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> PROGRAMME 2015 CITé RADIEUSE LE CORBUSIER < BRIEY LA PREMIèRE RUE

Program 2015 - La Première Rue

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Annual program of the exhibitions and events of the Association La Première Rue, Cité Radieuse Le Corbusier_Briey, France

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> programme 2015

Cité radieuse Le Corbusier <briey

La première rue

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> SOMMAIRE :

> TOURISME : uNe Cité radieuse Le Corbusier BRIEY_GRANDE RÉGION pages : 4-11

> LES EXPOSITIONS : À LA GALERIE BLANCHE pages : 12-21

> SPECTACLES : À LA PREMIÈRE RUE pages : 22-29

> OUVERTURES : VERS DE NOUVELLES RELATIONS COLLABORATIVES pages : 30-37

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> TOURISME :

uNe Cité radieuse Le Corbusier BRIEY_GRANDE RÉGION

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de l’architecture et de l’urbanisme du XXe

siècle. Issues d’une approche complexe de la question du logement, ces cinq uni-tés cristallisent les données économiques, sociales et culturelles de l’Europe d’après guerre. Le Corbusier y a mis en œuvre tous les moyens expérimentaux - théoriques, plas-tiques et techniques - dont on pouvait dispo-ser dans les années 50. Réponses abstraites aux problèmes de l’habitat collectif de la ville moderne, elles offrent aussi, par la diversité des rapports qu’elles ont noués avec leur site particulier, une richesse expérimentale remarquable. Elles constituent, de ce fait, un authentique patrimoine. Nous possédons, en Meurthe-et-Moselle, un immeuble impor-tant : l’un des cinq exemplaires construits par Le Corbusier sur ce thème de "l’Unité d’Habitation".

> PATRIMOINE CORBUSÉEN :LES UNITÉS D’HABITATION

Le Corbusier (1887-1965) est, parmi les architectes du XXe siècle, le plus connu. Sa notoriété dépasse le cercle des spécialistes pour atteindre le grand public. Cette situa-tion, rare pour un architecte, n’est pas uni-quement française. Elle se vérifie au plan international. De la maison particulière (villa Savoye) à la grande cité moderne (Chandigarh), Le Cor-busier a élaboré de très nombreux projets. Ses œuvres sont unanimement respec-tées comme des contributions décisives à l’architecture du XXe siècle. Les histo-riens de l’architecture ont vu dans "l’Unité d’Habitation" l’une des "hypothèses les plus intéressantes" de la période moderne. Elle est l’aboutissement d’un long travail théo-rique. Ses prémices remontent à 1922. Le Corbusier voulait créer alors des "cités jardins verticales", capables de répondre simultanément à l’aspiration à la mai-son individuelle (au contact de la nature) et aux avantages de l’immeuble collectif (au contact des équipements). Cette idée, perfectionnée durant les années trente, déboucha, en 1939, sur un projet de grand immeuble, avec "rues intérieures", appar-tements en "duplex", toit terrasse équipé et commerces intégrés. Cette proposition ne trouva sa concrétisation qu’au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, à Marseille, grâce à une commande exceptionnelle du Ministère de la Reconstruction. Mené du-rant cinq années, le chantier de Marseille s’acheva en 1952, sur une architecture à la plastique superbe. Après Marseille, quatre unités nouvelles seront construites : à Rezé (Nantes), à Ber-lin, à Briey et à Firminy. À travers ces cinq réalisations (toutes différentes les unes des autres) Le Corbusier a donné forme à l’une des recherches les plus originales

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> patrimoiNe CorbuséeN : Les uNités d’HabitatioN

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Cette reconnaissance est également mar-quée par l’inscription à l’Inventaire supplé-mentaire des Monuments Historiques de certains éléments du bâtiment : les façades, la toiture, le hall, la Première Rue et l’ap-partement témoin.

situation géographique :

Briey se trouve à une trentaine de kilomètres de Metz, une centaine de kilomètres de Nancy et à une cinquantaine de kilomètres du Luxembourg.

> LA CITÉ RADIEUSE DE BRIEY : BRIEY-EN-FORÊT

L’importance et la spécificité de l’Unité d’Habitation de Briey par rapport aux quatre autres existantes, viennent du fait qu’elle est la seule réalisée entièrement dans les crédits réglementés OPHLM des années 60. Cependant, André Wogenscki, l’architecte et ingénieur qui a dirigé le chantier de construction, a mis un point d’honneur à ce que les principes pratiques et esthétiques du concept de "Cité Radieuse" de Le Corbusier ne soient pas altérés par les moyens modé-rés mis en œuvre. Construite entre 1959 et 1961, l’Unité d’Ha-bitation de Briey-en-Forêt a traversé de graves difficultés. Dès 1966, la Cité Radieuse va être confrontée au départ des familles américaines (basées à Etain dans le cadre du traité de l’O.T.A.N), puis à la crise de la sidérurgie. A ceci s’ajouteront les problèmes financiers de gestion de l’immeuble, ce qui entraînera sa désaffection progressive, sa fermeture en 1983 et, pour finir, un projet de démolition. Sauvée à la fin des années 1980 grâce aux efforts de la municipalité de Briey et de l’État, elle est aujourd’hui entièrement habitée sous la forme d’une copropriété et a retrouvé tout son sens et son éclat. Le réaménagement des abords de la Cité Ra-dieuse en 1999 conçu par l’architecte suisse Bruno Reichlin et l’agence VW Architectes à la demande de la ville de Briey, de mêmes que la récente réfection de la façade (2007-2009) par le cabinet d’architectes Medrea, Ferauge & Iung Architectes, témoignent de ce souci de protection et de valorisation de cet élément phare du patrimoine architec-tural régional.

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> LA CITÉ RADIEUSE DE BRIEY :briey-eN-ForÊt

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Une immersion étonnante entre utopie et réalisme donnera à voir et à comprendre les clés essentielles à l'interprétation de cette architecture moderniste.

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En août, ouverture uniquement les après-midi de 14h à 17h30 du lundi au vendredi.

tél. / Fax : 03 82 20 28 55 [email protected]

www.lapremiererue.fr

> VISITES GUIDÉES ET ACCUEIL : LA PREMIÈRE RUE

La première rue peut vous accueillir en accès libre ou bien vous accompagner lors d’une visite guidée.

Accès libre : Du lundi au jeudi de 9h à 12h30 et de 14h à 17h30, le vendredi jusqu’à 12h30.

Les premiers dimanches du mois de mars à octobre de 14h à 17h30.

Visite guidée : Pour les groupes à partir de 10 personnes, possibilité de visites guidées également les week-ends et jours fériés, sur réservation préalable.

Merci de bien vouloir nous contacter au moins 15 jours avant la date souhaitée.

Durée de la visite guidée : prévoir entre 1h30 et 2h00.

Tarif des visites guidées :

- 3,50 euros par personne en visite indivi-duelle,

- tarifs préférentiels pour les groupes, se renseigner auprès de l’association.

La visite, à dominante didactique est pro-posée sur réservation et s’adapte à tous les publics (groupes touristiques et scolaires, étudiants, particuliers...).

Lors du parcours l’Association vous propose une découverte de l’Unité d’Habitation conçue par l’architecte le Corbusier à travers son histoire, sa façade, le couloir polychrome, appelé "rue" et l’appartement témoin conservé dans son état d’origine.

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> VISITES GUIDÉES ET ACCUEIL : La première rue

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> YONA FRIEDMAN : PROTOTYPE IMPROVISÉ DE TYPE "NUAGE"_17 octobre – 08 février 2015

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> LES EXPOSITIONS :À La gaLerie bLaNCHe

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> YONA FRIEDMAN : PROTOTYPE IMPROVISÉ DE TYPE "NUAGE"_17 octobre – 08 février 2015

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un bâtiment délaissé, voire oublié, c'est s'accorder une pause, un court voyage dans le temps, loin d'un monde en perpétuel mouvement. Rejetant alors la nostalgie et la mélancolie, nous suivons les pas d'Adeline qui nous entraîne dans ses aventures, où temporalités et réalités se confondent.

Élise Pagel-PrévoteauCommissaire de l’exposition

> ADELINE VIGNERON :AU FIL DES RUINES

S'il est rare qu'on les remarque, il est en-core moins probable qu'on s'y arrête. Lieux interlopes pour beaucoup, témoins voués à disparaître pour d'autres, les bâtiments en ruines éveillent au contraire la curiosité et l'imagination d'Adeline Vigneron. Un trajet quotidien, un moment de rêverie à bord d'un train, une promenade le long du canal, une randonnée en montagne... à toute occasion, elle recueille indices et souvenirs pour plus tard explorer plus en profondeur ces "œuvres du temps".

Ces rencontres hasardeuses ont évolué au fil des années en une quête minutieuse. Loin de vouloir les classer par genre, Adeline tisse des liens entre toutes ces "ruines". Soustraits de leur usage, et parfois à un état d'abandon avancé, les bâtiments se confondent. Ainsi, jouant des similitudes, ses photographies évoquent à la fois la ruine romantique du XVIIIe siècle, des friches industrielles, des totems gigantesques ou des décors de cinéma.

Après ses premières impressions, libres de tout jugement, Adeline gratte différentes strates et se documente ensuite sur le lieu visité. "Archéologue" dans sa manière d'identifier les usages passés, elle redevient architecte quand elle s'interroge sur les matériaux, sur les exploits techniques de l'époque et sur la place des ruines dans nos paysages contemporains. Qu'elles continuent leur lente mutation, qu'elles soient démolies ou retrouvent une nouvelle fonction, nous ne restons pas indifférents à leur devenir.

Marquées par l'obsolescence de leur usage, les ruines rappellent un contexte écono-mique actuel incertain. Et pourtant, explorer

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> ADELINE VIGNERON : au FiL des ruiNes

13 mars - 29 mai 2015

vernissage le vendredi 13 mars à 18:30

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enfance par ces paysages ouvriers, elle remet au centre de la question du logement le rôle actif de l'habitant, et nous conte, sans en avoir l'air, une partie de sa propre histoire.

Élise Pagel-PrévoteauCommissaire de l’exposition

> MÉLISSA BELLESI :HISTOIRE(S) DE CITÉS

"Autrefois, le mot "cité" évoquait le cœur des villes. De LA Cité. Puis d’un glissement sémantique, la cité est devenue le contour, paradoxalement tout ce qui n’est plus le centre. Entre ces deux acceptions et à la fois l’une et l’autre, on y trouve nos cités ouvrières. Elles ne sont ni le cœur d’une ville, ni son contour, mais possèdent le cœur d’une époque et d’une Histoire, ainsi que de toutes celles des Hommes qui l’ont habitée. Elles ne sont pas des quartiers, elles sont des cités. La cité Sainte-Barbe, la cité Jules Vallès, les cités de la Butte…, pour n’en citer que quelques-unes. Elles représentèrent une révolution dans l’urbanisme des villes industrielles, offrant aux habitants issus d’une classe sociale jusque-là dévalorisée une maison, un jardin et des commodités que l’on peinait encore à trouver ailleurs. L’industrie passant, les populations chan-geant, elles demeurent encore recon-naissables dans nos paysages urbains, comme les vestiges d’un temps révolu."

Mélissa Bellesi nous propose une fine ana-lyse de la capacité d’adaptation des cités ouvrières à travers les générations. Son regard d'architecte en révèle les multiples combinaisons et typologies, à mi-chemin entre un habitat traditionnel et pavillon-naire, de la maison jumelée aux logements en bande. Mais loin du caractère austère et répétitif qu'on leur prête, les cités ouvrières dévoilent leurs seuils et leurs rues, four-millant de détails et d’anecdotes. L'espace habité déborde des murs des maisons pour contaminer celui de l'espace public, emprunt encore d'une certaine liberté d'appropriation. Enrichi par les visites et les témoignages, le message de Mélissa n'est pas neutre et ne se limite pas à un simple relevé descriptif. Baignée depuis son

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> MÉLISSA BELLESI : Histoire(s) de Cités

13 mars - 29 mai 2015

vernissage le vendredi 13 mars à 18:30

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> GION A. CAMINADA : S’APPROCHER AU PLUS PRÈS DES CHOSES

L’espoir demeure tant qu’il n’y a pas de cer-titude absolue.

Nous croyons en l’architecture. Beaucoup de choses sont encore réalisables. Nous pouvons toujours faire naître des lieux, des lieux chargés de significations fortes. Il est nécessaire pour cela de s’engager affective-ment au cœur même de la réalité concrète du quotidien, sans pour autant perdre de vue le rêve d’une utopie – une utopie culturelle, sociale et architecturale - qui nous conduise au-delà de ce qui nous est donné.

S’approcher au plus près des choses qui nous accompagnent - l’espace, la topogra-phie, la matière, la construction – est mon exigence en architecture. Par-delà leur spécificité matérielle, ces éléments sont reliés à des significations, des émotions et des évènements : en tant que composantes d’une culture, ils sont des points de départ importants pour le projet architectural.

Gion A. Caminada

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Les architectures de Gion A. Caminada s’inscrivent dans le tissu des gestes des êtres qu’elles abritent, des communautés qu’elles rassemblent. Elles naissent des lieux qui les reçoivent, elles les façonnent en retour. Elles se nourrissent des imagi-naires locaux tout autant que de formes architecturales universelles. Dans son vil-lage natal de Vrin ou plus loin en Suisse au-delà des Grisons, bâtiments agricoles, écoles, auberge ou maison funéraire, tissent indissociablement les dimensions spatiales, symboliques, culturelles et politiques de l’architecture.

Ses maquettes d’étude, ses esquisses, ses lectures, ses propres écrits, les images qui l’inspirent, dévoilent une part de la genèse de ses projets. Ils rendent compte du che-min emprunté par les pensées, par le corps de l’architecte. Ils permettent de s’appro-cher au plus près des choses qui rendent les réalisations de Gion A. Caminada si vivantes.

Emeline Curien Commissaire de l’exposition

photographies : ©Lucia Degonda

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> GION A. CAMINADA :s’approCHer au pLus près des CHoses

12 juin – 18 septembre 2015

vernissage le vendredi 12 juin à 18:30

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toujours réévalués. Lorsque nous décidons, traçons, construisons, nous alternons sans fin entre le "pourquoi" et le "comment". Par la superposition des calques, la redite ou la relecture, s’affine la relation entre le projet et l’objet architectural. Cependant, il ne s’agit pas là d’une progression linéaire, mais plu-tôt d’allers-retours, de calages ou d’ajuste-ments entre valeurs contextuelles, d’usages et constructives."

Prendre en compte les complexités du contexte, penser le rapport entre projet et objet construit, permettre aux différentes valeurs - d'usage ou constructives - de coexister, sont des processus aux étapes multiples. Les expliciter permet d'avoir un regard juste sur le travail des architectes.

Karine ThilleulCommissaire de l'exposition

>AGENCE CARTIGNIES-CANONICA : ARCHITECTURES PROCHES, POUR UNE CULTURE DE LA CONCEPTION

Entrer dans le processus de conception d’une agence d’architecture, pénétrer au cœur des logiques dont se nourrit le projet, évaluer la complexité du travail de l’archi-tecte : tels sont les enjeux de cette expo-sition, qui propose une rétrospective sur les projets réalisés par Alain Cartignies et Marie-José Canonica.

Établis à Bruyères, dans les Vosges, depuis 1976, les deux architectes sont les auteurs de nombreuses réalisations, récompensées par des prix et publiées dans les revues spécialisées, comme l’école maternelle de Deyvillers (1986), l’IUT d’Épinal (1990), un immeuble de cinquante logements à Paris XII (1993), l’école des cadres territoriaux à Nancy (1996), la MASPA de Gy (2000), le collège de Blénod-lès-Pont-à-Mousson (2002), le restaurant universitaire de Séve-nans (2005), le village de gîtes du Lac de la Plaine, dans les Vosges (2009), ou tout récemment la Maison de La Bresse (2013).

Pour ces deux architectes, le travail de conception se doit avant tout de révéler les potentialités du site dans lequel le projet se positionne, tout en tenant compte de ses contraintes afin de les transformer en forces. La question de la distance, de la différenciation, du juste écart entre les éléments est donc essentielle, et s’incarne dans le jeu entre les échelles, dans les relations de proximité, en une tentative de renouvellement de la culture de la concep-tion, comme ils l’expliquent eux-mêmes :

"Si l’objet architectural est dépendant d’un savoir constitué, d’un "déjà-là", s’il semble condenser des connaissances, le projet, lui, met en action des connaissances et des enjeux

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> AGENCE CARTIGNIES-CANONICA : arCHiteCtures proCHes, pour uNeCuLture de La CoNCeptioN

9 octobre – 31 décembre 2015

vernissage le vendredi 9 octobre à 18:30

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> SPECTACLES : À La première rue

entrée libre

sur réservation

> DUO : VOIX ET VIOLONCELLE : Heidi brouZeNg + aude romary_le vendredi 7 novembre 2014

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les fameuses "ghost Notes" ou "notes fan-tômes", ces notes qui n'existent pas mais qui scintillent en permanence, véritable légende dans le jazz.

allier la tradition et modernité, c’est le pari réussi que nous propose ce trio, un voyage dans les contrées musicales hautes en couleurs."

durée du spectacle : 60 mn

> ALPhONSE ANOUGNA TRIO :"GHOST NOTES"

> date : le vendredi 6 mars 2015

Lieu : Appt 112 à la première rueHoraire : 18h30 – 19h30

membres du groupe :

alphonse anougna : Bassiste maxime perrin : AccordéonLyvio Calodat : Batterie

genre : Nu-Jazz / Jazz-Fusion / Jazz

Label : Ghost Notes

bio : Né au Cameroun, Alphonse Anougna est, comme nombreux de ses compatriotes, bassiste et percussionniste jazz.

Très influencé par Jaco Pastorius, Marcus Miller, Weather Report, Sixun, il adore tout ce qui "groove". Il est très africain et très contaminé par le rythme.

Après plusieurs expériences en Suisse ou aux Etats-Unis dans des styles complè-tement différents, son domaine de pré-dilection reste tout de même la musique improvisée de forme libre où complexité rythmique et sensibilité mélodique se ma-rient harmonieusement.

Lors de cette soirée à Briey Alponse Anou-gna nous offrira de larges extraits de son premier Album "Ghost notes" (produit en 2010) mais également de nouvelles com-positions extraites de son prochain album African Smile.

"C'est une musique aussi nouvelle qu'inat-tendue que nous offre alphonse anougna.

un jazz ou les couleurs et les ambiances se rencontrent, se mêlent et s'entrelacent sans cesse, où la rythmique ménage les sur-prises pendant que la mélodie nous suggère

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> ALPhONSE ANOUGNA TRIO : "gHost Notes"

le vendredi 6 mars 2015

concert de 18:30 à 19:30

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Coutumière des fêtes ou rassemblements populaires, la Rumba Gitane s'apprécie live.

Dans le plus grand respect de la tradition, Olé ! diffuse un répertoire composé de grands classiques du genre parsemé de quelques compositions originales.

"On saluait l’audacieux d’un Olé !…" David Fauquemberg - Manuel El Negro

durée du spectacle : 60 mn

> OLÉ ! :RUMBA FLAMENCA

> date : le vendredi 5 juin 2015

Lieu : Appt 112 à la première rueHoraire : 18h30 – 19h30

membres du groupe :

augustin Carmona : Guitare & Chant emilio Carmona : Guitare & Chant benoît signorini : Guitare & Choeurs olivier Viecelli : Guitare & Choeurs david angeletti : Percussions

genre : Rumba Flamenca

Au cours du XVIIIe siècle, la guaracha cubaine va être adoptée par les gitans de Séville en Espagne et au Portugal, et prendre le nom de rumba flamenca. Les Gipsy Kings en sont l'emblème, mais elle a été jouée aussi par de grands guitaristes flamenco comme Paco de Lucía (Río Ancho, Entre Dos Aguas) ou encore Paco Pena (La Lola).

"Si le soleil entre dans la maison, il est un peu dans votre cœur."

Faisant acte de cette citation de Le Corbu-sier, La Première Rue ouvre ses portes au Flamenco (et plus précisément à la Rumba Gitane), musique festive et rayonnante par excellence.

En invitant le groupe Olé ! à se produire dans un "espace Corbuséen", nous vous proposons de venir à la rencontre de cette musique simple et conviviale dont les grands airs sont connus de tous.

Olé ! est une formation de Rumba Flamenca composée de cinq musiciens se connaissant de longue date. Amis d'enfance ou parents proches, la complicité qui unit les membres d'Olé ! dans la vie de tous les jours se ressent sur scène. La prestation musicale est généreuse, le contact est chaleureux.

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photographie : ©Pascal Volpez

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> OLÉ ! :rumba FLameNCa

le vendredi 5 juin 2015

concert de 18:30 à 19:30

27photographie : ©David Angeletti

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> COLLECTIF AZÉOTORPES STRATE

> date : le vendredi 16 octobre 2015

Lieu : Appt 112 à la première rueHoraire : 18h30 – 19h30

membres du groupe :

emilie skrijelj : Accordéonannabelle dodane : Violon alto Louis-michel marion : ContrebasseLoris binot : Piano

genre : Jazz

présentation :

Quatre musiciens faisant partie du collectif Azéotropes vous proposent pour cette soirée un voyage musical très éclectique allant du jazz, musique traditionnelle, contemporaine, improvisée…

Ils vous interpréteront des pièces de com-positeurs tels que :

thélonious moNK, steve LaCy, gurdJieFF / de HartmaNN, John Cage, steve reiCH, Loris biNot etc… et des surprises.

attitudes, mouvements, actes :

Musiques littéralement brûlantes, ces mu-siques se propagent, éclatent là où on ne les attendait pas et dessinent sur le visage des musiciens incendiaires d’imprévisibles masques. D’après Philippe Carles.

durée du spectacle : 60 mn

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> COLLECTIF AZÉOTORPES strate

le vendredi 16 octobre 2015

concert de 18:30 à 19:30

29photographie : ©Pascal Volpez

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> OUVERTURES :Vers de NouVeLLes reLatioNs CoLLaboratiVes

> OSMOSIS CIE - ALI SALMI Forbach / Nancy, France

> NOGOL ZAhABI téhéran, iran

> LE FONDS BELVALesch-sur-alzette, Luxembourg

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photographie : ©Vitale Design

Fête d’ouverture du studio chorégraphique radieuse - appt 122 : Printemps Avril 2015

rdv spectacle - Avant Première : Juin 2015

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site web dédié : http://www.osmosiscie.com

Compagnie conventionnée par :

La DRAC Lorraine - Ministère de la Culture et de la Communication - en tant que Compagnie Chorégraphique.

Compagnie subventionnée par :

La Direction Générale du Conseil Artistique - Arts de la Rue - Ministère de la Culture et de la Communication, le Conseil Régional de Lorraine, le Conseil Général de Moselle, et la ville de Forbach.

> CITÉ RADIEUSE / DANSE RADIEUSE :OSMOSIS CIE - ALI SALMI - STUDIO 122

saisoN CHorégrapHiQue radieuse 2015

Après une année 2014 marquée par plu-sieurs rendez-vous, Ali Salmi nous propose un "in situ" de propositions artistiques et des dispositifs amenés à nourrir une création finale à travers un temps de travail en direct avec la matière à habiter.

Et si Le Corbusier avait dévolu à une com-pagnie chorégraphique, un de ces fameux modules d'habitation de la Cité Radieuse ?Chose faite : pour un voyage sensible de l'habituelle pensée orthogonale de Le Corbusier, la famille du Modulor s’installe définitivement au Studio 122 : module Cor-buséen type dans la Cité Radieuse, et vous ouvre ses portes sur plusieurs rendez-vous chorégraphiques à venir dès le printemps 2015.

Les moments d’expériences qui auront jal-lonné 2014 et une partie de 2015, aboutirons à la création d’un ballet chorégraphique qui embrasera l’espace de la Cité début juin dans le cadre d’une avant première "CITÉ RADIEUSE / DANSE RADIEUSE".

Ballet pour visiter par la danse ces espaces de la Cité Radieuse, Briey-en-Forêt, qui invitent la verticalité et l’horizontalité dans des proportions infinies. Projeter des images dansées qui dessinent d’autres horizons, perspectives imaginaires et se dissolvent sur l’écrin de verdure et le béton. Mettre en branle le public par une invitation à un voyage immobile.

Pour l’angle droit, "pacte avec la nature" qui réinvente les corps projetés et vivants à travers une écriture chorégraphique sur les surfaces et les espaces sculptés par la Cité Radieuse. Visite de l’intime / public dans cette Machine à vivre, à habiter !

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> danse et projection vidéo au sol / OSMOSIS Cie-ALI SALMI : (DES)ASTRES DU MONDE Opus3 in Progress BRIEY / NANCY Sept 2013

> CITÉ RADIEUSE / DANSE RADIEUSE : osmosis Cie - aLi saLmi - studio 122

SAISON ChORÉGRAPhIQUE RADIEUSE 2015

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proposition architecturale :

Mon expérience dans le cabanon ce jour là, en plus de la recherche et des études techniques, m’ont aidé à conceptualiser cet endroit.

Nogol Zahabi

22 Décembre 2005 de 7h00 à 18h00French Riviera, Roquebrune-Cap MatinLe Corbusier's le Cabanon

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lA DANSE chORÉGRAPhIE DE lA lUMIèRE ET DE l’OMbRE A l’INTÉRIEUR DU cAbANON lE cORbUSIER à ROqUEbRUNE – cAP MARTIN

Durant ses études à l’association architecturale de Londres, Nogol Zahabi s’est engagée sur un projet ex-périmental à propos de la spatialité des intérieurs, en relation avec le mouvement géométrique de la lumière et de l’ombre, généré par l’intrusion de la lumière par de petites fenêtres.

Elle a passé 11 heures à l’intérieur, du levant au cou-chant, enregistrant les motifs illuminant le cabanon, les chorégraphiant en manipulant lentement les battants des fenêtres jusqu’à midi et plus tard dans l’après-midi, elle y attacha les miroirs pour obtenir une géométrie comparable. Elle a produit nombre de dessins géomé-triques spatiaux et une vidéo qui éclaire le processus.

Nogol Zahabi est née à Téhéran de parents architectes et s’installe plus tard à Londres. Elle a terminé ses études en 2007.

Pascal Schöning

> LA DANSE DES 11 hEURES : NOGOL ZAHABI

ce projet est l’aboutissement d’une journée d’immersion dans le cabanon de le corbusier.

Tout semble statique jusqu’au moment où s’ouvrent les fenêtres et que les rayons du soleil créent du mouvement.

Filtrant à travers chaque fenêtre, cette lumière modifie la spatialité du lieu, tout au long des neuf heures que met le soleil pour voyager d’est en ouest. Bien sûr, à l’intérieur la lumière se déplace ouest en est, mais…

aspect critique :

Mais, par un jeu de miroirs mobiles, fixés aux battants des fenêtres, la lumière peut retourner au point où elle se trouvait, au matin, au levant.

Ce mouvement dépend de la position du soleil, en fonction de la saison et du jour de l’année. Il dépend aussi du visiteur du cabanon et de ce qu’il y fait.

Avec des moments d’accélération dus aux miroirs, une danse est créée par la lumière, à l’intérieur.

LA LUMIÈRE MOUVANTE GÉNÈRE UNE NARRATION DES MOUVEMENTS. UNE CHO-RÉGRAPHIE PROPRE, EN TEMPS ET PLACE, DANS SON RYTHME ET SA SPATIALITÉ.

En plaçant ces miroirs sur le côté des fe-nêtres, le Corbusier me permet de revendi-quer une part du soleil. J’ai le contrôle sur cette lumière.

En jouant de ces surfaces réfléchissantes, l’habitant du cabanon devient le choré-graphe d’une danse avec la lumière, dans l’espace de la pièce, ce qui, pour moi a été une danse de 11 heures, le 22 décembre.

Kiosque presse et tabac en 1961-62

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> LA DANSE DES 11 hEURES : NogoL ZaHabi

12 juin – 18 septembre 2015

vernissage le vendredi 12 juin à 18:30

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© Le Fonds Belval

Visite du haut fourneau

Le haut fourneau A est accessible en visite libre sur un parcours balisé jusqu’à une hauteur de 40 m (180 marches).

Ouvert à partir du 1er avril du mercredi au vendredi de 12h00 à 19h00, le samedi de 10h00 à 18h00 et le dimanche de 14h00 à 18h00. Tarif : 5 euros

Visites guidées : Cité des Sciences et haut fourneau

Le Fonds Belval propose des visites guidées du quartier de la Cité des Sciences et du haut fourneau A. La visite du quartier comprend une présentation du développement de Belval et des projets de la Cité des Sciences suivie d’un tour à pied. Le haut fourneau est accessible en visite libre jusqu’à une hauteur de 40 m (180 marches) ou en visite accompagnée. Pour les horaires et tarifs des visites guidées veuillez consulter le site www.fonds-belval.lu. Réservations pour groupes sur rendez-vous.

le 4 et le 5 juillet 2015 le Fonds belval vous invite à la fête des hauts fourneaux.

Informations :

Le Fonds belval : tél : +352 26 840-1 [email protected], [email protected] www.fonds-belval.lu

> LE FONDS BELVAL :VISITES GUIDÉES ET EXPOSITIONS

La Première rue vous invite à découvrir le site de Belval, ancienne friche industrielle en reconversion au Sud du Luxembourg, à travers des expositions et visites guidées.

Le Fonds Belval, maître d’ouvrage de la Cité des Sciences, organise régulièrement des conférences, des débats et des expositionstemporaires liés aux projets architecturauxet urbains qu'il pilote, à l’histoire du bassinminier et au développement de la région.

Expositions :

Belval & More

Installée dans l’ancien hall industriel masse-noire, l’exposition "Belval & More" présente la Cité des Sciences sur la Terrasse des Hauts Fourneaux à Belval et évoque le développement urbain de l’agglomération d’Esch-Belvaux par une grande maquette, des bornes interactives et des projections de films.

une exposition temporaire de photogra-phies "Workers" rend hommage à tous ceux qui ont contribué de leurs mains à la construction de la Cité des sciences. entrée libre

massenoire, avenue du Rock’n’Roll (face à la Rockhal)L-4361 Esch-sur-Alzette

Ouvert du mercredi au vendredi de 12h00 à 18h00 (19h00 à partir du 1er avril), le samedi de 10h00 à 18h00 et le dimanche de 14h00 à 18h00.

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> LE FONDS BELVAL : Visites guidées et eXpositioNs

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> YONA FRIEDMAN : PROTOTYPE IMPROVISÉ DE TYPE "NUAGE"_17 octobre – 08 février 2015

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Page 39: Program 2015 - La Première Rue

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Page 40: Program 2015 - La Première Rue

Association La Première Rue131, Cité Radieuse Le Corbusier1, Av. Dr Pierre Giry, 54150 Briey-en-Forêt, France

tél. / Fax : 03 82 20 28 55 [email protected] www.lapremiererue.fr

© FONDATION LE CORBUSIER

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