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La revue de Presse KYLIA 1 LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE Du 13 juin au 19 juin 2016 LES ARTICLES DE LA SEMAINE - RESIDENTIEL Immobilier : les logiciels de gestion locative au banc d’essai Le 13/06/2016 Même si vous êtes un pro du tableur Excel, gérer une ou plusieurs locations est d’autant moins simple que la législation change régulièrement. Heureusement, de nombreuses tâches incombant aux bailleurs peuvent être informatisées. Un logiciel de gestion locative se révèle alors d’une aide précieuse. Il existe une trentaine de produits sur le marché, à des prix allant de quelques dizaines à plusieurs centaines d’euros. Tous sont proposés en téléchargement payant. Nous en avons testé une dizaine, parmi les plus commercialisés, pour en retenir trois au final. Un conseil : avant de payer une licence, téléchargez la version d’essai gratuite pour vous familiariser avec ses fonctionnalités. Tous les logiciels présents sur le marché proposent de stocker les informations de base concernant le logement, le locataire et le détail des baux. Ils permettent aussi, et c’est leur principal intérêt, de gérer toutes les démarches d’une location : appel mensuel... Source : Le Monde.fr

S25 revue de presse kylia - semaine du 13 au 19 juin 2016

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La revue de Presse KYLIA1

LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE

Du 13 juin au 19 juin 2016

LES ARTICLES DE LA SEMAINE - RESIDENTIEL

Immobilier : les logiciels de gestion locative aubanc d’essaiLe 13/06/2016

Même si vous êtes un pro du tableur Excel, gérer une ou plusieurs locations est d’autant moins simple

que la législation change régulièrement. Heureusement, de nombreuses tâches incombant aux

bailleurs peuvent être informatisées. Un logiciel de gestion locative se révèle alors d’une aide

précieuse. Il existe une trentaine de produits sur le marché, à des prix allant de quelques dizaines à

plusieurs centaines d’euros. Tous sont proposés en téléchargement payant. Nous en avons testé une

dizaine, parmi les plus commercialisés, pour en retenir trois au final.

Un conseil : avant de payer une licence, téléchargez la version d’essai gratuite pour vous familiariser

avec ses fonctionnalités. Tous les logiciels présents sur le marché proposent de stocker les

informations de base concernant le logement, le locataire et le détail des baux. Ils permettent aussi, et

c’est leur principal intérêt, de gérer toutes les démarches d’une location : appel mensuel...

Source : Le Monde.fr

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La revue de Presse KYLIA2

Immobilier : « Mon logement neuf est livré avecretard »Le 13/06/2016

En septembre 2015, Emma et Julien, un couple de jeunes primo-accédants, s’apprêtent à emménager

dans leur logement neuf acheté sur plans. Un mois avant la livraison, mauvaise nouvelle : une

canalisation d’eau éclate au dernier étage de l’immeuble et inonde les appartements des étages

inférieurs. Il faut refaire la peinture et certains sols, ce qui reporte la livraison d’un mois. Problème, ce

couple de Marseillais jusqu’alors locataire avait déjà envoyé sa lettre de congé à son propriétaire. Ils

doivent en urgence trouver un garde-meubles et s’installent chez leurs parents. Leur emménagement

étant décalé, ils doivent en outre payer davantage d’intérêts intercalaires sur leur crédit immobilier.

Parmi les mauvaises surprises liées à la vente en l’état futur d’achèvement (VEFA), le retard de

livraison d’un logement neuf est un grand classique. Dans le contrat de réservation, signé souvent

deux ans avant que l’immeuble ne soit construit, le promoteur reste vague sur la date fatidique. Ainsi,

à la signature, l’acheteur sait qu’il pourra...

Source : Le Monde.fr

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La revue de Presse KYLIA3

Paris veut (encore) augmenter les taxes sur leslogements vacants et les résidencessecondairesLe 13/06/2016

85 % des locataires veulent être impliqués dans l’amélioration de leur logement et 70 % des bailleurs

espèrent améliorer leurs interactions avec les locataires selon un sondage réalisé par Aeron France.

(DR/SIPA)

Si le ministère du Logement a opté pour la carotte fiscale, avec l'annonce d'un nouveau dispositif pour

la rentrée afin d'inciter les propriétaires de logements vacants à les louer, la ville de Paris, elle, mise

sur le bâton. Elle a voté lundi le principe, sur proposition du groupe communiste d'une nouvelle

augmentation des taxes sur les logements vacants et les résidences secondaires, qui seraient fixée à

50% la première année puis 100% la deuxième année.

Elle est actuellement de 12,5% de la valeur locative cadastrale -- bien moindre que les prix du marché

-- pour la première année et de 25% pour la deuxième année. Le propriétaire d'un grand appartement

vacant paye ainsi en moyenne à l'année quelque 1.000 euros par an, taxe qui pourrait ainsi

quadrupler et inciter à remettre les logements vacants sur le marché. Paris compte quelque 100.000

logements vacants, selon le groupe communiste.

La Ville a également voté, toujours en théorie, le doublement de la taxe sur les résidences

secondaires. Cette taxe avait déjà été augmentée l'an dernier de 20% par rapport à la taxe

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d'habitation commune. Elle pourrait ainsi doubler avec une hausse de 100%. Ces vœux ne peuvent

entrer en vigueur qu'après un vote en loi de finances rectificative 2016 ou loi de finances 2017.

Paris a de la même manière souhaité que soit quadruplée -- de 25.000 à 100.000 euros - l'amende

encourue par un propriétaire louant un logement meublé type Airbnb en dehors de la règlementation

existante, notamment plus de 4 mois par an. La Ville souhaite également que les plateformes coupent

l'accès aux annonces ayant dépassé ces 4 mois.

Source : L’Obs.com

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La revue de Presse KYLIA5

Aides au logement : les baisses attendues àpartir du 1er juilletLe 13/06/2016

Voilà une mesure qui ne va certainement pas passé inaperçue. A compter du 1er juillet, bon nombre

de ménages dont les loyers sont jugés trop élevés verra le montant de leurs aides au logement

diminuer… ou tout bonnement disparaître.

Un projet de décret - dont nous avons obtenu une copie - fixe des seuils au-delà desquels les aides

baisseront, ce en tenant compte de la zone géographique et de la taille des ménages.

Pour faire ses calculs, le gouvernement s’est basé sur les plafonds de loyers actuels (fixé par un

arrêté d’octobre 2015) au-delà desquels le montant des APL sont aujourd’hui limitées. A partir de là, il

a appliqué des coefficients multiplicateurs pour fixer deux autres seuils : l’un déterminant le plafond

au-dessus duquel les aides seront à l’avenir dégressives et l’autre au-dessus duquel elles seront

supprimées.

En région parisienne, les allocations seront amenées à baisser dès que les loyers dépassent 3,4 fois

les plafonds actuels et seront supprimées dès qu’ils sont 4 fois supérieurs. Dans les villes de plus de

100.000 habitants, les multiples sont fixés à 2,5 et 3,1.

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>> Plafonds de loyers actuels au-delà desquels l’APL n’augmente plus

>> Seuils à partir desquels les aides vont baisser ou être supprimées

Pour bien comprendre, prenons l’exemple, d’un locataire en région parisienne (zone 1)

-Aujourd’hui, son allocation est plafonnée dès que le loyer dépasse 292,85 euros

-Demain, cette même allocation sera dégressive au-delà de 995,69 euros de loyer (soit 292,85 x 3,4)

et même supprimée à partir de 1.171,8 euros de loyer (292,85 x 4)

Autre exemple : celui d’un couple louant un logement dans une ville de plus de 100.000habitants (zone 2)

-Aujourd’hui, l’allocation de notre couple est plafonné au-delà de 312,4 euros de loyer

-Demain, ce même couple verra son allocation diminuer au-delà de 781 euros de loyer (soit 312,4 x

2,5) et n’y aura plus droit à partir de 968,44 euros de loyer (312,4 x 3,1)

D’après les estimations du gouvernement, quelque 80.000 foyers pourraient ainsi voir leurs aides

baisser ou disparaître, les locataires en situation de handicap n’étant concernés par cette réforme.

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Mais ce n’est pas tout. En parallèle, deux autres mesures entreront en vigueur à compter du 1er

octobre 2016. A partir de cette date, les étudiants dont les parents sont assujettis à l'impôt sur la

fortune (ISF) - patrimoine d’au moins 1,3 million d’euros - ne seront plus éligibles aux aides au

logement dès lors qu’ils sont rattachés au foyer fiscal.

En outre, pour les autres allocataires, le patrimoine sera désormais pris en compte - en plus des

revenus et de la composition familiale - dans le calcul des aides. Cette mesure, dont les modalités

doivent encore être précisées par décret, concernera les bénéficiaires ayant un patrimoine supérieur à

30.000 euros (constitué, par exemple, de résidence secondaire, d’assurance vie…). Près de 10% des

6,5 bénéficiaires devraient ainsi voir leurs aides baisser ou carrément disparaître.

Source : Capital.fr

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L'immobilier ancien, un secteur oublié ?Le 14/06/2016

Environ 800.000 transactions ont été réalisées dans l'immobilier ancien en 2015. . (Crédits : CC0

Public Domain) Le gouvernement a beaucoup légiféré depuis 2012 sur les sujets relatifs au logement.

Il a, pour ce faire, clairement favorisé les secteurs du logement neuf et du logement social,... au

détriment de l'ancien privé ?

Depuis l'élection de François Hollande en 2012, le gouvernement a légiféré à de multiples reprises sur

les sujets relatifs au logement. Mais paradoxalement, il a pris peu de mesures pour favoriser l'activité

dans le secteur du logement ancien, qui pesait pourtant 800.000 transactions en 2015.

La priorité a en effet été donnée à deux secteurs : d'une part la pérennisation du parc social en

France, qui est à relier aux forts besoins en logements des populations aux revenus modestes. Le

seuil obligatoire de logements sociaux par commune de plus de 50.000 habitants a ainsi été relevé à

25 % et plusieurs mesures ont été prises visant à consolider le financement du logement social -

nouveaux prêts de la Caisse des dépôts, mutualisation des fonds propres, cession du foncier public

allant jusqu'à la gratuité, création d'un fonds national des aides à la pierre (FNAP) etc. - ont été prise.

Le projet de loi de finances 2016 prévoit ainsi le financement de 140.000 logements sociaux en 2016,

un niveau proche de l'objectif de 150.000 logements sociaux financés fixé en début de mandat.

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La revue de Presse KYLIA9

Sortie de crise dans l'immobilier neuf

D'autre part, en seconde partie de mandat, le gouvernement a décidé de soutenir fortement la

construction de logements neufs pour dynamiser l'emploi et la croissance. Les années 2012, 2013 et

2014 ont en effet été marquées par une lourde crise pour ce secteur, ce qui a affecté durement la

croissance et l'emploi en France. En réaction, le gouvernement a dans un premier temps renforcé le

dispositif d'aide fiscale à l'investissement locatif, le Pinel, et le rendant plus flexible que son

prédécesseur - le Duflot - pour les investisseurs particuliers.

Ces derniers sont ainsi revenus en masse sur le marché de l'investissement locatif, sur lequel les

promoteurs immobiliers ont vu leurs ventes augmenter de près de 45 % en 2015. Ensuite, dans un

second temps, c'est le prêt à taux zéro (PTZ) qui a été renforcé à partir du 1er janvier dernier par

l'exécutif. Il donne désormais la possibilité aux primo-accédants de financer jusqu'à 40 % de leur

achat à taux zéro, et allonge la durée de différé de remboursement.

Succès du PTZ dans le neuf

Ce nouveau dispositif est également un succès : en Île-de-France notamment, 4.230 PTZ ont été

distribués entre janvier et avril 2016, soit une hausse de 98% par rapport à la même période de

l'année précédente, selon la préfecture, alors que les prévisions tablaient sur environ 3.100 PTZ

accordés en ce début d'année. A ce rythme, l'objectif de 15.800 PTZ accordés en 2016 pourrait donc

être largement dépassé. Dans le détail, 95% de ces prêts de taux zéro ont été octroyés pour

l'acquisition de logements neufs, 2% pour l'acquisition d'anciens logements locatifs sociaux et donc...

seulement 3 % dans l'ancien.

Il faut dire que pour bénéficier d'un PTZ pour acheter dans l'ancien, l'acquéreur doit absolument

entreprendre des travaux de rénovation d'un coût global au moins égal à 25 % de l'opération. Une part

prohibitive. Cette réforme est très révélatrice de la politique du logement du gouvernement qui a donc

largement privilégié le neuf et le social.

Les agents immobiliers, absents des réjouissances gouvernementales

Il n'est donc pas surprenant que les acteurs du logement ancien, principalement les agences

immobilières, se sentent quelque peu délaissés. D'ailleurs, coïncidence ou pas, les agents immobiliers

étaient aux abonnés absents lors de la dernière conférence de presse de la ministre du Logement

Emmanuelle Cosse... qui avait pourtant convié les acteurs du logement social et de la construction

neuve pour la présentation de son plan pour un logement abordable et un habitat durable.

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Présents lors de réunion, la présidente de la fédération des promoteurs immobiliers (FPI) Alexandra

François-Cuxac, le président de la confédération des artisans et des petites entreprises du bâtiment

(CAPEB), Patrick Liébus, et le directeur aux affaires économiques de la Fédération française du

bâtiment (FFB), Bernard Coloos, ont tous apporté leur soutien à la politique menée par la nouvelle

ministre du Logement depuis quatre mois.

Que faire pour l'ancien ?

De quoi faire grincer des dents chez les agents immobiliers, qui estiment qu'il reste encore beaucoup

à faire lors de cette dernière année de mandat et au-delà pour tirer vers le haut l'activité dans l'ancien.

Le président du réseau Orpi, Bernard Cadeau, milite notamment pour « un statut de bailleur privé »

pour les particuliers voulant aussi investir dans l'ancien. Il donnerait accès à un panel de dispositifs

fiscaux avantageux dans l'ancien, notamment pour louer à des ménages aux revenus modestes, ou

pour financer des travaux de rénovation énergétique. Si un tel statut était

créé dans l'ancien, l'objectif serait moins de « transformer les acheteurs en chasseurs de primes

fiscales, que de les aider à acheter en fonction de leurs besoins du moment », justifie-t-il.

Par ailleurs, Bernard Cadeau estime qu'il serait nécessaire de questionner la politique d'octroi de

crédits immobiliers des banques, alors que plus de 80 % des embauches se font désormais en contrat

à durée déterminée (CDD). « Il faut faire évoluer ce prisme qui veut que les banques

ne prêtent qu'aux personnes titulaires d'un CDI », propose-t-il. Un objectif ambitieux à un moment où

les tensions réglementaires sur le crédit immobilier sont fortes.

Contraintes sur les finances publiques

Du reste, l'idée de favoriser l'immobilier ancien pose la question du risque de surchauffe sur le marché

immobilier domestique. En ne soutenant « que » le logement neuf et le logement social, le

gouvernement limite aussi le risque de hausse des prix déconnectée des revenus, comme cela a été

le cas entre 1998 et 2011.

Enfin - et c'est un argument loin d'être négligeable - si l'Etat n'a pas soutenu massivement le marché

de l'immobilier ancien, c'est aussi parce qu'il est contraint dans ses dépenses budgétaires depuis le

début de la crise des dettes publiques de la zone euro. Or, les Français sont historiquement très

sensibles aux dispositifs fiscaux avantageux pour acheter dans l'immobilier. Bercy en est

complètement conscient et, fidèle à son « pragmatisme budgétaire », freine des quatre fers à chaque

fois qu'un gouvernement émet l'idée d'une relance globale de l'immobilier.

Source : La Tribune.fr

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Résidence secondaire : des opportunités àsaisir à moins de 2 heures de Paris

Le 14/06/2016

Un marché à deux vitesses : la reprise s’amorce dans le sud alors que le nord subit encore des

baisses. (Groupe Mercure)

Le marché des résidences secondaires fonctionne à deux vitesses selon le réseau Guy Hoquet: la reprise s’amorce dans le sud alors que le nord subit encore des baisses de prix.

Vous souhaitez acquérir une résidence secondaire pour vos vacances ? Oui, mais où ? Et comment

évolue le marché immobilier localement ? Le réseau d'agences immobilières a réalisé une analyse du

marché des résidences secondaires sur les 4 grandes régions côtières : le Nord-Ouest, la Côte

Atlantique, le Sud-ouest et le Sud-est. Des marchés très différents mais qui ont tout de même subi la

crise immobilière depuis 2008 et l'impact de l'augmentation de la taxation des plus-values depuis

2011.

L'effet Provence

Dans le Sud-est, le charme de la Provence et de la Méditerranée fait toujours autant d’effet. À Saint-

Tropez et à Sainte-Maxime, le marché de l’immobilier reste toujours prisé par les acheteurs étrangers,

le prix au mètre carré à Saint-Tropez varie de 6.000 euros à 30.000 euros. Les demandes les plus

fortes se situent sur des biens d’entrée de gamme. Le marché ardéchois, avec ses maisons de

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charme, nourri par une clientèle étrangère et les habitants des grandes villes françaises, Paris, Lyon,

Bordeaux, connaît des prix et une demande stable. Quant à la Drôme Provençale, qui regorge de

villages de charme, le marché est également stable.

Le potentiel des Landes

Le Sud-ouest est peu exploité, mais a un fort potentiel avec de nombreuses zones idéales pour l’achat

d’une résidence secondaire. Le secteur du Pilat est aujourd’hui réservé à une clientèle haut de

gamme dû à une forte hausse des prix. En revanche, après une baisse des prix générale dans la

région des Landes, Capbreton reste un secteur dynamique en matière d’investissement, avec de

nombreux terrains disponibles pour la construction, où les prix au mètre carré se situent entre

3.000 euros et 7.000 euros.

La Côte atlantique plus abordable

Concernant la Côte-Atlantique, la Baule a enregistré une légère baisse des prix qui varient entre

3.500 euros et 8.000 euros le mètre carré. La crise a fait baisser la demande, ce qui a entraîné une

chute des prix de 15 % en deux ans. L’Ile de Ré, avec des prix qui avoisinent les 5.000 euros le mètre

carré, est touché par la baisse des prix dû à la tempête Xynthia. À Oléron, le danger de la menace

naturelle a entraîné une baisse de 15 % de la valeur des biens. Le prix au mètre carré s’élève

aujourd’hui à 2.500 euros. Quant à Royan, les prix ont également fortement baissé depuis 2008, mais

la cela devrait s’inverser, grâce à une forte demande, observée en 2015, liée à la baisse des prix et

des taux d’intérêt. Aujourd’hui les prix oscillent entre 1.800 €/m² et 4.000 €/m².

La baisse des prix se poursuit au Nord

Dans le Nord-Ouest, de belles opportunités sont à saisir à moins de 2h de Paris. Après une baisse

importante depuis 2010, dû à un fort désintérêt de la part d’acheteurs parisiens, la région du Calvados

a rencontré de grandes difficultés : baisse des prix sur la Côte-Fleurie et baisse de la demande pour

les terres, comme à Pont-Audemer, dont les prix au mètre carré varient aujourd’hui entre 1.000

€/m² et 2.000 €/m². La décote sur certains biens a atteint jusqu’à 30% de leur valeur. Le marché

devient cependant plus fluide, dans une région qui va développer, à long terme, grâce à son

accessibilité avec sa future ligne TGV, reliant Paris et Le Havre, qui sera opérationnelle en 2020.

Source : L’Obs.com

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Les charges de copropriété se sont stabiliséesen 2015Le 15/06/16

Grâce à la chute des prix du chauffage, la facture des copropriétaires a augmenté de 0,7% en

moyenne. Cependant, les honoraires de syndics et les primes d’assurance ont continué à beaucoup

augmenter.

En 2015, la facture des copropriétaires a peu augmenté. Les charges de copropriété ont en effet

progressé de 0,7%, selon l’étude annuelle de l’Association des responsables de copropriété (Arc).

L’année précédente, elles avaient cependant baissé de 4,9% (après +5,7% en 2013), «Néanmoins, il

ne faut pas se méprendre», tempèrent les auteurs de l’étude. «Cette quasi-stagnation n’est pas due à

une meilleure maîtrise des charges mais est, principalement, la conséquence de la baisse du coût de

l’énergie».

Les copropriétés qui ont changé de fournisseur de gaz ont vu le montant de leur facture diminuer de

15% à 20%.

Grâce au recul significatif du prix du gaz (-7,5% pour les tarifs réglementés) et du fioul (-18% en

2015), le montant des charges de chauffage (celles qui pèsent le plus dans les copropriétés dotées de

chauffage collectif) a ainsi baissé de 3,9% en moyenne en 2015. À noter que les copropriétés qui ont

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changé de fournisseur de gaz (ce qui est possible depuis le 1er janvier 2015), ont vu le montant de

leur facture diminuer de 15% à 20%.

L’an dernier, les autres charges ont, elles, continué à augmenter, souvent bien plus que l’inflation.

C’est le cas des honoraires de syndics (+3,8%), des frais de gardiennage (+2,2%), de certains

contrats de maintenance (+1,5% à 2%) et surtout des primes d’assurance (+6,8%), constate l’étude

de l’Arc. Celle-ci souligne cependant, que la flambée des cotisations d’assurance est un peu plus

modérée que celle constatée les années précédentes (entre 5% et 15% de hausse annuelle).

Il est encore trop tôt pour savoir qu’elle sera la tendance pour l’ensemble de l’année 2016. Pour

l’heure cependant, les prix du fioul reculent de 30%.

Source : Le Figaro.fr

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Immobilier : les charges de « copro » sontrestées stables en 2015Le 16/06/2016

Après une baisse de 4,9 % en 2014, les charges de copropriété ont progressé de 0,7 % en 2015,

selon l’étude annuelle réalisée par l’association des responsables de copropriété (ARC), publiée le

14 juin.

« Cette quasi-stagnation n’est pas due à une meilleure maîtrise des charges, mais est,

principalement, la conséquence de la baisse du coût de l’énergie », pointe toutefois l’auteur de l’étude.

Les charges de chauffage, premier poste de dépenses d’une « copro », ont ainsi reculé de 3,9 %.

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Une baisse qui compense les augmentations bien supérieures à l’inflation pour les honoraires de

syndic (+3,8 %), les primes d’assurance (+6,3 %) et certains contrats de maintenance, note

l’association.

Source : Le Monde.fr

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La revue de Presse KYLIA17

Immobilier : pourquoi il faudra tôt ou tardrevenir à des prêts à taux variable...Le 16/06/2016

Les achats immobiliers financés par crédit sont en quasi totalité à taux fixe. (Crédits : REUTERS/Mal

Langsdon) La manne importante de crédits immobiliers accordée à taux fixe ces dernières années fait

peser un risque sur le bilan des banques. L'une des solutions pour limiter ce risque serait que les

banques distribuent de nouveau aux emprunteurs français des prêts immobiliers à taux variable.

En France, faut-il revenir à des taux de prêts immobiliers variables ? Le sujet est de nouveau sur la

table depuis plus de deux ans, car avec la baisse des taux d'intérêts de crédits immobiliers, le fait que

les banques françaises accordent la quasi-totalité des nouveaux prêts immobiliers à taux fixe induit un

risque futur sur leur santé financière. En effet, les banques françaises se mènent une concurrence

féroce sur le marché du crédit immobilier, ce qui accentue la baisse des taux de crédits et fait pression

sur leurs marges : après plusieurs années de baisses successives, le taux moyen des crédits

immobiliers en France est désormais de 1,77 %...

Ce niveau nominal moyen a été divisé par plus de trois depuis le début des années 2000. Mais cette

baisse répercute surtout « la faiblesse des taux qui se constatent sur les marchés obligataires, dans

un contexte d'abondance de ressources d'épargne faiblement rémunérées », indique l'Observatoire

Crédit Logement/CSA, qui fait état chaque mois de l'évolution des taux de crédits immobiliers.

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La revue de Presse KYLIA18

Risque sur les banques françaises

Dans l'absolu, que les banques suivent l'évolution globale des taux d'intérêts dans leur politique

d'octroi de crédits immobiliers ne devrait pas poser problème. C'est en fait moins le faible niveau

nominal des taux de crédits immobiliers que leur fixité qui inquiète les spécialistes de la régulation

financière, en cas de remontée brutale des taux. Les banques prêtent en effet à long terme, mais se

refinancent en permanence sur le marché monétaire et subiraient ainsi directement le contrecoup de

la hausse des taux interbancaires.

Ainsi, un risque réel pèserait sur les banques françaises en cas de remontée rapide de ces taux qui

dépendent en partie de la BCE puisque, octroyant massivement des prêts à taux fixe, les banques

françaises ne pourraient reporter le coût supplémentaire sur les emprunteurs. Autrement dit, si le

passif des banques suit l'évolution globale des taux d'intérêt, une partie de son actif reste figée pour

plusieurs années. Or, ce sont tout de même 873 milliards d'euros de crédits immobiliers aux ménages

- dont plus de 85 % à taux fixe - qui sont aujourd'hui inscrits à l'actif du bilan des banques françaises

sur un montant total d'un peu plus de 2.000 milliards d'euros d'encours de crédits à l'économie réelle -

ménages et entreprises.

Plusieurs solutions pour sécuriser les bilans

D'où l'interrogation du comité de Bâle - l'instance de régulation financière mondiale - qui

souhaiterait sécuriser davantage le bilan des banques qui accordent beaucoup de crédits longs à taux

fixe, comme les crédits immobiliers. Cette réglementation - qui n'interviendrait pas avant la période

2019-2024 - demanderait concrètement aux banques qui accordent ces crédits longs à taux fixe

davantage de ressources propres pour qu'elles puissent faire face à des chocs macroéconomique

et/ou financier.

Pour faire face à cette menace sur l'équilibre financier des banques françaises, les régulateurs

évoquent donc plusieurs solutions : d'abord demander aux banques d'accroître leurs réserves de

fonds propres à mettre en face des crédits, ce qu'elles contestent fermement car cela nuirait, selon

elle, à leur « capacité à financer l'économie ».Un argument simpliste car en réalité, le problème pour

les banques est surtout l'érosion de leur rentabilité. Car le capital est la ressource la plus chère - les

banques françaises continuent de distribuer généreusement des dividendes à leurs actionnaires. A

l'inverse, les emprunts réalisés à court terme pour se refinancer se font aujourd'hui à taux négatifs, et

les dépôts de leurs clients- comptes courants, livret A, LDD etc.- sont rémunérés à des niveaux

proches de zéro.

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La revue de Presse KYLIA19

Revenir aux prêts à taux variable...

Autre solution évoquée pour réduire les "risques bilanciels" des prêts immobiliers à taux fixe : les

banques pourraient aussi relever les taux de crédits immobiliers qu'elles proposent à leurs clients,

afin qu'elles puissent d'une part dégager davantage de ressources, et d'autre part se donner de l'air

en cas de hausse des taux de refinancement. C'était d'ailleurs une demande récurrente de la Banque

de France, mais les institutions bancaires françaises n'ont pas tenu compte de ces remarques,

mettant en avant l'environnement concurrentiel impitoyable auquel elles font face.

Ensuite, les banques pourraient aussi sortir les prêts de leur bilan par la technique de la titrisation.

Mais le souvenir de la crise des subprimes est encore très présent dans les esprits, et il semble

inenvisageable de procéder massivement de la sorte. Reste donc une dernière solution : revenir aux

prêts à taux variable en faisant de facto peser désavantage le risque de remontée de taux sur

l'emprunteur en bout de chaîne.

... mais avec des plafonds

Certes, les emprunteurs auront le plus grand mal à accepter une telle politique, l'acculturation des

clients sera très complexe. Mais certains professionnels, conscients du contexte financier,

commencent à envisager le retour significatif des prêts à taux variable sur le marché immobilier

français.

Pour Bernard Cadeau, président du réseau d'agences immobilière Orpi, à partir du moment où

l'environnement financier s'y prête, « que les banques octroient plus de crédits à taux révisables et

plafonnés ne serait pas choquant ». Même s'il faudra selon lui faire très attention, « à ce que les

banques ne se défaussent pas complètement sur les clients ». En effet, l'ingénierie financière des

institutions financières a prouvé ces dernières années qu'elle pouvait servir à tromper aisément des

clients peu férus de montages très complexes. Il faudrait donc des mécanismes simples de taux

révisables chaque année, avec une limite précise de la hausse pour à la fois ne pas faire peser un

risque sur la solvabilité des emprunteurs, et donner des marges de manœuvre suffisantes aux

banques pour intégrer un choc sur les taux.

Source : La Tribune.fr

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La revue de Presse KYLIA20

Immobilier: cette plateforme qui fait gagner del'argent aux locataires sortantsLe 17/06/2016

La jeune plateforme Lokora espère grignoter une part du marché français de la relocation en mettant

à contribution le locataire sortant…tout en lui faisant gagner de l'argent.

Lucie Galichon et Charlotte Serre, les deux fondatrices de Lokora (c) Lokora

Devenir locataire tout en ne payant aucun frais d'agence. Gagner de l'argent en faisant visiter

l'appartement que l'on va quitter. Être propriétaire et bénéficier d'un site Internet qui facilite la

relocation de son appartement. Voilà en trois points la promesse de Lokora, une jeune plateforme

d'aide à la relocation qui compte bien se tailler une part du marché français. Comment? En misant sur

le collaboratif et en impliquant le locataire sortant dans le processus.

Derrière ce projet se trouvent deux jeunes entrepreneuses: Lucie Galichon et Charlotte Serre. Après

un double diplôme Supélec-ESCP Europe pour l'une et les Mines de Paris pour l'autre, les deux

jeunes femmes ont travaillé un moment dans le groupe Engie. "Mais on voulait se lancer dans une

aventure entrepreneuriale", indique Lucie Galichon. Elles suivent une formation au développement

informatique avec Le Wagon et choisissent le milieu de l'immobilier. "Nous avions nous-mêmes eu

une expérience de locataires et les agences immobilières sont un milieu assez traditionnel, un milieu

encore à disrupter." Le projet Lokora nait début 2016 et la société est montée en mars.

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La revue de Presse KYLIA21

Comment fonctionne Lokora? "C'est le locataire sortant qui va trouver son remplaçant pour le

propriétaire", explique Lucie Galichon. "Il va rédiger l'annonce sur le site Internet, avec photos puisqu'il

est sur place, et la partager sur les réseaux sociaux. Enfin, il va faire visiter son appartement aux

candidats sélectionnés et donner un feedback." En échange, le locataire sortant peut gagner une

semaine de loyer, de 100 à 300 euros maximum. Lokora se charge quant à elle de récupérer les

dossiers des candidats locataires, qui ne payent aucun frais, de les trier, de vérifier l'authenticité des

documents et de sélectionner les 5 à 10 meilleurs dossiers dont les candidats pourront visiter

l'appartement. La plateforme édite également le bail qui peut être signé en ligne.

Objectif: 20% du marché d'ici à 5 ans

Aux propriétaires, Lokora promet un gain de temps (puisque c'est le locataire sortant qui s'occupe des

visites et Lokora qui s'occupe de la sélection des meilleurs dossiers) et d'argent. "Pour le propriétaire,

c'est deux fois moins cher qu'une agence", affirme Lucie Galichon. Et de préciser que cela lui coûte

environ un demi-mois de loyer et pas plus de 600 euros. Un montant qui inclut le rabais d'une

semaine de loyer pour le locataire sortant.

"Le concept plait et les propriétaires sont intéressés", assure la co-fondatrice de Lokora. "Nous avons

environ 100 propriétaires et locataires inscrits. Des propriétaires se disent aussi intéressés mais leurs

locataires ne sont pas sur le point de partir." La plateforme espère ainsi se tailler une part sur le

marché de la relocation. Elle estime que son concept peut trouver sa place aux côtés des agences

immobilières, dont la relocation ne représente qu'une partie des activités, et des sites entre

particuliers. D'autant que la plateforme n'écarte d'ailleurs pas la possibilité de s'appuyer sur des sites

du type Le Bon Coin sur lesquels ses annonces pourraient être publiées. "Il y a 1,3 million de

logements qui sont reloués chaque année en France. D'ici à la fin de l'année, nous souhaitons avoir

validé notre concept avec 50 logements reloués chaque mois via Lokora et notre objectif d'ici à 5 ans

est de capter 20% du marché français." Soit 250.000 logements par an.

Source : Challenges.fr

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La revue de Presse KYLIA22

Airbnb : 20 000 logements loués illégalement àParisLe 18/06/2016

A partir de 120 jours de location par an, un bien entre dans la catégorie des "meublés touristiques".

Malgré les mises en garde de la mairie, les propriétaires, louant leur bien sur Airbnb ou Abritel,sont encore trop nombreux à ne pas respecter les règles, dans la capitale. Rappel desobligations à remplir.

Une nouvelle preuve que la location de logements entre particuliers ne doit pas être prise à la légère !

D'après une étude de France Info, il y aurait en effet plus de 20 000 appartements loués illégalement

à Paris. Ce chiffre représente 5 à 10 % du parc locatif privé de la capitale, indique la radio. En cause,

l'oubli, par certains propriétaires utilisant la plate-forme américaine, de respecter la loi.

Pour rappel, à partir de 120 jours de location par an, un bien entre dans la catégorie des"meublés touristiques". Or, cela oblige (en principe) son propriétaire à le déclarer auprès de lamairie. Mais s'il s'agit d'une simple déclaration, pourquoi autant de particuliers rechignent-ils à passer

par cette formalité ?

Parce que la caractérisation d'un logement en tant que "meublé touristique" entraîne parfois d'autres

obligations ! C'est le cas des villes de 200 000 habitants et de la petite couronne où les propriétaires

doivent également obtenir une autorisation préalable pour louer leur bien immobilier.

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La revue de Presse KYLIA23

La location de meublés touristiques très contraignante à Paris

Dans la capitale, les conditions à remplir sont encore plus contraignantes. Pour obtenir une

autorisation de location, un propriétaire d'un meublé touristique a ainsi l'obligation de transformer un

commerce, ou un bureau, du même arrondissement en logement. Pour la ville, confrontée à une très

forte demande locative, il s'agit de compenser la perte de surface d'habitation. Rappelez-vous, il y a

quelques semaines, la mairie de Paris avait mis en ligne une liste des "meublés touristiques" déclarés

afin de dissuader les "fraudeurs". En vain...

A noter que les locataires doivent, eux-aussi, respecter certaines règles avant de sous-louer leur

logement. En avril, un couple de locataires a d'ailleurs été condamné par la justice pour ne pas l'avoir

fait ! Premier point, un locataire doit demander l'autorisation à son propriétaire avant de proposer son

appartement sur Airbnb. Second impératif, il doit le sous-louer à un prix inférieur ou égal au loyer qu'il

paye lui-même à son bailleur.

Enfin, que vous soyez propriétaire ou locataire, sachez que vous devez en théorie déclarer tous vos

gains issus de vos locations ou sous-locations, au titre des bénéfices industriels et commerciaux

(BIC). Bon à savoir, en-deçà de 32 900 euros de revenus par an, seule la moitié de ces sommes n'est

imposée.

Source : L’Express.fr

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La revue de Presse KYLIA24

LES ARTICLES DE LA SEMAINE - COMMERCE

World's 50 Best Restaurants 2016 : L'OsteriaFrancescana couronné Meilleur restaurant dumondeLe 14/06/2016

Les chefs français à New York pour la sortie des 50 Best : Paul Pairet, Eric Ripert, Alexandre

Gauthier, Yannick Alleno, Bertrand Grebaut, Pierre Hermé, Alain Passard et Mauro Colagreco.

New York (ETATS-UNIS) Lors de la cérémonie des World's 50 Best Restaurants 2016, sur la scène

du Cipriani Wall Street à New York, le restaurant de Massimo Bottura à Modène, en Italie, remporte

pour la première fois la 1re place du classement mondial 2016.

Pour la France, Pierre Hermé, remporte le titre de World's Best Pastry Chef 2016 parrainé par Cacao

Barry®. La Française Dominique Crenn, basée à San Francisco dans son Atelier Crenn, est élue

The World's Best Female Chef. Alain Passard, qui fête le 30e anniversaire de son restaurant

parisien, l'Arpège (19e place), reçoit le Diners Club® Lifetime Achievement Award. Outre Alain

Passard, deux restaurants français font partie de la liste 2016 dont le Mirazur à Menton qui gagne 5

places dans le top 10, pour occuper le 6e rang, et Septime, à Paris, qui fait son retour sur la liste à la

50e place. Les 3 chefs français s'ajoutent aux 8 déjà primés sur la liste des 51-100 meilleurs

restaurants révélée depuis une semaine, soit 11 restaurants.

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La revue de Presse KYLIA25

La prochaine édition 2017 aura lieu à Melbourne, en Australie.

50 Best : la liste de la 50ème à la 1ère place

50 Septime, Paris, France RE-ENTRY

49 Quique Dacosta, Dénia, Spain

48 Blue Hill at Stone Barns, New York, USA

47 Schloss Schauenstein, Fürstenau, Switzerland

46 Combal Zero, Rivoli, Italy RE-ENTRY

45 Dinner by Heston Blumenthal, London, UK

44 Estela, New York, USA NEW ENTRY

43Biko, Mexico City, Mexico

42 Ultraviolet by Paul Pairet, Shanghai, China

41 Fäviken, Järpen, Sweden

40 Relae, Copenhagen, Denmark

39 Le Calandre, Rubano, Italy

38 De Librije, Zwolle, Netherlands RE-ENTRY

37Nahm, Bangkok, Thailand

36 Boragó, Santiago, Chile

35 Vendôme, Bergisch Gladbach, Germany

34 Restaurant Tim Raue, Berlin, Germany NEW ENTRY

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La revue de Presse KYLIA26

33 Attica, Melbourne, Australia

32 Restaurant André, Singapore

31 Nihonryori RyuGin, Tokyo, Japan

30 Astrid y Gastón, Lima, Peru

29Tickets, Barcelona, Spain

28 Geranium, Copenhagen, Denmark RE-ENTRY

27 Saison, San Francisco, USA NEW ENTRY

26 The Clove Club, London, UK NEW ENTRY

25 Pujol, Mexico City, Mexico

24 Le Bernardin, New York, USA

23 Gaggan, Bangkok, Thailand

22 The Test Kitchen, Cape Town, South Africa

21 Arzak, San Sebastian, Spain

20 Amber, Hong Kong, China

19 Arpège, Paris, France

18 White Rabbit, Moscow, Russia

17 Piazza Duomo, Alba, Italy

16 Azurmendi, Larrabetzu, Spain

15 Alinea, Chicago, USA

14 The Ledbury, London, UK

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La revue de Presse KYLIA27

13 Maido, Lima, Peru

12 Quintonil, Mexico City, Mexico

11 D.O.M., São Paulo, Brazil

10 Asador Etxebarri, Axpe, Spain

9 Steirereck, Vienna, Austria

8 Narisawa, Tokyo, Japan

7 Mugaritz, San Sebastian, Spain

6 Mirazur, Menton, France

5 Noma, Copenhagen, Denmark

4 Central, Lima, Peru

3 Eleven Madison Park, New York, USA

2 El Celler de Can Roca, Girona, Spain

1 Osteria Francescana, Modena, Italy

Source : Lhotellerie-restauration.fr

Page 28: S25   revue de presse kylia - semaine du 13 au 19 juin 2016

La revue de Presse KYLIA28

Euro 2016 : des mesures qui entachent l'imagedes cafés et bars

Le 14/06/2016

Pour l'Umih, « les annonces édictées par le ministre de l'Intérieur, et prises par les préfets, en réponse

aux incidents dramatiques et inacceptables qui entachent le début l'Euro 2016, risquent de nuire à

l'image des cafés et bars pleinement mobilisés pour l'Euro. Les comportements intolérables, diffusés

en boucle sur les télévisions du monde entier, sont le fait d'une alcoolisation massive qui n'a jamais

lieu dans les débits de boissons, mais dans la rue, sans aucun contrôle. » Seulement 10% de l'alcool

vendu en France est consommé dans les débits de boissons rappelle le syndicat qui « demande que

la différence entre lieu de consommation et source d'approvisionnement soit enfin considérée : nos

exploitants assurent au quotidien, grâce à leur professionnalisme, la sécurité des personnes au sein

de leur établissement. Notre profession est soumise à une réglementation stricte issue du code de la

santé publique. Nos professionnels sont titulaires d'une licence de débit de boissons et suivent une

formation obligatoire à la vente d'alcool. Ils connaissent leurs obligations réglementaires exigées par

le code de la santé publique telles que la protection contre l'ivresse publique, la protection des

mineurs, leur responsabilité civile et pénale ».

Source : Lhotellerie-restauration.fr

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La revue de Presse KYLIA29

Indice Insee : augmentation saisonnière desprix dans les CHR en maiLe 15/06/2016

En mai 2016, l'indice des prix à la consommation de l'Insee augmente de 0,4 % après + 0,1 % enavril. Corrigé des variations saisonnières, il croît également de 0,4 %. Sur un an, il est stable, après -0,2 % en avril.

Dans l'hôtellerie et la restauration, les prix augmentent de manière saisonnière à l'amorce de la saison

estivale (+ 0,3 % sur un mois ; + 1,8 % sur un an). Dans le détail, les prix dans la restauration et les

cafés sont en hausse de 0,1 % sur un mois et de 1,4 % sur un an. Pour les services d'hébergement,

l'augmentation est plus marquée avec + 1,1 % sur un mois et + 2,7 % sur un an.

Source : Lhotellerie-restauration.fr

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La revue de Presse KYLIA30

Le Ritz Paris de nouveau en scène

Le 17/06/2016

Paris (Ier) L'établissement 5 étoiles de la place Vendôme a rouvert ses portes après quatre ans de

travaux et 400 M€ d'investis. Un millier d'ouvriers et d'artisans ont été mobilisés pour cette rénovation.

Si Mohamed Al-Fayed, le propriétaire du Ritz Paris (Ier), a entrepris des travaux pharaoniques - d'un

montant de 400 M€ - pour rénover l'hôtel de la place Vendôme, il a voulu avant tout conserver l'âme

de la maison, avec l'aide du cabinet d'architecture new-yorkais Thierry W Despont. Après quatre ans

de travaux, l'établissement n'a rouvert qu'une partie des chambres - environ la moitié - en raison de

l'incendie qui s'est déclaré en janvier dans l'aile rue Cambon. L'ouverture complète est prévue pour

2017.

Un millier d'ouvriers et d'artisans ont été mobilisés pour cette rénovation d'ampleur. Le mobilier a été

restauré puis réintégré à l'hôtel. 80 % des meubles et luminaires - dont les lustres - ont ainsi été

conservés. La clientèle pourra retrouver les cygnes de la robinetterie, les cordons Valet and Maid, la

fameuse clé à l'ancienne pour contrôler la lumière à l'entrée des chambres… Dans le lobby, le bleu

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La revue de Presse KYLIA31

roi, le bleu du Ritz, domine. Les boiseries en chêne, les sols en pierre de Mareuil, les dorures, les

parquets et les étoffes des rideaux composent ce cadre.

30 000 m2 et 600 salariés

L'établissement de 30 000 m² compte désormais 142 chambres (71 chambres et 71 suites), contre

159 auparavant, et emploie 600 salariés. "Nous nous sommes mis à l'écoute de nos clients, souligne

Nassim Yaghmaei, design manager du Ritz Paris. Nous pensons que le luxe n'a plus la même

signification aujourd'hui que dans les années 1980. Le confort est primordial, comme les efforts

d'insonorisation, mais les dimensions jouent un nouveau rôle. Dès le départ, l'idée était de réduire le

nombre de chambres. Il fallait avant tout valoriser l'espace, la lumière et créer pour certaines des

terrasses privatives ombragées, ouvertes sur le jardin." Les quinze suites de prestige ont pris le nom

d'illustres hôtes u palace : Gabrielle Chanel, Marcel Proust, F. Scott Fitzgerald, Charlie Chaplin…

Dans les chambres, les nouvelles technologies sont présentes, mais camouflées. On retrouve ainsi

toute la connectique nécessaire dans les bureaux dissimulée sous un plateau en cuir, des télévisions

derrière les miroirs… Au total, on compte deux kilomètres de câbles par chambre.

Parmi les nouveautés : un tunnel VIP a été creusé pour relier l'établissement à la place Vendôme et le

jardin est désormais accessible à la clientèle. Une verrière, entièrement repliable, a été installée, et un

salon Proust, en hommage à l'écrivain, a également été imaginé. Le Ritz Club Paris comprend

désormais un espace dédié à l'art du soin Chanel, ainsi qu'un espace fitness de 120 m². Polyvalente,

la piscine peut être recouverte d'un plancher et accueillir des banquets, des défilés de haute couture

ou des bals.

Source : Lhotellerie-restauration.fr

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La revue de Presse KYLIA32

A propos de Kylia

KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau d’agences immobilières NouvelleGénération : Le 1er réseau immobilier à partager sa croissance avec l’ensemble de ses agents.

Kylia développe un modèle économique orienté « Agent » : Une entreprise construite par et pour sesagents immobiliers.

Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.comContact Presse : KYLIA Immobilier

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