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Saule Un Géant en Bw wawa Magazine Avril 2013 Numéro 02 Le magazine du Brabant wallon © Fabrice Hauwel

WaWa Magazine n°2

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Le magazine du Brabant wallon ! Le WaWa Magazine est le magazine de l'information décontractée et des commerces branchés dans le centre du Brabant wallon : Waterloo Braine l'Alleud Lasne, Wavre Ottignies Louvain-la-Neuve Rixensart Genval Grez-Doiceau Chaumont-Gistoux ou encore Ittre ! Vous pourrez y trouver : agenda, articles, photos, reportages, loisirs, jeux, commerces, liens, téléchargements, vidéos, et bien plus encore ! WaWa Magazine est disponible gratuitement dans de nombreux commerces du Brabant wallon.

Citation preview

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Avril 2013Numéro 02

Le magazine du Brabant wallon

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Et voici déjà le second numéro du WaWa…

Après la sortie du WaWa précédent nous devons bien vous avouer que nous avons été agréablement surpris par la quantité de réactions et de mails reçus à la rédaction.

Alors c’est promis, on va tenir compte de vos re-marques et travailler au mieux pour faire évoluer le magazine dans votre direction.

Finalement le WaWa n’appartient à personne.

Il appartient à tout le monde.

Nous avons énormément de surprises dans nos ti-roirs pour les prochains numéros et vous pouvez déjà trouver dans celui-ci une rencontre avec Fred Bouvy, un reportage sur le golf de Rigenée, une interview de notre ami Thierry Decoster et bien plus encore…

Comme toujours n’oubliez pas notre site web : www.wawamagazine.com l’outil indispensable pour parler de vos évènements et de tout savoir sur l’actualité du Brabant Wallon au jour le jour.

Bonne lecture et…Bon surf !

Jean-François de Lavareille.

Edito

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28Rencontre : Frédéric Bouvy

Rires et émotions avec Thierry de Coster

La victoire d'un clan

SauleLe Géant a grandi

Déco : La Salle à manger

Sommaire

Wawa Magazine

Editeur responsableJean-François de Lavareille

Rue du Collège 114 - 1050 Bruxelles

Rédaction Coralie Denis

Pierre ChaudoirJean-François de Lavareille

PhotographeJean-François de Lavareille

InfographiePica Mundo sprl

Contacts magazine,rédaction et publicité

Jean-François de Lavareille :0479 96 60 91

Avertissement:• Nous déclinons toute responsabilité

pour le contenu des publicités.• Le contenu des articles n’engage

que les personnes interrogées.• Aucun article ne peut être reproduit

même partiellement sans l’autorisation expresse de la rédaction.

• Ne pas jeter le magazine sur la voie publique

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Ce n’est que son troisième album et pourtant, Saule revient déjà à ses débuts. Il redevient lui-même… en mieux ! Lumineux, plein d’origina-lité et de tendresse. Dans « Géant », Il chante« un type normal », « un chanteur bio », et il fait « l’inventaire de notre amour » avant de devenir « Vieux ». Des chansons bien dans notre temps, qui dépeignent la vie de tout un chacun, le tout, non dénué d’humour.

WW : Onze titres à l’arrivée. Ils étaient 60 au départ. Vous aviez vu grand, et l’album s’appelle… « Géant ». Il accumule les criti-ques positives. C’est génial tout ce qui vous arrive en ce moment… Saule : Oui, c’est super. J’ai commencé à

éprouver cet enthousiasme pendant l’enre-gistrement l’été dernier. Car durant l’écriture, c’est tout le contraire : je suis torturé, je doute, je pense même à changer de métier ! Mais c’est une bonne torture, elle me fait avancer. Mon épouse m’aide à reprendre confiance en moi, c’est d’ailleurs elle qui écoute toutes mes chansons en primeur.

WW: Cette nouvelle aventure musicale, c’est l’histoire d’une rencontre assez improbable entre vous et Charlie Winston. Ca s’est passé sur une radio française grâce à une anima-trice qui vous a mis en contact. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle a eu du flair. Vous avez eu l’occasion de la remercier ?Saule : Ca ne saurait tarder puisque je vais re-tourner dans cette émission de France Inter qui

Saule en concert à l'INC ROCK d'Incourt le 4 mai

Le Géant a encore grandi !

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s’appelle « Le pont des artistes ». Ca a collé immédiatement entre Charlie et moi. On s’est découvert plein de points communs. Nous ac-cordons beaucoup d’importance aux valeurs familiales, il a été comédien comme moi et nous sommes aussi hypocondriaques. A deux sur scène, il y en a qui vont flipper !

WW : Et il s’est donné à fond pour réaliser votre album…Saule : J’avais l’impression que c’était son disque. Je le revois encore à 2h du matin en train de bosser alors que moi je piquais du nez. C’est un bulldozer !

WW : Vous dites que Charlie Winston vous a permis de dépasser vos limites, de franchir une étape. Qu’est-ce qui a changé ?Saule : L’exploration de ma voix, sa féminité. Il m’a poussé vocalement. Il en avait marre de ces chanteurs francophones qui se contentent de susurrer des paroles. Il me disait « Tu as une belle voix, exploite là et chante ! ».

WW : Cette rencontre s’est aussi soldée par un duo avec la chanson « Dusty Men ». Et pourtant, c’est un coup de chance si elle figure sur l’album, racontez-nous… Saule : C’est un morceau de dernière minute. L’album était prêt. On était dans le lâcher-prise, complètement désinhibés et j’ai eu envie d’une chanson « récréation ». J’ai écrit ce titre dans lequel on se taille un petit costard pour le fun et ça a plu à tout le monde, sauf à ma femme qui la trouvait trop loin de mon registre habi-tuel. C’est vrai que la chanson fait un peu figure d’ovni mais elle plait. C’est souvent quand je ne calcule rien que les choses arrivent.

WW : Vous chantiez en anglais à vos débuts. C’est une des raisons pour laquelle une réalisa-tion anglo- saxonne, c’était devenu important ?Saule : La musique anglo saxonne, c’est ce que j’écoute à 80%. Par exemple, j’adore Gains-bourg mais là aussi, on ne peut nier combien cette musique l’a influencé. C’est une façon de travailler qui me tenait à cœur, bien avant de rencontrer Charlie.

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WW : Il y a un peu de vos enfants aussi sur cet album dans la chanson très autobio-graphique « Le bon gros géant ». Vous êtes même devenu preneur de son…Saule : Les lalala sont de mon fils, Théo. Et comme pour cette chanson, on voulait entendre des pas de géants en train de marcher, on s’est dit : plutôt que de dérouler des câbles dans le jardin, pourquoi ne pas fixer un Iphone sur chacune de mes jambes ? Et ça a fonctionné ! On s’est vraiment bien amusés. En plus, on a très bien mangé. On ne dit pas assez combien, dans n’importe quel processus créatif, le fait de manger de bonnes choses, ça stimule…

WW : Et vous, pour quelle chanson avez-vous une tendresse particulière ?Saule : Pour « Just a song » qui évoque la perte d’un enfant. J’ai vraiment baissé la garde.

J’aime la légèreté de la musique. C’est ce qui nous aide dans les moments tragiques. Char-lie a été très fort en me faisant chanter dans le vide. Pour moi, c’était comme de me faire sauter d’un pont sans élastique. Je n’y arrivais pas. Ca a été un dépassement. L’écouter avec ceux qui me sont chers, savoir qu’ils ont des frissons, ça veut dire que j’ai bien fait de céder. J’adore quand les artistes baissent la garde.

Murielle Decarpenterie

Saule en concert à l'INC ROCK Festival de Incourt le 4 mai 2013

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Christophe Descampe ainsi que son frère Olivier et leur plus jeune sœur Florence vivent heureux au milieu des terres familiales dans la campagne de Villers-la-Ville. Le père est en gentleman farmer moderne innovateur et audacieux. Caroline, la maman, a quitté sa ville gantoise pour vivre avec l’homme de sa vie. Ensemble, ils créent l’Ecole Ouverte à Ohain pour créer une éducation plus proche de leurs valeurs humaines.

Le tennis envahit la famille au point de créer des terrains et que Claude Berthier prenne en main la destinée de Florence, très douée dans ce sport. Jusqu’au jour où le même Claude Berthier glisse dans l’oreille de Manu Descampe : « En fait, c’est une place idéale pour créer un golf ici ». Le golf de Rigenée venait de naître en 1982.

Très vite, c’est le succès. D’anciens hockeyeurs envahissent les plaines dans un esprit sportif mais surtout festif. En véritable visionnaire, Manu em-mène sa famille dans l’aventure. La maison fami-liale est transformée en club-house. Les champs en parcours. Tout est bousculé dans une énergie commune.

Très vite et très tôt, Florence la plus jeune part sur le circuit professionnel et remporte dans sa 19ème année le Danish Ladies Open. Elle a dé-tenu pendant longtemps le record de la plus jeune gagnante d’un open. Elle en remporta 6 autres victoires et surtout elle fit partie de la Solheim Cup Européenne en battant les Etats Unis en 1992. C’est l’équivalent de la Ryder Cup.

Florence fût une véritable icône au Japon. Ac-compagné régulièrement par son frère Christo-phe comme caddy, elle parcourt le monde pour finalement abandonner le sport de haut niveau au profit d’une vie de famille. Elle reste la plus grande golfeuse de tous les temps. Elle a entrainé dans sa spirale sportive tout un club et même l’associa-tion francophone de golf. Quand un jeune surdoué arrive du haut de ses 12 ans = Nicolas Colsaerts le champion que l’on connaît aujourd’hui au firma-ment du golf belge.

Le petit club familial de Rigenée finit par gagner en 2000 le doublé Dames et Hommes des Interclubs. Depuis le club truste les titres particulièrement chez les jeunes. Le tout toujours dans un esprit extraordinaire de respect des valeurs humaines.

Le clan Descampe est durement touché par la tragique disparation de leur maître à penser qui disparaît en avril 2003. Par la maladie fatale du mari de Florence en 2011. Mais en clan reste un clan. Les troupes se resserrent autour de Chris-tophe et de Nathalie à qui les destinées du club sont confiées.

Christophe gère en véritable passionné de golf le terrain dans le souci permanent d’améliorer pour le plaisir des membres l’exercice de leur passion. Place au sport d’abord. Place à la qualité du par-cours. Le tout dans un esprit avant-gardiste éco-logique. Bon sang ne saurait mentir.

Derrière tout grand homme se cache une femme

Victoire au sein d’un clanQuand dans les années 90, un homme de la nature et golfeur de surcroit

rencontre une basketteuse, c’est la garantie de la poursuite d’une formidable aventure familiale.Christophe Descampe rencontre une épicurienne de la vie, Nathalie Verhaegen.

La fusion est immédiate. Totale et solide.

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fabuleuse. Nathalie, se glisse dans la peau de la fondatrice Caroline, pour reprendre l’importantis-sime rôle de secrétaire. D’accueil. D’organisatrice. De grande sœur. L’énergie initiale est préservée. Le sourire. Les fous-rires. L’enthousiasme est au rendez-vous.

Ensemble, Christophe et Nathalie, affrontent tou-tes les tempêtes. En s’entourant de membres fidèles. De coaches avisés. Ils apprennent jour après jour. Cherchant. Furetant. Ecoutant. Le tout pour mieux répondre aux attentes de leurs nom-breux visiteurs.

Rigenée, c’est d’abord un club de sport où l’esprit de famille règne en maître. Il y règne une énergie établie par le couple de fondateurs : Manu et Ca-roline. Depuis, Olivier qui vit aux quatre coins de la planète amène à l’entreprise sa vision de gestion-naire. Ses retours d’Abou Dhabi sont sources de réunions stratégiques. C’est son épouse Béatrice qui s’est chargée de l’aménagement intérieur du club-house.

Florence amène son expérience sportive au pro-fit d’une magnifique école des jeunes qui est une des plus importantes de Belgique. Sa plus-value est un atout formidable.

Christophe prend soin du terrain et du club com-me un jardin japonais. Nathalie étant en charge de l’aspect accueil pour chacun se sente comme chez « soi ». Entrer à Rigenée, c’est faire partie d’une grande famille pour le partage d’un sport passion.

Pendant ce temps, Caroline prend le temps d’ob-server son clan avec la quiétude d’avoir transmis les véritables valeurs d’un club qui n’est décidé-ment pas comme les autres. Elle profite de son club qu’elle a créé.

Une simple visite à Rigenée devrait vous aider à comprendre que le golf a bien changé dans son énergie. Au niveau belge, Rigenée est un des pré-curseurs de cette envie de vivre avec la popula-tion locale de manière très harmonisée.

Dans ce but, les pros font des formations en per-manence au sein des écoles locales pour mieux faire comprendre ce nouvel art de vie. Les profes-seurs et directeurs ont depuis fait du club-house un peu leur cantine et de nombreux jeunes prati-quent dorénavant le golf.

Villers-la-Ville doit être une des seules communes en Belgique à posséder deux clubs différents sur son territoire. Il n’y a donc pas que les ruines à découvrir. Il y a un club étonnant, vivant et mons-trueusement sympathique à découvrir.

Venez pousser la porte pour voir, boire ou manger. Vous aurez fait le plus difficile. Pour le reste, il ne faut que se laisser guider et faire. Sachez que le club-house est aussi un restaurant auquel vous avez accès à volonté sans pour autant être mem-bre. La terrasse y est exceptionnelle avec une vue imprenable sur le parcours. Pour réserver votre table : 071/87 68 11

Depuis 2012, Rigenée accueille en son sein le Plane Truth Performance Center Rigenée, c’est une nouvelle philosophie d’apprentissage du golf prônée par Jim Hardy. Son joueur-phare, Matt Ku-char, vient de remporter le titre de Champion du Monde de Match-Play en Arizona. On vous par-lera plus longuement dans le prochain numéro…

Golf de RigenéeRue du Châtelet 62 – 1495 Villers-la-VilleTéléphone Secrétariat : 071/87 77 65Website : www.rigenee.beFacebook : www.facebook.com/Rigenee

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Rencontre

Rires et émotions avec Thierry de Coster

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Thierry de Coster : « Moi ce que je veux, c’est offrir du bonheur aux gens » De son expérience de réalisation au JT de la RTBF dans les années quatre vingt, au réalisa-teur de documentaire en Afrique à vingt qua-tre ans, puis, producteur que devient Thierry de Coster par la suite, il n’est jamais parvenu à faire taire le clown caché en lui. Il doit, sans doute, ce goût et cet humour éclatant à son père qui, lorsque Thierry avait trois ans, le fai-sait participer à ses spectacles qu’il donnait dans les écoles en Brabant Wallon. Le père et l’oncle de Thierry avaient monté un scénario comique avec une machine à rajeunir. Thierry, lui, était sur scène, caché dans une boite. À la fin de l’histoire, son père disparaissait et Thierry apparaissait habillé comme lui. « Tout le monde riait. J’ai gardé en moi ce plaisir à voir ce public s’amuser en nous regardant » nous confie-t-il. Le parcours de Thierry de Coster est marqué par de nombreuses reconversions toujours

dans le domaine audiovisuel. Connu aussi sous le nom de « Jef » dans la saga publicitaire de la Kriek Bellevue, Thierry de Coster a plus de trois milles spots radios à son actif. Il fait partie des dix voix les plus présentes en publicité sur nos ondes.Élu Champion du Monde en improvisation en 1995, il est repéré en tant que comédien et joue dans de nombreux téléfilms. En 2002, afin de consacrer du temps pour sa famille et, puisqu’il se trouvait très sollicité par la radio, il prend un nouveau tournant et décide de mettre fin à son activité de producteur de documentaire. « Je souhaitais être plus disponible pour ma femme et mes trois enfants. J’avais aussi besoin de prendre du temps pour créer tout en prenant ma place dans le théâtre ». Armé d’une créativi-té très présente, dont il fait notamment preuve en improvisation, il écrit deux pièces « Sincères complaisances » et « Charges comprises » en collaboration avec Odile Matthieu. Deux grands succès et un exercice d’écriture qui donnera l’envie au créatif de participer au Kino

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en tant que réalisateur. Le kino Kabaret, orga-nisme international créé à Montréal, permet à des réalisateurs de tourner des courts mé-trages de six minutes maximum en trois jours avec une équipe polyvalente bénévole. « C’est très enrichissant tant humainement que profes-sionnellement. Ça permet d’être comédien un jour, porteur de câble le lendemain. Il n’y a plus de hiérarchie et ça, j’aime beaucoup. Un seul but nous anime ; faire un bon film » Explique-t-il. Une expérience qui permettra à Thierry de Coster de réaliser récemment « Les oubliées » et « Merci d’éteindre en partant » dans lequel il joue et avec lequel il fait l’ouverture du BE Film Festival dans la grande salle du BOZAR en décembre dernier. Des projets plein la tête, cet homme à la vie bien remplie, se garde le plaisir de s’amuser avec Les Souffleurs aux gradins qu’il affectionne tout particulièrement. « C’est devenu une histoire qui m’est chère, j’y prends un énorme plaisir à chaque fois. C’est aussi une manière de cultiver l’art de jouer ». Les Souffleurs aux GradinsCréée dans les années nonante et avec plus de mille représentations, la troupe des Souf-fleurs aux Gradins continue à surprendre et émerveiller. « Plus on se connait, plus la qualité grandit » !

L’équipe de six comédiens rassemblent deux femmes et quatre hommes. On y retrouve Thierry de Coster et ses complices Gaëtan Bayot, Marc De Decker, Jean Claude Dubiez, Odile Matthieu et Nadine Nachtergaele. Tous aussi déjantés les uns que les autres, ils don-nent l’occasion aux spectateurs de proposer des thèmes dès leur arrivée dans la salle. Les quatre comédiens présents sur scène, ont quelques secondes de réflexion avant le grand saut. D’une prestation à l’autre, ils se retrou-vent perdus dans la brousse ou à table dans un restaurant chic. S’ajoutent à ces situations souvent invraisemblables, des contraintes de rime, de mélodie, etc. Bref, de la haute voltige sans filet ! « C’est un formidable laboratoire du personnage » explique Thierry de Coster. La force de ces comédiens c’est avant tout une immense complicité et des poches remplies de talent et de répartie. « Ca dépasse quelqu’un qui raconte une bonne blague, ça dévoile un réel phénomène de relation ». Pour le specta-teur, c’est un vrai régal. Il goute à la fois au plai-sir du risque par empathie pour les comédiens et savoure les retournements de situations cocasses. Ce spectacle interactif met de côté la compétition souvent présente en improvisa-tion et laisse libre cour au lâcher prise. « C’est un protocole ouvert et tourné vers le plaisir de tous ». Découvrez les Souffleurs aux Gradins au Fes-tival du Rire de Bierges le 23 avril 2013. Pour être informé des prochaines dates, inscrivez-vous sur la page Facebook de la troupe ou visi-tez le site www.souffleursauxgradins.com Prochainement :Présentation du court métrage « Les oubliées » au Festival du Film Fantastique le 12 avril prochainwww.thierrydecoster.be

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L’éternel entrepreneur…Bouvy dans une autre langue doit signifier : enthousiasme. Frédéric Bouvy alias Fred ou le Bave. C’est un personnage haut en couleurs qui ne laisse personne indifférent. On adore ou on déteste. Pas de ton

de gris chez lui. C’est blanc ou noir. On ou off. Au repos ou à fond.

Vu son nom, on croit voir un « fils de » vivre gentiment des rentes de ses rentes. A tous ceux qui ont côtoyé son illustre père, ils ont compris que Charly était une terre très fertile dans laquelle l’infatigable Fred a puisé une énergie incroya-ble à créer. A entreprendre. Le tout avec une réussite plus ou moins contrôlée. Leur vie suit la même courbe. C’est de remettre perpétuellement en question. De vivre à 300 km/heure.

Fringues publicitaires, crème glacée, événements mondains, City Kart, Knokke Out à Bruxelles, Zoute et le Kottage dans les Ardennes. Ce sont les principales étapes de sa carrière professionnelle. Le tout avec une désinvolture « bransonien-ne » qui frôle l’inconscience et une montagne d’optimisme.

De son père, il a acquis son amour des sports de glisse où il excelle. Du ski au quad en passant par la course automobile. C’est un virtuose. Un extraordinaire passager de la pluie. Il est diabolique dans toutes les courses avec un plaisir com-

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municatif irradiant. « Tout faire sérieusement mais sans jamais se prendre au sérieux », c’est la devise de l’ouvrier de la route.

De son arrivée dans les premières courses tractant une remorque une Porsche 968 jaune canari aux couleurs Breitling, tout le monde envie la complicité avec son père Charly. Son comportement dérange. Perturbe. Agace les puristes mais son formidable coup de volant lui offre deux victoires aux 24 heures de Spa Francorchamps. Sa seule déclaration en des-cendant du podium fût : « Je me suis rendu

compte que j’avais gagné une grande course parce que les coupes étaient plus grandes ».

Son palmarès est unique. C’est un champion qui veut tout gagner. De la compétition amicale de golf en passant par la course de quads dans les montagnes. Rien ne lui échappe. Quand il veut, il obtient. Son éclectisme sportif est sur-prenant. Son talent en sports automobiles scot-che les spécialistes. Il est dans tous les bons coups avec une constante fidélité des partenai-res qui le soutienne depuis ses débuts.

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L’amitié est son mot d’ordre. Il y est d’une fi-délité sans faille. Quand on a la chance d’être l’ami du Fred, c’est à la vie à la mort. Sans am-bages. Les fêtes qu’ils organisent très réguliè-rement sont des tours de Babel d’un cocktail de personnalités issues de tous les milieux. Le tout avec un seul mot d’ordre. Le partage sim-ple de son plaisir de vivre.

Eternel optimiste, c’est un fatiguant associé pour ses camarades de la vie nocturne. Na-viguant entre les Knokke Out zoutois et bra-bançon, il enfourne un vélo ou un rhino pour naviguer sur les plages du Riverwoods avant de filer dans les Ardennes pour aller faire ses courses le dimanche.

Elevé sur les bancs sulfureux de Rudy Bo-gaerts, il a gardé son âme d’enfant d’un intuitif instinctif qui vit selon le ressenti exprimé par ses tripes. Sa tête ne réfléchit pas. Elle sou-rit à la vie et à ses sempiternelles rencontres. L’homme est un séducteur. Un chasseur sans limite. L’union fait la farce, c’est sa devise.

Il fait partie du gotha « pipole » belge mais dans un style bien à lui. Tenue cool. Attitude déjan-tée et un éternel sourire. Son côté ubiquiste lui permet de vivre à l’aise dans le fond d’un bistrot couvinois qu’une soirée blingbling. Et surtout en gardant la même attitude. Il manie également diaboliquement les platines car la musique fait partie de son univers quotidien.

Fred Bouvy. On déteste ou on adore. Nous, on adore. L’indifférence est un mot qui n’existe pas dans son vocabulaire.

Petite interview

Quel est le meilleur souvenir que tu gardes de ton papa ? son enthousiame, sa générosité et sa volonté d’entreprendre

La personnalité que tu préfères ?Sarkozy

L’endroit où tu te sens le mieux ?Aux sports d’ hiver

Quel est ton moment préféré dans la journée ? 22 h quand la nuit commence

Quelle course aimerais-tu faire ?Nascar à daytona

La voiture dont tu gardes le meilleur souvenir ? Corvette C5 GT1

Si tu pouvais te ré-incarner, tu demanderais quoi ? Dans un enfant de 5 ans

La partie de ton anatomie que tu changerais ? Mon cerveau pour écrire sans faute

Si tu rencontres Dieu, que lui demanderais-tu ? D’organiser tommorow land sur notre plage au Zoute

On t’annonce que tu n’as plus que 24 hrs à vivre, tu fais quoi ?Un grande fête avec tout mes potes

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Imaginez que vous demandiezà Usain Bolt de courir un marathon,

Imaginez que vous demandiez à un marathonien de soulever une charge lourde,

Imaginez que vous demandiez à un haltérophile d’exécuter des mouvements de gym,

Imaginez qu’on vous demandetout cela lors d’un même entraînement !

Voilà ce qu’est le CrossFit : une méthode d’entraînement complète, par laquelle on développe tout un ensemble de compétences : force, endurance, vitesse, explosivité, agilité, coordination, etc. Les mouvements sont naturels et fonctionnels : on porte, on tire, on pousse, on saute, on jette, etc.

Oubliez tout ce que vous avez connu dans les salles Fi-tness où vous avez été auparavant. Ni miroirs, ni machi-nes qui travaillent à votre place, dans une salle CrossFit, « it’s not about looking good, it’s about being good ». Autrement dit, on s’intéresse aux compétences.

Le CrossFit, c’est reprendre en main sa condition phy-sique, son corps, sa santé, avec des méthodes et un coaching haut de gamme, qui plairont autant aux ath-lètes confirmés, qu’à toute personne désireuse de se remettre au sport, quel que soit l’âge, le sexe, ou le niveau physique.

La salle « CrossFit 1815 », à Waterloo, est la première salle en Brabant wallon, et bénéficie de l’expérience de « Reebok CrossFit Brussels », à Uccle, une des plus grandes salles d’Europe. Tous les sportifs de la région en parlent ! Venez voir à quoi ça ressemble !

CrossFit 1815Adresse : Avenue des Pâquerettes, 55. 1410 Waterloo (Zoning artisanal)

www.crossfit1815.be

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Insolite,vous avez dit ?

Depuis votre adolescence 50 000 de vos neurones meurent chaque jour.

Ils ne seront jamais remplacés.

En Chine, le droit à la sieste est inscrit dans la constitution depuis 1948.

Les papillons goûtent avec leurs pieds.

Depuis 2008 les fermiers d’Estonie doivent payer une taxe contre

l’émission de méthane contenu dans les flatulences de leur bétail.

Google tient son nom de googolqui est le nombre formé du chiffre 1 suivi

de 100 zéros.

Playmobil a été créé en 1974par un fabricant de gros jouets en plastiquequi a cherché à réduire ses coûts de matière

première suite à la crise du pétrole.

Pour produire 500 grammes de miel, les

abeilles doiventeffectuer plus de

17 000 voyages, visiter 8 700 000 fleurs, le tout représentant plus de 7000 heures de travail.

La devise de l’Union européenne est In varietate concordia signifiant

« Unie dans la diversité ».

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La couleur jaune du

beurre est due au

bêta-carotène contenu dans

l’herbeque mangent les vaches.

Avec 2,6 milliards de passagers transportés

chaque année,le métro de

Moscou est le réseau souterrain le plus utilisé au monde,plus que ceux de

Londres et New York réunis.

Dans sa jeunesse Tom Cruise est entré au séminaire en vue

de devenirprêtre mais a arrêté

au bout d’un an.

Un cheval n’a pas de museau ni de pattes. Considéré comme un animal noble,

il a, comme l’homme, un nez et des jambes.

Couché sur le dos en soulevant lentement les jambes vous ne pouvez pas sombrer dans des

sables mouvants.

Il y a 318 979 564 000 combinaisons possibles des quatre premiers

mouvements aux échecs.

Au Canada,on dit d’un

vantardqu’il «se pète es bretelles».

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Notre coup de cœur du mois :

Le Mandarin Oriental Prague*****,le style et l’élégance dans un ancien monastère du 14e siècle

Offrez-vous la magie de Prague…La capitale tchèque est l’une des plus belles villes du monde.

Son architecture digne de celle des contes de fées est inoubliable.

Offre « More for You » : à partir de 295 € (hors taxes)chambre supérieure, petit déjeuner inclus (servi dans votre chambre ou au restaurant)

In-room internet - Parking gratuitCrédit repas ou spa de 50 €

Late check out 16h00 selon disponibilitéRéservation 60 jours à l’avance - Minimum 2 nuits

LES + D’APOGHEOS

Surclassement en chambre deluxeVin pétillant Sekt

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Coréame, Harmonie de l’être.S’évader seul, en couple ou entre amis au centre Coréame à Pepinster

Imaginé par Christine Rensonnet, le concept ultra privé de cet espace dédié au bien être, a vu le jour le vingt six octobre dernier. « Je voulais donner l’opportunité à mes clients de bénéficier d’un espace privé pour que leur détente soit maximale ». En effet, lorsque vous réservez le centre, il n’y a que vous. Du massage au gommage en passant par des moments de relaxation dans l’espace lounge, le centre Coréame est unique en son genre.

Outre la situation exceptionnelle au cœur de la nature sur les hauteurs de Pepinster, le centre est équipé d’un hammam traditionnel ma-rocain, d’un sauna avec une vue imprenable sur la vallée et d’un jacuzzi extérieur.

Passionnée par le massage et ses vertus, Christi-ne Rensonnet, a décidé de faire partager les diffé-rentes techniques et soins rapportés de ses nom-breux voyages. Elle propose différents massages soigneusement élaborés. Certains à base d’huiles essentielles bio et de produits naturels, d’autres se pratiquant habillés sur un futong (lit japonais). Vous pourrez notamment découvrir les produits séné-galais Chouette Mama à base de beurre de karité, d’huile de sésame et de sel du lac Rose

Aux petits soins pour ses hôtes, Christine Ren-sonnet adapte son service en fonction de votre demande. Vous pouvez personnaliser ce mo-

ment avec une coupe de champagne si vous fêtez un événement : St Valentin, enterrement de vie de jeune fille, anniversaire de mariage,… Toujours dans un esprit d’exclusivité, Christine met un point d’honneur à recevoir dans un es-prit convivial et adapté aux envies de chacun. NOUVEAU ! Coréame propose des formules afin de prolonger votre séjour détente en asso-ciant une nuit à l’hôtel Verviers 4 étoiles et les soins du centre. L’idéal pour vous ressourcer le temps d’un week-end et découvrir le mer-veilleux pays de Herve. Pour parfaire le service privé et personnalisé, des séances de conseil en image (relooking) et des ateliers d’auto-maquillage peuvent être inclus dans la formule. Ils sont très prisés par des groupes d’amies qui souhaitent passer un moment à la fois ludique et instructif…

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Zoom sur le Rituel oriental :Un soin exceptionnel en trois étapes :

1. Pour commencer, vous profiterez d’une ap-plication de savon noir sur tout le corps dans le hammam traditionnel marocain. Après quel-ques minutes de pose, un gommage au gant de Kessa favorisera la prévention du vieillissement de la peau et luttera contre l’excès de sébum par l’exfoliation des peaux mortes.

2. Ensuite, une argile marocaine riche en miné-raux, le rasoul sera appliqué sur votre corps. Ef-fectué après le gommage, cet enveloppement permet d’absorber les impuretés, de resserrer les pores et de satiner l’épiderme.

3. Pour terminer, Christine Rensonnet vous fera goûter au massage oriental à l’huile d’argan dont elle seule a le secret. Résultat, une peau

purifiée, un système circulatoire vivifié et une décontraction complète.

Les marques de Coréame :

• Couleur Caramel• La Sultane de Saba• Chouette Mama• Et autres produits naturels à découvrir

Découvrez les formules et tarifssur www.coreame.be

Centre Coréame – Christine RensonnetRue Grettouheid 96c, 4860 PEPINSTER0478/68.10.92

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DECO

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Le printemps arrive mais nous subissons encore les frimas d’un hiver qui n’en finit pas. Si nous mettions cette période à profit pour revisiter et réaménager notre salle à manger.

A elle seule, la table qui l’occupe est une pièce maî-tresse, le dépositaire d’une multitude de souvenirs, le témoin des activités de chacun des membres de la famille: les repas de famille, les longues soirées entre amis, les devoirs des enfants, la couture, le petit bricolage, quelques tâches administratives ou professionnelles, ....... De toute évidence, cet espace détient donc une place importante dans l’histoire de chaque foyer. Par excellence, c’est le lieu de partage pluridisciplinaire !

La superficie totale des habitations étant de plus en plus réduite, prenez bien le temps de réfléchir à l’uti-lisation future du volume que vous comptez octroyer à la salle à manger. Si votre mode de vie vous incite plus à rencontrer vos amis à l’extérieur, rien ne sert de lui attribuer une place démesurée. Contentez-vous d’un petit coin repas intégré au salon.

Souvent accolée au salon ou faisant partie intégrante de celui-ci, il convient soit de la décorer de façon homogène créant ainsi un ensemble visuel, soit de délimiter son espace par un contraste de couleur et de forme.

La parfaite proportion du volume des meubles choisis et nécessaires à l’utilisation de la pièce doit être prioritaire. Dans la mesure du possible, il est conseillé de laisser un maximum de passage autour de la table de façon à pouvoir circuler librement une fois les convives installés. Toutefois, comme tout le monde ne dispose pas nécessairement d’un grand espace, l’option d’une table à rallonges peut s’avé-rer très judicieux et préserve les bonnes proportions esthétiques.

Le choix et l’uniformité de la couleur principale conférera à l’ensemble son homogénéité. Table, chaises, meubles déclinés dans la même gamme de coloris ou dans la même essence permettent beau-coup plus de fantaisie pour les objets de décoration future. Le mobilier de salle à manger représente sou-vent un budget conséquent et il est donc primordial de s’orienter vers un choix que l’on ne regrettera pas six mois plus tard.

Suivant le volume total et les pans de mur dont on dispose, il est indispensable de pouvoir disposer d’un maximum de rangement. Pour les plus petits espaces, un grand vaisselier aux portes vitrées allè-gera l’ensemble. De même, un ou deux meubles plus bas n’étoufferont pas la pièce et pourront servir de repose plat et bouteilles lorsque l’on reçoit beaucoup de convives ou encore seront de magnifiques écrins

Conseil déco: La Salle à MangerLe printemps arrive mais nous subissons encore les frimas d’un hiver qui n’en finit pas.

Si nous mettions cette période à profit pour revisiter et réaménager notre salle à manger.

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de décoration en y déposant des bouquets de fleurs ou tout autre objet.

Peindre le plafond dans une couleur foncée procure-ra plus d’intimité. Un lustre central diffusera une lu-mière douce et de petites sources d’éclairage indirect disposées sur les meubles rehausseront l’ambiance.Habiller le sol d’un tapis représente à la fois un plus visuel mais aussi une excellente protection contre le bruit et les griffes engendrés par le déplacement des chaises. Il est de bon ton de le choisir de la même forme que la table pour ne pas casser les lignes.

Modifier l’ambiance d’une salle à manger ne deman-de pas nécessairement un budget conséquent. Une nappe, des bougies, un centre de table,des fleurs, le tout assorti à la couleur des murs et le tour est joué.Si vos finances le permettent, gardez la table et of-frez-vous de nouvelles chaises. Suivant la taille de la table, 4 à 6 chaises identiques feront l’affaire. Si vous en disposez de plus, placez-les dans le hall ou dans une chambre, elles viendront toujours à point pour les grands soirs.

La décoration de la table doit être fonction du mode de vie et de la disposition des lieux. Rien ne sert de parer votre table d’un nappe et d’objets de décora-tion si vous-même ou vos enfants investissez l’en-droit tous les jours. Dans ce cas, une belle coupe de fruits et quelques fleurs feront l’affaire.

Par contre, si la majorité des repas et des activités sont centralisées dans la cuisine, la table de salle à manger décorée avec soin et harmonie sera toujours prête à accueillir les visiteurs impromptus.

En décoration, l’art de la table fait partie intégrante de l’esthétisme du décor qui l’entoure. Une table bien dressée est le premier atout de l’art du bien re-cevoir. Une fois encore, nul besoin de dépenser des fortunes pour y parvenir. Un service de table un peu vieillot peut devenir éclatant déposé sur une nappe

d’une couleur chatoyante. Un centre de table fleuri, des strass de couleurs, des petits bougeoirs, de jolis ronds de serviettes, des sets de table raffinés, des ser-viettes colorées, un élégant poivrier, une carafe déli-cate, autant de détails qui magnifieront l’ensemble.

Il ne faut pas hésiter à mélanger les styles. L’har-monie peut être obtenue par la forme,par la couleur ou par le thème. Toutefois, lors du dressage, il est important de veiller à ne pas disposer d’objets trop hauts afin de faciliter le passage des plats et le ser-vice des boissons entre convives.

Petite astuce pour les nappes: Si vous avez la place, après repassage, suspendez vos nappes sur un cintre pour les entreposer. Elles seront toujours impecca-bles en cas de besoin.

En ce qui concerne l’agencement de la vaisselle, il faut prévoir 30 cm entre chaque convive et un es-pace de plus ou moins 70 cm par personne. Il est important de vérifier l’alignement des assiettes, des verres et des couverts ainsi que l’espacement entre les convives afin de respecter l’impression de symé-trie et d’harmonie.

Mais surtout, qu’il s’agisse de la couleur des murs, du choix du mobilier ou simplement du décor de ta-ble, faites vous plaisir avant tout et osez la touche d’audace qui vous étonnera.

Pour tout conseil, suggestion ou coaching, je reste à votre entière disposition.

DAVID BIANCHINIChaussée de Huy, 105b Dion Valmont

Ouvert vendredi et samedi de 10 h à 21 hLe premier dimanche du mois de 11 h à 16 hSur rendez-vous au 0478 17 11 15www.decobianchini.com

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