vers lui, le toucha et lui demanda : « Me connais-tu ? » Il répondit : « Oui, je te connais. Tu es la princesse qui a disparu. Que fais-tu ici ? » Elle lui répondit : « Je suis ici à cause des paroles qui ont échappé à mon père. Et l’endroit du « Pas-Bon », c’est ici. » 

Le coeur de la semaine a un but simple :diffuser chaque semaine 7000 exemplaires à travers tout Israël . Faire partager une torah d’amour , une torah pleine de vie et surtout une

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