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AbyWarbug Sources Aby Warburg, La Naissance de Vénus et Le Printemps de Sandro Botticelli , trad. par Laure Cahen- Maurel, Paris, Éditions Allia, 2007. Aby Warburg, Le Rituel du serpent : Récit d'un voyage en pays Pueblo, trad. par Sibylle Muller, Paris, Macula, 2003. Aby Warburg, Essais florentins, trad. par Sibylle Muller, Paris, Klincksieck, 1990; rééd. en 2003. Aby Warburg, L’Atlas Mnémosyne, trad. par Sacha Zilberfarb, Paris, L’écarquillé - INHA, 2012 (de) Biographie de Aby Warburg, sur le site de la Warburg Electronic Library Ludwig Binswanger, La Guérison infinie. Histoire clinique d'Aby Warburg, trad. de M. Renouard et M. Rueff, postface de C. Marazia, Paris, Rivages, 2007, rééd. en poche coll. « Petite Bibliothèque », 2011 (286 pages). Études de l'homme et de l'œuvre Ernst Gombrich, Aby Warburg : An intellectualbiography, Warburg Institute [of the] University of London, London, 1970. Philippe-Alain Michaud, Aby Warburg et l'image en mouvement, Macula, Paris, 1998. Giorgio Agamben, Image et mémoire, Hoëbeke, Paris, 1998. Georges Didi-Huberman, L'Image survivante : histoire de l'art et temps des fantômes selon Aby Warburg, Éd. de Minuit, Paris, 2002. Georges Didi-Huberman, Atlas ou le gai savoir inquiet - L'œil de l'Histoire, 3, Éd. de Minuit, Paris, 2011. (de) Karl Königseder, « Aby Warburg im "Bellevue" (1995) ». In: Galitz, R. undReimers, B.: Aby M. Warburg "Ekstatische Nymphe ... trauernderFlussgott" Portrait einesGelehrten. DöllingundGallitz, Hamburg. S. 74-103. Aby Moritz Warburg (né le 13 juin 1866 à Hambourg, Allemagne, et mort également à Hambourg le 26 octobre 1929) est un historien de l'art. Son travail a servi à jeter les bases de l'iconologie.

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AbyWarbug

Sources• Aby Warburg, La Naissance de Vénus et Le Printemps de Sandro Botticelli, trad. par Laure Cahen-

Maurel, Paris, Éditions Allia, 2007.• Aby Warburg, Le Rituel du serpent : Récit d'un voyage en pays Pueblo, trad. par Sibylle Muller, Paris, Macula, 2003.• Aby Warburg, Essais florentins, trad. par Sibylle Muller, Paris, Klincksieck, 1990; rééd. en 2003.• Aby Warburg, L’Atlas Mnémosyne, trad. par Sacha Zilberfarb, Paris, L’écarquillé - INHA, 2012• (de) Biographie de Aby Warburg, sur le site de la Warburg Electronic Library• Ludwig Binswanger, La Guérison infinie. Histoire clinique d'Aby Warburg, trad. de M. Renouard et M.

Rueff, postface de C. Marazia, Paris, Rivages, 2007, rééd. en poche coll. « Petite Bibliothèque », 2011 (286 pages).• Études de l'homme et de l'œuvre• Ernst Gombrich, Aby Warburg : An intellectualbiography, Warburg Institute [of the] University of

London, London, 1970.• Philippe-Alain Michaud, Aby Warburg et l'image en mouvement, Macula, Paris, 1998.• Giorgio Agamben, Image et mémoire, Hoëbeke, Paris, 1998.• Georges Didi-Huberman, L'Image survivante : histoire de l'art et temps des fantômes selon Aby Warburg, Éd. de

Minuit, Paris, 2002.• Georges Didi-Huberman, Atlas ou le gai savoir inquiet - L'œil de l'Histoire, 3, Éd. de Minuit, Paris, 2011.• (de) Karl Königseder, « Aby Warburg im "Bellevue" (1995) ». In: Galitz, R. undReimers, B.: Aby M. Warburg

"Ekstatische Nymphe ... trauernderFlussgott" Portrait einesGelehrten. DöllingundGallitz, Hamburg. S. 74-103.

Aby Moritz Warburg (né le 13 juin 1866 à Hambourg, Allemagne, et mort également à Hambourg le 26 octobre 1929) est un historien de l'art.Son travail a servi à jeter les bases de l'iconologie.

Aby Warburg et le rituel du serpent

Atlas Mnemosyne

http://www.engramma.it/eOS2/atlante/index.php?lang=eng

Les Gorgones (en grec ancien Γοργόνες / Gorgónes ou Γοργοῖ / Gorgoĩ), au singulier Gorgone ou Gorgo (Γοργώ / Gorgố) sont, dans la mythologie grecque, des créatures fantastiques malfaisantes et d'une telle laideur que quiconque ose regarder leur visage meurt pétrifié.

La gorgone Méduse par Le Caravage.

Sculpture d'une tête de gorgone dans le Forum sévérien de la cité de Leptis Magna.

Méduse, mosaïque de l'ancienne Hadrumète au Musée archéologique de Sousse.

Une Gorgone sur une amphore à col attique à figures noires, vers 520-510 av. J.-C.

The opening of the MnemosyneAtlas shows via images the cultural, geographical and historical scope of the whole Atlas: the oscillation between the polarities of magic and mathematics in the Western cultural tradition from the Mediterranean to Northern Europe. Everypicturethatappears in the three plates issymptomatic of a particulardeclension of the relationshipbetween man and the cosmos, fromastrologicalsuperstition to the technologicalconquest of the heavens.

The first evidence of the daemonicastrological tradition expressed in variousinterpretations and designs of the cosmos: from divination practices, to images of the harmony of the spheres, to the representations of the heavens. A journeythatleadsfromancientBabylon to Greece and, throughAlexandria, to HellenisticRome, prefiguring the stages of otherwanderings.

Ces espaces lisses sont donc libres pour êtres créé par chaque marcheur. C’est le piéton, le nomade qui défini l’espace par sa trajectoire. Celle-ci dépend souvent de ses besoins quotidiens, ses lieux d’identifications, les gens qu’il rencontre. On parle alors de « Transhumance » : la géographie change en fonction de chaque occasion, les lieux sont reliés entre eux par des vecteurs temporaires entre des points, les routes ne sont pas définies.On retrouve un bel exemple de cette conception de l’espace dans la toute première représentation d’un village, à l’âge du paléolithique il y a 10 000 ans, retrouvé dans une pierre en Italie (Bedolina, Val Camonica).

Le Fegato di Piacenza

Fin du I ou IIe siècle avant J.C

Johannes de Ketham, Fasciculo de medicina, 1493.

From the Cosmos to Man and backHumanneed for representation of and connectionwith the cosmos isexpressed in the projection of images and influences of the cosmos on Man: a harmonicconnectionbetween cosmos and man isestablished. During the Renaissance thisharmonyisrepresentedlogicallyand geometrically (Leonardo da Vinci), as well as magically and daemonically.

Titre : La JetéeRéalisation : Chris MarkerScénario : Chris MarkerPhotographie : Chris Marker - Jean-César ChiabautSon : Antoine BonfantiMusique : Trevor Duncan et liturgie russe du samedi saint ; utilisation de « Devant ta croix » de Piotr Gontcharov (XIXe siècle)Voix : Jean NégroniMontage : Jean RavelProduction et distribution : Argos FilmsDate de sortie : 16 février 1962Film françaisGenre : science-fiction, fantastiqueDurée : 28 minutesSupport : 35 mm, noir et blanc