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La revue de Presse KYLIA 1 LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE Du 21 au 27 juillet 2014 LES ARTICLES DE LA SEMAINE - RESIDENTIEL La villa de l’auteur de Pinocchio à vendre pour 19 millions d’euros Le 24/7/2014 Le jardin de la villa Garzoni en Toscane rivalise de beauté avec les parcs les plus célèbres d’Europe. C’est là que le célèbre auteur des aventures de Pinocchio a passé son enfance et décida de créer le chef-d’oeuvre qui le rendit célèbre. La villa Garzoni en Toscane, aussi appelée « villa Pinocchio » ou «

Revue de presse kylia semaine du 21 au 27 juillet 2014

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Retrouvez une sélection des meilleurs articles de la presse immobilière de la semaine

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La revue de Presse KYLIA

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LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE

Du 21 au 27 juillet 2014

LES ARTICLES DE LA SEMAINE - RESIDENTIEL

La villa de l’auteur de Pinocchio à vendre pour

19 millions d’euros Le 24/7/2014

Le jardin de la villa Garzoni en Toscane rivalise d e beauté avec les parcs les plus célèbres

d’Europe.

C’est là que le célèbre auteur des aventures de Pinocchio a passé son enfance et décida de créer le

chef-d’œuvre qui le rendit célèbre. La villa Garzoni en Toscane, aussi appelée « villa Pinocchio » ou «

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villa aux cent fenêtres » est à vendre pour 19 millions d’euros par l’agence d’immobilier de luxe

italienne Lionard Luxury Real Estate .

Construite dans le milieu des années 1600 sur les fondations d’une forteresse médiévale, cette villa

de 3.032 mètres carrés compte 40 chambres et se dresse sur quatre étages. Les intérieurs luxuriants

sont décorés de stucs avec de belles finitions Rococo, de fresques et peintures baroques, dont

certaines du célèbre peintre Angelo Michele Colonna (17ème).

Labyrinthes, jeux d’eau, statues baroques

Mais c’est avant tout le jardin qui fait l’intérêt de la propriété. Avec ses labyrinthes, jeux d’eau, son

pavillon d’été et ses escaliers et statues allégoriques baroques de toutes sortes, le parc rivalise avec

les plus connus d’Italie (La villa d’Este, le parc florentin de Boboli, Reggia di Caserta), mais également

d’Europe (Celui du château de Versailles, de Fontainebleau ou de Schonnbrunn à Vienne). Ouvert à

la visite, il fut créé dans les années 1650 par l’architecte Ottaviano Diodati. Il fut ensuite complété et

amélioré au fil des générations suivantes. En 2007, lui a même été rajouté une volière où vivent

toujours des centaines de papillons tropicaux et équatoriaux.

Cette propriété féerique se situe en Toscane, à mi-chemin entre Florence et Pise, dans un petit

hameau médiéval du XIIe siècle du nom de Collodi. Ce village est surtout célèbre pour avoir donné

son pseudonyme à l’auteur de Pinocchio. Carlo Lorenzini, dit « Carlo Collodi » voulut ainsi rendre

hommage à sa mère, native de cet endroit. Les jardins de la « villa Pinocchio » étant ouvert à la visite,

le village tout entier bénéficie de son attractivité touristique.

Source : LesEchos.fr

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Devenir propriétaire au Pays basque reste un

rêve inaccessible pour beaucoup Le 25/7/2014

Sur la côte basque, la plupart des acheteurs de résidences secondaires sont des seniors parisiens à

la recherche d'une maison de vacances, qu'ils pourront transformer en résidence principale pour leurs

vieux jours. L'âge moyen des acquéreurs, qui ne cesse d'augmenter, dépasse la cinquantaine.

Les acheteurs étrangers (essentiellement britanniqu es et espagnols) ont déserté la région

depuis plusieurs années et rien ne laisse supposer qu'ils reviendront, le Pays basque n'étant

pas la Côte d'Azur.

Est-ce le moment de faire des affaires au Pays basque ? Pour l'instant, à moins d'être à l'affût d'un

propriétaire contraint de vendre pour des raisons familiales, les opportunités sont rares dans la région,

même si, paradoxalement, le stock de biens à vendre a augmenté et les délais de vente se sont

allongés. Car les prix ont relativement peu baissé et les vendeurs se montrent patients, surtout sur le

littoral.

« Les acheteurs sont aussi nettement plus exigeants. Ils n'hésitent pas à visiter des dizaines de biens

pour comparer. Ceux avec des défauts majeurs reçoivent très peu de visites », déclare Jean-François

Biscayart, qui dirige deux agences du réseau Guy Hoquet, à Capbreton et à Labenne.

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Si les prix ont baissé de 10 % à 20 % par rapport à 2011 au Pays basque, ils restent élevés, en

particulier dans les villes les plus prisées. A Biarritz, à Anglet, à Saint-Jean-de-Luz, à Bidart ou à

Guéthary, il est inutile d'espérer acheter un studio bien placé – c'est-à-dire proche des plages et des

commerces avec vue sur la mer –, pour moins de 130 000 euros.

Toujours avec une belle vue, le prix d'un appartement de 50 mètres carrés tourne autour de 300 000

euros, celui d'un 120 mètres carrés oscille entre 450 000 et 500 000 euros. « Beaucoup de retraités

arrivent de partout en France et recherchent le même type de bien : un appartement de trois

chambres en front de mer, si possible avec une terrasse et un garage. Jusqu'à 12 000 euros le mètre

carré, ces biens partent en quelques semaines », confie Isabelle de Langeron, représentante du

réseau Coldwell Banker DP&P Consulting.

L'écart de prix avec un bien sans perspective sur l'océan fluctue entre 20 % et 30 % car il n'y a plus de

place pour construire sur le littoral. Pour ceux qui jugent ces tarifs prohibitifs, plusieurs tactiques sont

possibles. « Lorsqu'on s'éloigne de l'océan, les prix baissent rapidement, poursuit Mme de Langeron.

D'une fourchette de 4 000 à 6 000 euros à Biarritz ou à Saint-Jean-de-Luz, on tombe à 3 000 euros le

mètre carré quand on s'enfonce de 20 minutes dans les terres. »

Bayonne peut constituer une alternative intéressante. Moins bourgeoise, moins touristique, mais aussi

moins animée le soir, les bords de l'Adour ne manquent pas de charme pour des retraités. « Les prix y

sont 20 % à 30 % plus doux », précise Anne Darrieux-Juson, qui vient d'ouvrir une agence ERA à

Bayonne.

L'autre option consiste à prospecter vers le nord, dans les Landes, où les baisses de prix sont plus

marquées. Par exemple, un studio situé sur la plage centrale de Capbreton, proposé à 112 000 euros

en décembre, vient de trouver preneur à 99 700 euros. De même, une petite maison de 40 mètres

carrés avec deux chambres sur le port proposée à 180 000 euros en 2013 est partie à 161 000 euros.

« Il y a peu d'acheteurs à Capbreton, l'attentisme y est général », reconnaît M. Biscayart.

BUDGETS SERRÉS

Autre stratégie possible pour les budgets serrés : prospecter en périphérie des villes les plus prisées

ou dans l'arrière-pays, où l'on peut trouver des appartements défraîchis dans de grands ensembles

sans charmes des années 1960 ou 1970 aux alentours de 2 500 euros le mètre carré. « Le bâti a

vieilli, certes, mais ces biens ont généralement été entretenus car les copropriétés fonctionnent bien

», glisse M. Poulou, président de la Fnaim du Pays basque.

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« Dans ces grands ensembles, il est possible de trouver un T2 pour 130 000 euros et un T4 pour 400

000 euros », confirme Jean-Paul Sainsevin, qui possède deux agences du réseau ERA, à Anglet et à

Hasparren. Pour les petites surfaces, l'autre facteur à prendre en compte est la disparition des

investisseurs. « Le dispositif de défiscalisation Duflot est un échec, alors que le Scellier avait bien

marché au Pays basque. Autour de 3 % par an, les perspectives de rentabilité sont trop faibles et il y a

très peu d'offre dans le neuf », explique Vincent Poulou, président de la Fnaim du Pays basque.

Une exception néanmoins : ceux qui achètent pour louer l'été pendant 8 à 10 semaines peuvent

obtenir une rentabilité brute d'environ 3 % et jouir de leur bien le reste de l'année. Une stratégie

judicieuse, mais valable uniquement pour des biens situés à proximité des plages, ce qui suppose une

mise de départ importante.

MARASME DANS LE HAUT DE GAMME

Dans le haut de gamme, l'offre est conséquente. Si le marché est en crise, les biens réellement

exceptionnels trouvent preneur à condition que les prix soient ajustés. Depuis le début de l'année,

Barnes a ainsi conclu trois ventes dans la région pour des montants compris entre 5 et 10 millions

d'euros, dont le fameux château d'Ilbarritz sur la commune de Bidart.

En revanche, pour des biens situés entre 2 et 5 millions d'euros, c'est le marasme : les acheteurs ont

disparu. Pour preuve, une maison traditionnelle rouge et blanche du XIXe siècle, située sur la falaise

de Guéthary, d'une surface de 200 mètres carrés et comprenant six chambres, ne trouve pas preneur

à 2,5 millions d'euros, malgré un accès direct à la plage. « Il y a quelques années, elle serait partie à

3,5 millions d'euros », estime Isabelle de Langeron.

Entre 750 000 euros et 1,5 million d'euros, les acheteurs sont exclusivement français, voire parisiens.

Les bordelais et les toulousains sont rares. En deux ans, les prix ont baissé de 20 % à 30 % et les

acheteurs ne se bousculent pas. Par exemple, une belle maison récente, de style basque avec

piscine et vue dégagée sur le golf d'Arcangues, à 5 minutes de Biarritz, achetée pour 1,45 million

d'euros en 2008, ne trouve pas preneur aujourd'hui à 1,35 million d'euros.

UN MILLION D'EUROS POUR UNE MAISON BASQUE

Pour une maison basque traditionnelle, les prix démarrent à un million d'euros. « Très spacieuses, la

plupart comptent entre 400 et 600 mètres carrés, ce qui justifie leur prix », explique Catherine

Thomine-Desmazures, représentante du réseau Barnes, qui conseille de s'intéresser aux

constructions de 1920 ou 1930, voire plus anciennes, car les demeures plus récentes risquent de se

démoder.

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« Les goûts des acheteurs évoluent vite, dit-elle. Outre la vue sur la mer, on veut maintenant de

grandes pièces à vivre avec des baies vitrées, une piscine, la proximité de mer et des commerces...

Les grands-parents ne veulent plus jouer les taxis pour leurs enfants et leurs petits-enfants ! » Pour

dénicher une perle rare, elle recommande de prospecter aussi dans l'arrière-pays, du côté

d'Arcangues, d'Arbonne ou d'Ahetze.

Source : LeMonde.fr

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Immobilier : les zinzins reviennent (enfin) dans

le logement Le 25/7/2014

BNP Paribas Cardif, Aviva France et Malakoff Médéri c participeront notamment à l'effort

national pour la construction de logements.

filiale de la Caisse des dépôts a acté officiellement le retour des investisseurs institutionnels pour la

construction de 5.000 logements à destination des classes moyennes. Mais les négociations furent

âpres ; les « zinzins » rechignant à revenir investir dans l’immobilier résidentiel malgré des avantages

fiscaux conséquents accordés par l’Etat.

Faire revenir les investisseurs institutionnels dans le logement n'est pas chose aisée. La Société

nationale immobilière (SNI), filiale de la Caisse des dépôts, peut en témoigner. Elle s'attèle depuis

deux ans à négocier avec les "zinzins" pour qu'ils reviennent investir l'épargne qu'ils collectent dans

l'immobilier résidentiel. Eux qui se sont désengagés du sect

1990.

Finalement, après d'âpres négociations qui ont notamment abouti à l'octroi d'avantages fiscaux aux

"zinzins", le projet de la SNI -

construire 10.000 logements pour les classes moyennes, vient de passer une étape importante : un

premier "closing" a en effet été acté jeudi soir, ce qui permettra de produire 5.000 logements. Un

second est prévu pour la fin 2014.

La revue de Presse KYLIA

Immobilier : les zinzins reviennent (enfin) dans

BNP Paribas Cardif, Aviva France et Malakoff Médéri c participeront notamment à l'effort

national pour la construction de logements. Mathias Thépot | 25/07/2014, 11:24

filiale de la Caisse des dépôts a acté officiellement le retour des investisseurs institutionnels pour la

construction de 5.000 logements à destination des classes moyennes. Mais les négociations furent

âpres ; les « zinzins » rechignant à revenir investir dans l’immobilier résidentiel malgré des avantages

fiscaux conséquents accordés par l’Etat.

Faire revenir les investisseurs institutionnels dans le logement n'est pas chose aisée. La Société

immobilière (SNI), filiale de la Caisse des dépôts, peut en témoigner. Elle s'attèle depuis

deux ans à négocier avec les "zinzins" pour qu'ils reviennent investir l'épargne qu'ils collectent dans

l'immobilier résidentiel. Eux qui se sont désengagés du secteur du logement depuis la fin des années

Finalement, après d'âpres négociations qui ont notamment abouti à l'octroi d'avantages fiscaux aux

-nommé "Argos"- qui vise à collecter les fonds nécessaires pour

00 logements pour les classes moyennes, vient de passer une étape importante : un

premier "closing" a en effet été acté jeudi soir, ce qui permettra de produire 5.000 logements. Un

second est prévu pour la fin 2014.

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Immobilier : les zinzins reviennent (enfin) dans

BNP Paribas Cardif, Aviva France et Malakoff Médéri c participeront notamment à l'effort

25/07/2014, 11:24 - 566 mots Une

filiale de la Caisse des dépôts a acté officiellement le retour des investisseurs institutionnels pour la

construction de 5.000 logements à destination des classes moyennes. Mais les négociations furent

âpres ; les « zinzins » rechignant à revenir investir dans l’immobilier résidentiel malgré des avantages

Faire revenir les investisseurs institutionnels dans le logement n'est pas chose aisée. La Société

immobilière (SNI), filiale de la Caisse des dépôts, peut en témoigner. Elle s'attèle depuis

deux ans à négocier avec les "zinzins" pour qu'ils reviennent investir l'épargne qu'ils collectent dans

eur du logement depuis la fin des années

Finalement, après d'âpres négociations qui ont notamment abouti à l'octroi d'avantages fiscaux aux

qui vise à collecter les fonds nécessaires pour

00 logements pour les classes moyennes, vient de passer une étape importante : un

premier "closing" a en effet été acté jeudi soir, ce qui permettra de produire 5.000 logements. Un

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Les promoteurs s'impatientaient

Même si les objectifs initiaux ne sont qu'à moitié remplis, la SNI a jugé nécessaire d'acter une

première étape pour que les promoteurs qui s'impatientent puissent lancer les premières opérations

de construction. Initialement, le fonds du projet Argos, finalement nommé fonds de logement

intermédiaire (FLI), devait être doté d'une capacité d'investissement de 1,7 milliard d'euros, dont 850

millions de fonds propres.

Pour l'instant Le FLI dispose d'engagements concrets "pour un montant total de 515 millions d'euros

en capitaux propres, correspondant à une capacité d'investissement de 860 millions", indique la SNI

dans un communiqué. Le FLI financera la construction de logements neufs "répondant aux dernières

normes environnementales, à loyers maîtrisés et situés en région parisienne et dans les grandes

agglomérations françaises où un déficit d'offre pour les classes moyennes est constaté depuis

plusieurs années", y est-il également indiqué.

BNP Paribas Cardif et Aviva abondent le fonds

Quels investisseurs institutionnels ont finalement abondé le fonds FLI ? La SNI pour un tiers, ainsi que

"la CNP Assurances, BNP Paribas Cardif, Aviva France, le Groupe Malakoff Médéric, EDF Invest,

l'Etablissement de Retraite Additionnelle de la Fonction Publique (ERAFP) représenté par AEW et la

Société Mutuelle d'Assurance du Bâtiment et des Travaux Publics (SMABTP)", indique la SNI.

Pour convaincre ces investisseurs institutionnels, les pouvoirs publics ont sorti l'artillerie lourde : il est

convenu dans l'article 55 de la loi de finances 2014 de leur faire bénéficier d'un taux de TVA réduit à

10% pour la construction de logements intermédiaires ainsi que de les exonérer de taxe foncière sur

les propriétés bâties (TFPB) dans la limite de 20 ans.

Des plafonds de loyers fixés sur le Duflot

Dans la thèse d'investissement du projet, il est indiqué que ces avantages permettront aux

investisseurs de dégager un revenu locatif brut (rapport entre le loyer global -parking compris- et le

coût d'acquisition toutes taxes comprises) "d'environ 5% et dans tous les cas supérieur à 4,8%".

Il y est également mentionné que "le fonds vise un taux de rentabilité interne de 7% à 20 ans sur la

bas d'un endettement d'environ 50% de l'actif et d'une croissance annuelle moyenne des prix de

l'immobilier de 1,05% sur 20 ans". Il faut ajouter à cela les perspectives de plus-value lors de la

revente grâce au différentiel entre le prix d'acquisition et le prix de marché. Ces conditions favorables

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permettent de compenser le plafonnement des loyers qui seront calqués sur ceux du dispositif

existant d'aide fiscal à d'investissement locatif, dit "Duflot".

Source : LaTribune.fr

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Immobilier: le secteur encadré Le 27/07/2014

Le décret précisant la composition et le rôle du Conseil national de la transaction et de la gestion

immobilières (CNTGI), qui va encadrer l'activité des professionnels du secteur comme prévu par la loi

Alur sur le logement, est paru dimanche au Journal officiel (J.O.).

Créé par l'article 24 de la loi pour l'Accès au logement et un urbanisme rénové(Alur) du 24 mars 2014,

ce Conseil "a pour mission de veiller au maintien et à la promotion des principes de moralité, de

probité et de compétences nécessaires au bon accomplissement des activités régies par la loi du 2

janvier 1970, dite loi Hoguet", précise le décret.

Il aura un "rôle de proposition" et devra être "consulté pour avis sur l'ensemble des projets de textes

législatifs ou réglementaires relatifs à l'exercice des activités des professionnels de l'immobilier".

Son premier avis doit porter sur l'encadrement des tarifs des honoraires de location, que la loi Alur

prévoit de plafonner.

Le but est de rééquilibrer la répartition des frais de location entre locataires et bailleurs: dans les faits,

ils sont essentiellement à la charge du locataire, et s'élèvent couramment à un mois de loyer dans la

capitale.

Cécile Duflot, ex-ministre du Logement à l'origine de la loi Alur jusqu'à son départ du gouvernement,

avait pour ambition de diviser par deux les honoraires de location à Paris, pour redonner du pouvoir

d'achat aux locataires.

Ce CNTGI comprendra 12 membres: 7 représentants des professionnels et 5 représentants des

consommateurs choisis parmi des associations agréées oeuvrant dans le domaine du logement,

précise le décret.

Source : LeFigaro.fr

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LES ARTICLES DE LA SEMAINE - COMMERCE

Le client : de plus en plus pressé Le 21/7/2014

Si elle souhaite un service efficace et rapide, la clientèle n'en reste pas moins exigeante et n'est pas

prête à renier l'aspect social et structuré du repas.

© Thinkstock

Les actifs se servent désormais de leur pause comme d'une variable modulable selon leur charge de

travail.

Les actifs n'hésitent pas à rogner sur leur temps de pause le midi en raison de leur rythme de vie,

toujours plus effréné, du fait notamment d'un éloignement plus important entre leur domicile et leur

lieu de travail. Plutôt que de finir plus tard le soir, ils se servent de leur pause comme d'une variable

modulable selon leur charge de travail. Le client n'a plus le temps d'attendre, préférant logiquement

consacrer sa pause du midi à manger plutôt qu'à faire la queue. Il s'attend à être servi quasiment sans

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délai et souhaite voir le produit commandé le plus rapidement possible sur sa table. Le restaurateur

doit repenser son mode de distribution pour en augmenter la fluidité, il doit donc faire preuve

d'adaptation. Ce besoin de rapidité est nécessaire aussi bien dans la vente au comptoir (VAC) que

dans le service à table (SAT).

• Les bornes de commande et paiement à distance

Chez McDonald's, des bornes de commande permettent de gagner du temps et une meilleure gestion

des flux au comptoir. Plus récemment, l'enseigne a mis en place un système de commande et de

paiement à distance via un site internet (www.gomcdo.fr) et une application pour smartphone. Le

client passe et règle directement sa commande en ligne. Il ne lui reste plus qu'à se rendre sur place

pour la récupérer à un comptoir spécial. Ce système réduit le temps d'attente et augmente la fluidité

des flux de clientèle.

• Tablettes tactiles sur les tables et services de pr écommande

Quelques établissements, pour l'instant peu nombreux, ont opté pour des tablettes tactiles placées sur

les tables. Elles offrent la possibilité aux clients de faire leur choix tout en étant assis et permettent de

réduire les besoins en personnel. D'autres techniques comme le service de précommande, les coins

de salle réservés à une clientèle pressée et les menus express le midi sont autant de solutions pour

répondre à ce besoin de rapidité.

Le client français reste toutefois exigeant et n'est pas prêt à tout sacrifier. En effet, contrairement aux

Anglo-Saxons, il reste attaché aux valeurs liées au repas, notamment les aspects sociaux et

structurels, ne le limitant ainsi à son seul caractère fonctionnel. Si dans certains pays le temps

accordé au repas est vu comme une limite à celui consacré aux autres activités, en France, il est

perçu comme nécessaire à la vie en société, la notion de plaisir en étant souvent le corollaire.

Les attentes et besoins de la clientèle diffèrent selon le moment de consommation. On peut distinguer

les déjeuners en semaine, considérés comme des repas de nécessité où les critères de temps et de

budget sont essentiels, des repas dits festifs, où le plaisir et la convivialité priment. Le midi, les clients

les plus pressés sont les jeunes et les actifs. Friands de self-service, de vente au comptoir et de fast-

food, ils privilégient les aliments faciles et rapides à consommer tels que les sandwichs, pizzas et

plats cuisinés. Le restaurateur doit faire évoluer et adapter son offre et les modes de distribution en

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fonction des besoins de cette clientèle. Il ne faut surtout pas négliger la qualité des produits et du

service sous prétexte de rapidité. La notion de confort, chère aux clients français, doit également être

prise en compte, car même s'ils courent après le temps, ils restent intransigeants quant aux

prestations proposées dans leur ensemble.

Source : LhotellerieRestauration.fr

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Les chiffres du Bio : des progrès à réaliser en

restauration commerciale Le 21/7/2014

Élisabeth Mercier, directrice générale de l'Agence Bio et Diego Garcia, administrateur, ont présenté,

jeudi 17 juillet, les chiffres du Bio en France. Un marché à 4,5 milliards d'euros.

© Agence Bio

Le marché bio est en pleine croissance selon Élisabeth Mercier , directrice générale de l'Agence Bio

et Diego Garcia , administrateur. Ils ont présenté, ce jeudi 17 juillet, les chiffres du Bio en France : un

marché à 4,5 milliards d'euros. La progression de la consommation bio est spectaculaire : + 9 % en

2013 par rapport à 2012. Les français déclarent à 54 % être intéressés par le bio en restauration

commerciale, à 53 % pour la restauration d'entreprise et 68 % des parents d'élèves pour la

restauration scolaire.

La restauration collective fortement impliquée

Le secteur scolaire est le plus engagé dans cette démarche puisque 79 % des établissements y

proposent des produits bios, la restauration d'entreprise, à 55 % et le secteur de la santé et du social,

avec seulement 27 %, est en retard. Mais ces chiffres devraient évoluer rapidement puisque

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Stéphane Le Foll , ministre de l'Agriculture, s'est engagé à donner des moyens au secteur de la santé

pour développer le bio dans les hôpitaux et maisons de retraite. Et qu'un plan "Ambition Bio 2017"

visant à favoriser le développement de l'agriculture Bio se met en place.

La restauration collective, en grande partie sous l'impulsion des élus et des convives, s'est engagée

dans cette voie. Entre 2009 et 2013, les achats de produits bios y ont été quasiment doublés en

passant de 92 millions d'euros à 172 millions d'euros. En 2013, 60% des restaurants collectifs ont

servi du bio à leurs convives. Pour son développement, au départ, l'introduction s'est faite de façon

évènementielle : un repas bio de temps en temps. Maintenant, en fonction de l'offre locale, des

produits et ingrédients bios sont proposés de façon récurrente dans 51 % des cas avec pour 28 % des

cas, des menus entièrement bios. La fréquence de l'offre de produits bios est de 60 % au moins une

fois par mois, 40 % au moins une fois par semaine et 16 % tous les jours (soit 6000 établissements).

La progression est moins significative en restauration commerciale et de ce fait n'a pas encore été

chiffrée.

Le bio local et de saison

Pour être durable, cette évolution doit, dans la mesure du possible, reposer sur un approvisionnement

local et de saison. Et là encore les chiffres sont positifs. Les surfaces certifiées en bio ont augmenté

de 9 % en 2013, et atteignent près d'un million d'hectare (10 % des surfaces cultivées). Ce qui place

la France au 3ème rang en Europe, derrière l'Espagne et l'Italie mais devant l'Allemagne. De même,

les filières s'organisent puisqu'en 2014, il y a en France 26 500 producteurs et 12 400 opérateurs pour

la transformation et la distribution. La gamme très étendue des produits proposés est l'une des plus

diversifiée en Europe. Grâce à cela, 83 % des établissements qui servent du bio privilégient l'origine

France et 79 % le local.

Le surcoût matière éventuel de l'introduction du bio est, pour les 2/3 des restaurants, inférieur à 20 %

et généralement moindre grâce à des partenariats locaux et un approvisionnement en pleine saison.

Le vin dynamise le bio en restauration commerciale

Si les produits bios les plus consommés sont les fruits, les légumes et les produits laitiers, en

restauration commerciale c'est le vin. Actuellement les restaurants commerciaux n'ont pas encore pris

le virage du bio. C'est dommage car 75 % des français en consomment régulièrement et la plupart se

déclarent prêts à en consommer plus. Si un restaurateur décide de s'engager dans le bio, l'agence bio

propose une classification pour en faire état à ses clients. Un cahier des charges permet de définir le

niveau d'implication. Il existe trois cas :

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• cas 1 : ce n'est que du déclaratif, le restaurant qui sert des produits ou ingrédients bios notifie son

activité à l'agence bio ce qui lui permet de figurer dans l'annuaire officiel. À ce jour, 126 restaurants

ont fait cette démarche ;

• cas 2 : le restaurant fait certifier quelques plats ou menus, 31 restaurants entrent dans ce cas ;

• cas 3 : le restaurant est certifié 100% bio (en fait il y a une tolérance à 95% puisque certains produits

ne sont pas disponibles en bio). C'est le cas de 64 restaurants .

Depuis le 1er octobre 2012, les établissements souhaitant faire apparaitre la mention "bio" doivent

respecter un cahier des charges.

Source : LhotellerieRestauration.fr

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Les grands centres commerciaux prospèrent Le 24/7/2014

A fin mai, le chiffre d’affaires des commerçants a progressé de 3,4  % dans les centres

commerciaux européens de Klépierre et de 3,3 % dans ceux d’Unibail-Rodamco.

Le point d’activité semestriel du leader européen des centres commerciaux, Unibail-Rodamco, a testé

la résistance à la conjoncture des centres commerciaux de grande taille. Le chiffre d’affaires des

commerçants locataires a progressé, en Europe hors Pays-Bas, de 3,6 % à la fin mai par rapport à la

même période en 2013 (hors cessions et acquisitions de centres, mais en incluant les extensions de

centres existants) et même de 3,9 % pour les centres enregistrant plus de 6 millions de visites par an.

Evidemment, la faillite de Virgin, si on la prend en compte, atténue cette progression. Mais elle ressort

encore à 3,3 % chez Unibail en Europe et un peu plus (+ 3,4 %) chez son concurrent Klépierre. Soit

davantage que les indices de consommation nationaux des différents pays européens. Même bonne

santé pour les ventes des commerçants de l’hexagone : + 3,4 % chez Unibail (mais hors faillite de

Virgin) et +2,2 % en France et en Belgique chez Klépierre dont les chiffres, contrairement à Unibail,

intègrent la faillite de Virgin (et où les ventes sont stables si on exclut les extensions).

Attirer les foules

La progression des ventes est directement liée à celle de la fréquentation, en augmentation chez

Unibail de 3,1 % à la fin mai après une année 2013 stable, à + 0,2 %. Unibail ne recule devant rien

pour attirer les foules. « Nous avons installé en juin six portails du jeu vidéo Ingress et nous avons

déjà enregistré 24.000 connexions de jeu en un mois dans ces six centres européens, explique ainsi

Christophe Cuvillier, président du directoire. Ingress sera adapté à Android en juillet, cela va avoir un

clair effet sur notre fréquentation… »

Evidemment, c’est un peu anecdotique (pour l’instant en tout cas) mais assez révélateur des initiatives

déployées, qui comprennent aussi, pêle-mêle, des accords pour attirer de nouvelles enseignes (Le

Pain Quotidien va s’installer pour la première fois dans deux centres commerciaux : ceux d’Unibail aux

Halles et à Polygone Riviera), des applications pour smartphones (3,2 millions téléchargées) et « sur

Facebook, où chaque centre a sa page, nous avons 4,9 millions de fans soit + 50 % en un an »,

poursuit le dirigeant. Certains centres semblant avoir des débuts laborieux montent en puissance,

comme le centre parisien de So Ouest, assure-t-il : « Après 7,5 millions de visiteurs pour sa première

année, en 2013, on espère passer la barre des 8 millions cette année », notamment grâce au succès

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de son hypermarché Leclerc, un des moins chers d’Ile-de-France. Il n’y a pas que Facebook qui peut

séduire…

Les loyers perçus au premier semestre par les deux grandes foncières ont grimpé, tant pour Klépierre

(+ 3 % à périmètre constant) que pour Unibail (+ 2,6 %). Le leader européen a ainsi encaissé au total

719 millions, dont 590 millions au titre des centres commerciaux.

Source : LesEchos.fr

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A propos de Kylia KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau d’agences immobilières Nouvelle Génération : Le 1er réseau immobilier à partager sa croissance avec l’ensemble de ses agents. Kylia développe un modèle économique orienté « Agent » : Une entreprise construite par et pour ses agents immobiliers. Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com Contact Presse : KYLIA Immobilier

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