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1 Le Commissaire Pervers La femme assise dans le bureau du commissaire de police, avait une petite trentaine d’années. C’était une belle brune d’origine maghrébine, assez grande, élancée, avec une silhouette irréprochable. Le commissaire Cantona, l’observait du coin de l’œil, tout en lisant un rapport concernant sa fille. Celle-ci, également présente, n’était apparemment pas fière de se trouver ici. Le policier, un homme d’une cinquantaine d’années, était un petit brun trapu, au physique plutôt antipathique. Il était toujours plongé dans son rapport, quand il décida de prendre la parole : – Alors, mademoiselle Atifa, je vois que c’est la troisième fois que tu es prise en flagrant délit de vol ? – Euh... oui, mais les deux autres fois c’était à Paris ! dit-elle peu rassurée – Eh alors, je m’en fous que ça soit à Paris où ici à Nîmes ! Tout ce que je vois, c’est que tu as douze-ans et que ça commence à faire beaucoup ! Et quand tu me réponds, c’est « Monsieur le commissaire », c’est bien compris ? articula l’homme en haussant le ton. – Oui... oui monsieur le commissaire. répondit-elle d’une petite voix étranglée La gamine était totalement tétanisée et la présence de sa mère n’arrangeait pas les choses. Elle était plutôt mignonne avec un visage angélique, mais qui cachait un tempérament espiègle. Le commissaire décida de s’adresser à la mère. – Madame Chakroun, votre fille étant mineure, la responsabilité de ce vol vous incombe entièrement ! – Oui, j’en suis bien consciente et j’assume entièrement cette responsabilité, monsieur le commissaire. répondit-elle d’un vois assurée – Très bien madame, car cette fois-ci je dois en avertir le Procureur de la République ! Et dans un premier temps, je vais mettre votre fille en garde à vue. Elle mérite une bonne leçon et vous aussi par la même occasion. Je vous signale que c’est à vous d’assurer l’éducation de votre fille, vous en êtes consciente, j’espère ? – Oui, je sais bien, mais s’il vous plaît, vous ne pouvez pas régler cela en interne ? Mon mari est un homme très pieux, et il accepterait très mal que son nom soit cité devant un tribunal. Soyez conciliant monsieur le commissaire, ma fille est très jeune et ne se rend pas bien compte de ses actes ? – Madame, la loi est ainsi faite ! Votre fille a volé de la lingerie de luxe, d’une très grande valeur. Et ce n’est pas parce que votre époux occupe un poste important, qu’elle a le droit à un régime de faveur ! – Oui, c’est évident monsieur le commissaire ! Mais peut-être pourrait-on régler ça avec une somme substantielle ? – Non seulement votre fille est une voleuse ! Et vous madame Chakroun, vous voulez corrompre un commissaire ? Je crois que le Procureur va se régaler avec votre cas, madame et celui de votre fille ! Et pour votre gouverne, je ne suis pas vénal !

Le Commissaire Pervers

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Une fille voleuse et sa mère sont entraînées dans une spirale d'abus sexuels de la part d'un commissaire de police.

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Le Commissaire Pervers

La femme assise dans le bureau du commissaire de police, avait une petite trentaine d’années. C’était une belle brune d’origine maghrébine, assez grande, élancée, avec une silhouette irréprochable. Le commissaire Cantona, l’observait du coin de l’œil, tout en lisant un rapport concernant sa fille.

Celle-ci, également présente, n’était apparemment pas fière de se trouver ici. Le policier, un homme d’une cinquantaine d’années, était un petit brun trapu, au physique plutôt antipathique. Il était toujours plongé dans son rapport, quand il décida de prendre la parole :

– Alors, mademoiselle Atifa, je vois que c’est la troisième fois que tu es prise en flagrant délit de vol ?

– Euh... oui, mais les deux autres fois c’était à Paris ! dit-elle peu rassurée

– Eh alors, je m’en fous que ça soit à Paris où ici à Nîmes ! Tout ce que je vois, c’est que tu as douze-ans et que ça commence à faire beaucoup ! Et quand tu me réponds, c’est « Monsieur le commissaire », c’est bien compris ? articula l’homme en haussant le ton.

– Oui... oui monsieur le commissaire. répondit-elle d’une petite voix étranglée

La gamine était totalement tétanisée et la présence de sa mère n’arrangeait pas les choses. Elle était plutôt mignonne avec un visage angélique, mais qui cachait un tempérament espiègle.

Le commissaire décida de s’adresser à la mère.

– Madame Chakroun, votre fille étant mineure, la responsabilité de ce vol vous incombe entièrement !

– Oui, j’en suis bien consciente et j’assume entièrement cette responsabilité, monsieur le commissaire. répondit-elle d’un vois assurée

– Très bien madame, car cette fois-ci je dois en avertir le Procureur de la République ! Et dans un premier temps, je vais mettre votre fille en garde à vue. Elle mérite une bonne leçon et vous aussi par la même occasion. Je vous signale que c’est à vous d’assurer l’éducation de votre fille, vous en êtes consciente, j’espère ?

– Oui, je sais bien, mais s’il vous plaît, vous ne pouvez pas régler cela en interne ? Mon mari est un homme très pieux, et il accepterait très mal que son nom soit cité devant un tribunal. Soyez conciliant monsieur le commissaire, ma fille est très jeune et ne se rend pas bien compte de ses actes ?

– Madame, la loi est ainsi faite ! Votre fille a volé de la lingerie de luxe, d’une très grande valeur. Et ce n’est pas parce que votre époux occupe un poste important, qu’elle a le droit à un régime de faveur !

– Oui, c’est évident monsieur le commissaire ! Mais peut-être pourrait-on régler ça avec une somme substantielle ?

– Non seulement votre fille est une voleuse ! Et vous madame Chakroun, vous voulez corrompre un commissaire ? Je crois que le Procureur va se régaler avec votre cas, madame et celui de votre fille ! Et pour votre gouverne, je ne suis pas vénal !

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Pendant qu’il prononçait des paroles, Atifa, baissa la tête, elle était en larmes et elle sentit bien que sa mère aggravait son cas. Elle n’osa pas affronter le visage sévère et réprobateur du policier. Bien sûr, elle n’en était pas à son coup d’essai en matière de vol. Elle prenait même un malin plaisir à dérober de la lingerie de luxe et des produits de beauté. Mais pour la première fois, elle sentit bien qu’elle était dans une situation scabreuse.

– Excusez-moi, mais je ne sais plus quoi faire, monsieur le commissaire ! répondit la mère. Mon mari est un homme très strict quant à la moralité de ses enfants, et il n’accepterait jamais un tel affront. Je suis prête à tout faire, pour qu’il n’apprenne pas ce qui est arrivé ! dit la mère en désespoir de cause.

Le commissaire à ces mots, eut un imperceptible rictus de satisfaction. Son cerveau pervers était en pleine ébullition. Il était connu de ses subalternes pour savoir profiter des situations désespérées. En particulier quand il s’agissait de belles femmes.

– Madame Chakroun, vous savez que vous me mettez dans une position délicate ? En effet, maintenant il y a le vol de votre fille et une corruption de fonctionnaire de votre part ! Alors, comprenez-bien que cela demande réflexion !

Le commissaire Cantona, savait déjà comment il allait procéder, mais il prit un air penseur et au bout de quelques minutes, il déclara :

– Soit, mais dans ce cas, il va falloir que vous et votre fille, payez de votre personne. C’est bien compris et ce n’est qu’à ce prix que je classerai l’affaire ?

La jeune femme était sous l’effet de la surprise, mais sa décision fut rapide.

– Oui, oui, c’est d’accord, mais pitié n’appelez pas le Procureur monsieur le commissaire ! implora la jeune mère

– Vous devez savoir, madame que votre affaire est très grave. Et espérons que le magasin ne dépose pas de plainte contre votre fille ?

– Oui, je ne suis pas fière de ma fille, monsieur. Si c’est cela que vous voulez entendre !

Le policier décrocha son téléphone et donna l’ordre de ne le déranger sous aucun prétexte. Il parlementa quelques instants, puis raccrocha. Les autres policiers connaissaient cette situation et savaient que dans ce cas, il ne fallait surtout pas intervenir. Il se leva de son siège, se dirigea vers la sortie et donna un tour de clef à la lourde porte capitonnée.

La gamine regardait sa mère avec un regard effaré, se demandant si celle-ci n’était pas tombée sur la tête. Dans un regain d’honneur elle articula :

– Mais maman, tu ne peux...

Sèchement sa mère la coupa, et l’informa qu’elle était mal placée pour juger de la suite des évènements.

– Bon ça suffit toutes les deux ! gronda le commissaire excédé

Le ton du policier fut persuasif, car le silence s’installa de nouveau et il reprit :

– Atifa, tu as intérêt à me dire de suite, ce que tu as fait des sous-vêtements dérobés ? On vient de m’informer, qu’une caméra de surveillance à filmer ton vol ! Et que dans la cabine d’essayage, les vigiles n’ont retrouvés que l’emballage. À l’intérieur se trouvait un soutien-gorge de petite taille et une petite culotte.

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– Euh... c’est qu’ils sont sur moi, monsieur le commissaire ! avoua la jeune fille en pleurs

– Et tes anciens effets, où sont-ils, alors ?

La gamine apparemment était très embarrassée, mais elle finit par avouer :

– Nulle part... je n’en avais pas mis... sniff, j’étais nue sous mes vêtements, monsieur le... !

– De mieux en mieux ! coupa le policier. Non seulement tu voles, mais c’est avec préméditation ? dit-il furieux

– Oui... pardonnez-moi monsieur le commissaire ! dit la jeune fille en sanglots

– Oh, certainement pas, ne comptes pas là-dessus ! Allez, hop retire-moi ton jean et ton T-shirt et en vitesse !

– Non, mais vous n’êtes pas bien monsieur ! intervint la mère, outrée

– Madame, je ne vous ai pas donné la parole à ce que je sache, alors, fermez votre gueule !

La jeune femme le souffle coupé par l’arrogance et l’impolitesse du policier, n’osa répondre et dit à sa fille :

– Ma chérie, fais ce qu’il dit, je crois que l’on n’a pas d’autre choix !

Prise de spasmes et en larmes, Atifa s’exécuta et ôta son jean et son T-shirt. Ses cheveux châtains mi-longs étaient en désordre. Elle n’était plus vêtue que d’un soutien-gorge, qui vu sa poitrine naissante, n’était pas absolument nécessaire. Et d’une petite culotte rouge assortie. Les étiquettes pendaient encore à sa lingerie.

– Voilà donc les preuves du délit ! s’exclama vainqueur le commissaire

La petite culotte était transparente et la jeune fille croisait ses mains sur son sexe.

– Eh bien tu vas me retirer tout ça, jeune fille ! Ces sous-vêtements ne t’appartiennent pas à ce que je sache ?

– Mais monsieur, vous ne pouvez pas faire ça ! s’indigna la mère

– Très bien madame, j’appelle de suite le Procureur ! dit-il en décrochant son téléphone

– Non... non, ne faites pas cela monsieur, on fera ce que vous voudrez ! répondit la mère effondrée

– Alors, Atifa, exécution et que ça saute ! hurla le policier

Complètement abattue et se trouvant impuissante devant la décision de sa mère. La jeune adolescente, dégrafa son soutien-gorge, dévoilant deux petits seins juvéniles. Deux jolis petits tétons pointaient fièrement en direction du policier. Puis, toujours en sanglots, elle ôta sa petite culotte. Découvrant sa petite fente et son pubis imberbe. Aussitôt, ses deux mains se croisèrent sur son sexe.

– Non, non, pas de ça, mets tes mains sur ta tête ! ordonna sèchement le commissaire

La pauvre gamine affolée, obéit et se trouva entièrement nue, face au bon vouloir du fonctionnaire. Son corps était en pleine évolution et de charmantes courbes se dessinaient. Sa tête était baissée et ses yeux étaient dirigés vers ses pieds.

Le commissaire plaça une chaise au milieu de la pièce et sous le regard intrigué de la mère, il ordonna d’une voix glaciale :

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– Comme ta maman à choisit elle-même son sort et le tien, et pour te passer l’envie de voler, je vais te punir !

– Sniff... sniff... pitié monsieur le commissaire ! implora la gamine

Il avait pris place sur la chaise et faisait signe à la jeune adolescente d’approcher. Elle se dirigea timidement vers le policier et stoppa devant lui.

– Allez, vite allonge-toi sur mes cuisses, je vais te coller une fessée dont tu te rappelleras !

La mère jusqu’à maintenant calmée par la remontrance que l’homme, intervint soudainement :

– Commissaire, vous n’avez pas le droit de frapper les fesses de ma fille, je vous l’interdis !

À cran et excité par cette gamine entièrement nue sur lui, il lui jeta un regard foudroyant et aboya :

– Madame, encore un mot et cette fois, c’est la garde à vue et j’appelle le Procureur, je me fais bien comprendre ?

– Euh... oui... excusez-moi, monsieur le commissaire, dit la jeune femme dépitée

Puis il commença à fesser copieusement les fesses de la jeune adolescente. Les premières claques furent très fortes, et ses fesses avaient déjà prise une belle coloration rosée. Le policier avait de petites mains, mais très larges. Chaque coup laissait l’empreinte de ses doigts, sur la peau fine des fesses de la jeune fille. Si bien qu’elle commençait à souffrir terriblement. Ses jambes battaient l’air et elle se contorsionnait sur les cuisses de son tortionnaire.

– Aïe... Aïe, arrêtez monsieur... s’il vous plaît ! hurla Atifa

Sa mère en larmes, assistait impuissante à la correction peu banale de sa fille. Jusqu’à ce jour, jamais sa fille n’avait reçu de punitions corporelles, et encore moins une fessée cul nu, des mains d’un étranger !

Cela faisait dix bonnes minutes que la fessée avait débuté, et le petit cul de la gamine était très rouge. Ses fesses devaient la cuire énormément, car le commissaire n’avait pas ménagé ses frappes.

– Voilà, jeune fille comment je corrige les petites voleuses ! Redresse-toi et met-toi dos au mur les mains sur la tête. Et je t’interdis de frotter ton cul !

La gamine pleurant à chaudes larmes, fessée, domptée, vaincue, alla se placer devant la paroi de la cloison. Puis le policier s’adressa à la mère :

– Madame Chakroun, vous avez opté de votre plein gré de payer de votre personne. Votre fille a déjà eu un acompte et maintenant votre tour est venu ! Approchez, s’il vous plaît !

– Comment ça mon tour est venu ? dit-elle interloquée

– Non de dieu ! hurla l’homme énervé... je vous ai dit de la fermer, alors venez et ne discutez pas !

La femme se rappelant de la menace qui pesait sur elle et sa fille, de dirigea vers le commissaire Cantona.

– Ôtez votre veste et votre jupe et rapidement, s’il vous plaît !

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Ahurie, elle regarda le policier fixement et s’aperçut à son air qu’il était loin de plaisanter. L’homme n’était déjà pas beau de nature, mais un rictus sadique s’imprimait sur son visage. Il était même répugnant, avec ses cheveux gras en désordre et la sueur qui coulait de son front.

– Je suppose que je n’ai pas le choix, j’imagine ? tenta-t-elle maladroitement

– En effet madame Chakroun, vous n’avez plus le choix ! répondit-il d’un ton acerbe

La jeune femme contrainte et forcée, se débarrassa de sa veste et ôta avec hésitation sa jupe bleue marine. Il ne lui restait sur le corps qu’un petit string blanc et un corsage de même couleur où l’on apercevait par transparence, son soutien-gorge. Elle était très excitante dans cette tenue et le commissaire se rinça l’œil sans réserve. Ses jambes hâlées, contrastaient avec son string et son corsage. À ses pieds une paire d’escarpins noirs, complétaient sa silhouette de rêve. Apparemment, son honneur de femme mariée, et musulmane de surcroit, en avait pris un sacré coup. Et le pire est qu’elle ne voyait pas d’autre issue que d’obéir à cet homme repoussant et autoritaire.

Atifa, n’en croyait pas ses yeux ! Voir sa mère à demi-nue devant cet homme abject, la dépassait largement. Elle réalisa qu’il tenait la situation bien en main, et que toute désobéissance serait inutile. L’homme avait pris le dessus sur sa mère, pourtant d’un caractère bien trempé.

– Madame, comme pour votre fille je vais vous mettre une fessée ! Cela vous apprendra peut-être à mieux éduquer votre enfant ! Mais avant, ôtez-moi ce string inutile et je ne veux plus vous entendre !

Les yeux du commissaire Cantona, étaient fixés sur le bout de tissu blanc de la femme. Et elle fit ce qu’il attendait depuis le début. Se voyant matée par cette ordure de flic, elle laissa glisser son string le long de ses cuisses, dévoilant ainsi une petite toison brune, très bien taillée.

– Comme pour votre fille, vous recevrez votre fessée entièrement nue, madame ! Alors, à présent ôtez votre corsage et dégrafez votre soutien-gorge !

Il avait donné cet ordre avec des trémolos dans la voix, et ceux-ci trahissaient son excitation malsaine. Dans un silence de mort, la jeune femme obéit. Et c’est entièrement nue qu’elle s’exposa au regard pervers de ce type repoussant. Elle possédait une superbe poitrine et deux beaux seins en pommes se tenaient bien droits. Deux petits tétons agressifs au milieu de ses belles aréoles, semblaient n’attendre qu’une langue bienveillante.

Le policier, n’avait pas bougé de sa chaise, il jeta un regard de biais sur la jeune adolescente et imposa à sa mère de s’allonger sur ses cuisses. Timidement, la jeune femme prit la position de fessée. Immédiatement la main du fesseur se plaça sur son sein droit. Il sentit le corps de la jeune mère trembler sur ses genoux. Ce qui l’excita davantage et sadiquement il demanda :

– Vous avez déjà reçu des fessées, madame ?

– Non... non... jamais !

– OK, mais comme pour votre fille, c’est « Monsieur le commissaire », c’est bien compris ?

– Euh, oui monsieur le commissaire, articula-t-elle en larmes

– Vous avez quel âge, madame ?

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– Trente et un ans, monsieur le commissaire.

– Eh bien, vous voyez il n’y a pas d’âge pour se faire rougir le cul ! Car je peux vous assurer que vos petites fesses vont souffrir !

Et passant de la parole à l’acte, il débuta la fessée. Ses claques étaient non seulement puissantes, mais il faisait riper en même temps sa main sur les fesses de la jeune femme. Ce qui rendait la fessée plus efficace et beaucoup plus douloureuse. La femme ressentait maintenant une douleur aigue, car elle poussait des gémissements de douleurs. Atifa observait sa mère se faire fesser comme une vulgaire gamine qui aurait fauté. Une barre, se noua à son estomac. Cet homme se dit-elle est un vrai démon. Mais la mère geignit de plus belle, par la brûlure engendrée par la fessée.

Cela faisait bien une trentaine de claques que l’homme lui donnait, quand elle implora le policier de cesser la correction. Bizarrement, il accepta ses doléances et arrêta la fessée.

– Relevez-vous et allez prendre position à côté de votre fille !

Elle se releva et immédiatement elle en profita pour se frotter les fesses !

– Hop ! Hop ! Hop ! Je ne veux pas de ça, les mains sur la tête, bordel ! Qui vous a autorisé à masser vos fesses ?

– Mais... Mais personne... monsieur le commissaire, je vous présente mes excuses !

Un rayon de soleil traversa le visage de l’odieux policier. Il avait atteint son objectif, cette jeune femme était maintenant totalement sous son contrôle. Et par conséquent sa jeune fille !

– Alors, madame Chakroun, pour vous punir de cette désobéissance, vous allez me sucer la bite et par la même occasion éduquer votre fille à la fellation. Baissez mon pantalon et mon slip, exécution !

– Ah non, certainement pas, vous m’écœu...

Elle reçut en plein visage un cinglant aller-et-retour, qui la fit perdre l’équilibre.

– Et comme ceci, ça ne vous écœure pas ? lança-il sèchement

Totalement dominée et humiliée par cet homme, elle s’approcha et déboucla sa ceinture. Puis elle glissa la fermeture éclair de son pantalon, qu’elle descendit à ses genoux. Une proéminence importante, déformait son slip. Il bandait comme un âne le salaud !

– Allez, continuez ! prononça-t-il d’une voix étranglée par son trouble ressenti

Elle saisit l’élastique de son slip et en l’écartant largement, dégagea son sexe en érection. La jeune femme poussa un « Oh » de stupéfaction. L’homme était très bien membré et sa bite était énorme. Deux belles couilles qui ne demandaient qu’à se vider, complétaient ce sexe hors du commun. Quant à sa fille qui n’avait peut-être jamais vu réellement un pénis d’homme, et elle en fut bouche bée.

Le gland du policier était décalotté et il n’attendait plus que des lèvres chaudes pour le sucer.

– À genoux et sucez ma bite, madame, et toi la gamine prends-en de la graine !

Dégoûté par cet homme, néanmoins elle s’empara de sa bite et la pris en bouche. Commençant par sucer des lèvres le bout de son gland, puis progressivement, introduire

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l’ensemble de son sexe dans sa bouche. Parfois, elle variait et descendait jusqu’à ses couilles pour les lécher et les prendre entre ses lèvres.

Pendant qu’il prenait du plaisir, il fixait la jeune adolescente qui détourna son regard. Puis subitement !

– C’est parfait, madame Chakroun, vous êtes une merveilleuse pipeuse ! Et j’espère que votre fille, suivra votre exemple ?

– Comment ça ma... tenta de dire la mère.

– Atifa à genoux, et suce-moi la bite, petite salope ! ordonna le commissaire

– Non, non, pitié pas elle, monsieur le commissaire ! intervint la maman paniquée.

– Vous, vous fermez votre gueule et vous attendez mes ordres ! Sinon, je vous fouette le cul, c’est compris cette fois ? dit-il énervé.

– ...

Elle n’eut pas la force de répondre, et c’est abasourdie qu’elle vit sa fille saisir le sexe de l’homme et l’introduire dans sa petite bouche. La bite du policier était tellement grosse que la gamine eut du mal à ouvrir suffisamment sa bouche. Et c’est sous le regard terrifié de sa mère qu’elle pompait le dard du commissaire. Celui-ci était aux anges, se faille tailler une pipe par cette ado de douze, et devant sa mère entièrement nue ! Son membre était si long, que la gamine n’arrivait à mettre dans sa bouche que la moitié de celui-ci. Elle suçait docilement la bite de cet immonde type depuis un bon moment. Son sexe était effrayant et ses couilles étaient gonflées au maximum. Mais soudain, il gronda :

– Atifa, si je sens tes dents une nouvelle fois, je te colle une cuisante fessée avec le martinet ! Et caresse-moi les couilles, petite salope !

La gamine, tout en continuant à sucer le membre de l’homme, leva sa tête et fit un clignement de cils. Lui signifiant ainsi, qu’elle avait bien reçu l’avertissement. De ses petites mains fines, elle caressa les couilles énormes de son supplicié. Sa bite turgescente, coulissait dans la bouche de cette pauvre enfant. L’homme savait diaboliquement maîtriser ses sens. Et dans un geste brusque, il se retira de la bouche de la gamine et ordonna :

– Madame Chakroun, en silence, vous allez vous placer devant mon bureau ! Ensuite vous allongez votre buste dessus. Je veux que vos seins, touchent mon sous-main et vous écartez bien vos cuisses ! Je vais vous baiser, chère Madame ! articula-t-il dominant

Sans énergie, dépitée, vidée, dégoûtée, honteuse et soumise, elle alla se placer en positon, attendant que le terrifiant sexe du policier pénètre sa chatte.

Profitant de son érection due aux lèvres et à la bouche de la jeune ado, le flic s’approcha des fesses de cette jeune maman. Puis avec une douceur inhabituelle pour cet homme, il glissa sa bite à l’entrée du vagin de la jeune femme. Pendant ce temps, deux de ses doigts excitèrent son clitoris. Tandis que sa main droite, pelota sans retenue les seins pulpeux de la belle. Avec patience, sa grosse bite s’enfonça inéluctablement dans le vagin de la maman. Et il commença à la besogner avec ardeur, quand soudain, il s’indigna, mais avec une totale hypocrisie.

– Mais vous êtes une belle salope, madame, vous mouillez ! Vous allez voir, si vous aimez ça, je vais vous bourrer la chatte ! Vous allez le sentir mon gros zob !

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En effet la jeune femme mouillait abondamment. Mais elle n’osait pas avouer à son tortionnaire qu’elle prenait un certain plaisir à se faire baiser par cet ignoble flic ripou. Et elle ne répondit pas à ses propos. Elle subissait néanmoins les assauts terribles de sa bite. Également, les claques de ses grosses couilles, venant frapper ses fesses. Mais l’homme était aux aguets de tout et il hurla :

– Atifa, tu remets tes mains sur ta tête et tu regardes ta mère se faire baiser, petite salope !

La jeune adolescente, voyant qu’il était occupé avec sa mère avait abandonné sa position de punie. Et rageuse, elle remit ses mains sur sa tête. Certainement, elle n’avait jamais vu réellement une femme se faire baiser par un étranger. Et encore moins sa propre mère ! Sa rage était à son comble, elle était à bout de nerfs de subir la volonté de cet homme révoltant. Et dans un élan de colère, elle explosa.

– Espèce de sale gros porc, tu vas arrêter de salir ma mère, enculé de ta race !

Le policier malgré sa lourdeur apparente, se retira du sexe de la mère et fonça sur la jeune ado. Et avec une dextérité étonnante lui donna une série de claques impressionnantes au visage. Atifa sous les coups, s’effondra à terre.

– Tu ne perds rien pour attendre, petite salope, je vais m’occuper de toi et de ton cul !

Il remonta aussitôt son pantalon et de dirigea vers son bureau. Il ouvrit un tiroir et en retira un bâillon et une paire de menottes. Contrairement à ce qu’on pouvait attendre, il alla vers la mère et l’assit sur son fauteuil en la menottant. Puis au moment qu’elle allait ouvrir la bouche pour parler, il la bâillonna solidement. La pauvre jeune femme était complètement impuissante devant tant de détermination. Elle sanglota de nouveau à chaudes larmes. Peut-être imaginait-elle la suite de cette terrible soirée ?

– Maintenant à nous deux ma salope, tu vas voir si je suis un enculé !

Et de nouveau une paire de claques cingla le visage de la gamine. De son pied, il lui écarta une jambe et aussitôt une main se plaça dans son entrejambe. Puis la soulevant du sol la tenant par son périnée, il lui dit sadiquement en la maintenant en équilibre

– Ma jolie, je vais m’occuper de ton cul ! Maintenant, je vais t’enculer, tu vas sentir ma grosse bite entrer dans ton petit cul, cocotte !

Pour la maintenir ainsi, il avait introduit son majeur dans son cul et son pouce dans sa chatte. La jeune fille se trouvant à hauteur du visage du commissaire, lui cracha au visage. Pendant que sa mère se débattait sur le lourd fauteuil du fonctionnaire. Ses yeux étaient exorbités par la rage et surtout par son impuissance. Elle ne pouvait rien dire et rien faire pour épargner à sa progéniture cet outrage extrême. Quant au commissaire Cantona, il était dans une fureur intense. Se faire cracher au visage par cette gamine, s’en était trop pour lui !

Il fonça vers la mère et avança son fauteuil devant une table basse. Ensuite, il ouvrit la porte d’une armoire murale, puis il prit une paire de menotte et des colliers en rilsan. Muni de ce matériel, il se dirigea vers la jeune ado terrorisée. Et sans aucun ménagement, il l’emmena vers la table basse et l’allongea sur le ventre. La gamine ne pesait pas lourd vu la corpulence de l’homme. Il se plaça à califourchon sur son frêle corps, et à l’envers de celle-ci. Puis, il écarta ses fesses et commença un anulingus d’enfer ! Elle se débattit, mais le poids du policier la maintenait implacablement sur la table. Sa langue entra du plus profond possible, dans l’anus de la jeune fille. Il lui lécha le trou du cul avec une délectation peu commune.

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Quand il se redressa, une énorme bosse se dressait à l’avant de son pantalon. Tranquillement sous le regard de la mère, il fit pivoter sa fille pour la placer en travers de la table. Puis il lui attacha les poignets en les entravant sur la barre transversale inférieure.

La pauvre, n’était pas encore remise de ses émotions, quand avec un collier il attacha une de ses chevilles à un pied de table. Et malgré ses contorsions, il saisit l’autre cheville et l’attacha au pied opposé. Puis il ramassa à terre le string blanc de sa mère et s’en servit pour la bâillonner. À cet instant la gamine était immobilisée sur cette table, les jambes écartées et les fesses offertes. Et incapable de prononcer une parole. Elle était exactement dans la même situation que sa mère. Mais son cul était à la merci du sexe de cet homme abject.

Ce salaud de ripou, en profita pour caresser sa chatte et entrer un doigt dans son vagin. Puis il sortit de sa poche un tube de gel et en badigeonna le trou du cul de la gamine apeurée.

Madame Chakroun, se déhanchait dans tous le sens sur son fauteuil, pour tenter de venir à l’aide de sa fille. Mais le policier, plus pervers que jamais, tout en la regardant baissa son pantalon et son slip. Il montrait à la jeune femme le sexe dominateur, qui allait déflorer le cul de sa gamine. Puis il commença à se branler et se tourna vers la jeune adolescente.

– À nous deux ma jolie, tu vas voir comment je vais te faire exploser ton petit cul ! Je te préviens que quand ma grosse bite va entrer dans ton corps, tu risques de danser la biguine, cocotte ! Alors, un conseil d’ami, ne te contracte pas, ça ne servirait qu’à te faire mal !

Il attrapa un coussin, et il se positionna à genoux. Son sexe se trouva exactement à la hauteur du petit trou d’Atifa.

Avec l’aide de ses mains, il saisit ses fesses en les écartant et enfonça son gland dans l’anus de la jeune fille. Celle-ci au contact de sa bite, se contracta. Mais d’une claque vive sur une fesse, elle se relâcha et il en profita pour la pénétrer plus profond. Elle tenta de hurler, mais un son sourd sortit de sa bouche. Elle était sous la domination de cet odieux et misérable personnage. Il regarda en souriant sa mère située à un mètre de l’acte infâme qu’il effectua sur sa progéniture. Son sexe long et conséquent, pénétra aux trois-quarts le cul de la gamine. Mais il poursuivit implacablement sa progression sous le regard de la jeune mère.

Cela faisait maintenant un quart d’heure qu’il besognait l’anus de l’ado, quand il parvint à ses fins. C’est-à-dire que ses couilles vinrent frapper les fesses d’Atifa. La gamine à ce moment fut totalement empalée ! Et pour que la jouissance de l’homme soit complète, il saisit un de ses seins et de son autre main, entra son majeur dans la chatte de la gamine.

Puis, maîtrisant jusqu’au dernier instant son éjaculation dans un dernier assaut, il jouit dans le cul de la pauvre gosse. Il sortit son sexe imposant de ses entrailles, en arrosant de foutre les fesses de la malheureuse Atifa.

Il se redressa, remonta son slip et son pantalon. Et avec un air triomphateur, il annonça :

– Madame, Mademoiselle, j’espère que ce petit divertissement vous servira de leçons ?

Puis il retira le bâillon de la jeune ado et celui de sa mère, et il enchaîna.

– Tout ce que je peux dire, maintenant, l’enculée c’est bien toi Atifa ! dit-il en éclatant de rire. Et si jamais un jour, je vous revois toutes les deux dans ce bureau pour un vol à l’étalage ; vous Madame Chakroun, je vous encule, et toi la petite voleuse, je te baise, c’est bien compris ?

Page 10: Le Commissaire Pervers

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– Oui, monsieur le commissaire ! répondit-elles en chœur.

Il libéra de ses entraves la mère et la fille. Et il leur signifia de se rhabiller rapidement. Les deux femmes ne traînèrent pas. En silence et en deux minutes, elles eurent revêtu leurs effets.

– J’ai passé un très agréable moment en votre compagnie et je vous libère, jeunes et jolies femmes ! Votre fille à un petit cul très serré, extraordinaire ! Et vous, une chatte chaude, humide et très bandante, madame ! Et n’oubliez pas, qu’à la moindre bêtise, vous paierez le prix fort ! Et que cette soirée vous paraîtra un délice à côté de ce qui vous attendra.

– On a parfaitement compris, monsieur le commissaire ! dit la mère anéantie.

– Adieux, les filles ! lança le commissaire facétieux

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