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réalisation Alexandre Boivin & Audrey Bouvier Livret de l’étudiant 2010/2011

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réalisation Alexandre Boivin & Audrey Bouvier

Livret de l’étudiant2010/2011

edito

Une nouvelle année universitaire est toujours un temps fort de notre agenda, événement rituel mais toujours exceptionnel. Au moment où environ deux cents nouveaux étudiants sont ac-cueillis à l’ensa Nantes, cent soixante-dix autres en-gagent leur dernière année du cursus conduisant au diplôme d’État d’architecte valant grade de master.

La rentrée universitaire 2010/2011 sera la seconde dans la nouvelle école implantée sur l’île de Nantes, au cœur d’un grand projet urbain en cours de réalisation, et conçue par les archi-tectes Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal. Grand prix national de l’architecture en 2008, ces der-niers décrivent leur projet comme un « dispositif » qui, « tel un outil pédagogique, questionne le programme et les pratiques de l’École d’architec-ture autant que les normes, les technologies et son propre processus d’élaboration. Trois planchers béton largement ouverts à 9m, 16m et 22m au-dessus du sol naturel, desservis par une rampe ex-térieure en pente douce, mettent progressivement en relation le sol et le ciel. Une structure légère divise la hauteur des niveaux principaux, installant généreusement les espaces dédiés au programme et créant un système propre à leur extension et leur évolutivité. Aux espaces du programme sont associés d’amples volumes en double hauteur. A l’initiative des étudiants, des professeurs ou des invités ces espaces deviennent lieu d’appro-priations, d’événements et de programmations. A tout moment, l’adaptation de l’École à de nou-veaux enjeux et sa reconversion sont possibles. »

Dans l’ensemble des possibilités qu’offre la nouvelle école, deux méritent particulièrement d’être soulignées, qu’une première année d’usage a pemis de vérifier totalement. La plus symbolique est sans doute celle qui permet à chaque étudiant, toutes formations confondues, de disposer à chaque semestre d’une place permanente de travail au sein d’un studio de projet. Lieu de l’enseignement du projet, il devient l’espace du travail personnel, qu’il se fasse individuellement ou en groupe. Cette mise à disposition d’un espace de travail pour chaque étu-diant, au sein de groupes constitués en fonction des choix d’options, n’a qu’une seule contrepartie : le respect par chacun du bien commun que constituent ces espaces, les mobiliers et les différents matériels.

Parallèlement aux activités d’enseigne-ment et de recherche, la nouvelle école permet également la mise à disposition d’espaces (am-phithéâtres, espaces tampons, galerie, etc…) à des organismes extérieurs qu’il s’agisse d’institutions publiques ou d’entreprises. Elle traduit une autre dimension hautement symbolique, celle d’une école ouverte sur la ville. De l’inauguration du « quartier de la création », en mai 2009 par les présidents des collectivités territoriales, aux anni-versaires d’institutions liées à l’architecture (AMO Bretagne/Pays de la Loire, CAUE 44), de la remise des Pyramides d’or (Fédération des Promoteurs-Constructeurs) à l’accueil de plusieurs cercles de partenaires et d’entreprises, nombre d’événements se sont succédés au cours dix-huit mois qui ont suivi l’emménagement fin février 2009. Ils ont abondamment illustré et démontré la pertinence de cette intention, initialement inscrite au programme et largement amplifiée par le projet architectural. C’est aussi une des significations fortes du projet de 1% artistique co-produit avec « le lieu unique » dans le cadre de la seconde édition de la biennale estuaire 2009. Œuvre de l’Atelier Van Lieshout de Rotterdam, « l’Absence » est une œuvre habitée,

Une école en ville, une école en mouvement

© Patrick Garçon - Nantes métropole

abritant une activité de bar/petite restauration, qui joue un rôle d’interface entre l’école et la ville.

Le projet d’établissement, tant à travers ce qui est déjà mis en œuvre que par ses perspec-tives de développement, tient dans cette dialecti-que entre la vie propre de l’école et son ouverture sur l’environnement universitaire, professionnel et culturel, dialectique dont la motivation et la fi-nalité résident dans le renforcement constant de la qualité de l’enseignement et de la recherche.

Ainsi, simultanément à la construction d’une nouvelle école en ville, l’ensa Nantes, éta-blissement national sous tutelle du ministère de la culture et de la communication, a travaillé au cours de la dernière décennie au renforcement de la qualité de son enseignement, au développement de son offre de formation initiale et continue et à son positionnement dans l’enseignement supérieur aux côtés de l’Université et des Grandes Écoles. De cet engagement témoignent notamment son ap-partenance au PRES L’UNAM (Universités Nantes, Angers, Le Mans) inauguré en juin 2009, le dou-ble cursus architecte-ingénieur engagé avec l’École Centrale en septembre 2008 ou encore son associa-tion à l’École Doctorale SPIGA (Sciences pour l’In-génieur, Géosciences, Architecture). Concernant la formation d’architecte, ce développement s’inscrit toujours dans une double intention réaffirmée à chaque campagne d’habilitation. Un premier ob-jectif est de garantir aux jeunes diplômés « l’auto-nomie critique » nécessaire à l’exercice profession-nel. Le second objectif s’appuie sur le constat que le terme d’architecte, s’il recouvre une réalité simple et socialement partagée de concepteurs d’édifices, désigne désormais un registre de pratiques profes-sionnelles beaucoup plus étendu, à la mesure de la complexification croissante de la société et de nouvelles demandes en émergence ou à faire émer-ger. A la formation et au titre d’architecte corres-

pondent donc une diversification des métiers et des statuts d’exercice que soutient le ministère et que l’ensa Nantes s’attache à développer pour accroître l’insertion professionnelle de ses diplômés. Cette diversification est essentielle pour mieux affirmer la place de l’architecture et des architectes. Elle se doit d’être à la hauteur de l’intérêt sociétal porté à l’architecture comme à la ville, et dont le nom-bre croissant de candidats (plus de 1800 en 2010 pour 110 places) est l’un des nombreux signes.

Je vous souhaite à tous une excellente année universitaire en espérant que ce livret vous apporte l’essentiel des informations nécessaires et en vous assurant de la très grande attention de l’ensemble de l’équipe enseignante et administra-tive pour un déroulement optimal de vos études.

Philippe Bataille

Directeur de l’ensa Nantes

sommaire

Livret de l’étudiant – édition 2010-2011

Edito du directeur .............................................................................

L’ensa Nantes..................................................................................

• L’organisation des études Formations et recherche à l’ensa Nantes...................................................... Devenir architecte.......................................................................... Par la voie de la formation initiale : La notion du parcours étudiant...................................................... Schémas synoptiques............................................................... Présentation des enseignements....................................................

Par la voie du double cursus architecte/ingénieur (ECN/EnsaNantes)....................... Par la voie de la formation professionnelle continue (FPC)................................. Habilitation à la maîtrise d’oeuvre en nom propre (HMONP)..............................

• La mobilité internationale et les coopérations internationales...................................�86

• Les ressources et les moyens de la pédagogie...................................................�90

La bibliothèque L’atelier maquette L’atelier reprographie et impression L’informatique Le prêt de matériel Les minibus Le off pédagogique

• Les associations..............................................................................�96

• La diffusion culturelle et les partenariats.......................................................�98

• Les instances, les enseignants et le personnel...................................................�00

Conseil d’administration Commission de la pédagogie et de la recherche (CPR) Annuaire des enseignants Organigramme administratif et contacts

• Extraits du règlement des études..............................................................�0�

• Emplois du temps............................................................................�04

• Plans de l’école..............................................................................��4

• Calendrier pédagogique......................................................................���

Sommaire

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1ère année p.��

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S2S1

2ème année p.4�

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S4S3

3ème année p.70

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1er CYCLE

semestres 7-9 p.�09

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semestres 8-10 p.�4�2ème CYCLE

DOMAINEs d’Etude...�00

crédit photographique : Ghislain His

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Introduction

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L’école nationale supérieure d’architecture de Nantes (ensa Nantes) est un établissement pu-

blic d’enseignement supérieur et de recherche du ministère de la Culture et de la Communication (direction de l’architecture et du patrimoine). Elle appartient au réseau des 20 écoles de ce ministère qui ont en charge l’enseignement de l’architecture en France et la délivrance du diplôme d’Etat d’ar-chitecte. Les spécificités de chacune de ces écoles sont présentées dans une publication de la DAPA, «Les études supérieures d’architecture en France», consultable sur les sites web du ministère de la culture (www.culture.gouv.fr, rubrique «dossiers thématiques», puis «architecture») et de l’ensa Nantes (www.nantes.archi.fr, rubrique «Présenta-tion», puis «Les études»).

Implantée au coeur de la région des Pays de la Loire, l’école de Nantes bénéficie de la dynamique culturelle, économique et universitaire de son terri-toire régional et métropolitain d’implantation.

Financée par le ministère de la culture avec la par-ticipation du conseil régional, du conseil général et de Nantes métropole, l’école est composée d’envi-ron 1100 personnes.En 2010/2011, elle accueille 688 étudiants en formation initiale menant au diplôme d’Etat d’ar-chitecte et 161 dans les autres formations qu’elle organise, soit 849 étudiants au total. Le corps en-seignant est constitué de 47 titulaires et d’un peu plus de 200 vacataires. Elle dispose d’une équipe administrative de 43 agents à laquelle il faut ajouter les postes de chercheurs et techniciens des deux la-boratoires de recherche habilités, dont l’un est une unité mixte de recherche CNRS.

Les coordonnées de l’école sont :

école nationale supérieure d’architecture de Nantes6 quai François Mitterrand - BP 16202 - 44262 Nantes cedex 2Établissement public national d’enseignement su-périeur et de recherche

Tél. : 02 40 16 01 21 (standard)Fax : 02 40 59 16 70Email : [email protected]

Horaires d’ouverture pour les étudiants :7h30-21h00 les lundi, mardi et mercredi.7h30-23h00 le jeudi,7h30-18h00 le samedi.

Un annuaire téléphonique détaillé mis à jour en temps réel est disponible sur l’intranet.

L’ensa Nantes

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Introduction

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La formation d’architecte. premier cycle menant au diplôme d’études en architecture (DEA) deuxième cycle menant au diplôme d’état d’architecte (ADE) l’habilitation à exercer la maîtrise d’oeuvre en nom propre la formation professionnelle continue

Les orientations générales de la formation

initiale.

Pour la formation conduisant au diplôme d’Etat d’architecte, l’ensa Nantes défend l’objectif

de former des architectes généralistes capables de maîtriser la conception architecturale et ur-baine dans tous ses aspects conceptuels, formels et constructifs.

Centrée sur le projet, la formation vise donc conjointement, pour l’étudiant, l’acquisition de sa-voirs-faire professionnels et le développement de l’autonomie de pensée. Participe de cette autono-mie et de la construction personnelle de l’étudiant, le fait que l’école lui donne la possibilité de se do-ter de compétences spécifiques en lui offrant des ressources dans quatre grands champs, autres que l’architecture proprement dite :• sciences et techniques pour l’architecture (STA),• histoire et culture architecturale (HCA),• arts et techniques de représentation (ATR),• sciences humaines et sociales (SHS).

A cette pluralité des champs, s’ajoute la diversité de postures à l’œuvre dans celui de l’architectu-re et à laquelle est utilement confronté l’étudiant par l’organisation du cursus. A la progressivité de l’enseignement qui s’effectuait essentiellement par année jusqu’à la réforme de 1998, s’est substitué, avec cette dernière et plus encore avec la mise en place du système LMD (Licence, Master, Doctorat), le développement d’options. Après un premier se-mestre commun destiné à introduire les étudiants à la notion de projet architectural et à acquérir un minimum d’outils de base de la conception, le cursus est organisé selon une offre d’options qui permettent à l’étudiant de personnaliser progressi-vement son parcours de formation parallèlement aux enseignements de tronc commun.

Le Premier cYcLe (Licence) conduisant au

DipLôme D’études en arcHiTecTure

Ce premier cycle doit permettre à l’étudiant d’ac-quérir les bases :• d’une culture architecturale,• de la compréhension et de la pratique du projet architectural par la connaissance et l’expérimenta-tion des concepts, méthodes et savoirs fondamen-taux qui s’y rapportent,• des processus de conception dans leurs rapports à divers contextes et échelles et en référence à des usages, des techniques et des temporalités, dans un cadre pédagogique explicite.

Les enseignements de ce 1er cycle sont organisés sur 6 semestres valant 180 ECTS (crédits européens). Ils correspondent à 4200 heures (2200 heures enca-drées par des enseignants et 2000 heures de travail personnel), réparties en 25 unités d’enseignement, dont 6 sont exclusivement consacrées au projet et représentent la moitié du temps d’enseignement.

Deux stages obligatoires sont à effectuer au cours de ce cycle et totalisent un minimum de six semaines. Ils ont la double finalité d’un stage « ouvrier » et d’un second stage dit de « première pratique », qui à l’ensa Nantes prend la forme d’un stage de « suivi de chantier ».

Enfin, l’obtention d’une certification en langues étrangères est obligatoire pour obtenir le diplôme de fin de 1er cycle. L’ensa Nantes assure des cours d’anglais, d’espagnol et d’allemand, et prépare à diverses certifications (TOEIC niveau 605 point, Bu-lats niveau B1-50points). Si l’étudiant préfère opter pour une autre langue, il assure seul sa préparation et doit obtenir une certification équivalente.

A l’issue de ce cycle et s’il obtient le diplôme d’études en architecture, l’étudiant peut poursuivre en 2e cycle pour l’obtention du diplôme d’État d’architecte.

Ce cycle doit également permettre à l’étudiant, grâ-ce à l’évaluation de ses aptitudes, de s’orienter vers d’autres formations de l’enseignement supérieur, comme des formations professionnelles courtes tel-les des licences professionnelles, débouchant sur la vie active, dans le respect des conditions particuliè-res d’accès à ces formations.

Le Deuxième cYcLe (master) conduisant au

DiPLôme D’ÉTaT D’arcHiTecTe

Ce deuxième cycle permet à l’étudiant de maîtriser :• une pensée critique relative aux problématiques propres à l’architecture,• la conception d’un projet architectural de manière autonome par l’approfondissement de ses concepts, méthodes et savoirs fondamentaux,• la compréhension critique des processus d’édifica-tion dans leurs rapports à divers contextes et échelles, en référence aux différents usages, techniques et tem-poralités.Ce cycle doit également permettre à l’étudiant de se préparer aux différents modes d’exercice et domaines professionnels de l’architecture ainsi qu’à la recherche en architecture.Les enseignements de ce deuxième cycle sont orga-nisés sur 4 semestres valant 120 ECTS (crédits euro-péens). Ils correspondent à 1200 heures encadrées par des enseignants et 1400 heures de travail per-sonnel réparties en 12 unités d’enseignement, dont 4 sont exclusivement consacrées au projet. Ces unités d’enseignement de projet représentent 65 % du temps d’enseignement et les 2/3 du total des ECTS requis. L’étudiant réalise son « projet personnel de fin d’étu-des » (PFE) dans celle du dernier semestre.Les autres unités d’enseignement de ce cycle intègrent des cours de tronc commun, une initiation à la recher-che par la recherche, l’élaboration d’un mémoire et un stage de formation pratique d’une durée minimale de deux mois à temps plein ou de quatre mois à mi-temps.

Comme pour le diplôme de premier cycle, l’obtention d’une certification en langues étrangères est obligatoi-re pour obtenir le diplôme d’État d’architecte. L’ensa Nantes assure des cours d’anglais et d’espagnol et prépare à diverses certifications (TOEIC 755 points, Bulats B2-65 points). Si l’étudiant préfère opter pour une autre langue, il assure seul sa préparation et doit obtenir une certification équivalente.

Le double cursus architecte/ingénieur (voir p. 176)

La formation professionnelle continue (FPC)La formation professionnelle continue est ouverte à des professionnels pouvant justifier d’au minimum 3 années d’activité sous la conduite ou en partenariat avec un architecte -20 stagiaires par promotion- qui souhaitent acquérir le diplôme d’Etat d’architecte. Le recrutement a lieu tous les 2 ans ; la prochaine session s’ouvrira à la rentrée 2011. Les cours ont lieu les vendredi et samedi tous les 15 jours et lors d’une semaine intensive au cours du 2e semestre. Ce rythme est maintenu pendant 3 ans. La 4e année, la promotion rejoint la formation initiale (15% de cours en commun) ; le rythme est alors d’un jour 1/2 par semaine. (voir p. 170)

L’habilitation à exercer la maîtrise d’oeuvre

en son nom propre (HMONP)Cette formation d’une année comprend une forma-tion théorique (environ 150h) et une mise en situation professionnelle de six mois. Elle est ouverte aux dé-tenteurs du diplôme d’Etat d’architecte, ou diplôme équivalent, souhaitant exercer les responsabilités liées à la maîtrise d’oeuvre dans les conditions de la profes-sion réglementée par la loi de 1977 sur l’architecture et s’inscrire à l’Ordre National des Architectes. La for-mation est accessible aux architectes diplômés d’Etat, soit dans l’année qui suit l’obtention du diplôme, soit à tout moment de la vie professionnelle, après valida-tion des acquis de l’expérience. (voir p. 176)

Formations et rechercheLa liste de toutes les formations spécialisées proposées par les vingt ensa est consultable sur www.nantes.archi.fr; rubrique «présentation» puis «les études», pages 54-55.

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Introduction

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Les masters et les DPEA. les masters MASTER (recherche) Sciences et techniques de l’environnement urbain (STEU) MASTER (professionel) Villes et territoires

les diplômes propres aux écoles d’architecture (DPEA) DPEA Architecture navale DPEA Scénographe

Outre le diplôme d’Etat d’architecte et l’habili-tation à exercer la maîtrise d’oeuvre en leur

nom propre, l’ensa Nantes propose seule ou en lien avec l’Université et/ou les grandes écoles, quatre autres formations de troisième cycle conduisant à des diplômes nationaux d’enseignement supérieur liés aux domaines de l’architecture et de la ville.

Le master STEUMaster recherche en sciences et techniques des environnements urbains, est une formation de se-conde année de master organisée conjointement par : - l’école centrale de Nantes (ECN), l’école des mines de Nantes (ENSTIMN), l’école nationale su-périeure d’architecture de Nantes (ENSA-Nantes) et l’université de Nantes. Il forme des spécialistes de la gestion environnementale de la ville, capa-ble de croiser les problématiques des environne-ments physiques urbains (qualité de l’air, qualité de l’eau, énergétique des bâtiments, lumière, son, gestion des ressources, etc) et les problématiques environnementales, humaines et sociales (am-biances urbaines, gouvernance urbaine, dévelop-pement durable, droit de l’environnement, etc). Parmi les trois spécialités proposées au sein du master, la spécialité « Ambiances et formes urbai-nes » s’adresse particulièrement aux architectes et urbanistes. Parmi les trois spécialités proposées au sein du master, la spécialité « Ambiances et formes urbaines » s’adresse particulièrement aux architec-tes et urbanistes.

Formations et recherche

Le DPEA « scénographe » Le DPEA «scénographe» s’adresse à des architectes, des ingénieurs, des diplômés en art, cinéma, théâ-tre ou histoire de l’art ainsi que des professionnels ayant assuré des responsabilités dans le domaine. La scénographie est une discipline opératoire, ar-tistique et professionnelle, constituée par un travail spécifique de conception, de projetation, de mise en forme et de mise en oeuvre d’un espace aux fins d’une représentation ou d’une présentation. Le DPEA forme des professionnels de la scénographie de lieux scéniques (lieux et édifices permanents ou provisoires de représentation, de rassemblement et d’échange), de projet urbain (la scénographie comme contribution à l’analyse et à l’aménage-ment urbain), de spectacle (théâtre, danse, opéra, musique, arts de la rue, cirque, cinéma, télévision), d’événement (fête, commémoration, célébration, intervention) et d’exposition (musées, muséologie et muséographie, expositions temporaires).

Le DPEA « architecture navale » Le DPEA « architecture navale » forme à la maitrise du projet de navire et, par extension, des ouvrages de techniques avancées. Il s’agit d’une formation de haut niveau, s’inscrivant dans une volonté de transformation des méthodologies et des technolo-gies en matière de conception dans la construction navale, tout en se situant dans le prolongement de la culture navale très riche dans la tradition régiona-le. Elle s’adresse aux architectes et aux ingénieurs, ainsi qu’à des professionnels pouvant justifier d’une expérience suffisante, qui apprennent à mener un projet en partenaires. A ce titre, une pédagogie du projet a été mise en place, mettant en synergie les compétences complémentaires des filières d’ori-gine des étudiants. Cela permet d’étudier et de faire progresser les démarches de conception propres à chacune d’elle, en produisant des projets comple-xes sous la forme d’un travail en équipe pluridisci-plinaire.

Le master « villes et territoires » Formation de seconde année de master organisée conjointement par : l’école nationale supérieure d’architecture de Nantes, la faculté de droit et de sciences politiques de l’université de Nantes et l’institut de géographie et d’aménagement régional de l’université de Nantes. Cette formationprépare à la diversité des métiers de l’urbanisme et plus parti-culièrement à ceux les plus opérationnels et les plus novateurs : extension et renouvellement urbains, gestion dynamique et durable des ensembles exis-tants. Le cursus s’appuie sur la complémentarité des cours, des séminaires et des mises en situation pro-fessionnelles (collectives et individuelles) à travers un atelier de projet et un stage fournissant matière à la rédaction d’un mémoire.

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Introduction

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L’école nationale supérieure d’architecture de Nantes a fortement développé depuis deux

décennies la recherche, convaincue qu’elle est une condition essentielle de la qualité d’un ensei-gnement supérieur. Elle dispose à ce jour de deux laboratoires habilités, le CERMA et le LAUA. Elle est membre à part entière du Groupe d’études, le GERSA.Depuis Mars 2008, l’école est dotée d’un conseil scientifique dont les travaux et avis relèvent deu développement des forces de recherche et d’éla-boration d’une politique de recherche à la fois spé-cifique et articulée au PRES UNAM.

Le CERMALe CERMA, associé au CRESSON (école natio-nale supérieure d’architecture de Grenoble) au sein d’une Unité Mixte de Recherche du CNRS, se consacre au thème des ambiances architecturales et urbaine, c’est-à-dire à l’ensemble des phéno-mènes physiques qui participent à la perception sensible de l’environnement construit et au confort (lumière, chaleur, vent, sons,…). Ce champ de recherche se situe à la croisée de plu-siuers champs disciplinaires : les phénomènes phy-siques (soleil, lumière, chaleur, vent, son...), les for-mes et matières de l’espace architectural et urbain, l’expérience sensible de l’environnement construit, la dimension esthétique. Il traite la modélisation et la simulation des phénomènes physiques, la carac-térisation et la conception des ambiances.Le CERMA anime la spécialité «ambiances et for-

Le LAUALe champ d’investigation du LAUA concerne les in-teractions entre espaces et pratiques. Les chercheurs appartiennent à différents champs disciplinaires des études urbaines : sociologie, géographie, urbanolo-gie, architecture, histoire, esthétique. Ils partagent des intérêts relevant aussi bien de l’enquête de ter-rain que de la critique théorique. Ils travaillent sur les processus de production de l’espace, le champ de la pratique architecturale et urbaine, les effets des politiques publiques sur les pratiques, qu’elles soient saisies au niveau des individus, des institutions ou des domaines d’action. Ces postures compréhensi-ves sont doublées d’une optique critique notamment en ce qui concerne le domaine des théories urbaines et de la planification. Les terrains peuvent être exo-gènes ou endogènes, la métropole Nantes/Saint-Na-zaire est investie à travers le suivi des projets urbains et comme support de réinterrogation de la question du local. Les dimensions épistémologiques, métho-dologiques et pédagogiques constituent un domaine de recherche à part entière misant sur la remise en cause des finalités entre terrain et théorie, contextes et savoirs, sujets et chercheurs. Le LAUA accueille des doctorants de plusieurs écoles doctorale (école doctorale «Sciencs de lhomme et de la société» de l’Université de Tours, école doctorale de géographie de Paris, etc). Il publie une revue annuelle : «Lieux communs» e développe un site internet : http.//www.laua.archi.frT. 02 40 16 01 35 F. 02 40 16 09 38 [email protected]

Formations et rechercheLes laboratoires de recherche. CERMA (centre de recherche méthodologique d’architecture) LAUA (language, actions urbaines, altérités) GERSA (groupe d’étude et de recherche scénologique en architecture)

La liste de tous les laboratoires et équipes de recherche hébergés par les vingt ensa est consultable sur www.nantes.archi.fr, rubrique «présenta-tion» puis «laboratoires de recherche».

mes urbaines» du MASTER recherche «sciences et techniques des environnements urbains» en col-laboration avec l’Ecole des Mines de Nantes et l’Ecole Centrale de Nantes. Il accueille d’autre part des doctorants inscrits à l’Ecole Doctorale SPIGA (Sciences Pour l’Ingénieur, Géosciences et Archi-tecture).Tél. : 02 40 16 01 37 - Fax : 02 40 59 11 77Site web : http://www.cerma.archi.fr

Le CERMA est l’un des membres fondateurs de l’Institut de recherche en sciences et techniques de la ville -IRSTV - (Fédération de recherche CNRS 2488). Cet institut conduit des recherches interdis-ciplinaires sur la ville. Il associe des laboratoires -en sciences de l’ingénieur et sciences humaines et sociales- de l’école nationale supérieure d’ar-chitecture de Nantes, de l’école centrale de Nan-tes, de l’école des mines de Nantes, du LCPC, du CSTB, des universités de Nantes, du Maine, de Haute-Bretagne (Rennes 2) et de La Rochelle. Tél : 02.40.16.02.35 Site web : http://www.irstv.cnrs.fr

Le GERSALe Groupe d’étude et de recherche scénologique en architecture (GERSA) conduit des travaux liés à la scénographie et l’architecture des lieux scéniques, à la scénographie urbaine et aux arts de la rue, à la scénographie virtuelle et aux outils numériques. Il regroupe des enseignants, des architectes, des scénographes, des artistes, des techniciens du spec-tacle, etc. Depuis 2006, il organise chaque année un séminaire -habilité par le Bureau de la recherche de la Direction de l’architecture et du patrimoine- autour de la notion de décor. L’objectif est d’appré-hender la pratique théâtrale à travers la question de la scénographie, et plus particulièrement de se concentrer sur la question de la métamorphose de l’image scénique via la pratique du changement de décor.

Devenir architecte

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Introduction

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Le terme d’« architecte », s’il recouvre une réalité simple et socialement partagée de « concep-

teurs d’édifices », désigne désormais un registre de pratiques professionnelles beaucoup plus étendu à la mesure de la complexification croissante de la société et de nouvelles demandes en émergence ou à faire émerger. A la formation et au titre d’ar-chitecte correspondent une diversification des mé-tiers et des statuts d’exercice.

En tant que concepteur(1) , il peut exercer en libé-ral ou comme salarié d’une agence d’architecture. Ses domaines d’intervention peuvent aller de la conception et la réalisation de bâtiments au projet urbain à l’échelle d’un quartier ou d’un territoire. Il est sollicité autant pour la création de nouvelles entités que pour la transformation d’espaces exis-tants. La commande à laquelle répond l’architecte vient du privé (particuliers, entreprises, promotion immobilière, …) ou du public (État, collectivités territoriales, administrations, …).

L’architecte peut également intervenir en amont ou en aval de la conception architecturale et urbaine pour la programmation, le suivi de réalisation ou la gestion/maintenance du patrimoine. Il exerce alors au sein de la maîtrise d’ouvrage qu’elle soit pu-blique (services de l’État, collectivités territoriales, offices d’HLM, …) ou privée (investisseurs, promo-tion immobilière, industrie,…)

En fonction de son mode d’exercice et de la variété des demandes, un architecte peut donc intervenir dans les domaines suivants :• la conception et la réalisation de bâtiments,• l’urbanisme et le projet urbain• la conception et l’aménagement d’espaces pu-blics• la réhabilitation de l’habitat ancien• la restauration des sites historiques• la programmation et le montage d’opérations

• le conseil aux collectivités locales• le contrôle de la qualité architecturale par diver-ses administrations• l’expertise en bâtiment• le design et la conception de produits industriels• l’ergonomie et les espaces de travail (architecture industrielle, espacesde bureaux et de commerce)• la scénographie• l’infographie et les métiers de l’image• l’architecture navale• la recherche et l’enseignement

Qu’il exerce au sein de la maîtrise d’oeuvre (conception) ou de la maîtrise d’ouvrage (com-mande), l’architecte travaille régulièrement au sein d’équipes pluridisciplinaires qui peuvent être com-posées, selon les projets, d’ingénieurs, de paysagis-tes, d’urbanistes, d’économistes, de sociologues, de plasticiens, etc.

Suite à une enquête réalisée en 2004, on peut constater que la majorité des diplômés s’insère en règle générale sans difficulté dans la vie profes-sionnelle (les deux tiers accèdent à un emploi en moins de trois mois). Entreprendre des études d’ar-chitecture c’est donc, aujourd’hui, s’engager dans une voie qui offre de réelles opportunités profes-sionnelles, surtout à l’heure où toutes les politiques publiques convergent pour encourager le dévelop-pement durable.

Partout en effet, en France, en Europe et ailleurs, la métropolisation s’accélère. Demain, la forme des villes autant que leurs modes d’usage (avec la ques-tion de la mobilité, celle des espaces publics, celle aussi de la grande hauteur, etc) détermineront leur « durabilité ». Les diplômés des écoles d’architecture seront donc des acteurs majeurs de la fabrication des villes et de l’aménagement de leurs territoires. L’ensaNantes les y prépare avec des enseignements et des laboratoires de qualité. L’emménagement, au

printemps 2009, dans un nouveau bâtiment (archi-tectes Lacaton et Vassal) au cœur de l’île de Nantes, leur donne une indéniable valeur en mettant à la disposition des étudiants les surfaces, les outils et les technologies nécessaires à une formation supé-rieure à la fois difficile, recherchée et passionnante, car en prise directe avec le monde contemporain.

(1) – La loi du 3 janvier 1977 sur l’architecture consacre l’intervention des architectes dans l’acte de bâtir. Elle dis-pose que le recours à un architecte est obligatoire pour toute construction dont la surface est supérieure à 170 m2 (800 m2 pour les bâtiments agricoles).

Un étudiant auteur de son parcours

�4

Introduction

�5

Aujourd’hui, le champ d’exercice du métier d’architecte s’élargit, s’y préparer doit être un

objectif de la formation. Une analyse fine des pro-fessions de la maîtrise d’œuvre notait récemment la capacité des architectes à s’adapter, à se repo-sitionner sans cesse malgré la division du travail, la complexification des modes de production et la concurrence d’autres métiers dans le champ de la construction.Cette diversité des exercices se double à la fois d’une variété et d’une variation des demandes que la société adresse aux architectes et urbanis-tes. Les mutations fortes de la société transforment les attentes de celle-ci à l’égard de notre champ. Il suffit de penser à l’émergence récente du déve-loppement durable qui modifie considérablement les outils, méthodes et consistance des projets mais aussi leurs enjeux théoriques. L’architecture est bien une des expressions les plus signifiantes de notre société. Ces transformations profondes ne sont pas neutres, elles suscitent tou-jours un débat. Les écoles d’architecture consti-tuent un des lieux majeurs où se discutent mais aussi s’élaborent les problématiques architectura-les et urbaines. Dans ce contexte, se former im-plique aujourd’hui d’acquérir autant des compé-tences mobilisables dans l’avenir que des savoirs. Se confronter à ces débats, à ces transformations, c’est construire son regard critique, son ouverture aux différents processus, amorcer le principe d’une formation continue, condition nécessaire d’une adaptation permanente.

Un second cycle basé sur l’optionnalitéEn ce sens la formation que propose l’ensan n’est pas un cursus linéaire mais plutôt un parcours bali-sé au travers de différentes options. Le second cycle de l’ensan, qui est un cycle d’approfondissement, est structuré sur un principe d’optionnalité : quatre semestres de projet à composer entre seize ateliers

aux thématiques et problématiques différentes; un mémoire à rédiger en choisissant son séminaire et quatre UE théoriques à valider parmi les huit pro-posées. Seules l’UE d’insertion professionnelle et la certification constituent le tronc commun de ce cycle.

L’ensa Nantes est attachée à cette offre diversifiée des ateliers et séminaires. Il ne s’agit pas de pré-tendre à l’exhaustivité des champs abordés, mais d’offrir à l’étudiant l’expérience de la variété des objets d’étude, celle-là même qu’il rencontrera dans l’exercice du métier. En termes de méthodes et de doctrines, l’ensa Nantes offre aussi une diver-sité de points de vue à laquelle l’étudiant est invité à se confronter pour construire peu à peu sa propre position, celle de l’autonomie.

Construire son parcoursFace à ce choix, l’étudiant est amené à construire son propre parcours, à la fois dans la sélection des options mais aussi dans l’ordre où il veut les suivre.

Il est important par exemple de déterminer, dès le début du cycle, quelle UEP servira le PFE. Le projet de fin d’étude sert en effet souvent de référence lors des premières recherches d’emploi. Intégrer la mobilité est un autre critère pour construire son parcours de formation. Chacune des vingt écoles d’architecture françaises offre des for-mations que peuvent suivre sous certaines condi-tions les étudiants pendant leur second cycle sur un semestre ou deux. Plus largement, le système Erasmus permet encore d’ouvrir les possibilités de cursus dès la troisième année.La mention recherche est un parcours spécifique auquel chaque étudiant peut prétendre. Les deux laboratoires de l’ensa Nantes sont associés à deux domaines d’études : le LAUA et le domaine 1 : condition métropolitaine, le CERMA et le domaine

2 : Ambiances. L’étudiant doit alors suivre trois UEP dans ce domaine et effectuer un stage de deux mois dans le laboratoire. Les exigences en termes de mé-moire sont également plus élevées. La finalité est de préparer un accès soit à un doctorat (à terme) soit à un master 2 recherche.

Au-delà de ces préalables, on peut repérer les deux familles principales de parcours.Un étudiant peut se construire un parcours éclecti-que, variant chaque semestre objets d’étude et mé-thodes. Ce cas privilégie alors la diversité d’expé-riences et de méthodes pour construire un parcours fondé sur l’ouverture.A l’inverse, un autre pourra choisir de développer une approche sur deux ou trois semestres . Le projet urbain, les ambiances, le patrimoine, l’édifice ou encore les processus de conception…peuvent de-venir les fils conducteurs du parcours choisi, quitte à chercher dans d’autres écoles des enseignements permettant d’affirmer cette dominante. On notera que l’approfondissement caractéristique des UE de second cycle ne constitue pas une spécialisation, le diplôme d’architecte reste généraliste. Il faut en fait entendre l’approfondissement comme un ni-veau et une exigence accrus de développement des projets.

L’utilité et le sens du parcours étudiant se matériali-seront dans le supplément diplôme, qui sera mis en place à l’ensa Nantes dès 2011. Celui-ci attestera, au-delà du diplôme, de la qualité du parcours de formation de l’étudiant en précisant les contenus abordés lors de sa formation initiale. En ce sens, le diplôme d’architecte d’état reste un diplôme géné-raliste mais les expériences acquises au travers des différents ateliers et enseignements dessinent un parcours spécifique pour chaque étudiant.

On notera pour terminer que ce projet de formation ne s’achève pas nécessairement à l’issue des cinq

années de la formation initiale. Il peut se prolonger par un doctorat, des diplômes spécialisés (DSA), des Master 2 de recherche ou professionnels, ou encore une habilitation à exercer en son nom pro-pre (HMONP).

Les outils du choix ?Décider de son parcours suppose avant tout d’avoir une bonne connaissance de l’offre. Les principaux outils mis à la disposition de l’étudiant sont ce livret étudiant, qui dans sa nouvelle formule s’efforce de présenter, textes et images à l’appui, les différentes options, mais aussi le site Internet de l’école. Assister aux présentations finales et intermédiaires des différents ateliers, aux soutenances de mémoi-res, constitue un bon moyen de découvrir les spéci-ficités de chaque option. Discuter de ses choix avec les enseignants permet également d’avoir un point de vue utile sur l’élabo-ration de son parcours.Enfin, les domaines d’études, dans les regroupe-ments qu’ils proposent, s’efforcent de donner une li-sibilité à l’offre des options en les regroupant autour de contenus thématiques et problématiques.

Premier cyclepréparant au diplôme d’études en architecture conférant le grade de licence

�6

Introduction

�7

Ue���6ects

Initiation au projet architectural

Projet architectural 2

Projet architectural 3

Projet architectural 4

Projet architectural 5

Projet architectural 6

Icônes enconstruction

UE21-1 Le logement et la villeUE21-2 Espèces d’espaces

UE31-1 Situations extrêmesUE31-2 L’invention concrète

UE41-1 Habiter : scénarios construitsUE41-2 Le logement étudiant à travers la fenêtre

UE51-1 Architecture Ville Mobilité UE51-2 Mais qu’est-ce donc

qu’un espace public?

UE61-1 EpicentresUE61-2 La ville durable en chantier

UE61-3 Espaces publics et habiter UE61-4 La traversée du paysage

Références et relevés

Matière d’architecture

Ambiances

Architecture en construction 1

Architecture enconstruction 2

Outils de conception et dereprésentation 1

Géométrie etmodélisation

Morphologie etmodélisation

Le logement social

Règles juridiques et économiques du

projet urbain

Outils de conception et dereprésentation 2

Voir etexprimer 1

Voir etexprimer 2

Voir etexprimer 3

Voir etexprimer 4

Bilan critiqueStage de 1ère pratique

Références et critiques

Histoire de la villeSociologe urbaine

Certification en langue étrangère

S1

S2

S3

S4

S5

S6

Prem

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Ue���4ects

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Ue�44ects

Ue444ects

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Ue646+4ects

Ue�54ects

Ue454ects

Deuxième cyclepréparant au diplôme d’état d’architecte conférant le grade de master

�8

Introduction

�9

Ue7�

DE� Villes en mutations / city migrationsDE� Patrimoine en devenirDE� Les ambiances à l’épreuve du projetDE� Conception architecturale et culture constructiveDE� Architecture et scénologie urbaineDE4 Habiter le rythmeDE4 Architecture en représentation

Ue8�

DE� Utopies ferroviairesDE� Frangments métropolitainsDE� HQE/HQA?DE� Ici et ailleursDE� Solid ThinkingDE� Espaces en construction et art de construireDE� Participation et contexte opérationnelDE4 Le même et l’autreDE4 Architecture des lieux scéniques

Ue9�

DE� Villes en mutations / city migrationsDE� Patrimoine en devenirDE� Les ambiances à l’épreuve du projetDE� Conception architecturale et culture constructiveDE� Architecture et scénologie urbaineDE4 Habiter le rythmeDE4 Architecture en représentation

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DE� Utopies ferroviairesDE� Frangments métropolitainsDE� HQE/HQA?DE� Ici et ailleursDE� Solid ThinkingDE� Espaces en construction et art de construireDE� Participation et contexte opérationnelDE4 Le même et l’autreDE4 Architecture des lieux scéniques

Ue7�

Ue8�

DE� Cultures urbaines / Histoire de l’urbanismeDE� Formes architecturales et urbaines et phénomènes d’ambiancesDE� Structures constructives 1DE4 Histoire des cultures contemporaines

DE� La condition métropolitaine en débatDE� Développement durableDE� Structures constructives 2DE4 Naissance d’une architecture théâtrale

Certification en langue étrangère

Ue7�

Ue8�

Ue9�

Ue�0�

Ue74

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Ue9�

Ue�0�

Enseignements de langue

Mémoire 1&2

Stage pratique(2mois)

Planificationet gestion duprojet urbain

Insertionprofessionnelle

Enseignements obligatoires

Enseignements théoriques optionnels(4 enseignements sur les 8 à valider en 3 semestre)

Projets architecturaux optionnels(4 projets à valider sur les 16 proposés,

dans au moins deux domaines d’étude différents, le 4° projet est le PFE)

S7

S8

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S10

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Deuxième cyclepréparant au diplôme d’état d’architecte conférant le grade de master

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Introduction

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Ens. théoriques

Projets architecturaux

Ens. théoriques

Projets architecturaux

Certification en langue étrangère

Ue7�

Ue8�

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Ue9��ects

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Enseignements de langue

Mémoire 1&2

Stage pratique(2mois)

Planificationet gestion duprojet urbain

Insertionprofessionnelle

S8 / S10

S7 / S9

Ue7�Ue9��8ects

Villes en mutations / city migrations

Cultures urbaines

La condition métropolitaine

Domaine d’étude 1 (DE1)

projet � / projet �

Utopies ferroviaires

Frangments métropolitains

La condition métropolitaine en débat

projet � / PFE

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Ue8�4ects

Formes architecturales et urbaines et phénomènes d’ambiances

Cultures constructiveset stratégies de projet

Domaine d’étude 2 (DE2)

Parimoine en devenirLes ambiances à

l’épreuve du projet

projet � / projet �

Développement durable

HQE / HQA?Ici et ailleurs

Solid Thinking

projet � / PFE

Ue7�Ue9��8ects

Ue7�Ue9�4ects

Ue8�Ue�0��8ects

Ue8�4ects

Conception architecturale et culture constructive

Architecture et scénologie urbaine

Structures constructives 1

Art et Méthodes du projetarchitectural et urbain

Domaine d’étude 3 (DE3)

projet � / projet �

Espaces en construction

et art de construireParticipation et contexte opérationnel

Structures constructives 2

projet � / PFE

Ue7�Ue9��8ects

Ue7�Ue9�4ects

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Ue8�4ects

Histoire des cultures contemporaines

Cultures constructiveset stratégies de projet

Domaine d’étude 4 (DE4)

Habiter le rythmeArchitecture en représentation

projet � / projet �

Dispositifs spatiaux : représentation/expérimentation

Le même et l’autreArchitecture des lieux scéniques

projet � / PFE

Ue7�Ue9��8ects

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Ue8�4ects

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études

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Premier cyclepréparant au diplôme d’études en architecture conférant le grade de licence

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Ue���6ects

Initiation au projet architectural

Projet architectural 2

Projet architectural 3

Projet architectural 4

Projet architectural 5

Projet architectural 6

Icone enconstruction

UE21-1 Le logement et la villeUE21-2 Espèces d’espaces

UE31-1 Situations extrêmesUE31-2 L’invention concrète

UE41-1 Habiter : scénarios construitsUE41-2 Le logement étudiant à travers la fenêtre

UE51-1 Architecture Ville Mobilité UE51-2 Mais qu’est-ce donc

qu’un espace public?

UE61-1 EpicentresUE61-2 La ville durable en chantier

UE61-3 Espaces publics et habiter UE61-4 La traversée du paysage

Références et relevés

Matière d’architecture

Ambiances

Architecture en construction

Architecture enconstruction 2

Outils de conception et dereprésentation 1

Géométrie etmodélisation

Morphologie etmodélisation

Le logement social

Règles juridiques et économiques du

projet urbain

Outils de conception et dereprésentation 2

Voir etexprimer 1

Voir etexprimer 2

Voir etexprimer 3

Voir etexprimer 4

Bilan critiqueStage de 1ère pratique

Références et critiques

Histoire de la villeSociologe urbaine

Certification en langue étrangère

S1

S2

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S4

S5

S6

Prem

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Ue633ects

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Ue454ects

Licence � / Semestre �

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Licence � / Semestre �

Ue11Initation au projet architectural

Michel [email protected]

Le positionnement de l’enseignement UE11, au début de la formation, lui confère un rôle d’ac-

cueil. On propose de présenter les principes géné-raux du champ disciplinaire, et d’apporter les bases élémentaires de la conception du projet architectu-ral ; de baliser le chemin dès les premières étapes.Il faut également assurer la transition entre 2 modes pédagogiques contrastés : le secondaire, qui vient de s’achever pour la plupart des nouveaux arrivants, et celui de l’université qui exige l’apprentissage de l’autonomie personnelle, et l’expérimentation du travail collectif. Accueil, formation et autonomie constituent les objectifs pédagogiques essentiels .

Organisé autour de trois étapes, concevoir, construi-re, communiquer, le processus du projet occupe une place centrale dans le dispositif d’UE11. On aborde les différentes manières d’opérer la spécifi-cité de chaque phase, puis on tente simultanément de les rendre interactives, complémentaires, dans le déroulement du projet global, pour lui donner une spécificité. Symétriquement les thèmes : altérité, ur-banité, créativité, apportent les références constan-tes, pour permettre à chacune & chacun, étudiant, enseignant, groupe, individu, l’approche critique & personnelle des notions communes : l’interprétation, la représentation, au final l’appropriation personnelle.

3 modes pédagogiques rythment le semestre.• théorique sous forme de cours magistral : définir & documenter les notions de base.• expérimental : construire l’application spatiale des données du cours : l’atelier• intensif synthèse des acquis & densification d’in-terventions, autour de l’exercice final.

3 exercices constituent les temps forts d’UE11, leur restitution collective permet d’apprécier l’évolution personnelle et générale, autorise une forme de syn-thèse, visuelle, globale et conviviale, des acquis. De ces présentations naît une forme de culture architec-turale, portée par le biais de 5 notions fondamenta-

les, abordées de façon progressive sur le semestre: l’échelle, premier concept spécifique, & l’indissocia-ble proportion. La transition active la relation spatiale depuis l’extérieur jusqu’à l’intérieur pour établir un seuil. Avec la notion de lumière, universelle & spé-cifique, on expérimente l’ouverture. Le thème de la spatialité autorise l’analyse des paramètres tridi-mensionnels, constitutifs des qualités de l’espace architectural, pour produire un support spatial, en adéquation avec les usages requis. Le concept d’as-semblage, opère, au final, la synthèse & l’articulation des composants, par le biais d’une approche urbaine, basée sur le thème de l’angle, initiant la notion de contexte.Le cours théorique documente, l’atelier expérimente, l’exercice réalise, ces notions basiques. Enfin, on s’exerce à la nécessité de transmettre les intentions du projet au travers d’une communication collective et interactive : se familiariser aux échanges critiques.L’UE11 s’inscrit dans une logique de progression. Depuis l’élémentaire travail des échelles, jusque l’ap-proche d’un contexte urbain, l’enseignement se fixe pour objectif d’établir une dynamique pour préparer la suite, pour s’apprêter à accueillir les exigences de progression des ateliers du cursus.

On tente d’établir des niveaux de compétence en matière spatiale, savoir développer un registre de va-riations, une capacité à comprendre la nuance, pos-séder un sens critique et favoriser l’acquisition d’une culture, à la fois architecturale & urbaine, ouverte sur les lieux du Monde.

Michel Velly, responsable pédagogique de l’UE11 2009-2010, avec Catherine Daumas-Garcia, Guillaume Leparoux, Catherine

Malleret, Evelyne Rocheteau, Tangi Saout, Stéphanie Vincent, architectes

Séminaire Atelier Intensif

Heures Coefficient Contrôle continu Examen Partiel Examen Final

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Licence � / Semestre �

Ue12Icones en construction

pascal [email protected]

e12-1 Histoire de l’architecture : architecture moderneMarie-Paule Halgand

e12-2 ConstructionBenoit Boris e12-3 Histoire & Construction

p.Joanne, B.Boris, MP. Halgand e12-5 Modélisation physique &

mathématiqueolivier orfila

OBJECTIF Ce cours veut donner à l’étudiant qui dé-couvre le plus souvent l’architecture moderne, des éléments pour se construire des repères et des réfé-rences dans une histoire qui va de 1870 à 1960. L’articulation avec l’enseignement de la construc-tion veut permettre d’approfondir la compréhen-sion de la dimension constructive dans ces exem-ples paradigmatiques.

CONTENU Le cours d’histoire présente une série de monographies qui se développent selon un ca-dre chronologique et qui sont articulées entre elles pour expliciter les filiations et positions de chaque architecte ou des «écoles» qui marquent les grands moments de l’architecture moderne.

THEMES PRINCIPAUX L’Ecole de Chicago et Louis Sullivan, Frank Lloyd Wright, Otto Wagner, Joseph Olbrich / Adolf Loos, Peter Behrens et le Werkbund, Auguste Perret et Tony Garnier, Gropius et le Bau-haus, Le Corbusier, Mies van der Rohe, Les CIAM

Une documentation iconographique, distribuée à chaque cours, présente les édifices qui seront traités pendant la séance.

OBJECTIF Cet enseignement vise à constituer et consolider la culture constructive de l’étudiant à travers la connaissance technique des matériaux et des systèmes constructifs. En croisement avec l’en-seignement en histoire de la construction, on pro-pose ici d’étudier les qualités des matériaux sous les multiples points de vues de leurs propriétés phy-siques et mécaniques, de leur mise en œuvre et de leur mise en forme.A l’issue de cet enseignement, l’étudiant devra être en mesure de nommer, décrire et illustrer les prin-cipales situations de mise en œuvre rencontrées en gros-œuvre et structure.

CONTENU Le cours portera essentiellement sur les matériaux courants de la construction : acier, béton, bois et verre qui seront abordés par des thématiques liées à leur nature et à leur mise en œuvre :

• Matériaux formables : les applications du béton• Les produits industriels : les blocs, les profilés, la préfabrication• La résistance aux contraintes : les matériaux com-pressibles, les matériaux étirables.• Notions de filtre : transparence, étanchéité, pro-tections diverses

Le cours apportera les principaux éléments néces-saires à la réalisation des travaux dirigés de l’ensei-gnement : Histoire et Construction.

OBJECTIF Expérimenter et approfondir les articu-lations entre histoire de l’architecture et construc-tion en mettant l’analyse d’œuvres et d’architectes de référence dans la perspective de l’évolution des techniques et des savoirs faire de la construction.

CONTENU Cet enseignement se déroulera sous forme de trois travaux dirigés co-encadrés:

Les mots pour le dire :Lecture et analyse de plans à partir du corpus des édifices de l’Ecole de Chicago.Identifications des éléments constitutifs : porteurs, parois légères, ouvertures, occultation, travail sur les dimensions

La construction en détail :Repenser le système constructif par rapport aux ma-tériaux utilisés. Travail à deux échelles: architecture domestique et grandes portées.

Inventer la fenêtre :Cet exercice vise à analyser la fenêtre, conçue, dessinée et mise en oeuvre par des architectes au cours du XXème siècle, comme objet d’invention et d’innovations pour répondre à des «contrain-tes» constructives, techniques et ambiantales. Un dessin technique et architectural de la fenêtre sera produit par l’étudiant à l’issu d’une recherche bi-bliographique.

OBJECTIF L’objectif de ce cours est de fournir les bases en mathématiques et en physique pour sui-vre les enseignements techniques dispensés dans le cycle Licence et Master de l’Ecole d’architecture. Il traitera de la géométrie métrique (mesure des an-gles, des longueurs, des surfaces et des volumes) et du calcul vectoriel lié à la détermination des efforts dans les structures simples. Les étudiants ayant obtenu une note supérieure à 12 au bac S sont dispensés de cours et de TD.

CONTENU Le cours rappelle les notions d’algèbre indispensables à la géométrie métrique :

• Trigonométrie• Calculs des longueurs, surfaces, volumes• Densité et masse volumique• Les transformations géométriques (translation et changement d’échelle)• Calcul vectoriel• Les moyennes

Ainsi que les méthodes de compositions vectoriel-les appliquées au calcul des efforts dans les systè-mes plans :

• Définition de la notion de force et de moment (bras de levier)• Les charges ponctuelles et réparties (plancher/poutres)• Les équations de la statique et la notion d’équi-libre• Le calcul des réactions d’appui

Le panorama de l’architecture contemporaine est le fruit de multiples modalités qui vont fonder l’acte de construire : la référence, le modèle économique ou culturel, la fabrication de matériaux et l’expéri-mentation de nouveaux procédés, l’évolution des normes, etc. L’approche historique et l’initiation à la construc-tion abordées conjointement dans cette unité d’en-seignement, proposent d’apporter les éléments d’une connaissance et d’une analyse architectura-les permettant de décrypter ces modalités.

E12-1 Histoire de l’arch.E12-2 ConstructionE12-3 Histoire & Construc.E12-4 Modél. phys. & math.

Coefficient Heure Heuresemaine semestre

33,53,5

16322440

1h152h303h003h15

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Licence � / Semestre �

Ue13Outils de conception et représentation

nathalie [email protected]

e13-1 Outils de représentationNathalie Welfert

e13-2 Géométrie SpatialeThomas Ouard e13-3 Informatique

Nathalie welfert e13-5 Dessin d’observationD.Courbot & R. Jacquier

e13-4 LanguesJeanne Catherine

OBJECTIF : La capacité à représenter (restitution, conception, communication) passe par la maîtrise desoutils usuels et nouveaux de la représentation plane etvolumétrique. Acquérir une pratique des outils de re-présentations et de communications, faire le lien entre les outils manuels et numériques.CONTENU : Le programme s’articule avec les ensei-gnements où la représentation trouve sa juste applica-tion. La capacité à représenter exige :la connaissance d’éléments théoriques de chacun des modes de représentations, c’est-à-dire les «moyens» qui reposent essentiellement sur la géométrie projec-tive ; la maîtrise graphique, c’est-à-dire les «codes » qui englobent les traits, les rendus, les supports, les échelles, les signes... ; la pratique du croquis, que ce soit dans une pratique d’observation aussi bien que dans la démarche de conception ; l’apprentissage du relevé de l’existant à l’aide du géométral et du croquis ; les projections : orthogonales, obliques, travail com-portant des plans, coupes, élévations et l’axonométrie ; les rendus traits, rendus, ombres, mise en page ; travail sur l’image numérique, donner à voir une ambiance.Des exercices communs sont donnés entre les outils manuels, les outils numériques et l’image numérique.

OBJECTIF L’architecte conçoit l’espace en 3 dimen-sions ; en revanche tous les modes de représentation qu’il utilise s’effectuent dans un espace à 2 dimensions (format de papier, écran, ou encore dispositifs d’acqui-sition de données comme souris tablette graphique). Il est donc nécessaire, dès le début du cursus, de four-nir à l’étudiant le vocabulaire et les techniques géomé-triques indispensables à la lecture et à la représentation d’objets réels ou projetés et, au-delà d’aspects pure-ment pratiques, l’amener à relier le mode de représen-tation (choix de la projection, orientation, etc.) au type d’information à transmettre.

CONTENU Le cours aborde principalement le géomé-tral, la perspective conique et l’axonométrie. Le semes-tre est constitué de deux grandes périodes : • La perspective est présentée tout d’abord sous l’as-pect historique, puis sous les principes que sous tend ce type de représentation. L’objectif est d’amener l’étu-diant à s’approprier la représentation en perspective en tant qu’outil d’expression et de communication du projet.• L’axonométrie est, elle aussi, abordée en premier lieu dans un contexte historique, puis dans un second temps le cours décline les différentes représentations axonométriques en s’attachant, pour chacune d’elle, à montrer sa capacité d’expression du projet.En synthèse, le cours insiste sur les spécificités de cha-cun de ces modes de représentation, le degré d’infor-mation qu’ils dispensent, pour finalement montrer que le choix de tel ou tel mode n’est pas indifférent, qu’il est véritablement porteur de sens.

OBJECTIF : Initiation à la 2D et 3D numérique pour l’architecture. Il s’agit pour les étudiants d’ac-quérir les compétences nécessaires à l’utilisation des outils numériques . Découverte du panel des outils de représentation, de communication et de modélisation liés à la pratique de l’architecte.CONTENU : Connaître les concepts de base et maî-triser un environnement informatique. Donner les moyens à l’étudiant d’ exprimer et de traduire ses recherches et ses intentions du projet architectural. Acquérir une pratique des outils de représentations et de communications: textes, croquis, schémas, dessins, images et présentations numériques. Ac-quérir une pratique des outils de modélisation 3D. L’apprentissage se fait par la pratique de logiciels dits « généralistes » et rencontrés dans les agences d’architecture afin de comprendre et d’acquérir une méthodologie liée à cet outil.Programme de l’enseignement:• Gestion des fichiers informatiques• Maîtrise de la DAO• Concepts et commandes de base de l’outil infor-matique,• Entités géométriques 2D et modeleur 3D• Codification des données vectorielles ou données images•Modélisation de projet conçus en atelier de projetCet enseignement assure la formation de base sur laquelle vont s’appuyer les différents enseignements d’outils numériques proposés dans le cursus.

Situé dans le champ de la représentation, le des-sin d’observation est un préalable nécessaire au dessin de conception. Il a pour objectif d’amener les étudiants à éprouver l’expérience du regard et d’arriver à retranscrire cette expérience au moyen de différents outils et techniques manuels de repré-sentation.

Quatre thématiques conçues en rapport avec l’ate-lier de projet sont abordées :

• l’objet dans l’espace : dessin d’objets, objets en situation.• le corps dans l’espace : modèle vivant, portraits en situation.• l’espace intérieur : détails, escaliers, vues d’espa-ces intérieurs architecturés.• l’espace public : architectures, paysages urbains, végétaux.

A travers ces thématiques les questions portant sur les dimensions, les proportions, la perspective, les échelles, la lumière et les textures seront mises en avant et traitées par chacun des enseignant selon des modalités qui lui sont propres.

Une épreuve de dessin commune à tous les étu-diants clôt le semestre. L’enseignement est validé par l’obtention de la moyenne entre la note de TD (coefficient 2) et la note d’examen (coefficient 1). A l’issue de cet examen (sans rattrapage) les étudiants n’ayant pas obtenu la moyenne en dessin se voient diriger au second semestre vers un atelier privilé-giant la pratique du dessin.

voir fiche de l’UE22 : E22-4 (p.51)

Didier Courbot, Rémy Jacquier, Baptiste, Daniel Grimaud Aurélien Meyer, Clément Laigle, Pierre Faucher

et Nikolas Fouré

Sous l’appellation de Représentation de l’architecture il est loisible de regrouper un ensemble d’ outils qui se propose de montrer l’architecture à la confluence des codes techniques et plastiques, manuels et numé-riques. Il convient de donner aux étudiants les clefs indispensables à la maîtrise des savoirs et des savoir-faire de la représentation en architecture. Acquérir les techniques de base, croquis, dessins à main levée, schémas, constructions géométriques, D.A.O (Des-sin Assisté par Ordinateur),modélisation, retouche d’image permettant de valoriser la communication du projet d’architecture.

E13-1 ReprésenationE13-2 Géométrie spa.E13-3 InformatiqueE13-4 LanguesE13-5 Dessin obs.

Coefficient Heure Heuresemaine semestre

21,5

11

1,5

7 ects

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3h451h152h302h002h30

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Premier cyclepréparant au diplôme d’études en architecture conférant le grade de licence

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Ue1116ects

Initiation au projet architectural

Projet architectural 2

Projet architectural 3

Projet architectural 4

Projet architectural 5

Projet architectural 6

Icone enconstruction

UE21-1 Le logement et la villeUE21-2 Espèces d’espaces

UE31-1 Situations extrêmesUE31-2 L’invention concrète

UE41-1 Habiter : scénarios construitsUE41-2 Le logement étudiant à travers la fenêtre

UE51-1 Architecture Ville Mobilité UE51-2 Mais qu’est-ce donc

qu’un espace public?

UE61-1 EpicentresUE61-2 La ville durable en chantier

UE61-3 Espaces publics et habiter UE61-4 La traversée du paysage

Références et relevés

Matière d’architecture

Ambiances

Architecture en construction

Architecture enconstruction 2

Outils de conception et dereprésentation 1

Géométrie etmodélisation

Morphologie etmodélisation

Le logement social

Règles juridiques et économiques du

projet urbain

Outils de conception et dereprésentation 2

Voir etexprimer 1

Voir etexprimer 2

Voir etexprimer 3

Voir etexprimer 4

Bilan critiqueStage de 1ère pratique

Références et critiques

Histoire de la villeSociologe urbaine

Certification en langue étrangère

S1

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S5

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Ue434ects

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Ue344ects

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Ue544ects

Ue646+4ects

Ue354ects

Ue454ects

Licence � / Semestre �

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Ue21.1Le logement & la ville

Pascal [email protected]

Colorée dans une dominante Histoire et Culture Architecturale, l’UE 21-2-a « Le logement et la

ville dans l’histoire » aborde le domaine du loge-ment individuel, à travers la culture architecturale contemporaine. Il interroge ces références avec la question du contexte, avec l’hypothèse que l’ar-chitecture ne peut pas s’élaborer en dehors de son contexte environnemental, historique, culturel et sociétal.

Le cours théorique décrit les grandes lignes de l’évolution de l’habitation humaine depuis l’an-tiquité jusqu’au XIX°s.. Concernant l’époque contemporaine, il évoque les références archi-tecturales de la maison individuelle. Il aborde les modifications apportées au cours du XX°s. par les innovations technologiques et de confort dans la production du logement.Le cours aborde la question du site: urbain, ban-lieue, péri-urbain et « naturel », à travers les constats sur les situations actuelles, et grâce à des réalisations architecturales positionnées dans un rapport à la nature ou à la densité urbaine. Le cours montre la nature des formes urbaines, depuis les logiques de découpage de territoire et de desserte de voirie jusqu’à la manière dont l’architecture se « pose » dans l’espace de l’îlot et de la ville.

L’atelier intensif est l’occasion, par binômes, de « décortiquer » des architectures emblématiques des XX° et XXI°s., du Japon à la Californie, en redessi-nant les plans des architectes, en réalisant des ma-quettes à grande échelle et par un travail d’analyse des démarches projectuelles et des compositions formelles mises en œuvre.

Le studio de projet permet à chaque étudiant d’ex-plorer le thème du logement individuel, à travers deux exercices de projet de maisons individuelles. La question du site est le paramètre principal de l’élaboration du travail de projet, avec la compré-

hension du site abordé (rural puis urbain) et du po-sitionnement par rapport à lui, tout en répondant à la demande d’un programme de vie d’une famille. L’élaboration du projet se fait dans le choix de typo-logie et par la définition du plan masse. Enfin, le projet de maison individuelle se concré-tise par les définitions réfléchies des volumétries, la qualité des espaces, la gestion des circulations et des vues et pour la réponse à la demande d’usages. Les références architecturales contemporaines utili-sées dans le travail des deux projets sont encoura-gées et doivent être citées.

Suite à ses découvertes exploratoires entre théories, cultures et pratique, l’étudiant en fin de semestre 2 doit savoir décrypter, aisément, les plans de loge-ments individuels, reconnaître les grands courants de la culture architecturale contemporaine du lo-gement. Il doit savoir se positionner par rapport à un site, et imaginer des volumes articulés et pensés à l’échelle d’un site, et créer des espaces de vie de qualité.

Pascal FILATRE Architecte du Patrimoine, Architecte DPLG, Martine BONNIER Architecte DPLG, Loïc DAUBAS Architecte DPLG, François DEFRAIN Architecte DPLG, Pa-trick KERMARREC Architecte DPLG et Bertrand Pourrier

Architecte DPLG

Séminaire Atelier Intensif

Heures Coefficient Contrôle continu Examen Partiel Examen Final

241--

100

1056

303040

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100

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Licence � / Semestre �

�4 �5

Ue21.2Espèces d’espaces

Miguel [email protected]

Caractériser ?

Les espaces que construisent les architectes ne sont pas neutres, équivalents et interchangeables. Quant

ils sont réussis, ils se caractérisent et se différencient par les qualités particulières, physiques et spatiales, que leur ont attribué leurs auteurs. Le travail spatial et construc-tif s’attache principalement à la qualité des limites, des divisions et des partitions. Celles-ci divisent et qualifient les intérieurs les uns par rapport aux autres. Cependant le long travail de la qualification de l’espace intérieur ne peut se faire sans hypothèse a minima sur les usages qu’il va accueillir.

Un au-delà des conventions ? Dans son livre «Espèces d’espaces», Georges Perec interroge les conventions atta-chées aux objets et aux lieux les plus banals du logement. Ces lieux, ces espaces, ces objets deviennent les person-nages d’une fiction qui se construit sous nos yeux. Cet œuil neuf et poétique nous con cerne au moment d’in-terroger nos pratiques ordinaires. Sont-elles effectivement si ordinaires? Comment mettre en forme les espaces du quotidien et comment initier et nouer les connaissances nécessaires pour situer des intentions légitimes de projet? Quels découpages et quelles partitions caractérisent de façon plus générale le projet du logis? La prise de posses-sion de l’espace est le premier signe et peut-être même la condition de l’existence. Avant même que d’aborder la « mécanique »du logement, notre option se propose d’interroger cette appropriation d’un point de vue archi-tectural sur l’objet d’étude qu’est l’habiter, le logement et leurs notions opératoires.

De l’intérieur vers l’extérieur : Premier thème d’importance, la relation entre intérieur et extérieur accompagnera tout le travail spatial et construc-tif par l’intermédiaire de la fenêtre, «entrée» pro-blématique et fil conducteur de la réflexion.

L’atelier propose une approche particulière du logement, en traitant d’abord de la constitution par partie de l’inté-rieur en lui-même et pour lui-même. C’est dire que l’on traitera l’espace du logement dans ses agencements a

priori les plus modestes, afin de mettre en évidence les vertus possibles de ces espaces dans une approche qua-litative. Répondant aux sollicitations de l’usage et aux mouvements du corps humain, l’espace du logement se déterminera dans ses contiguïtés et ses espacements. Le dimensionnement des divers dispositifs architecturaux permettra de contrôler la vue et la lumière. La notion de dispositif est à la base de ces expérimentations. Elles concerneront sans exclusive l’usage, le rapport entre in-térieur et extérieur, la lumière et les vues, le dimension-nement et l’échelle, l’ergonomie, les dispositifs de l’ex-tension visuelle de l’espace, le mobilier architectonique.

Sur la base des résultats obtenus, et par des transformations successives, on abordera les questions de l’unité des inten-tions dans le logement, et de l’unité dans le groupement et la répétition. Les transformations permettent de distinguer progressivement ce qui reste et ce qui se transforme, ce qui fonde et ce qui se modifie, ce qui constitue le type, et ce qui s’en éloigne. Que devient le logement dans son addition? Ici la notion d’habitat intervient, les lieux se di-visent, les espaces sont partagés. Les répétitions verticales ou horizontales créent les lieux de l’entre-deux, les espa-ces du «à la fois» dont la richesse, voire l’ambiguïté doi-vent être précisément étudiés et recherchés.

Le travail du projet donne une vision empirique et opératoi-re de ces notions. Il vise à l’aisance dans le projet et la mani-pulation du logement en donnant le vocabulaire, les mots de l’espace, les notions qui portent des intentions spatiales. La coloration constructive de cet enseignement s’appuiera sur les intensifs de construction qui traiteront par groupe de logements remarquables. Au terme de ces analyses, nous constituerons un « manuel » du logement collectif.

Miguel Macian titulaire, Jacques Arnoux,Thomas Durand, Matthieu Germond

Licence � / Semestre �

Séminaire Atelier Intensif

Heures Coefficient Contrôle continu Examen Partiel Examen Final

321

30-

70

1056

103060

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14 ects

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Licence � / Semestre �

Ue22Références & relevés

Elise [email protected]

e22-1 Histoire de l’architecture: Corpus de référencesMarie-Paule Halgand

e22-2 Sociologie urbaineElise Roy e22-3 TD relevés : « En-quête

d’espaces habités »Elise Roy e22-4 Langues

Jeanne Catherine

L’objectif est d’établir dans un cadre chronologique les repères essentiels dans la production de l’ar-chitecture occidentale depuis l’antiquité jusqu’à la période baroque en introduisant des notions d’his-toriographie.

Une approche problématisée sur le thème de la ré-férence sous-tend l’organisation de l’enseignement. Les cours sont monographiques et portent sur des périodes, des œuvres ou des architectes.

Les thèmes suivants seront abordés : Architecture de l’Antiquité, la Grèce – Rome, le langage des ordres – Architecture byzantine – Architecture médiévale, romane et gothique, le regard du 19ème siècle sur le moyen âge – Architectes de la Renaissance ita-lienne : Brunelleschi, Alberti, Bramante, Perruzzi, Serlio, Michelangelo, Palladio, Vignole – Le ‘Palla-dianisme’ : Inigo Jones et Christopher Wren – La Renaissance et le Classicisme français – Le Baroque romain : Borrimini, Bernini, Pietro di Cortona – Ba-roques en Europe.

Une documentation iconographique distribuée à chaque cours présente les édifices étudiés pendant la séance.

Les TD constituent un espace pédagogique privilé-gié pour découvrir in situ l’épaisseur sociale des ter-ritoires, et pour s’exercer aux méthodes d’enquête utiles à cette découverte. Après deux séances introductives permettant l’ap-prentissage des méthodes de l’enquête sociologique sur l’espace habité (entretien semi-directif ; obser-vation ; relevé habité…), les étudiants, organisés en trio, se voient en charge de mener enquête sur les pratiques sociales d’un logement familial. Le maté-riau d’enquête est ensuite analysé une première fois dans une approche monographique, puis au cours d’une démarche comparative, en croisant les maté-riaux de deux des enquêtes effectuées. Cette approche comparative permet aux futurs ar-chitectes de découvrir les pratiques sociales habi-tantes singulières ou partagées qui font aussi le lo-gement, et avec lesquelles ils devront savoir faire.

3 langues sont proposées : anglais, allemand et espagnol.

OBJECTIF Il s’agit d’acquérir les compétences né-cessaires pour fonctionner correctement dans la vie professionnelle, et la vie de tous les jours dans la langue choisie.

Les TD visent à développer les 4 compétences lin-guistiques :La compréhension oraleLa compréhension écriteL’expression orale L’expression écrite

Pour certifier leur niveau, les étudiants doivent pas-ser l’examen de TOEIC en anglais et le BULATS en espagnol ou allemand. Ils doivent atteindre un score minimum de 605 au TOEIC et avoir un mini-mum de 50 points au BULATS (niveau B1).

Ils ont des cours de préparation à ces examens.Les scores demandés assurent un niveau minimum d’opérationnel de base.

CONTENU DES TDTextes à étudierEnregistrements à écouterRévision et pratique de la grammaireVocabulaireJeux de rôle et discussions

CONTENU DES COURS MAGISTRAUXPréparation et entraînements aux examens de TOEIC et BULATS .

A LA DECOUVERTE DE L’EPAISSEUR SOCIALE DES ESPACES

Cette série de cours propose une approche de la dimension sociale des espaces, en livrant quelques clés d’analyse des espaces de la ville utilisées par les sociologies urbaines et de l’habitat, proposant de découvrir comment ces champs scientifiques examinent aussi bien ce qui conditionne la pro-duction sociale des différents espaces dans une so-ciété donnée, les processus qui conduisent à leur réalisation, que la manière dont les espaces sont habités, recréés par les pratiques et l’imaginaire de ceux qui les habitent et comment ils peuvent agir sur les conduites et les représentations individuelles et collectives. (M. Clavel, 2002). Mots clés : pratiques sociales du logement, espaces conçus/espaces vécus, confort discret, appropria-tions, bricolages et petit ménage, choix résidentiel, compétences, espaces publics, politiques urbaines, observation, ethnologies du logement etc.

Cette unité d’enseignement articule deux cours qui permettent à l’étudiant de se construire un ensem-ble de références dans les champs de l’histoire de l’architecture et de la sociologie urbaine.

E22-1 Histoire de l’arch.E22-2 SociologieE22-3 RelevésE22-4 Langues

Coefficient Heure Heuresemaine semestre

6 ects

4331

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2h301h152h002h00

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Licence � / Semestre �

Ue23Outils de conception et représentation

nathalie [email protected]

e23-1 Géométrie SpatialeFrancis Miguet

e23-2 InformatiqueNathalie Welfert e23-3 Immersion constructive

Francis Miguet e23-4 Modélisation physique & mathématiqueOlivier Orfila

OBJECTIF L’architecte manipule les formes ; or même les plus complexes d’entre elles résultent en définitive de combinaisons, juxtapositions, transformations successi-ves la plupart du temps très simples. Au-delà de l’aptitu-de à lire et représenter les formes spatiales, il s’agit donc de développer chez l’étudiant la capacité à opérer ces différentes transformations, et finalement appréhender l’espace de manière raisonnée à partir d’une combina-toire des volumes de base. CONTENU Le cours développe les modes de généra-tion de formes planes et spatiales élémentaires (polygo-nes et polyèdres notamment), de même qu’il s’intéresse aux arrangements et combinatoires possibles à partir de ces éléments de base (pavages plans, empilements spa-tiaux). Sont également développées les notions relatives aux lois de l’harmonie (division harmonique, nombre d’or), et leur application dans le champ de l’architec-ture au cours de l’histoire (tracés régulateurs). Sont enfin étudiées les formes de la nature et leurs transpositions multiples dans le monde de l’architecture.La pratique de la géométrie est abordée par le biais de la modélisation 3D. Les différents TD ont pour objet la manipulation des opérations de base de la géométrie 3D, la génération de formes, les arrangements planaires et spatiaux, etc. L’uti-lisation de logiciels spécifiques préfigure l’idée de «chaî-ne numérique» (du concept à la fabrication) développée dans la suite du cursus (plus particulièrement dans l’en-seignement Sciences des Formes, Licence 2).

OBJECTIF : Initiation à la 3D numérique.

A partir des connaissances de base des outils infor-matiques, apprendre à modéliser des entités géo-métriques 3D, afin de composer et d’organiser des éléments architecturaux dans l’espace.Cet enseignement doit permettre à l’étudiant d’ef-fectuer des allers-retours rapides entre la concep-tion 3D et l’observation des espaces et de dévelop-per ses capacités de lecture et de représentation des différentes formalisations graphiques tridimension-nelles.

CONTENU : Approche de modélisation de maquettes

Apprendre à l’étudiant à concevoir, à percevoir, àvisualiser, à travailler un projet dans un environne-ment en 3 dimensions.• Approche de la spatialisation numérique, com-mandeset principes de base (3D filaire, surfacique, volu-mique)• Création d’entités géométriques 3D• Manipulations d’objets 3D paramétrables, opéra-tions booleennes• Gestion des vues 2D

OBJECTIF Rendre concrète la dimension construc-tive et mettre en évidence

CONTENU Cet enseignement privilégie une ap-proche pratique du champ de la construction ; il consiste principalement en visites de bâtiments déjà réalisés ou en chantier, mettant en évidence des typologies constructives variées (mur porteur, ossature, etc.) et l’utilisation de matériaux différents (bois, métal, béton, etc.).

L’encadrement des visites est assuré par les ensei-gnants, mais des compléments peuvent être appor-tés in situ par les architectes ou les conducteurs de chantier. Ces visites ont pour objet la mise en place du vocabulaire architectural et technique, la description des systèmes constructifs (principe statique, liaisons, contreventement, matière) et la justification de leur choix, la prise de contact avec les matériaux, les techniques de mise en œuvre, etc. Une attention particulière sera portée sur les ambiances, les détails de réalisation, les dimension-nements, etc.

Cette immersion est complétée par des cours thé-matiques sur les systèmes constructifs, les enve-loppes et les matériaux, en prenant appui sur les principales typologies et systèmes rencontrés lors des visites sur site. Le contexte urbain et le bâtiment face aux contraintes de son environnement climati-que constituent également des sujets majeurs.L’enseignement est validé par un examen et la pro-duction de dossiers : un compte rendu commenté des visites de site et un dossier d’étude concernant un bâtiment laissé au choix de l’étudiant.

OBJECTIF L’objectif de ce cours est de fournir les bases en mathématiques et en physique pour sui-vre les enseignements techniques dispensés dans le cycle Licence et Master de l’Ecole d’architecture. Il fait suite aux enseignements développés dans l’UE13 et traitera principalement de l’analyse.

Les étudiants ayant obtenu une note supérieure à 12 au bac S sont dispensés de cours et de TD.

CONTENU Ce cours est centré sur l’analyse ma-thématique :

• Les fonctions• Les matrices et les systèmes d’équations linéaires• Les fonction logarithmes et exponentielles, appli-cation à l’acoustique• Les dérivées• Le calcul intégral• Les applications au calcul des surfaces et des volumes• Les équations différentielles simples

Acquisition des outils de base permettant de for-muler, de représenter et de calculer les formes et les volumes que l’étudiant est à même d’imaginer. L’objectif est de permettre à l’étudiant d’acquérir une approche spatiale de la mise en forme architec-turale en abordant les principes fondamentaux de la géométrie et des mathématiques. Cet enseigne-ment s’appuie sur des outils numériques dans une dialectique Objets 3 D / Outils.

E23-1 Géométrie spatialeE23-2 InformatiqueE23-3 ConstructionE23-4 Modél. phys. & math.

Coefficient Heure Heuresemaine semestre

6 ects

212

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3h001h502h303h15

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40 4�

Licence � / Semestre �

Ue24Voir & Exprimer 1

Didier Courbot & Rémy [email protected] & [email protected]

e24-2 Initiation Volume/ImageD.Courbot & R.Jacquier

Baptiste Debombourg, Daniel Grimaud Aurélien Meyer, Clément Laigle, Pierre Faucher

et Nikolas Fouré

OBJECTIFS: Dans la phase initiation Volume/Ima-ge 1, il est question de s’initier aux pratiques de volumes et d’images dans ce qu’elles contiennent de fondamental. Il s’agit d’une introduction à des moyens et outils, qui seront développés ultérieure-ment dans Volume 1 & 2 et Image 1 & 2, et qui vient en complément de l’atelier plus spécifique de dessin qui a lieu le même jour. L’étudiant aborde des notions telles que matériaux, formes, dimen-sions mais aussi composition, cadrage, densité ou couleur. Il s’agit de découvrir ces notions par un biais non contraignant et non soumis à la pratique architecturale où la question de la représentation du projet est essentielle. L’enjeu ne sera pas uni-quement ici de donner des moyens techniques mais aussi et surtout de montrer à quel point le volume et l’image peuvent être des outils de conception avant d’être des outils de représentation.

CONTENU: Les notions citées plus haut seront trai-tées de façon concomitante tout au long du semes-tre au travers des différentes phases de l’atelier. Nous aborderons :

- Le passage du plan au volume et le passage du volume au plan.- La mise en œuvre (assemblage, taille, modelage, collage etc…).- Les pleins et les vides.- Les matières et les textures.- Les adéquations entre matériaux et dimensions.- La densité et le contraste.- La couleur.

METHODE: Les enjeux de cette première pha-se sont importants. Les ateliers se dérouleront sur des cessions de 2 heures 30 soit une du-rée courte mais dont l’organisation conjointe à l’atelier de dessin du même jour permettra la réalisation des différents travaux et étapes. Un sujet est proposé dès la première cession et sera développé en différentes phases et as-pects durant tout le semestre. C’est à partir de ce sujet que les étudiants seront amenés à mettre en place un processus de question-nement et à multiplier les expérimentations volumétriques et d’images.

E24-1 DessinE24-2 Initiation Volume/Image

Coefficient Heure Heuresemaine semestre

4 ects

11

2h30 2h30

32h3032h30

e24-1 Dessin d’observationD.Courbot & R. Jacquier

La deuxième cession de cours de dessin du second semestre est la suite de la première. Il s’agit ici de reprendre les mêmes axes de travail mais en les re-formulant au regard de l’initiation Volume/Image qui a lieu la même journée. Si la séance de des-sin est bien une séance de dessin, ou retrouvera les questions sur les dimensions, les proportions, la perspective, les échelles, la lumière et les tex-tures traitées par chacun des enseignants selon des modalités qu’il aura mises en place au sein de Vo-lume/Image.

C’est le même enseignant qui se charge du cours de dessin puis du cours d’initiation Volume/Image.

Une épreuve de dessin clôt le semestre. L’enseigne-ment est validé par l’obtention de la moyenne entre la note de TD (coefficient 2) et la note d’examen (coefficient 1).

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études

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Premier cyclepréparant au diplôme d’études en architecture conférant le grade de licence

4� 4�

Ue1116ects

Initiation au projet architectural

Projet architectural 2

Projet architectural 3

Projet architectural 4

Projet architectural 5

Projet architectural 6

Icone enconstruction

UE21-1 Le logement et la villeUE21-2 Espèces d’espaces

UE31-1 Situations extrêmesUE31-2 L’invention concrète

UE41-1 Habiter : scénarios construitsUE41-2 Le logement étudiant à travers la fenêtre

UE51-1 Architecture Ville Mobilité UE51-2 Mais qu’est-ce donc

qu’un espace public?

UE61-1 EpicentresUE61-2 La ville durable en chantier

UE61-3 Espaces publics et habiter UE61-4 La traversée du paysage

Références et relevés

Matière d’architecture

Ambiances

Architecture en construction

Architecture enconstruction 2

Outils de conception et dereprésentation 1

Géométrie etmodélisation

Morphologie etmodélisation

Le logement social

Règles juridiques et économiques du

projet urbain

Outils de conception et dereprésentation 2

Voir etexprimer 1

Voir etexprimer 2

Voir etexprimer 3

Voir etexprimer 4

Bilan critiqueStage de 1ère pratique

Références et critiques

Histoire de la villeSociologe urbaine

Certification en langue étrangère

S1

S2

S3

S4

S5

S6

Prem

ière

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éeD

euxi

ème

anné

eTr

osiè

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Ue537ects

Ue633ects

Ue244ects

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Ue444ects

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Ue646+4ects

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Licence � / Semestre �

44 45

Licence � / Semestre �

Ue31.1Situations extrêmes

Michel [email protected]

Les catastrophes nous montrent toujours ce que nous sommes en train de cesser de penser.

OBJECTIF DE L’ENSEIGNEMENTLe monde change. Le sens et les enjeux de l’architecture, deviennent primordiaux. La population est en forte croissance et le monde rétrécit. L’incontestable réchauffement du climat, l’épuisement attendu des matiè-res premières énergétiques, révèle un besoin urgent et profond de refonte de notre relation au monde naturel. Le monde se révèle à nous selon une étrange perspective : celle d’une finitude planétaire qui nous oblige à re-considérer nos habitats, nos déplacements, nos économies, nos cultures. Cette unité d’enseignement a pour objectif de mettre le potentiel créatif des étudiants à l’épreuve d’une situation environnementale extrême, pour y construire une utopie réaliste, un habitat possible.

TRAVAUX DEMANDES1 CONTEXTE: L’étudiant choisi un territoire soumis à une problématique environnementale au sens large. Territoire: Il s’agit d’un espace réel qu’il faut habiter. Tout espace sur le globe est disponible, dès lors que les conditions d’habitabilité minimums sont réunies. Ces conditions peuvent être extrêmes, mais doivent rester possibles. L’objectif est d’offrir une réponse architecturale intelligente et sensible à une situation environnementale, écologique, troublée. Les situations qui ne trouveraient leur résolution que dans le développe-ment d’une technologie sont exclues.Problématique environnementale : La problématique environnementale est envisagée comme un moteur de l’imaginaire. L’occasion est belle, et mise à profit pour inventer un habitat changeant, modifiable au gré d’évé-nements inattendus. 2 ENJEU: « Là où croît le péril croît aussi ce qui sauve ». A l’aphorisme d’Hölderlin, Nous attendons des réponses forcement contextuelles, faisant l’éloge de l’adaptabilité inventive et heureuse. Forcément poétiques.3 PROJET: Les projets sont étudiés selon trois échelles1 Celle du territoire. Le projet commence par une analyse du territoire sous l’angle de vue le plus propice à l’émergence du projet.2 Celle du groupement d’habitat ou de l’agglomération au sens premier du terme 3 Celle de l’intérieur et de l’objet.

Préciser les enjeux sociaux». Il est possible que nous concevons pour une génération qui n’en est plus à désirer des monuments ,mais des abris, des asiles, des havres , qui désire de l’eau pure, des espaces vivants, du respect entre les peuples et les corps.A

Préciser les enjeux sensibles. L’œuvre de l’architecte est sans cesse un questionnement sur la matière. Les mouvements permanents entre re-cherches, intuitions, résultats conduisent à l’élaboration d’une pensée constructive. Plus l’architecte maîtrise la matière, plus il peut se consacrer à la dimension sensuelle et symbolique de l’architecture. Développer une approche sensible de l’architecture, par une maîtrise des matériaux et de leurs effets sensoriels est un des enjeux de cet enseigne-ment.

Préciser les enjeux techniques. L’expérimentation constructive est envi-sagée tout au long du semestre, non pas comme une suite d’actes qui aboutirait, comme dans un apprentissage de compétences, à un catalogue de solutions techniques à reproduire, une sorte de pièces détachées du savoir ( le savoir en pièces, comme le travail en pièce est culturellement

aliénant.), mais comme une expérience constructive visant l’accès à la compréhension de la complexité par des éclaircissements et des dévoile-ments successifs.

4 REPPRESENTATION ET COMMUNICATION DU PROJETIMAGES: Maîtrise des outils de représentation. Dessin conceptuel, plan, coupe et vues élaborées à différentes échelles. Maîtrise d’un outil de mo-délisation: Apprentissage d’un logiciel de modélisation, 3DS, studio 4D et d’un module de rendu.MAQUETTE: Élaboration d’une maquette conceptuelle. La maquette conceptuelle comme le dessin conceptuel n’est pas un mot-valise en carton, mais un outil qui annonce un processus de conception. C’est un outil qui engage le sens, qui décrit la multiplicité des enjeux et qui interroge les choix de programmes. Maquettes du projet à différentes échelles. le territoire,le groupements d’habitat, les détails constructifs de la proposition.ECRIT: En fin de semestre, un recueil des projets est réalisé. Chaque projet est précédé d’un résumé de 800 signes et d’un texte de 10000 signes. ORAL: Prise de parole et élocution, capacité à se soustraire aux tics de langage de son groupe ou de son clan culturel. Capacité à énoncer clai-rement.

5 RECHERCHE STRUCTURELLE ET CONSTRUCTIVEPrise de conscience du cheminement des efforts et des contraintes dans une construction. Approche de la résistance des matériaux. Étude du comporte-ment des structures sous sollicitations

6 DYNAMIQUE DE GROUPE ET TRAVAIL COLLECTIFLes étudiants sont regroupés par trois pour l’élaboration de leur projet. Trois, c’est le chiffre idéal, plus que la dualité et moins que le nombre.

EVALUATION DES ETUDIANTSLes projets sont évalués selon 4 critères.1 qualité et pertinence de la présentation orale et écrite.2 qualité et cohérence des présentations graphiques et des représentations en volume (maquette conceptuelle, maquette, assemblage constructif).3 continuités de la recherche personnelle et respect des exigences du rendu.4 qualités et pertinence de l’idée de projet au regard d’un niveau raison-nable de référence.Le semestre est divisé en 4 séquences. Chaque séquence est l’objet d’un rendu. Chaque rendu est noté, la note finale n’est pas la somme arithmé-tique des notes partielles. Les étudiants ont des progressions variables. Les notes intermédiaires constituent plutôt un système d’alerte et de positionne-ment sur l’échelle des attendus du cours.

Présentation Equipe Enseignante ???

Séminaire Atelier Intensif

Heures Coefficient Contrôle continu Examen Partiel Examen Final

24----

105----

32----

h h

14 ects

h

46 47

Licence � / Semestre �

Ue31.2L’invention concrète

Karine [email protected]

Invention concrète

Depuis 2003, l’unité d’enseignement de projet de 1er cycle “l’invention concrète” croise et

tisse des liens entre différentes problématiques en-gagées dans le processus de conception : le site, le programme, la matière. Ces champs de contraintes et de potentialités sont appréhendés à différentes échelles, du micro au macro. Pour le site, il s’agira autant d’un délaissé urbain permettant la réflexion sur l’échelle micro que du territoire urbain ou pay-sager sur lequel une macro-architecture viendra inter-agir. Le programme, les données sensibles et subjectives autant que celles objectives et quali-fiées donneront lieu à l’écriture d’un récit ou d’une fiction. La matière est engagée dans ses contraintes constructives et ses aspects poétiques permettant une réflexion sur l’ornement, le motif et l’enve-loppe. Le processus de conception s’appuie sur les allers-retours entre intuition et intention et amène l’étudiant à une distanciation critique tant sur sa pratique que sur les apports théoriques qu’il com-mence à manipuler.

Parallèlement à la fabrique des projets courts et longs, d’autres exercices sont menés, pratiques et théoriques. Dans le champ de la critique, des exercices d’analyse sont demandés : l’un s’appuie sur une lecture cumulative de la diffusion de l’ar-chitecture dans les médias. Après plusieurs années d’exercice prenant pour support la presse locale, nationale, voire internationale, le propos s’est di-rigé vers l’analyse texte/image des supports de pro-motion immobilière. Un autre exercice demande un point de vue argumenté de l’étudiant sur un sujet d’actualité de l’architecture contemporaine sous la forme “j’aime, j’aime pas” à l’occasion de visites d’expositions d’architecture.

Enfin, l’exercice pratique de mise en oeuvre d’un matériau “à la main” a lieu pendant la semaine intensive et permet de se confronter à la construc-tion d’un abri à l’échelle 1 : gonflables, nids tissés et constructions en bois sont élaborés sur le site

de l’école à partir de matériaux récupérés ou dé-tournés. Le temps de la conception est le temps du chantier, de la main qui porte l’outil.La seule prétention est de faire, d’apprendre à faire, penser l’architecture et la construire. Inventer, c’est d’abord trouver un nouveau regard qui saura dé-celer le rare pour en faire l’ordinaire et sublimer l’ordinaire pour en construire le nouveau.

Machines de vision 2006Des citadelles de Vauban au Mur de l’Atlantique, ces constructions entretiennent un rapport au terri-toire et au paysage singulier. Comment aujourd’hui ré-interpréter ces machines de vision en acceptant leur histoire, leur symbolique et leur inscription dans le lieu ?Au préalable, un regard particulier aura été porté à tous ces outils qui facilitent l’observation, le ca-drage, modifient notre vision du réel et la transfor-ment.

Micro-Macro 2008Il s’agit d’interroger la densité urbaine : des délaissés à peine constructibles de la ville, signes des trans-formations du tissu et des réseaux, aux grands fri-ches où une autre ville peut encore se construire.Ces scénarios de vie sociale, de collectivités autour d’une unité, entretiennent de nouvelles relations de proximité et de dialogue avec ce que la ville nous a légué.Ces rapports à la ville sont envisagés comme une alternative à l’étalement urbain, maîtrise de la den-sité et nouvelles conditions d’une urbanité.

Karine Louilot, coordination, Annie Lebeaupin Saint M’Leux, Benjamin Avignon, Benoît Boris

Séminaire Atelier Intensif

Heures Coefficient Contrôle continu Examen Partiel Examen Final

242--

100

1055-

5050

321--

100

h

%

h

%%

14 ects

h

%

Mac

hine

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vis

ion

- in

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if 20

06 /

Mac

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Ale

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200

8 / M

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ère

- 20

08

48 49

Licence � / Semestre �

Ue32Matières d’architecture

Francis [email protected]

e32-1 Fabrique d’architectureFrancis Miguet

e32-2 Structure 1Francis Miguet

Ue33Géométrie & modélisation

Nathalie [email protected]

e33-1 Outils InformatiqueN. Welfert & L. Lescop

e33-2 Science des formesFrancis Miguet

OBJECTIF Développer une aptitude à trouver une traduction constructive des intentions dans la conception de projet architectural. Sensibiliser l’étudiant à l’articulation des contraintes culturelles constructives et économiques.

CONTENU Etude des systèmes constructifs sur des cas réels et référencés d’architecture contemporaine de dimension très modeste, notamment les :

• blocs de béton ou de terre cuite, ossatures bois, ossatures métalliques, structures mixtes• des architectes, des ingénieurs, des bricoleurs, des inventeurs• en France, en Angleterre, aux USA, en Hollande

Imbrication et composition des systèmes de struc-ture, d’enveloppe, et d’équipements dans la concep-tion architecturale.

STAGE GROS OEUVRE Stage de trois semaines au sein d’une entreprise de construction de gros œu-vre.• Rédaction d’un rapport de stage• Réalisation d’une maquette analytique liée ou non aux travaux d’architecture.

OBJECTIF L’architecture n’existe véritablement qu’à partir du moment où elle est construite ; autrement dit elle ne peut être pensée indépendamment de sa matérialisation, à la fois en termes de structures et de matériaux.Mais le passage de l’idée au réel est un processus com-plexe, qui met en jeu aussi bien le registre du sensible que celui de la technique. Il inclue la compréhension des types structurels, la connaissance des matériaux, de leurs poten-tialités et de leurs exigences. Qualitatif et quantitatif sont donc souvent très proches, mais toujours dans un rapport fondamental et permanent au projet.

CONTENU Afin que la dimension constructive puisse être intégrée au projet dès les premières phases de la concep-tion (développement d’une pensée constructive), les cours se proposent d’apporter à l’étudiant une bonne compréhen-sion du système hiérarchique dans lequel s’inscrivent les différents composants de toute structure usuelle (éléments portants / éléments portés), à identifier la nature des liaisons et à en déduire la manière d’assurer la stabilité de l’édifice. Cette compréhension passe également par la connaissance des potentialités des matériaux de construction courants, de leurs limites et des spécificités de leur mise en œuvre.Les TD pourront prendre deux formes distinctes, non ex-clusives mais complémentaires : la première, plutôt «auto-nome» et analytique consiste, à partir de la typologie struc-turelle explicitée en cours, à produire un dossier d’étude complet d’une réalisation choisie par l’étudiant ; il inclue schéma structurel, nature des efforts, détails des liaisons, éléments de stabilité, matériaux, interfaces, etc. La secon-de, à dimension plus conceptuelle, est en lien étroit avec l’UE de projet ; elle a pour objet d’articuler au processus de conception les dimensions structurelles et constructives, de telle sorte que l’étudiant puisse dès les phases amont s’atta-cher à la réalité constructive et à la matérialité du projet.

OBJECTIF : Apport de concepts et de méthodes spécifiques au dessin numérique, du traitement de l’information et de données.Cet enseignement se veut dans la continuité des acquis précédents afin d’aborder des notions ap-profondies à partir d’exercices plus élaborés dans l’approche des différentes phases de conception du projet et du partage des donnés par un travail de groupe.

CONTENU : Introduction des concepts de base du traitement numérique de l’information du projet. Pour gérer un projet en architecture de manière effi-cace, il est fondamental d’en créer et d’en partagerle contenu.• Gérer : des jeux de plans ou des entités à l’aided’outils permettant de contrôler le contenu.• Créer : des dessins plus rapidement à l’aide d’outils.• Partager : des données, à l’aide d’outils de col-laboration

Organisation des données informatiques du projet;gestion de fichiers; gestions des objets, objets pa-ramétriques. L’apprentissage du dessin numérique s’harmonise avec l’enseignement d’architecture en ce qui concerne les différentes conventions de re-présentation graphique. Les étudiants apprennent à dessiner les détails d’architecture à différentes échelles en cohérence avec la progression des connaissances acquises dans les enseignements d’architecture.

OBJECTIF Initiation à la conception et à la modéli-sation de formes architecturales complexes.

CONTENU Cours : Etude de la génération des courbes et sur-faces gauches :• Propriétés métriques des courbes : * Courbure, torsion * Equations paramétriques• Propriétés métriques des surfaces * Courbure totale * Courbes remarquables sur la surface * Classification des surfaces• Génération des courbes et des surfaces en infor-matique graphique * Carreaux de Bézier• Raccordement tangentiel de deux carreaux.

Travaux-dirigés :Modélisations physiques (à l’atelier de maquettes) et numériques de surfaces gauches.

Donner à l’étudiant les moyens d’effectuer des choix constructifs raisonnés, en cohérence avec la conception globale.Transmettre les éléments de connaissances spéci-fiques nécessaires aux pré-dimensionnements res-pectifs des structures et des dispositifs de contrôle des ambiances.

E32-1 Frabrique d’arch.E32-2 Structure 1

Coefficient Heure Heuresemaine semestre

3+1 ects

Conception, analyse et modélisation physique et numérique des formes géométriques et architectu-rales 3D les plus diverses.

E33-1 Outils InformatiqueE33-2 Science des formes

Coefficient Heure Heuresemaine semestre

4 ects

11

3232

2h302h15

hh

21

1632

1h152h30

hh

50 5�

Licence � / Semestre �

Ue34Voir & Exprimer 2

Didier Courbot & Rémy [email protected] & [email protected]

ATELIERS IMAGE

Ce pôle regroupe plusieurs ateliers ayant en com-mun de proposer différentes approches de l’expres-sion graphique et de la communication visuelle et audio-visuelle.

Les objectifs consistent à permettre à l’étudiant l’ac-quisition de savoir-faire dans les domaines de l’il-lustration, de la photographie et de l’image mobile afin de les mettre au service d’une démarche créa-tive conduisant à la réalisation de différents projets dans les domaines de l’édition ou du multimédia.

Photo/L’image en circulation / Arnaud Théval

Approche créative de l’outil informatique / Evelyne Pontoiseau

Du désir à la contrainteClément Laigle

ATELIER VOLUME

Atelier Volume 1 / Agir sur l’architectureBaptiste Debombourg, Didier Courbot, Rémy Jacquier et Clément Laigle

OBJECTIFS : Dispensé sur un semestre, ce cours a pour objectif d’étudier et de questionner la notion de modernité telle qu’elle a pu se mettre en place à la fin du XVIII° siècle jusque dans les années 1950.

A partir de ce questionnement, nous étudierons plus précisément deux apports caractéristiques de la modernité, à savoir la mise en place de l’abstrac-tion et le collage. La modernité étant considérée ici comme phénomène global et transversal, nous ver-rons aussi comment abstraction et collage ont pu nourrir et modifier en profondeur tous les champs de la création, qu’elle soit visuelle, architecturale, littéraire ou musicale.

Ce cours est pensé en articulation avec celui qui aura lieu au semestre suivant (UE44) ainsi qu’avec les ateliers d’arts plastiques afin de permettre une meilleure compréhension des liens indissociables existant entre théorie et pratique artistique.

CONTENU : • Qu’est-ce que la modernité ? A – Abstraction.a. « L’architecture n’est pas un art figuratif ».b. La grille.c. Rendre visible.d. Les éléments constitutifs.B – Collage.a. De l’espace hétérogène.b. Du fragment.c. Du montage.d. De la greffe.

ATELIER IMAGE

Photo/L’image en circulation / Arnaud Théval

Traverser sans oublier de regarder ou comment s’approprier la ville sans garder ses distances.

OBJECTIFS : Le projet consiste à développer un re-gard critique sur la ville, ses formes et son usage par le biais de l’image. Chaque étudiant développe une approche personnelle et sensible à partir de son expérience visuelle, physique et mentale des espaces urbains. Chaque sujet proposé implique les uns et les autres dans des choix et des positions à défendre.

CONTENU : À partir des diverses façons d’envisa-ger la production artistique des images, les étudiants abordent les enjeux liés à l’expression personnelle par plusieurs sujets allant d’une pratique de l’image à la volée jusqu’à la mise en scène négociée dans un lieu déterminé.METHODE : L’expérience individuelle de l’image (de sa conception à sa production) est accompa-gnée d’un travail en groupe pour une réflexion sur l’outil, l’analyse des moyens à mettre en oeuvre, la critique des résultats et la prise de parole pour défendre son point de vue. Cet atelier sera com-plété par l’apport de documents (livres, vidéos) sur les usages artistiques de la photo mêlant histoire et pratiques contemporaines.

Approche créative de l’outil informatique / Evelyne Pontoiseau

OBJECTIFS : La demarche proposee consiste dans l’exploration des differentes possibilites novatrices d’expression liees aux techniques numeriques, mi-ses en inter-relation constante avec les moyens de representation du reel, ceux millenaires, vehicules par les techniques dites « traditionnelles ». Revisi-tons le dessin !

CONTENU : Les thematiques abordees relevent de l’apprehension et de la communication de l’espace : univers intimes, lieux publics en diurne ou en noc-turne ; images « observees » et « images mentales », se differenciant ou se confondant parfois. METHODE : Dans cette optique, la recherche de l’etudiant et sa concretisation s’organisent sous une forme duelle : va et vient constant entre ecriture, cahier de recherche et experimentation de l’ecriture numerique. Avec comme soucis primordiaux ceux de vehiculer du sens et de la poesie. La finalisation du travail : une sequence narrative, incluant eventuellement une relation image/texte, communiquee sous forme de livret ou de poster, a vocation de publication.

E24-1 Histoire de l’ArtE24-2 Atelier

Coefficient Heure Heuresemaine semestre

4 ects

1

4

1632

1h152h30

hh30

e34-1 Histoire de l’artD.Courbot & R.Jacquier e34-2 Ateliers

D.Courbot & R.Jacquier

5� 5�

Licence � / Semestre �

Ue34Voir & Exprimer 2

Didier Courbot & Rémy [email protected] & [email protected]

Du désir à la contrainteClément Laigle

OBJECTIFS : Explorer différents stades d’un pro-cessus créatif, de l’intuition première à sa mise en forme, à sa communication ; de sa communication à sa réalisation et aux différentes méthodes permet-tant d’y parvenir.Il s’agit d’explorer la notion d’édition au sens le plus large, le but étant d’arriver à produire une édition, de quelque nature qu’elle soit (livre, livre d’artiste, boîte à musique, porte-clés, livre d’enfants, portfo-lio, image, objet, sculpture, etc.…).L’objectif est de permettre à chaque étudiant de dé-terminer plus sûrement ses appétences et d’évaluer ses compétences et ses capacités dans les divers champs abordés.

CONTENU : La mise en espace, le volume, le gra-phisme et les différentes notions de communication constituent la base de cet atelier. Plusieurs moyens sont mis en œuvre afin d’aborder ces multiples as-pects :Le dessin, la photographie, la maquette, le langage, la modélisation 3D et différents outils informati-ques.Le rapport au réel est constamment entretenu, la production d’objets « viables » étant une priorité, quels que soient les champs qu’ils recouvrent.Ainsi, les matériaux et leur mise en œuvre sont au cœur du projet, au même titre que sa pertinence intellectuelle.

METHODE : L’atelier se déroule en quatre phases :

- Le choix et l’élaboration d’un projet :Mise en place des premières intuitions, formation des groupes, analyse, etc. - Conception et mise en forme :Projections et tests, croquis maquettes, modélisa-tions, etc.- Recherche des moyens permettant la réalisation, viabilité :Choix des matériaux, des techniques de réalisation, des entreprises et des artisans- Réalisation :Phase pratique, suivi de chantier

À chaque étape, les différentes options sont dis-cutées et mises en perspective, de manière indivi-duelle et collective. Les étudiants développent leurs projets de préférence par petits groupes de trois à cinq. Deux à trois séances sont consacrées à une présentation collective des différents projets qui sont alors débattus collectivement.

ATELIER VOLUME1Baptiste Debombourg, Didier Courbot, Rémy Jacquier et Aurélien Meyer

Jouer avec le vocabulaire de l’architecture

OBJECTIFS : Dans cette seconde phase Volume 2, il s’agira de continuer à questionner le volume mais cette fois-ci dans son rapport à l’architecture et l’environnement en se positionnant à l’échelle 1. Pour des étudiants d’une école d’architecture, se confronter à un objet qui ne soit pas un projet est particulièrement formateur. Cela implique une meilleure connaissance des matériaux et leur mi-ses en œuvres mais aussi un rapport plus juste à l’architecture dans sa dimension réelle. Il sera aussi question ici de perception de l’espace tant celle-ci est déterminante dans le projet qui s’ensuit.

CONTENU : L’atelier abordera trois notions qui se déclinent logiquement durant le semestre :- Positions : Où sommes nous et comment se posi-tionne-t-on dans un espace ? - Lieux : De quoi se constitue cet espace, quelles sont ces limites ?- Sites : Qu’est-ce qui est important ? Quelle est la nature de cet espace ? Dans quel environnement se situe-t-il ?METHODE : Le temps consacré à l’expérimentation est important. Pour cette raison l’atelier se déroule par session de 5 heures au lieu de 2 heures 30 (l’ate-lier dure 6 semaines ½) soit une durée suffisamment importante pour que l’étudiant puisse aisément se mette a fabriquer. Les notions citées si dessus seront travaillées à partir d’exercices ou se développent un rapport croissant à la taille des espaces.

1 - L’installation, c’est-à-dire comment travailler les espacements entre différents éléments afin de créer un tout significatif. Que produit l’addition d’un ou de plusieurs objets dans un espace ? Etudier les pos-sibilités de choix entre occuper l’espace et habiter l’espace.

2 - L’environnement, c’est-à-dire comment prendre un espace intérieur donné pour le transformer signi-ficativement. La question de la scénographie pour-rait également ici être abordée.

3 - Le paysage, travailler un espace beaucoup plus vaste, à plus grande échelle. Il s’agit ici de déve-lopper des stratégies de mise en espace mais appli-quées à des sites et territoires à ciel ouvert, urbains ou naturels. Ce passage signifie également un ques-tionnement sur la notion de contexte réel avec ses contraintes inhérentes : sociales, politiques, don-nées physiques et géographiques etc.

E24-1 Histoire de l’ArtE24-2 Atelier

Coefficient Heure Heuresemaine semestre

4 ects

1

4

1632

1h152h30

hh30

54 55

Licence � / Semestre �

Ue35 Références & Critiques

Gilles [email protected]

e35-1 Histoire de l’architectureGilles Bienvenu

e35-2 Histoire de la villePascal Filatre e35-3 Bibliographie critique

Gilles Bienvenu e35-4 Atelier Critique des médiasRoy, Bienvenu & Didelon

Le cours d’histoire de l’architecture explore les transformations de l’architecture et du discours ar-chitectural, en liaison avec les évolutions et bou-leversements historiques, culturels et techniques contemporains au cours de périodes qui, de ma-nière récurrente, ont procédé à des relectures de l’histoire pour transformer le présent, quand l’émer-gence de nouveaux programmes et de nouveaux matériaux contribuait à transformer les pratiques sociales de l’architecte. Interrogeant la manière dont les architectes se sont réapproprié les périodes antérieures pour se libérer des contraintes du mo-ment, il interroge la critique récurrente des sources et des références qui produit les mouvements archi-tecturaux successifs dans une société en mutation.

Le cours s’organise autour des logiques de produc-tion de la ville et autour des logiques d’appropria-tion, de la ville antique à la ville baroque et clas-sique. Il présente un panorama historique des faits urbains, formation, stratification, ruptures, dans les villes occidentales de l’Antiquité au 18e siècle et s’intéresse particulièrement au phénomène des villes nouvelles. Outre l’attention portée à l’esthé-tisation des espaces, l’accent est mis sur le rôle des acteurs de la ville.

Les travaux dirigés de bibliographie critique ont pour objectif de faire prendre conscience à l’étu-diant des méthodes et systèmes de fabrication d’une discipline, d’un savoir et de sa diffusion, en l’occur-rence l’histoire de l’architecture et de la ville, ou la sociologie urbaine. La lecture analytique et croisée de trois textes de statut différent lui permet d’appro-fondir un sujet en lien avec les cours d’histoire et de sociologie urbaine des quatre premiers semes-tres, tout en se créant des outils de décryptage du livre comme projet contextuel de recherche et de diffusion.

Concentré sur quelques jours, l’atelier critique tend à une meilleure connaissance des médias par les étu-diants, notamment de la presse architecturale, pour une utilisation plus réflexive des outils à leur disposi-tion (presse écrite, audiovisuelle, Internet…)

e35-5 LanguesJeanne Catherine

voir fiche de l’UE22 : E22-4 (p.37)

La culture architecturale, historique et actuelle, se nourrit de la constitution d’un corpus de références constitué, fruit d’un travail d’élaboration et alimen-té par la diffusion des informations. L’enseignement associe à l’étude de l’architecture européenne aux 18e et 19e siècles comme constitution, à l’époque considérée, d’une culture architecturale et à l’his-toire de la ville de l’Antiquité à la période classi-que, l’analyse de l’historiographie architecturale et le décryptage des médias contemporains. Ainsi, les enseignements proposent, sous des modes d’acqui-sition et d’expérimentation différents, de dévelop-per les facultés de discernement des étudiants par la constitution de corpus de références et par la mise au jour de systèmes de fabrication et de diffusion de ces corpus.

E35-1 Histoire de l’arch.E35-2 Histoire de la villeE35-3 Bibliographie CritiqueE35-4 Atelier CritiqueE35-5 Langues

Coefficient Heure Heuresemaine semestre

4 ects

2

211

16

162424

1h15

1h15

2h

h

hhh

(TD)

56

études

57

Premier cyclepréparant au diplôme d’études en architecture conférant le grade de licence

56 57

Ue1116ects

Initiation au projet architectural

Projet architectural 2

Projet architectural 3

Projet architectural 4

Projet architectural 5

Projet architectural 6

Icone enconstruction

UE21-1 Le logement et la villeUE21-2 Espèces d’espaces

UE31-1 Situations extrêmesUE31-2 L’invention concrète

UE41-1 Habiter : scénarios construitsUE41-2 Le logement étudiant à travers la fenêtre

UE51-1 Architecture Ville Mobilité UE51-2 Mais qu’est-ce donc

qu’un espace public?

UE61-1 EpicentresUE61-2 La ville durable en chantier

UE61-3 Espaces publics et habiter UE61-4 La traversée du paysage

Références et relevés

Matière d’architecture

Ambiances

Architecture en construction

Architecture enconstruction 2

Outils de conception et dereprésentation 1

Géométrie etmodélisation

Morphologie etmodélisation

Le logement social

Règles juridiques et économiques du

projet urbain

Outils de conception et dereprésentation 2

Voir etexprimer 1

Voir etexprimer 2

Voir etexprimer 3

Voir etexprimer 4

Bilan critiqueStage de 1ère pratique

Références et critiques

Histoire de la villeSociologe urbaine

Certification en langue étrangère

S1

S2

S3

S4

S5

S6

Prem

ière

ann

éeD

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anné

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Ue2114ects

Ue3114ects

Ue4��4ects

Ue5114ects

Ue6114ects

Ue127ects

Ue226ects

Ue323+1ects

Ue4�4ects

Ue525ects

Ue623ects

Ue137ects

Ue236ects

Ue334ects

Ue4�4ects

Ue537ects

Ue633ects

Ue244ects

Ue344ects

Ue444ects

Ue544ects

Ue646+4ects

Ue354ects

Ue454ects

Licence � / Semestre 4

58 59

Licence � / Semestre 4

Ue41.1Habiter: scénarios construits

François DEFRAINfranç[email protected]

Le logement peut être considéré comme le « théâ-tre », de la diversité des relations entre espace

physique et société. Pourtant, le dogme du « loge-ment familial » (cuisine-séjour-chambres) domine la production standard du logement. Si ce modèle ne répond que partiellement aux enjeux contempo-rains, il constitue une base « générique » à partir de laquelle chaque pièce, chaque usage, chaque rela-tion peut être réarrangé selon des critères différents.

En France, et dans certains pays d’Europe, une pénu-rie durable de logements révèle 2 grandes tendan-ces: le fractionnement des ménages (multiplication des familles monoparentales), et le fort ralentisse-ment de la rotation des logements (allongement de la vie, cohabitation prolongée des jeunes et préca-risation).

La modernité n’a cessé d’interroger ce dilemme: l’organisation de l’espace domestique peut-elle être à l’origine de nouvelle pratiques, ou, à l’inverse, l’évolution de la société génère-t-elle de nouvelles formes d’habiter ? Le projet de chaque étudiant dé-clinera ces questions sous 2 formes :

- Elaboration du scénario : entre le « plan bâlois » (partition neutre et polyvalente des espaces) ou le « loft » (transparences et surdimensionnement des espaces), les architectes ne cessent de défier le « modèle de base » à l’aide de fictions inspirées des modes de vie (réels ou rêvés).

Ainsi, chaque projet proposera une programmation du «vivre ensemble et séparément », et explorera sa capacité à évoluer, aussi bien dans sa configuration propre (modularité), que dans ses possibles exten-sions (agrandissement).

- Développement construit: le logement, en tant que construction, provoque la même sidération que Salvador Dali devant une sculpture de Calder : « La moindre des choses que l’on puisse demander à une statue, c’est de ne pas bouger ». Entre éphémère et monumental, de Loos à Archigram, la mise en place des fonctions se double d’un questionnement sur leur construction : trame générique ou spécifique ? Surfaces modulaire ou modulable ? Organes défini-tifs ou remplaçables ?

Le site d’étude est situé sur l’île de Nantes, dans un contexte de renouvellement urbain sur le long terme.L’atelier se déroule en 4 séquences de travail, qui combinent chacune une phase en groupe, et une phase individuelle :

- Hors-sol : la première étape consiste à restituer une étude de « plan type », à partir du choix d’une réalisation contemporaine, et à scénariser son fonc-tionnement.

La seconde, à élaborer un agencement « idéal »: cha-que étudiant choisira de modéliser un espace-type, et ses interrelations au travers d’une thématique (le rôle cuisine/ espace repas / stockage par exemple), puis élaborera une hypothèse de programme autour d’une forme de groupement (colocation, cohabita-tion seniors-famille, travail à domicile…).

- In situ : identification des contraintes (règlementai-res, climatiques, morphologiques) et des ressources du site donné. Puis, mise en place du principe de cohabitation (sur une ou plusieurs parcelles) entre les programmations menées individuellement, en répar-tissant les gradations entre les formes plus individuel-les, et plus collectives.

- Dans-œuvre : définition matérielle du projet, au travers du rapport structure-enveloppe, des organes techniques et divers éléments de construction. Le choix des techniques et matériaux approfondit les liens entre leur dimension esthétique, de performan-ces thermiques et de mise en œuvre. Le projet intè-gre progressivement des contraintes règlementaires comme « background réaliste ».

- In visu : la présentation d’un projet est un travail en soi. L’expression plastique du projet, et les conven-tions techniques de représentation s’articulent lors de cette dernière phase. Elles mettent en évidence l’enjeu d’un dispositif de communication maîtrisé.

François Defrain et Guy Rumé, avec Gabriel Rodriguez.

Séminaire Atelier Intensif

Heures Coefficient Contrôle continu Examen Partiel Examen Final

241--

100

1047

103060

322

50-

50

h

%

h

%%%

14 ects

h

%

%

Pete

r Wen

zel

60 6�

Licence � / Semestre 4

Ue41.2Le logement étudiant à travers la fenêtre

Gaëlle Bretongaë[email protected]

ETUDIANT : S’installant progressivement dans une relative indépendance par rapport à sa famille,

l’étudiant traverse une situation transitoire, parfois précaire. Il est occupé à développer son autonomie dans tous les domaines à la fois —affectif, intellectuel, social, professionnel et économique. Quels modes d’habitat correspondent-ils à ce moment particulier de la vie? Comment conjuguer le besoin d’isolement stu-dieux avec le nécessaire désir d’interactions sociales? Dans un contexte de pénurie de logements touchant également d’autres catégories d’habitants, peut-on réfléchir à de nouveaux modèles de cité universitaire répondant aux questions de temporalité, de durabilité, de mixité d’usage ?

FENÊTRE : Lieu de transition entre deux contextes — intérieur et extérieur, intime et urbain, privé et pu-blic— c’est à travers la fenêtre que se jouent de mul-tiples questions architecturales. Loin d’être un simple plan abstrait, elle possède une épaisseur spatiale, tech-nique et poétique. Interface de deux milieux, elle a d’abord un rôle de régulateur —thermique, lumineux, visuel, sonore mais aussi social. Double limite simul-tanée d’un espace architectural (la chambre) et d’un espace urbain (la rue), elle établi un rapport singulier entre ces lieux d’échelle et de nature si différentes. Caractérisée par sa transparence, elle possède néan-moins une présence, une matérialité et une épaisseur répondant à des données d’usage, d’ambiances, de construction et d’entretien. D’avantage encore, car c’est aussi une construction mentale, elle conditionne notre vision du monde —celui qu’on habite et dont elle est parfois le reflet.

PROJET : À partir de la question de la fenêtre, consi-dérée non comme un simple pan de verre mais com-me un espace régulateur, il s’agira de développer le projet architectural d’un ensemble de logements pour étudiants, sur un site de l’Ile de Nantes, et de construire une réflexion préalable argumentée et inventive sur ce programme et sa situation. Un travail de va et vient à des échelles variées —allant du détail constructif au contexte urbain et réciproquement— donnera l’oc-casion de se frotter aux différents modes de représen-tation du projet (photographie, croquis, maquettes, dessin géométral, perspectives, montages, textes), et

de naviguer entre les milieux souvent antagonistes que sont la chambre et la ville, pour mieux transformer et régler leurs rapports —contrastes et transitions— par les moyens de l’architecture.

THEMES ET TEMPO : La réflexion critique et inven-tive (lors de séminaires hebdomadaires), la recherche expérimentale (par une série d’exercices exploratoires donnant lieu à la fabrication d’un livre), l’observation et l’analyse in situ (au cours de visites de chantier) sou-tiendront le développement d’un projet architectural attentif aux notions suivantes :- espace et usage : dépasser les contraintes normatives ac-tuelles pour inventer d’autres typologies de logement ; - types et variations : produire de la diversité avec la répéti-tion en explorant les assemblages et combinaisons ;- limites et seuils : traiter l’épaisseur spatiale, fonction-nelle et technique de la façade, mais également celle des autres parois, en jouant des mitoyennetés, emboî-tages, voisinages et écarts ;- matérialité et construction : exploiter les propriétés du béton comme matériau structurel, à la fois dans ses possibilités techniques et plastiques propres mais aussi dans ses relations avec d’autres matériaux de façade — bois, métal, maçonnerie, plastique, verre ;- énergies et économie : répondre par des décisions ar-chitecturales judicieuses et frugales aux nécessités du développement durable ;- urbanité : s’inspirer du contexte de l’Île de Nantes en cours de transformation pour réfléchir au rôle d’une cité étudiante dans la métamorphose de ce quartier ; se saisir de l’esprit du règlement d’urbanisme qui permet de traiter les questions d’implantation, de densité, et de rapports avec une grande originalité.- sociabilité : imaginer des programmes collectifs et partagés, inédits, dans l’esprit de ce quartier industrieux en pleine évolution.

Gaëlle Breton (coordinatrice) et Louis Paillard, avec Laurent La-gadec et Sébastien Ramseyer (architectes), et la participation de

Sophie Northam (graphiste)

Séminaire Atelier Intensif

Heures Coefficient Contrôle continu Examen Partiel Examen Final

241

100--

1046

202060

322

100--

h

%

h

%%%

h

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14 ects

Phot

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6� 6�

Licence � / Semestre 4

Ue42 Ambiances

Francis Miguet [email protected]

e42-1 EnsoleillementBouyer, Drozd & Jallouli

e42-2 Thermique & VentilationBouyer, Drozd & Jallouli

e43-1 Modélisation numériqueNathalie Welfert

e43-2 MorphologieFrancis Miguet

Ue43 Morphologie & modélisation

Francis Miguet [email protected]

OBJECTIF Cet enseignement traite de la maîtrise des facteurs physiques d’ambiance et plus particulière-ment de la nature des mouvements solaires révélant le potentiel d’ensoleillement et les ressources solai-res énergétiques d’un site ou d’un espace construit. Les données solaires fixent un certain nombre de contraintes et d’attitudes à adopter pour intégrer cette dimension climatique dans les projets. Au delà, ces connaissances théoriques facilitent l’utilisation de techniques simples de contrôle et d’évaluation de l’ensoleillement des différentes composantes du bâtiment.Pour évaluer les apports solaires, un certain nom-bre de techniques diverses, allant de la construction d’épures manuelles, à l’utilisation de diagrammes et d’outils informatiques, seront présentées. L’en-seignement pratique visera à utiliser ces outils pour construire et analyser des tracés d’ombre, pour dé-finir des durées d’ensoleillement, puis pour évaluer l’influence des masques lointains et des dispositifs de protection sur les apports énergétiques.

CONTENU • principes géométriques permettant de déterminer les trajectoires apparentes du soleil• principes de construction des diagrammes solaires et leurs utilisations dans la conception du projet• étude des techniques manuelles permettant de dé-finir les espaces ombrés ou ensoleillés.• étude de l’influence de l’orientation des façades et de l’environnement sur l’ensoleillement des parois et sur la pénétration du rayonnement solaire à l’inté-rieur des bâtiments.

OBJECTIF L’objectif de ce cours est d’expliciter les fac-teurs d’ambiance thermique nécessaires à la compré-hension du comportement des bâtiments en réponse à des sollicitations climatiques d’hiver et d’été. Seront appréhendés en particulier les aspects théoriques des transferts thermiques et de la ventilation. Une large partie du cours sera également consacrée à l’influence des choix des modes constructifs sur les conditions de confort. Il s’agira, par ailleurs, de mettre en relation les choix architecturaux, formes, expositions, matériaux avec les ambiances résultantes dans les différents es-paces projetés, puis d’évaluer leurs incidences sur la consommation énergétique du bâtiment.

CONTENU L’énergie solaire (en lien avec le cours d’ensoleille-ment) : les caractéristiques de l’énergie solaire et ses modes de propagations ; les techniques simplifiées permettant l’évaluation des apports d’énergie solaire ; les dispositifs de récupération des apports solaires.

Les principaux modes de transferts de chaleur : les transferts radiatifs ; les transferts conductifs ; les trans-ferts convectifsLe comportement des bâtiments : les déperditions de chaleur ; l’isolation ; l’inertieL’évaluation du confort thermique : bilans thermophy-siologiques et indices de confort ; l’hygrométrieLa ventilation : ventilation forcée et techniques de di-mensionnement ; stratégie de ventilation naturelle.

OBJECTIF : Il s’agit de fournir aux étudiants les connaissances leurs permettant d’analyser les tech-niques de modélisation. Cette analyse se fait par l’expérimentation de différents logiciels « métiers » de modélisation de données architecturales.Plusieurs outils spécifiques à l’architecture seront abordés afin de développer une capacité d’inter-prétation et d’appropriation des modes de concep-tions. Entamer une réflexion sur l’utilisation et la méthodologie de l’informatique pendant la phase de conception.Comparaisons d’approches méthodologiques

CONTENU : Laisser l’étudiant libre de dessiner, tra-cer, manipuler dans l’espace.Méthodologies de modélisations informatiques. No-tion de modèles, BIM (Building Information model). Modélisations volumiques, surfaciques, maillage. Textures et matériaux. Images 2 D. L’apprentissage du dessin numérique s’accompagne d’une réflexion sur la lumière naturelle, les matériaux traités en tex-ture et l’intégration dans le site. Volumes / espace, ombres / lumières, matières /textures.

Les bases de modélisation enseignées dans ce cours servent également aux cours de géométrie de mo-délisation d’imagerie de synthèse et d’ambiance proposés dans le cursus.

OBJECTIF :Maîtrise de la conception et de la modélisation des formes géométriques.

CONTENU Cours : génération, analyse, transformation des for-mes situées dans un espace structuré à partir des lois de la géométrie euclidienne et de la topologie :• forme et mouvement• formes situées• les espaces géométriques• les entités élémentaires• homéomorphie et dualité• association des éléments• segmentation• transformations• genre des surfaces• structure d’une forme• génération des surfaces

Travaux-dirigés : génération de formes géométri-ques à partir de formes élémentaires, par transfor-mations successives selon des règles précises pré-établies. Modélisation physique (à l’atelier machine – outil ou par prototypage rapide) et numérique de ces formes.

Initiation à la dimension physique des ambiances architecturales et urbaines par l’apprentissage des principes de base régissant les phénomènes thermi-ques, solaires, lumineux et aérauliques.

E42-1 EnseoleillementE42-2 Thermique & Ventil.

Coefficient Heure Heuresemaine semestre

4 ects

11

2424

1h501h50

hh

E43-1 Modél. Num.E43-2 Morphologie

Coefficient Heure Heuresemaine semestre

4 ects

Mise en oeuvre de différents outils manuels et nu-mériques du dessin et de la modélisation 3D phy-sique et numérique, qui mobilisent les lois de la géométrie dans l’espace : géométrie descriptive, géométrie euclidienne et topologie.

11

3232

2h302h30

hh

64 65

Licence � / Semestre 4

Ue44Voir & Exprimer 3

Didier Courbot & Rémy [email protected] & [email protected]

e44-1 Culture artistiqueD.Courbot & R.Jacquier e44-2 Histoire de l’art 2

D.Courbot & R.Jacquier

OBJECTIFS : Dispensé sur un semestre, ce cours à pour objectif de développer et de préciser ce qui à été mis en place le semestre précédent en montrant comment la modernité a permis les possibilités de porosité et de passages entre les différents champs artistiques et comment celles-ci ont pu s’étendre et devenir un des élément constitutif de la période contemporaine.

Ce cours est pensé en articulation avec « culture artistique » qui a lieu le même semestre permettant ainsi de mettre l’accent et de créer un temps fort sur la question de la théorie dans le cursus du cycle licence au sein du champ ATR.

CONTENU : - Correspondances.- Grand œuvre et Gessamkunstwerk.- Le Bauhaus.- Black Mountain College.- Work in progress et œuvre ouverte.- Fluxus.- Plasticité.

OBJECTIFS : L’objectif de l’UE44-1 Culture artisti-que réside dans la mise à l’épreuve et le développe-ment des questions soulevées par le cours d’histoire de l’art. Mais il n’est plus question ici d’un cours d’histoire mais de s’immerger à l’aide de visites de lieux et de rencontres dans la création artistique contemporaine. Il sera question de voir comment les mêmes problématiques peuvent traverser des champs aussi divers que les arts plastiques, l’archi-tecture, la musique ou encore la cuisine contem-poraine.

CONTENU : UE 44 s’organise autour de deux types d’approches. D’une part un voyage de deux jours à Rome à la suite du séjour avec les enseignants ar-chitectes. Au cours de ce séjour, c’est la visite des musées Maxxi, Macro et plusieurs autres lieux d’art, dont Magazzino et Monitor qui sera privilégiée.D’autre part quatre séances de trois heures sont organisées selon les enseignants et en adéquation avec l’actualité artistique contemporaine de Nan-tes, permettant des visites et rencontres dans les lieux d’art contemporain.

Les objectifs des ateliers du champ ATR sont multi-ples, il s’agit tout à la fois d’aider au développement de la créativité, de la curiosité et du sens critique. Après le préalable d’un semestre consacré au des-sin d’observation, des ateliers sont proposés abor-dant des questions et des outils différents au sein du champ de la représentation. L’apprentissage des outils est un des aspects indispensables des ateliers. La représentation s’organise autour de deux types d’outils, les outils de conception, destinés à soi même pour l’élaboration du projet, et les outils de la communication du projet.

Bien que ATR signifie Arts et Techniques de la Re-présentation, les sujets d’étude du champ vont bien au delà de la question de la représentation même si celle-ci est centrale. Il s’agit en effet de manière assez large de proposer, au delà de l’acquisition des outils de représentation, des outils critiques. Il s’agit également de comprendre pourquoi on utilise un outil plutôt qu’un autre à un moment donné.

Savoir fabriquer une image par exemple suppose de comprendre ce qui la constitue, ce qu’elle raconte et son objectif. Concevoir un volume, qui peut être une architecture, passe par un questionnement sur la nature même de ce volume, sur la forme qu’il prend et sa matière.

Chaque atelier se développe de manière autonome, selon un mode de travail et un rythme qui lui sont propres. Aux ateliers de pratiques artistiques s’ajou-tent deux cours théoriques, l’un sur l’histoire de l’art et l’autre sur la lecture des images.

E24-1 Culture ArtistiqueE24-2 Histoire de l’art 2

Coefficient Heure Heuresemaine semestre

4 ects

41

3216

2h301h15

h30h

66 67

Licence � / Semestre 4

Ue45 Histoire de la ville & sociologie urbaine

Gilles [email protected]

e45-1 Histoire de la villeGilles Bienvenu

e45-2 Sociologie urbaineElisabeth Pasquier

Il s’agit d’aborder la ville occidentale du 18e au 20e siècle comme la résultante d’une chaîne de trans-formations successives, tant dans ses composantes que dans son ensemble, transformations partielle-ment imposées, partiellement négociées.

COURS : Transformations urbaines Le 18e siècle a élaboré des outils de contrôle et de maîtrise de l’espace urbain par les pouvoirs publics; le 19e siècle a insisté sur les questions sanitaires ain-si que sur la circulation et sur les traverses urbaines ; le 20e siècle a inventé une nouvelle approche de la planification urbaine sous le nom d’urbanisme. De la ville ancienne donnée comme « lieu clos rempli de maisons » à la ville moderne diffuse, le cours explore ce moment particulier du 18e siècle où la ville héritée, alors perçue comme représentative du chaos, devient objet de raison, où l’intervention sur la ville existante devient pensable, et où s’élaborent les outils et les procédures de conquête de l’espace public, de régularisation et d’ordonnancement, de contrôle, de maîtrise sanitaire de l’espace urbain. Il s’attache au rapport entre le particulier et le géné-ral, entre le privé et le public, et aux enjeux de la planification des transformations et des extensions urbaines sur cette longue période du 18e au 20e

Le cours théorique de sociologie urbaine a pour objectif de révéler le savoir incorporé tant en ce qui concerne l’espace physique que l’espace social de toute personne ; de consolider des notions-clefs et méthodologies des sciences sociales indispensa-bles à toute pratique de transformation de l’espace ; d’expérimenter des petites formes liant sens et sen-sible à partir d’une attention à soi, à l’autre et à la ville au quotidien.

Le cours est composé de deux séquences : - La première intitulée « gestes et récits » mise sur l’apprentissage du travail de description ethnogra-phique et sur le double mouvement allant du voir au savoir et du savoir au voir (F. Laplantine). Elle repose sur la notion majeure du « déjà là » chère à Michel de Certeau et s’intéresse aux opérations qui font usage des formes construites et aux manières différentes de marquer socialement l’écart opéré par une pratique.

- La seconde séquence « parcours et positions » adopte une posture sociologique partant d’une problématique commune sur la notion de capital spatial pour aller vers un travail d’enquête sur le thème de l’habitat étudiant, du processus de déco-habitation et des modes d’habiter.

L’articulation entre cours théorique et exercices pratiques repose sur l’hypothèse que la pensée s’exerce dans le faire et inversement. La validation est obtenue à travers la réalisation de deux exerci-ces impliquant une acculturation active des deux séquences avec une attention particulière donnée aux liens entre formes et sens.

Une médiagraphie (73 pages) structure ce double cheminement articulant sur un mode probléma-tisé: références du champ de l’espace des sociétés (ethnographie, sociologie), littérature, cinéma, photographie….

siècle. Il met au jour, les modes d’intervention et les types d’intervenants successifs (architectes-voyers, ingénieurs, acteurs politiques, acteurs privés...) dans leurs rapports entre eux et à la ville. Il étudie l’évo-lution des procédures législatives et réglementaires et celle des plans de référence (embellissement, alignement, lotissement, percement, extension, re-construction…) ainsi que l’évolution des outils de connaissance de la complexité urbaine, de l’espace public au cœur d’îlot. La prise en compte, au cours de cette histoire de l’intervention volontariste sur la ville, du bâti habité dans ses rapports avec l’espace public renvoie aux transformations du contexte po-litique et culturel.

TRAVAUX DIRIGES :Le semestre se conclut par un voyage d’étude à Rome, pour une prise de contact directe avec des édifices et des espaces urbains étudiés dans les cours d’histoire de la ville et d’histoire de l’archi-tecture des deux premières années, ou référents d’exemples étudiés en cours. Le voyage propose l’analyse des éléments constitutifs de Rome, de la Rome antique à sa mise en scène au 20e siè-cle (antiquité, renaissance, baroque, modernité, actualité) et propose un regard sur l’appropriation et la ré-interprétation du patrimoine architectural et urbain aux diverses périodes de l’histoire. Les étu-diants préparent le voyage au cours des séances de travaux dirigés et présentent sur place les éléments qu’ils ont travaillés.

e45-3 LanguesJeanne Catherine

voir fiche de l’UE22 : E22-4 (p.37)

Visant la structuration de la culture générale des étudiants sur les faits spatio-temporels et socio-spa-tiaux, l’unité d’enseignement mixe deux approches des formes urbaines et des forces qui les compo-sent, l’une historique, l’autre sociologique, et in-terroge leur constitution et leur devenir. Un voyage d’étude à Rome permet d’approfondir une culture historique portant sur les édifices et espaces emblé-matiques de l’architecture occidentale et d’éprou-ver les ressources d’une socio-histoire tant sur des espaces sédimentés qu’émergents.

E45-1 Histoire de la ville

E45-2 Sociologie urbaineE45-3 Langues

Coefficient Heure Heuresemaine semestre

4 ects

2

21

32

2424

2h30

1h502h

h

hh

+40h TD (voyage Rome)

68

études

69

Premier cyclepréparant au diplôme d’études en architecture conférant le grade de licence

68 69

Ue1116ects

Initiation au projet architectural

Projet architectural 2

Projet architectural 3

Projet architectural 4

Projet architectural 5

Projet architectural 6

Icone enconstruction

UE21-1 Le logement et la villeUE21-2 Espèces d’espaces

UE31-1 Situations extrêmesUE31-2 L’invention concrète

UE41-1 Habiter : scénarios construitsUE41-2 Le logement étudiant à travers la fenêtre

UE51-1 Architecture Ville Mobilité UE51-2 Mais qu’est-ce donc

qu’un espace public?

UE61-1 EpicentresUE61-2 La ville durable en chantier

UE61-3 Espaces publics et habiter UE61-4 La traversée du paysage

Références et relevés

Matière d’architecture

Ambiances

Architecture en construction

Architecture enconstruction 2

Outils de conception et dereprésentation 1

Géométrie etmodélisation

Morphologie etmodélisation

Le logement social

Règles juridiques et économiques du

projet urbain

Outils de conception et dereprésentation 2

Voir etexprimer 1

Voir etexprimer 2

Voir etexprimer 3

Voir etexprimer 4

Bilan critiqueStage de 1ère pratique

Références et critiques

Histoire de la villeSociologe urbaine

Certification en langue étrangère

S1

S2

S3

S4

S5

S6

Prem

ière

ann

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Ue2114ects

Ue3114ects

Ue4114ects

Ue5��4ects

Ue6114ects

Ue127ects

Ue226ects

Ue323+1ects

Ue424ects

Ue5�5ects

Ue623ects

Ue137ects

Ue236ects

Ue334ects

Ue434ects

Ue5�7ects

Ue633ects

Ue244ects

Ue344ects

Ue444ects

Ue544ects

Ue646+4ects

Ue354ects

Ue454ects

Licence � / Semestre 5

70 7�

Licence � / Semestre 5

Ue51.1Architecture Ville Mobilité

Jean-François RENAUD & Valéry DIDELON jean-franç[email protected] & valé[email protected]

Jean-François Renaud, architecte, et Valéry Didelon, historien et critique. L’équipe comprend aussi Philippe Barré et Gaëlle Bre-

ton (architectes)

Séminaire Atelier Intensif

Heures Coefficient Contrôle continu Examen Partiel Examen Final

L’usager des métropoles contemporaines est aujourd’hui souvent un « passager ». Par obliga-

tion, mais aussi par choix, il fréquente quotidien-nement des espaces associés aux transports. Qu’il gare sa voiture pour entrer dans un centre com-mercial, qu’il descende d’un train pour se rendre à son travail, ou qu’il monte dans un avion pour re-joindre son lieu de vacances, il pratique en perma-nence des édifices qui doivent satisfaire son besoin et sa soif de mobilité : parking, gare, aéroport, etc. Comment peut-on concevoir aujourd’hui de tels espaces ? Comment peut-on faire pour qu’ils soient plus que de simples lieux de passage et deviennent de véritables foyers de la vie urbaine ? Et au-delà, comment peut-on réfléchir à la manière dont la mobilité travaille aujourd’hui l’architecture ?

Cette année comme les précédentes, nous tra-vaillerons sur ces questions à partir d’un territoire marqué par la problématique de la mobilité au sein de la métropole nantaise. Plus précisément, nous étudierons la conception d’un édifice associant un programme lié au transit (parking, gare, etc.) à un ou plusieurs autres programmes (commerce, équi-pement, etc.).

Modalités pédagogiques : Le studio se déroulera sur 16 semaines réparties en 3 séquences. Il s’or-ganise autour de journées hebdomadaires d’atelier et de séminaires théoriques et critiques qui se tien-nent tous les quinze jours.

Première séquence. (4 semaines) : il s’agit pour les étudiants de conduire une analyse pluridiscipli-naire d’un fragment du territoire concerné par une infrastructure de transport. Ils mènent leur enquête en petit groupe à partir d’une série de thèmes pré-cis. A la fin de ce travail, ils identifient un terrain susceptible d’accueillir l’édifice pressenti et élabo-rent un scénario d’usage. Un rendu intermédiaire vient conclure la séquence.

Voyage d’étude (1 semaine) : un voyage est orga-nisé dans une grande ville européenne. L’objectif est de multiplier les visites commentées d’architec-ture contemporaines susceptibles d’inspirer les étu-diants dans le cadre du projet à venir.

Deuxième séquence (9 semaines) : il s’agit ici du travail de projet proprement dit. À partir de la mise en situation, et de la programmation établie par eux, les étudiants procèdent individuellement à la formalisation d’un projet d’architecture lié à la problématique de la mobilité. Un rendu final vient conclure la séquence juste avant les vacances de noël.

Troisième séquence (2 semaine intensive) : à l’oc-casion d’un exercice intensif, les étudiants réflé-chissent à la présentation et à la communication de leurs projets. Ils mettent pour cela au point une exposition dans l’école, laquelle est inaugurée lors d’un jury final en présence de personnalité exté-rieures.

14 ects

241--

100

1058-

2080

322

30-

70

h

%

h

%%

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7� 7�

Licence � / Semestre 5

Mais qu’est-ce donc qu’un espace public?Ue51.2

Pascal [email protected]

A l’interface entre les théories de l’urbanité et les pratiques de projet, le thème de la «pu-

blicité» apparaît incontournable dans la formation d’architecte sur au moins trois plans différents. Déontologiquement, on peut considérer que la lutte contre la disparition progressive de l’espace public au profit de l’espace privé, individualisé et aujourd’hui «résidentialisé», relève directement de sa responsabilité. Théoriquement, on peut soute-nir qu’une initiation aux principales filiations de pensée qui s’affrontent autour de la définition du mot est un minimum nécessaire pour fonder la ma-nière de projeter l’espace public. Pratiquement, on ne peut que s’étonner devant l’absence de recette possible pour concevoir et générer de l’espace pu-blic : il faut toujours réinventer la façon de faire en fonction d’un contexte singulier.

Comment penser, comment observer, comment concevoir l’espace public ? Telles sont donc les trois questions majeures qui traversent cet ensei-gnement, qui articule :− un volet cours : Théories et pratiques de la publicité− un volet projet : Espaces publics en réseaux

Les cours, hebdomadaires, se déroulent sur trois séquences de cinq semaines : ils abordent, à plu-sieurs voix, un même sujet et déclinent, par dif-férents biais (les représentations théoriques, les pratiques sociales, les effets sensibles), la question initiale : Mais qu’est-ce donc qu’un espace public ? Chaque séquence est en outre initiée par un cours méthodologique (précisant certaines modalités du travail à mener pendant la séquence) et une jour-née de colloque introductive qui est l’occasion de croiser le regard des enseignants, des étudiants et de conférenciers extérieurs (chercheurs, maîtres d’ouvrage ou maîtres d’œuvre).L’atelier de projet, de même, se développe en trois temps qui sont l’occasion d’aborder et d’enche-vêtrer trois échelles de conception : celle d’un réseau d’espaces publics (approche territoriale

menée en groupes sur un secteur d’environ 25 ha), celle d’un espace public vivant (approche localisée menée individuellement et collectivement à la fois sur un secteur d’environ 2.5 ha, par ex. un espace-rue, une place, un délaissé, un jardin public, …) et celle d’une micro-situation ordinaire (approche constructive portant sur un objet multimodal et son environnement). Le travail se développe en paral-lèle sur quatre secteurs d’un transept métropolitain (centre historique, faubourg urbain, quartier péri-urbain, espace suburbain). Chaque séquence est clôturée par une présentation collective de tous, en présence de personnalités extérieures, soit à l’éco-le, soit in situ, soit dans l’espace public.

A l’issue du semestre, l’étudiant doit être initié à une pratique de projet individuelle et collective à la fois, ainsi qu’à des formes d’hybridation entre l’ac-quisition de savoirs théoriques ou pragmatiques en sciences humaines et :− la pratique du dessin et du projet− la logique de programmation critique− le repérage et la valorisation des «offrandes» du territoire.

Pascal Amphoux, avec Bruno Plisson, Mathieu Chaumet, Dorothée Guénaud et Eilse Roy

Séminaire Atelier Intensif

Heures Coefficient Contrôle continu Examen Partiel Examen Final

24?

25--

105?

50--

32?

25--

h

%

h

%

14 ects

h

%

74 75

Licence � / Semestre 5

Ue52 Architecture en construction

Pascal Joanne [email protected]

e52-1 Analyse de structuresFrancis Moisan e52-2 Maîtrise des ambiances lu-

mineusesPascal joanne

OBJECTIF Cet enseignement complète les ensei-gnements des précédents semestres sur les savoirs constructifs.

Il comprend :• les éléments théoriques nécessaires à la concep-tion et à l’analyse du fonctionnement des structu-res• une initiation à la simulation numérique pour le dimensionnement des structures

CONTENU Le cours théorique développe l’analyse du fonctionnement des structures : stabilité, degré d’hyperstaticité, flambement, etc.Des travaux dirigés apportent une initiation au lo-giciel de calcul des structures RDM6 : application sous forme d’exercices de résolution de structure.

OBJECTIF Ce cours développe la compréhension des phénomènes lumineux et la manipulation des grandeurs physiques associées. Il introduit les no-tions de base en photométrie. En éclairage, on s’in-téresse à la propagation de la lumière d’un point de vue de l’éclairage architectural ; on aborde ensuite la maîtrise des sources de lumière artificielle ; la dernière partie du cours concerne le contrôle de l’éclairage naturel extérieur et intérieur.

CONTENU• bases de la photométrie• sources lumineuses - Luminaires• méthodes de calcul simplifiées des éclairements• application à la modélisation informatique des ambiances lumineuses

• les principes d’évaluation de l’énergie lumineuse naturelle• le confort lumineux• la lumière et la perception de l’espace construit• les dispositifs favorisant l’éclairage naturel.

La maîtrise du confort dans les bâtiments se pour-suit ici avec l’étude et la compréhension des phé-nomènes sonores et lumineux dans l’espace ar-chitectural. Les deux enseignements ici proposés conduisent à appliquer la maîtrise structurelle et la maîtrise du confort dans une phase de définition d’un projet « moyennement complexe ». L’étudiant doit être en mesure de différencier les compétences qui sont de l’ordre de la conception architecturale de celles de l’ingénierie.

E52-1 Analyse de structuresE52-2 Maîtrisse des ambiances

Coefficient Heure Heuresemaine semestre

5 ects

21

4024

3h154h

hh

Valérie Jouve, Sans Titre, Les Façades - 1994-1995

76 77

Licence � / Semestre 5

Ue53Le logement social: Héritages &

Elisabeth [email protected]

e53-1 Histoire du logement socialMarie-Paule Halgand

stratégies de mutation

e53-2 Sociologie urbaineElisabeth Pasquier e53-3 A l’épreuve du terrain

Elisabeth Pasquier

Le cours d’histoire (24H) s’intéressera au logement social en abordant les conditions de sa production dans le contexte des évolutions sociales et écono-miques des deux derniers siècles et aux questions typo-morphologiques ouvertes par les théories et les réalisations.

Abordant sur la période allant du début du 19e siècle jusqu’aux années 1990, la «question du lo-gement», les cours suivront un déroulement chro-nologique en se centrant sur différentes thémati-ques : le contexte social et les dispositifs législatifs, l’élaboration de modèles et la déclinaison de ty-pes, la position des architectes. Des réalisations «modèles» des industriels ou philanthropes, an-glais ou français, présentées dans les Expositions, aux réalisations «manifestes» de quelques munici-palités européennes (Londres, Vienne, Amsterdam, Paris…), les différentes propositions qui ont contri-bué à l’élaboration d’un standard de logement se-ront présentées.

Le cours de sociologie urbaine (24H) traite de la fi-gure du grand ensemble : leur conception, les spé-cificités architecturales et urbaines, les logiques de peuplement et leurs conséquences en termes de so-ciabilités et l’histoire de l’action publique qui s’est expérimentée sur ces territoires (réhabilitations, po-litique de la ville, résidentialisations, procédures de requalifications urbaines). Il aborde également, en lien avec le travail de TD, les enjeux contemporains autour des constructions neuves : effets réglemen-taires de la loi SRU, innovations et/ou conformisme architectural, impact des groupes de pression sur le droit au logement….

Le TD associé (24H) aux deux cours de référence a pour objectif l’acquisition de méthodes de travail intégrant les éléments apportés par une lecture at-tentive de l’histoire récente : du diagnostic trans-disciplinaire à l’assistance à la Maîtrise d’Ouvrage en passant par les approches anthropologiques applicables à tout territoire habité, les questions liées à l’évolution du patrimoine et les questions de «mises en publics» de projets. Les étudiants, par groupes de trois, se voient confier l’étude urbaine, architecturale et sociale d’une opération récente de la métropole nantaise, l’objectif étant de confronter les effets d’une commande portée par une maîtrise d’ouvrage complexe et de contraintes économiques et réglementaires fortes, aux formes négociées par la maîtrise d’œuvre et à la réalité de l’espace vécu (relevés, entretiens).

e53-4 LanguesJeanne Catherine

voir fiche de l’UE22 : E22-4 (p.37)

La question du logement – et plus spécifique-ment du logement social – constitue un champ de connaissance à la croisée de différentes discipli-nes universitaires et de domaines d’actions. Cette unité d’enseignement, en livrant une lecture à la fois diachronique et transdisciplinaire de la question du logement doit permettre de construire un jeu de références cumulatif et de développer une position critique face à un sujet où la ques-tion spatiale n’est jamais dissociable des effets de contexte et des enjeux socio-économiques et so-cio-politiques.

L’unité d’enseignement aborde les enjeux contem-porains et les débats de société autour des ques-tions de patrimonialisation, de ségrégation et de requalification urbaine, qui déterminent la place et le rôle exercé par l’architecte et l’urbaniste qui s’emparent de ce type de commande et de territoi-re, qu’il s’agisse de ré-intervenir sur le patrimoine existant ou d’aborder des opérations neuves.

Deux cours (histoire du logement et sociologie urbaine) donnent un cadre de réflexion et de pro-blématisation.

E53-1 Histoire du log. soc.E53-2 Sociologie urbaineE53-3 A l’épreuve du terr. E53-4 Langues

Coefficient Heure Heuresemaine semestre

7 ects

3341

24242424

2h002h00-2h

hhhh

78 79

Licence � / Semestre 5

Ue54Voir & Exprimer 4

Didier Courbot & Rémy [email protected] & [email protected]

e54-1 AtelierD.Courbot & R.Jacquier

cf Voir et exprimer 2 (p.50 UE34)

ATELIER IMAGE

Approche créative de l’outil informatique / Evelyne Pontoiseau

Le livre animé / Arnaud Théval

De l’idée au projet / Daniel Grimaud

Communication visuelle / Pierre Faucher

ATELIER VOLUME

Atelier Volume 2 / Agir sur l’architectureBaptiste Debombourg, Didier Courbot, Rémy Jacquier et Clément Laigle

Les objectifs des ateliers du champ ATR sont multi-ples, il s’agit tout à la fois d’aider au développement de la créativité, de la curiosité et du sens critique. Après le préalable d’un semestre consacré au des-sin d’observation, des ateliers sont proposés abor-dant des questions et des outils différents au sein du champ de la représentation. L’apprentissage des outils est un des aspects indispensables des ateliers. La représentation s’organise autour de deux types d’outils, les outils de conception, destinés à soi même pour l’élaboration du projet, et les outils de la communication du projet.

Bien que ATR signifie Arts et Techniques de la Re-présentation, les sujets d’étude du champ vont bien au delà de la question de la représentation même si celle-ci est centrale. Il s’agit en effet de manière assez large de proposer, au delà de l’acquisition des outils de représentation, des outils critiques. Il s’agit également de comprendre pourquoi on utilise un outil plutôt qu’un autre à un moment donné.

Savoir fabriquer une image par exemple suppose de comprendre ce qui la constitue, ce qu’elle raconte et son objectif. Concevoir un volume, qui peut être une architecture, passe par un questionnement sur la nature même de ce volume, sur la forme qu’il prend et sa matière.

Chaque atelier se développe de manière autonome, selon un mode de travail et un rythme qui lui sont propres. Aux ateliers de pratiques artistiques s’ajou-tent deux cours théoriques, l’un sur l’histoire de l’art et l’autre sur la lecture des images.

ATELIER IMAGE

Le livre animé / Arnaud Théval

OBJECTIFS : maîtrise des formes et du contenu des images en lien avec le sens recherché

CONTENU:Prise de vue : Image du réel, Image / imaginaire.La fabrique de l’image.Fabrication d’un livret (mi- semestre)ManipulationFabrication d’un livre- objet

THEMATIQUE :« Passages » 2009

METHODE : Il s’agit dans un premier temps de faire l’expérience et la connaissance du ‘’lieu’’. Par groupe et individuellement les étudiants explore-ront le ‘’lieu’’ au regard de la thématique du ‘’pas-sage’’.

Cette réflexion empruntera plusieurs moyens ; des-sin, écriture, image (photo, animée, mise en page). Ce travail sera restitué dans un premier temps sous forme d’un livret (état des lieux des recherches mis en forme). Le contenu sera réinterrogé par la suite en vue de la fabrication d’un livre / objet mettant en jeu l’espace intérieur du livre et la spatialité de l’objet. Cette édition unique traduira, tant par le contenant que par le contenu, les recherches et les formes induites par les développements du semestre .

De l’idée au projet / Daniel Grimaud OBJECTIFS : Poser la question du PROJET dans le cadre artistique, en reference au projet d’architec-ture.

CONTENU : - Se familiariser avec le processus qui permet a une intention de se concretiser dans une production identifiable. -Experimenter la notion de projet artistique dans son implication a l’echelle 1, en se confrontant aux nombreuses contraintes de sa fabrication. -Acquerir une maitrise du CROQUIS comme outil privilegie de conception, de comprehension et de communication.

METHODE : Le passage a l’acte Chaque semaine, l’ensemble des etudiants determine, parmi toutes les idees proposees, celle qui se verra concretisee. La forme ouverte, de cette production artistique, dessin, photos, video, sculpture, installation, inter-vention...est choisie en fonction de son efficacite supposee. Dans ce cadre, le croquis est utilise, non seulement, comme moyen de recherche individuel, mais surtout, pour sa capacite a construire une reflexion collective. A partir du projet effectivement realise par quelques uns, c’est tout le groupe qui debat de l’adequation de ce projet avec l’idee ini-tiale.

E54-1 AtelierE54-1 Atelier (volume 2)

Coefficient Heure Heuresemaine semestre

4 ects

44

3232

2h3032h

h30h

(intensif)

80 8�

Licence � / Semestre 5

Ue54Voir & Exprimer 4

Didier Courbot & Rémy [email protected] & [email protected]

Communication visuelle / Pierre Faucher

OBJECTIFS: L’atelier est un espace de créativité et de pensée mettant en œuvre une compréhension des niveaux de significations de l’image tant au ni-veau de l’information, de la communication que du contexte. Entre création sensible et signification, entre image mentale et physique, fixe ou animée, le langage et la production des images sont durant le semestre interrogées à travers des modes de re-présentation manuelles ou numérique.

METHODE: Une thématique, se rapportant soit à un lieu, un événement ou un concept, est question-née à travers plusieurs outils graphiques et supports (typographie, photographie, dessin, vidéo, …) ex-primant ainsi la nature et la fonction hétérogène de l’image. Un livret réalisé en fin de semestre ras-semble l’ensemble de la production du semestre.

CONTENU: Analyse et lisibilité du texte et de l’ima-ge dans un rapport texte/image (analyse d’annonce presse). Mise en page et tracé régulateur. Com-munication intentionnelle et qualité expressive de l’image. Recherche graphique, du rough à la pré-maquette (graphique) avec les outils traditionnels (dessin, rough, montage, photocopie…). Recherche d’identité visuelle - Conception de logos- Concep-tion de pictogrammes. Typographie. Intervention sur site urbain.

ATELIER VOLUME 2

Agir sur l’architecture / Didier Courbot, Rémy Jacquier, Clément Laigle et David Debombourg

OBJECTIFS : Dans cette seconde phase Volume 2, il s’agira de continuer à questionner le volume mais cette fois-ci dans son rapport à l’architecture et l’environnement en se positionnant à l’échelle 1. Pour des étudiants d’une école d’architecture, se confronter à un objet qui ne soit pas un projet est particulièrement formateur. Cela implique une meilleure connaissance des matériaux et leur mi-ses en oeuvres mais aussi un rapport plus juste à l’architecture dans sa dimension réelle. Il sera aussi question ici de perception de l’espace tant celle-ciest déterminante dans le projet qui s’ensuit.

CONTENU : L’atelier abordera trois notions qui sedéclinent logiquement durant le semestre :- Positions : Où sommes nous et comment se posi-tionne-t-on dans un espace ?- Lieux : De quoi se constitue cet espace, quellessont ces limites ?- Sites : Qu’est-ce qui est important ? Quelle est lanature de cet espace ? Dans quel environnementse situe-t-il ?

METHODE : Le temps consacré à l’expérimentation est important. Pour cette raison l’atelier se déroule sous la forme d’une semaine intensive de 32h à la fin du semestre, après le rendu de projet d’architec-ture, soit une durée suffisamment importante pour que l’étudiant puisse aisément semette a fabriquer. Les notions citées si dessus seront travaillées à partir d’exercices ou se développent un rapport croissant à la taille des espaces.

1 - L’installation, c’est-à-dire comment travailler lesespacements entre différents éléments afin de créerun tout significatif. Que produit l’addition d’un oude plusieurs objets dans un espace ? Etudier les pos-sibilités de choix entre occuper l’espace et habiterl’espace.2 - L’environnement, c’est-à-dire comment prendreun espace intérieur donné pour le transformer si-gnificativement.La question de la scénographie pourrait également ici être abordée.3 - Le paysage, travailler un espace beaucoup plusvaste, à plus grande échelle. Il s’agit ici de déve-lopper des stratégies de mise en espace mais appli-quées à des sites et territoires à ciel ouvert, urbainsou naturels. Ce passage signifie également un ques-tionnement sur la notion de contexte réel avec ses contraintes inhérentes : sociales, politiques, don-nées physiques et géographiques etc.

BIBLIOGRAPHIE: Intégral Ruedi Baur et associés : identité de lieux, Ruedi Baur, Paris : Pyramid ntcv , 2004

Typographie : ein Gestaltungslehrbuch, Typographie a manual of design, Emil Ruder

La Typographie expérimentale: The Typographic Experiment: Radical Innovation in Contemporary Type Design, Teal Triggs, Traduit de l’anglais par Isabelle Men-nesson et Jean-François Allain, Paris : Thames and Hudson , 2004

E54-1 AtelierE54-1 Atelier (volume 2)

Coefficient Heure Heuresemaine semestre

4 ects

44

3232

2h3032h

h30h

(intensif)

8�

études

8�

Premier cyclepréparant au diplôme d’études en architecture conférant le grade de licence

8� 8�

Ue1116ects

Initiation au projet architectural

Projet architectural 2

Projet architectural 3

Projet architectural 4

Projet architectural 5

Projet architectural 6

Icone enconstruction

UE21-1 Le logement et la villeUE21-2 Espèces d’espaces

UE31-1 Situations extrêmesUE31-2 L’invention concrète

UE41-1 Habiter : scénarios construitsUE41-2 Le logement étudiant à travers la fenêtre

UE51-1 Architecture Ville Mobilité UE51-2 Mais qu’est-ce donc

qu’un espace public?

UE61-1 EpicentresUE61-2 La ville durable en chantier

UE61-3 Espaces publics et habiter UE61-4 La traversée du paysage

Références et relevés

Matière d’architecture

Ambiances

Architecture en construction

Architecture enconstruction 2

Outils de conception et dereprésentation 1

Géométrie etmodélisation

Morphologie etmodélisation

Le logement social

Règles juridiques et économiques du

projet urbain

Outils de conception et dereprésentation 2

Voir etexprimer 1

Voir etexprimer 2

Voir etexprimer 3

Voir etexprimer 4

Bilan critiqueStage de 1ère pratique

Références et critiques

Histoire de la villeSociologe urbaine

Certification en langue étrangère

S1

S2

S3

S4

S5

S6

Prem

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Ue2114ects

Ue3114ects

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Ue127ects

Ue226ects

Ue323+1ects

Ue424ects

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Ue6��ects

Ue137ects

Ue236ects

Ue334ects

Ue434ects

Ue537ects

Ue6��ects

Ue244ects

Ue344ects

Ue444ects

Ue544ects

Ue646+4ects

Ue354ects

Ue454ects

Licence 4 / Semestre 6

84 85

Licence 4 / Semestre 6

Ue61.1Epicentres

Jean-François Renaud [email protected]

La condition métropolitaine recouvre une grande diversité de territoires et de situations construi-

tes. Si la ville diffuse nous interroge par son carac-tère inédit et emblématique, les enjeux et problé-matiques du centre évoluent parallèlement. Dans la ville multipolaire contemporaine, comment envisager la centralité, quelle forme spécifique lui attribuer?

A l’heure aiguë du développement durable et de l’approche environnementale urbaine (AEU), densité et mixité constituent les horizons incon-tournables de tout projet. Pour autant, ces notions demeurent particulièrement ouvertes et nécessitent une exploration à la fois théorique et pratique. La condition métropolitaine traverse les multiples échelles de nos interventions du projet urbain à l’architecture. Cette UE propose d’investir cette condition à l’échelle d’un projet architectural en reprenant l’aphorisme paradoxal d’Aldo Van Eyck: «Une ville est une maison, une maison est une ville».

Le territoire proposé est celui de l’île de Nantes. Dans ce tissu de faubourgs et d’industrie, typique d’une situation périphérique, et pourtant, géogra-phiquement, au centre de l’agglomération, le plan guide d’ Alexandre Chemetoff sert de vecteur à la mutation du territoire. Archipel d’îles sur le fleuve, réunies pour «construire» l’île de Nantes, l’histoi-re du site est exemplaire entre nature et artifice. L’ambition de cet atelier est d’explorer combien la ville, dans ses formes et questionnements contem-porains, est un extraordinaire moteur pour le projet architectural.

L’atelier est structuré en trois séquences : les exigen-ces réglementaires (PLU) sont envisagées dans un premier temps, non comme un corpus de contrain-tes, mais comme un potentiel du projet préfiguré notamment en terme de densité («volume max»). L’analyse du site vient ensuite informer le modèle

initial en croisant les différentes dimensions propres au site (histoire, usages, paysage...). Chaque année, l’atelier choisit un site et un programme réel de l’île. La finalité du projet se définit à un niveau d’esquis-se. Cette définition nécessite d’investir différentes échelles, inscription dans le paysage, partition des masses et programmes, organisation des flux mais aussi anticipation des détails et matérialité de l’en-veloppe, précision des épaisseurs du bâti...

Les cours se décomposent selon trois axes: notions, histoire et doctrines. Il s’agit dans un premier temps de définir les notions de densité et de mixité afin de construire un lexique performant pour le projet. L’exploration historique peut permettre de com-prendre dans la durée à quel système territorial appartient l’île et de quels systèmes (multiples et «transcalaires») elle procède: mise au jour des en-jeux successifs qui ont présidé aux transformations volontaristes combinées avec la réalité des territoi-res et de leurs populations, exploration des cou-ples privé/public, intérêts particuliers et généraux, conquête/reconquête, jusqu’à l’explicitation de for-mes qui en ont résulté. Il s’agit enfin pour l’étudiant de construire un discours sur la ville, celui là même qui porte et que porte le projet.

Jean François Renaud, avec Romain Rouseau, architectes et Gilles Bienvenu, architecte et historien

Séminaire Atelier Intensif

Heures Coefficient Contrôle continu Examen Partiel Examen Final

241

103060

1053

103060

32h

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h

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14 ects

h

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86 87

Licence 4 / Semestre 6

Ue61.2La ville durable en chantier

Virginie MEUNIER, Claude PUAUD & François [email protected] & [email protected] & fran-ç[email protected]

Appréhender la question de l’urbanisme sous l’angle du développement durable n’est pas

exclusif à tout autre mode de réflexion mais il est essentiel de traiter de ces questions dans leur glo-balité. En raison des enjeux de société qui se po-sent et qui se poseront dans les années à venir, les étudiants doivent acquérir les outils conceptuels et les savoirs historiques et scientifiques qui leur per-mettront d’intégrer la question du développement durable dans leur pratique de projet. L’essor de la population urbaine place la question de l’aménagement du territoire et de l’urbanisme au centre de la problématique du développement durable. Les villes adoptent des stratégies de déve-loppement durable parfois sans réelle méthodolo-gie ni contenu bien définis. La question ne se limite pas à la France et les expériences étrangères nous le démontrent. Des quartiers entiers fleurissent en Europe du Nord depuis une dizaine d’années et sont institués quartiers écologiques ou durables. Ces quartiers ont certainement un caractère exem-plaire mais sont trop souvent interprétés par les ar-chitectes comme modèles et non comme quartiers expérimentaux ou les dispositifs mis en place doi-vent être analysés a posteriori pour bien en com-prendre les effets. Cette UE se propose d’explorer de nouvelles formes d’aménagement du territoire en réponse aux préoccupations environnementa-les. Ces propositions seront analysées et évaluées au regard des critères environnementaux et des nouvelles pratiques du territoire qui en résultent.

L’unité d’enseignement (atelier de projet (105h et intensif (32h)) vise à initier les étudiants à l’inté-gration des questionnements relatifs au développe-ment durable dans le projet urbain. La fabrication du projet conduira l’étudiant à se positionner par rapport aux questions environnementales. Cette ré-flexion critique l’amènera à développer une approche personnelle de l’aménagement des territoires aux dif-férentes échelles qu’il traduira dans son projet.

Quatre phase ponctueront cet atelier de projet : analyse critique d’un quartier dit « quartier durable » / réalisation du diagnostic environnemental du site / fabrication du projet / ’évaluation environne-mentale du projet urbain proposé par l’utilisation d’outils simplifiés et d’indicateurs environnemen-taux (atelier intensif).

Les étudiants devront montrer en quoi leur projet répond aux enjeux de la ville durable et devront montrer la pertinence et la cohérence de la propo-sition urbaine au regard du diagnostic environne-mental du site et de la formalisation des enjeux du territoire.

Les cours théoriques dispensés (« ville durable en question » (24h)) parallèlement à l’atelier de projet, par les intervenants d’horizons différents (architec-tes, urbanistes, environnementalistes, paysagistes…) ont pour objectif de développer les différentes thé-matiques relatives aux questions environnementa-les et de montrer la nécessité de leur croisement dans le projet urbain.

Claude Puaud, François Dussaux et Virginie Meunier, coordi-nateurs, avec Christian Marenne, Julien Bouyer, Thomas Ouard

et Virginie Meunier, encadrement de l’intensif

Séminaire Atelier Intensif

Heures Coefficient Contrôle continu Examen Partiel Examen Final

241---

1054--x

32----

h h

14 ects

h

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88 89

Licence 4 / Semestre 6

Ue61.3Espaces publics et habiter

Jean [email protected]

Cette UE initie par l’apprentissage du mode conceptuel, projectuel et démonstratif ainsi

que par le contenu et les méthodes pédagogiques développées, les enseignements théoriques et pra-tiques dispensés en cycle Master dans les différen-tes UE du Domaine d’Etudes 3 – Art et Méthodes du Projet Architectural et Urbain. L’OPTION EPH est caractérisée par les disciplines associées STA et Espaces et Territoire. La vocation de l’UE est d’initier en cycle licence le projet urbain et archi-tectural sous sa dimension professionnalisante. Le site est fonction du programme, de son échelle, de son caractère urbain ou non. L’enjeu : un projet abordable en terme de semestrialité au regard des contenus, attendus et échelles développées - ERP ou architecture domestique.

L’objectif : contribuer à une insertion remarquée dans l’espace public et notamment en favorisant la mixité sociale. Il est demandé d’afficher un parti urbain et architectural de grande qualité plasti-que ainsi qu’une organisation rationnelle du plan masse intégrant les aménagements extérieurs du bâtiment à l’espace public ainsi que le traitement de l’accueil et le positionnement des parkings. La règlementation fait partie intégrante du dispositif conceptuel, projectuel et démonstratif y compris les normes incendie et la prévention en matière de DIUO et l’accessibilité à tout public handicapé.

L’étudiant fera état d’une posture innovante face à la contrainte du lieu. Le caractère de l’édifice devra ainsi valoriser toute la dimension de recon-naissance au regard du paysage urbain dans lequel s’inscrit le projet en se fondant d’une part sur la valeur initiale du lieu par les facteurs induits, is-sus de ses données et contraintes, et d’autre part sur la valeur surajoutée du lieu par les facteurs déduits, issus du propos de l’étudiant. La question de la scénographie urbaine participe au processus conceptuel et projectuel de l’étudiant.

La dimension paysagère intégrée à notre UE est construite autour de cours et conférences. L’étu-diant présente la démarche conceptuelle relative à l’insertion au site de son projet d’architecture ; celle ci doit permettre de vérifier l’acquisition de connaissances techniques et théoriques. L’étudiant expose les principes théoriques de cette démarche en référence aux conférences suivies sur l’analyse du paysage ou selon le cas en liaison avec son pro-jet d’architecture. La création, l’adaptation et l’amé-nagement de jardins privés et publics font partie du dispositif conceptuel du projet et seront exprimés au niveau de l’esquisse et du rendu.

L’UE est élaborée dans le cadre d’un programme qui décrit l’ensemble des données en terme de be-soins, voir d’organisation de l’espace afin d’offrir aux étudiants les bases nécessaires à la conception d’un bâtiment, l’échelle et le thème ne constituant pas ici, même s’ils le nourrissent, un fondamental théorique et pratique. L’essentiel est de donner libre cours à sa sensibilité et à son imagination pour met-tre en œuvre toutes ces données dans un esprit de composition et de justesse à travers les propos. La pédagogie interactive fondée sur l’investissement de chaque étudiant favorise le processus d’accom-pagnement dans cette démarche de projet.

Jean Robein, avec Yves Dessy, Gilles Chabenes et Jean Pierre Ndjip

Séminaire Atelier Intensif

Heures Coefficient Contrôle continu Examen Partiel Examen Final

491--

100

1124--

100

h

%

h

%

14 ects

Le projet est élaboré en mode numérisé maquette, plans, coupes suivant différentes échelles (1/500, 1/200, 1/50, 1/20, 1/10) ou à main levée / voir projets étudiants sur le Webmaster de l’ensa Nantes - rubrique : enseignement illustré

Emili

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90 9�

Licence 4 / Semestre 6

Ue61.4La traversée du paysage

Didier [email protected]

Si le paysagiste est de plus en plus associé aux équipes de concours de projet d’architecture,

la raison semble aller au delà d’un simple besoin de s’assurer les compétences d’un professionnel du végétal. En effet qu’est-ce que le paysage sinon un continuum d’espaces construits et libres. Le paysagiste c’est alors celui qui organise conjoin-tement avec un ensemble de partenaires, architec-tes, urbanistes, sociologues, ingénieurs, habitants, ce paysage, ces espaces libres et vides, qui crée des liens et des relations. En somme ce que l’on nomme le paysage est une sorte d’espace public, un lieu de rencontre car il concerne tout le monde. Le paysagiste est alors l’un de ceux qui se trouvent dans une posture de dialogue permanent car c’est à lui qu’incombe la tâche de donner une forme à ce territoire d’échange.

Le studio de projet La traversée du paysage, tente dans l’espace d’un semestre scolaire d’aborder ces questions relatives au paysage et à ses différentes échelles (du grand paysage au banc) et de définir ce qu’est un projet de paysage. Il n’est pas ques-tion ici de former en quelques mois de futurs pay-sagistes, mais de faire comprendre ce dont il est question dans le projet de paysage et d’enseigner certains outils essentiels pour l’élaboration d’un projet d’aménagement. Une part importante est dédiée par exemple au végétal. Une série de cours est organisée sur la notion d’écosystème et sur la végétation. Un exercice de pratique du végétal a lieu à l’issu de ces cours sous la forme d’une inter-vention urbaine.

Le semestre s’organise autour de 3 phases, et d’une semaine intensive. Dans la première phase c’est à partir d’un voyage effectué dans une ville choisie pour ses enjeux géographiques, topographiques, urbains et paysagers que l’on aborde le paysage. On procède alors à un découpage de la ville par trajectoires la traversant et depuis lesquelles les étudiants interrogent la ville dans son inscription

géographique et topographique. Où sommes nous ? Quel est le territoire dans lequel la ville s’inscrit ? Quelle est sa limite périphérique et sa relation avec les limites de son territoire ?

À partir des traversées effectuées, il sera question dans une seconde phase de comprendre l’organi-sation de la ville, son histoire, ses quartiers et sa population. Il est encore ici question de savoir où l’on est mais à une autre échelle. De comprendre que si un projet de paysage est possible, il s’inscrit d’abord dans une situation existante et que le rap-port établi avec celle-ci sera déterminant dans sa genèse et sa forme. Les étudiants proposent alors une sélection de sites de projets potentiels. La der-nière phase est entièrement consacrée au projet d’aménagement. Les sites retenus correspondent à différentes typologies, site à dominante végétale, industrielle, commerciale ou urbaine. C’est sur la question essentielle des échelles que s‘organise alors le déroulement de l’atelier, le projet dans la ville, le projet dans le quartier et enfin le projet à l’échelle du passant. Chaque projet se construit autour des problématiques de surfaces, de limites et d’objet, chacune des problématiques renvoyant à des aspects concrets du projet : le sol, les circula-tions, la végétation, le mobilier etc.

Didier Courbot, coordinnateur, Michel Bazantay, architecte et Cécile Glangeaud, paysagiste

Séminaire Atelier Intensif

Heures Coefficient Contrôle continu Examen Partiel Examen Final

241--

100

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302050

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14 ects

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Licence 4 / Semestre 6

Ue62Architecture en construction 2

e62-1 Techniques du second oeuvrePhilippe Loison e62-2 Maîtrises des ambiances

acoustiquesPascal Joanne

Pascal Joanne [email protected]

OBJECTIF Ce cours aborde les principes et les tech-niques du second-œuvre par l’analyse des dispo-sitifs utilisés, leurs fonctions, leurs représentations, leur mise en œuvre sur le chantier.L’objectif est de mettre l’accent sur la nécessité de maîtriser ces techniques liées aux détails de construction pour assurer une bonne tenue du bâti-ment dans le temps et éviter différentes pathologies qui peuvent s’avérer très préjudiciables par rapport à l’esthétique du bâtiment, à son utilisation, à son coût d’entretien.

CONTENU• les pathologies du bâtiment• étanchéité à l’air et à l’eau• les dispositifs d’isolation thermique et acoustique et leur mise en œuvre• aspects réglementaires et sécuritaires• études de cas

OBJECTIF Ce cours développe la compréhension des phéno-mènes acoustiques et la manipulation des grandeurs physiques associées. Il introduit les notions de base dans le domaine de l’audition et en acoustique ar-chitecturale et urbaine.

CONTENUAcoustique :• nature du son • grandeurs acoustiques• propagation dans l’air• l’oreille et la perception• propagation en un espace clos• isolation acoustique• maîtrise de la qualité acoustique dans le bâtiment• contexte réglementaire et normatif• l’environnement sonore• l’acoustique urbaine• l’acoustique des salles

Etude du comportement des bâtiments en fonction des sollicitations climatiques, des usagers et des choix constructifs. L’accent sera mis sur l’enve-loppe extérieure et les caractéristiques des parois intérieures en étudiant la réponse du bâtiment en terme d’ambiance (sonore, hygro-thermique, lumi-neuse) et en terme de vieillissement, de durée de vie, de santé.

E62-1 Second OeuvreE62-2 Ambiances Accoust.

Coefficient Heure Heuresemaine semestre

3 ects

11

1632

1h154h

hh

94 95

Licence � / Semestre 6

Ue63Régles juridiques et économiques

patrick [email protected]

e63-1 Droit de la constructionCorinne Samson

e63-2 Marché du bâtimentPatrick Besseau

du projet urbain

e63-3 Programation urbainePatrick Besseau

OBJECTIF Après introduction sur les institutions et l’administration sur le droit public et le droit privé et leurs juridictions, le cours de droit de la construc-tion précisera le cadre législatif et réglementaire qui prévaut dans l’élaboration des projets architectu-raux.

CONTENUINTRODUCTION AU DROIT.1) Les institutions administratives françaises :L’Etat et ses administrationsLes collectivités territoriales : communes, départe-ments et régionsLes groupements de communesDéconcentration et décentralisationLes principes du contrôle de légalité

2) Notions de droit public général et de droit privé.Les sources du droit : traités internationaux, loi, rè-glement, jurisprudence, coutume….

3) Juridictions compétentes en matière de droit privé, civil, pénal et relatif aux instances adminis-tratives.La séparation des pouvoirs, deux ordres de juridic-tions, les juridictions judiciaires, les juridictions ad-ministratives ; l’ instance, l’ appel, la cassation.

OBJECTIF Introduction aux mécanismes économi-ques de la production architecturale

L’objectif est de comprendre comment se détermine le coût final d’un bâtiment qu’il soit un logement ou non. La connaissance des paramètres de coût et des mécanismes de valorisation aux différentes étapes du process de production éclaire sur le sens écono-mique de l’acte de conception architecturale.

CONTENU La production de logements, d’équi-pements publics et privés répond à un processus complexe d’adéquation entre les besoins, par na-ture évolutifs, et une offre structurellement rigide en raison de contraintes techniques et financières. La réponse architecturale devient pertinente lorsqu’el-le intègre les paramètres suivants :

- le marché foncier- besoins et demandes : logiques sociales et logi-ques économiques- maîtrises d’ouvrage privées et publiques- politiques publiques de l’habitat (PLH, OPAH, ORU…)- financement du logement- enjeux et limites de l’industrialisation du bâti-ment- développement durable et démarche HQE face à l’économie de marché.

OBJECTIF L’objectif est de comprendre comment le projet politique pour la ville peut se traduire en programme de logements et d’équipements (privés et publics) permettant aux urbanistes de produire la ville.

CONTENU Les besoins en logements, équipements et infrastructures peuvent être évalués selon diffé-rentes méthodes qui seront explicitées et confron-tées au réel, à partir d’exemples de villes de tailles et contextes contrastés. Il s’agit ici de se donner les moyens de porter un regard distancié sur les pro-grammes urbains proposés aux architectes et leur permettre d’améliorer la pertinence de leur réponse aux maîtres d’ouvrage.

Une attention particulière sera portée aux sujets re-tenus dans le cadre des projets urbains qui seront proposés aux étudiants.

4) L’évolution des politiques locales en matière d’urbanisme et de construction : des politiques de salubrité ou d’architecture à la politique de la ville.L’historique des principaux textes normatifs.L’entrée en force de la thématique « environnement » dans le droit des sols est fréquemment confrontée aux contraintes de la vie économique et sociale.Droit de la construction et de l’urbanisme et in-sécurité juridique, une problématique récurrente, mais toujours non résolue.Les règles d’utilisation des sols, l’application sur le terrain du droit de l’urbanisme : permis de construi-re et permis de démolir.

DROIT DE LA CONSTRUCTION.

Le droit de la construction dans le droit. 1) Le droit immobilier : 1/1 : Le droit de propriété : Notion, principes, attributs. 1/2 : Le pouvoir partagé sur l’immeuble ; a) La propriété collective : indivision, co propriété, mitoyenneté. b) Les droits réels sur l’immeuble d’autrui : usufruit, servitudes, baux emphytéoti ques, à construction, concession immo bilière

e63-4 LanguesJeanne Catherine

voir fiche de l’UE22 : E22-4 (p.37)

Cette unité d’enseignement initie à la compréhen-sion du contexte dans lequel s’inscrit le projet ur-bain. Le cours de droit de la construction fixera le cadre juridique d’élaboration du projet, celui sur les marchés du bâtiment définira les contraintes économiques de la production du cadre bâti et ce-lui consacré à la programmation urbaine justifiera le projet urbain en terme de besoins d’équipements et d’attente de cohérence fonctionnelle en regard d’objectifs politiques.

E53-1 Histoire du log. soc.E53-2 Sociologie urbaineE53-3 Héritage & strat. E53-4 Langues

Coefficient Heure Heuresemaine semestre

3 ects

1111

24161624

1h151h151h152h

hhhh

96 97

Licence � / Semestre 6

Ue64Bilan Critique

e64-1 Mémoire VivePascal Amphoux e64-2 Stage suivi de chantier

Pascal Amphoux & Isabelle Faure [email protected]

OBJECTIFSDe licence en master, itinéraires comparésSi le premier cycle est dominé par l’acquisition de connaissances disciplinaires et le second par celui de savoir-faire les croisant et les mettant en œuvre, l’activité de «bilan critique» doit aider l’étudiant à opérer le passage de l’un à l’autre.

Si le cycle licence est dominé par une progression imposée et le cycle master par un choix d’options, l’activité de «bilan critique» doit être l’occasion de qualifier la première pour orienter le second.

Le but de cette unité d’enseignement est de garder une mémoire vive des trois premières années d’étu-des (et non de réaliser une archive morte).

CONTENU Apprendre à problématiser !Le parti dans la démarche de projet, la probléma-tique dans la démarche de recherche ne s’ensei-gnent pas. Il faut en faire l’expérience. Telle est la découverte à laquelle seront invités les étudiants. Comment préserver un répertoire d’expériences accumulées pour orienter des options de travail à venir ? Comment mettre en perspective des travaux passés pour motiver les travaux à venir ? Trois hypo-thèses sémantiques sur la notion de «bilan critique» constitueront le point de départ de cette activité.

Le stage de suivi de chantier se déroule en 3ème année de licence sur l’un ou l’autre des semestre S5 ou S6 pendant une durée minimum de 4 mois

OBJECTIF• Comprendre les processus techniques et adminis-tratifs de la réalisation d’un bâtiment• Comprendre les rôles et interactions des différents acteurs dans les diverses étapes du projet.• Comprendre les liens qui unissent tous les parte-naires concernés par l’acte de construire et la com-plexité de l’articulation de responsabilités dévolues à chacun dans les cadre de ses activités.

RAPPORT DE STAGELe chantier ne constitue qu’une partie de la réalisa-tion d’un bâtiment, mais c’est un moment privilégié pour comprendre les rôles et responsabilités des différents acteurs : Maître d’Ouvrage, Architecte, Entreprises, Bureau d’Etudes, Bureau de Contrôle, Coordinateur sécurité.

Le rapport de stage comprendra 3 parties :

- 1ère partie : le contexte général de l’opération, le programme, les acteurs. Une description succincte du projet, plans et coupes dessinés par l’étudiant.

- 2ème partie ( la plus importante) : le chantier et l’évolution de l’ouvrage vécus à travers les rendez-vous hebdomadaires. Cette 2ème partie sera surtout graphique, croquis et dessins sur place, axonométries, perspectives, photo de l’évolution du chantier en nombre très li-mité. Le dessin manuel est vivement recommandé.

Le carnet de bord hebdomadaire est l’une des sour-ces principales de ce travail..

- 3ème partie : Synthèse du stage – bilan critique de cette expérience concrète resituée dans le ca-dre global du cursus des études d’architecture et de son articulation avec les cours théoriques de construction..

Il est demandé un rapport individuel, personnel et synthétique , on évitera toute compilation de docu-ments de chantier ( plans ou compte-rendu pour-ront être mis en annexe).Un effort de communication graphique et de rédac-tion sera fait dans un format A4 imposé. Le rapport sera accompagné de la convention de stage.

1. Un bilan n’est pas seulement rétrospectif. Il ne prend valeur que prospective.2. Critiquer n’est pas juger. C’est plutôt «ne pas juger», c’est-à-dire comme le dit l’étymologie, sé-parer, distinguer ou représenter des logiques diffé-rentes.3. Un bilan critique personnel ne peut être ni objec-tif, ni subjectif. Il doit déboucher sur une intention-nalité partageable.

E64-1 Mémoire viveE64-2 Suivi de chantier

Coefficient Heure Heuresemaine semestre

6+4 ects

21

3232

hh

98

études

99

master/ DE� masmamas

Deuxième cyclepréparant au diplôme d’état d’architecte conférant le grade de master

Ens. théoriques

Projets architecturaux

Ens. théoriques

Projets architecturaux

Certification en langue étrangère

Ue7�

Ue8�

Ue94

Ue�0�

Ue74Ue848+8ects

Ue9��ects

Ue�0��ects

Enseignements de langue

Mémoire 1&2

Stage pratique(2mois)

Planificationet gestion duprojet urbain

Insertionprofessionnelle

S8 / S10

S7 / S9

Ue7�Ue9��8ects

Villes en mutations / city migrations

Cultures urbaines

La condition métropolitaine

Domaine d’étude 1 (DE1)

projet � / projet �

Utopies ferroviaires

Frangments métropolitains

La condition métropolitaine en débat

projet � / PFE

Ue7�Ue9�4ects

Ue8�Ue�0��8ects

Ue8�4ects

Formes architecturales et urbaines et phénomènes d’ambiances

Cultures constructiveset stratégies de projet

Domaine d’étude 2 (DE2)

Parimoine en devenirLes ambiances à

l’épreuve du projet

projet � / projet �

Développement durable

HQE / HQA?Ici et ailleurs

Solid Thinking

projet � / PFE

Ue7�Ue9��8ects

Ue7�Ue9�4ects

Ue8�Ue�0��8ects

Ue8�4ects

Conception architecturale et culture constructive

Architecture et scénographie urbaine

Structures constructives 1

La condition métropolitaine

Domaine d’étude 3 (DE3)

projet � / projet �

Espaces en construction

et art de construireParticipation et contexte opérationnel

Structures constructives 2

projet � / PFE

Ue7�Ue9��8ects

Ue7�Ue9�4ects

Ue8�Ue�0��8ects

Ue8�4ects

Histoire des cultures contemporaines

Cultures constructiveset stratégies de projet

Domaine d’étude 4 (DE4)

Habiter le rythmeArchitecture en représentation

projet � / projet �

Dispositifs spatiaux : représentation/expérimentation

Le même et l’autreArchitecture des lieux scéniques

projet � / PFE

Ue7�Ue9��8ects

Ue7�Ue9�4ects

Ue8�Ue�0��8ects

Ue8�4ects

98 99

UE 71/91

UE 72

UE 81/101

UE 82

UEP

UET

Fragments métropolitainsCherif Hanna

Villes en mutationsSusan Dunne

Cultures Urbaines / Histoire de l’urbanismeGilles Bienvenu

Utopies FerroviairesPascal Amphoux & Fabiene legros

La condition métropolitaine en débat

Laurent Devisme

UEP

UET

UE 74/84mémoires

L’autre iciElisabeth Pasquier

Architectures et culturesMarie-Paule Halgand

L’espace, en ses objets et controverses

Laurent Devisme & Elise Roy

Histoire des villesGilles Bienvenu

�00 �0�

master/ DE�

Laurent Devisme

De1Condition Métropolitaine

[email protected]

Champ d’investigation

La condition métropolitaine, c’est en un premier sens l’ensemble des «conditions de vie» dans

les métropoles existantes. Dans quelles conditions les gens vivent-ils la ville d’aujourd’hui, l’espace péri-urbain ou les territoires suburbains ? La pos-ture requise est d’abord celle de l’analyse critique : analyse des forces politiques ou économiques en jeu, découverte des représentations sociales ou des stéréotypes culturels, mais aussi relevé des valeurs spatiales (bâties ou végétales, singulières ou géné-riques, programmées ou délaissées) qui structurent les enjeux urbanistiques contemporains. Le but est ici de déchiffrer l’existant pour reconstruire une critique sociale du conditionnement des acteurs du territoire (contre les processus idéologiques ou doctrinaires).

La condition métropolitaine, c’est en un second sens l’ensemble des «conditions pour la vie» des métropoles du futur. A quelles conditions la vie métropolitaine de demain est-elle viable ? La pos-ture requise est alors celle du projet critique : projet écologique qui pense les mouvements conjoints de l’urbanisation et de la naturation, projet transcalaire qui repose sur l’articulation entre les échelles ar-chitecturales, urbaines et territoriales, projet mor-

phogénétique qui exprime l’évolution du territoire projeté dans le temps. Le but est cette fois de car-tographier, chiffrer et dessiner une critique spatiale du conditionnement des formes d’aménagement (contre les processus de standardisation ou de ba-nalisation).

Déclinaisons pédagogiquesLes enseignements de projet cherchent à rendre in-séparables les deux sens du mot condition : en mê-lant l’analyse de ce qui est observable dans la mé-tropole actuelle et le projet de ce qui est imaginable dans la métropole à venir ; en faisant du processus de métropolisation un enjeu de projet territorialisé plus qu’un dérivé du marché mondial ; en pensant le «suburbain» comme le potentiel d’une urbanité à inventer plus que comme le reste d’une urbanité perdue…

Les enseignements théoriques visent à consolider les connaissances urbanistiques (domaine de l’ur-ban planning) tout en donnant le goût du débat autour de théories urbaines des XXème et XXIème siècle. Les séminaires de mémoire, animés par des ensei-gnants-chercheurs, déploient quant à eux, autour

de thématiques annuelles, des savoirs faire plus méthodologiques : pratiques de l’enquête via l’en-tretien, l’observation ethnographique, l’analyse do-cumentaire, pratiques de l’écriture problématisée et argumentée…Les recherches du LAUA (www.laua.archi.fr) ali-mentent la plupart de ces enseignements. Le labo-ratoire permet au DE de préparer certains étudiants à des «PFE mention recherche» et à des parcours doctoraux (offre de stages de recherche). Ses en-seignants sont également impliqués dans le M2Pro «Villes et Territoires, politiques et pratiques de l’ur-banisme» (cohabilité avec l’Université de Nantes) et dans le M2Recherche «Sciences sociales, villes et territoires» de l’Université de Tours.

Equipe pédagogiqueDeux champs sont co-présents : celui des sciences sociales et celui des pratiques de projet (architectu-ral, urbain et territorial) ; auxquels peuvent s’asso-cier tous les autres champs librement (construction, technique, patrimoine, etc.).

UE 71/91

Solid ThinkingMichel Bertreux & Francis Miguet

UE 72

UE 81/101

UE 82

UE 74/84

mémoires

UEP

UET

Patrimoine en devenirPascal Filatre

Ambiances à l’épreuve du projetVirginie Meunier, Miguel Macian

Formes architecturales et urbai-nes et phénomènes d’ambiances

Pascal Joanne

Ici & AilleursKarine Louillot

HQE/HQAPascal Joanne

Développement DurableVirginie Meunier

Thématiques des ambiances

Pascal Joanne, Christian Marenne

UEP

UET

�0�

master/ DE�

Pascal joanne

De2Cultures Constructives

[email protected]

et stratégie de projet

�0�

Les démarches projectuelles répondant aux pro-blématiques et enjeux du développement durable

requièrent de nouvelles méthodologies de concep-tion qui restent à expérimenter. Le Domaine d’étude « Culture constructive et stra-tégie de projet » offre des approches diversifiées et complémentaires d’enseignements théoriques et d’enseignements de projet ancrés dans la thématique du développement durable. Cette diversité se traduit par des thématiques affirmées, des situations et des traitements d’échelles très variables : de l’échelle ur-baine à l’échelle architecturale.

Pour inscrire les objectifs de qualité environnemen-tale dans les problématiques de projet : enjeux du patrimoine, qualités d’ambiances architecturales et urbaines, émergence et densité… les enseignements de ce domaine d’étude proposent de revisiter le pro-cessus de conception et les références architecturales à travers une approche pluridisciplinaire. Cette ap-proche cherche à intégrer la gestion simultanée des logiques constructives et environnementales. Les en-seignements proposés associent, en les confrontant, les approches intuitives génératrices d’intentions ur-baines et architecturales et les approches objectives d’évaluation des paramètres.

Les quatre options de projet du DE2 ont un cadre méthodologique commun où : les sites réels sont précisés et visités et permettent l’ancrage du projet ; l’échelle peut varier du bâtiment lui-même à un en-vironnement plus large, urbain ou rural / la fabrica-tion du projet s’appuie sur une phase dite de « retrait d’observation » préalable au travail de programma-tion puis de conception. Cette phase de diagnostic, puis d’analyse permet de révéler les potentialités et d’affirmer la posture choisie / les programmes pren-nent sens au fur et à mesure de l’évaluation des po-tentialités et de la recherche de références associées / il est demandé une proposition techniquement réa-liste et réalisable.

Pour les étudiants qui le souhaitent, le DE2 est le do-maine requis pour suivre le parcours de la mention recherche permettant une inscription à l’école doc-torale SPI GA : Sciences pour l’ingénieur, génie civil, architecture. Les ateliers de projet : HQE/HQA ? et les ambiances à l’épreuve du projet sont tous adossés aux thématiques de recherche et aux ressources du la-boratoire CERMA de l’ENSAN. Les méthodes et outils d’évaluations qualitatives et quantitatives des don-nées environnementales et des facteurs d’ambiance, issus des travaux de recherche du CERMA sont mis en pratique dans le cadre de ces deux options.

�05

master/ DE�

Yves Ghislain Dessy & Jean robein

De3Arts & Méthodes

[email protected]

du projet architectural et urbain

�04

Ce domaine d’étude est le lieu de reflexions et de recherches appliquées destinées à conforter la

pratique du projet dans une perspective opération-nelle et professionnelle. Partant de pratiques actuel-les, classiques ou exploratoires, il inclut les formes émergentes de pluridisciplinarité par un préalable de l’art dans la conception architecturale. L’enseignement est decliné au travers des 4 Unités d’enseignement de projets semestriels qui investis-sent le champ de l’Urbain dans sa programmation et son dessin, ainsi que l’approfondissement de l’Art de construire et des techniques. Il est structuré à partir d’un work shop d’introduction accompagné par des artistes plasticiens sur le questionnement de l’objet d’étude. La pédagogie du projet se fait par une implication directe d’architectes enseignants praticiens qui accompagnent l’étudiant dans sa démarche de conception et de mise en forme pour son projet, à la fois de manière individuelle et par des confron-tations critiques de présentations périodiques du groupe, permetant un regard croisé Enseignants - Etudiants.

Cette pédagogie articulée sur les notions de design urbain, de scénographie urbaine, et des concep-tions théoriques et techniques, s’appuie sur:

– les savoirs connexes dispensés par les cours qui assoient le processus conceptuel et projectuel.– l’investissement pédagogique d’équipes pluridis-ciplinaires professionnelles. – sur le mémoire qui participe de la fabrication de la pensée par la confrontation aux champs théori-ques et aux pratiques professionnelles émergentes.– sur les enseignements dispensés dans les UE de tronc commun qui favorisent les connaissances constructives et les savoirs propres à l’exercice ar-chitectural en permettant à l’étudiant un parcours personnalisé.

Les objectifs de formations sont l’acquisition d’une capacité de diagnostics, d’analyse des stratégies d’interventions et de mise en forme à partir de l’évolution des nouvelles pratiques et des tendances sociales et culturelles.

UE 71/91

UE 72

UE 81/101

UE 82

UE 74/84

mémoires

UEP

UET

Conception architecturale & culture constructive

Jean Robein, Francois defrain &

Guy Rumé

Architecture & scénologie urbaine

Yves Ghislain dessy & rémy Burgaud

Structures constructives 1Francis Miguet

Participation & contexte opérationnel

yves Ghilain Dessy & Yves Poho

Espace en construction & art de construire

rémy Burgaud & Yves Poho

Structures Constructives 2Francis Miguet

Conception architecturaleJean Robein

Nouvelles pratiques urbaines

Yves Ghislain Dessy

UEP

UET

�06 �07

master/ DE4

Ghislain His & Bruno Suner

De4Projections Architecturales

[email protected] & [email protected]

Photographie récente d’une personne photographiant la projection à Saint Nazaire d’un film sur une intervention artistique de Francis Alÿs sur une place historique de Mexico le 14 novembre 1998

Interroger le processus de conception, de forma-lisation et de communication de l’architecture

pose autant de questions sur le média utilisé que sur l’objet projeté. La pertinence de cette interro-gation ne peut être qu’exacerbée si on confronte l’ouverture du champ de l’architecture à la diversité des pratiques qui en découlent.

La créativité d’une partie de l’architecture récente ne s’inspire-t-elle pas des disciplines artistiques (arts plastiques, arts de la scène, arts de l’écran), elles-mêmes engagées dans des formes d’hybrida-tions ?

Le DE Projections Architecturales propose, par des démarches différenciées, de rendre percep-tible et de valoriser cette tension dynamique qui relie la conception architecturale à son objet car, aujourd’hui, concevoir un lieu consiste moins à dé-limiter l’espace qu’à anticiper les multiples possibi-lités de mouvement qu’il suggère.

UE 71/91

UE 72

UE 81/101

UE 82

UE 74/84

mémoires

UEP

UET

Habiter le rythmeGhislain his & daniel grimaud

Architecture en représentationLaurent Lescop & Bruno Suner

Histoire des Cultures Contemporaines

T.Hammoudi, G.His & J.Leveque

Le même & l’autreToufik Hammoudi

Architecture des lieux scéniquesMarcel Freydefont

& Bruno Suner

Naissance d’une architecture théâtrale Marcel Freydefont

L’empreinte des campsPierre Faucher

La commande publiqueRémy Jacquier

UEP

UET

Architecture en représentationLaurent Lescop & Bruno Suner

MorphologieToufik Hammoudi

Histoire Théorie CritiqueValéry Didelon

�08

études

�09�08 �09

Deuxième cyclepréparant au diplôme d’état d’architecte conférant le grade de master

Ens. théoriques

Projets architecturaux

Ens. théoriques

Projets architecturaux

S8 / S10

S7 / S9

Ue7�Ue9��8ects

Villes en mutations / city migrations

Cultures urbaines

La condition métropolitaine

Domaine d’étude 1 (DE1)

projet � / projet �

Utopies ferroviaires

Frangments métropolitains

La condition métropolitaine en débat

projet 2 / PFE

Ue7�Ue9�4ects

Ue81Ue10118ects

Ue824ects

Formes architecturales et urbaines et phénomènes d’ambiances

Cultures constructiveset stratégies de projet

Domaine d’étude 2 (DE2)

Parimoine en devenirLes ambiances à

l’épreuve du projet

projet � / projet �

Développement durable

HQE / HQAIci et ailleurs

Solid Thinking

projet 2 / PFE

Ue7�Ue9��8ects

Ue7�Ue9�4ects

Ue81Ue10118ects

Ue824ects Certification en

langue étrangère

Ue7�

Ue8�

Ue9�

Ue�0�

Ue74Ue848+8ects

Ue932ects

Ue1022ects

Enseignements de langue

Mémoire 1&2

Stage pratique(2mois)

Planificationet gestion duprojet urbain

Insertionprofessionnelle

Histoire des cultures contemporaines

Cultures constructiveset stratégies de projet

Domaine d’étude 4 (DE4)

Habiter le rythmeArchitecture en représentation

projet � / projet �

Naissance d’une architecture théâtrale

Le même et l’autreArchitecture des lieux scéniques

projet 2 / PFE

Ue7�Ue9��8ects

Ue7�Ue9�4ects

Ue81Ue10118ects

Ue824ects

Conception architecturale et culture constructive

Architecture et scénographie urbaine

Structures constructives 1

Art et Méthodes du projetarchitectural et urbain

Domaine d’étude 3 (DE3)

projet � / projet �

Espaces en construction

et art de construireParticipation et contexte opérationnel

Structures constructives 2

projet 2 / PFE

Ue7�Ue9��8ects

Ue7�Ue9�4ects

Ue81Ue10118ects

Ue824ects

��0 ���

Ue71/91Villes en mutations

Susan [email protected]

Mobilités et Précarité au bord de la Ville.City MigrationMobility and instability on the edge of the city.

master/semestre 7-9

Séminaire Atelier Intensif

Heures Coefficient Contrôle continu Examen Partiel Examen Final

L’atelier sera centré sur l’architecture dans des lieux en mutation. Les phénomènes abordés par-

ticulièrement seront ceux des liens entre les dépla-cements des populations, la précarité et la séden-tarisation au bord de la ville. Comment trouver de nouveaux ancrages au sol pour des populations en mouvement, déplacées voir démunies ? Comment améliorer les infrastructures existantes et les cadres de vie des habitants et intervenir sur les périphéries de villes, d’agglomérations ou de métropoles ? Les mutations démographiques ont at-teint des proportions inédites sur tous les continents mais prenant des formes différentes suivant les cultures et la structuration des politiques publiques. Une ‘urbanisation d’urgence’ se met en place pour faire face à l’arrivée d’importants flux de popula-tions, sans planification réelle. Les conséquences sont vastes pour les « populations locales » et le paysage des villes.

Le travail de projet se fera en collaboration avec trois autres enseignants : un paysagiste, un urba-nographe et une historienne. L’enseignement sera bilingue (en français et en anglais) et biculturel, à partir de sites dans un pays anglophone (Irlande dès 2010, Angleterre, Inde …), en vue d’ouvrir un débat sur les déplacements des peuples/populations dans différentes parties du monde et leurs conséquences sociologiques, urbaines et environnementales. Une étude de cas pourrait avoir lieu par exemple sur un site à Dublin (comme Tallaght) où le « sprawl » a pris une grande importance : que faire de l’urba-nisme générique que l’on y observe ?

Le projet se bâtira à partir d’une recherche socio-urbaine « in situ » sur l’interface entre la population locale et les infrastructures (réseaux et transports), le paysage et l’architecture des lieux, et aboutira à la programmation et la conception architecturale d’un équipement public (ou communautaire). L’atelier sera appuyé d’une partie séminaire associant des apports sociologiques, d’histoire de l’art, de l’archi-tecture et de l’urbanisme et centré également sur ces thèmes de la « mobilité et précarité au bord de la ville ».

241--

100

1045

30-

70

322

50-

50

h

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%

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18 ects

h

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%

The studio work will be centered on architec-ture in changing environment, how to remodel

suburbia, to improve the network infrastructures, and the quality of community life for the precarious and displaced dwellers on the outskirts of the city?

Over the past two decades, whether we consider Europe, Asia, South America, or Australia etc… the rural exodus has resulted in the rapid expansion of the major cities, creating vast areas of urban or suburban sprawl devastating the countryside and atomizing any sense of community. In many cases there has been no proper urban design, infrastructu-re or social planning to meet the needs of the influx of new urban dwellers. Land use and urban sprawl are major environmental concerns affecting us in a variety of ways.

The studio will be organized in conjunction with three other professors: a landscape designer, a sociologist and an historian. The courses will be bilingual (French and English) and bicultural, the project site each year will be in a different Anglo-Saxon location (Ireland in 2010, England, India.. for example)in order to provoke a comparative de-bate on the sociological, urban and environmental consequences of population movement in different parts of the world. A case study could take place in Dublin for example(ie Tallaght), a city that has ex-panded considerably since the 90’s, where housing estates sprawl across the outskirts, where the car culture dominates, public transport and community services are totally underdeveloped, and the inha-bitants are more and more isolated.

The project will include an urban and sociological research program to take place on site looking at the interfaces between the local population, the network infrastructures, the landscape and architec-ture. The second phase will be centred around brief writing and the architectural design proposition for a public social or community space for the area. The studio work will be accompanied by sociology, art and architectural history and urbanism lectures focusing on “Population movement and instability on the edge of the city”

Susan Dunne, architecte, Sébastien Argant, paysagiste, Laurent Devisme, urbanologue, Marie-Paule Halgand, historienne

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Ue71/91Patrimoine en devenir

Pascal [email protected]

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Trav

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n ba

s)master/semestre 7-9

Le studio de projet, allié au séminaire, est l’oc-casion de découvrir et d’expérimenter les do-

maines du patrimoine porteurs dans les pratiques actuelles de l’architecture, de l’urbanisme et de l’environnement s’inscrivant dans la logique du développement durable, avec la pratique de la réutilisation.

Ces domaines du Patrimoine sont à la croisée de l’architecture et de son histoire et, aussi, de la création artistique. Ces domaines vont, depuis la reconnaissance du bâti ancien, aux pratiques de la réhabilitation et de la réutilisation de patrimoines variés (industriels, ruraux, d’habitation) à la restau-ration de l’architecture monumentale.

A partir d’un nouveau site chaque année, il est demandé, d’abord, au groupe d’étudiants, d’écri-re l’histoire du lieu, de comprendre ses logiques d’origine, ses modèles typologiques et architec-turaux, de réaliser le relevé complet des édifices, et d’établir une étude comparative sur des réuti-lisations d’édifices similaires. Les sites utilisés, ces cinq dernières années, ont été: Le château de Saffré, le Moulin Hennebique à Nort/Erdre, l’usine Mulliez du Longeron (49), l’usine des Allumettes de Trélazé (49), le site minier de Nyoiseau (49).

Le travail de programmation est, pour chaque étu-diant, la suite de cette première approche permet-tant d’imaginer des usages adaptés aux lieux, dans leurs échelles, pratiques et symbolismes à travers des besoins reconnus ou imaginaires.Pour chacun, le travail de projet s’opère avec le double objectif de conserver les valeurs artisti-ques, historiques, mémoriales et d’usage de ces architectures anciennes et de créer une œuvre nouvelle digne de son époque, riche du dialogue et de la complémentarité entre patrimoine ancien, usages nouveaux et esthétique contemporaine.En parallèle, le séminaire permet d’apporter des éléments de réflexion, avec les questions liées

au patrimoine et à sa réutilisation, par un travail d’étude d’ouvrages de référence, pour écrire une mini-encyclopédie du patrimoine, résultat d’une synthèse collective.Une étude des pratiques artistiques et architectura-les dans le patrimoine ancien, dans le TD associé, permet de mieux comprendre le choix des postures des différents artistes, choix de posture préalable à toute intervention.Enfin, une série de cours abordent la question de l’histoire des techniques de l’architecture ancien-ne, les techniques contemporaines de restauration et des études de cas de chantiers.Des visites de chantiers et de sites réhabilités dans le Grand Ouest permettent de rythmer le semestre et d’illustrer les questions théoriques des postures architecturales.

A partir de ces allers et retours entre théories et pratiques, entre démarches artistiques et solutions techniques, l’étudiant découvre la variété des prati-ques dans le patrimoine, et doit maîtriser les métho-des lui permettant d’intervenir de manière motivée dans des lieux fragilisés mais porteurs d’usages.

Pascal Filâtre, Architecte du Patrimoine, Architecte DPLG, Diego Rodriguez, Architecte du Patrimoine, Architecte DPLG, Bruno Belefant, Architecte DPLG, Marie-Domnique, Lannou,

Architecte DPLG, Plasticienne, Laure Ducos, Historienne

Menuiserie : Evolution de la technique et des styles. Edition Librairie du compagnonage. Paris 1988. Ouvrage collectif

Séminaire Atelier Intensif

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Ue71/91Les ambiances à l’épreuve du projet

Christian [email protected]

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master/semestre 7-9

La thématique de l’UEP concerne l’intégration de la question des ambiances dans le proces-

sus de conception du projet architectural et ur-bain. C’est l’occasion de mener une réflexion sur les interactions complexes entre les ambiances architecturales et urbaines perçues par l’usager (paramètres subjectifs), et leur réalité objective. Il s’agira de concevoir un équipement à usage mixte dont l’usage est mixte dans lequel on tentera de dépasser la maîtrise « ordinaire » des effets lumi-neux, sonores, aérodynamiques, etc., et de mener une réflexion quant à la manière dont cette forme non visible qu’est l’ambiance vient largement s’at-taquer à l’hégémonie du visuel.

Toutes les démarches projectuelles s’intéressant à la « qualité environnementale » requièrent de nouvelles méthodologies de conception, mais celles-ci restent à inventer. Un rapide examen de la commande architecturale actuelle montre que le contrôle des ambiances constitue l’un des élé-ments fondamentaux de ces nouvelles pratiques. Les ambiances architecturales et urbaines perçues par l’usager se situent à la croisée de paramètres subjectifs (individuels, liés à la psycho-physiolo-gie de la perception, collectifs, liés aux représen-tations sociales et culturelles), et de phénomènes objectifs (universels, quantifiables, mesurables). Le croisement entre intentions d’ambiance - usa-ges – projet – simulations physiques contribue à mettre en œuvre une démarche de conception à l’intersection des différentes disciplines ensei-gnées en licence et à leur donner une cohérence dans le processus de conception.

Cet enseignement de projet propose une démar-che de conception originale en intégrant les pré-occupations d’ambiances en amont du processus de fabrication du projet. Ces préoccupations ex-primées sous la forme d’intentions devront res-ter présentes et être adaptées tout au long de la démarche de projet. Les questions de formes, de

percements, de construction, de matériaux, de trai-tement des façades … sont alors posées à travers le filtre qu’est la maîtrise des ambiances en confron-tant les intentions aux autres contraintes du projet. L’analyse des interactions entre toutes ces contrain-tes permet de comprendre à posteriori comment les intentions d’ambiances de départ ont évolué, ont été renforcées ou évincées au cours du projet. L’utilisation des nouveaux outils de simulation per-mettra d’évaluer en terme objectif certains paramè-tres physiques des ambiances et de les confronter aux intentions initiales. A chaque étape du projet, le recours à une instrumentation appropriée pourra venir confirmer la pertinence des options retenues. Outre les pièces graphiques traditionnelles, l’ac-cent sera particulièrement mis sur la confrontation de l’étudiant au problème de la figuration de l’invi-sible (textes, images, photos, référence architectu-rale, extrait de film, etc.).

La partie instrumentation comportera une appro-che descriptive des modèles, des méthodes et des outils numériques (logiciels SOLENE, FLUENT, CATT Acoustique…) qui permettent le contrôle des ambiances dans le projet.

Christian Marenne avec Virginie Meunier et Miguel Macian

Séminaire Atelier Intensif

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master/semestre 7-9

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Le projet est élaboré en mode numérisé maquette, plans, coupes suivant différentes échelles (1/500, 1/200, 1/50, 1/20, 1/10) ou à main levée. Voir projets étudiants Webmaster Ensa

Séminaire Atelier Intensif

Heures Coefficient Contrôle continu Examen Partiel Examen Final

Ue71/91Conception architecturale &

Jean Robein, François defrain & Guy Rume [email protected] & franç[email protected]

Formation à caractère professionnalisant, l’UE a pour objectif en cycle master l’approfon-

dissement en matière de création et innovation du projet architectural et urbain contemporain. Cette formation à la pratique opérationnelle est structurée par une pédagogie centrée sur le mode conceptuel et constructif fondé sur la question de l’esthétique, les techniques de construction : faire œuvre architecturale. L’approfondissement projec-tuel dans notre UE, constitue un système vivant en termes de support et d’objet d’études ; l’échelle et le thème ne forment pas, même s’ils le nourrissent, un fondamental théorique et pratique.

Confronté d’emblée à un programme, l’étudiant est amené à développer une proposition fondée sur les objectifs suivants : restructurer l’espace urbain autour d’un équipement majeur, favoriser la lisibilité urbaine en générant une contextuali-sation évènementielle , construire dans la cité en se fondant sur une scénographie urbaine maîtrisée et enfin participer à la mise en œuvre du dévelop-pement durable par le processus de revitalisation urbaine.

Trois moments clefs structurent le processus ré-flexif et la matérialisation du projet : analyse et synthèse, appréhension et compréhension contextuelles, traitement architectural et pratique opérationnelle. Ils sont construits autour des mo-des suivants :le mode conceptuel qui traite du process archi-tectural et constructif contemporain fondé sur la démarche projectuelle,le mode comparé du processus projectuel, pro-grammatique et structurel qui sert à enrichir les savoirs acquis et à approfondir le questionnement spatial et technique de l’édifice,le mode constructif et démonstratif qui vise à dé-velopper les connaissances et les savoirs pratiques du processus d’élaboration d’un projet et sa ma-térialisation.Les données sitologiques contribuent à l’élabora-tion du projet. Le terrain, les parcelles, les dispo-

sitions règlementaires, les règles d’urbanisme, les contraintes techniques et climatologiques partici-pent naturellement du mode opératoire de notre formation.L’UE théorique adossée à l’UEP inter-roge les savoirs relatifs à la conception des édifices dans toutes leurs composantes, nourrit le module de projet et favorise l’approfondissement et le suivi du mémoire tout en initiant à la recherche. L’UE vise ainsi à la transmission de la culture architec-turale du projet, de ses fondements théoriques et phénoménologiques.

L’UE CACC intègre l’encadrement et le suivi du mémoire élaboré au sein des UE 74-84. Le mé-moire a pour objectif de confronter l’étudiant aux modes conceptuels et opératoires par la réflexion sur les divers processus de production de l’espace. Le mémoire est le lieu du débat et des échanges d’idées afin de générer le questionnement lié à la discipline architecturale et centré sur le thème «Sens en Architecture : Architecture du pensé- Ar-chitecture du faire ». Ainsi trois entrées sont proposées à l’exploration thématique et à l’approfondissement du mémoire : • celle de la création contemporaine et de ses champs d’expérimentation et de théorisation,• celle des recherches et dispositions fondant la question de la mutation • celle des démarches opératoires contextualisées.

Jean Robein & François Defrain

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culture constructive

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master/semestre 7-9

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Séminaire Atelier Intensif

Heures Coefficient Contrôle continu Examen Partiel Examen Final

Ue71/91Architecture & scénologie urbaine

Yves Ghislain Dessy & Rémy [email protected] & [email protected]

Cette UE propose à partir d’un cadre théorique, d’une programmation urbaine, un approfon-

dissement en matière de conception sur le pro-jet urbain. Elle s’inscrit dans une dynamique de transformation urbaine et se veut exploratoire des formes et des pratiques émergentes de la ville. Elle doit être pour les étudiants l’occasion de confron-ter leurs connaissances pratiques et théoriques, par la pratique du design urbain, à une expérience dans les domaines de l’architecture et du projet urbain.

ProblematiqueLe projet associe les fonctions traditionnelles d’analyse et d’esquisses prospectives dans sa dé-marche, il entend dépasser la simple approche fonctionnaliste et son caractère réducteur. Le des-sin urbain pris en tant que mode opératoire engage une maîtrise élevée des méthodologies, des outils graphiques et visuels, à toutes les échelles. Forme d’intervention dont l’objet est autant le contenu que la morphologie de la ville, reposant sur la compréhension des tendances sociales et culturel-les et la capacité à appréhender la matérialité de l’espace. Le projet se déroulant dans un contexte en mutation sera prétexte à un approfondissement autour des thématiques du paysage urbain (esthé-tique, déplacements), du développement durable (environnement) et des données réglementaires (s.r.u, espaces publics et handicap physique).

ProjetProjets de quartiers autour de sites géographiques emblématiques (Confluence, rapport du fleuve à la ville, Pratiques et événements liés à l’eau, ber-ges quais et activités…). Nantes et son agglomé-ration, son littoral régionnal. Le design urbain est pris en tant que méthode générale d’analyse et de proposition. C’est un vecteur privilégié pour l’in-terdisciplinarité. Le projet constituera, dans une perspective opérationnelle, un lieu de réflexion, d’échange et de recherche appliquée, destiné à

conforter la pratique. Les échelles seront essentiel-lement urbaines.

Modes pédagogiquesLe projet est conduit conjointement par une équipe d’architectes complètée par des interventions de plasticiens sous forme d’un workshop et d’inter-ventions ponctuelles individualisées. Cet enseigne-ment, sera accompagné de cours et conférences, il s’appuiera sur un séminaire qui associe des actions événementielles à un projet de requalification ur-baine : se déroulant à Lyon pendant la fête des Lumières. La visite des grands projets et équipe-ments structurants de la ville, plus particulièrement les aménagements de la confluence Saone-Rhône, complèteront de manière pratique les interventions théoriques.

Yves-Ghislain Dessy, Rémy Burgaud, Patrick Bessau, Ronan Courtès, Marcel Freydefont, Yves Poho et Philippe Thomé

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master/semestre 7-9

Ue71/91Habiter le rythme

Ghislain His & Daniel Grimaud [email protected] & [email protected]

Echelle 1

Habiter le rythme, c’est construire le présent: «future is now!». Habiter le rythme, c’est produire le réel et transformer sa fiction. Habiter le rythme, c’est marquer le pas, mettre les pieds dans le plan. Habiter le rythme, c’est faire, défaire, refaire, faire, défaire, refaire, faire... Habiter le rythme, c’est quand les attitudes devien-nent formes. Habiter le rythme, c’est s’engager, apprendre par l’ac-tion. Habiter Le Rythme (HLR), c’est hacher l’air du temps. Habiter le rythme, c’est s’attacher au vécu, retrouver le souffle. Habiter le rythme, c’est matérialiser les énergies, la pulsation des pulsions. Habiter le rythme, c’est reconstruire une langue, écrire le mouve-ment. Habiter le rythme, c’est jouer une partition, ses scansions et ses syncopes. Habiter le rythme, c’est accepter la fantaisie et ses fluctuations. Habiter le rythme, c’est habiter l’architecture

ECHELLE 1

Cette option à orientation prospective, opéra-tionnelle et professionnalisante permet d’ex-

périmenter la construction en équipe d’un pro-totype architectural à l’échelle 1 mis en situation dans un espace réel à l’échelle urbaine. Sa repré-sentation finale l’extrapole et l’amplifie dans un projet qui le vérifie et le valide.

Cet enseignement de projet est composé de trois enseignements : ART :«Le grain de sable» propose de tester plusieurs modes d’écriture, pour produire un autre regard sur la construction-destruction-reconstruction de l’architecture. A travers la fabrication d’objets in-termédiaires, c’est une pensée critique en actes qui s’élabore progressivement.CONSTRUCTION :«Black box white cloud» vise à concevoir et réali-ser un prototype d’architecture contemporaine qui met en crise sa représentation. Sa mise en site réel articule, désigne ou détermine la critique de ses propres conditions d’existence.PHILOSOPHIE : «La pierre et la cendre» est un lieu actif de dia-logue et de débats, de parole et d’écoute, de réflexions qui permettent de dé-couvrir des che-mins: «questionner, c’est travailler un chemin, le construire» (Heidegger). Cette pédagogie offre des instruments intellectuels qui autorisent une révi-

sion critique de nos savoirs afin de se constituer une généalogie du visible.

SAVOIR ECRIRE - SAVOIR NEGOCIER - SAVOIR PENSER - SAVOIR INNOVER A l’issue du semestre, l’étudiant aura acquis une autonomie de conception et de gestion de ses compétences par rapport à des contraintes tech-niques, organisationnelles ou réglementaires. Il aura construit une pensée critique qui interroge les présupposés tacites de la culture architecturale. Il saura analyser et comprendre les systèmes, dont ceux de pouvoir et de décision. Il aura réalisé des médiations entre acteurs d’origine et de paroles di-verses. Il saura utiliser les contraintes matérielles comme supports de créativité. Il aura identifié les différences entre les outils de conception et ceux de communication du projet. Il aura relativisé l’im-portance de la composition formelle par rapport à celle de l’insertion dans le site. Confronté à la ma-tière à l’échelle 1 (qualités sensibles, coût, poids, taille, transport, etc.), l’étudiant aura pris confiance dans ses propres capacités, en ayant produit en groupe ce qu’il n’imaginait pas initialement pou-voir réaliser seul en si peu de temps.L’orientation progressive de cet enseignement consiste à insister sur les aspects «recherche et dé-veloppement» de véritables prototypes.

http://habiterlerythme.free.frhttp://habiter-le-rythme.over-blog.comhttp://hlr09.wordpress.com

Ghislain His est architecte DPLG et docteur en histoire de l’art. Daniel Grimaud est artiste plasticien, partisan de la réhabili-tation du premier degré. Sylvain Gasté est architecte DPLG et spécialiste des questions économiques (des coûts, d’énergie, etc. Jean Lévèque est sophiste et Mr. Mouch est conteur bio,

autant dire «artiste indépendant».

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Philosophie Construction Art

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master/semestre 7-9

Ue71/91Architecture en représentation

Laurent Lescop & Bruno Suner [email protected] & [email protected]

En associant l’Ecole d’Architecture de Dessau en Allemagne, l’UE Architecture en Représentation

s’inscrit résolument à l’échelle du continent européen à l’exploration de sujets continentaux ou atlantiques. Jouant des rapprochements entre architecture et ciné-ma, les étudiants explorent un processus de conception inverse, partant d’un récit pour aboutir à un projet.

Objectifs : la liberté de création passe par l’acqui-sition des outils pour la conception et la fabrication des projets : le dessin, le vocabulaire, les notions élé-mentaires et les outils numériques. Nous y ajoutons les outils et les notions liés à la narration et à l’écriture cinématographique, les techniques liées à la conduite d’un projet complexe. En fin de semestre, le travail se présente sous la forme d’un « produit fini» diffusable hors les murs de l’école et de portée internationale.

Problématique : la narration par l’image animée peut-elle être source et dynamique de projet ? Produit-elle des concepts, des lieux et des formes inattendus ?

Contenu du semestre : Mise à niveau technique sur les outils informatiques. Approche des principes de si-mulation solaire et acoustique. Acquisition des princi-pes narratifs, de mise en scène et d’écriture filmique. Réalisation du court métrage et mise au point du projet. Mise à niveau des connaissances liées au sujet traité.

Programme architectural et urbain traité : les pro-jets s’inscrivent dans des lieux où l’histoire se confronte brutalement avec l’espace, ce sont les lieux frontières, d’échanges, de traversées ou de glissements symboli-ques. Cette année l’attention se portera sur la question de l’habitat autonome. Il s’agira d’identifier les besoins en énergie et de les choisir, puis, de concevoir et cal-culer les dispositifs alimentant cet habitat. La construc-tion utilisant des matériaux existants, naturels ou trans-formés devront faire apparaitre de vraies alternatives architecturales, démythifiant le discours ambiant sur le renouvelable tout en réinterrogeant avec force la dia-lectique architecture/énergie.

Travail demandé : Exploration des enjeux du site (his-toriques, sociaux, urbains, architecturaux). Détermina-tion d’un espace conceptuel dans lequel les étudiants vont travailler puis mise au point d’une image de réfé-rence prédéterminant la proposition narrative puis pro-jectuelle. Rédaction d’un scénario puis d’un story-board, puis réalisation d’un court métrage mettant en valeur le projet.

Méthode de travail : l’ensemble se fait sous la forme d’atelier en temps continu alternant cours ou conféren-ces, pratique instrumentale et moments d’échanges et de réflexions. Les points d’étape font l’objet d’une présenta-tion collective, formalisée. Des méthodologies liées à la création et à la prise de parole en public seront propo-sées. Un regard extérieur est porté par des professionnels et des enseignants étrangers.

Moyens utilisés : travail sur machines, projections sur écran et expositions. Déplacement sur site (voyage en Europe en compagnie des étudiants allemands). Visites de salons, laboratoires de recherches, lieux remarqua-bles liés à la problématique.

Calendrier : un semestre (septembre – janvier).Trois séquences : acquisition des outils; écriture et mise au point du projet; réalisation.

Evaluation : contrôle continu sur les présentations d’étape. Evaluation finale sur présentation des courts métrages.

Bruno Suner et Laurent Lescop enseignants titulaires, res-ponsables du module, avec Manfred Sundermann et Stefan Baumeier de l’école du Bauhaus de Dessau, 1 enseignant vacataire soutient informatique et 2 intervenants cinéma

et musique

Séminaire Atelier Intensif

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Ue72/92UET premier semestre

De1Cultures urbaines / Histoire de l’urbanismeGilles Bienvenu & Marie-Paule halgand

De2 Formes architecturales et urbaines et phénomènes d’ambiancePascal Joanne De3 De4 Histoire des cultures

contemporainesT.Hammoudi, J. Leveque

Structures constructives 1Francis Miguet

master / Semestre 7-9

La ville contemporaine résulte d’approches théori-ques et pratiques qui se sont développées sous le vo-cable « urbanisme » depuis le début du 20e siècle. L’enseignement propose de revenir sur les moments d’invention de l’urbanisme comme discipline et comme pratique professionnelle, sur la constitution de ses outils et de ses moyens pour appréhender et transformer l’espace, sur les évolutions et les ruptu-res tant théoriques que pratiques au cours du siè-cle, sur les principaux moments de l’urbanisme et leurs principaux acteurs, sur la répartition des rôles entre les différents acteurs politiques, techniques et économiques et d’explorer la mise en œuvre des théories dans le projet et la réalité urbaine.

Un cours porte sur la première moitié du 20e siècle. Il explore l’émergence de la discipline et l’affirma-tion d’un urbanisme municipal. Un second cours porte sur la seconde moitié du siècle et s’intéresse particulièrement à l’urbanisme d’Etat. Des travaux dirigés communs aux deux cours incitent les étu-diants à se saisir des textes produits au cours de ces périodes et à les confronter aux projets et réalisa-tions.

L’objectif de cet enseignement est d’approfondir la connaissance entre éléments physiques des ambiances (phénomènes naturels, morphologie) et les dimensions humaines (psychologie, sociologie, …) qui sont des entités à part entière de la connaissance architecturale. Ces enseignements permettront également de trans-mettre les résultats des programmes de recherche sur les ambiances architecturales en terme d’interaction entre phénomènes physiques et stratégies du projet architectural et urbain.

Cet enseignement est décomposé en trois parties :- les ambiances : concepts fondamentaux et problé-matiques inter disciplinaires. L’espace de la ville et de l’édifice est porteur de qualités climatiques, lumineu-ses et olfactives où les dimensions morphologiques et esthétiques ne sont pas seules en cause. Un tel élargissement de l’approche de l’espace architectural peut se traduire par la notion d’ambiances architec-turales et urbaines qui est abordée dans cette partie. - écologie de l’environnement construit et confort. Cet enseignement est composé d’interventions rendant compte de résultats de recherches qui, selon différents points de vue, interrogent les expériences sensibles et situées de l’environnement mais aussi l’impact de ces connaissances et théories pour la conception architec-turale et urbaine.- méthodes d’enquêtes sociologiques et psycho-so-ciologiques. Par delà une initiation aux grands genres d’investigations in situ, ce cours présente et fait mettre en pratique les observations et analyses concernant plus directement l’espace construit et les ambiances architecturales et urbaines.

L’unité d’enseignement théorique Histoire des Cultures contemporaines complète, précise et éclaire les orienta-tions thématiques du Domaine d’études «projections ar-chitecturales» en articulant théorie et pratique. L’enseignement a pour objectif de montrer comment la culture agit sur les processus de conception, et comment le vécu détermine les modes d’interprétation des oeuvres. Interroger les relations art, technique et architecture d’un point de vue philosophique, historique et morphologique permet de montrer comment elles s’intègrent ou s’oppo-sent aux grands courants de la culture contemporaine. La question de l’esthétique (étymologiquement: la sensation, le ressenti) se pose comme un préalable.

Les cours à orientation philosophique analysent les struc-ture formelles des langues concrètes et des séjours. Son enjeu est de montrer comment les idéologies déterminent les dispositions spatiales et les dispositifs architecturaux, comment la distribution des formes induit une distribution des rôles. L’enjeu d’une critique historique (de l’art, des techniques et de l’architecture) est la recherche d’une alternative à la modernité en des termes qui restent aujourd’hui, parfois paradoxalement, d’actualité. Ils nous renvoient en effet à des questionnements –et non des réponses- à réinves-tir dans les pratiques architecturales contemporaines. Ce cours montre aux étudiants la nécessité pour un architecte de bien connaître l’histoire avant de vouloir innover ou inventer une actualité.L’analyse morphologique étudie l’ensemble des formes qui composent ou construisent les formes de l’apparaî-tre et leur agencement. La diversité de ces formes nous délivre la complexité du monde. L’objectif du cours est de montrer la complication croissante et progressive des couches stratigraphiques dans lesquelles s’incarne toute réalité. Ce cours est accompagné de la construction de machines et mécanismes d’architecture.

THEME Enseignement approfondi de la conception et la mise en œuvre des techniques de construction en béton (infrastructures et superstructures) des bâti-ments ainsi que de la conception parasismique des bâtiments.

PROBLEMATIQUE Croisement des problématiques de l’architecte, du bureau d’études structures et de l’entreprise BTP, dans la production des bâtiments.

MODE PEDAGOGIQUE Cours. T.D. d’application sur les projets d’architecture. Visite d’usines et de chantier.

DE1 Cultures urbainesDE2 Formes archi.et urbaines et phénomènes d’amnianceDE3 Structures constructivesDE4 Hist. des cult. cont.

2X2 ects

Les unités d’enseignement théoriques sont compo-sées de deux enseignements théoriques à choisir parmi les quatre ci-dessous.

Heure Heuresemaine semestre

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e73-94Enseignement de langueJeanne Catherine

OBJECTIF Il s’agit d’acquérir les compétences né-cessaires pour fonctionner correctement dans la vie professionnelle, et la vie de tous les jours dans la langue choisie.

CONTENUCours magistraux : entraînements aux épreuves de certification (TOEIC et BULATS).TD : étude de textes écrits, révision de grammaire, vocabulaire, entraînements à l’écoute, expression orale.

En anglais, les étudiants travaillent en autonomie sur des sujets qui leur sont fournis, et/ou qu’ils choisissent eux-mêmes. Ils ont quatre sessions d’une demi-heure avec un professeur suiveur par semestre. Pendant ces sessions, ils doivent montrer que le travail a été fait, et bien assimilé. Pour certifier leur niveau, les étudiants doivent pas-ser l’examen de TOEIC en anglais et le BULATS en espagnol et allemand. Ils doivent atteindre un score minimum de 705 au TOEIC et de 65 points (niveau B2) au BULATS.

En espagnol et en allemand,les étudiants préparent la certification finale (BULATS) par un entraînement à la compréhension orale et écrite,à l’expression orale et écrite ainsi qu’à l’approfondissement en grammaire et vocabulaire.

Equipe enseignanteAnglais : Sarah Rosenfeld (cours)

et Anne Ryan, Terence Powell, Catherine Lord (TD)Espagnol : Jocelyne Blin (cours et TD)

LanguesUe73/94

OBJECTIF Cette première unité d’enseignement concernant le mémoire est positionnée en semestre 7, elle est consacrée à la mise en place des bases méthodologiques d’une initiation à la recherche et à la construction d’hypothèses problématisées dans le cadre de séminaires de mémoires thématiques. Une seconde unité d’enseignement (UE 84) sera consacrée à l’aboutissement de la production du mémoire. Voir la fiche UE 84 pour la mention re-cherche.Dans cette UE, les étudiants s’attacheront principa-lement à cerner un objet d’étude, à poser un ques-tionnement, à mettre au jour une série de données, à élaborer un système d’hypothèses en liaison avec un jeu de références et à en amorcer la discussion.

Mémoire 1 :initiation à la recherche

Ue74ORGANISATION Une séquence intensive au début du semestre permettra de poser des bases méthodo-logiques et épistémologiques des différents champs afin d’appréhender les différents savoir faire des domaines de recherches des enseignants impliqués dans les séminaires de mémoire.Dans un ensemble d’offres de séminaires thémati-ques, les étudiants choisiront de s’investir dans un des groupes. La forme «séminaire» (groupe com-prenant de six à quinze étudiants) permettra les échanges au sein d’un groupe partageant des inté-rêts de recherche (même thème ou même méthode d’approche).La validation de cette UE consistera dans une note méthodologique détaillée qui mettra en évidence les sources et la démarche qui sera mise en œuvre, ainsi qu’un programme de lectures et d’investiga-tions complémentaires.

CALENDRIER Outre la séquence intensive, chaque groupe de séminaire est organisé selon un calen-drier spécifique.

Ue74

master / Semestre 7-9

+ 4 entretiens

Coefficient Heure Heuresemaine semestre

8 ects Heure Heuresemaine semestre

E73-94 Langue anglais

E73-94 Langue espagnol et allemand

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h

h

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1

UE74 Initiation à la recherche 4h 56h

De1Ce séminaire de mémoire se propose d’explorer différentes composantes d’une histoire qui pourra prendre pour sujet tant l’architecture que la ville ou le territoire. Mettre à distance et travailler sur les relations autres qui organisent des sociétés et leur production de l’architecture et de l’espace permet-tront d’enrichir la compréhension de la production de l’architecture dans un contexte urbain ou terri-torial.

Les outils d’analyse seront ceux de l’histoire : lec-tures, analyses de plans, analyses d’édifices… Les mémoires pourront concerner des monographies de villes, des biographies d’acteurs dans un contex-te problématisé, la question des références, celle des relations culturelles réflexives : importation de références dans le cadre des expositions universel-les par exemple. Ainsi se constitueront des récits architecturaux ou urbains.

Des sujets pourront être construits dans un objectif comparatif et concerner d’autres lieux ou moments que les étudiants sont amenés à découvrir à l’occa-sion de leur mobilité.

Architectures et culturesMarie-Paule Halgand De1 L’espace,

en ses objets et controversesLaurent Devisme & Elise RoyDe1Cartographie territoriale

et plans de villes Gilles Bienvenu

Laurent Devisme, enseignant-chercheur, laboratoire LAUA, Et la participation d’Elise Roy, enseignante-chercheure, LAUAcf. www.laua.archi.fr

Ce séminaire cherche à mieux comprendre les conditions actuelles de l’action urbanistique, mar-quées par une hausse de la vulnérabilité, du risque et un contexte de plus en plus incertain. S’intéresser à l’espace, c’est d’abord analyser avec précision les jeux avec la distance. Ils renvoient aussi bien à la valorisation de la densité et la diversité pour limiter ses effets qu’à la mise en avant de la bonne distance, en se ménageant des bulles, mais aussi des espaces de réserve. Un ensemble de politiques, de techno-logies, d’instruments permet la mise en œuvre des différents rapports du proche et du lointain. Ces po-litiques et ces objets sont de plus en plus enclins à être négociés, au sein de régimes d’action publique moins assurés que dans les Trente Glorieuses.

Au cours du séminaire, nous nous exposons col-lectivement (l’enseignant comme les étudiants) et nous apprenons à mieux tracer les actions que nous sommes amenés à observer : cet enjeu descriptif est indissociable de celui qui consiste à rédiger des comptes-rendus risqués. Ce faisant, il s’agit de problématiser des situations urbaines relevant de la mise en tension : entre « humains » et « non-humains » (posant la question plus large des poli-tiques de la nature), entre politiques publiques et acteurs privés (posant la question plus large de la gouvernance), entre objets à bords flous et objets à bords nets (posant plus largement la question de la modernité)… En cherchant à remonter les filières, les étudiants développent le sens de l’enquête, ainsi que l’aptitude à l’analyse des rapports de force et des épreuves qui les caractérisent.

Les étudiants sont invités à travailler sur des espaces aux enjeux d’ordre politique déclarés, sur des « es-paces à problèmes » : phénomène NIMBY, conflits de voisinage, usage contesté de l’espace public… L’analyse d’un conflit est souvent une entrée per-mettant de travailler sur une situation circonscrite, révélant des acteurs en présence, des justifications particulières et la recherche de formes pour sortir du conflit. Des sujets sont proposés en début de séminaire mais ils peuvent aussi naître de ques-tionnements ou de repérages faits en amont par les étudiants. Les terrains privilégiés sont la région nantaise – pour des questions d’accès au terrain fa-cilité – et les villes d’implantation des étudiants en mobilité.

Le fonctionnement du séminaire associe interven-tions théoriques et expressions dialogiques en ta-blée. Il permet d’inviter deux chercheurs extérieurs au premier semestre. Le second semestre est davan-tage marqué par le fonctionnement en tablée, avec des interventions relatives au travail d’écriture et à tout ce qui relève des trucs et astuces de la trans-position des choses vues et entendues en choses analysées. Des comptes-rendus systématiques des séances sont rédigés.

Une carte ou un plan, comme les actuels systèmes d’informations géographiques, visent rarement une connaissance désintéressée des espaces représen-tés. Ils sont plutôt conçus comme des outils pour s’y déplacer efficacement, pour le conquérir, pour le contrôler, pour le transformer…Cartes et plans sont ainsi partie prenante de la « modernité ».

Avec la carte, la connaissance globale d’un terri-toire ne passe plus par l’expérience physique et individuelle, mais par un médium qui porte une connaissance organisée, sélectionnée, hiérarchisée et donnée à voir.

À partir de l’histoire de la cartographie territoriale et urbaine, le séminaire propose de se pencher, à par-tir d’exemples, sur la nécessité depuis le 18e siècle jusqu’à l’époque contemporaine de passer par un double analogique des territoires pour les maîtriser et les contrôler, sur les systèmes d’acteurs concer-nés et sur les stratégies mises en œuvre à cette fin. Des « histoires d’enquêtes » s’attachent aux articu-lations entre représentation et intervention volonta-riste sur la ville.

Les mémoires pourront porter soit sur des fragments de territoires ou de villes appartenant à la métro-pole Nantes-Saint-Nazaire à partir des années 1960 (création des « métropoles d’équilibre »), soit sur des territoires ou des villes travaillés dans une UEP, le mémoire étant mis à profit pour une exploration approfondie, soit sur tout espace urbain proposé par l’étudiant, en transformation depuis le 18e siè-cle et particulièrement au 20e siècle.

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master/semestre 7-8

Ue74/84Mémoires 1 & 2

«Si l’errance est la libération par rapport à tout point donné dans l’espace et s’oppose conceptuellement au fait d’être fixé en ce point, la forme sociologique de l’étranger se présente comme l’unité de ces deux caractéristiques.» Georg Simmel

Si en comparaison d’autres villes, la proportion d’étrangers reste faible à Nantes (5, 3 %), cette particularité a tendance à s’estomper et Nantes ac-cueille de fait, un nombre croissant d’étrangers – un millier par an - entre 1999 et 2006, le pourcentage d’augmentation est de 33 %, soit l’un des plus forts des grandes villes françaises. L’origine des étrangers reste majoritairement africaine, les Maghrébins représentant un tiers des étrangers (Algérie en pro-gression), c’est l’immigration subsaharienne qui a le plus progressé, ils sont deux fois plus nombreux aujourd’hui qu’en 1999. La troisième cohorte est aujourd’hui, celle des Turcs (8, 6% des étrangers) devant les Portugais. Une des spécificités des mi-grants est de s’inscrire dans des espaces discontinus et d’avoir à construire leurs conditions spatiales d’existence après avoir pris la mesure les pratiques spatiales du pays d’accueil afin de composer avec elles. L’articulation des échelles, la mobilisation de leurs ressources propres et l’appropriation de res-sources locales sont les bases de l’installation. Pour y parvenir, les populations émigrées/immigrées doi-vent développer des arts de faire particuliers avec l’espace. Il s’agit de se faire sa place tant au niveau des espaces de la vie quotidienne qu’aux différen-tes échelles du territoire dans lequel elles sont ame-nées à circuler et qu’elles vont devoir apprendre à maîtriser.

Le séminaire travaillera des notions-clefs : émigra-tion, immigration, parcours migratoire, mobilité, mondialisation, proximité/distance, altérité, hospi-talité… La réciprocité inhérente à l’hospitalité sera prise en compte et l’espace d’accueil sera étudié comme lieu d’intégration ainsi qu’à travers ses pro-pres transformations induites par les phénomènes migratoires. L’histoire de l’immigration à Nantes sera travaillée collectivement et chaque étudiant choisira une question permettant de travailler un aspect du fait migratoire. Le travail individuel com-prendra une enquête de terrain et l’approfondisse-ment d’une notion théorique issue de cette enquê-te, qui sera travaillée sur base bibliographique. Les étudiants erasmus peuvent profiter des terrains qui s’offrent à eux pour s’emparer de cette thématique en jouant sur leur position d’étranger pour travailler les effets miroir du phénomène migratoire. Dans tous les cas, les questions méthodologiques et l’en-jeu de la réflexivité seront traités avec attention.

Le fonctionnement du séminaire doit assurer le bon achèvement de tous les mémoires individuels dans les mêmes délais, la soutenance où chacun vient présenter sa part du travail, étant pensée comme un moment de co-production collective.

Les principales références bibliographiques seront travaillées dans le séminaire : Ecole de Chicago, Simmel, Sayad, Tarrius, Sassen… La bibliographie sera complétée en fonction des objets individuels.

De1 L’autre iciElisabeth Pasquier

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master/semestre 7-8

Ue74/84Mémoires 1 & 2

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De2 Thématique des ambiancesPascal Joanne & Christian Marenne

Ue74/84Mémoires 1 & 2

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master/semestre 7-8

Ce mémoire d’initiation à la recherche s’inscrit dans la construction d’un savoir sur les ambiances architecturales et urbaines. Un résumé, forcément lacunaire, mais concis permet de définir l’ambiance comme l’expérience sensible d’un sujet dans l’es-pace-temps, d’une pratique habitante ou citadine. Cette notion d’ambiance est explorée depuis main-tenant plusieurs années par des équipes de recher-che comme le CRESSON de l’Ecole nationale d’Ar-chitecture de Grenoble et le CERMA à l’ENSA de Nantes. Quelques idées force sous-tendent la démarche commune de ces deux laboratoires:

• la pluri-sensorialité. La relation au cadre de vie doit être saisie non plus selon la seule approche de visu, chère aux architectes, mais dans l’extension aux autres régimes sensoriels, envisagés selon leurs dynamiques temporelles.

• la pluridisciplinarité. En effet le domaine d’accep-tion d’une ambiance est au croisement de discipli-nes plurielles, allant de la physique des phénomè-nes (climat, acoustique, thermique, énergétique…) aux sciences sociales et anthropologique, sans omettre les « acteurs » de conditions d’ambiances que peuvent être les concepteurs : architectes, amé-nageurs, artistes.

• la relation à la dynamique projectuelle. Par les attendus en termes de maîtrise des ambiances et de l’environnement d’une part, mais aussi sur la place des ambiances comme ressort d’intentionnalité dans le processus de conception. Cette relation au projet soulève ainsi la question des ambiances de références que convoquent ou non les architectes et la question de la représentation des ambiances, ambiances voulues, attendues, perçues…

Toutes ne sont pas ici énoncées, mais le cadre de ce travail de mémoire se propose d’accueillir l’ensem-ble des problématiques relationnelles soutenues entre la question des ambiances et notre environ-nement architectural ou urbain, pensé, figuré, trans-formé et vécu.

Différentes possibilités, non exhaustives s’offrent aux étudiants :• travailler sur l’œuvre et/ou le discours et la pro-duction d’un architecte• travailler sur des références architecturales inter-rogeant la question des ambiances• faire l’analyse microclimatique comparée de quelques types différenciés d’espaces urbains• travailler sur les ambiances d’un lieu, d’un site• traiter d’une thématique ou d’un concept

Les différentes thématiques sont toujours en rapport à l’architecture produite et à la conception.

Ue74/84Mémoires 1 & 2

Le mémoire a pour objectif de confronter l’étudiant aux modes conceptuels et opératoires par l’appro-fondissement des connaissances et par la réflexion sur les divers processus de production de l’espace architectural et constructif. Les apports théoriques conduisent l’étudiant à s’interroger sur la question du sens en architecture en se fondant sur les théories et les expérimentations opérées dans les démarches de conception architecturale et (ou) constructive. Le mémoire est le lieu du débat et des échanges d’idées afin de générer le questionnement théma-tique. Il vise à:- fonder une problématique de mémoire autour d’un postulat,- orienter la recherche thématique,- structurer la réflexion et le questionnement,- contribuer à l’édification d’une méthodologie d’approfondissement de la recherche,- favoriser, pour l’aide à la recherche documentaire et à la constitution d’apports culturels, historiques, techniques et scientifiques, les liens interactifs avec les organismes extérieurs.

Lieu de l’exploration d’un thème, initié et conduit avec les enseignants, le mémoire génère une pro-blématique propre à la discipline architecturale centrée sur la question du – « Sens en Architecture - Architecture du pensé et Architecture du faire » autour du thème : Culture architecturale-Culture constructive du projet. Trois séquences sont propo-sées par semestre: semestre 7 : installation du mémoire, introduction du mémoire, catégorisation du mémoire semestre 8 : approfondissement du mémoire, argu-mentation du mémoire, soutenance du mémoire

Le mémoire correspond à un travail d’études et de recherche, satisfait à des exigences épistémologi-

ques et méthodologiques et répond à une volonté de théorisation où l’étudiant formalise sa pensée et rationalise sa pratique.L’étudiant développera :- un sujet orienté sur une problématique précise et identifiable dans le contenu du séminaire - un questionnement spatial fondé par un postulat autour de la problématique choisie- une analyse et recherche documentaire corres-pondantes avec la constitution d’une bibliographie, d’un lexique des mots et leur définition, d’un réper-toire des documents graphiques, techniques, ima-gés (vidéo, diapositives)- la rédaction du mémoire centré sur cette recherche- la soutenance du mémoireLe dispositif est construit sur un travail en groupe doublé d’un face à face pédagogique individualisé avec le directeur de Mémoire.Volume du mémoire – 40 à 60 pages – Format A4

ELEMENTS DE BIBLIOGRAPHIE :Argan CC – Projet et destin - Les éditions de la passionBachelard Gaston – Poétique de l’espace - Edition PUF QuadrigeCassirer Ernst – Individu et cosmos - Edition Minuit Deleuze – La puissance du baroque - Edition RecueilFerry Luc – Le sens du beau - Edition les cercles de l’artGombrich – Histoire de l’art - Edition GallimardMann Thomas – Docteur Faustus - Edition livre de pocheObalk Hector – Andy Warhol n’est pas un grand artiste - Champs FlammarionPanofsky Erwin – L’œuvre d’art est ses significations – Nrf Gallimard

De3 Conception architecturaleJean Robein & Guy Rume

La réflexion et la recherche proposées dans ce groupe identifieront et associeront les actions événementiel-les (éphémère, arts de la rue, déplacements, mobilité) pouvant questionner les processus de requalification urbaine en cours dans un contexte de mutation. L’architecture, le territoire urbain, le paysage, ont en commun avec le théâtre et le cinéma de conjuguer l’espace, le temps, l’action, pour susciter sens, valeur, repère. Les arts de l’espace et ceux de la représenta-tion donnent à voir, à entendre, à sentir. Arts du point de vue, de l’écoute et de la présence, les arts de la scène et de l’écran dramatisent le cadre spatial en plaçant au cœur l’homme, acteur et spectateur.

Il s’agit bien sûr de dégager les éléments propres aux lieux scéniques, à leur scénographie et à leur archi-tecture. Le lieu scénique sera défini au sens large comme lieu de représentation, de rassemblement et d’échange. Le concept de représentation est ici envi-sagé dans son sens théâtral extensif : théâtre, opéra, danse, cirque, arts de la rue, cinéma. Il s’agit aussi de s’attacher à la question de la représentation d’un lieu au sein d’une œuvre dramatique, lyrique, choré-graphique, filmique : ce qu’on nomme couramment le décor.

Mais il s’agit surtout de dégager les éléments spéci-fiques à une approche scénologique appliquée ici à l’objet architectural et au territoire urbain. De ce point de vue – qui rejoint les anciennes préoccupations des visées perspectivistes (et l’on se souvient que scéno-graphie et perspective ont partie liée dans l’histoire occidentale de l’architecture) sans se restreindre à celles-ci – et celles de l’architecture éphémère, l’ap-proche scénologique se concrétisera en précisant les objets d’étude qu’elle se donne et qui seront déve-loppés dans ce séminaire, en privilégiant les actions menées par les arts de la rue.

De3 Nouvelles pratiques urbainesYves Ghislain DessyMarcel Freydefont

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master/semestre 7-8

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(…) Chaque artiste selon sa propre démarche, se confronte au « génie du lieu » tout en traitant un programme technique souvent complexe, assumé en pleine intelligence stylistique et structurale des édifices, sans se limiter à un travail de restitution « d’art appliqué » ou d’accompagnement architec-tural. Ainsi les réalisations concernent aussi bien la recréation d’éléments du décor architectural, en particulier les vitraux que la conception du mobilier d’un monument ou encore sa mise en lumière.

Dans toutes ces œuvres qui se définissent par rap-port à des sites et des architectures donnés, les artis-tes apportent la preuve que loin d’être incompatible avec une dimension historique et patrimoniales, l’art d’aujourd’hui peut en être le meilleur partenaire et agir comme un véritable révélateur. »

Extraits du site : http://www.culture.gouv.fr/culture/dap/commande_publique/index.htm

Eléments bibliographiques : - L’art à ciel ouvert. Commandes publiques en France. 1983-2007. La création contemporaine. Editions Flammarion 2008.- Tacita DEAN & Jeremy MILLAR Lieu. Editions Ta-mes & Hudson. Coll. Questions d’art.- Pierre BOURDIEU La distinction. Critique sociale du jugement.Editions de minuit. Coll. Le sens com-mun 1979.- Philippe URFALINO L’invention de la politique culturelle. Hachette Littérature 2004- Paul VIRILIO L’art à perte de vue. Editions Galilée. 2005- Jean- Claude WALLACH La culture, pour qui ? Es-sai sur les limites de la démocratisation culturelle.Editions de l’attribut 2006

De4 La commande publiqueRémy Jacquier

Ue74/84Mémoires 1 & 2

Le mémoire fera état de plusieurs projets artistiques réalisés dans le cadre de la commande publique à Nantes ou en région Pays de la Loire. Il fera apparaî-tre les modalités propres à la commande publique, les contraintes définies par l’espace public, urbain et paysagé, le programme technique. Il s’agira dans un premier temps d’interroger in-situ au regard des œuvres réalisées les articulations création artistique et site, création et patrimoine, création et conser-vation.La singularité des œuvres impliquant une singula-rité des rapports entre le commanditaire, l’artiste et le public, il conviendra également d’analyser ceux-ci à partir d’une étude portant sur chacun de ces acteurs.Enfin, dans ces contextes particuliers et à l’heure où la notion même de public acquière un statut de critère esthétique, la commande publique permet de réinterroger ce qui fonde tout rapport à l’œuvre d’art, c’est-à-dire la question du ou des sens ainsi que celle de la valeur : valeur monétaire, valeur symbolique, valeur d’usage.

« Avec l’émergence de chantiers urbains pour la requalification d’espaces publics et une politique territoriale en matière de transports publics, la com-mande publique constitue un outil expérimental adapté qui permet aux villes d’inscrire au sein de leur chantier urbain un volet artistique et culturel, porteur de sens et de modernité. Depuis plusieurs décennies, l’Etat encourage cet intérêt croissant pour les interventions d’artistes dans un espace ur-bain en profonde mutation. Celles-ci doivent être conçues de manière à accompagner un projet col-lectif et introduire au cœur de la ville ces notions de mobilité, de mutation, d’usage.

De4 L’empreinte des campsPierre Faucher & Jean Lévèque

Camps de réfugiés durant la guerre d’Espagne, camps de concentration, camps d’expérimentation humaine, camps d’extermination en Alsace durant l’occupation nazie, camps de regroupement dans les anciens départements français, camps de transit, camps de rétention, camp d’urgence … Le terri-toire français n’échappe pas aux tragédies passées et actuelles dont les camps ici ne sont que les ins-truments du politique. Répondant aujourd’hui aux flots de migrants, l’Eu-rope installe des camps sur ses frontières. De nom-breux camps de réfugiés s’inscrivent durablement dans le territoire. Au modèle de la ‘’cité’’ d’Athènes, censé régir la politique occidentale depuis toujours, le philoso-phe Giorgio Agamben oppose celui du camp, « nomos de la modernité », paradigme de la « poli-tisation de la vie nue » qui est à présent l’ordinaire du pouvoir. La souveraineté de l’homme est non pas la vie qualifiée du citoyen, bavard et bardé de droits, mais ‘’la vie nue’’ et réduite au silence des réfugiés, des déportés ou des bannis.

Les étudiants questionneront l’émergence d’un camp à travers ses dimensions historiques, sociéta-les et politiques ainsi qu’à travers ses typologies architecturales et environnementales. L’objet de l’étude portera sur l’histoire du lieu, sur l’environ-nement du camp, sa mitoyenneté dans le territoire et son héritage.

Ils interrogeront ‘’ l’empreinte’’ instruite par un espace de crise entre refuge et enfermement. Pour son étude, l’étudiant choisira en priorité un camp où il aura la possibilité de se rendre.

Eléments bibliographiques:

Giorgio Agamben , Ce qui reste d’Auschwitz :l’ar-chive et le témoin, traduit par Pierre Alfieri, Paris, Payot & Rivages, 1999

Giorgio Agamben Homo sacer I. Le pouvoir sou-verain et la vie nue, traduit par Marilène Raiola, Paris, Le Seuil, 1997

Hannah Arendt, La crise de la culture, huit exerci-ces de pensée politique, éd. Gallimard, 1972

Catherine Coquio. Parler des camps, penser les génocides, éditions ALBIN Michel, 1999

GeorgesDidi Huberman, Images malgré tout, Aux Editions de Minuit

Michel Foucault. Surveiller et punir, Naissance de la prison, Paris, Gallimard, 1975.

Denis Peschanski, La France des camps, 1938- 1944, Gallimard 2002

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master/semestre 7-8

Le regard de l’architecte.

Prisonnier de son fauteuil, le spectateur de théâtre ou de cinéma se voit offrir un spectacle dont le but est la sidération. La narration le plonge dans un es-pace diégétique où l’intensité des actions va forte-ment solliciter son système perceptif et émotionnel. Usant de la fonction conative, le maître du spec-tacle lache des indices fortement réfléchis à partir desquels le spectateur va constituer ou reconstituer une histoire en y injectant son vécu, son émotion.Rendu à la ville ou à son logement, le regard de ce spectateur devenu acteur, semble pouvoir explorer l’ensemble de l’espace dans lequel il se trouve, sans contraintes autres que celles des narrations qui ali-mentent perpétuellement son existence.L’architecte dès lors peut dire que la vie n’est pas un spectacle et qu’il produit pour la réalité. Pourtant, la démarche de l’architecte est-elle tellement diffé-rente de celle d’un metteur en scène ? Sur quelle scène l’architecte construit-il son projet ? Quel texte utilise-t-il ? Qui sont ses acteurs ? Où sont les spectateurs.

Partant de cette posture scénologique, nous pro-posons d’explorer ces questionnements selon plu-sieurs modalités.1/ Les lieux de spectacle nous donnent-ils des clés pour concevoir du projet ? Le dispositif salle / scène, la captation du regard, les effets comme réalisation d’une organisation spatiale sont-ils des objets trans-posables dans les projets et de quelle manière.2/ La prévisualisation numérique dépossède le concepteur de la direction du regard qu’il imposait à son client dans la forme de la perspective classi-que. En quoi les outils numériques, en dupliquant le réel dans un espace virtuel produisent-ils un pre-mier effet d’ubiquité ?

Ue74/84Mémoires 1 & 2

De4 Architecture en représentationBruno SunerLaurent Lescop

3/ L’expérience narrative liée au cinéma et au théâ-tre conduit les architectes outre atlantique et main-tenant également européens à se positionner dans un processus dynamique où le projet commence à se faire par ceux qui le racontent. Les usagers le pratiqueront chargés de ces flux d’histoires qui donneront les couleurs émotives. Cela change-t-il le métier de l’architecte, son rapport au projet, son rapport au client ou même à son intégrité ?Le lien invisible de l’ensemble de ces questions est la construction sonore de l’espace. Comme un film est en audio-vision, l’architecture (dans une restriction sensorielle qui doit être interrogée) est également de conception audio-visuelle. Dès lors, l’on pourra également s’interroger sur les transferts, contrôles et maîtrise de l’espace sonore, particuliè-rement dans les lieux de spectacle.Enfin, des sujets très ciblés, liés à des travaux de recherches sur les lieux scéniques pourront être proposés.

De4 Histoire théorie critique (HTC)Valéry Didelon

Dans le cadre de ce séminaire de mémoire, nous travaillerons sur des problématiques liées au post-modernisme architectural, compris comme un mo-ment historique de l’architecture contemporaine, prenant sa source dans les années 1960 et s’éten-dant jusqu’au temps présent. Nous travaillerons sur des objets d’étude comme des édifices, des livres, des expositions ou encore sur toutes autres manifes-tations de la culture architecturale. Les méthodes de recherche sollicités seront celles de l’histoire, de la théorie et de la critique.

Au premier semestre, il s’agira pour chacun d’iden-tifier un objet d’étude précis, de rassembler un cor-pus documentaire et de finaliser une problématique. En complément, un certains nombre de cours seront dispensés. Au second semestre, il s’agira pour cha-que étudiant de rédiger son mémoire proprement dit. Un voyage d’étude est également prévu.

Le séminaire se tient toute l’année à raison d’une demi journée tout les quinze jours. La présence à chacune des séances est obligatoire. Une bonne connaissance d’une langue étrangère (anglais, alle-mand, ou italien) peut-être utile pour participer à ce séminaire de mémoire.

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master/semestre 7-8

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études

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Deuxième cyclepréparant au diplôme d’état d’architecte conférant le grade de master

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Ens. théoriques

Projets architecturaux

Ens. théoriques

Projets architecturaux

S8 / S10

S7 / S9

Ue71Ue9118ects

Ville en mutations / city migrations

Cultures urbaines

La condition métropolitaine

Domaine d’étude 1 (DE1)

projet 1 / projet 3

Utopies ferroviaires

Frangments métropolitains

La condition métropolitaine en débat

projet � / PFE

Ue72Ue924ects

Ue8�Ue�0��8ects

Ue8�4ects

Formes architecturales et urbaines et phénomènes d’ambiances

Cultures constructiveset stratégies de projet

Domaine d’étude 2 (DE2)

Parimoine en devenirLes ambiances à

l’épreuve du projet

projet 1 / projet 3

Développement durable

HQE / HQAIci et ailleurs

Solid Thinking

projet � / PFE

Ue71Ue9118ects

Ue72Ue924ects

Ue8�Ue�0��8ects

Ue8�4ects Certification en

langue étrangère

Ue73

Ue83

Ue93

Ue103

Ue74Ue848+8ects

Ue9��ects

Ue�0��ects

Enseignements de langue

Mémoire 1&2

Stage pratique(2mois)

Planificationet gestion duprojet urbain

Insertionprofessionnelle

Histoire des cultures contemporaines

Cultures constructiveset stratégies de projet

Domaine d’étude 4 (DE4)

Habiter le rythmeArchitecture en représentation

projet 1 / projet 3

Naissance d’une architecture théâtrale

Le même et l’autreArchitecture des lieux scéniques

projet � / PFE

Ue71Ue9118ects

Ue72Ue924ects

Ue8�Ue�0��8ects

Ue8�4ects

Conception architecturale et culture constructive

Architecture et scénographie urbaine

Structures constructives 1

Art et Méthodes du projetarchitectural et urbain

Domaine d’étude 3 (DE3)

projet 1 / projet 3

Espaces en construction

et art de construireParticipation et contexte opérationnel

Structures constructives 2

projet � / PFE

Ue71Ue9118ects

Ue72Ue924ects

Ue8�Ue�0��8ects

Ue8�4ects

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Ue81/101Utopies ferroviaires

Pascal AMPHOUX & Fabienne [email protected] & [email protected]

master/semestre 8-�0

Séminaire Atelier Intensif

Heures Coefficient Contrôle continu Examen Partiel Examen Final

Les infrastructures ferroviaires étaient autrefois programmées, dans une perspective strictement

technique et fonctionnelle, comme un moyen de relier des centres isolés les uns des autres (lignes de train et aménagement du territoire). Elles ont été plus récemment conçues, dans une perspec-tive plus sociologique et commerciale, comme un moyen de réarticuler centres et périphéries (lignes de tram et projets urbains). Une troisième voie est en train de s’inventer, dont l’enjeu est désormais de construire l’identité de la métropole en contri-buant à la mise en réseau des différents pôles qui la composent (ligne tram-train et projet territorial).

Mais comment penser, par le projet et la recher-che, une telle réticulation ? Comment articuler les échelles et qualifier les temps de transport ? Comment prendre acte et/ou générer de nouvel-les fonctionnalités (motricité), de nouvelles prati-ques (mouvance) et de nouvelles représentations de la ville en mouvement (émotion) ? Telles sont les questions qui sont explorées dans cette unité d’enseignement, animée par une équipe d’ensei-gnants réunissant des compétences de projet ar-chitectural, urbain et paysager et des compétences de sciences sociales.Trois thématiques transversales sont croisées : la suburbanité – à entendre comme urbanité latente plus que comme urbanité perdue ; la mobilité – à comprendre comme mode de vie métropolitain et expérience sensible plus que comme moyen de transport ; l’utopie – à explorer comme moteur de projet urbain et territorial et non seulement com-me fiction idéaliste.

Cette notion d’utopie a été abordée les années précédentes à partir d’approches pluridisciplinai-res du périphérique nantais et de l’estuaire de la Loire (cf. les sites internet accessibles depuis celui l’école). Elle porte depuis deux ans sur les poten-tialités de développement territorial, social et ima-ginaire de lignes ferroviaires du territoire métropo-litain nantais et pourrait cette année s’intéresser à un territoire du sud parisien.

Des apports théoriques, méthodologiques et prag-matiques sont programmés dans le cadre de col-loques, de conférences duales, de projections fil-miques et d’ateliers thématiques (image, écriture). Tous les matériaux produits pendant le semestre sont repris pour mettre en forme un site internet, qui est l’occasion de préfigurer le rendu final de ceux qui présentent leur PFE.

Quatre principes fondent l’enseignement :− l’équilibre entre activité de projet et activité de recherche ;− le déplacement et le retour permanent sur le site;− l’interaction entre travail individuel, travail de groupe et travail collectif ;− l’hybridation entre trois modes d’expression : l’écrit, la parole et l’image.

A l’issue du semestre, l’étudiant doit donc être capa-ble de mieux gérer trois types de rapports comple-xes qui caractérisent la condition métropolitaine: l’interaction entre l’énonciation d’un programme et la formalisation du projet, les jeux d’échelles entre l’architecture, la ville et le territoire, l’induction des dynamiques d’évolution territoriales dans et par le projet.

Pascal Amphoux, Fabienne Legros et Elisabeth Pasquier

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Ue81/101Fragments métropolitains

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09master/semestre 7-9

Séminaire Atelier Intensif

Heures Coefficient Contrôle continu Examen Partiel Examen Final

Otage d’une modernité orpheline de l’histoire, la périphérie urbaine est stigmate d’un échec,

d’une dépendance hiérarchique, symbolique, so-ciale ou économique par rapport à la centralité.

Le pari est de considérer l’aire suburbaine dans une nouvelle optique; d’une part comme com-posant d’un espace métropolitain plus qu’une extension dépendante d’une ville centre, de l’ac-cepter comme un assemblage de fragments aux rationalités distinctes et mêmes contradictoires, et d’autre part comme une nouvelle tentative de dialogue avec le milieu naturel.Considérer la nature comme une infrastructure, et le paysage comme source et sujet. Le suburbain devient l’espace de nouveaux agencements.

Le concept de fragments métropolitains interroge les différents contextes de l’aménagement de fa-çon paradoxale: il suppose la délimitation d’un territoire à côté de son insertion spatiale pour en faire apparaître le potentiel et reconnaître les liens, proches ou lointains, qui le mobilisent pour inaugurer une nouvelle stratégie d’aménagement.

Séminaire : La dimension critique des nouveaux concepts en prise sur l’aménagement n’est pas un(e) (obsession) préalable. Elle n’est plus l’héri-tage d’un travail de déconstruction uniquement «théorique», mais la conséquence d’un travail centré sur la perception des connexions ou des rhizomes; de ces fragments dans une relation dy-namique des territoires.Le séminaire entre en interaction permanente avec les temps et les phases d’élaboration du projet. Cette approche porte sur : la perception sensible; celle des hommes, du comportement et du pay-sage ; la lecture d’un territoire étranger, (distan-ciation dans l’espace et le temps) ; la construction d’une méthode articulant concepts et « arts de faire », permettant d’interroger transversalement différents champs disciplinaires.

Concepts: Le ménagement, le déplacement, la mé-moire, le désir, l’agencement, traverser.

Workshop : Un projet court sur un mode intensif autour d’une personnalité. Le workshop gère une échelle plus ciblée autour des questions de l’auto-nomie, du ménagement et du fragment urbain. Il traite d’un objet spatial complexe dans un regard territorialisé. Les concepts de projet sont énoncés et formulés par des représentations graphiques et plastiques. Des concrétions spatiales simples for-malisent l’aboutissement du processus.

Atelier de projet : L’atelier de projet fonctionne avec le séminaire d’une manière itérative.Les apports théoriques sont utilisés pour les mises en situation documentaire et imaginaire du terri-toire en question. Sur un mode collectif, et à partir des questions abordées dans le cadre du séminaire, le fragment métropolitain est exploré. Problématiques, pro-grammes et projets sont traités sur le mode indivi-duel. Le projet étant au centre de cette approche, les concrétions spatiales des concepts sont pous-sées dans leurs développements. Penser et projeter le suburbain comme le potentiel d’une urbanité à inventer. Concevoir de nouveaux fragments qui contribuent à construire l’identité de l’espace métropolitain. Articuler échelle territoriale et projet architectural.

Chérif Hanna, coordinateur de l’UE, architecte urbaniste, Jean-Yves Petiteau, anthropologue, Jérôme Berranger, architecte.

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Ue81/101HQE/HQA ?

Pascal [email protected]

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master/semestre 8-�0

A l’heure d’une conscience plus ou moins ac-quise des « limites planétaires », on mesure

combien la production architecturale exerce un impact majeur sur l’environnement. Aujourd’hui on arrive, peu ou prou, à mettre en œuvre le concept de haute qualité environnementale à tra-vers de pseudo outils opérationnels (les «cibles de performances») et tout un arsenal de recomman-dations, d’incitations et de «labellisations». Toute-fois, les architectes n’y trouvent pas forcément leur compte, craignant que la mise en forme de l’espa-ce tombe dans un travers techniciste et normatif.

En effet, comment produire une nouvelle archi-tecture avec de nouveaux modes de production d’énergie, de nouveaux matériaux, des modes de déplacements en évolution ?Face aux constats alarmistes auxquels, dans l’im-médiat, des solutions strictement comptables sont apportées, les concepteurs peuvent revendiquer des logiques d’innovation, intégrant notamment les dimensions sociales et culturelles à la mise en forme spatiale. Dans cette option de master, pensée comme un espace d’expérimentation et d’innovation du pro-jet, on s’efforce de conjuguer les enjeux du déve-loppement durable avec les différentes composan-tes de la production architecturale.Alors que les nouvelles technologies sortent des laboratoires pour se répandre sur le marché, il im-porte plus que jamais de concevoir des espaces architecturaux et urbains - qu’on pourrait appeler « architecture critique » - en s’interrogeant sur les implications sociales, culturelles et environne-mentales.

L’atelier de projet se déroule en deux étapes:1. Dans le cadre d’un séminaire (visites, cours conférences) on aborde la diversité des modes d’interventions du concepteur et des autres in-tervenants dans l’aménagement de l’espace et du cadre bâti, caractéristiques d’une approche quali-

tative. On s’attache plus particulièrement à présen-ter la situation des pratiques professionnelles HQE en France et en Europe. La présentation d’étude de cas illustre cette partie (en 2008, voyage d’étude critique à Lille et Roubaix).

2. Le séminaire projet présente les phases succes-sives de la mission de conception articulées avec les objectifs de qualités pressentis et ciblés: confort des espaces extérieurs, bilan énergétique, gestion efficace de l’eau. Il est précédé d’une période de réflexion, recherche et expérimentation « hors contexte », de façon à dégager des principes nova-teurs ou des prototypes à développer, susceptibles d’être appliqués dans le projet lui-même.

Il est demandé à chaque étudiant une participation individuelle (note d’intention, rendu de projet, ca-hier technique) et une participation collective vi-sant à présenter les différentes solutions étudiées dans le groupe. Les rendus intermédiaires font l’ob-jet de séances collectives d’analyse critique (faisa-bilité, moyens mis en œuvre, originalité, rapport design/performance, etc.)

Pascal Joanne, avec Claude Puaud, Pascal Fourrier, Michel Velly et Sylvain Houpert

Séminaire Atelier Intensif

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Ue81/101Ici et ailleurs

Karine [email protected]

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master/semestre 8-�0

Ici, la construction de notre culture occidentale centrée sur des outils, méthodes et savoirs-faire dont on croit détenir la vérité à l’issue d’un cursus universitaire Ailleurs, l’impor-tance du doute et la capacité de se mettre en danger en se confrontant à l’autre, celui avec lequel il va falloir travailler.Ici, ce sont les cartes, les archives, les analyses, les inter-viewes, les outils graphiques et les plans masses, le tout dans un jargon de spécialistes Ailleurs, c’est le droit de se tromper et d’apprendre encore, c’est surtout apprendre à travailler avec ce que l’on est soi- même, son intuition, sa sensibilité, sa capacité d’écoute, ses intentions et son envie de construire.Ici peut-être le diagnostic & Ailleurs, sûrement l’alternative

Modèles comparés : villes européennes et mégapolesThème : modèles opératoires et culturels comparés. Dans une vision géopolitique élargie au-delà des frontiè-res européennes, l’extraordinaire capacité à se nourrir de modèles importés et ré-interprétés à une échelle territoriale aux limites étendues et dans un temps rapide sera l’objet des études.

Cette Unité d’Enseignement de Projet invite à une expéri-mentation du travail de conception dans un contexte spéci-fique dont les contraintes sont liées au développement accé-léré des grandes métropoles hors d’Europe. Dans le domaine des mutations spatiales et urbaines, elle se centrera sur les questions patrimoniales (identification, statut, devenir,...) et environnementales (effets, exigences, réponses...).Problématique : En 2006 et 2007, les questions actuelles du fait urbain en Chine ont été posées à l’occasion d’une collaboration avec l’université chinoise de Chongqing : Développement durable et qualité de vie, Dimensions de l’architecture et formes urbaines, Patrimoine et architecture contemporaine Grands événements et développement urbain, Ces travaux ont fait l’objet d’une publication conjointe des écoles natio-nales supérieures d’architecture de Paris-Malaquais, Nantes et Versailles soutenue par le Ministère des Affaires Etrangères et la Cité de l’Architecture et du patrimoine en 2008.

En 2009, un retour «aux sources» a été effectué en se ren-dant à New-York. En effet, ce que les architectes de New-York avaient rêvé dans les développements de la ville et que nous connaissons au travers de ses représentations a été réa-lisé en Asie à Hong-Kong.

En 2010, les horizons maritimes seront au centre de nos préoccupations.Culture de masse, tourisme de masse, terres d’immigration.Qu’il s’agisse de New-York ou de Miami, ces ports d’entrée de l’Amérique rêvée présentent leur vitrine au monde.

Nous nous intéresserons aux modèles que ces villes propo-sent et leur rapport à notre économie locale. (La Baule ou une croisière ?)Où vont les paquebots construits à Saint-Nazaire ?Fabriqués ici par ceux venus d’ailleurs, par des entreprises tout à tour norvégienne ou coréenne ou chinoise, ces bâti-ments flottants nous transportent dans le monde des Caraï-bes et du voyage, petits quartiers mobiles, ils urbanisent de manière ponctuelles de nouvelles îles, créent des centralités éphémères.

Comment l’actualité retentit-elle sur le paysage architectural ?Comment les saisons en modifient-elles la géographie ?Quelles sont les traces de la crise des subprimes ?Comment ces villes s’adaptent-elles au défi énergétique ?Quel est le nouveau modèle de la ville balnéaire ?

Notre point de départ sera la construction des bâtiments des Chantiers navals, Ici pour nous transporter, ailleurs. Les étu-diants français se trouveront placés dans une situation de prise en compte du contexte de manière très rapide tout comme de son évaluation. C’est la capacité d’écoute et d’échange avec d’autres interlocuteurs étrangers qui leur permettra d’être per-tinent dans leur réponse abandonnant toute idée d’un collage d’une solution occidentale dans une situation géographique, topographique et culturelle étrangère.Nous nous plaçons dans une stratégie de projet qui invite à réévaluer les méthodes et outils mis en place dans notre cadre d’enseignement. Ces conditions permettent également aux étudiants de trouver des opportunités de stage ou de débouchés à l’étranger. Cette expérience pédagogique peut permettre d’aborder le monde du travail enrichi d’autres uni- vers.séquences : 1/ d’où part-on ?séminaire introductif avec intervenants extérieurs spécialisés. (Histoire de la ville et de la société, culture américaine, typo-logie urbaine, praticien exerçant à l’international....)évaluation des outils et méthodes connus en vue d’un usage performant-les cartes : Google ou GPS ? photographie, vidéo, son, ...-interviews, rencontres programmées, échanges, récits de voyage : quel est l’expert ?2/ workshop in situ 3/ d’où revient-on ? - proposition architecturale et urbaine

Karine Louilot, coordination et intervenants extérieurs

Séminaire Atelier Intensif

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Ue81/101Solid Thinking

Michel BERTREUX & Francis [email protected] & [email protected]

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master/semestre 8-�0

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UIAAu-delà de la fascination qu’exercent les ima-

ges virtuelles de l’«architecture numérique», l’UE propose de s’interroger sur les nouveaux modes de pensée et de production spécifiques in-duits par l’usage du numérique dans le champ de l’architecture.Parmi ceux-ci est couramment évoquée la «logi-que du fragment», qui rend possible tout type de configuration, de combinatoire, de mutation lo-cale ou globale ; elle vient créer un système de connexions qui aplanit les hiérarchies et place le moindre détail au niveau du tout…

Nombre d’expériences conceptuelles récentes tentent d’établir ces nouveaux rapports à la ma-tière construite. Le vocabulaire formel et les réfé-rences de l’architecture contemporaine, les formes dictées par les structures traditionnelles peuvent désormais se faire oublier pour laisser place à des formes nouvelles de construction, issues de la ma-nipulation des outils numériques à chaque étape du projet.Cette chaîne numérique parcourt le projet de l’idée à sa matérialisation, assurant de fait une continuité depuis le processus de conception jusqu’à la pro-duction de l’architecture ; on assiste ainsi à un dé-placement de la compréhension de l’espace, mais surtout à un glissement des différentes temporali-tés du projet et de son économie.Le travail sur des formes «non connues» permet ainsi de rompre avec le principe traditionnel de la structure venant conditionner les formes, pour au contraire amener le concepteur (l’étudiant) à s’engager dans la recherche de solutions inno-vantes d’adéquation de la structure à la forme, notamment grâce à l’emploi d’outils spécifiques de modélisation et de simulation et à une bonne connaissance des matériaux nouveaux.L’enseignement pourra faire référence aux connais-sances acquises dans certaines UE de licence, no-tamment Situations Extrêmes (UE41B) et plus par-ticulièrement Structures et formes et Sciences des

formes (UE33 et 43) – ces UE ne constituent pas pour autant un pré-requis.

Selon la thématique abordée, la pédagogie pourra privilégier l’expérimentation intensive en début de semestre (échelle grandeur ou réduite), puis s’inté-resser à l’utilisation des outils numériques d’acqui-sition de données (scanner 3D), de modélisation, de simulation (structure) et de fabrication (proto-typage, découpage laser) ; ou au contraire entrer dans le projet à partir du modèle virtuel pour en-suite aborder sa réalité constructive. De toute manière, et afin d’éviter l’écueil du mira-ge numérique et l’aborder dans une dimension plus critique, la relation étroite entre forme et structure passe nécessairement par une phase d’expérimen-tation physique – occasion d’approfondissement des notions de morphologie abordées dans le cycle licence ; dans le cadre de ce projet elle constitue même un passage obligé pour la validation de cer-tains choix d’ordre plastique ou technique.

Les thématiques de projet pourront dépendre des opportunités : réponse à des concours interna-tionaux (Détroit de Bering en 2009 – http://be-ringcompetition.nantres.archi.fr), ou venir s’ap-puyer sur des partenariats d’ores et déjà engagés à l’échelle locale (biennales 2009 et 2011 avec le Lieu Unique par ex.), ou encore nationale (Musée d’art contemporain de Dignes-les-Bains).

Quelques références et sites : Theverymany / Greg Lynn / Marco Brizzi / NOX / dataisnature.com / archiact.fr / eikongraphia.com...

Michel Bertreux et Francis Miguet

Séminaire Atelier Intensif

Heures Coefficient Contrôle continu Examen Partiel Examen Final

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master/semestre 8-�0

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2007

Séminaire Atelier Intensif

Heures Coefficient Contrôle continu Examen Partiel Examen Final

Ue81/101Espaces en construction &

Rémy Burgaud & Yves Poho [email protected] & [email protected]

La ville n’est pas une simple juxtaposition d’ob-jets architecturaux, elle possède des logiques

qui doivent être comprises et interprétées au mieux dans la conception de tout édifice. Avant d’aborder dans le détail le projet « d’Architec-ture » (un Equipement Recevant du Public – ERP d’une surface totale bâtie de 3 000 à 5 000 m²), objet principal de l’UE. Un projet d’aménagement (abords immédiats) du site retenu sera esquissé ou extrait de la démarche de l’UE Architecture et scénologie urbaine. Cette étude du devenir d’un espace public sera simultanément mise en relation avec l’esquisse de l’équipement projeté. Elle met-tra en évidence les liens complexes qui unissent ou défont la réflexion urbaine et l’approche archi-tecturale.

Démarche pédagogiqueCette offre pédagogique se propose, après expli-citation d’un programme fonctionnel, de faciliter le développement d’une esquisse rapide pour aboutir, par un patient travail de mises en ordre qualitatives, spatiales et constructives, à un niveau d’élaboration du projet d’architecture qui satis-fasse aux règles de « l’art de construire ». Après une sensibilisation au site et au programme par un workshop conduit par une equipe d’enseigants plasticiens, Le travail débutera par une analyse es-sentiellement intuitive de la structure, des ambian-ces, des enveloppes et des matières. Matériaux et détails constructifs seront autant « d’espace » lon-guement visités. Le travail sera, selon les phases de développement du projet.

Mode pédagogiqueRégulièrement encadré sur un mode interdisci-plinaire par une équipe d’enseignants constituée d’Architectes, de Plasticiens et d’Ingénieurs.Cours, visites et conférences seront principale-ment organisés et dispensés par les enseignants-

chercheurs du CERMA (thermique, acoustique, éclairagisme) et par des intervenants constructeurs (infrastructure structure).

Les TD « mono-disciplinaires » seront proposés par les enseignants plasticiens et informaticiens à partir de thèmes émergents formulés par le groupe d’étu-diants, directement reliées au projet ou complète-ment dissociées. Les TD associés seront co-enca-drés par des enseignants architectes-praticiens, des enseignants architectes du champ Sciences et Tech-niques, mais aussi par des ingénieurs – praticiens extérieurs à l’ENSAN (structure, second oeuvre,réglementation… etc.) et par des enseignants plas-ticiens de l’ENSAN.

Le projet mobilise l’ensemble des moyens pédago-giques utiles au développement des partis expres-sifs et constructifs qui seront mis en oeuvre pour conforter une plus grande maîtrise de la concep-tion architecturale.

Rémy Burgaud, Yves Poho, Ronan Courtès, Jean-Luc Giraud, Rémy Jaquier, Laurent Lescop, Philippe Loison

et Francis Miguet

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art de construire

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master/semestre 8-�0

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Séminaire Atelier Intensif

Heures Coefficient Contrôle continu Examen Partiel Examen Final

Ue81/101Participation & contexte opérationel

Yves Ghislain Dessy & Yves Poho [email protected] & [email protected]

Emergence d’un projet dans un cadre concret permettant de conduire des réflexions aux di-

verses échelles du territoire en accompagnant des logiques politiques d’aménagement. Du diagnos-tic à l’esquisse, démarche complexe d’approfon-dissement et de mise en situation opérationnelle qui peut permettre une insertion des étudiants dans des structures de décisions (politiques, ad-ministratives… avec leurs spécificités d’architec-tes). Faisant suite aux projets urbains qui traitent de la diversité des espaces de la ville de façon fragmentée, les projets déclineront, selon les cas, les concepts d’aménagement : (friches urbaines, archéologie industrielle, développement, aména-gement durable, patrimoine, environnement et nature dans la ville …) à l’échelle du territoire, ils donneront lieu à débat et réflexions sur la notion de cohérence territoriale.

Le ProjetLes projets individuels cibleront un programme qui sera traité à l’échelle architecturale avec un approfondissement choisi par l’étudiant parmi les demandes formulées (Equipements, Logements, Requalification de constructions…). Les lieux d’interventions sont prioritairement régionaux mais peuvent être extérieurs dans le cas des ate-liers internationaux qui lient l’école à des univer-sités étrangères ou à des actions de coopération décentralisée.

Actions 2007/2008Belle ile en mer, ile de GroixAteliers internationaux 2007/2008 : Prague - Kindia (Guinée) - Rufisque (Sénégal) - Cochabamba (Bolivie)

Modes pédagogiquesLe projet est conduit par un architecte qui associe des spécialistes sur certains aspects en fonction des sujets. La mise en situation des étudiants se fera sur des terrains réels et sera accompagnée par des dé-cideurs élus, maires, conseils généraux, ou repré-

sentants d’administrations, par équipe de 10 à 12 étudiants. Une attention particulière sera donnée à la communication et à la gestion du projet. Un TD 3D accompagnera le projet dès sa conception encadré par un architecte, spécialiste de l’image informatique. Ce séminaire s’appuiera essentielle-ment sur les équipes pédagogiques de l’école, for-mations spécialisées à savoir : ATR, scénographie et Master d’urbanisme ces enseignements dans la logique de l’UE devraient permettre à l’étudiant un choix et une spécialisation dans son orientation.

Enseignement du SéminaireAmbiances architecturales et urbainesGestion / PlanificationNature et composition urbaineLe paysage dans la peinture.

Yves Ghislain Dessy, Yves Poho, Patrick Besseau, Ronan Cour-tès, Rémy Jaquier, Francis Miguet, Philippe Thome

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18 ects

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master/semestre 8-�0

Ue81/101Le même et l’autre

Toufik [email protected]

L’objectif de notre enseignement n’est pas de singer des pratiques professionnelles conven-

tionnelles ou déjà établies mais d’expérimenter et d’en proposer de nouvelles.

Ce n’est pas le lieu de confrontation des « ego », mais celui d’interrogations et de questionnements à partir d’un modèle fondé sur une théorie générale de l’architecture proposé aux étudiants dans un rapport d’échange et de mutualisation.

Ce n’est pas un enseignement pour répéter « le même » mais pour explorer « l’autre » au risque de ne pas le trouver. Ce qui importe ce sont les process et non le résultat final, le voyage et non la destination.

Pour nous, enseigner ou apprendre n’est pas une ac-cumulation de savoirs mais une exigence théorique et pratique pour montrer une organisation personnelle et singulière de connaissances.

Axiome : Le mécanisme de l’architecture est fait de l’immense complexité de l’organisme humain et de la civilisation. Elle est donc au prise avec tous les savoirs mais aussi les pratiques, archaïques puis savantes ou inversement, d’hier et d’aujourd’hui qui construi-sent, dévoilent, et fondent l’homme et la société. Le monde, les choses, les hommes, et les corps de toutes sortes s’allient dans un mélange sans limite, espace de la violence, du droit, et de la morale, espace du com-merce, du travail, du savoir et des loisirs. De l’amour et de la haine.

Site d’étude 2010 : Urbino (Italie), voyage d’études à Urbino (2 semaines au début du semestre).

PS : Pour les étudiants intéressés une présentation orale détaillée sur nos méthodologies spécifiques du projet architectural, nos ma-nières de faire pédagogiques et nos attentes d’élaborations explo-ratoires constructives, plastiques et théoriques sera faite avant les dates d’inscription (pour connaitre la date de présentation prendre contact avec le service des études).

Avertissement :Cette option s’adresse à des étudiant(e)s fortement motivés autant par les approches théoriques de l’architecture que par le processus de projet. Une familiarité, ou tout du moins, un premier contact avec les grands courants et moments de la pensée contemporaine dans les champs des sciences de la nature, des sciences humaines et de la philosophie sera indispensable.

Nbre maximum d’inscrit : 18

Toufik Hammoudi, architecte, coordonnateurEncadrement pédagogique : Toufik Hammoudi, Julien Ybert, ar-chitectes, Isabelle Faure philosophe, Jean Levêque, philosophe

Invités extérieurs (architectes, chercheurs, industriels)

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« …je serais tenté de soutenir que ce sont les modèles les plus extravagants et les moins bien fondés qui donnent les meilleurs résultats ». René Thom

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Séminaire Atelier Intensif

Heures Coefficient Contrôle continu Examen Partiel Examen Final

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master/semestre 8-�0

Ue81/101Architecture des lieux scéniques

Marcel Freydefont & Bruno [email protected] & [email protected]

L’architecture théâtrale et plus largement les lieux scéniques offrent aux étudiants un formidable

terrain d’apprentissage de la conception d’édifices complexes. Il s’agit, partant de la séduction initiale pour l’univers de la représentation et du spectacle vivant, d’accéder à la maîtrise de ces programmes. Gestion des flux différenciés d’utilisateurs, confort du spectateur (vision, acoustique, thermique), rè-gles sur la sécurité des établissements recevant du public, temporalités d’usage, etc. mobiliseront ici les capacités de synthèse de logiques souvent en compétition dans le projet. Ces équipements appellent également une écriture architecturale habile et audacieuse qui transcende la résolution fonctionnelle et interroge la place du spectacle au cœur de la cité.

Objectifs pédagogiques de l’optionMaîtriser la conception d’un édifice culturel com-plexe du programme au développement du projet en phase PRO.

Acquérir les éléments théoriques et pratiques né-cessaires à la conduite du projet d’architecture théâtrale (abri-édifice, théâtre-monument, théâtre-instrument, typologie des rapports scène-salle, jau-ge, règles ERP type L, code du travail, courbes de visibilité, schéma de fonctionnement, équipement scénotechnique,…).

Moyens pédagogiquesLa progression s’organise sur trois séquences. Elle débute par une analyse du programme et une dé-couverte du fonctionnement de lieux en activité (visites : Grand T, équipements représentatifs de l’agglomération ou de la région). Les étudiants ap-profondissent ensuite cette initiation par une mo-nographie détaillée d’équipement de leur choix en rapport avec le programme abordé. Ils interrogent le cadre politique, institutionnel et culturel de la commande.

Le projet se développe ensuite sur deux temps. L’esquisse et l’avant-projet sommaire s’appuient sur une analyse urbaine du site, et une méthodologie du projet dans la conception et la maîtrise d’œuvre d’un lieu scénique sous l’angle des rapports archi-tecture/scénographie. Elle passe par une maîtrise approfondie de la jauge de la salle, du diagramme dramatique, et du rapport scène-salle.

Le développement du projet détaillé s’appuie sur une connaissance des composantes de base de la scénographie d’équipement. Il intègre les choix de solutions constructives, les réseaux de fluides et approfondit les ambiances recherchées dans les espaces publics (hall d’accueil, salle de spectacle, abords de l’équipement, vision nocturne, ...). La maîtrise d’un outil de rendu par images de synthèse couplé à un modeleur 3D est souhaitable pour cette phase.

Marcel Freydefont, responsable de la formation du DPEAScénographe et Bruno Suner architecte-acousticien,

auquels s’adjoignent des vacataires : Jean-Claude Pondevie, architecte,

Sandra Troffigué, architecte-scénographe, Gérard Fleury, architecte-scénographe,

Sylvain Ledauphin, directeur technique du Grand T

Séminaire Atelier Intensif

Heures Coefficient Contrôle continu Examen Partiel Examen Final

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master / Semestre 8Ue82

UET deuxième semestre

De1 La condition métropolitaine en débatLaurent Devisme

De2 Développement durablePascal Joanne De3 De4 Naissance d’une

architecture théâtralemarcel Freydefont

Structures constructives 2Francis miguet

Cet enseignement relève de questionnements géo-graphiques, socio-politiques et médiagraphiques. Quelles sont les territorialités spécifiques de la condition métropolitaine ? Quels sont les discours qui la constituent et qui en émanent, quels vecteurs d’expression permettent de la qualifier ? Chacun des enseignements est au moins proposé et copro-duit par deux enseignants. Il s’agit de développer la culture urbanistique des étudiants et d’aiguiser l’appétit pour les théories urbaines : comment les discuter et comment relier nos observations à ce registre ?

Les enseignements qui composent l’UE portent l’un sur la ville au cinéma - thématisé chaque année (« le périurbain », « les classes sociales dans la ville» …), il apporte également des éléments d’analyse filmique -, un autre sur l’actualité idéologique de l’architecture ; un autre interroge les conceptions de l’action dans une société du risque. Sont à l’oc-casion discutées des notions géographiques servant aujourd’hui au décryptage de notre condition. Les cours reposent sur des moments magistraux et des moments interactifs à partir de lectures de textes et visionnages de films.

Le développement durable est un enjeu majeur du XXIème siècle. Il conduit à une remise en cause pro-fonde des pratiques de conception et de construc-tion dans un contexte politique et sociale, culturel, économique et technique en évolution. Pour permettre aux étudiants de participer active-ment à cette dynamique, cet enseignement théori-que vise à aborder la question du Développement Durable par une approche pluridisciplinaire à tra-vers des thématiques fortement liées à la concep-tion et à la production architecturale. Les différentes interventions feront appel à des pro-fessionnels impliquées fortement dans ces ques-tionnements et devront informer et aider l’étudiant à se forger une posture critique sur les enjeux du Développement Durable.

CONTENU Cet enseignement théorique est orga-nisé par thématiques rassemblant plusieurs interve-nants. Chaque série d’interventions fera l’objet d’un échange, débat avec les étudiants.• genèse de la notion de développement durable : Approche scientifique et philosophique• contexte international• positionnement d’architectes sur le DD• écologie de la construction : • solutions constructives, • matériaux écologiques et santé, • « technologies actives », • réseaux : transport, eau, déchetsDifférents modes pédagogiques seront mis en œu-vre : Cours, Conférences, Débats, Visite, Voyage.

OBJECTIFS1 - Esthétique théâtrale (Marcel Freydefont) Initiation aux fondements historiques et esthétiques de la représentation théâtrale (dramaturgie, régie, scénographie) ainsi qu’aux fondements historiques, théoriques et esthétique des lieux scéniques et de l’architecture théâtrale (scénographie, architecture, machinerie).

CONTENU1 - Esthétique théâtrale (Marcel Freydefont) La représentation à l’œuvre (dramaturgie/texte/ac-tion ; scénographie/espace-temps, lieu ; régie/ac-teur/jeu). Théorie et esthétique des lieux scéniques : oscilla-tions (cadre et cœur, dehors et dedans, abri et édi-fice, cube et sphère, ici et autour, lieu et milieu, voir et entendre, scène et salle, théâtre et ville), théorie des ordres et des modèles, typologie d’usage et de destination, typologie spatiale, terminologie, lexi-que de la scène)

THEME Enseignement approfondi de la conception et la mise en œuvre des techniques de construc-tion des superstructures des bâtiments dans les trois principaux matériaux de construction, (acier, bois, béton) ainsi que des infrastructures.

PROBLEMATIQUE Croisement des problématiques de l’architecte, du bureau d’études structures et de l’entreprise BTP, dans la production des bâtiments.

MODE PEDAGOGIQUE Cours. T.D. d’application sur les projets d’architecture. Visite d’usines et de chantier.

DE1 Conditions métropolitainesDE2 Développement durableDE3 Structures constructivesDE4 Dispositifs spatiaux : re-présentation, expérimentation

Heure Heuresemaine semestre

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Les unités d’enseignement théoriques sont compo-sées de deux enseignements théoriques à choisir parmi les quatre ci-dessous.

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master / Semestre 8-�0

e83-103Enseignement de langueJeanne Catherine

OBJECTIF Il s’agit d’acquérir les compétences né-cessaires pour fonctionner correctement dans la vie professionnelle, et la vie de tous les jours dans la langue choisie.

CONTENUCours magistraux : entraînements aux épreuves de certification (TOEIC et BULATS).TD : étude de textes écrits, révision de grammaire, vocabulaire, entraînements à l’écoute, expression orale.

En anglais, les étudiants travaillent en autonomie sur des sujets qui leur sont fournis, et/ou qu’ils choisissent eux-mêmes. Ils ont quatre sessions d’une demi-heure avec un professeur suiveur par semestre. Pendant ces sessions, ils doivent montrer que le travail a été fait, et bien assimilé. Pour certifier leur niveau, les étudiants doivent pas-ser l’examen de TOEIC en anglais et le BULATS en espagnol et allemand. Ils doivent atteindre un score minimum de 705 au TOEIC et de 65 points (niveau B2) au BULATS.

En espagnol et en allemand,les étudiants préparent la certification finale (BULATS) par un entraînement à la compréhension orale et écrite,à l’expression orale et écrite ainsi qu’à l’approfondissement en grammaire et vocabulaire.

Equipe enseignanteAnglais : Sarah Rosenfeld (cours)

et Anne Ryan, Terence Powell, Catherine Lord (TD)Espagnol : Jocelyne Blin (cours et TD)

LanguesUe83/103

+ 4 entretiens

Coefficient Heure Heuresemaine semestre

E83-103 Langue anglais

E83-103 Langue espagnol

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8 ects Heure Heuresemaine semestre

UE84 Rédaction du mémoire 4h 56h

rédaction du mémoire

OBJECTIFS ET THEMATIQUES Le semestre 8 est consacré au travail de rédaction du mémoire sou-tenu devant deux enseignants de l’école à la fin du semestre. Cette rédaction passe par des complé-ments d’enquête ainsi que par la discussion au sein de chaque séminaire des plans détaillés des travaux engagés au semestre 7.

PROBLEMATIQUES Spécifiques aux séminaires en-gagés au semestre 7.

PARCOURS RECHERCHE Deux DE de l’école sont adossés à des laboratoires de l’ENSA Nantes : CER-MA et LAUA. Le DE « La condition métropolitaine » adossé au LAUA et le DE « cultures constructi-ves et stratégies de projet » adossé au CERMA. (Les modalités d’implication dans les laboratoires sont spécifiées par chacun d’entre eux).

Pour les étudiants briguant une mention recherche à leur diplôme, la structuration proposée est définie par les principes suivants :- l’étudiant doit suivre 2 UEP dans le DE retenu pour obtenir la mention recherche ;- l’étudiant suit obligatoirement les cours des UET dispensés par le DE ;- le travail de mémoire est renforcé en temps de tra-vail personnel. C’est l’outil principal qui permettra d’évaluer les capacités de l’étudiant à poursuivre en thèse et donc d’obtenir la mention recherche ;- l’étudiant réalise un stage équivalent à 2 mois dans le laboratoire d’accueil du DE ;- l’étudiant soutient son PFE et son mémoire devant un jury répondant aux critères de délivrance du diplôme d’architecte et aux critères universitaires pour accéder à une école doctorale habilitée par une université. La mention recherche ne s’obtient que suite à cette soutenance.

Par ailleurs, les étudiants briguant un parcours re-cherche, le mémoire sera soutenu à la fin du se-mestre – comme pour les autres – et représenté, augmenté, amendé, à l’occasion de la soutenance du PFE devant un jury impliquant des compétences universitaires requises dans les jurys de soutenance des master recherche.

Transitoirement, les situations ne correspondant pas à ces critères devront faire l’objet d’un accord préa-lable conjoint du directeur de mémoire avec l’un des responsables de ces deux domaines d’études.

MODE PEDAGOGIQUE Travail à la table en groupe sous forme de TD. Temps personnel pour la rédac-tion du mémoire

BIBLIOGRAPHIE Spécifique aux différents sémi-naires et aux travaux individuels

Ue84Mémoire 2 :

�64 �65

master / Semestre 9-�0

e93 Planification et gestion des opérations d’urbanismePatrick Besseau

OBJECTIF Le cours de droit d’urbanisme et celui sur le montage opérationnel des opérations d’amé-nagement permettront de définir le cadre législatif et réglementaire qui prévaut dans l’élaboration des documents d’urbanisme ainsi que les conditions de la viabilité financière des opérations d’aména-gement.

CONTENU Droit d’urbanisme

Introduction : l’évolution des politiques locales en matière d’urbanisme : des politiques de salubrité ou d’architecture à la politique de la ville. L’historique des principaux textes normatifs en matière d’urba-nisme, l’apport des lois dites « de décentralisation ». L’entrée en force de la thématique « environnement » dans le droit des sols est fréquemment confrontée aux contraintes de la vie économique et sociale.La loi SRU et la notion de projet, sa réalité.

I – L’Urbanisme d’orientation et de projetLes instruments de la planification urbaine indicati-ve, les documents d’anticipation de l’aménagement territorial à moyen et long terme, l’encadrement de la réglementation locale, de la notion de projet.

1-1 – Les lois cadre 1-2 – Les directives territoriales d’aménagement 1-3 – Les schémas de cohérence territoriale 1-4 – Les schémas de mise en valeur de la mer 1-5 – Les directives paysagères

II – L’urbanisme réglementaireLes instruments de la règle juridique d’occupation ou d’utilisation des sols, le renouveau de la notion de projet.La constitution des normes opposables aux tiers,

éléments de jurisprudence ; la notion d’erreur ma-nifeste d’appréciation, la non indemnisation des servitudes d’urbanisme.

2-1 – Le PLU, plan local d’urbanisme 2-2 – Les autres documents à valeur réglementaire 2-3 – Les autorisations d’occupation du sol 2-4 – La fiscalité de l’urbanisme

III – L’urbanisme opérationnelPourquoi réaliser des opérations d’urbanisme ?Aménager, une préoccupation de la compétence première des collectivités publiques, mais le privé a sa place pour intervenir, la maîtrise et le portage du foncier.

3-1 – La maîtrise foncière 3-2 – Les opérations

Montages opérationnels• Le marketing immobilier en logements privés et en logements sociaux• La programmation d’équipements publics en ZAC• Les conséquences budgétaires pour les collecti-vités locales des constructions de logements et des programmations d’équipements• La détermination du coût du foncier constructible dans une opération d’aménagement• Le montage juridique et financier d’opérations immobilières.

Ue93Planification et gestion des

patrick [email protected]

opérations d’urbanisme

e102 Insertion professionnellePatrick Besseau

Cet enseignement comportera 2 cours obligatoires articulés autour du projet personnel d’insertion pro-fessionnelle :- Médiarchi et management du projet- Modes d’exercices professionnels du (des) métier(s) d’architecte

Cours 1 - Médiarchi et management du projet (32 h/coefficient 2) :

OBJECTIF- maîtriser les relations professionnelles internes et externes dans la conduite du projet.- maîtriser les techniques de communication orales et écrites pour valoriser la présentation du projet d’architecture et d’urbanisme. Faciliter leur mise en œuvre par les techniques de management du projet et de démarches qualité.

CONTENUCommunication et déontologie

Techniques de communication orale : - entretiens individuels - assemblée - groupe de travail (réunion de chantier)

Outils de la communication écrite - principes rédactionnels - outils graphiques - production de supports

Management de projet - la culture du changement -les nouveaux rapports dans la production archi-tecturale - la démarche qualité dans une agence d’archi-tecture

Cours 2 - Modes d’exercices professionnels du (des) métier(s) d’architecte (16h/coefficient 1)

OBJECTIF- identifier les différents modes d’insertion et les nouveaux métiers de l’architecte.- maîtriser les différents cadres juridiques, finan-ciers, fiscaux et sociaux d’exercice professionnel de la Maîtrise d’œuvre.

CONTENUAnalyse des débouchés professionnels et « des mé-tiers d’architecte » dans le cadre de la diversifica-tion des pratiques. Cadres juridiques d’exercice de la maîtrise d’œuvre : - Exercice libéral - SCP - EURL – SARL – SELARL - SA, SAS - etc.Obligations sociales, fiscales et déontologiques.Stratégies d’insertion professionnelle selon les aspi-rations de chacun.

Ue102Insertion professionnelle

patrick [email protected]

Coefficient Heure Heuresemaine semestre

E93 Plan. & gestion des opérations d’urbanismeE102 Insertion prof.

2

2

3

3

h45

h45

48

48

h

h

2+2 ects

DispensesensaNantes

�66 �67

double cursusDouble cursus

Mathématiques 1

Mathématiques 2

S1

S2

S3

S4

1ère

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UeAI��ects

S5

S6

3èm

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MécaniqueUe

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Mathématiques 3

Mathématiques 4

UeAI��ects

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Modèles de l’ingénieurUe

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DynamiqueUe

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Mathématiques 5

Mathématiques 6

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UeAI6�ects

Mécanique des fluidesUe

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ProgrammationUe

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Ue5��4ects

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Ue544ects

Certification en langue étrangère

Ue6��4ects

Ue6��ects

Ue6��ects

Ue646+4ects

UE12 / modélisation physiques et mathé-matiques 1

UE23 / modélisation physiques et mathé-matiques 2

UE35 / atelier critique

DispensesensaNantes Ecole Centrale de Nantes

�68 �69

double cursusDouble cursus

1ère année à l’ECN(96h)

S7

S8

S9

S10

4èm

e an

née

5èm

e an

née

ECN�S��ects

S11&12

S13&14

6èm

e an

née

ECN�S��ects

2ème année à l’ECN

Mobilité internationale

ENC�S�

�8ects

ECN�S�

�0ects

3ème année à l’ECNECN�S�

�8ects

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�0ects

7èm

e an

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Ue7��8ects

Ue7��ects

Ue7�

Ue8��8ects

Ue8��ects

Ue8� Ue848ects

Ue9��ects

Ue94

Ue�0��ects

Certification en langue étrangère

PFE�8ects

Ue748ects UE72-82 / 2 ensei-

gnements sur les 4 demandés

�70 �7�

double cursus

Coefficient Cours TD

Double cursus

AI11 Mathématiques 1Jean-Yves Durillon (cours)JS Le Brizault (TD)

AI21 Mathématiques 2Jean-Yves Durillon (cours)JS Le Brizault (TD)

AI22 MécaniqueHervé Oudin

OBJECTIFS : Donner des méthodes d’analyse et les outils indispensables à la mise en équations rigoureuse des systèmes mécaniques comportant des liaisons parfaites. Ce cours permet d’arborer la notion de modélisation indispensable pour le futur ingénieur. Une bonne compréhension du système physique et la rigueur des calculs mathématiques sont étroitement liées, ce qui fait l’intérêt et la dif-ficulté de cet enseignement.

Nombres complexes - Outils analytiques et vectoriels pour la géométrie du plan et de l’espace- Fonctions et suites usuelles- Equations différentielles- Systèmes linéaires- Espaces vectoriels- Initiation au calcul matriciel

- Calcul différentiel et intégral à une ou deux va-riables- Développements limités- Algèbre linéaire en dimension finie- Calcul matriciel

PRE-REQUIS : En Mathématiques : géométrie dans l’espace, vec-teurs et produits de vecteurs, Dérivées et fonctions de bases, équations différentielles et calcul intégral (niveau terminale).En Mécanique : Mécanique du point matériel, Champ de gravitation, travail et énergie (niveau ter-minale).

PROGRAMME DETAILLE :Le plan du cours (sur la base de 5 modules de 2h) est le suivant :C1 : Généralités, mathématiques appliquées à la mécanique.C2 : Liaisons mécaniques, paramétrage d’un sys-tème mécanique, bilan d’efforts, bilan d’inconnues, travail – puissance – énergie.C3 : Cinématique des solides, éléments de cinétique.C4 : Application du principe fondamental de la dy-namique, Théorème de l’énergie. Recherches des équations principales d’un problème de mécanique.C5 : Lois de frottement, application à des problè-mes de statique.Les 16h de Travaux Dirigés (exercices) illustreront les différents points abordés en cours.Le travail personnel demandé est d’un minimum de 2h pour chaque chapitre de cours

Coefficient Cours TD

OBJECTIFS : Acquisition des notions de milieu continu, de déformation, de contrainte, de loi de comportement mécanique et application à l’étude des corps élancés de type poutre.

PRE-REQUIS : En Mathématiques : Algèbre linéaire – Calcul vec-toriel – Calcul matriciel - Equations différentielles et calcul intégral.En Mécanique : Mécanique du solide.

PROGRAMME DETAILLE :Le plan du cours est le suivant :C1 : Introduction – Représentation des efforts sur un solide –Equilibre d’un solide.C2 : Petites déformations d’un milieu matériel.C3 : Efforts internes à un milieu matériel - Contraintes.C4 : Loi de comportement élastique linéaire – Energie de déformation.C5 : Etude des poutres - Généralités.C6 : Etude des poutres - Effort normal.C7 : Etudes des poutres – Flexion.C8 : Etudes poutres – Torsion.Les 20h de Travaux Dirigés (exercices) illustreront les différents points abordés en cours. Le travail personnel demandé est d’un minimum de 2h pour chaque chapitre de cours.

AI32 Modèle de l’ingénieurJean Pierre Basset(Cours + TD)

AI31 Mathématiques 3Isabelle Emmanuelle (Cours + TD) AI41 Mathématiques 4

Sophie Dominguez

AI42 DynamiqueHervé Oudin

OBJECTIFS : Analyse dynamique des petites oscillations d’un système mécanique autour d’une position d’équilibre. La mise en équations sera présentée à partir des équations de Lagrange (Mécanique Analytique), et la résolution du système linéaire ssocié aux vibrations du système mécani-que nous permettra d’introduire les notions d’oscillations li-bres (modes de vibrations) et d’oscillations forcées (réponse dynamique du système).

PRE-REQUIS : En Mathématiques : Algèbre linéaire – Calcul matriciel (va-leurs propres et vecteurs propres) - Equations différentielles.En Mécanique : Mécanique du solide (S2) et Mécanique des milieux continus (S3).PROGRAMME DETAILLE : Le plan du cours (sur la base de 6 modules de 2h) est le suivant :C1 et C2 : Equations de Lagrange pour les systèmes dis-cretsC3 et C4 : Systèmes vibratoires à un degré de libertéC5 et C6 : Systèmes vibratoires à plusieurs degrés de libertéLes 20h de Travaux Dirigés (exercices) illustreront les diffé-rents points abordés en cours. Le travail personnel demandé est d’un minimum de 4h pour chaque chapitre de cours.

AI31 Mathématiques 3AI32 Modèle de l’ingénieurAI41 Mathématiques 4AI42 Dynamique

13121312

hhhh

26202620

hhhh

ects

- Diagonalisation des matrices et des applications linéaires- Intégrales généralisées- Séries numériques- Equations et systèmes différentiels.

- Espaces préhilbertiens- Séries de fonctions, Séries entières, Séries de fourier- Fonctions de plusieurs variables : équations aux dérivées partielles, opérateurs différentiels, calcul intégral.

ects

AI11 Mathématiques 1AI21 Mathématiques 2AI22 Mécanique

131310

hhh

262616

hhh

ects

�7�

études

�7�

master/semestre 8-�0

Formation professionnelle continue

Ue���0ects

Théorie et pratique du projet

Pratique et critique du projet

La question de l’image

Histoire et théorie de l’architecture

Histoire et culture

La question du social dans le projet

Outils et représentationde l’architecture

La question de la technique

Technique et construction

architecturale

La question du contexte

S3

S4

S5

S6

1ère

ann

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FPC

2èm

e an

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e FP

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Ue4���ects

Ue5���ects

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Ue5�4ects

Ue6���ects

Ue��4ects

Ue4��ects

Ue5�4ects

Ue6��ects

Ue644ects

Sciences et techniquespour l’architecture Ue�4

�ects

Pratique et critique du projet Histoire et culture

Technique et construction

architecturale

Le projet urbain

La question du processus de conception

Expression et communication

du projet

La question de l’intégration

La question de l’image

Découverte et analyse critique Certification en

langue étrangère

S5

S6

3èm

e an

née

spéc

ifiqu

e FP

C

Ue7���ects

Ue8��0ects

Ue7�8ects

Ue8��ects

Ue8��ects

Ue646+4ects

Jean-François RENAUD & Valéry DIDELON jean-franç[email protected] & valé[email protected]

�7� �7�

FPC

�74

études

�75

master/semestre 8-�0

Les rêves se dessinentSuzan [email protected]

Les rêves se dessinent. Le croquis au cœur du projet.

« Les montagnes comme les belles femmes, plei-nes de courbes, sont en nous », explique Oscar Niemeyer. Hommage aux femmes mais aussi à l’invention et à la beauté. Niemeyer envisage les bâtiments comme des spectacles structurels où « la courbe est toujours présente ». Support de narra-tion, le dessin transcende la logique de l’objet.

Encore aujourd’hui tout architecte désireux de se profiler en tant qu’admirable inventeur de formes se doit de maitriser le dessin. Souvent les projets naissent en dessinant. Les premiers traits expriment déjà une intention, une trace à poursuivre ou non, les schémas se complexifient, se multiplient, le projet se révèle. L’atelier sera centré sur le croquis et le dessin per-sonnel dans la conception et dans la transcription. Le processus de recherche et d’expression sera privilégié et évalué autant que le résultat formel. L’idée est de mettre les étudiants en situation de projet, en mettant l’accent sur une méthodologie bâtie à partir de schémas, croquis, annotations et la recherche d’une écriture personnelle.

La transcription se fera à plusieurs échelles, du paysage à l’architecture. Sur un mode collectif en collaboration avec des enseignants du paysage et d’arts plastiques « le dessin » au cœur du projet sera exploré sur plusieurs facettes.

L’objectif est que l’étudiant développe une écriture personnelle sensible et se confronte à un projet où les premiers traits sont déjà tirés et où la transfor-mation de l’architecture et du paysage est au cœur de l’exercice. Les étudiants auront pour projet prin-cipal d’analyser, de transformer et d’étendre un lieu existant du XXème siècle. L’écriture comprend à la fois la technique, le style et l’esprit. Les élèves

auront à reconstituer les traits du lieu existant (le bâtiment et son environnement) comme un départ pour l’écriture de leurs propres interventions. En traçant l’histoire le lieu se révèle et se renouvelle.

L’atelier sera aussi ponctué d’exercices courts sur l’observation, la transcription, et un projet «d’idée». L’atelier sera également appuyé de cours de théorie et d’histoire de l’art et de l’architecture centré éga-lement sur le ‘dessin’ dans l’expression des œuvres et des projets du XXème siècle.

L’UE 31 se situe au début de la formation et s’inscrit dans un chemin de découverte de nouveaux hori-zons, de traces et de cultures. On tente d’établir par une approche large et interdisciplinaire un regard critique sur l’architecture dans l’espace et dans le temps. Le dessin est le fil conducteur de la recher-che et de l’expression personnelle.

Suzan Dunne, architecte

Ue31

�74 �75

FPC

Phot

omon

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par

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�76

études

�77

La casa piu bella del mondoGhislain His [email protected]

La maison la plus belle du mondeThe most beautiful house in the world

Le titre de cet enseignement reprend le titre d’un concours international qui s’est déroulé à plu-

sieurs reprises de 1885 à 1995 et qui a vu s’illustrer plusieurs équipes d’architectes: MVRDV, dECOI (2e prix en 1993), David Lynn (1986), etc.

La conception de «la maison la plus belle du mon-de» engage à s’interroger sur la nature de l’archi-tecture et à construire une démarche critique. Une architecture doit-elle être belle? Une architecture peut-elle n’être pas esthétique? L’architecture est-elle plus belle que quelque chose?

Deux types de réflexions se croisent au moment de produire des maisons à l’architecture contemporai-ne qui pourraient être habitées (n’est-il pas en effet remarquable que nombre de chefs d’œuvre archi-tecturaux -des «villas» plutôt que des «maisons»- sont désormais inhabitées?). L’une s’intéresse plus particulièrement au vécu (que l’on pourrait appeler le quotidien, l’ordinaire, le banal) et l’autre ques-tionne le beau (que l’on pourrait appeler l’artisti-que, l’extraordinaire, l’original). Il ne s’agit donc pas de faire une apologie du vernaculaire comme forme, ni de l’avant-garde comme idéal mais de mettre la discipline architecturale en phase avec son temps.

Cette réflexion passera presque exclusivement par la manipulation formelle de maquettes à diverses échelles. Il s’agira de penser par les mains, en expérimentant directement avec la matière et les formes.L’objectif final est de faire en sorte que l’étudiant prenne confiance dans ses propres capacités spé-cifiques. En pensant l’architecture en dehors des contraintes de site ou de programme, bases tradi-tionnelles de la conception de projet, il mobilise explicitement son propre bagage culturel.

Le travail pédagogique de libération de l’imaginai-re passera par plusieurs exercices de découvertes, certaines passant par l’écriture, par l’énonciation, par le partage collectif, par des stratégies d’innova-tion (dont le recours à des objets transitionnels), par la distinction précise entre schémas conceptuels et représentations architectoniques (dès lors relativi-sées comme outils de conception).

Des références historiques viennent compléter le dispositif pédagogique pour apporter la preuve de la réalité tangible de propositions architecturales originales qui montrent les étroites interactions entre théorie (recherche) et pratique (production) dans le projet même.

Cet enseignement a lieu tous les 2 ans et commence au second semestre d’une année impaire.

Ghislain His est architecte DPLG et docteur en histoire de l’art.

Ue41

�76 �77

FPC

proj

et d

e Je

an-J

acqu

es D

IAR

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econ

d se

mes

tre

2009

�84

études

�85

Logement maximum

Dernier temps avant le rapprochement avec la formation initiale, le semestre 8 consacré au

«logement maximum» est l’occasion d’aborder un projet de synthèse qui articule le projet sur l’espace architectural et urbain à une dimension critique et prospective. Le thème de l’espace domestique en site urbain permettra en outre d’interroger le rôle de l’ar-chitecte dans sa capacité à faire projet pour autrui.

Une première approche idéaliste et non pragma-tique, hors site, conduira l’étudiant à réinterroger les fondements d’une réflexion contemporaine sur l’espace domestique ; nous envisagerons ainsi la question du «logement maximum» comme matrice d’une pensée sur l’espace, avant d’aborder sa ratio-nalisation par la notion de «logement «optimum».

L’élaboration d’un projet d’une trentaine de loge-ments sera ensuite abordée dans une démarche de synthèse progressive, cohérente avec les enjeux spécifiques identifiés sur le site d’étude et sur l’es-pace domestique, permettant également d’aborder l’espace dans sa matérialité (dimension construc-tive, mise en œuvre…).Cette année, ces questions seront abordées à partir d’un territoire choisi dans une ville européenne vi-sitée à l’occasion du voyage d’étude.

Modalités pédagogique : Le semestre se déroule sur 10 séances qui se tiennent tous les quinze jours et une semaine intensive consacrée au voyage d’étude. Le studio s’organise autour de journées d’atelier et de séminaires théoriques et critiques et s’organise en trois séquences distinctes.

Première séquence : Logement maximum, loge-ment optimum (3 séances). Le projet sur l’espace domestique trouve sa source dans l’univers intime et imaginaire de chaque étudiant. Un logement «maximum» est ainsi élaboré à grande échelle à partir de croquis, textes, images. Il sera transformé par vagues successives en un logement «optimum»

qui intègre les contraintes dimensionnelles, struc-turelles et réglementaires du logement de série, et sera ensuite décliné du studio au grand apparte-ment afin de constituer une typologie cohérente.

Deuxième séquence : Installation et densité (3 séances). La deuxième séquence pose en préalable au projet architectural la double question de la den-sité et du choix du lieu d’intervention. A partir d’un programme minimum d’une trentaine de logements les étudiants devront élaborer une stratégie d’im-plantation pertinente sur un site urbain étendu et hétérogène visité pendant le voyage d’étude.

Troisième séquence : Fabrication (4 séances). A la suite de l’expérimentation sur l’espace domestique et de la détermination du scénario d’installation sur le site, la fabrication du projet d’habitat est abor-dée conjointement sous plusieurs angles : distri-buer structurer et irriguer l’immeuble, qualifier les espaces de transition et les espaces partagés (halls, seuils, courées), assembler et décliner les logements en fonction de leur position sur le site (vue, enso-leillement) et dans l’édifice (étages, angles), définir les modes constructifs et la matérialité du projet (mise en œuvre).

Voyage d’étude (semaine intensive) : Un voyage est organisé dans une grande ville européenne choi-sie pour la qualité de la production architecturale et d’aménagements urbains contemporains. Le site du projet sera visité et analysé pendant ce voyage, parallèlement aux visites commentées organisées autour d’opérations emblématiques.

Cet enseignement sera coordonné par Jean-François Renaud (architecte) et Valéry Didelon (historien et critique)

Ue81Jean-François RENAUD & Valéry DIDELON jean-franç[email protected] & valé[email protected]

�84 �85

FPC

�86 �87

HMONP par MSP et VAE

HMONPJean-Baptiste Combrisson & Jean [email protected] & [email protected]

HMONP par MSP et HMONP par VAE

Dans le cadre de cette formation POST DIPLOME, l’Architecte Diplômé d’Etat (ADE) devra acquérir, approfondir ou actualiser ses connaissances dans les 3 domaines spécifiques suivants :- les responsabilités personnelles du maître d’œu-vre : la création et la gestion des entreprises d’ar-chitecture, les principes déontologiques, les ques-tions de la négociation de la mission (contrat, assurances …), les relations avec les partenaires (cotraitance…), la gestion et les techniques de suivi de chantier,- l’économie du projet : la détermination du coût d’objectif, les liens avec les acteurs (économiste, bureaux d’études techniques, entreprises …),- les réglementations, les normes constructives, les usages …Vu l’arrêté du 10 Avril 2007 du Ministère de la culture et de la communication, relatif à l’habilita-tion de l’architecte diplômé d’Etat à l’exercice de la maîtrise d’œuvre en son nom propre, il est rappelé que la MSP est une formation encadrée aussi bien au niveau de l’entreprise, organisme d’accueil, que de l’école et ce dans le cadre précis d’une conven-tion dans laquelle le statut du Titulaire du diplôme d’Etat d’Architecte demeure celui d’étudiant de l’Ensa Nantes

Cette formation n’est accessible qu’aux architectes titulaires du diplôme d’Etat d’architecte ou d’un titre admis en équivalence et salarié ou sans condi-tion de situation lors de l’inscription dans le cas d’une HMONP avec VAE, (une HMONP en mobi-lité en Europe ou à l’International est exclue pour des questions de législation et cadre juridique et règlementaire).

Les architectes diplômés d’Etat désireux d’effectuer cette formation doivent déposer un dossier de candi-

dature qui fera l’objet d’un examen par une commis-sion d’évaluation. L’architecte sera inscrit à l’école nationale supérieure d’architecture de Nantes.

HMONP par MSP - 6 mois minimum

L’encadrement de la mise en situation profession-nelle est assuré dès le début de la formation par un enseignant référent, le tuteur de formation qui a pour objectif la direction d’études. Cette responsa-bilité est majeure au sein de la formation.Elle a pour vocation d’assurer : • la mise en place du protocole du candidat avec la commission d’évaluation• la participation à la commission d’évaluation• l’encadrement du mémoire et sa structuration• la participation au jury de soutenance du mémoi-re professionnel du candidat encadré • le suivi régulier de l’élève architecte au moyen de 3 contacts dont 2 rendez vous sur site échelonnés sur toute la durée de la MSP dans l’agence d’ac-cueil et ce en étroite collaboration au sein de l’en-treprise d’accueil avec un tuteur chargé d’assurer le suivi technique et d’optimiser les conditions de réalisation de la période de mise en situation.

Jean-Baptiste Combrisson, Coordination et Jean Robein, mémoires.

HMONP par VAE

L’encadrement de la VAE est assuré dès le début de la formation par un enseignant référent, le tuteur de formation qui a pour objectif la direction d’étu-des. Cette responsabilité est majeure au sein de la formation. Elle a pour vocation d’assurer : • la mise en place du protocole du candidat avec la commission d’évaluation• la participation à la commission d’évaluation• l’encadrement du mémoire et sa structuration• la participation au jury de soutenance du mé-moire professionnel du candidat encadré • le suivi régulier de l’élève architecte.

STRUCTURE DE LA FORMATION - MODULES COURS THEORIQUES 152hrsRéunion d’information inscription hmonpCommission d’évaluationIntroduction : formation et mémoire professionnelModule 1 le cadre juridique de l’expérience de la maitrise d’œuvre en son nom propreModule 2 le cadre administratif de l’exercice de la maitrise d’œuvre en son nom propreModule 3 l’économie du projetModule 4 le chantier et sa gestionModule 5 organisation et gestion de l’entreprise d’architectureModule encadrement mémoireSoutenance

MEMOIRE PROFESSIONNELLe mémoire est un document écrit de 30 à 40 pages (80000 signes minimum). Au-delà de ce format, il est obligatoirement complété en annexe par le car-net de bord (excepté pour les candidats dispensés de la formation théorique et/ou issus de la VAE), le protocole individuel de formation ; il peut être

illustré ou documenté par des textes ressources.Il doit être structuré selon un plan qui peut être arti-culé au moins en trois phases comprenant :- analyse et situation – le retour sur expérience- état des lieux et problématisation, le retour critique- perspectives – le projet professionnel.

VALIDATTION DE LA FORMATION -SOUTENANCEL’habilitation de l’architecte diplômé d’état à exer-cer la maîtrise d’œuvre en son nom propre est dé-livrée après une soutenance finale devant un jury. Le jury, lors de la soutenance du candidat, vérifie la réalisation des objectifs personnels que celui-ci s’est fixé dans le protocole initial de formation. Le jury vérifie les acquis du candidat dans les trois grands domaines de compétence définis par l’arti-cle 7 de l’arrêté du 10 avril 2007 relatif à l’habili-tation, à savoir :- les responsabilités personnelles du maître d’œuvre - l’économie du projet ;- les réglementations, les normes constructives et les usages.Le candidat sera évalué au regard des contenus dé-veloppés dans son mémoire, sur sa capacité à :- énoncer un objectif et à le réaliser au sein de la structure d’accueil ;- produire une analyse distanciée sur la pratique professionnelle énoncée en termes d’enjeux et d’acteurs dans la maîtrise d’œuvre et construite à partir du retour critique ;- argumenter son travail et son positionnement au regard des objectifs de son projet professionnel.

Enseignements théoriques 150h

�88

mobilité

�89

Relations internationalesLa mobilité académique et les coopérations internationalesStagesCoopérations pédagogiques

Convaincue de l’intérêt qu’ont les étudiants et les enseignants à se confronter à d’autres

contextes culturels et pédagogiques, l’ensa Nantes mène une politique active de développement des relations internationales.

Outre les voyages pédagogiques intégrés au cursus de formation, l’école développe donc un registre d’actions diversifiées qui contribue à la réalisation de cet objectif : mobilité académique, stages, coo-pérations pédagogiques, actions de coopération, accueil d’étudiants étrangers. Pour la même raison, l’ensa Nantes est membre de différents organis-mes qui oeuvrent à l’ouverture internationale du territoire local comme Atlantech (conseil régional des Pays de la Loire) ou la Maison des chercheurs étrangers (ville de Nantes)

MoBiLiTé acaDémiQue

L’objectif est d’inciter chaque étudiant à effectuer, au cours de son cursus, un ou deux semestres (cas le plus général) d’études dans un établissement étranger, européen ou non.

Inscription dans un établissement européenDans le cadre des programmes d’échanges de l’Union européenne (Socrates/Erasmus), l’ensa Nantes est liée par convention à une quinzaine d’établissements européens : Barcelone, La Coro-gne, Milan, Turin, Brême, Darmstadt, Hambourg, Karlsruhe, Bruxelles, Liège, Prague, Wroclaw, Tam-pere. Hors dispositif Socrates/Erasmus, l’école a également signé des conventions bilatérales avec d’autres écoles européennes comme Florence ou Porstmouth.Cette liste est évolutive. De nouvelles conventions peuvent ainsi être signées avec d’autres établisse-ments européens soit à la faveur de contacts institu-tionnels entre écoles (enseignants et/ou direction),

soit à la faveur de demandes spontanées d’étu-diants, à la condition impérative qu’elles soient va-lidées par les deux institutions partenaires.

Ces programmes d’échange sont accessibles aux étudiants qui sont dans leur quatrième ou cin-quième année d’études. Les étudiants expriment des préférences de destination qui sont prises en compte en fonction d’un classement basé sur les notes des années antérieures et validé par une com-mission d’enseignants.Pour chacun de ces programmes, les étudiants peu-vent bénéficier d’aides spécifiques de l’Union Euro-péenne (dans le cadre des conventions Socrates/Erasmus) mais aussi du conseil régional des Pays de la Loire, du ministère de la culture et de la commu-nication et de l’ensa Nantes. Il est recommandé de se renseigner auprès de la direction des études car les aides peuvent changer d’une années sur l’autre et, surtout, ne sont pas toutes cumulatives.

Inscription dans un établissement non européen Actuellement, le Canada constitue la principale destination pour des séjours académiques hors Europe.Les demandes des étudiants qui choisissent librement leur établissement d’accueil, peu-vent s’effectuer par l’intermédiaire du CRE-PUQ (Conférence des Recteurs et Présidents d’Universités du Québec) avec laquelle l’ensa Nantes a signé une convention (avril 1997). S’ils sont admis par ce dispositif, ils bénéficient d’une bourse, mais le nombre de candidats ad-mis reste faible. Les étudiants peuvent aussi ef-fectuer leurs demandes directement auprès de l’université de leur choix. Actuellement l’ensa Nantes a permis l’accueil d’étudiants nantais à l’université de Montréal (Québec) avec la-quelle une convention d’échanges est en cours. D’autres contacts ont été récemment établis, à

la faveur d’activités de recherche, avec l’uni-versité Laval (ville et province de Québec) qui pourront également déboucher sur la signature d’une convention d’échanges.

Bien entendu, les étudiants peuvent choisir d’autres destinations pour effectuer leurs études à l’étranger. Dans ce cas, le contrat pédagogi-que devra être validé préalablement par l’ensa Nantes et la double inscription est nécessaire (à l’ensa Nantes et auprès de l’université d’ac-cueil). Une telle demande peut aussi se concré-tiser par l’établissement d’une convention d’échanges entre l’université étrangère et l’ensa Nantes. Actuellement une convention générale de coopération a été signée avec l’ENAU (École Nationale d’Architecture et d’Urbanisme) de Tunis. Une autre convention est en cours de discussion avec l’université catholique de Per-nambuco (UNICAP) à Récife (Brésil) à la faveur de la coopération engagée entre les villes de Récife et de Nantes.

STaGes

Tout étudiant peut faire son stage long à l’étranger. Sans préjuger des démarches que chacun peut indi-viduellement mettre en oeuvre à cet effet, les diffé-rentes actions internationales précédemment indi-quées s’avèrent souvent une opportunité facilitant la concrétisation d’un tel projet de stage.

En Europe, l’étudiant peut bénéficier d ‘une aide mensuelle ( 183 €) dans le cadre de l’un des pro-grammes d’échanges de l’Union Européenne (Leo-nardo), de la bourse mensuelle (152€) du ministère de la culture et de la communication – à condition de ne pas en avoir déjà été bénéficiaire dans son cursus - et de l’aide forfaitaire de l’école pour les

frais de déplacement (150 €).

Hors Europe, l’étudiant peut également obtenir la bourse mensuelle (152€) du ministère de la culture et de la communication – à condition de ne pas en avoir déjà été bénéficiaire dans son cursus - et de l’aide forfaitaire de l’école pour les frais de dépla-cement (225 €). D’autres financements éventuels peuvent s’ajouter à ces aides mais sont à solliciter au cas par cas.

Coopérations pédagogiques

L’ensa Nantes développe depuis plusieurs années un certain nombre de coopérations pédagogiques à la faveur de liens et/ou de projets spécifiques. Les différentes coopérations ont en commun d’être conduites dans le cadre d’unités d’enseignement de projet et de permettre un travail à l’étranger avec des étudiants et des enseignants de l’université par-tenaire.

Des coopérations de ce type ont ainsi été établies durablement avec : • la faculté d’architecture de Prague (Tchèquie) dont Patrick Besseau (maîtreassistant à l’ensa Nan-tes) assure la coordination avec la collaboration de Yffig Poho et Yves-Ghislain Dessy (maîtres-as-sistants à l’ensa Nantes). Les étudiants nantais et praguois séjournent alternativement un semestre à Prague et à Nantes.• La Fachhoschule de Hambourg (Allemagne) et dont la coordination est désormais assurée par Jean Robein et Rémy Burgaud (maîtres-assistants à l’en-sa Nantes). Les étudiants travaillent sur un thème commun pendant un semestre et effectuent alter-nativement un séjour de deux semaines à Nantes et à Hambourg.• Plus récemment, avec l’université de Tongji à Shanghaï (Chine) à la faveur du programme prési-dentiel d’accueil des architectes chinois (cf. page

Actions de coopérationsAcceuil d’étudiants étranger

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mobilité

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Relations internationales

84 accueil d’étudiants étrangers). Cet échange se fait en lien avec l’école d’architecture de Versailles (coord. Djamel Klouche, maître-assistant à l’EAV) et son suivi est assuré par Kaarine Louilot avec la collaboration de Michel Dudon (maîtres-assistants à l’ensa Nantes). Les étudiants effectuent un séjour de deux semaines environ à Shanghaï.Deux autres perspectives sont actuellement en cours d’études :• un premier projet envisage une coopération avec l’école d’architecture de Düsseldorf (Allemagne) à la faveur des liens de l’ensa Nantes avec l’IFA (Institut Français d’Architecture) et l’Institut Cultu-rel Français de Düsseldorf. La coordination de ce projet sera assuré par Michel Dudon avec la colla-boration de Hervé Bagot (maître-assistant à l’ensa Nantes). • le second projet concerne l’université catholique de Pernambuco (UNICAP) à Récife. Il s’appuie sur la coopération engagée entre les villes de Nantes et de Récife, dans laquelle l’ensa Nantes est im-pliquée. La coordination sera assurée par Karine Louilot (maîtreassistant à l’ensa Nantes).

Actions de coopération

De manière constante, l’ensa Nantes s’est engagée dans des actions de coopération internationale ins-crites dans des démarches bilatérales portées par des institutions publiques. Achevé en juillet 2003, le travail mené sur la « maison-laboratoire » de Mahdia en Tunisie, à l’initiative de Agnès Deboulet et Rainier Hoddé (enseignants) et avec le soutien du conseil général de Loire-Atlantique et de l’Unesco, en constitue un des exemples. Actuellement, trois actions de ce type sont menées en Asie et en Afri-que.

CambodgeA la faveur du travail mené sur le site d’Angkor

(Cambodge) par Jacques Gaucher (maître-assistant à l’ensa Nantes, actuellement en détachement à l’École Française d’Extrême Orient), dans le cadre d’un projet financé par le ministère des affaires étrangères et de l’EFEO, quatre étudiants de l’ensa Nantes effectuent un séjour de quatre mois chaque année. Ces étudiants inscrits en cinquième année de leur cursus participent ainsi aux fouilles archéo-logiques destinées à rendre compte de l’organisa-tion de la ville khmère. Ils sont sélectionnés à la suite d’un appel à candidatures, en fonction de leurs résultats antérieurs, de leurs compétences et de leurs motivations. Ils bénéficient d’une prise en charge couvrant l’intégralité des frais de voyage et de séjour grâce aux financements conjoints de l’en-sa Nantes, de l’École Française d’Extrême Orient et du ministère des affaires étrangères. GuinéeLes actions menées à Kindia en Guinée s’inscrivent dans le cadre du partenariat entre Guinée 44 (as-sociation soutenue par le conseil général de Loire-Atlantique) et l’ensa Nantes.Yves-Ghislain Dessy (maître-assistant à l’ensa Nantes) assure la conduite du programme lié à des problématiques de déve-loppement urbain ainsi que le suivi des stages longs proposés aux étudiants. Ceux-ci effectuent des sta-ges de 4 à 6 mois. Ils sont sélectionnés en fonction de leurs compétences et motivations et bénéficient d’une prise en charge de la totalité de leurs frais de voyage et de séjour par Guinée 44. L’école prend en charge les frais de vaccination.SénégalDans le cadre de la coopération liant la ville de Ru-fisque (Sénégal) et la ville de Nantes, l’école d’ar-chitecture de Nantes a été sollicitée en 2003/2004 pour une action pluri-annuelle reposant sur un double objectif : l’un lié au patrimoine avec la pers-pective d’un classement de la ville par l’UNESCO ; l’autre au développement urbain de cette com-mune de la banlieue de Dakar. Les étudiants effec-

tuent des séjours d’une durée variable en fonction du programme de travail fixé. Ces séjours peuvent correspondre, soit à des missions d’étude, soit à des stages longs. Ils sont sélectionnés en fonction de leurs compétences et motivations et bénéficient d’une prise en charge de la totalité de leurs frais de voyage et de séjour par la ville de Nantes. L’ensa Nantes prend en charge les frais de vaccination.

Accueil d’étudiants étrangers

Parallèlement au soutien apporté aux différentes formes de séjours de ses étudiants à l’étranger, l’ensa Nantes s’est donné comme objectif de favo-riser l’accueil des étudiants étrangers. Cet objectif se traduit de différentes manières. D’une part, outre les échanges liés aux séjours académiques, l’école admet chaque année l’inscription d’étudiants étran-gers aux différents niveaux du cursus conduisant au diplôme d’architecte et dans les autres formations spécialisées. D’autre part, dans le cadre de pro-grammes spécifiques, l’école développe également d’autres formes de présence des étudiants étrangers. Ainsi, avec le programme présidentiel « 150 archi-tectes chinois en France », l’ensa Nantes a accueilli depuis 1998, plus d’une dizaine de ces architectes issus des huit plus grandes universités chinoises. Par leur intermédiaire, elle a ainsi contribué à créer des liens avec la Chine, tant pour les étudiants et ensei-gnants que pour les structures professionnelles de la région.

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outils et moyens

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L’école met à la disposition des étudiants des ressources, du matériel, des ateliers pédago-

giques et une bibliothèque. Certaines de ces res-sources, comme les impressions, sont payantes. Certains usages, comme l’emprunt de matériel, et certains lieux, comme la halle de fabrication ou la bibliothèque sont soumis à des horaires précis et un règlement particulier. Ces tarifs, horaires et règlements sont disponibles sur l’intranet.

La biblioTHèQue

La bibliothèque a pour mission de mettre à la dis-position des étudiants et des professeurs une do-cumentation adaptée à l’enseignement dispensé dans l’établissement. Les collections, placées sous la responsabilité d’Anne de Chantérac, sont consti-tuées de plus de 22 000 ouvrages et 3 600 do-cuments de «littérature grise» (rapports, enquêtes, thèses). S’y ajoutent les quelques 3 000 mémoires de fin d’étude réalisés par les étudiants de l’école de Nantes , qui offrent une ressource inédite et uni-que pour la recherche. Une centaine de titres de revues, françaises et étrangères, est également disponible pour une consultation sur place. L’analyse des articles de la plupart de ces revues est mise à la disposition du lecteur. Un moniteur vidéo permet la visualisation des vi-déos, cd-rom et dvd acquis par la bibliothèque. Un espace est plus particulièrement dédié à la consul-tation des plans, cartes d’état-major, cadastre et photograpies aériennes.

Reflet des études suivies par les élèves architectes, la bibliothèque présente la particularité d’être à la fois extrêmement spécialisée en architecture, urba-nisme et construction, et largement ouverte sur les domaines abordés tout au long des cursus.

Le service logistique

L’atelier machines Le projet architectural ne peut se passer de maquette(s). La maquette en effet permet de vi-sualiser des volumes et leur impact dans l’espace, autorise des manipulations et des écorchés qui les décomposent, et offre la possibilité au spectateur de créer ses propres perspectives en déplaçant seule-ment son regard pour varier lui-même les points de vue. La maquette d’architecture est donc un outil majeur pour l’enseignement, d’autant qu’elle peut aussi être utilisée comme support de tests physi-ques et mécaniques dans le cadre par exemple d’un calcul de structure ou d’ensoleillement.

Ressources pédagogiques

Les collections sont réparties selon 9 grandes thé-matiques : -Monographies d’architectes-Théorie de l’architecture-Histoire de l’architecture-Typologie des bâtiments-Urbanisme et paysage-Histoire du territoire-Arts et Patrimoine-Construction-Sciences humaines

Tous les ouvrages sont en « libre accès » à l’excep-tion du fonds ancien. Le catalogue général, dispo-nible sur le site de l’école, permet une interrogation classique multicritères. Les lecteurs inscrits peuvent également gérer leur compte directement (emprunts réalisés, date de retour, réservation…)

Un espace convivial permet la consultation des dernières acquisitions de la bibliothèque.

D’autres sites peuvent être consultés à partir de la base documentaire, en particulier ARCHIRES (base commune des écoles d’architecture pour les revues et les travaux d’étudiants), le SUDOC (bibliothè-ques universitaires) et le réseau des bibliothèques de la Ville de Nantes. Parallèlement, la bibliothèque assure le « PEB » (prêt entre bibliothèques), élargis-sant ainsi les possibilités de consultation sur place.

Les documentalistes assurent quotidiennement l’enrichissement et la valorisation de ces sources documentaires. Une assistance méthodologique en matière de recherche documentaire ou biblio-graphique est également proposée à tous les étu-diants.

Pour réaliser des maquettes de site, de bâtiments et de structures (ainsi que des éléments de mobilier, des décors de spectacle, etc) l’école dispose d’un atelier de machines placé sous l’autorité d’Isabelle Bettschart, responsable du service logistique. Il per-met aux étudiants encadrés par leurs enseignants et/ou Jean-Marc Bouard de travailler le bois, le liège, le plastique, le polystyrène, le métal, le car-ton… L’usage du lieu et plus particulièrement des machines-outils est soumis à de strictes règles de sécurité et de protection. Les demandes individuel-les d’utilisation et les commandes de matériaux spécifiques doivent être déposées à l’avance auprès de Jean-Marc Bouard.

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outils et moyens

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Ressources pédagogiques

L’atelier reprographie et impressionLe plan et « l’image » sont, comme la maquette, des passages obligés du travail de l’architecte. Ils exigent la production de documents d’une grande qualité graphique et dont le tirage soit sans défaut. L’atelier reprographie met à la disposition des étu-diants des outils permettant d’atteindre cette qua-lité. Il est ainsi en capacité d’effectuer lui-même de nombreuses tâches à forte valeur ajoutée : scanner des documents jusqu’au format A0, imprimer sur de la bâche ou du papier photographique, façon-ner des reliures, etc, à la condition bien entendu de pouvoir les programmer avec le responsable de l’atelier, Joël Pinson. Les étudiants peuvent lui confier l’édition de leurs travaux, sous réserve du double accord de l’enseignant concerné et d’Isabel-le Bettschart responsable du service, étant entendu

La halle de fabricationLes 600 m2 de la halle de fabrication permettent aux étudiants et à leurs enseignants, en coordina-tion avec Isabelle Bettschart, de construire et ins-taller simultanément de nombreuses maquettes et structures pouvant aller jusqu’à huit mètres de hau-teur, ce qui autorise de multiples expérimentations. Il est en outre possible d’y introduire des éléments fabriqués à l’extérieur grâce aux quatre ouvrants coulissant sur la façade rue Alain Barbe Torte. Le cas échéant, ces travaux peuvent être exposés tem-porairement dans tout ou partie de la halle, sous réserve que l’autorisation en soit donnée par le ser-vice logistique. La halle est en effet placée sous la responsabilité de ce service. Il en gère le planning et veille à son usage qui obéit, comme celui de l’atelier, à des règles particulières.

que certains d’entre eux peuvent être réalisés à titre onéreux (qui ne dépassera jamais le prix coûtant) compte-tenu du coût élevé des consommables.

Par ailleurs, des massicots, agrafeuses électriques, relieuses, etc sont disponibles au même endroit. On y trouve aussi plusieurs photocopieurs (d’autres sont en service sur le plateau multimedia 1B) en libre service, utilisables avec des cartes prépayées. L’école en effet propose un service d’impression payant. En début d’année un crédit d’impression est alloué à chaque étudiant. Ce crédit peut être ali-menté en cours d’année, de préférence par carte bancaire (versement minimum de 15 euros) en se connectant sur l’intranet étudiant rubrique “paie-ment impression”. Les tarifs sont consultables sur ce même intranet.

L’informatique

Les réseauxLe service informatique, placé sous la responsa-bilité d’Amédée Legal, administrateur-réseau, est composé de plusieurs réseaux (dont un dit « péda-gogique ») ayant accès à internet. Ce service pro-pose aux étudiants un ensemble de ressources, à la fois prolongement de la pédagogie mis en œuvre et outils de production. L’école met à la disposition des étudiants un peu plus d’une centaine d’ordina-teurs, ce qui, rapporté au nombre d’inscrits (environ 800), représente un ordinateur pour sept étudiants. Chaque étudiant dispose d’un identifiant et d’un mot de passe pour ouvrir une session de travail sur un poste ensa Nantes. Cet identifiant affecte auto-matiquement à l’étudiant un répertoire privé d’une

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outils et moyens

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Ressources pédagogiques

capacité de 600Mo qui le suivra durant toute sa scolarité à l’ensa Nantes. Le même identifiant lui permet de connecter son ordinateur portable (s’il en dispose) au réseau wifi de l’école qui couvre l’en-semble du campus. De même chaque étudiant s’il en fait la demande peut se voir attribuer une adres-se mél électronique du type pré[email protected], sur laquelle il peut re-router sa messagerie personnelle.

Internet et intranetTous les postes ont accès à internet, (site Web, site intranet, webmail...). Cette ressource est partagée entre toutes les populations travaillant au sein de l’établissement il est donc important d’en garantir la qualité et la sécurité pour tous : sécurité et intégrité

des données résidants sur les postes de l’ensa Nan-tes comme sur les postes personnels se connectant via le Wifi. Les accès sur internet sont filtrées par une passerelle, le niveau de filtrage est fonction du réseau d’accès initial (le réseau Wifi est beaucoup plus restrictif). En dehors des sites ne présentant aucun risque, certains sites sont classés en « temps contingenté » (accès pour une durée journalière n’excédant pas…) ou sont accessibles après un sim-ple avertissement (bouton « Continuer »). Un grand nombre de procédures sont disponibles par l’intranet comme par exemple la réservation d’un livre à la médiathèque, ou le partage de tra-vaux avec les membres d’une unité d’enseignement, la réservation de matériel en prêt, la réinscription, le choix des options…

Projection d’imagesL’école est équipée de huit grands écrans plats : trois au rez de chaussée - dont deux tournés vers l’espace public -, un dans la bibliothèque, un dans les laboratoires, deux au second étage. S’y ajoutent deux vidéoprojecteurs, disposés au 1A face au ser-vice des études. Ces outils permettent de diffuser de l’information interne et de montrer les travaux des étudiants. Cela suppose d’organiser un planning de projection d’une part, et d’autre part de préparer des documents qui respectent des formats précis (taille et poids des images en particulier). Les étudiants et enseignants qui souhaitent utiliser ce mode de dif-fusion, sont donc invités à se mettre en rapport avec la direction des études ou le service communica-tion pour connaître les contraintes techniques qu’ils doivent respecter et pour s’intégrer au mieux dans le planning d’utilisation de ces outils.

Les minibus L’école dispose d’une flotte de quatre minibus qui peuvent être mis à la disposition des étudiants et de leurs associations. Cette mise à disposition est subordonnée à la validation de la demande par un enseignant et par la direction des études. Elle ne peut avoir lieu que si elle s’inscrit dans le cadre de la pédagogie, et si elle concerne l’ensemble des étudiants d’un enseignement. Dans le cas d’une demande des associations de l’école, sa validation se fait par un agent de l’administration. Les réserva-tions se font exclusivement par l’intranet.

Le off pédagogiqueUn nombre important de concours et de workshops sont proposés aux étudiants par des entreprises, des associations et des institutions. L’école encourage celles et ceux qui s’y inscrivent, sous réserve que cette participation soit compatible avec leur emploi

du temps, en leur accordant un soutien en nature (impressions, expéditions, etc). Toutefois, ce soutien n’est pas automatique. L’école étudie chaque de-mande au cas par cas, et il est donc recommandé aux étudiants de solliciter ce soutien très en amont, auprès de la direction des études ou du service communication.

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Associations

L’ardepa : l’association régionale pour la diffu-sion et la promotion de l’architecture en Pays de

la Loire réunit membres extérieurs et étudiants.Elle diffuse et promeut l’architecture par des expo-sitions, conférences, visites de chantiers et de réali-sations, « expéditions urbaines », voyages d’études en France et à l’étranger, encadrement pédago-gique de scolaires, en particulier lors d’ateliers « maquettes ».La diversité et la qualité de ses interventions en font un lieu d’apprentissage de la médiation culturelle sous ses différentes formes. Il est possible d’ad-hérer à l’association et d’y être remployé comme stagiaire. 02 40 59 11 61 [email protected] http://lardepa.canalblog.com/

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[email protected]

http://lardepa.canalblog.com/

Les associations étudiantes

REEZOM le bureau des étudiants de l’ENSA Nantes a pour but de relayer les informations concernant la vie étudiante au sein de l’école. D’organiser des manifestations culturelles. Animer la vie étudiante au sein de l’école: elle organise et soutient de mul-tiples activités et initiatives qui vont de l’exposition de travaux d’étudiants à la participation citoyenne à des manifestations d’intérêt général et entretient la convivialité au sein de l’école.

Elle développe des contacts avec des bureaux d’étudiants, des associations et d’autres écoles d’ar-chitecture.

Elle vise à faire connaître l’activité étudiante à l’ex-térieur de l’école.»

[email protected]@nantes.archi.fr

Esquisse met en relation les étudiants et le milieu professionnel : elle rémunère les étudiants pour des missions d’études chez des architectes, designers, urbanistes, infographistes… C’est en quelque sorte la “junior entreprise” de l’école.

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http://www.esquisse-ean.net

La coopérative propose le matériel pédagogi-que nécessaire à l’étudiant .

[email protected]

Les associations

L’envers du décor se propose d’ouvrir les champs du dialogue entre architecture, urbanisme, conception lumière, mise en scène et scénographie, au sein de l’école d’architecture avec le milieu pro-fessionnel, tout en favorisant les échanges avec l’université de Nantes (rencontres/débats, conféren-ces, visites techniques de salles de spectacle, accès à des répétitions, installations, événements etc...).

http://envers.du.decor.free.fr

[email protected]

Espace temps : son objectif : jouer avec plaisir, apprendre à s’exprimer devant un public, rencontrer des étudiants des différentes promotions. Une troupe d’im-provisation, les lézards scéniques” est issue du club.

http://lezardsceniques.free.fr

[email protected]

La section sportive : «Y’a pas que les études dans une vie d’étudiant. Pas que les sorties en boites non plus… heu pardon, pas que les visites de mu-sées non plus. Y’a aussi LE SPORT !» Les étudiants sont donc invités à pratiquer le rugby, le volley, le badminton, et autres sport de leur choix.

Antoine Denieau ([email protected])

Tonkar Zabal (la fanfare de l’ensa nantes): Des instruments peu probables, un répertoire sans limites et très légèrement décalé pour signer le re-tour de la musique dans cette école depuis trop longtemps silencieuse !!Créée en septembre 2008, la famille compte mainte-nant plus d’une vingtaine d’enfants qui sauront vous faire partager leur méconnaissance de la justesse, de la bonne tenue et leur maitrise de la fête et du ridicule !!

Pauline Stern ([email protected]) et Cécile Pidou (cicil�[email protected])

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diffusion culturelle

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La diffusion culturelle et lespartenariats

En terme de formations comme de débouchés pro-fessionnels, l’échelle européenne voire mondiale s’impose à l’ensa Nantes. La taxe d’apprentissage constitue dans ce contexte, un enjeu tout à fait déterminant, et il est essentiel que le monde de l’entreprise s’associe à cette dé-marche. Les étudiants sont donc invités à se faire les relais de l’école auprès des partenaires potentiels qu’ils connaissent ou sont amenés à rencontrer afin que leur choix se porte sur l’ensa Nantes.

L’Ecole et ses partenaires

Outre les relations institutionnelles et profession-nelles qu’elle privilégie avec le monde de l’ensei-gnement et de la culture, l’Ecole cherche à élargir ses partenariats afin de proposer aux étudiants un développement dynamique de l’enseignement et de la recherche. La multiplication des rencontres avec les profes-sionnels du monde économique, politique et so-cial au plan international participe de cette optimi-sation des enseignements.

Élargir les versements de la taxe d’ap-

prentissage L’ensa nantes est agréée pour le versement de la taxe d’apprentissage -participation des employeurs au financement des formations technologiques et professionnelles- car les formations qu’elle dispen-se allient enseignement de type universitaire, mo-dules gérés par des professionnels de l’architecture et périodes effectuées en entreprise.Le développement de liens permanents et construc-tifs avec les partenaires régionaux favorise la pra-tique d’échanges de savoirs et contribue efficace-ment à la formation des futurs acteurs de la vie économique régionale.La taxe d’apprentissage collabore au développe-ment des services d’informations pédagogiques (multimédia, bibliothèque, informatique…) et re-présente un investissement sur la formation des futurs collaborateurs des entreprises régionales.Intervenants professionnels français et étrangers, laboratoires de recherche, matériel informatique et multimédia, forums emploi, ateliers et works-hops, conférences, publications, voyages d’étude, stages, formation professionnelle continue…autant d’actions qui permettent à l’ensaNantes d’assurer son objectif de formation de haut niveau dans des conditions optimisées.

la diffusion de la culture architecturale est une des missions de l’école.Cela invite en premier lieu à faire connaître l’histoire de l’architecture et de l’urbanisme et à présenter des projets contemporains. Cela oblige en outre à faire état des recherches et débats qui traversent la société (la haute qualité environnementale, la grande hauteur, le péri-urbain, la mobilité, etc) voire à les susciter. C’est la raison d’être des conférences et expositions proposées par l’école.Par ailleurs, cela impose d’informer sur ce qui s’ensei-gne, se réfléchit et se vit à l’intérieur même de l’école, au moyen en particulier de son site web public et de la présentation des travaux des étudiants.

Les conférences Elles sont données le jeudi à 19h dans l’audito-rium. Elles sont organisées à l’initiative des en-seignants et des enseignants chercheurs, parfois en partenariat avec d’autres établissements d’en-seignement (l’école centrale de Nantes ou l’école supérieure du bois par exemple) ou structure de diffusion culturelle (la Maison régionale de l’archi-tecture). Elles sont ouvertes aux étudiants et au pu-blic dans la mesure des places disponibles. Les in-terventions des personnalités invitées (architectes, urbanistes, ingénieurs, créateurs, chercheurs, etc. ) permettent d’aborder l’actualité de la production architecturale et urbaine et de confronter différen-tes approches. La programmation est semestrielle et disponible sur le site de l’ensa Nantes, de même que les enregistrements vidéo quand leur diffusion publique a été autorisée par les intervenants.

La GalerieLa Galerie permet d’accueillir des expositions de grande envergure. L’ambition de l’école est en ef-fet, grâce à cet outil, d’intégrer le réseau des lieux majeurs de diffusion de la culture architecturale

aux côtés de la Cité de l’architecture et du patri-moine, Arc en rêve, le Pavillon de l’Arsenal, le Frac Centre, etc. En plus de la galerie, les généreux espa-ces-tampons du bâtiment principal sont autant de lieux de mise en scène et de diffusion des travaux d’étudiants (rendu de projet, retours de voyages, expositions thématiques...) qui peuvent y installer des maquettes, afficher des A0, mettre en place des installations, projeter des vidéos, etc.

nantes.archi.fr Le site web public rend compte autant que possible de ce qui s’enseigne et se vit à l’école. Professeurs et étudiants sont donc invités à transmettre au ser-vice communication des textes, des images, des

films, des url destinées à illustrer leurs travaux.On y trouve d’autre part des informations liées à l’actualité architecturale dans et hors l’école (confé-rences, expos, colloques, visites, publications, etc), le catalogue de la bibliothèque, des offres d’emplois et de stages, etc. Le présent livret de l’étudiant y est consultable et peut être téléchargé. Des intranets spécifiques, destinés aux étudiants, aux enseignants et au personnel administratif, permettent de diffuser l’information interne, de partager des documents, de réserver du matériel, etc.

Sans préjuger de la réponse qui sera donnée à leur requête les étudiants ne doivent pas hésiter à contacter Raymond Leduc ou Anne Duchesne pour demander la publication d’une news, solliciter une aide pour un concours ou une exposition, proposer la diffusion d’un travail réalisé dans le cadre d’un enseignement, annoncer une manifestation asso-ciative, etc. Il leur est recommandé d’écrire leur texte , de l’accompagner d’une photographie (jpg, 72 dpi, 800x600) et le cas échéant d’un pdf (qui ne devra pas excéder 3 mo).

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Les instances

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Les instances, les enseignants et le personnel

Le conseil d’administration

Il est l’instance centrale de l’école. Il vote le bud-get et tranche en dernier ressort sur les dossiers

qui lui sont soumis. Son président, nommé pour 3 ans par le ministère sur proposition du conseil, est choisi parmi les élus, non étudiants, et les person-nalités extérieures. Il contribue à assurer, avec le directeur, la représentation de l’école à l’extérieur.

Président (arrêté du 18 juin 2010) : Anne-Marie Le Glanic, personnalité extérieure

Membre de droit : le directeur de l’ensa Nantes, Philippe Bataille, architecte DPLG, docteur en géographie

Membres extérieur : Bernard Bourges, (professeur à l’école des mines de Nantes)Antoinette HastingXavier Bouanchaud (architecte)Philippe AudicRené-Pierre Saint-M’leux, (chantier Aker Yards à St Nazaire)

Enseignants : (élections du 5 novembre 2009)Pascal JoanneClaude PuaudDidier CourbotDiego RodriguezKarine Louilot

Etudiants : (élections du 5 novembre 2009)Fabien Bidaut Sophie de CasanoveBrendan Ruellan Gabrielle LevesqueCorveller Juliette Youri Corbineau

Personnel ATOS : (élections du 5 novembre 2009)Anne DuchesneAmédée Legal

Membres avec voix consultative : (élections du 2 novem-bre 2006)Armelle Gendron-Maillet, directrice administrative et fi-

nancièrePascal Guellec agent comptable

Le conseiL Des éTuDes

Il élabore les propositions de programme soumises à la CCST (commission culturelle, scientifique et technique pour les formations en architecture), dans le cadre de la campagne pluriannuelle d’habilita-tion. L’actuelle habilitation a été accordée pour les années 2007-2008 à 2010- 2011. Plus largement, il a vocation à examiner toutes les questions relatives aux études et à la pédagogie en vue de préparer les décisions du C.A. Nommé chaque année par le C.A, il est composé d’enseignants représentant les différentes années, disciplines et formations. Il élit un président assisté d’un bureau. Le directeur en est membre de droit.

Président : Pascal Filâtre

Membres du bureau :Jacquier Rémy, Michel Velly, Nathalie Welfert

Membres de droit :Philippe Bataille, directeur généralClaudia Enrech, directrice des études

Membres titulaires :François Andrieux, Gaëlle Breton, Gilles Chabanes, Fran-çois Defrain, Yves-Ghislain Dessy, Valéry Didelon, Susan Dunne, Daniel Grimaud, Chérif Hanna, Ghislain His, Lau-rent Lescop, Miguel Macian, Francis Miguet, Jean-François

Renaud, Jean Robein, Elise Roy.

Le conseiL scientifique

Président : Laurent Devisme

Membres :Pascal Filâtre, Marcel Freydefont, Anne Bossé, Pascal Joan-ne, Marjorie Musy, Thomas Ouard

Membres de droit :Philippe Bataille, directeur généralClaudia Enrech, directrice des études

Annuaire des enseignants titulaires, contractuels et associés *M.A : Maître-assistant M.A.A : Maître-assistant associé P. : ProfesseurM.A.C. : Maître-assistant contractuel

Théories et pratiques de la conception architectu-rale et urbaine (TPCAU)Andrieux François (MA)Bertreux Michel (MA)Breton-Marot Gaëlle (MA)Combrisson Jean-Baptiste (MAC)Defrain François (MA)Didelon Valéry (MA)Dunne Susan (MA)Filâtre Pascal (MA)Gasté Sylvain (MAA)Hammoudi Toufik (MA)His Ghislain (MA)Louilot Karine (MA)Macian Miguel (MA)Paillard Louis (MA)Poho Yves (MAC)Renaud Jean-François (MA)Robein Jean (MA)Rumé Guy (MA)Lacroix Philippe (MAA)Velly Michel (MA)

Histoire et culture architecturale (HCA)Bienvenu Gilles (MA)Halgand Marie-Paul (P)Freydefont Marcel (MA)

Villes et territoiresDessy Yves-Ghislain (MA)Hanna Chérif (MA)

Sciences et techniques pour l’architecture (STA)Amphoux Pascal (P)Miguet Francis (P)Joanne Pascal (MA)Lescop Laurent (MA)Meunier Virginie (MA)Moisan Francis (MA)Suner Bruno (MA)Benoit Boris (MA)Christian Marenne (P) Welfert Nathalie (MA)

Sciences humaines et sociales (SHS)Besseau Patrick (MA)Devisme Laurent (MA)Pasquier Elisabeth (MA)Roy Elise (MA)

Arts et techniques de la représentation (ATR)Courbot Didier (MA)Faucher Pierre (MA)Giraud Jean-Luc (MA)Grimaud Daniel (MA)Jacquier Rémy (MA)

* Les enseignants peuvent être joints par mél. Leurs adresses électroniques sont construites sur le modèle [email protected] ou [email protected] : Des enseignants vacataires nommés en début d’an-née universitaire contribuent à assurer l’encadrement pé-dagogique (voir la présentation des enseignements).

SUMPPSService Universitaire de Médecine Préventive et de Promotion de la Santé

Le service Universitaire de Médecine Préventive et de Promotion de la Santé, situé dans la Mai-

son des services 110 Boulevard Michelet, est des-tiné à tous les étudiants de l’Université de Nantes et des Ecoles sous convention.

L’équipe médicale, sociale et des psychologues, peut vous accueillir sur rendez-vous du lundi au vendredi, pour les services suivants :

- Visite médicale des primo arrivants : un bilan de santé complet est réalisé par une infirmière et un médecin.- Accueil et suivi des étudiants handicapés- Consultation de gynécologie- Consultation de nutrition- Séances de sophrologie- Consultation d’aide au sevrage tabagique- Formation au secourisme- Informations et conseils de prévention en santé. Organisation d’expositions sur des thèmes de pré-vention. Préparation de projets de promotion de la santé avec des étudiants pairs. - Information et accompagnement social avec les assistantes sociales- Entretien et suivi par une psychologue ou psy-chiatre

Tous ces services sont gratuits.

�04

Les instances

�05

Service des étudesClaudia Enrech, responsable du serviceMaryvonne Pain, 1° année (S1 – S2), FPC, bourses.Odile Viaud, 2° année et transferts (S3 – S4)Mireille Hoyet, 3° année et étudiants étrangers (S5 – S6)Nathalie Aknin, resp. de la mobilité internationaleLaurence Jean, 4° et 5° année (S7 à S10)Sandra Valmier, HMONP, bi-cursus architecte/ingénieurMarie-Edith Breton, chargée du master « Villes et territoi-res» et DPEA « Scénographie » et « Architecture navale »

MédiathèqueAnne de Chanterac, responsable du serviceBénédicte Colas-Bouyx, documentalisteCatherine Hieu, documentalisteDanielle Laouenan, documentalisteMarie-Claude Vandewalle, documentaliste

TICAmédée Legal, responsable du service, administrateur réseauJacques Bodet, adjoint, administrateur réseauYannick Carré, technicien informatiqueDominique Chaillou, technicien informatiqueAymeric Laury, technicien informatiqueSuzanne Barquillet, ...

CERMAPascal Joanne, directeurJanick Beillevert-Font, assistante et chargée du master rechercheJosiane Da Rugna, secrétariatMartine Chazelas, documentalisteVéronique Dom, chargée de la communicationFrançoise Chaillou, Thomas Leduc, Marjorie Musy, Daniel Siret, Ingénieurs de recherche

LAUA Laurent Devisme, directeurMarine Grellet, assistanteGuillaume Ertaud, technicien de recherche

* Les agents de l’école peuvent être joints par mél. Leurs adres-ses électroniques sont construites sur le modèle [email protected] ou [email protected]

Le personnel administratif *

DirectionPhilippe Bataille, directeur généralArmelle Gendron-Maillet, directrice administratif et financierClaudia Enrech, directrice des étudesElisabeth Dreyfus, directrice des relations publiques et des partenariatsNadège Guyonvarch, assistante de direction

LogistiqueIsabelle Bettschart, responsable du serviceJean-Marc Bouard, atelier matériaux-structures-maquettesAndré Da Rugna, maintenance et travaux bâtimentPierrette Déredec, assistanteMichel Le Du, agent d’entretienJoël Pinson, atelier impression et reprographieEvelyne Thoby, assistanteKotchi Koudou, ...

Comptabilité ordonnateurArmelle Gendron-Maillet, responsable du serviceNelly Nguyen, contrôleur de gestionCaroline Donjon, comptabilité ordonnateurBrigitte Quintin, comptabilité ordonnateur

Agence comptablePascal Guellec, agent comptableChristine Marolleau, Assistante

Ressources HumainesArmelle Gendron-Maillet, responsable du serviceCéline Bertron-Guillousseau, instances paritaires et retraitesMartine Cornuaille, gestion financière des titulairesFlorence Tessier, gestion financière des vacataires

Accueil - communicationRaymond Leduc, responsable du serviceAnne Duchesne, adjointeDanièle Guiho, accueil

Les instances, les enseignants et le personnel

�06

réglement des études

�07

Le règlement des études est consultable dans son intégralité sur le site de l’école (rubrique « Pédagogie »/Règlement des études ». Il a été adopté par le conseil d’administration du 14 octobre 2008. Le règlement des études est établi pour préciser et compléter les textes réglementaires, en conformité avec le programme pédagogique adopté par les instances de l’ensa Nantes et pour lequel la CCST a émis un avis favorable les 09 et 10 mai 2007.

Titre 3 – Cycle des études conduisant au diplôme d’Etat d’architecte Article 23 : conditions d’accèsArticle 24 : organisation de l’enseignementArticle 25 : validation des semestres 7 à 10Article 26 : le projet de fin d’études (PFE)Article 27 : le parcours rechercheArticle 28 : la délivrance du diplôme

Titre 4 - Formation professionnelle continueArticles 29 et 30 : présentation générale des deux cycles de la FPCArticles 31 à 38 : cycle conduisant au diplôme d’études en architecture conférant le grade de licenceArticles 39 à 44 : cycle conduisant au diplôme d’Etat d’architecte conférant le grade de master

Titre 5 – dispositions particulièresArticle 45 : délivrance du D.P.E.A. architecture navaleArticle 46 : délivrance du D.P.E.A. scénographeArticles 47 et 48 : échanges internationauxArticle 49 : voyages d’étudesArticles 50 et 51 : inscription des ressortissants étrangersArticles 52 à 54 : évaluation, tricherie au examens, stockage des travaux

Titre 6 – Modalités d’application du règlement des étudesArticles 55 à 57

Titre 1 - Dispositions généralesArticle 1 : organisation générale de l’enseignementArticle 2 : inscription administrativeArticle 3 : assurance responsabilité civileArticle 4 : médecine préventiveArticle 5 : sécurité Sociale étudiante Article 6 : quitus Article 7 : conditions de délivrance des boursesArticle 8 : inscription pédagogiqueArticle 9 : assiduitéArticle 10 : contrôle des connaissancesArticle 11 : organisation des examensArticle 12 : organisation et rôle des jurysArticle 13 : commission d’orientationArticle 14 : transfert d’étudiants de l’ENSA de Nantes vers une autre ENSAArticle 15 : transfert d’étudiants d’une autre ENSA vers l’ENSA NantesArticle 16 : validation des études, expériences professionnelles ou acquis personnels

Titre 2 – Cycle des études conduisant au diplôme d’études en architecture Article 17 : conditions d’accèsArticle 18 : organisation de l’enseignementArticle 19 : conditions de passage et d’obtention du diplôme Article 20 : validation des semestres 1 et 2Article 21 : validation des semestres 3 à 6Article 22 : délivrance du diplôme

réglement des études

�08

emplois du temps

�09

Emplois du temps1ère année du premier cyle (Licence 1) - S1

ANNEE UNIVERSITAIRE 2010-2011Début des cours : lundi 13 septembre 2010

Mardi Mercredi Jeudi

8 h 00 8 h 00

8 h 15 8 h 15

8 h 30 8 h 30

8 h 45

8 h 45

9 h 00 9 h 00

9 h 15 9 h 15

9 h 30 9 h 30

9 h 45 9 h 45

10 h 00 10 h 00

10 h 15 10 h 15

10 h 30 10 h 30

10 h 45 10 h 45

11 h 00 11 h 00

11 h 15 11 h 15

11 h 30 11 h 30

11 h 45 11 h 45

12 h 00 12 h 00

12 h 15 12 h 15

12 h 30 12 h 30

12 h 45 12 h 45

13 h 00 13 h 00

13 h 15 13 h 15

13 h 30 13 h 30

13 h 45 13 h 45

14 h 00 14 h 00

14 h 15 14 h 15

14 h 30 14 h 30

14 h 45 14 h 45

15 h 00 15 h 00

15 h 15 15 h 15

15 h 30 15 h 30

15 h 45 15 h 45

16 h 00 16 h 00

16 h 15 16 h 15

16 h 30 16 h 30

16 h 45 16 h 45

17 h 00 17 h 00

17 h 15 17 h 15

17 h 30 17 h 30

17 h 45 17 h 45

18 h 00 18 h 00

18 h 15 18 h 15

18 h 30 18 h 30

18 h 45 18 h 45

19 h 00 19 h 0019 h 15 19 h 15

19 h 30 19 h 30

version du 12/07/10

S12010/2011

Lundi Vendredi

8h00 - 9h00

UE A1 11 - Dbl cursus

Arc/IngMathématiques

(J-Y. Durillon)

Salle 1A 02

8h30 - 12h00

UE 11

Initiation au

projet

architectural

Cours

Notions

fondamentales

(M. Velly)

Auditorium

(sauf 9/11 et 14/12

dans l'amphi 150)

14h00 - 16h00

UE 13Outils de

représentation

Atelier numérique

(E. Pontoizeau)

Groupes selon

calendrier

Multimédia 5 et 6 14h00 - 19h30

UE 11

Initiation au

projet

architectural

TD

(M. Velly)

Plateau 0C

13h30 - 17h30

UE 13

Géométrie spatiale

(TD)

(F. Miguet)

Salles à préciser

Groupes selon

calendrier

10h15 - 12h15

UE 13

Géométrie spatiale

(F. Miguet)- Cours

Amphi 150

8h15 - 9h30

UE 13 Anglais (TD)

(J. Catherine, T. Powell, J. Lardé)

Groupes 1,2, 3

début des TD le 17 septembre

Salles 1A 02,03 et 1B 14

9h30 - 10h45

UE 13 Anglais (TD)

(J. Catherine, T. Powell, J. Lardé)

Groupes 4, 5, 6

début des TD le 17 septembre

Salles 1A 02,03 et 1B 14

11h00 - 12h15

UE 13 Anglais

(Cours) Amphi 150

du 17/09 au

22/10

(J. Catherine)

14h00 - 15h15

UE 12

Modélisations physiques et mathématiques (Cours)

(D. Yilmaz)

Amphi 150

15h30 - 17h30

UE 12

Modélisations physiques et mathématiques (TD)

(D. Yilmaz)

Salles 1B 10, 1B 11 et Amphi 150

8h30 - 10h30

UE 13Outils de

représentation

Atelier numérique

(E. Pontoizeau)

Groupes selon

calendrier

Multimédia 5 et 6

8h30 - 10h00

UE 12

Histoire de

l'architecture

(M-P. Halgand)

Cours

Amphi 150

13h30 - 16h00

UE 12

Construction

(B. Boris)

Cours

Auditorium

EC

OL

E N

AT

ION

AL

E S

UP

ER

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RE

D'A

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EC

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ep

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2010

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cyle

(L

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ce 1

) -

S1

10h45 - 12h45

UE 13

Informatique

(N. Welfert)

Groupes seln

calendrier

Multimédia

3 et 4

10h45 - 12h45

UE 13Outils de

représentation

Dessin manuel

(M. Gandon)

Groupes selon

calendrier

Salle 1B 11

10h45 - 12h45

UE 13Outils de

représentation

Atelier numérique

(E. Pontoizeau)

Groupes selon

calendrier

Multimédia 5 et 6

11h45 - 13h45

UE 13

Allemand

Cours + TD

(J. Schluter)

Début des cours/TD

le 17/09

Salle 1B 11

14h00 - 16h00

UE 13

Informatique

(N. Welfert)

Groupes selon

calendrier

Multimédia

3 et 4

16h15 - 18h15

UE 13

Informatique

(N. Welfert)

Groupes selon

calendrier

Multimédia

3 et 4

16h15 - 18h15

UE 13Outils de

représentation

Dessin manuel

(M. Gandon)

Groupes selon

calendrier

Salle 1B 11

16h15 - 18h15

UE 13Outils de

représentation

Atelier numérique

(E. Pontoizeau)

Groupes selon

calendrier

Multimédia 5 et 6

8h00 - 10h00

(horaire à confirmer)

UE AI 11 - Double

cursus archi /

ingénieur

Mathématiques

(TD)

Salle 1A 03

11h45 - 13h45

UE 13

Espagnol

Cours + TD

(J. Blin)

Début des cours/TD

le 17/09

Salle 1B 10

10h00 - 12h30

UE 13

Dessin

d'observation

(Enseignants

plasticiens)

Salles 0C 08, 0C 09,

0C10 et 0C11 + 4

autres espaces à

déterminer

14h00 - 16h00

UE 13Outils de

représentation

Dessin manuel

(M. Gandon)

Groupes selon

calendrier

Salle 1B 11

16h15 - 18h45

UE 12

Histoire et

construction

(B. Boris + M-P

Halgand)

TD

Plateau 0C

8h30 - 10h30

UE 13

Informatique

(N. Welfert)

Groupes selon

calendrier

Multimédia

3 et 4

8h30 - 10h30

UE 13Outils de

représentation

Dessin manuel

(M. Gandon)

Groupes selon

calendrier

Salle 1B 11

Mardi Mercredi Jeudi

8 h 00 8 h 00

8 h 15 8 h 15

8 h 30 8 h 30

8 h 45

8 h 45

9 h 00 9 h 00

9 h 15 9 h 15

9 h 30 9 h 30

9 h 45 9 h 45

10 h 00 10 h 00

10 h 15 10 h 15

10 h 30 10 h 30

10 h 45 10 h 45

11 h 00 11 h 00

11 h 15 11 h 15

11 h 30 11 h 30

11 h 45 11 h 45

12 h 00 12 h 00

12 h 15 12 h 15

12 h 30 12 h 30

12 h 45 12 h 45

13 h 00 13 h 00

13 h 15 13 h 15

13 h 30 13 h 30

13 h 45 13 h 45

14 h 00 14 h 00

14 h 15 14 h 15

14 h 30 14 h 30

14 h 45 14 h 45

15 h 00 15 h 00

15 h 15 15 h 15

15 h 30 15 h 30

15 h 45 15 h 45

16 h 00 16 h 00

16 h 15 16 h 15

16 h 30 16 h 30

16 h 45 16 h 45

17 h 00 17 h 00

17 h 15 17 h 15

17 h 30 17 h 30

17 h 45 17 h 45

18 h 00 18 h 00

18 h 15 18 h 15

18 h 30 18 h 30

18 h 45 18 h 45

19 h 00 19 h 0019 h 15 19 h 15

19 h 30 19 h 30

version du 12/07/10

S12010/2011

Lundi Vendredi

8h00 - 9h00

UE A1 11 - Dbl cursus

Arc/IngMathématiques

(J-Y. Durillon)

Salle 1A 02

8h30 - 12h00

UE 11

Initiation au

projet

architectural

Cours

Notions

fondamentales

(M. Velly)

Auditorium

(sauf 9/11 et 14/12

dans l'amphi 150)

14h00 - 16h00

UE 13Outils de

représentation

Atelier numérique

(E. Pontoizeau)

Groupes selon

calendrier

Multimédia 5 et 6 14h00 - 19h30

UE 11

Initiation au

projet

architectural

TD

(M. Velly)

Plateau 0C

13h30 - 17h30

UE 13

Géométrie spatiale

(TD)

(F. Miguet)

Salles à préciser

Groupes selon

calendrier

10h15 - 12h15

UE 13

Géométrie spatiale

(F. Miguet)- Cours

Amphi 150

8h15 - 9h30

UE 13 Anglais (TD)

(J. Catherine, T. Powell, J. Lardé)

Groupes 1,2, 3

début des TD le 17 septembre

Salles 1A 02,03 et 1B 14

9h30 - 10h45

UE 13 Anglais (TD)

(J. Catherine, T. Powell, J. Lardé)

Groupes 4, 5, 6

début des TD le 17 septembre

Salles 1A 02,03 et 1B 14

11h00 - 12h15

UE 13 Anglais

(Cours) Amphi 150

du 17/09 au

22/10

(J. Catherine)

14h00 - 15h15

UE 12

Modélisations physiques et mathématiques (Cours)

(D. Yilmaz)

Amphi 150

15h30 - 17h30

UE 12

Modélisations physiques et mathématiques (TD)

(D. Yilmaz)

Salles 1B 10, 1B 11 et Amphi 150

8h30 - 10h30

UE 13Outils de

représentation

Atelier numérique

(E. Pontoizeau)

Groupes selon

calendrier

Multimédia 5 et 6

8h30 - 10h00

UE 12

Histoire de

l'architecture

(M-P. Halgand)

Cours

Amphi 150

13h30 - 16h00

UE 12

Construction

(B. Boris)

Cours

Auditorium

EC

OL

E N

AT

ION

AL

E S

UP

ER

IEU

RE

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S1

10h45 - 12h45

UE 13

Informatique

(N. Welfert)

Groupes seln

calendrier

Multimédia

3 et 4

10h45 - 12h45

UE 13Outils de

représentation

Dessin manuel

(M. Gandon)

Groupes selon

calendrier

Salle 1B 11

10h45 - 12h45

UE 13Outils de

représentation

Atelier numérique

(E. Pontoizeau)

Groupes selon

calendrier

Multimédia 5 et 6

11h45 - 13h45

UE 13

Allemand

Cours + TD

(J. Schluter)

Début des cours/TD

le 17/09

Salle 1B 11

14h00 - 16h00

UE 13

Informatique

(N. Welfert)

Groupes selon

calendrier

Multimédia

3 et 4

16h15 - 18h15

UE 13

Informatique

(N. Welfert)

Groupes selon

calendrier

Multimédia

3 et 4

16h15 - 18h15

UE 13Outils de

représentation

Dessin manuel

(M. Gandon)

Groupes selon

calendrier

Salle 1B 11

16h15 - 18h15

UE 13Outils de

représentation

Atelier numérique

(E. Pontoizeau)

Groupes selon

calendrier

Multimédia 5 et 6

8h00 - 10h00

(horaire à confirmer)

UE AI 11 - Double

cursus archi /

ingénieur

Mathématiques

(TD)

Salle 1A 03

11h45 - 13h45

UE 13

Espagnol

Cours + TD

(J. Blin)

Début des cours/TD

le 17/09

Salle 1B 10

10h00 - 12h30

UE 13

Dessin

d'observation

(Enseignants

plasticiens)

Salles 0C 08, 0C 09,

0C10 et 0C11 + 4

autres espaces à

déterminer

14h00 - 16h00

UE 13Outils de

représentation

Dessin manuel

(M. Gandon)

Groupes selon

calendrier

Salle 1B 11

16h15 - 18h45

UE 12

Histoire et

construction

(B. Boris + M-P

Halgand)

TD

Plateau 0C

8h30 - 10h30

UE 13

Informatique

(N. Welfert)

Groupes selon

calendrier

Multimédia

3 et 4

8h30 - 10h30

UE 13Outils de

représentation

Dessin manuel

(M. Gandon)

Groupes selon

calendrier

Salle 1B 11

��0

emplois du temps

���

Emplois du temps2ème année du premier cyle (Licence 2) - S3

ANNEE UNIVERSITAIRE 2010-2011Début des cours : lundi 13 septembre 2010

Jeudi8 h 00 8 h 00

8 h 15 8 h 15

8 h 30 8 h 30

8 h 45 8 h 45

9 h 00 9 h 00

9 h 15 9 h 15

9 h 30 9 h 30

9 h 45 9 h 45

10 h 00 10 h 00

10 h 15 10 h 15

10 h 30 10 h 30

10 h 45 10 h 45

11 h 00 11 h 00

11 h 15 11 h 15

11 h 30 11 h 30

11 h 45 11 h 45

12 h 00 12 h 00

12 h 15 12 h 15

12 h 30 12 h 30

12 h 45 12 h 45

13 h 00 13 h 00

13 h 15 13 h 15

13 h 30 13 h 30

13 h 45 13 h 45

14 h 00 14 h 00

14 h 15 14 h 15

14 h 30 14 h 30

14 h 45 14 h 45

15 h 00 15 h 00

15 h 15 15 h 15

15 h 30 15 h 30

15 h 45 15 h 45

16 h 00 16 h 00

16 h 15 16 h 15

16 h 30 16 h 30

16 h 45 16 h 45

17 h 00 17 h 00

17 h 15 17 h 15

17 h 30 17 h 30

17 h 45 17 h 45

18 h 00 18 h 00

18 h 15 18 h 15

18 h 30 18 h 30

18 h 45 18 h 45

19 h 00 19 h 00

19 h 15 19 h 15

19 h 30

19 h 45

20h00

version du 12/07/10

9h30 - 13h00

UE 32 - Structures 1/ La fabrique

d'architecture

(cours)

(F. Miguet et B. Benoît)

Amphi 150

9h15 - 10h15

UE 33 - Sciences des formes /

Morphologie (F. Miguet)

Auditorium

16h45 - 19h15

UE 34

Ateliers Image

(salle 1B 10)

+ 2 ateliers

8h00 - 9h00

UE AI 31 - Dble cursus archi / ingénieur

Mathématiques (I. Emmanuelle)

Salle 1A 03

8h00 - 9h15

UE 34 - Histoire de l'art (cours)

(R. Jacquier / D. Courbot)

Amphi 150

Mercredi

EC

OL

E N

AT

ION

AL

E S

UP

ER

IEU

RE

D'A

RC

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2010

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ier

cyle

(L

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) -

S3

9h00 - 13h00

UE 31.1

Situations

extrêmes

TD

(M. Bertreux)

Studios 2B 05 et 06

13h00 - 14h15

UE 35 Anglais (TD)

par groupes

(J. Catherine)

Salles 1A 02,03,04 et

1B 12,13,14

10h30 - 13h00

UE 33

Sciences des formes / Morphologie

(F. Miguet)

TD

Groupes selon calendrier

Salles (selon calendrier) :

Halle de fabrication, atelier 0C 11,

salle multimédia 1B 02.

14h00 - 16h45 (dont 15mn de pause)

UE 35

Histoire de la ville

(P. Filâtre) à partir du 13/09

Histoire de l'architecture

(G. Bienvenu) à partir du 8/11

Amphi 150

14h00 - 20h00

UE 31.1

Situations

extrêmes

TD

(M. Bertreux)

Studios 2B 05 et 06

14h00 - 20h00

UE 31.2

L'invention

concrète

TD

(K. Louilot)

Studios

2B 12 et 13

11h00 - 12h15

UE 35 Anglais

(Cours)

(J. Catherine)

du 5/11 au 10/12

Amphi 150

8h30 - 10h30

UE 35 - Bibliographie critique

(G. Bienvenu, P. Filâtre, ...)

8 séances, selon calendrier

Premier cours 17 sept : Amphi 150 puis

Ateliers 0C 08, 09, 10 et 11 et Salles 1B 12 et 13

16h00 - 18h00

UE AI 31 - Double

cursus archi /

ingénieur

Mathématiques

(TD)

(I. Emmanuelle)

Salle 1A 03

11h45 - 13h45

UE 35 - Espagnol

(J. Blin)

début des cours/TD

le 17/09

Salle 1B 10

10h45 - 13h15

UE 33

Modélisation numérique (TD)

(N. Welfert / L. Lescop)

4 groupes selon calendrier

salles multimédia 1B 03, 1B 04, 1B

05 et 1B 06

S32010/2011

Lundi Mardi Vendredi

14h00 - 16h30

UE AI 32 - Double

cursus archi /

ingénieur

MCC : modèles de

l'ingénieur (RDM)

(?)

Salle 1A 03

14h00 - 16h30

UE 34

Ateliers Image

Approche

créative…

(Salle multi 1B 05)

L'image en

circulation

(salle 1B 10)

11h45 - 13h45

UE 35 - Allemand

(J. Schluter)

début des cours/TD

le 17/09

Salle 1B 11

9h00 - 13h00

UE 31.2

L'invention

concrète

TD

(K. Louilot)

Studios

2B 12 et 13

8h00 - 10h30

UE 33

Modélisation numérique (TD)

(N. Welfert / L. Lescop)

2 groupes selon calendrier

Amphi de lancement 16/09 Auditorium

(8h00-9h00)puis

salles multimédia 1B 03 et 1B 04

14h00 - 19h00

UE 34

Atelier VOLUME

"Jouer avec le

vocabulaire de

l'architecture"

(du 15 septembre

au 3 novembre)

4 groupes

Ateliers OC 08, 09,

10 et 11

› début des TD le

17/09

14h00 - 16h30

UE 33

Modélisation

numérique

(TD)

(N. Welfert / L.

Lescop)

2 Groupes selon

calendrier

salles multimédia

1B 03 et 1B 05

Jeudi8 h 00 8 h 00

8 h 15 8 h 15

8 h 30 8 h 30

8 h 45 8 h 45

9 h 00 9 h 00

9 h 15 9 h 15

9 h 30 9 h 30

9 h 45 9 h 45

10 h 00 10 h 00

10 h 15 10 h 15

10 h 30 10 h 30

10 h 45 10 h 45

11 h 00 11 h 00

11 h 15 11 h 15

11 h 30 11 h 30

11 h 45 11 h 45

12 h 00 12 h 00

12 h 15 12 h 15

12 h 30 12 h 30

12 h 45 12 h 45

13 h 00 13 h 00

13 h 15 13 h 15

13 h 30 13 h 30

13 h 45 13 h 45

14 h 00 14 h 00

14 h 15 14 h 15

14 h 30 14 h 30

14 h 45 14 h 45

15 h 00 15 h 00

15 h 15 15 h 15

15 h 30 15 h 30

15 h 45 15 h 45

16 h 00 16 h 00

16 h 15 16 h 15

16 h 30 16 h 30

16 h 45 16 h 45

17 h 00 17 h 00

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17 h 30 17 h 30

17 h 45 17 h 45

18 h 00 18 h 00

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19 h 00 19 h 00

19 h 15 19 h 15

19 h 30

19 h 45

20h00

version du 12/07/10

9h30 - 13h00

UE 32 - Structures 1/ La fabrique

d'architecture

(cours)

(F. Miguet et B. Benoît)

Amphi 150

9h15 - 10h15

UE 33 - Sciences des formes /

Morphologie (F. Miguet)

Auditorium

16h45 - 19h15

UE 34

Ateliers Image

(salle 1B 10)

+ 2 ateliers

8h00 - 9h00

UE AI 31 - Dble cursus archi / ingénieur

Mathématiques (I. Emmanuelle)

Salle 1A 03

8h00 - 9h15

UE 34 - Histoire de l'art (cours)

(R. Jacquier / D. Courbot)

Amphi 150

Mercredi

EC

OL

E N

AT

ION

AL

E S

UP

ER

IEU

RE

D'A

RC

HIT

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rem

ier

cy

le (

Lic

en

ce

2)

- S

3

9h00 - 13h00

UE 31.1

Situations

extrêmes

TD

(M. Bertreux)

Studios 2B 05 et 06

13h00 - 14h15

UE 35 Anglais (TD)

par groupes

(J. Catherine)

Salles 1A 02,03,04 et

1B 12,13,14

10h30 - 13h00

UE 33

Sciences des formes / Morphologie

(F. Miguet)

TD

Groupes selon calendrier

Salles (selon calendrier) :

Halle de fabrication, atelier 0C 11,

salle multimédia 1B 02.

14h00 - 16h45 (dont 15mn de pause)

UE 35

Histoire de la ville

(P. Filâtre) à partir du 13/09

Histoire de l'architecture

(G. Bienvenu) à partir du 8/11

Amphi 150

14h00 - 20h00

UE 31.1

Situations

extrêmes

TD

(M. Bertreux)

Studios 2B 05 et 06

14h00 - 20h00

UE 31.2

L'invention

concrète

TD

(K. Louilot)

Studios

2B 12 et 13

11h00 - 12h15

UE 35 Anglais

(Cours)

(J. Catherine)

du 5/11 au 10/12

Amphi 150

8h30 - 10h30

UE 35 - Bibliographie critique

(G. Bienvenu, P. Filâtre, ...)

8 séances, selon calendrier

Premier cours 17 sept : Amphi 150 puis

Ateliers 0C 08, 09, 10 et 11 et Salles 1B 12 et 13

16h00 - 18h00

UE AI 31 - Double

cursus archi /

ingénieur

Mathématiques

(TD)

(I. Emmanuelle)

Salle 1A 03

11h45 - 13h45

UE 35 - Espagnol

(J. Blin)

début des cours/TD

le 17/09

Salle 1B 10

10h45 - 13h15

UE 33

Modélisation numérique (TD)

(N. Welfert / L. Lescop)

4 groupes selon calendrier

salles multimédia 1B 03, 1B 04, 1B

05 et 1B 06

S32010/2011

Lundi Mardi Vendredi

14h00 - 16h30

UE AI 32 - Double

cursus archi /

ingénieur

MCC : modèles de

l'ingénieur (RDM)

(?)

Salle 1A 03

14h00 - 16h30

UE 34

Ateliers Image

Approche

créative…

(Salle multi 1B 05)

L'image en

circulation

(salle 1B 10)

11h45 - 13h45

UE 35 - Allemand

(J. Schluter)

début des cours/TD

le 17/09

Salle 1B 11

9h00 - 13h00

UE 31.2

L'invention

concrète

TD

(K. Louilot)

Studios

2B 12 et 13

8h00 - 10h30

UE 33

Modélisation numérique (TD)

(N. Welfert / L. Lescop)

2 groupes selon calendrier

Amphi de lancement 16/09 Auditorium

(8h00-9h00)puis

salles multimédia 1B 03 et 1B 04

14h00 - 19h00

UE 34

Atelier VOLUME

"Jouer avec le

vocabulaire de

l'architecture"

(du 15 septembre

au 3 novembre)

4 groupes

Ateliers OC 08, 09,

10 et 11

› début des TD le

17/09

14h00 - 16h30

UE 33

Modélisation

numérique

(TD)

(N. Welfert / L.

Lescop)

2 Groupes selon

calendrier

salles multimédia

1B 03 et 1B 05

���

emplois du temps

���

Emplois du temps3ème année du premier cyle (Licence 3) - S5

ANNEE UNIVERSITAIRE 2010-2011Début des cours : lundi 13 septembre 2009

Lundi Mardi8 h 00 8 h 00

8 h 15 8 h 15

8 h 30 8 h 30

8 h 45 8 h 45

9 h 00 9 h 00

9 h 15 9 h 15

9 h 30 9 h 30

9 h 45 9 h 45

10 h 00 10 h 0010 h 15 10 h 15

10 h 30 10 h 30

10 h 45 10 h 45

11 h 00 11 h 00

11 h 15 11 h 15

11 h 30 11 h 30

11 h 45 11 h 45

12 h 00 12 h 00

12 h 15 12 h 15

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12 h 45 12 h 45

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13 h 30 13 h 30

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14 h 00 14 h 00

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15 h 15 15 h 15

15 h 30 15 h 30

15 h 45 15 h 45

16 h 00 16 h 00

16 h 15 16 h 15

16 h 30 16 h 30

16 h 45 16 h 45

17 h 00 17 h 0017 h 15 17 h 15

17 h 30 17 h 30

17 h 45 17 h 45

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18 h 45 18 h 45

19 h 00 19 h 0019 h 15 19 h 15

19 h 30 19 h 30

version du 12/07/10

12h00 - 13h00

UE 53 - Anglais

(cours) 13 séances

(J. Cush)

début le 17 sept

Amphi 100

UE 34

Atelier VOLUME 2

(du 25 au 29

janvier)

4 groupes en

intensif

Ateliers OC 08, 09,

10 et 11

Jeudi

14h30 - 15h45

UE 53 - Anglais (TD)

(J. Catherine) par groupes

début des TD le 17 septembre

Salles 1A 02,03,04 et 1B12, 1B 13, 1B 14

Vendredi

14h00 - 18h00

UE 51.1

Architecture Ville

Mobilité

(J-F Renaud, V.

Didelon)

TD

Studios 2A 09 / 10

11h45 - 13h45

UE 53 - Espagnol

Cours + TD

(J. Blin)

début des cours/TD

le 17/09

Salle 1B 10

11h45 - 13h45

UE 53 - Allemand

Cours + TD

(J. Schluter)

début des cours/TD

le 17/09

Salle 1B 11

14h00 - 16h30

UE 54

Ateliers Image

De l'idée au projet

(salle 1A 04)

Communication

visuelle

(1B 11)

14h00 - 18h00

UE 51.2

Mais qu'est-ce

donc qu'un espace

public ?

(P. Amphoux)

TD

Plateau 0C

9h15 - 11h15

Horaire à confirmer

UE A1 31 - Double

cursus archi / ingénieur

Mathématiques (TD)

Salle 1A 03

16h30 - 19h30

UE 51.1

Architecture Ville Mobilité

(J-F Renaud, V. Didelon)

(8 séances, début le 15/09 puis selon calendrier)

Séminaire

Studios 2A 09

et 2A 10 ou Amphi 100

S52010/2011

Mercredi

EC

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E N

AT

ION

AL

E S

UP

ER

IEU

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NA

NT

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E U

NIV

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SIT

AIR

E 2

01

0-2

011

bu

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un

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13

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pte

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00

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me

an

e d

u p

rem

ier

cy

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Lic

en

ce

3)

- S

5

9h00 - 11h30

UE 51.2

Mais qu'est-ce

donc qu'un espace

public ?

(P. Amphoux)

Selon calendrier

Séminaire

Amphi 100

8h00 - 10h30

UE 52 - Analyse de structures (TD)

(Francis Moisan)

6 séances, selon calendrier

Multimédia 1B 03 et 04

10h45 - 13h15

UE 54

Ateliers Image

Approche

créative…

(Salle multi 1B 05)

La ville en

question

(Salle multi 1B 07)

14h00 - 16h30

UE 52

Maîtrise des

ambiances,

éclairage (TD)

(P. Joanne)

Groupes selon calendrier

salles 1A 03, 1A 04

9h00 - 13h00

UE 51.1

Architecture Ville

Mobilité

(J-F Renaud, V.

Didelon)

TD

Studios 2A 09 et 10

9h00 - 13h00

UE 51.2

Mais qu'est-ce

donc qu'un espace

public ?

(P. Amphoux)

TD

Plateau 0C

8h00 - 9h00 Horaire à

confirmer

UE AI 31 - Double cursus

archi / ingénieur

Mathématiques (?)

Salle 1A 03

9h00 - 11h00

UE 53 Histoire du

logement social

(M-P. Halgand)

Amphi 150

11h15 - 13h15

UE 53 Sociologie

urbaine

(E. Pasquier)

Amphi 150

14h00 - 17h00

UE 53 - Le

logement social

(TD)

(E. Roy, MP Halgand)

Dates à préciser

Salles 1A 02, 03 et

04 et 1B 12, 13 et 14

9h00 - 10h00

UE 52

Maîtrise des

ambiances

(éclairage)

(P. Joanne) / Cours,

8 séances

Auditorium

10h15 - 12h45

UE 52

Maîtrise des

ambiances,

éclairage (TD)

(P. Joanne)

Groupes selon calendrier

salles 1A 03, 1A 04

16h45 - 18h45

UE 52 - Analyse

de structures

Cours / (F. Moisan)

Amphi 150

14h00 - 16h30

Horaire à confirmer

UE AI 32 - Double cursus

archi / ingénieur

MCC : modèles de

l'ingénieur (RDM)

Cours à l'ECN

Lundi Mardi8 h 00 8 h 00

8 h 15 8 h 15

8 h 30 8 h 30

8 h 45 8 h 45

9 h 00 9 h 00

9 h 15 9 h 15

9 h 30 9 h 30

9 h 45 9 h 45

10 h 00 10 h 0010 h 15 10 h 15

10 h 30 10 h 30

10 h 45 10 h 45

11 h 00 11 h 00

11 h 15 11 h 15

11 h 30 11 h 30

11 h 45 11 h 45

12 h 00 12 h 00

12 h 15 12 h 15

12 h 30 12 h 30

12 h 45 12 h 45

13 h 00 13 h 0013 h 15 13 h 15

13 h 30 13 h 30

13 h 45 13 h 45

14 h 00 14 h 00

14 h 15 14 h 15

14 h 30 14 h 30

14 h 45 14 h 45

15 h 00 15 h 00

15 h 15 15 h 15

15 h 30 15 h 30

15 h 45 15 h 45

16 h 00 16 h 00

16 h 15 16 h 15

16 h 30 16 h 30

16 h 45 16 h 45

17 h 00 17 h 0017 h 15 17 h 15

17 h 30 17 h 30

17 h 45 17 h 45

18 h 00 18 h 0018 h 15 18 h 15

18 h 30 18 h 30

18 h 45 18 h 45

19 h 00 19 h 0019 h 15 19 h 15

19 h 30 19 h 30

version du 12/07/10

12h00 - 13h00

UE 53 - Anglais

(cours) 13 séances

(J. Cush)

début le 17 sept

Amphi 100

UE 34

Atelier VOLUME 2

(du 25 au 29

janvier)

4 groupes en

intensif

Ateliers OC 08, 09,

10 et 11

Jeudi

14h30 - 15h45

UE 53 - Anglais (TD)

(J. Catherine) par groupes

début des TD le 17 septembre

Salles 1A 02,03,04 et 1B12, 1B 13, 1B 14

Vendredi

14h00 - 18h00

UE 51.1

Architecture Ville

Mobilité

(J-F Renaud, V.

Didelon)

TD

Studios 2A 09 / 10

11h45 - 13h45

UE 53 - Espagnol

Cours + TD

(J. Blin)

début des cours/TD

le 17/09

Salle 1B 10

11h45 - 13h45

UE 53 - Allemand

Cours + TD

(J. Schluter)

début des cours/TD

le 17/09

Salle 1B 11

14h00 - 16h30

UE 54

Ateliers Image

De l'idée au projet

(salle 1A 04)

Communication

visuelle

(1B 11)

14h00 - 18h00

UE 51.2

Mais qu'est-ce

donc qu'un espace

public ?

(P. Amphoux)

TD

Plateau 0C

9h15 - 11h15

Horaire à confirmer

UE A1 31 - Double

cursus archi / ingénieur

Mathématiques (TD)

Salle 1A 03

16h30 - 19h30

UE 51.1

Architecture Ville Mobilité

(J-F Renaud, V. Didelon)

(8 séances, début le 15/09 puis selon calendrier)

Séminaire

Studios 2A 09

et 2A 10 ou Amphi 100

S52010/2011

Mercredi

EC

OL

E N

AT

ION

AL

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UP

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IEU

RE

D'A

RC

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EC

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010-2

011

Déb

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tem

bre

2009

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rem

ier

cyle

(L

icen

ce 3

) -

S5

9h00 - 11h30

UE 51.2

Mais qu'est-ce

donc qu'un espace

public ?

(P. Amphoux)

Selon calendrier

Séminaire

Amphi 100

8h00 - 10h30

UE 52 - Analyse de structures (TD)

(Francis Moisan)

6 séances, selon calendrier

Multimédia 1B 03 et 04

10h45 - 13h15

UE 54

Ateliers Image

Approche

créative…

(Salle multi 1B 05)

La ville en

question

(Salle multi 1B 07)

14h00 - 16h30

UE 52

Maîtrise des

ambiances,

éclairage (TD)

(P. Joanne)

Groupes selon calendrier

salles 1A 03, 1A 04

9h00 - 13h00

UE 51.1

Architecture Ville

Mobilité

(J-F Renaud, V.

Didelon)

TD

Studios 2A 09 et 10

9h00 - 13h00

UE 51.2

Mais qu'est-ce

donc qu'un espace

public ?

(P. Amphoux)

TD

Plateau 0C

8h00 - 9h00 Horaire à

confirmer

UE AI 31 - Double cursus

archi / ingénieur

Mathématiques (?)

Salle 1A 03

9h00 - 11h00

UE 53 Histoire du

logement social

(M-P. Halgand)

Amphi 150

11h15 - 13h15

UE 53 Sociologie

urbaine

(E. Pasquier)

Amphi 150

14h00 - 17h00

UE 53 - Le

logement social

(TD)

(E. Roy, MP Halgand)

Dates à préciser

Salles 1A 02, 03 et

04 et 1B 12, 13 et 14

9h00 - 10h00

UE 52

Maîtrise des

ambiances

(éclairage)

(P. Joanne) / Cours,

8 séances

Auditorium

10h15 - 12h45

UE 52

Maîtrise des

ambiances,

éclairage (TD)

(P. Joanne)

Groupes selon calendrier

salles 1A 03, 1A 04

16h45 - 18h45

UE 52 - Analyse

de structures

Cours / (F. Moisan)

Amphi 150

14h00 - 16h30

Horaire à confirmer

UE AI 32 - Double cursus

archi / ingénieur

MCC : modèles de

l'ingénieur (RDM)

Cours à l'ECN

��4

emplois du temps

��5

Emplois du temps1ère année du deuxième cycle (Master 1) - S7

ANNEE UNIVERSITAIRE 2010-2011Début des cours : Lundi 13 septembre 2010

Jeudi Vendredi8 h 00 8 h 00

8 h 15 8 h 15

8 h 30 8 h 30

8 h 45 9 h 00 - 13 h 00 9 h 00 - 13 h 00 8 h 45

9 h 00 9 h 00

9 h 15 9 h 15

9 h 30 9 h 30

9 h 45 9 h 45

10 h 00 10 h 00

10 h 15 10 h 15

10 h 30 10 h 30

10 h 45 10 h 45

11 h 00 11 h 00

11 h 15 11 h 15

11 h 30 11 h 30

11 h 45 11 h 45

12 h 00 12 h 00

12 h 15 12 h 15

12 h 30 12 h 30

12 h 45 12 h 45

13 h 00 13 h 00

13 h 15 13 h 15

13 h 30 13 h 30

13 h 45 14 h 00 - 18 h 00 13 h 45

14 h 00 14 h 00

14 h 15 14 h 15

14 h 30 14 h 30

14 h 45 14 h 45

15 h 00 15 h 00

15 h 15 15 h 15

15 h 30 15 h 30

15 h 45 15 h 45

16 h 00 16 h 00

16 h 15 16 h 15

16 h 30 16 h 30

16 h 45 16 h 45

17 h 00 17 h 00

17 h 15 17 h 15

17 h 30 17 h 30

17 h 45 17 h 45

version du 12/07/10

UE 71 Projet architectural 1

UE 71-a (DE1): Villes en mutations

(1A 01)

UE 71-c (DE2) : Patrimoine en devenir

(2B 09)

UE 71-d (DE2) :

Les ambiances à l'épreuve du projet

(2B 08)

UE 71-e (DE3) :

Conception architecturale et ... (1B 01)

UE 71-f (DE3) :

Architecture et scénologie urbaine (2A 06)

UE 71-g (DE4): Habiter le rythme (2A 07)

UE 71-h (DE4):

Architecture en représentation (2A 11)

14h00 - 17h30

UE 72

Formes architecturales

et urbaines et

phénomènes

d'ambiance

(P. Joanne)

Salle 1B10

14h00 - 17h30

UE 72

Structures

constructives 1

(B. Boris/F. Miguet)

Salle 1A 04

8h30 - 11h30

UE 73 Anglais

Entretiens selon

calendrier

Salles

1B 12 (T. Powell)

1B 13 (A. Ryan)

1B 14 (C. Lord)

11h30 - 12h30

UE73 Anglais (cours)

C. Lord

(8 séances, début le

15/09)

Amphi 100

14h00 - 18h00

UE 74

Mémoire 1

Cours et séminaires

(14h00-16h00)

6 séances de cours du 15/09 au 20/10

+

1 séminaire au choix parmi 12 proposés

(M-P. Halgand - P. Joanne)

Cours : Amphi 100

Séminaires : selon groupes

8h30 - 12h30

UE 72

Histoire des cultures

contemporaines

(T. Hammoudi)

Amphi 100

9h00 - 12h00

UE 72

Cultures urbaines

(cours + TD)

+ 1 journée de visite

(G. Bienvenu et MP.

Halgand)

Amphi 100

EC

OL

E N

AT

ION

AL

E S

UP

ER

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RE

D'A

RC

HIT

EC

TU

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NT

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SIT

AIR

E 2

010-2

011

Déb

ut

des c

ou

rs :

Lu

nd

i 13 s

ep

tem

bre

2010

EM

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- S

7

S72010/2011

Lundi Mardi Mercredi

11h00 - 13h00

UE73 Allemand

(C+TD)

J. Schluter

(12 séances)

Salle 1B 11

11h00 - 13h00

UE73 Espagnol

(C+TD)

J. Blin

(12 séances)

Salle 1B 10

UE 71 Projet architectural 1

UE 71-a (DE1): Villes en mutations

(1A 01)

UE 71-c (DE2) : Patrimoine en devenir

(2B 09)

UE 71-d (DE2) :

Les ambiances à l'épreuve du projet

(2B 08)

UE 71-e (DE3) :

Conception architecturale et ... (1B 01)

UE 71-f (DE3) :

Architecture et scénologie urbaine (2A 06)

UE 71-g (DE4): Habiter le rythme (2A 07)

UE 71-h (DE4):

Architecture en représentation (2A 11)

UE 71 Projet architectural 1

UE 71-a (DE1): Villes en mutations

(1A 01)

UE 71-c (DE2) : Patrimoine en devenir

(2B 09)

UE 71-d (DE2) :

Les ambiances à l'épreuve du projet

(2B 08)

UE 71-e (DE3) :

Conception architecturale et ... (1B 01)

UE 71-f (DE3) :

Architecture et scénologie urbaine (2A 06)

UE 71-g (DE4): Habiter le rythme (2A 07)

UE 71-h (DE4):

Architecture en représentation (2A 11)

Jeudi Vendredi8 h 00 8 h 00

8 h 15 8 h 15

8 h 30 8 h 30

8 h 45 9 h 00 - 13 h 00 9 h 00 - 13 h 00 8 h 45

9 h 00 9 h 00

9 h 15 9 h 15

9 h 30 9 h 30

9 h 45 9 h 45

10 h 00 10 h 00

10 h 15 10 h 15

10 h 30 10 h 30

10 h 45 10 h 45

11 h 00 11 h 00

11 h 15 11 h 15

11 h 30 11 h 30

11 h 45 11 h 45

12 h 00 12 h 00

12 h 15 12 h 15

12 h 30 12 h 30

12 h 45 12 h 45

13 h 00 13 h 00

13 h 15 13 h 15

13 h 30 13 h 30

13 h 45 14 h 00 - 18 h 00 13 h 45

14 h 00 14 h 00

14 h 15 14 h 15

14 h 30 14 h 30

14 h 45 14 h 45

15 h 00 15 h 00

15 h 15 15 h 15

15 h 30 15 h 30

15 h 45 15 h 45

16 h 00 16 h 00

16 h 15 16 h 15

16 h 30 16 h 30

16 h 45 16 h 45

17 h 00 17 h 00

17 h 15 17 h 15

17 h 30 17 h 30

17 h 45 17 h 45

version du 12/07/10

UE 71 Projet architectural 1

UE 71-a (DE1): Villes en mutations

(1A 01)

UE 71-c (DE2) : Patrimoine en devenir

(2B 09)

UE 71-d (DE2) :

Les ambiances à l'épreuve du projet

(2B 08)

UE 71-e (DE3) :

Conception architecturale et ... (1B 01)

UE 71-f (DE3) :

Architecture et scénologie urbaine (2A 06)

UE 71-g (DE4): Habiter le rythme (2A 07)

UE 71-h (DE4):

Architecture en représentation (2A 11)

14h00 - 17h30

UE 72

Formes architecturales

et urbaines et

phénomènes

d'ambiance

(P. Joanne)

Salle 1B10

14h00 - 17h30

UE 72

Structures

constructives 1

(B. Boris/F. Miguet)

Salle 1A 04

8h30 - 11h30

UE 73 Anglais

Entretiens selon

calendrier

Salles

1B 12 (T. Powell)

1B 13 (A. Ryan)

1B 14 (C. Lord)

11h30 - 12h30

UE73 Anglais (cours)

C. Lord

(8 séances, début le

15/09)

Amphi 100

14h00 - 18h00

UE 74

Mémoire 1

Cours et séminaires

(14h00-16h00)

6 séances de cours du 15/09 au 20/10

+

1 séminaire au choix parmi 12 proposés

(M-P. Halgand - P. Joanne)

Cours : Amphi 100

Séminaires : selon groupes

8h30 - 12h30

UE 72

Histoire des cultures

contemporaines

(T. Hammoudi)

Amphi 100

9h00 - 12h00

UE 72

Cultures urbaines

(cours + TD)

+ 1 journée de visite

(G. Bienvenu et MP.

Halgand)

Amphi 100

EC

OL

E N

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ION

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011

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0

EM

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OI

DU

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1ère

an

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(M

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ter

1)

- S

7

S72010/2011

Lundi Mardi Mercredi

11h00 - 13h00

UE73 Allemand

(C+TD)

J. Schluter

(12 séances)

Salle 1B 11

11h00 - 13h00

UE73 Espagnol

(C+TD)

J. Blin

(12 séances)

Salle 1B 10

UE 71 Projet architectural 1

UE 71-a (DE1): Villes en mutations

(1A 01)

UE 71-c (DE2) : Patrimoine en devenir

(2B 09)

UE 71-d (DE2) :

Les ambiances à l'épreuve du projet

(2B 08)

UE 71-e (DE3) :

Conception architecturale et ... (1B 01)

UE 71-f (DE3) :

Architecture et scénologie urbaine (2A 06)

UE 71-g (DE4): Habiter le rythme (2A 07)

UE 71-h (DE4):

Architecture en représentation (2A 11)

UE 71 Projet architectural 1

UE 71-a (DE1): Villes en mutations

(1A 01)

UE 71-c (DE2) : Patrimoine en devenir

(2B 09)

UE 71-d (DE2) :

Les ambiances à l'épreuve du projet

(2B 08)

UE 71-e (DE3) :

Conception architecturale et ... (1B 01)

UE 71-f (DE3) :

Architecture et scénologie urbaine (2A 06)

UE 71-g (DE4): Habiter le rythme (2A 07)

UE 71-h (DE4):

Architecture en représentation (2A 11)

��6

emplois du temps

��7

Emplois du temps2ère année du deuxième cycle (Master 2) - S9

ANNEE UNIVERSITAIRE 2010-2011Début des cours : Lundi 13 septembre 2010

Lundi Mardi Jeudi8 h 00 8 h 00

8 h 15 8 h 15

8 h 30 8 h 30

8 h 45 9 h 00 - 13 h 00 8 h 45

9 h 00 9 h 00

9 h 15 9 h 15

9 h 30 9 h 30

9 h 45 9 h 45

10 h 00 10 h 00

10 h 15 10 h 15

10 h 30 10 h 30

10 h 45 10 h 45

11 h 00 11 h 00

11 h 15 11 h 15

11 h 30 11 h 30

11 h 45 11 h 45

12 h 00 12 h 00

12 h 15 12 h 15

12 h 30 12 h 30

12 h 45 12 h 45

13 h 00 13 h 00

13 h 15 13 h 15

13 h 30 13 h 30

13 h 45 14 h 00 - 18 h 00 13 h 45

14 h 00 14 h 00

14 h 15 14 h 15

14 h 30 14 h 30

14 h 45 14 h 45

15 h 00 15 h 00

15 h 15 15 h 15

15 h 30 15 h 30

15 h 45 15 h 45

16 h 00 16 h 00

16 h 15 16 h 15

16 h 30 16 h 30

16 h 45 16 h 45

17 h 00 17 h 00

17 h 15 17 h 15

17 h 30 17 h 30

17 h 45 17 h 45

18 h 00 18 h 00

version du 12/07/10

11h00 - 13h00

UE73 Allemand

(C+TD)

J. Schluter

(12 séances)

Salle 1B 11

14h00 - 18h00

UE 93

14h00 - 16H00

Planification et gestion du projet urbain

(P. Besseau)

16h00 - 18H00

Droit de l'urbanisme

(A. Plateau)

Amphi 150

UE 91 : Projet architectural 3

UE 91-a (DE1): Villes en mutations

(1A 01)

UE 91-c (DE2) : Patrimoine en devenir

(2B 09)

UE 91-d (DE2) :

Les ambiances à l'épreuve du projet

(2B 08)

UE 91-e (DE3) :

Conception architecturale et ... (1B 01)

UE 91-f (DE3) :

Architecture et scénologie urbaine (2A

06)

UE 91-g (DE4): Habiter le rythme (2A 07)

UE 91-h (DE4):

Architecture en représentation (2A 11)

14h00 - 17h30

UE 72

Structures

constructives 1

(B. Boris/F. Miguet)

Salle 1A 04

8h30 - 11h30

UE 94 Anglais

Entretiens selon

calendrier

(début des

entretiens le 16

septembre)

Salles

1B 12 (T. Powell)

1B 13 (A. Ryan)

1B 14 (C. Lord)

11h30 - 12h30

UE94 Anglais (cours)

C. Lord

(8 séances, début le

15/09)

Amphi 100

11h00 - 13h00

UE73 Espagnol

(C+TD)

J. Blin

(12 séances)

Salle 1B 10

UE 91 : Projet architectural 3

UE 91-a (DE1): Villes en mutations

(1A 01)

UE 91-c (DE2) : Patrimoine en devenir

(2B 09)

UE 91-d (DE2) :

Les ambiances à l'épreuve du projet

(2B 08)

UE 91-e (DE3) :

Conception architecturale et ... (1B 01)

UE 91-f (DE3) :

Architecture et scénologie urbaine (2A 06)

UE 91-g (DE4): Habiter le rythme (2A 07)

UE 91-h (DE4):

Architecture en représentation (2A 11)

9h00 - 12h30

UE 92

Cultures urbaines

(cours + TD)

(G. Bienvenu et MP.

Halgand)

Amphi 100

UE 91 : Projet architectural 3

(séance supplémentaire réservée à la

préparation du PFE)

UE 91-a (DE1): Villes en mutations

(1A 01)

UE 91-c (DE2) : Patrimoine en devenir

(2B 09)

UE 91-d (DE2) :

Les ambiances à l'épreuve du projet

(2B 08)

UE 91-e (DE3) :

Conception architecturale et ... (1B 01)

UE 91-f (DE3) :

Architecture et scénologie urbaine (2A

06)

UE 91-g (DE4): Habiter le rythme (2A 07)

UE 91-h (DE4):

Architecture en représentation (2A 11)

Vendredi

14 h 00 - 18 h 00

S92010/2011

EC

OL

E N

AT

ION

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HIT

EC

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0-2

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(M

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2)

- S

9

Mercredi

8h30 - 12h30

UE 72

Histoire des

cultures

contemporaines

(T. Hammoudi)

Amphi 100

14h00 - 17h30

UE 92

Formes

architecturales et

urbaines et

phénomènes

d'ambiance

(P. Joanne)

Salle 1B10

UE 91 : Projet architectural 3

UE 91-a (DE1): Villes en mutations

(1A 01)

UE 91-c (DE2) : Patrimoine en devenir

(2B 09)

UE 91-d (DE2) :

Les ambiances à l'épreuve du projet

(2B 08)

UE 91-e (DE3) :

Conception architecturale et ... (1B 01)

UE 91-f (DE3) :

Architecture et scénologie urbaine (2A 06)

UE 91-g (DE4): Habiter le rythme (2A 07)

UE 91-h (DE4):

Architecture en représentation (2A 11)

9 h 00 - 13 h 00

Lundi Mardi Jeudi8 h 00 8 h 00

8 h 15 8 h 15

8 h 30 8 h 30

8 h 45 9 h 00 - 13 h 00 8 h 45

9 h 00 9 h 00

9 h 15 9 h 15

9 h 30 9 h 30

9 h 45 9 h 45

10 h 00 10 h 00

10 h 15 10 h 15

10 h 30 10 h 30

10 h 45 10 h 45

11 h 00 11 h 00

11 h 15 11 h 15

11 h 30 11 h 30

11 h 45 11 h 45

12 h 00 12 h 00

12 h 15 12 h 15

12 h 30 12 h 30

12 h 45 12 h 45

13 h 00 13 h 00

13 h 15 13 h 15

13 h 30 13 h 30

13 h 45 14 h 00 - 18 h 00 13 h 45

14 h 00 14 h 00

14 h 15 14 h 15

14 h 30 14 h 30

14 h 45 14 h 45

15 h 00 15 h 00

15 h 15 15 h 15

15 h 30 15 h 30

15 h 45 15 h 45

16 h 00 16 h 00

16 h 15 16 h 15

16 h 30 16 h 30

16 h 45 16 h 45

17 h 00 17 h 00

17 h 15 17 h 15

17 h 30 17 h 30

17 h 45 17 h 45

18 h 00 18 h 00

version du 12/07/10

11h00 - 13h00

UE73 Allemand

(C+TD)

J. Schluter

(12 séances)

Salle 1B 11

14h00 - 18h00

UE 93

14h00 - 16H00

Planification et gestion du projet urbain

(P. Besseau)

16h00 - 18H00

Droit de l'urbanisme

(A. Plateau)

Amphi 150

UE 91 : Projet architectural 3

UE 91-a (DE1): Villes en mutations

(1A 01)

UE 91-c (DE2) : Patrimoine en devenir

(2B 09)

UE 91-d (DE2) :

Les ambiances à l'épreuve du projet

(2B 08)

UE 91-e (DE3) :

Conception architecturale et ... (1B 01)

UE 91-f (DE3) :

Architecture et scénologie urbaine (2A

06)

UE 91-g (DE4): Habiter le rythme (2A 07)

UE 91-h (DE4):

Architecture en représentation (2A 11)

14h00 - 17h30

UE 72

Structures

constructives 1

(B. Boris/F. Miguet)

Salle 1A 04

8h30 - 11h30

UE 94 Anglais

Entretiens selon

calendrier

(début des

entretiens le 16

septembre)

Salles

1B 12 (T. Powell)

1B 13 (A. Ryan)

1B 14 (C. Lord)

11h30 - 12h30

UE94 Anglais (cours)

C. Lord

(8 séances, début le

15/09)

Amphi 100

11h00 - 13h00

UE73 Espagnol

(C+TD)

J. Blin

(12 séances)

Salle 1B 10

UE 91 : Projet architectural 3

UE 91-a (DE1): Villes en mutations

(1A 01)

UE 91-c (DE2) : Patrimoine en devenir

(2B 09)

UE 91-d (DE2) :

Les ambiances à l'épreuve du projet

(2B 08)

UE 91-e (DE3) :

Conception architecturale et ... (1B 01)

UE 91-f (DE3) :

Architecture et scénologie urbaine (2A 06)

UE 91-g (DE4): Habiter le rythme (2A 07)

UE 91-h (DE4):

Architecture en représentation (2A 11)

9h00 - 12h30

UE 92

Cultures urbaines

(cours + TD)

(G. Bienvenu et MP.

Halgand)

Amphi 100

UE 91 : Projet architectural 3

(séance supplémentaire réservée à la

préparation du PFE)

UE 91-a (DE1): Villes en mutations

(1A 01)

UE 91-c (DE2) : Patrimoine en devenir

(2B 09)

UE 91-d (DE2) :

Les ambiances à l'épreuve du projet

(2B 08)

UE 91-e (DE3) :

Conception architecturale et ... (1B 01)

UE 91-f (DE3) :

Architecture et scénologie urbaine (2A

06)

UE 91-g (DE4): Habiter le rythme (2A 07)

UE 91-h (DE4):

Architecture en représentation (2A 11)

Vendredi

14 h 00 - 18 h 00

S92010/2011

EC

OL

E N

AT

ION

AL

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RE

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RC

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EC

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E 2

010-2

011

Déb

ut

des c

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Lu

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i 13 s

ep

tem

bre

2010

EM

PL

OI D

U T

EM

PS

- 2

ère

an

née d

u d

eu

xiè

me c

ycle

(M

aste

r 2)

- S

9Mercredi

8h30 - 12h30

UE 72

Histoire des

cultures

contemporaines

(T. Hammoudi)

Amphi 100

14h00 - 17h30

UE 92

Formes

architecturales et

urbaines et

phénomènes

d'ambiance

(P. Joanne)

Salle 1B10

UE 91 : Projet architectural 3

UE 91-a (DE1): Villes en mutations

(1A 01)

UE 91-c (DE2) : Patrimoine en devenir

(2B 09)

UE 91-d (DE2) :

Les ambiances à l'épreuve du projet

(2B 08)

UE 91-e (DE3) :

Conception architecturale et ... (1B 01)

UE 91-f (DE3) :

Architecture et scénologie urbaine (2A 06)

UE 91-g (DE4): Habiter le rythme (2A 07)

UE 91-h (DE4):

Architecture en représentation (2A 11)

9 h 00 - 13 h 00

��8

plans

��9

Plans

niveau 0A niveau 0B

��0

plans

���

niveau �A Service des études �A

���

plans

���

niveau �B niveau �A

��4

plans

��5

niveau �B

��6

calendrier pédagogique

��7

Calendrier Pédagogique

Ensa Nantes Le 08 juillet 2010

SEPTEMBRE OCTOBRE NOVEMBRE DECEMBRE JANVIER FEVRIER1 M 1 V 1 1 1 1 M

2 J 2 S 2 2 2 2 M

3 V 3 D 3 3 3 3 J

4 S 4 L 4 4 4 4 M 4 V

5 D 5 M 5 5 5 M 5 S

6 L 6 M 6 6 6 J 6 D

7 M 7 J 7 7 7 V 7 L

8 M Réunion rentrée 8 V 8 8 8 S 8 M

9 J 9 S 9 9 9 9 M

10 V 10 D 10 10 10 10 J

11 S 11 L 5 11 11 11 11 V

12 D 12 M 12 12 12 12 S

13 L Début 1er sem 1 13 M 13 13 13 13 D

14 M 14 J 14 14 M 14 14 L

15 M 15 V 15 15 M 15 15 M

16 J 16 S 16 16 J 16 16 M

17 V 17 D 17 17 V 17 17 J

18 S 18 L 6 18 18 S 18 18 V

19 D 19 M 19 19 D 19 19 S

20 L 2 20 M 20 20 20 20 D

21 M 21 J 21 21 21 21 L Début du 2nd sem 1

22 M 22 V 22 22 22 22 M

23 J 23 S 23 23 23 23 M

24 V 24 D 24 24 24 24 J

25 S 25 L 25 25 25 25 V

26 D 26 M 26 26 26 26 S

27 L 3 27 M 27 27 27 27 D

28 M 28 J 28 28 28 28 L 2

29 M 29 V 29 29 29

30 J 30 S 30 30 30

31 D 31 31

1 M 1 V 1 1 M 1 1 L

2 M 2 S 2 2 J Ascension 2 2 M

3 J 3 D 3 3 V 3 3 M

4 V 4 L 7 4 4 S 4 4 J

5 S 5 M 5 5 5 5 V

6 D 6 M 6 6 6 6 S

7 L 3 7 J 7 7 M 7 7 D

8 M 8 V 8 8 M 8 8 L

9 M 9 S 9 9 J 9 9 M

10 J 10 D 10 10 V 10 10 M

11 V 11 L 8 11 11 S 11 11 J

12 S 12 M 12 12 12 12 V

13 D 13 M 13 13 13 13 S

14 L 4 14 J 14 14 14 14 D

15 M 15 V 15 15 15 15 L

16 M 16 S 16 16 16 16 M

17 J 17 D 17 17 17 17 M

18 V 18 L 9 18 18 18 18 J

19 S 19 M 19 19 19 19 V

20 D 20 M 20 20 20 20 S

21 L 5 21 J 21 21 21 21 D

22 M 22 V 22 22 22 22 L

23 M 23 S 23 23 23 23 M

24 J 24 D 24 24 24 24 M

25 V 25 L Pâques 25 25 25 25 J

26 S 26 M 26 26 26 26 V

27 D 27 M 27 27 27 27 S

28 L 6 28 J 28 28 28 28 D

29 M 29 V 29 29 29 29 L

30 M 30 S 30 30 30 30 M

31 J 31 M 31 31 MD

Légende :en violet : semaines de coursen jaune : sessions d'examenen bleu : semaines intensivesen vert : congés zone A

Les fermetures de l'école pour les congés sont sous réserve de confirmation par le comité technique paritaire (CTP)

D M V

L 14 J S

V L 18 M

S M J

M S L

J D M

L 13 J S

M V D

S M J

D M V

J D M

V L 17 M

M V D

M S L

D M V

L 12 J S

V L Pentecôte M

S M 16 J Fête nationale

M D

M L

J D M

S J

D Victoire 1945 V

L 11 S

M L

J D M

V L 15 M

AOUTD Fête du travail V

L 10 S

M D

MARS AVRIL MAI JUIN JUILLET

M J D

V L 18

D M V

L 11 M S

V D M

S L J

M V L 17

J S M

L 10 M S

M J D

V M

S L J

D M V

M D

M L 16

J M

S L 13 J

D V

L 9 S

J Armistice 1918 S M

V D M

M J D

M V L 15

S L 12

D M

L 8 M

M V L 14

J S

V D

Ensa Nantes - Calendrier pédagogique 2010-2011

L Toussaint M S

M 7 J D

Congésétudiantsenarchitecture sansfermeturede l'école

voyage3è

année

Fermeture école

Fermetureécole

Fermetureécole