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Mesurer ses actions sur le web Si on arrêtait de compter les likes et les RTs ?

Mesurer ses actions sur le web

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Conférence donnée dans le cadre d'EducPro Plus d'infos sur le blog CaddE-Réputation!

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Page 1: Mesurer ses actions sur le web

Mesurer ses actions sur le webSi on arrêtait de compter les likes et les RTs ?

Page 2: Mesurer ses actions sur le web

Car, par définition, le web est construit à partir de nombres

Et que les nombres sont rassurants

Car tout est mesurable : interactions, discours, partages…

Car les plateformes produisent de nombreux indicateurs

Car ces indicateurs se suffisent à eux-mêmes (autoréférence)

Le numérique c’est magique…

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Un indicateur indique la route à suivre

Autant qu’il mesure le chemin parcouru

Il peut être (au mieux) construit par l’organisation…

…ou par des outils/prestataires (le plus souvent)

Puis être additionné à d’autres

Question : quel appui réel aux prises de décisions ?

A quoi servent les indicateurs de mesure ?

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Les indicateurs de mesure web sont utiles pour les organisations

A condition de comprendre leur construction… en « boite noire »

Influence ou médiatisation ? Autorité ou popularité ?

Mais au-delà… Mesurer, mais pour quoi faire ?

Plus qu’évaluer un résultat, plus que « presser le bon bouton », plus qu’être passif : la mesure pour structurer l’environnement

Plus qu’une mesure, la question du sens

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Communiquer = mettre en commun

Comment appréhender des publics par le seul prisme des API ?

Nécessité d’intégrer l’environnement des publics : consommation de l’information, formes et volumes d’interactions, discours dominants ou critiqués…

Passer d’un production industrielle d’indicateurs, à des mesures plus qualitatives

Et qui répondent aux objectifs de l’organisation tout en prenant en compte les contraintes propres aux plateformes

De la diffusion à la communication

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« L’habit ne fait pas le moine »… mais il aide à rentrer dans l’abbaye

Comprendre le « dress code » attendu par les publics permet de mieux échanger avec eux

Générer et mesurer des clics, des likes ou des RTs ne doit plus être une finalité mais un moyen

Un moyen de favoriser la médiation et de s’intégrer dans la « bulle » informationnelle des publics

Le community manager, ce médiateur ?

Pour une approche proactive

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Pour les CM : comment accéder aux bulles des publics, et orienter ces publics dans celles de l’organisation ?

Pour la veille : comment favoriser des prises de décisions anticipatives?

Pour l’organisation en générale : comment faire pour que le contexte dans lequel évolue les publics, soit le même que celui où évolue les collaborateurs de l’organisation ?

Des solutions possibles : s’appuyer sur la prescription, manager la « veille ordinaire », et favoriser l’appropriation

En bref : produire des connaissances et pas seulement des calculs…

Mais aussi déléguer à ceux qui sont déjà au quotidien dans ces « bulles »… Comme les étudiants ?!

Vers une acculturation

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Depuis 8 ans, la communication de l’Icomtec de l’IAE de Poitiers est réalisée par… ses étudiants

Relations presse, événements, publicité, communitymanagement, communication interne…

Aucun « incidents » à déplorer, grâce à un système basé sur la confiance et des procédures définies en commun

Depuis 2012, réflexions sur les stratégies numériques : comment animer les 2 pages Facebook et les 2 comptes Twitter ?

Plus qu’un benchmark (i.e. comparer l’incomparable), une prise en compte des attentes des étudiants et du personnel

Et une stratégie basée sur les usages, pratiques informationnelles et besoins du public prioritaire : les étudiants

L’exemple de l’@icomtec

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Les organisations doivent-elle continuer à aborder le web comme un énième canal de communication ? Les lolcats en plus…

Les métiers du web ne consistent-ils qu’à remplir des feuilles de calcul, presser des boutons et dépendre du bon vouloir des plateformes ?

Doit-on construire son environnement ou attendre l’outil magique ?

Doit-on continuer à parler de « social » (à toutes les sauces) tout en gardant une volonté de contrôle ou de maitrise ?

Au final…