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La revue de Presse KYLIA 1 LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE Du 14 au 19 avril 2014 LES ARTICLES DE LA SEMAINE Crédit immobilier : des taux en baisse, mais des prêts difficiles à obtenir Le 14/4/2014 Les courtiers en crédit constatent une légère baisse des taux d’intérêt. Mais les banques étudient à la loupe les dossiers de demande de prêt. Les courtiers en crédit constatent une légère baisse des taux d’intérêt. Mais les banques étudient à la loupe les dossiers de demande de prêt. Sipa "Les banques ont tendance à allonger la durée de traitement des demandes de prêts immobiliers. Dans le même temps, elles ont de nouveau baissé leurs taux", constate Joël Boumendil, P.-D.G. du réseau de courtage en crédit ACE. Début avril, les banques ont choisi de baisser les taux des crédits immobiliers, de 0,10 point environ : "Les emprunteurs présentant les meilleures garanties peuvent

Revue de presse kylia semaine du 14 au 19 avril 2014

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Retrouvez une sélection des meilleurs articles de la presse immobilière de la semaine

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La revue de Presse KYLIA

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LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE

Du 14 au 19 avril 2014

LES ARTICLES DE LA SEMAINE

Crédit immobilier : des taux en baisse, mais

des prêts difficiles à obtenir Le 14/4/2014

Les courtiers en crédit constatent une légère baiss e des taux d’intérêt. Mais les

banques étudient à la loupe les dossiers de demande de prêt.

Les courtiers en crédit constatent une légère baisse des taux d’intérêt. Mais les banques étudient à la

loupe les dossiers de demande de prêt. Sipa

"Les banques ont tendance à allonger la durée de traitement des demandes de prêts immobiliers.

Dans le même temps, elles ont de nouveau baissé leurs taux", constate Joël Boumendil, P.-D.G. du

réseau de courtage en crédit ACE. Début avril, les banques ont choisi de baisser les taux des crédits

immobiliers, de 0,10 point environ : "Les emprunteurs présentant les meilleures garanties peuvent

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prétendre à des taux fixes hors assurance proches des records affichés en mai 2013 : 2,10 % sur 10

ans, 2,50 % sur 15 ans, 2,70 % sur 20 ans et 3,10 % sur 25 ans", confirme Ari Bitton, président d’AB

Courtage.

Principal facteur de la baisse des taux d’intérêt : celle de leur indice de référence, l’OAT 10 ans, en

recul de 0,35 point depuis le début de l’année. Mais pas seulement. "Traditionnellement, le mois de

mars est le mois de l’immobilier avec les salons spécialisés qui ont lieu un peu partout en France. Les

banques veulent en profiter et capter un maximum de nouveaux clients", explique Barbara Coumaros,

directrice de la Communication du courtier Empruntis. C’est aussi le moment d’acheter pour eux qui

doivent déménager avant la prochaine rentrée scolaire.

Cependant, les banques continuent d’être très sélectives dans leur politique d’octroi des prêts

immobiliers selon ACE : "Les conditions d'octroi des crédits restent relativement strictes et certains

établissements bancaires ont même durci à la fois leurs critères et leur processus d'analyse des

dossiers des candidats à l'acquisition", souligne le courtier qui a constaté un allongement sensible des

délais de réponse. Les prêts sur 30 ans ou à 110 % ont disparu, les emprunteurs doivent justifier d’un

apport personnel minimum de 10 % frais de notaire inclus.

Néanmoins selon le courtier Cafpi, les primo-accédants sont très présents sur le marché immobilier :

"Ce sont plutôt cadres que jeunes sans apport, plutôt divorcés que jeune ménage qui s’installe. Ils

achètent à près de 81 % dans l’ancien et empruntent en moyenne 166 816 euros sur 234 mois (19,5

années)", constate Philippe Taboret, directeur général adjoint de Cafpi, qui regrette que le prêt à taux

zéro n’arrive pas à inciter les primo-accédants à acheter dans le neuf. "Un assouplissement des

conditions de remboursement de l’actuel PTZ+ aurait un effet positif sur le marché du neuf", approuve

Ulrich Maurel d’Immoprêt.

Source : LeNouvelObs.com

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Immobilier : les cinq dossiers urgents de Sylvia

Pinel Le 15/4/2014

La nouvelle ministre du Logement Sylvia Pinel a

construction de logements. Mathias Thépot

aux investisseurs, simplifier les normes, relancer le secteur de la construction, s'assurer de la

publication rapide des décrets d’application de la loi Alur... la nouvelle ministre du Logement Sylvia

Pinel a du pain sur la planche.

Tout juste nommée, la nouvelle Ministre du Logement Sylvia Pinel a du pain sur la planche. Elle va

devoir reprendre le flambeau de Cécile Duflot qui fut, quoi qu'on pense de sa politique, très active

durant ses deux années passées rue de Varenne. Mais l'ancienne ministre EELV laisse tout de même

à Sylvia Pinel plusieurs chantiers d'envergure inachevés.

L'objectif du gouvernement de construire 500.000 logements par an est par exemple encore loin d'être

atteint. Pis encore, le repli des permis de construire

lobbys de l'immobilier n'ont d'ailleurs pas manqué de rappeler les enjeux m

à agir au moment de la passation de pouvoir entre les deux ministres.

La revue de Presse KYLIA

Immobilier : les cinq dossiers urgents de Sylvia

La nouvelle ministre du Logement Sylvia Pinel a pour mission de redresser le secteur de la

Mathias Thépot | 15/04/2014, 11:46 - 729 mots Redonner confiance

aux investisseurs, simplifier les normes, relancer le secteur de la construction, s'assurer de la

e des décrets d’application de la loi Alur... la nouvelle ministre du Logement Sylvia

Tout juste nommée, la nouvelle Ministre du Logement Sylvia Pinel a du pain sur la planche. Elle va

flambeau de Cécile Duflot qui fut, quoi qu'on pense de sa politique, très active

durant ses deux années passées rue de Varenne. Mais l'ancienne ministre EELV laisse tout de même

hantiers d'envergure inachevés.

nement de construire 500.000 logements par an est par exemple encore loin d'être

e repli des permis de construire ne laisse rien augurer de bon pour 2014. Les

lobbys de l'immobilier n'ont d'ailleurs pas manqué de rappeler les enjeux majeurs et l'urgence qu'il y a

à agir au moment de la passation de pouvoir entre les deux ministres.

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Immobilier : les cinq dossiers urgents de Sylvia

pour mission de redresser le secteur de la

mots Redonner confiance

aux investisseurs, simplifier les normes, relancer le secteur de la construction, s'assurer de la

e des décrets d’application de la loi Alur... la nouvelle ministre du Logement Sylvia

Tout juste nommée, la nouvelle Ministre du Logement Sylvia Pinel a du pain sur la planche. Elle va

flambeau de Cécile Duflot qui fut, quoi qu'on pense de sa politique, très active

durant ses deux années passées rue de Varenne. Mais l'ancienne ministre EELV laisse tout de même

nement de construire 500.000 logements par an est par exemple encore loin d'être

ne laisse rien augurer de bon pour 2014. Les

ajeurs et l'urgence qu'il y a

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Simplifier les normes de construction

La Fédération des promoteurs immobiliers (FPI) réclame "du gouvernement qu'il s'attaque

drastiquement aux causes de blocage du foncier constructible et de renchérissement des coûts de

construction. Les solutions sont identifiées ; il est maintenant urgent de les mettre en œuvre".

Concernant les coûts de construction, la ministre aura d'abord la lourde tâche de s'appuyer sur les 50

propositions des groupes de travail mandaté par le chef de l'État pour relancer l'offre de logements. Et

ainsi permettre de construire vite, mieux, moins cher et au bon endroit.

Un des groupes de travail propose concrètement de diminuer le stock de normes existantes, en

s'attaquant aux normes obsolètes. Pour éviter les nouvelles dérives, il est en outre proposé de

remplacer des normes rigides et fixes par une élaboration plus concertée.

Mobiliser le foncier public

Les équipes de Sylvia Pinel s'attèleront également à accélérer la mobilisation du foncier public. Les

effets de la loi du 18 janvier 2013 relative à la mobilisation du foncier public en faveur du logement se

font en effet attendre. Très peu d'opérations d'envergure ont été annoncées, et au total seules

quelques dizaines de cessions ont été signées.

Redonner confiance aux investisseurs

La relance de l'offre de logements passera également par le regain de confiance des investisseurs

particuliers, qui se sont moins engagés dans des projets d'acquisitions que prévu en 2013.

Pour de bonnes ou de mauvaises raisons, les relations entre Cécile Duflot et les professionnels du

secteur ont été très tendues. Les propos véhéments de chacun ne faisant qu'alimenter les aigreurs et

l'immobilisme des particuliers.

Il n'est d'ailleurs pas à exclure que, au-delà des problématiques techniques, la seule image de la

ministre, écorchée par les professionnels, ait participé à faire fuir certains investisseurs.

La mission de Sylvia Pinel sera de leur redonner confiance. Les pouvoirs publics comptent en effet sur

eux pour tirer vers le haut la demande de logements neufs. C'est d'ailleurs pour cela qu'un dispositif

d'aide fiscale à l'investissement locatif a été conservé depuis l'arrivée de la gauche au pouvoir.

Publier les principaux décrets de la loi Alur au pl us vite

A très court terme, les équipes de la rue de Varenne vont finaliser les décrets d'application de la loi

pour un accès au logement et un urbanisme rénové (Alur), portée par Cécile Duflot. Une priorité au

sens de la fédération nationale de l'immobilier (Fnaim).

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Problème, plus de 200 décrets sont en cours d'élaboration... "il y en a pour 3 ans de boulot", du fait

des équipes ministérielles restreintes, explique Henry Buzy-Cazaux, président de l'Institut du

Management des Services Immobiliers.

Il faudra donc privilégier les plus urgents. Comme par exemple, ceux fixant les loyers médians qui

serviront de base pour l'encadrement des loyers, une mesure phare de la loi Alur, et un engagement

du président de la République.

Les agents immobiliers attendent de savoir à quelle sauce ils vont être mangés

La profession immobilière attend enfin impatiemment le décret qui plafonnera les frais d'agences

payés par les locataires. Ils ne paieront plus que les frais relatifs à la visite du logement, à la

constitution du dossier, à la rédaction du bail, et à la réalisation de l'état des lieux. Trois plafonds

seront instaurés au niveau national selon le niveau de tension du marché. Ils seront déterminés en

fonction de la surface du logement, et non plus en fonction du montant du loyer, une petite révolution.

Source : LaTribune.fr

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Immobilier : les tarifs des syndics pourraient

grimper de 20% Le 16/4/2014

Dans Le Parisien-Aujourd'hui en France, l'association de propriétaires l'ARC alerte contre les fortes

hausses de tarifs annoncées par certains syndics.

Les syndics avaient menacé le gouvernement de hausses de tarifs pendant l'examen de la loi Alur

pour l'accès au logement et à l'habitat rénové. Ils sont sur le point de mettre leur menace à exécution.

L'association des responsables de copropriété, l'ARC, tire la sonnette d'alarme dans LeParisien-

Aujourd'hui en France ce matin: plusieurs syndics parmi les plus importants ont récemment réuni les

présidents de conseils syndicaux pour les informer d'une future hausse de tarif de 20%.

L'entourage du président de la Fnaim confirme d'ailleurs au quotidien son intention de pratiquer une

telle hausse de tarif: «La future loi Alur va nous imposer tellement d'obligations que nous serons

contraints de relever nos honoraires de l'ordre de 20%.» Foncia confirme également qu'elle relèvera

ses honoraires, sans toutefois monter jusqu'à 20% d'augmentation. De quoi faire craindre à Bruno

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Dhont, le directeur général de l'ARC, «une entente entre les gros syndics» pour relever leurs prix

avant la publication du décret qui doit les encadrer.

Autre gros gestionnaire de copropriété cité par l'ARC: Nexity. Mais la société immobilière qui gère

18.000 copropriétés en France a démenti cette «prétendue augmentation de 20%». Dans un

communiqué envoyé en fin de journée, Nexity explique que l'impact financier de la loi Alur se chiffre à

«moins d'1 € par mois pour chaque copropriétaire». «Bien loin des 20% annoncés par l'ARC qui, une

fois encore, cherche à jeter le discrédit sur toute une profession, espérant certainement en tirer profit

pour sa propre activité».

Encadrement des tarifs

La loi Alur, publiée au Journal officiel le 26 mars dernier, réglemente davantage l'activité des syndics.

Ils n'auront dorénavant plus le droit d'utiliser un seul compte bancaire pour la gestion de l'ensemble de

leurs copropriétés. Une facilité qui leur permettait de négocier de meilleurs tarifs auprès de leur

banque, mais dont le manque de transparence était régulièrement critiqué par les associations de

consommateurs. Désormais, les syndics devront ouvrir un compte pour chaque copropriété de plus de

quinze lots, ce qui devrait en effet entraîner des frais supplémentaires.

L'envolée de leurs tarifs sera parallèlement contenue puisqu'ils ne pourront à l'avenir facturer de frais

supplémentaires que pour certaines prestations définies par décret: devraient figurer parmi elles le

suivi des impayés ou la tenue d'une assemblée générale extraordinaire par exemple. Dans l'attente de

ce décret, que l'ARC presse le ministère de publier, le président de l'association met en garde les

propriétaires: «Râlez, refusez toute hausse de plus de 5% et rediscutez tous les frais.»

Source : LeFigaro.fr

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L’encadrement des loyers seraLe 16/4/2014

Les loyers ne pourront plus excéder 20% du loyer mé dian du quartier à la relocation.

Thépot | 16/04/2014, 14:48

Hollande, la mesure sur l’encadrement des loyers ne plait pas aux professionnels de l'immobilier.

Même s'il y aura une possibilité pour certains propriétaires

C'était dans l'engagement numéro 22 de François Hollande durant sa campagne : "

les prix sont excessifs, je proposerai d'encadrer par la loi les montants des loyers lors de la première

location ou à la relocation". Près de deux ans après l'élection du président socialiste, l'encadrement

des loyers a été transposé dans la loi pour un accès au logement et un urbanisme rénové (Alur),

promulguée le 26 mars 2014 au journal officiel. Mais elle a beau ê

cette mesure déplait fortement à la grande majorité des professionnels de l'immobilier qui y voient une

remise en cause des libertés des propriétaires

Un loyer plafond fixé à 20% au dessus du loyer de r éférence d

Concrètement, la loi prévoit d'encadrer les loyers dans les villes de plus de 50 000 habitants "

existe un déséquilibre marqué entre l'offre et la demande de logements, entraînant des difficultés

sérieuses d'accès au logement sur l'ensemble

plus dépasser 20% du loyer médian de référence du quartier, à type de bien équivalent. Pour

La revue de Presse KYLIA

L’encadrement des loyers sera -t-il efficace ?

Les loyers ne pourront plus excéder 20% du loyer mé dian du quartier à la relocation.

- 599 mots Promesse de campagne présidentielle de François

Hollande, la mesure sur l’encadrement des loyers ne plait pas aux professionnels de l'immobilier.

Même s'il y aura une possibilité pour certains propriétaires-bailleurs de contourner le dispositif.

C'était dans l'engagement numéro 22 de François Hollande durant sa campagne : "

les prix sont excessifs, je proposerai d'encadrer par la loi les montants des loyers lors de la première

". Près de deux ans après l'élection du président socialiste, l'encadrement

des loyers a été transposé dans la loi pour un accès au logement et un urbanisme rénové (Alur),

promulguée le 26 mars 2014 au journal officiel. Mais elle a beau être une promesse présidentielle,

cette mesure déplait fortement à la grande majorité des professionnels de l'immobilier qui y voient une

remise en cause des libertés des propriétaires-bailleurs.

Un loyer plafond fixé à 20% au dessus du loyer de r éférence d u quartier

Concrètement, la loi prévoit d'encadrer les loyers dans les villes de plus de 50 000 habitants "

existe un déséquilibre marqué entre l'offre et la demande de logements, entraînant des difficultés

sérieuses d'accès au logement sur l'ensemble du parc résidentiel existant". Les loyers ne pourront

plus dépasser 20% du loyer médian de référence du quartier, à type de bien équivalent. Pour

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efficace ?

Les loyers ne pourront plus excéder 20% du loyer mé dian du quartier à la relocation. Mathias

mots Promesse de campagne présidentielle de François

Hollande, la mesure sur l’encadrement des loyers ne plait pas aux professionnels de l'immobilier.

contourner le dispositif.

C'était dans l'engagement numéro 22 de François Hollande durant sa campagne : "Dans les zones où

les prix sont excessifs, je proposerai d'encadrer par la loi les montants des loyers lors de la première

". Près de deux ans après l'élection du président socialiste, l'encadrement

des loyers a été transposé dans la loi pour un accès au logement et un urbanisme rénové (Alur),

tre une promesse présidentielle,

cette mesure déplait fortement à la grande majorité des professionnels de l'immobilier qui y voient une

Concrètement, la loi prévoit d'encadrer les loyers dans les villes de plus de 50 000 habitants "où il

existe un déséquilibre marqué entre l'offre et la demande de logements, entraînant des difficultés

". Les loyers ne pourront

plus dépasser 20% du loyer médian de référence du quartier, à type de bien équivalent. Pour

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déterminer le niveau du loyer médian, les pouvoirs publics s'appuieront sur des Observatoires de

loyers locaux.

Le Conseil constitutionnel ouvre une brèche

Insatisfaits, des parlementaires Français de droite -surement motivés par la récente décision de la

Cour européenne des droits de l'homme, qui a condamné la Slovaquie pour son système

d'encadrement des loyers- ont saisi le Conseil constitutionnel français sur cette partie de la loi Alur.

S'ils n'ont pas obtenu gain de cause, un assouplissement des conditions concernant le complément

de loyer a tout de même été acté par les Sages. En effet, les propriétaires-bailleurs pourront au final

appliquer un complément de loyer au-delà de 20% du loyer médian, si le logement qu'ils louent

présente "des caractéristiques de localisation ou de confort par comparaison avec les logements de la

même catégorie situés dans le même secteur géographique", peut-on lire dans le dossier législatif.

Une bonne nouvelle pour les propriétaires

Certes, des précisions sur ces "caractéristiques de localisation ou de confort" sont attendues par

décret en Conseil d'État, mais le risque existe que des propriétaires-bailleurs contournent

l'encadrement en survalorisant la qualité du bien, au moyen de ce complément de loyer.

Pragmatique, le président de l'Institut du management des services immobiliers (Imsi), Henry Buzy-

Cazaux, estime que cette décision du Conseil constitutionnel reste malgré tout "une bonne nouvelle

pour les propriétaires, sans être une trop mauvaise nouvelle pour les locataires".

En effet, "d'un côté, elle donne la possibilité à un propriétaire-bailleur de bonne foi d'appliquer un

complément de loyer au-delà des 20% si son bien est de qualité. Et de l'autre, elle ne met pas à bas

l'édifice voté par le Parlement visant à encadrer des loyers. La philosophie de l'engagement

présidentiel reste sauve", explique-t-il.

Satisfaire la frange libérale

Autrement dit, "ce dispositif conserve sa vocation qui est de sanctionner et de censurer les abus ; tout

en satisfaisant la frange libérale des acteurs de l'immobilier qui voyait le texte initial trop contraignant",

indique Henry Buzy-Cazaux. Ce dernier fait, enfin, confiance aux professionnels de l'immobilier pour

conseiller de manière avisée les propriétaires-bailleurs. Car s'obstiner à fixer des loyers trop élevés

peut souvent aboutir à un accroissement des impayés et des dégradations dans le logement.

Source : LaTribune.fr

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Immobilier : les Allemands vont

vers la propriété ?Le 17/4/2014

Les prix de l'immobilier ont crû de plus de 15% en 2013 dans certaine sgrandes villes

allemandes. Mathias Thépot |

pays de locataires. Mais les tendances récentes laissent penser que la donne est en train de changer

dans les plus grandes villes du pays. L'accès à la propriété y est de plus en plus demandé.

Les Allemands sont-ils en train de changer leur rapport à la pierre

la location, qui se vérifie en chiffres puisqu'ils possèdent la plus forte part de locataires de leur

logement (47%) de l'Union européenne selon Eurost

penser que les Allemands se tournent de plus en plus vers l'achat immobilier.

Le principal est l'emballement récent des prix de l'immobilier dans les grandes villes. "

année 2013, ils ont augmenté de 15 à 20% à Hambourg, Munich et Düsseldorf, les marchés plus

dynamiques du pays", indique François Gagnon président Europe du réseau d'agences immobilières

Era. Ce mouvement à la hausse est généralisé dans les huit grandes métropoles régionales

allemandes, toutes peuplées de plus d'1,2 million d'habitants.

La revue de Presse KYLIA

Immobilier : les Allemands vont -ils se tourner

vers la propriété ?

Les prix de l'immobilier ont crû de plus de 15% en 2013 dans certaine sgrandes villes

17/04/2014, 15:07 - 898 mots L'Allemagne est culturellement un

pays de locataires. Mais les tendances récentes laissent penser que la donne est en train de changer

dans les plus grandes villes du pays. L'accès à la propriété y est de plus en plus demandé.

ils en train de changer leur rapport à la pierre ? Réputés pour leur attachement à

la location, qui se vérifie en chiffres puisqu'ils possèdent la plus forte part de locataires de leur

logement (47%) de l'Union européenne selon Eurostat, quelques indicateurs récents laissent pourtant

penser que les Allemands se tournent de plus en plus vers l'achat immobilier.

Le principal est l'emballement récent des prix de l'immobilier dans les grandes villes. "

nté de 15 à 20% à Hambourg, Munich et Düsseldorf, les marchés plus

", indique François Gagnon président Europe du réseau d'agences immobilières

Era. Ce mouvement à la hausse est généralisé dans les huit grandes métropoles régionales

andes, toutes peuplées de plus d'1,2 million d'habitants.

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ils se tourner

Les prix de l'immobilier ont crû de plus de 15% en 2013 dans certaine sgrandes villes

mots L'Allemagne est culturellement un

pays de locataires. Mais les tendances récentes laissent penser que la donne est en train de changer

dans les plus grandes villes du pays. L'accès à la propriété y est de plus en plus demandé.

? Réputés pour leur attachement à

la location, qui se vérifie en chiffres puisqu'ils possèdent la plus forte part de locataires de leur

at, quelques indicateurs récents laissent pourtant

penser que les Allemands se tournent de plus en plus vers l'achat immobilier.

Le principal est l'emballement récent des prix de l'immobilier dans les grandes villes. "Sur la seule

nté de 15 à 20% à Hambourg, Munich et Düsseldorf, les marchés plus

", indique François Gagnon président Europe du réseau d'agences immobilières

Era. Ce mouvement à la hausse est généralisé dans les huit grandes métropoles régionales

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La hausse des prix s'accélère depuis 2011

Cette tendance est très récente. Car durant la première décennie du 21ème siècle, les prix de

l'immobilier outre-Rhin ont crû de moins de 10%, contre plus de 100% en France et au Royaume-Uni !

L'accélération de la croissance des prix de l'immobilier en Allemagne date en fait de 2011 : ils montent

depuis d'entre 3.5% et 7% par an.

Cette étonnante stabilité des prix de l'immobilier en Allemagne du début du 21ème siècle tient, certes,

au fort boum de la construction qui a suivi la réunification, mais également au fait que le niveau des

loyers est resté très faible par rapport au niveau de vie. Ce qui a rendu la location plus attractive que

l'accès à la propriété pour toute une frange de la population.

Des politiques locales et fédérales d'encadrement des loyers sur la durée d'une part, et par rapport au

loyer de référence des quartiers d'autre part, ont aussi permis d'entretenir cet état vertueux.

Les loyers sont bien inférieurs en Allemagne qu'en France

Résultat, fin 2012, le loyer moyen au m² à Munich, la ville la plus chère du pays, s'élevait à seulement

12 euros, même s"il a crû de manière accélérée dernièrement, selon les chiffres de l'institut allemand

pour la recherche économique (DIW). De même, le loyer moyen n'était que de 11 euros du m² à

Francfort, de 9,5 euros à Hambourg, 8,5 euros à Düsseldorf, et enfin à Berlin, l'une des capitales les

moins chères d'Europe, d'un peu plus de 7 euros du m².

Ces niveaux sont bien inférieurs à ceux que l'on peut constater en France. Si Paris est hors catégorie

-23.2 euros du m² début 2013 selon l'Observatoire Clameur-, à Lille (14,3 euros), à Nice (13,6 euros),

à Lyon et à Marseille (12,5 euros), les loyers sont nettement plus élevés que dans les grandes villes

allemandes.

Le locataire a parfois d'avantage intérêt à louer q u'à acheter un bien

Or, le salaire brut moyen en Allemagne est d'environ 3.500 euros, contre 2.900 euros en France selon

des données d'Eurostat pour 2011. Le poids du logement dans le budget d'un locataire allemand est

donc plus supportable."Acheter un bien immobilier en Allemagne avec peu d'apport personnel et en

contractant un crédit, s'avère parfois significativement plus couteux que de le louer", explique François

Gagnon.

En outre "contrairement aux Français, les Allemands de moins de 40 ans sont peu attirés par l'achat,

ils voient cela comme un frein à leur mobilité professionnelle, un critère prépondérant pour eux", note

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François Gagnon. Outre-Rhin, la propriété immobilière n'est pas une priorité. On est bien loin de la

culture latine de la pierre, matérialisée en France par la promesse de Nicolas Sarkozy en 2007 de

faire émerger "une France de propriétaires".

L'environnement financier incite désormais à achete r

"Ce n'est qu'après la quarantaine que les Allemands deviennent intéressés par l'accession à la

propriété dans l'optique de s'assurer un pied à terre pour leur retraite", explique ainsi François

Gagnon. De surcroît, "les Allemands épargnent de manière différente qu'en France, où l'immobilier

reste la principale valeur refuge pour la retraite. Les comptes épargne retraite ou les polices

d'assurances dédiées y sont davantage développées", ajoute François Gagnon.

Cependant, le niveau des taux d'intérêt très bas des produits d'épargne et des crédits, ainsi que les

incertitudes sur l'économie de la zone euro, changent la donne et poussent de plus en plus les

Allemands à se réfugier dans la pierre.

En parallèle, les loyers ont augmenté substantiellement dans les grandes villes entre 2007 et 2012:

+30% à Berlin +23% à Hambourg, + 19% à Francfort et + 14% à Munich, d'après les chiffres du DIW.

Résultat, depuis la crise financière de 2007-2008, la part des Allemands propriétaires croît doucement

mais surement. Ils sont désormais majoritaires, ce qui n'était pas le cas en 2007.

La Bundesbank s'inquiète de la flambée des prix

Craignant un emballement des prix, la Bundesbank s'est inquiétée publiquement à plusieurs reprise

du niveau des prix de l'immobilier dans certaines villes qui "sont potentiellement surévalués de 20%".

La Buba a même déjà fait savoir, selon l'agence de notation Standard & Poor's, qu'il faudrait prendre

des mesures pour restreindre l'offre de crédits à l'habitat si la situation empirait.

De quoi rassurer les locataires de ce pays qui s'attache à maintenir l'endettement des ménages à un

niveau faible (56% du PIB) en comparaison avec le reste de l'Europe.

Source : LaTribune.fr

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Immobilier : 7 astuces pour bien vendre Le 18/4/2014

Le site de petites annonces Vivastreet livre 7 cons eils de professionnels pour

bien vendre son logement.

75 % des Français n'ont pas de projet immobilier selon un sondage Ifop/Explorimmo WITT/SIPA

Vous êtes prêt à vendre votre logement mais vous ne savez pas comment vous y prendre ? Voici ci-

dessous 7 astuces de professionnels.

Conseil n°1 : mettre son bien en vente au juste pri x

L’acheteur potentiel écume les sites d'annonces immobilières en ligne et balaye ainsi le marché. De

même pour les vendeurs : il faut comparer les biens similaires en vente et ne pas surestimer son prix !

Ne pas se dire que l'on baissera ultérieurement : la négociation arrive bien plus tard, après les visites.

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Conseil n°2 : mettre des photographies flatteuses

20 secondes : c’est le délai donné au "coup de coeur" d'un acquéreur potentiel. 60 % du temps restant

est consacré au passage en revue des photos. La solution pour attirer l’attention est de mettre en

ligne des images avec plusieurs points de vue et de garantir à votre intérieur une luminosité optimale.

Conseil n°3 : vendre un cadre de vie

Plus qu’un logement, c’est un cadre de vie que vous vendez, non pas un lieu dépourvu de sens. Dans

votre descriptif, insistez sur la qualité de vie. Mentionnez la proximité des espaces verts, l’ambiance

animée ou paisible du quartier, la desserte de transports, la proximité d’équipements sportifs, la vue

imprenable, les écoles, les commerces, etc. Bref, tout se qui fait la vie au quotidien.

Conseil n°4 : mettre en valeur votre logement

Aidez vos acquéreurs à se projeter, en mettant en valeur le potentiel du logement. Reboucher

quelques trous au mur, terminer les finitions ou se débarrasser d’une peau de vache de sol servira à

rendre l’endroit rassurant. Sinon, pourquoi ne pas faire appel à un « home stager » ?

Conseil n°6 : préparer les visites

La visite n’est pas un moment désagréable ou une formalité agaçante, au contraire ! Accueillez vos

potentiels acquéreurs comme vous le feriez avec vos invités. Avec sourire et entrain, sans oublier de

connaître le sujet sur le bout des doigts. Les visiteurs vont vous poser des questions auxquelles vous

allez répondre autant de fois que nécessaire. Vous devez être incollables sur le coût du chauffage, le

montant des charges, l’année du dernier ravalement de façade et toujours avoir une documentation

complète sous la main (PV d’assemblée générale, diagnostics obligatoires, acte de propriété).

Conseil n° 7 : anticiper les négociations

Vient le moment opportun de la négociation que vous avez préparé au préalable. Ne laissez pas

l’occasion à l’acheteur de profiter de l’urgence de vos projets (votre prêt relais, votre mutation

imminente à 400 km...) pour durcir les négociations. En soit, n’évoquez pas vos projets personnels. La

discussion portera inévitablement sur les équipements et les potentiels travaux à engager. Pensez à

faire estimer le prix exact de votre cuisine et autres équipements restant en place. Durant la

négociation, le calme et l’écoute seront vos alliés même en cas de refus, ou vous affirmerez rester

ouvert à l’échange.

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Comment conclure la vente ?

Rien n’est gagné, n’oubliez pas un détail important, l’acquéreur peut revenir sur son engagement 7

jours après la signature de la promesse ou du compromis de vente. C’est uniquement après cette

période que votre notaire doit se mettre en contact avec celui de l’acquéreur pour organiser la vente

finale. Une fois les clefs remises, dernière étape : débouchez le champagne !

Source : NouvelObs.com

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Les bailleurs sociaux s'attaquent aux locataires

trafiquants Le 18/4/2014

De plus en plus d'organismes HLM appuient des procédures d'expulsions sur les casiers judiciaires

des habitants.

«Les bailleurs sociaux hésitent de moins en moins à engager des procédures pour expulser des

familles dont certains membres se livrent à des trafics de drogue et ils ont raison. Il y a tant de

personnes qui sont en attente d'un logement!», lance Me Antony Fage, spécialisé en droit de

l'immobilier.

Ainsi dernièrement, à Paris, un couple et ses enfants ont dû rendre les clés de leur appartement à

Belleville, dans le XXe arrondissement, quelques jours après la fin de la trêve hivernale. Motif invoqué

dans la procédure: «Trouble de jouissance.» Cette expression, qui figure dans la loi du 6 juillet 1989,

désigne le plus souvent du tapage, des comportements incompatibles avec une vie en collectivité.

Mais cette fois, il s'agit de trafics illicites de stupéfiants. Les trois frères de la famille qui a été priée de

s'installer ailleurs se livraient à un véritable commerce de drogue au pied de leur immeuble et dans le

hall. «De quoi rendre insupportable le quotidien des autres habitants terrorisés et menacés», note un

avocat, spécialiste de ces affaires.

Pour bâtir sa procédure d'expulsion, la RIVP, le bailleur social parisien, s'est appuyée sur le casier

judiciaire de ces trois dealers, diverses fois condamnés pour trafic de drogue. «Ces jugements au

pénal qui ont basculé dans une procédure civile ont suffi à démontrer qu'il y avait bien un trouble de

jouissance. Il n'y a donc pas lieu de rechercher des témoignages dans la cité et qui sont par ailleurs

bien difficiles à obtenir dans ce genre d'affaire car, on le sait, c'est l'omertà», décrypte le même expert.

Les trois frères de la famille qui a été priée de s'installer ailleurs se livraient à un véritable commerce

de drogue au pied de leur immeuble et dans le hall

De plus en plus décidés à faire le ménage parmi leurs locataires, les bailleurs sociaux semblent donc

avoir trouvé le bon moyen de chasser les trafiquants en s'appuyant ainsi sur des jugements rendus

par la justice pénale. «Car mettre quelqu'un à la porte pour trouble de jouissance quand il s'agit de

bruit ou de problèmes d'insalubrité est en général extrêmement difficile. Les juges ne s'y résignent

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pas», se lamente l'un d'eux, dans les Hauts-de-Seine. Pour sanctionner les dealers et leur famille, la

justice semble donc moins rigide et les succès se multiplient pour les bailleurs.

Ainsi, l'an passé, l'office public départemental des HLM des Hauts-de-Seine avait obtenu dans les

mêmes conditions la rupture du contrat de bail de locataires dont les enfants dealaient. Ces derniers

avaient aussi été condamnés et leur jugement avait permis de mettre en avant le «trouble de

jouissance». La même année encore, en Seine-Saint-Denis, même sanction pour une autre famille

dont le trois pièce servait de lieu de stockage d'héroïne et de cocaïne. Le bailleur, l'office PCH, avait

aussi invoqué «le trouble de voisinage» contre ces occupants dont le fils, un mineur de 17 ans, avait

été arrêté deux ans plus tôt, en 2011, dans le cadre d'une vaste opération d'interpellations lancée par

la police pour démanteler la filière.

Ce jour-là, d'ailleurs, l'intervention policière s'était faite sous les applaudissements de la population,

exaspérée par l'ampleur du trafic qui sévissait dans la cité.

Source : LeFigaro.fr

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A propos de Kylia KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau d’agences immobilières Nouvelle Génération : Le 1er réseau immobilier à partager sa croissance avec l’ensemble de ses agents. Kylia développe un modèle économique orienté « Agent » : Une entreprise construite par et pour ses agents immobiliers. Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com Contact Presse : KYLIA Immobilier

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