4
La lettre La lettre Octobre 2011 édito édito Casson Fay-de-Bretagne Grandchamp-des-Fontaines Héric Les Touches Nort-sur-Erdre Notre-Dame-des-Landes Petit-Mars Saint-Mars-du-Désert Sucé-sur-Erdre Treillières Vigneux-de-Bretagne Sommaire Sommaire Patrimoine et identité du territoire L’agenda 21 N°14 N°14 Elles arrivent ! Les puces dans nos poubelles. Précisément sur les poubelles et électroniques. Cet envol de puces symbolise la mise en œuvre d’une stratégie visant à réduire les déchets que nous produisons tous, habitants et acteurs économiques. Le conseil de développement, très sensible sur la politique des déchets, est bien sûr favorable à toutes les démarches qui incitent et responsabilisent les citoyens que nous sommes à adopter de nouveaux comportements en matière de tri sélectif et de recyclage. Au-delà des questions touchant aux mécanismes et aux impacts financiers, nous saluons donc l’arrivée de ce dispositif et l’enclenchement de la phase pédagogique active pour construire ensemble un autre mode de vie. Jean-Louis Petermann, Président du Conseil de développement

Lettre d'information octobre 2011

Embed Size (px)

DESCRIPTION

lettre d'information du Conseil de développement

Citation preview

Page 1: Lettre d'information octobre 2011

La lettreLa lettre

Octobre 2011

éditoédito

CassonFay-de-Bretagne

Grandchamp-des-FontainesHéric

Les TouchesNort-sur-Erdre

Notre-Dame-des-LandesPetit-Mars

Saint-Mars-du-DésertSucé-sur-Erdre

TreillièresVigneux-de-Bretagne

SommaireSommaire

Patrimoine et identité du territoire

L’agenda 21

N°14N°14

Numéro 14 - octobre 2011

Conseil de Développement Erdre & Gesvres

1, rue Marie-Curie P.A. La Grand’Haie 44119 Grandchamp-des-Fontaines Tél. 02 28 02 22 40 Fax : 02 28 02 22 47 [email protected]

Ont participé à ce numéro :

Responsable de la publication : Jean-Louis Petermann

Coordination de la rédaction : Commission Communication

Réalisation : Aries Computing - 02 28 02 02 91

4

Elles arrivent ! Les puces dans nos poubelles. Précisément sur les poubelles et électroniques. Cet envol de puces symbolise la mise en œuvre d’une stratégie visant à réduire les déchets que nous produisons tous, habitants et acteurs économiques. Le conseil de développement, très sensible sur la politique des déchets, est bien sûr favorable à toutes les démarches qui incitent et responsabilisent les citoyens que nous sommes à adopter de nouveaux comportements en matière de tri sélectif et de recyclage. Au-delà des questions touchant aux mécanismes et aux impacts financiers, nous saluons donc l’arrivée de ce dispositif et l’enclenchement de la phase pédagogique active pour construire ensemble un autre mode de vie.

Jean-Louis Petermann, Président du Conseil de développement

[email protected]

L’ AGENDA 21Le 29 septembre 2011 à Grandchamp des FontainesCe sont près de 40 personnes qui ont participé à la réunion organisée par les membres du groupe Agenda 21. Les travaux ont été présentés par Marion Richarté, responsable du développement durable à la CCEG et Philippe Trotté (Vice-Président de la CCEG), représentants du groupe de travail. L’Agenda 21 est un plan d’actions pour le 21ème siècle, impulsé par 173 chefs d’Etat, qui décrit les sec-teurs où la notion de développement durable est susceptible d’apporter des progrès (économies d’énergie, maîtrise des pollutions, qualité du cadre de vie, réduction des coûts et des gaspillages …)L’Agenda 21 formule des pistes de réflexion et des recommandations, la principale visant à rechercher l’implication des consommateurs.Cet engagement impose l’éducation et la responsabilisation des habitants, puis la mise en place de méca-nismes de consultation et de sensibilisation.Saisi par le Conseil Communautaire Erdre et Gesvres, le Conseil de Développement a constitué un groupe de travail Agenda 21, qui fonctionne depuis maintenant près de deux années ; le plan de travail qu’il s’est défini comporte cinq phases :

1- Un diagnostic Destiné à établir un état des lieux sur le territoire, il comporte notamment un sondage effectué auprès de 360 habitants représentatifs des communes de la CCEG, afin d’apprécier :

� L’accueil des habitants à la thématique

� La connaissance du projet

� Le potentiel de progrès

� Les actions favorables (concrètes, comprises, mesurables…)

Cette première phase de diagnostic est maintenant réalisée

2- Une définition des enjeux et des objectifs.Cette phase sera abordée en Janvier 2012

3- L’élaboration d’un plan d’actionsCette phase sera abordée en Avril 2012

4- La mise en place d’un système de suivi permettant une évaluation

5- La mise en œuvre des actions

Cette phase devrait avoir lieu en Avril 2013Ce programme, qui progresse par accumulation, permet aux personnes intéressées de s’impliquer dans une ou plusieurs phases, selon leur dispo-nibilité ou leurs goûts. Cette disposition permet d’apporter une contribution ponctuelle et « sur mesure » aux travaux du groupe.Des participants se sont portés volon-taires à l’issue de la réunion pour parti-ciper à la suite des travaux.

Marcel Poulizac

Page 2: Lettre d'information octobre 2011

2 Octobre 2011 3

Pendant le dernier siècle, la plupart disparaissent. Puis des associa-tions se constituent, souhaitant lais-ser des traces du passé et une lisi-bilité de l’histoire humaine. C’est le point de départ de la restauration d’une dizaine de moulins à vent. Sur le territoire CCEG, il existe trois

moulins en état de marche : Deux à vent (à Vigneux de Bretagne et St- Mars-du-Désert, un troisième va bientôt renaître à Notre-Dame-des-Landes) et un moulin à eau à Sion les Mines. Leur reconstruction a nécessité des années de négocia-tions et de travaux !

Un patrimoine du pays disparu à plus de 90%Ce passé, dont les traces dispa-raissent, interpelle les respon-sables (élus et associations) sur la préservation du patrimoine subsis-tant, la transmission des traces de notre histoire et l’identité du terri-toire. Ce patrimoine identitaire, devenu rare, comporte quelques moulins, fours à pain, puits, fon-taines, lavoirs, croix et calvaires et pêle-mêle d’autres ouvrages : cha-pelles, canal, Erdre, contes et chansons, costumes, photos, vil-lages anciens et des arbres remarquables. Ces édifices sont sensibles aux effets dévastateurs du temps (gel, pluie, soleil) ; ils résistent mal aux prédateurs, urbanistes et promo-teurs sur un territoire en plein essor. L’appétit des aménageurs

Patrimoine et identité du territoire

Patrimoine & Identité

Une soirée captivante, un sujet attrayant et une salle comble pour parler du patrimoine de la CCEG.

Sur ce thème des moulins à vent, Marcel Poulizac a survolé l’évolution de l’homme jusqu’à nos jours. D’abord chasseur et nomade, l’homme s’est sédentarisé, des décou-vertes successives ont abouti aux moulins à vent, d’abord dans le bas-sin méditerranéen puis à travers tout le pays par les conquêtes romaines, ensuite après les Croisades.Un seul moulin assurait la nourriture de 400 à 500 personnes, ce qui nous a sorti du Moyen-âge en libérant de la main d’œuvre pour construire des villes, des églises, des ponts et des routes. En 8 siècles, 100 000 moulins sont érigés en France, dont 1.500 en Loire-Atlantique.

balaie souvent les règles administratives destinées à protéger ce qui mérite d’être conservé. Des édifices remar-quables, malgré un classement dans le PLU (plan local d’urbanisme) sont fréquemment détruits pour construire. Les élus locaux, tout en acquiesçant à ces demandes de protection, sont tiraillés entre leur souhait de répondre aux demandes croissantes de logements et le respect de règlements parfois oubliés ou contradictoires. Des améliorations sont possibles, à commencer par une cartographie officielle, claire et lisible, qui serait pour tous un rempart et un argument efficace. Le littoral proche attire beaucoup de touristes et de vacanciers. Notre territoire possède de nombreux arguments pour bénéficier de cette proximité et développer ainsi l’économie.Avec le canal de Nantes à Brest et la magnifique rivière qui traverse plusieurs de nos communes, la mise en valeur de notre patrimoine ajouterait encore à l’attrait du territoire.Pour cela, une mobilisation citoyenne et une régle-mentation accrue s’imposent.

Un patrimoine pour quoi faire ? Notre patrimoine de pays consti-tue un gisement à haute producti-vité de culture, d’histoire et de sciences humaines.La disparition de ce patrimoine nous priverait d’une richesse: il peut être tout à la fois un enjeu éducatif, un créateur de lien social, un élément de culture et un vecteur de dévelop-pement touristique. Il participe aussi à l’identité de notre territoire.Hommage ou bien Adieu au patrimoine ? � Le petit nombre d’édifices survi-vants simplifie aujourd’hui la tâche des décideurs : Elus locaux, urba-nistes et associations

� Une structure favorisant la pré-servation existe dans le P.L.U.

� Des mesures incitatives, destinées au financement des protections,

sont simples à mettre en œuvre. � L’implication des responsables (élus, associations et urbanistes) peut être efficace, à commencer par l ’appl ication de deux mesures simples :

1- Un classement sélectif Cette mesure s’avère efficace : il s’agit d’une distinction accordée par le maire, sous forme d’un « Réper-toire communal des édifices concou-rant à l’identité du territoire ».Ainsi, les intervenants ne peuvent mettre en doute l’intérêt et la pérennité de la préservation.

2- Une concertation préalable

La procédure consiste à subor-donner toute démolition d’élément du patrimoine de pays à une « Autorisation de déconstruction ».Simple à appliquer, située en amont de l’intervention, elle per-met concertation et conciliation.Reste à convaincre les respon-sables : un bon dossier, des bonnes volontés mais peu de temps !

Thérèse Caillaud et Marcel Poulizac

Marcel Poulizac, au cours de son exposé

Chaque jour, une partie de nos racines disparaît dans une bienveillante indifférence : faut-il laisser s’effondrer les traces des mondes disparus ? Faire comme si le monde commençait à notre naissance et s’arrêtait après nous ? C’était le thème de cette soirée. Les moulins à vent ont servi d’introduction au débat

Page 3: Lettre d'information octobre 2011

2 Octobre 2011 3

Pendant le dernier siècle, la plupart disparaissent. Puis des associa-tions se constituent, souhaitant lais-ser des traces du passé et une lisi-bilité de l’histoire humaine. C’est le point de départ de la restauration d’une dizaine de moulins à vent. Sur le territoire CCEG, il existe deux

moulins en état de marche : Deux à vent (à Vigneux de Bretagne et St- Mars-du-Désert, un troisième va bientôt renaître à Notre-Dame-des-Landes) et un moulin à eau à Sion les Mines. Leur reconstruction a nécessité des années de négocia-tions et de travaux !

Un patrimoine du pays disparu à plus de 90%Ce passé, dont les traces dispa-raissent, interpelle les respon-sables (élus et associations) sur la préservation du patrimoine subsis-tant, la transmission des traces de notre histoire et l’identité du terri-toire. Ce patrimoine identitaire, devenu rare, comporte quelques moulins, fours à pain, puits, fon-taines, lavoirs, croix et calvaires et pêle-mêle d’autres ouvrages : cha-pelles, canal, Erdre, contes et chansons, costumes, photos, vil-lages anciens et des arbres remarquables. Ces édifices sont sensibles aux effets dévastateurs du temps (gel, pluie, soleil) ; ils résistent mal aux prédateurs, urbanistes et promo-teurs sur un territoire en plein essor. L’appétit des aménageurs

Patrimoine et identité du territoire

Patrimoine & Identité

Une soirée captivante, un sujet attrayant et une salle comble pour parler du patrimoine de la CCEG.

Sur ce thème des moulins à vent, Marcel Poulizac a survolé l’évolution de l’homme jusqu’à nos jours. D’abord chasseur et nomade, l’homme s’est sédentarisé, des décou-vertes successives ont abouti aux moulins à vent, d’abord dans le bas-sin méditerranéen puis à travers tout le pays par les conquêtes romaines, ensuite après les Croisades.Un seul moulin assurait la nourriture de 400 à 500 personnes, ce qui nous a sorti du Moyen-âge en libérant de la main d’œuvre pour construire des villes, des églises, des ponts et des routes. En 8 siècles, 100 000 moulins sont érigés en France, dont 1.500 en Loire-Atlantique.

balaie souvent les règles administratives destinées à protéger ce qui mérite d’être conservé. Des édifices remar-quables, malgré un classement dans le PLU (plan local d’urbanisme) sont fréquemment détruits pour construire. Les élus locaux, tout en acquiesçant à ces demandes de protection, sont tiraillés entre leur souhait de répondre aux demandes croissantes de logements et le respect de règlements parfois oubliés ou contradictoires. Des améliorations sont possibles, à commencer par une cartographie officielle, claire et lisible, qui serait pour tous un rempart et un argument efficace. Le littoral proche attire beaucoup de touristes et de vacanciers. Notre territoire possède de nombreux arguments pour bénéficier de cette proximité et développer ainsi l’économie.Avec le canal de Nantes à Brest et la magnifique rivière qui traverse plusieurs de nos communes, la mise en valeur de notre patrimoine ajouterait encore à l’attrait du territoire.Pour cela, une mobilisation citoyenne et une régle-mentation accrue s’imposent.

Un patrimoine pour quoi faire ? Notre patrimoine de pays consti-tue un gisement à haute producti-vité de culture, d’histoire et de sciences humaines.La disparition de ce patrimoine nous priverait d’une richesse: il peut être tout à la fois un enjeu éducatif, un créateur de lien social, un élément de culture et un vecteur de dévelop-pement touristique. Il participe aussi à l’identité de notre territoire.Hommage ou bien Adieu au patrimoine ? � Le petit nombre d’édifices survi-vants simplifie aujourd’hui la tâche des décideurs : Elus locaux, urba-nistes et associations

� Une structure favorisant la pré-servation existe dans le P.L.U.

� Des mesures incitatives, destinées au financement des protections,

sont simples à mettre en œuvre. � L’implication des responsables (élus, associations et urbanistes) peut être efficace, à commencer par l ’appl ication de deux mesures simples :

1- Un classement sélectif Cette mesure s’avère efficace : il s’agit d’une distinction accordée par le maire, sous forme d’un « Réper-toire communal des édifices concou-rant à l’identité du territoire ».Ainsi, les intervenants ne peuvent mettre en doute l’intérêt et la pérennité de la préservation.

2- Une concertation préalable

La procédure consiste à subor-donner toute démolition d’élément du patrimoine de pays à une « Autorisation de déconstruction ».Simple à appliquer, située en amont de l’intervention, elle per-met concertation et conciliation.Reste à convaincre les respon-sables : un bon dossier, des bonnes volontés mais peu de temps !

Thérèse Caillaud et Marcel Poulizac

Marcel Poulizac, au cours de son exposé

Chaque jour, une partie de nos racines disparaît dans une bienveillante indifférence : faut-il laisser s’effondrer les traces des mondes disparus ? Faire comme si le monde commençait à notre naissance et s’arrêtait après nous ? C’était le thème de cette soirée. Les moulins à vent ont servi d’introduction au débat

Page 4: Lettre d'information octobre 2011

La lettreLa lettre

Octobre 2011

éditoédito

CassonFay-de-Bretagne

Grandchamp-des-FontainesHéric

Les TouchesNort-sur-Erdre

Notre-Dame-des-LandesPetit-Mars

Saint-Mars-du-DésertSucé-sur-Erdre

TreillièresVigneux-de-Bretagne

SommaireSommaire

Patrimoine et identité du territoire

L’agenda 21

N°14N°14

Numéro 14 - octobre 2011

Conseil de Développement Erdre & Gesvres

1, rue Marie-Curie P.A. La Grand’Haie 44119 Grandchamp-des-Fontaines Tél. 02 28 02 22 40 Fax : 02 28 02 22 47 [email protected]

Ont participé à ce numéro :

Responsable de la publication : Jean-Louis Petermann

Coordination de la rédaction : Commission Communication

Réalisation : Aries Computing - 02 28 02 02 91

4

Elles arrivent ! Les puces dans nos poubelles. Précisément sur les poubelles et électroniques. Cet envol de puces symbolise la mise en œuvre d’une stratégie visant à réduire les déchets que nous produisons tous, habitants et acteurs économiques. Le conseil de développement, très sensible sur la politique des déchets, est bien sûr favorable à toutes les démarches qui incitent et responsabilisent les citoyens que nous sommes à adopter de nouveaux comportements en matière de tri sélectif et de recyclage. Au-delà des questions touchant aux mécanismes et aux impacts financiers, nous saluons donc l’arrivée de ce dispositif et l’enclenchement de la phase pédagogique active pour construire ensemble un autre mode de vie.

Jean-Louis Petermann, Président du Conseil de développement

[email protected]

L’ AGENDA 21Le 29 septembre 2011 à Grandchamp des FontainesCe sont près de 40 personnes qui ont participé à la réunion organisée par les membres du groupe Agenda 21. Les travaux ont été présentés par Marion Richarté, responsable du développement durable à la CCEG et Philippe Trotté (Vice-Président de la CCEG), représentants du groupe de travail. L’Agenda 21 est un plan d’actions pour le 21ème siècle, impulsé par 173 chefs d’Etat, qui décrit les sec-teurs où la notion de développement durable est susceptible d’apporter des progrès (économies d’énergie, maîtrise des pollutions, qualité du cadre de vie, réduction des coûts et des gaspillages …)L’Agenda 21 formule des pistes de réflexion et des recommandations, la principale visant à rechercher l’implication des consommateurs.Cet engagement impose l’éducation et la responsabilisation des habitants, puis la mise en place de méca-nismes de consultation et de sensibilisation.Saisi par le Conseil Communautaire Erdre et Gesvres, le Conseil de Développement a constitué un groupe de travail Agenda 21, qui fonctionne depuis maintenant près de deux années ; le plan de travail qu’il s’est défini comporte cinq phases :

1- Un diagnostic Destiné à établir un état des lieux sur le territoire, il comporte notamment un sondage effectué auprès de 360 habitants représentatifs des communes de la CCEG, afin d’apprécier :

� L’accueil des habitants à la thématique

� La connaissance du projet

� Le potentiel de progrès

� Les actions favorables (concrètes, comprises, mesurables…)

Cette première phase de diagnostic est maintenant réalisée

2- Une définition des enjeux et des objectifs.Cette phase sera abordée en Janvier 2012

3- L’élaboration d’un plan d’actionsCette phase sera abordée en Avril 2012

4- La mise en place d’un système de suivi permettant une évaluation

5- La mise en œuvre des actions

Cette phase devrait avoir lieu en Avril 2013Ce programme, qui progresse par accumulation, permet aux personnes intéressées de s’impliquer dans une ou plusieurs phases, selon leur dispo-nibilité ou leurs goûts. Cette disposition permet d’apporter une contribution ponctuelle et « sur mesure » aux travaux du groupe.Des participants se sont portés volon-taires à l’issue de la réunion pour parti-ciper à la suite des travaux.

Marcel Poulizac