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1 MA DOUCHE AVEC MON FILS J’ai fini par accepter mais je ne sais pas si j’ai bien fait. Mon fils de quatorze ans me demande depuis des mois avec insistance que nous prenions notre douche ensemble. Il est élève au collège local, et nous vivons à deux depuis que son père nous a quittés, il y a dix ans à présent. Il faut dire que cette demande survient dans un contexte particulier. J’ai 38 ans, et depuis notre séparation j’ai eu des aventures mais jamais je n’ai envisagé quelque chose de suivi avec un autre homme. J’ai toujours privilégié la relation avec mon fils pour qu’il grandisse au mieux. Je n’ai jamais voulu qu’un autre homme fasse irruption dans notre vie, pour ne pas le perturber. Une profonde et tendre complicité nous unit. Je la vivais avec bonheur comme la relation d’une mère à son fils, sans rien de plus. Jusqu’il y a peu je pensais qu’il en allait de même pour lui. Mais voilà déjà plusieurs mois que j’ai remarqué des faits qui me font m’interroger sur la nature de ses sentiments. Cela a commencé par des taches gluantes que j’ai remarquées sur mes culottes au linge sale. Je les ai vite identifiées comme des taches de sperme. Cela ne pouvait venir que de mon fils, le seul homme qui vive avec moi. Au début j’ai été très choquée, car je le voyais toujours comme mon bébé. Mais j’ai dû me faire à cette idée qu’à côté de moi il y a un homme dans tous les sens du terme. Cela me trouble aussi, cette idée que le fruit ma chair est devenue un adulte à la sexualité développée : le fait que ce soit mon fils me rend plus sensible à cette virilité, bien plus que celle de tout autre homme. Bien sûr je garde ce trouble pour moi et jamais je n’aurais l’idée d’aller vers lui comme une femme, la sexualité ne peut pas faire partie de notre relation de mère et fils. Régulièrement maintenant je trouve mes culottes sales encore humides et odorantes de son sperme. D’autres faits se sont ajoutés. J’ai surpris ses regards insistants sur mon corps lorsque je suis habillée légèrement dans l’intimité de notre appartement : chemise de nuit au lever, ou tenues d’été. Je crois qu’il m’espionne lorsque je suis dans la salle de bains. Il m’est aussi arrivé plusieurs fois de trouver la porte de ma chambre entrouverte le matin en me réveillant, alors que j’étais certaine de l’avoir fermée le soir en allant dormir. Personne d’autre que lui ne pouvait l’avoir ouverte durant la nuit. Il m’arrive aussi de retrouver le matin dans la poubelle de la salle de bains des mouchoirs en papier souillés de sperme. Je suspecte donc mon fils de venir me regarder la nuit pendant mon sommeil et de se masturber.

Ma Douche Avec Mon Fils

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Une mère prend sa douche avec son fils qui en profite.

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MA DOUCHE AVEC MON FILS

J’ai fini par accepter mais je ne sais pas si j’ai bien fait.

Mon fils de quatorze ans me demande depuis des mois avec insistance que nous prenions notre douche ensemble.

Il est élève au collège local, et nous vivons à deux depuis que son père nous a quittés, il y a dix ans à présent.

Il faut dire que cette demande survient dans un contexte particulier.

J’ai 38 ans, et depuis notre séparation j’ai eu des aventures mais jamais je n’ai envisagé quelque chose de suivi avec un autre homme. J’ai toujours privilégié la relation avec mon fils pour qu’il grandisse au mieux. Je n’ai jamais voulu qu’un autre homme fasse irruption dans notre vie, pour ne pas le perturber.

Une profonde et tendre complicité nous unit.

Je la vivais avec bonheur comme la relation d’une mère à son fils, sans rien de plus.

Jusqu’il y a peu je pensais qu’il en allait de même pour lui.

Mais voilà déjà plusieurs mois que j’ai remarqué des faits qui me font m’interroger sur la nature de ses sentiments.

Cela a commencé par des taches gluantes que j’ai remarquées sur mes culottes au linge sale.

Je les ai vite identifiées comme des taches de sperme.

Cela ne pouvait venir que de mon fils, le seul homme qui vive avec moi.

Au début j’ai été très choquée, car je le voyais toujours comme mon bébé.

Mais j’ai dû me faire à cette idée qu’à côté de moi il y a un homme dans tous les sens du terme.

Cela me trouble aussi, cette idée que le fruit ma chair est devenue un adulte à la sexualité développée : le fait que ce soit mon fils me rend plus sensible à cette virilité, bien plus que celle de tout autre homme.

Bien sûr je garde ce trouble pour moi et jamais je n’aurais l’idée d’aller vers lui comme une femme, la sexualité ne peut pas faire partie de notre relation de mère et fils.

Régulièrement maintenant je trouve mes culottes sales encore humides et odorantes de son sperme.

D’autres faits se sont ajoutés.

J’ai surpris ses regards insistants sur mon corps lorsque je suis habillée légèrement dans l’intimité de notre appartement : chemise de nuit au lever, ou tenues d’été.

Je crois qu’il m’espionne lorsque je suis dans la salle de bains.

Il m’est aussi arrivé plusieurs fois de trouver la porte de ma chambre entrouverte le matin en me réveillant, alors que j’étais certaine de l’avoir fermée le soir en allant dormir.

Personne d’autre que lui ne pouvait l’avoir ouverte durant la nuit.

Il m’arrive aussi de retrouver le matin dans la poubelle de la salle de bains des mouchoirs en papier souillés de sperme.

Je suspecte donc mon fils de venir me regarder la nuit pendant mon sommeil et de se masturber.

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Je dors habillée légèrement, sans sous-vêtements dans des chemises de nuit fines, comme cela a toujours été mon habitude.

Pour mes 38 ans je suis plutôt pas mal, et beaucoup me donnent bien moins que mon âge.

J’ai la chance d’avoir gardé une silhouette fine malgré une grossesse. Mon ventre est resté ferme et je n’ai pas de graisse accumulée sur le corps. Ma poitrine est plutôt petite mais pas inexistante, et cette petite taille lui a épargné de tomber jusqu’à présent.

J’ai donc également petit à petit dû me rendre à l’évidence que mon corps puisse faire de l’effet à mon fils et que sa sexualité s’exprime à mon égard par ces moyens indirects.

Je suis une femme outre sa mère, et lui un homme outre mon fils, et je dois accepter que cette dimension sexuelle imprègne notre relation.

Mais il y a un frein bien établi dans mon esprit à ne pas aller au-delà de ces faits.

Par ailleurs, vu les magazines érotiques qu’il collectionne dans des caches maladroites, je sais qu’il a une sexualité active normale à son âge malgré ses comportements incestueux envers moi.

Je ne lui ai jamais parlé de tout cela, trop gênée pour aborder ce sujet avec lui et lui faire part de mes soupçons et certitudes.

C’est dans ce contexte qu’il m’a un jour demandé pourquoi nous ne prendrions pas notre douche ensemble.

Je suis tombée des nues, et lui ai demandé pourquoi nous ferions ça.

Il m’a alors avancé un tas d’arguments : pourquoi pas, il n’y a pas de gêne entre nous, c’est naturel et innocent, nous n’avons rien à nous cacher, pour économiser l’eau, parfois le temps manque quand il faut se préparer vite tous les deux, pour me laver le dos, pour un moment de tendresse et de complicité, etc...

Au début j’ai refusé, mais il insistait tellement que je lui ai promis de réfléchir.

Il est revenu de nombreuses fois à la charge, toujours plus pressant.

J’ai essayé d’éluder le plus longtemps possible.

Étant donné ses comportements je craignais avant tout qu’il ne tente de profiter de la situation.

En même temps son côté masculin que j’avais accepté me troublait, malgré mes barrières.

Bien sûr je ne pouvais pas lui dire que je ne voulais pas prendre le risque particulier que nous soyons nus l’un en face de l’autre, connaissant ses penchants pour moi et mon trouble envers lui.

À force de discussions, d’arguments et de contre arguments, je me suis résignée à accepter cette demande si particulière.

Le soir, nous allions prendre notre douche ensemble.

Je lui ai fait promettre de ne pas avoir de geste déplacé et de rester respectueux.

Il faisait quasiment des bonds de joie, et m’a enlacée pour m’embrasser sur la joue avec fougue.

La journée s’est passée dans une atmosphère spéciale.

Malgré mes nombreuses occupations un tas de questions m’envahissaient l’esprit : n’avais-je pas tort d’accepter même s’il le voulait tant, comment allait-il se comporter, et si réellement il voulait tenter quelque chose ...

Je sentais aussi un trouble grandir à l’idée de me mettre nue devant un jeune homme viril, mon fils, sachant qu’il s’intéressait à mon corps, et de le voir nu devant moi.

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Le soir venu, je suis remplie de contradiction, prête à lui dire que je renonçai, mais il m’a devancé en arrivant dans la cuisine et en me disant : « Tu es prête ? Je fais couler l’eau ? »

« Écoute, je préfère y aller d’abord et que tu me rejoignes ensuite. »

« D’accord, comme tu veux Maman. »

Je vais à la salle de bains, le feu aux joues, tremblant presque, incertaine.

J’ai encore hésité en fermant la porte, puis soudainement quelque chose s’est enclenché en moi, comme une détermination.

Je me déshabille en rangeant mes vêtements.

J’ouvre l’eau de la douche et lorsqu’elle est à bonne température, je me glisse sous le jet en refermant la porte derrière moi. Je ne l’ai pas attendu longtemps : je vois la porte s’ouvrir, sa silhouette entrer et il se déshabille.

La vitre dépolie de la douche m’empêche de voir les détails de son corps.

Il ouvre la porte de la douche, puis reste immobile, me regardant.

J’ai le temps moi aussi de le détailler. Je le vois comme je le connaissais déjà, mince, bien proportionné.

Au bas de son ventre une toison brune entoure la base de son sexe.

Il n’est pas en érection, mais me semble long, se terminant par un gland en partie découvert.

Je réalise alors qu’il peut se rendre compte de ce que je regarde et détourne le regard en me reculant.

J’ai la tentation de cacher mes seins et mon pubis avec les mains, mais je me rends compte de l’inutilité de cette manœuvre.

Et puis par bravade, je ne veux pas lui paraître gênée par la situation. Enfin il entre sous la douche avec un sourire épanoui d’enfant, me faisant face, presque contre moi.

« Tu es pas mal du tout je dois dire, » me dit-il.

« Merci, mais n’oublie pas que je suis ta mère et que tu m’as promis ... »

« Ne t’inquiète pas Maman, je peux juste remarquer que tu es bien foutue, non ? Tu veux que je te lave le dos ? »

J’accepte, soulagée de pouvoir lui tourner le dos et de me soustraire à ses regards où je décelais un appétit sexuel grandissant.

En regardant les carreaux devant moi je revois son sexe allongé, de taille impressionnante au repos, emplie d’un trouble que je m’efforce de réprimer en pensant que c’est mon fils de quatorze ans qui me trouble comme ça.

Il a arrêté le jet de la douche et après quelques instants je sens un contact froid contre mon dos, qui me fait frissonner.

Il a posé ses mains enduites de gel-douche sur ma peau.

Il se met à les bouger, les pouces joints à hauteur de ma colonne vertébrale, à parcourir mon dos et remonter vers mon cou.

Rapidement la douceur de ce contact, renforcée par le savon, a remplacé la sensation de froid initiale.

Sur tout le trajet de ses mains, ma peau est parcourue de frissons qui irradient vers les côtés.

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Je me détends, laissant ces ondes bienfaisantes me parcourir.

Ses mains montent le long de mon dos, gagnent mon cou, puis repartent vers les épaules, sur le côté du dos, vers le bas en s’arrêtant juste au-dessus des fesses pour repartir vers le haut.

Il sait comment me masser et me détendre, appuyant fermement et tendrement à la fois.

Je n’ai pu m’empêcher de soupirer.

« Ça va ? Tu apprécies ? » me demande-t-il.

Je lui réponds en murmurant : « Oui, tu es très doué. Continue. »

Ses mains poursuivent leur ballet, déviant progressivement leur route pour entourer les côtés de mes épaules et plus bas dans mon dos.

Parfois elles semblent vouloir venir vers l’avant, mais je me soustrais à leur progression en avançant un peu, pour éviter qu’elles ne viennent franchement vers mes seins.

La manœuvre est cependant assez discrète pour que je ne sache pas si elle est volontaire.

Après quelques minutes je suis alanguie, détendue et d’avantage troublée par le contact mouvant sur mon dos et ma nuque, et la sensualité qui s’en dégage.

Si c’était un autre homme que mon fils, je me laisserais aller à un désir que je sens commencer à monter en moi.

Je me demande s’il est conscient de l’effet particulier que son massage produit, si c’est intentionnel.

Je suis consciente que je joue avec le feu et que le trouble va s’accentuer si je ne fais rien pour l’arrêter.

Je suis dans un état second de bien-être et de détente, où mes repères fondent petit à petit.

Je suis seulement consciente de ces mains agiles qui détendent et réveillent mon corps à la fois.

Ma volonté vacille, j’oublie presque que c’est mon fils qui me fait cet effet-là.

Je sens ses mains se poser sur mes épaules et m’attirer en arrière.

Je ne peux que me laisser aller et mon dos touche son torse.

Ses mains sont passées sur mes hanches et m’attirent encore, je sens alors sur le haut de mes fesses un contact plus chaud, plus long et rigide, pointant vers le haut, réalisant que c’est son sexe cette fois en érection qui s’appuie sur moi.

Ce contact me brûle et m’effraie à la fois.

Je me doute alors que son massage est dirigé vers un but bien précis, vers ce que je voulais éviter.

Je cherche mollement à me dégager en avant mais ses mains me serrent contre lui, appuyant plus fort son sexe contre mon dos.

Je proteste : « Mais chéri, ce n’est pas bien, tu ne peux pas... »

« Maman, tu es une femme, ma petite femme chérie de mère, et tu me fais un effet terrible. »

Ses mains toujours enduites de savon ont glissé sur mon ventre et le caressent comme elles le faisaient pour mon dos.

Je ramène mes mains sur mes seins pour lui en interdire l’accès, mais ce mouvement de défense est bien inutile car ses mains continuent sur mon ventre leur ballet brûlant, faisant naître sur leur parcours des frissons intenses qui s’amplifient et se concentrent vers mon bas ventre.

Je sens une chaleur naître entre mes cuisses, mon sexe se gorge petit à petit et je le sens s’ouvrir malgré moi.

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Contre mon dos, je sens son sexe bouger en lents va et vient, comme s’il voulait me masser le bas du dos par cette colonne de chair tendue. Je trouve encore la volonté de protester : « Qu’est-ce que tu fais, s’il te plaît... »

Mais il ne me répond pas.

Je suis prise au piège du désir impérieux de mon fils, et de l’écho qu’il provoque dans mon corps.

Ma volonté de résister s’atténue de plus en plus, face à un besoin, une urgence qui grandit en brûlant mon corps.

Il plie légèrement les jambes, s’abaisse et je sens la pointe de son sexe descendre du bas de mon dos entre mes fesses puis il se pousse en avant en l’insérant entre elles.

La longue progression de sa hampe dure et tendre à la fois, d’abord entre mes fesses puis contre mon sexe provoque des décharges qui m’envahissent toute entière.

Je n’ai plus la force de lui résister mais j’essaie une dernière fois de le ramener à la raison.

Mes mains quittent mes seins et se posent sur les siennes, cherchant vainement à les immobiliser.

« Chéri, ne continue pas, je ne peux plus ... »

« Maman, tu en as envie comme moi, dis-le-moi, avoue... »

Je veux protester, mentir et lui dire que non, mais il dégage ses mains et rapidement s’empare de mes seins dont il trouve vite les pointes pour les taquiner.

Je frissonne fortement à ce contact intempestif, le souffle coupé.

Mes sens me submergent et ma raison m’abandonne, je me sens glisser sans plus pouvoir me retenir, me raccrocher à la raison.

Il le sent et complète encore le feu qu’il a allumé en promenant sa bouche dans mon cou, faisant là aussi naître des frissons qui parcourent tout mon corps.

Son sexe remue contre le mien en longs va et viens d’avant en arrière, ses mains continuent leur ballet sur mes seins.

Je sombre complètement tandis qu’il me dit : « Tu veux que je te prenne, Maman ? Que je vienne en toi ? »

L’aveu brûlant sort enfin de ma bouche : « Oui... oui... viens. Ta Maman est prête pour toi. »

Mon corps achève de s’embraser, j’ai des vertiges, je tremble sur mes jambes à l’idée de ce que nous allons faire.

Ses mains se posent dans mon dos et me guident à me cambrer, il plie encore un peu les jambes puis guide son sexe à l’entrée du mien.

Un violent frisson me secoue lorsque je sens mes lèvres s’écarter sous la poussée de son gland, et tandis que sa hampe m’investit totalement, je hoquette sous la violence du plaisir que le sexe de mon fils provoque dans le mien.

Je parviens à respirer alors qu’il bute au fond de moi, gémissant en haletant.

Un feu brûlant me dévore alors que je réalise pleinement que mon fils est en moi, se retire en partie pour mieux revenir, commence de longs va et vient souples qui attisent mon plaisir. Je ne vois plus, je ne pense plus, je ne suis plus que le plaisir qui m’envahit en vagues montant de mon sexe dans tout mon corps, de plus en plus intenses à chacune de ses poussées.

Elles s’amplifient encore et je sens se creuser entre mes reins la vague de l’orgasme qui va m’engloutir. Totalement ouverte sur son sexe qui me parcourt d’un long frisson continu, je m’alanguis, m’alourdis entre ses bras, mon souffle s’accélère et je me mets à gémir sans arrêt.

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Il sent mon plaisir approcher et me dit : « Oh oui Maman, jouis, jouis sur ma queue, je vais venir aussi. »

Les mots sortent de ma bouche en désordre « oui... oui... viens aussi... donne-moi... ta semence... »

Tout tourne soudain autour de moi, je me crispe tandis que les décharges de l’orgasme me secouent et me coupent la respiration.

Mon fils se tend lui aussi, au plus profond de moi, gémit longuement tandis que je le sens se déverser à longues saccades.

Nous restons immobiles longtemps, encore parcourus de spasmes qui agitent nos deux sexes imbriqués.

Petit à petit je reprends mes esprits et je réalise ce que nous venons de faire, l’énormité de l’acte.

Une sensation intense et brûlante m’envahit, de honte de plaisir et de remord, mais je n’ai pas la force de me dégager de mon fils que je sens toujours en moi.

Je ne sais que faire en ce moment précis.

C’est lui qui finit par se dégager lentement et je me demande comment il va réagir.

« Maman, tu es une femme extraordinaire. Je n’ai jamais eu un plaisir aussi intense. Et toi ? »

« Moi aussi chéri. C’est très mal, mais moi aussi. »

Il m’enlace tendrement, me soutient car je chancelle, encore engourdie de plaisir, me redresse et se presse encore contre moi tandis qu’il ouvre le robinet de la douche pour nous rincer.

L’eau chaude ruisselant sur nous entretien mon engourdissement.

Outre le nuage de plaisir qui se dissipe lentement, les émotions sont encore intenses. Mon cœur bat toujours rapidement, je sens de fins tremblements dans mes jambes qui me font craindre qu’elles me lâchent.

« Chéri, tiens-moi, j’ai peur de tomber. »

« Ça ne va pas M’man ? »

« Si, si, c’est juste que je suis un peu engourdie. »

Il se plaque plus fort contre moi, toujours dans mon dos et ses mains appuient d’avantage sur mon ventre.

De cette manière, je sens le contact doux et tendre de son sexe revenu au repos s’insinuer dans le sillon entre mes fesses.

Je ne songe pas à repousser ce contact, après ce qui vient de se passer.

Je reprends mes esprits progressivement, dans un tourbillon de sentiments.

Il y a d’abord le plaisir sexuel.

Mon fils sera, est déjà, un merveilleux amant. En mélangeant douceur et force il m’a fait jouir intensément. Mon corps frustré le réclamait, le réclame encore.

Ce plaisir a été amplifié par un autre, brûlant, sulfureux : la transgression du tabou ultime qu’est l’inceste. Mon visage, mes joues brûlent encore de cette sensation si forte.

Une relation de chair avec la chair de ma chair !

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C’était la manière la plus absolue, une fois transgressé le tabou, d’être totalement intime avec lui, au-delà de la tendresse normale qui nous lie et qui s’est trouvée amplifiée à l’infini.

Je me sens coupable aussi. Des remords me tourmentent. Bien sûr mon fils a tout fait pour provoquer la situation. Par son insistance des mois passés, ce massage dans la douche. Mais si je n’avais pas été vulnérable, s’il ne l’avait pas perçu, il n’aurait sans doute pas insisté.

Il me connaît, nous avons une relation intense, il m’a deviné, a su trouver la faille.

J’ai aussi une bouffée de tendresse immense pour ce jeune homme qui m’a fait jouir si fort.

Ces pensées dansent dans ma tête et m’étourdissent, alors qu’il me murmure presque à voix basse : « Je t’aime Maman. » Comme lorsqu’il était enfant, que cette déclaration prenait un sens infini.

Il a encore trouvé ce qu’il fallait dire au bon moment.

Ces mots, pourtant presque anodins, me bouleversent, effacent mes remords et m’inondent encore plus de tendresse pour lui.

Fébrilement, je me retourne et l’attire contre moi.

Je le serre fort, mes mains se perdent dans son dos, puis descendent sur ses fesses.

Mes seins se plaquent contre son torse. Par automatisme je me mets à remuer pour les caresser contre lui. Une fièvre intense enflamme mon corps assoiffé qui réclame son dû. Je ne veux plus qu’une chose, retrouver en mon fils mon amant, m’unir à nouveau à lui en l’accueillant au plus profond de moi. Je plaque mon ventre contre le sien, sentant son sexe contre ma toison. Convulsivement, ma bouche se pose sur son torse, ses épaules, son cou, approche son visage.

Le souffle déjà court, je pose mes lèvres sur les siennes et ma langue part à la recherche de la sienne. Un temps surpris, il répond à mon baiser.

Ses mains se plaquent sur mes fesses et me serrent également contre lui.

Je me recule un peu et pose mes mains sur son ventre pour rapidement descendre à sa base, frôler sa toison et rencontrer son sexe encore mou.

Je le prends en main, le décalotte et effleure longuement son gland.

Je le sens prendre du volume et se développer. Je poursuis mes caresses, il retrouve toute sa fermeté et palpite même lorsque je touche son gland.

Lui a profité de mon recul pour empaumer mes seins et les caresser puis joue avec les pointes qui s’érigent rapidement. Il déclenche des vagues de frissons qui me coupent le souffle, me font haleter et gémir.

Je sens la chaleur naître dans mon bas-ventre, irradier dans mon sexe. Mes lèvres gonflent, deviennent plus sensibles, encore humectées d’un mélange de ma liqueur et de sa semence.

Je me sens ouverte, prête à l’accueillir à nouveau au fond de moi.

Mes mains ont commencé un intense va et vient sur sa hampe, qui le fait se crisper et gémir.

« Assieds-toi sur le sol, » lui dis-je.

Il s’exécute, appuyant son dos sur le mur du fond de la douche.

Je m’accroupis face à lui et lui écarte les cuisses, les ouvrant sur son sexe tendu presque à la verticale.

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Mes yeux plongent dans les siens où je peux lire la même impatience que la mienne.

Je me retourne alors, toujours accroupie, et recule vers lui.

Mes fesses touchent son ventre.

Je m’abaisse encore un peu en écartant les cuisses, puis passant une main entre elles, saisis son sexe pour le guider à effleurer le mien.

Son gland chaud, dur et tendre à la fois, s’insinue entre elles et se lubrifie. Je le fais parcourir la longueur de mon sexe, d’arrière en avant jusque sur mon bouton de plaisir lui aussi gorgé et tendu.

J’entends mon fils gémir derrière moi et ne peux plus attendre, je le place à l’entrée de ma conque et lentement, je m’abaisse en le faisant m’envahir, jusqu’à le sentir butter en moi.

La violence du plaisir que provoque cette irruption puissante nous fait haleter et gémir.

Lentement je commence à bouger de bas en haut, massant son sexe du mouvement du mien. Des ondes de plaisir naissent entre mes cuisses et irradient dans tout mon corps, elles s’amplifient au fur et à mesure que j’accélère mes mouvements.

Mon fils a repris mes seins et joue avec leurs pointes. Je respire de plus en plus bruyamment, des spasmes contractent mon sexe par intermittence et je sens sa hampe coulisser de plus en plus souplement, de plus en plus huilée par ma liqueur.

Mon bouton de plaisir est tendu et hypersensible. J’y amène mes doigts pour le masser légèrement en mouvements circulaires rapides ou plus lentement en va et viens plus marqués sur son capuchon.

Les frissons naissant de mon bas ventre se renforcent.

Ma respiration s’amplifie encore.

Je sens le plaisir monter rapidement.

« Oh, c’est bon. Chéri. Encore. »

« Maman, tu es si douce. Je te remplis complètement. »

Les ondes de plaisir se renforcent, se concentrent et se ramassent en une vague.

Je me sens glisser, irrésistiblement entraînée vers le creux de cette vague puissante qui se prépare.

« Oh ! Chéri, chéri, je vais jouir... »

Mon fils empoigne mes hanches et accentue encore mes mouvements de va et viens en se poussant en rythme.

Je le sens au plus profond de moi à chaque poussée.

Mon souffle se coupe, je suffoque et ma respiration se bloque.

La vague me submerge et m’emporte.

Ma conque s’ouvre au maximum sur le sexe de mon fils puis je la sens palpiter sur lui.

Je respire à nouveau, rapidement en articulant difficilement : « Chéri... je pars...je pars... »

Je gémis en me crispant complètement, bloquant le sexe de mon fils au fond du mien.

Des spasmes secouent mon corps, tandis que je crie mon plaisir.

Mon fils se remet rapidement à bouger comme il le peut, prolongeant les frissons intenses qui me traversent toute entière.

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Je continue à crier chaque fois qu’il butte au fond de moi.

Puis il s’immobilise et se tend lui aussi.

Je sens son gland au fond de moi, gorgé et gonflé, se mettre à palpiter de plus en plus fort, puis il déverse sa semence en nous faisant longuement gémir tous les deux.

« Maman, je jouis aussi... oh, je me vide en toi... »

« Oui chéri... oui... vide-toi dans Maman. »

Je reste empalée sur lui tandis que les pulsations de son sexe s’estompent.

Un nuage de plaisir m’entoure longuement avant de retomber lentement.

Je reprends mes esprits et ma respiration.

Mon jeune fils se détend lui aussi. Il respire lentement et profondément, comme après un effort surhumain.

Courbaturée, je me redresse, dégageant le sexe de mon fils du mien.

Un flot de liquide chaud, ma liqueur et sa semence mélangées, s’écoule entre mes lèvres et glisse lentement sur ma cuisse.

Je tends la main à mon fils qui se redresse et se place contre moi.

La honte ou le remords ne m’assaillent pas encore.

Je me sens juste détendue, encore flottante.

Je m’embrasse en murmurant : « Mon fils chéri, comme je t’aime. »

« Moi aussi Maman. Je t’adore. »

*****