« Ce que j’ai appris, ce que je sais »

« Ce que j’ai appris, ce que je sais »

Le constat

Peu d’implication des élèves dans leurs apprentissagespas assez acteurs dans la construction des apprentissages

Le langage de l’enseignant pas assez explicite dans les consignes : « 0n va faire » au lieu de « On va apprendre »

Peu d’élèves sont capables de restituer ce qu’ils ont appris antérieurement et même de se projeter

Peu de références sont utilisées par les élèves pour des activités similaires proposées d’une année sur l’autre

Utilisation par les enseignants de procédures d’accumulation de

connaissances entre lesquelles les élèves ne font aucun lien ?

Classeur élaboré par et pour les élèves sous forme de fiches, regroupant les compétences travaillées et connaissances acquises par la majorité d’entre eux.

Il est enrichi au fur et à mesure dans l’année et s’appuie sur les programmations de classe/ de cycle-en consultation libre dans la classe

Il est transmis à la classe suivante

Circulation d’une copie dans les familles

Utilisation possible en AP

Quels enjeux ?

pour les élèvesIl contribue à la réussite des élèves et leur permet de rendre compte de ce qu’ils ont appris,

retenu à l’école, en l’explicitant par le langage oral, en le formalisant par des fiches pour le garder en mémoire. A la question « Qu’avons-nous appris ? » la réponse des élèves est « Nous avons appris… »

pour les enseignants Innovant , il conforte les enseignants dans une réflexion tant sur leurs démarches que leurs

pratiques et engage dans un travail d’équipe. : « Qu’est-ce que je veux que les élèves apprennent ? », « Qu’est-ce que je veux qu’ils retiennent ? »

Un outil pour apprendre, élaboré à partir d’expériences vécues

Découverte du classeur papier d’Angélique Bosc, PS-MS Argy