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COMPTE RENDU D’ATELIERSOUS-CLUSTER PROTECTION DE L’ENFANCE

(REP. CENTRAFRICAINE)

Information de la réunion

Date et heure de l’atelier: Mardi 11 Février 2014 – 9:00 à 16:30Lieu: FATEBFacilitation: Julie Gill, coordinatrice du sous-cluster protection de l’enfance Nicoletta Antonini & Khalil Cambron, co-leads du sous-cluster protection de l’enfanceTiarnack Mooney, Spécialiste d’urgence

Compte rendu des principaux points soulevés et actions clé identifiées

Objectifs

Faire un débriefing sur la situation sécuritaire du pays et l’état de la réponse en pro-tection

Planifier la réponse à de nouvelles tendances de protection qui occasionnent de nou-veaux besoins

Revoir le plan de réponse et identifier les manquements Orienter la soumission de protection de l’enfance au CERF

9 :15 – 9 :30

Situation humanitaire CAR – Présentation Tiarnack Mooney (ERT)

Populations à risque – site, situation Mouvements de forces et groupes armés Apparition de groupes criminels Début de retour dans les quartiers depuis les sites de déplacés Besoins et réponses en protection de l’enfant Organisations sur place Débat sur l’espace/accés humanitaire

Voir les cartes de RCA et Bangui en pièces jointes.

9 :30 –11 :00

Plan de réponse du sous-cluster protection de l’enfance – Présentation Julie Gill (coordination du sous cluster protection de l’enfance)

Activités prévue par le plan de réponse : 29 Activités terminées : 0 Activités en cours : 15 Activités en cours sans données suffisantes : 5 Activités en cours sans aucune donnée : 4 Activités pas encore commencées: 14

Détresse psychosociale et troubles mentaux :- Etablissement de points d'écoute

Violence physique et autre pratiques nocives :- Développement d'un plan de mobilisation des membres de la communauté, incluant

femmes, et groupes de jeunes, pour prévenir la violence contre les enfants et partager des "life saving" informations

11 :15 – 12:00

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- Développement de mécanismes communautaires pour mobilier les communautés incluant femmes et groupes de jeunes pour prévenir la violence contre les enfants et partager des "life saving" informations

- Mobilisation de ces mécanismes communautés : activités de prévention et étendue des activités de sensibilisation

Registration des naissances :- Assistance aux familles pour enregistrer les naissances

Transversal :- Etablissement d'activités socio-économiques pour les groupes vulnérables, en

particulier les jeunes- Etablissement activités visant à la réconciliation/co-existence paisible, et cohésion

sociale pour réduire le conflit entre communautés et individuels

Voir le plan de réponse du sous-cluster, en pièce jointeTravail en petits groupe – Nouvelles activités, site, organisations proposées

Groupe 1 : IDTR - Cartographier les éléments d’un système IDTR pour le pays.

1. Quoi - Quelques points clés sur chaque élément (Identification, documentation, suivi et gestion des cas, réunification familiale – familles d’accueil). Lien entre tous ces éléments, Campagnes de sensibilisation

2. Ou – Préfectures, sites (Bangui et hors Bangui)3. Qui – Rôle des organisations impliquées (UN, INGOs, NGOs and Gouvernement)4. Lead – Agence/organisation suggérée pour le lead de cette activité (Groupe de Tra-

vail)

Groupe 2 : Support psychosocial Identifier les éléments d’un modèle pour Espaces Amis des Enfants pour le pays

1. Quoi – Eléments du modèle (considérer support psychosocial, point d’écoute, point focal pour référencement de problématiques PE, point focal IDTR, personnel forme pour le suivi IDTR, intégration avec autres secteurs – GBV, santé et nutrition, éduca-tion, WASH), activités pour jeunes – socio-économique, consolidation de la paix, et autres, lien avec les mécanismes à base communautaire, et campagne de sensibili-sation

2. Ou – Préfectures et sites - Cartographie (gaps ? Bangui et hors Bangui)3. Qui – Possibles partenaires de mise en œuvre. Capacité4. Lead - Agence/organisation suggérée pour le lead de cette activité (Groupe de Tra-

vail)

Groupe 3 : DDR & Activités socio-économiques pour les jeunes – Identifier les éléments du système de DDR (FOCUS : prévention et la réinsertion dans les communautés, et les activités socio-économiques)

1. Quoi – Eléments du système de DDR (considérer chaque étape dans le système courant et identifier ou il est possible d’appuyer/soutenir, améliorer ou augmenter l’échelle). Considérer la prévention, réinsertion dans les communautés, les activités socio-économiques proposées et comment en augmenter l’échelle au-delà du DDR

2. Où – Préfectures et sites (gaps ? Bangui et hors Bangui)3. Qui – Possibles partenaires de mise en œuvre pour les différents éléments 4. Lead – Agence/organisation suggérée pour le lead de cette activité (UNICEF Man-

dat)

Groupe 4 : Mobilisation des communautés pour prévenir la violence contre les enfants –

12 :10 –12 :45

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Explorer les possibilités d’engagement et mobilisation des communautés en RCA

1. Quoi – Eléments essentiels de systèmes communautaires et potentiel en RCA2. Où - Préfectures et sites (gaps ? Bangui et hors Bangui)3. Qui – Possible partenaires de mise en œuvre et possible mécanismes qui existent

déjà et pourraient être appuyés 4. Lead - Agence/organisation suggérée pour le lead de cette activité (Save – RE-

COPES)

Groupe 5 : Monitoring de protection – Explorer le système courant et les possibilités d’harmonisation et d’utilisation optimale des informations

1. Quoi – Proposition d’options pour intégration des éléments du système courant ou lien entre les systèmes établis (UNICEF, HCR, IOM Facilitateurs). Utilisation des in-formations pour la protection des enfants (analyse ; recommandations ; et suivi pour la réponse humanitaire)

2. Où - Préfectures et sites (gaps ? Bangui et hors Bangui)3. Qui - Possible partenaires de mise en œuvre si des gaps sont identifies 4. Lead - Agence/organisation suggérée pour le lead - analyse des informations -

(CPIMS - UNICEF)

Groupe 6 : Engagement des jeunes dans des activités de consolidation de la paix - Proposition d’activités

1. Quoi – Proposition d’activités (considérer évaluation de la volonté des jeunes à s’en-gager dans la consolidation de la paix ; programmes spécifiques qui touchent la base du conflit en RCA ; engagement civique avec les jeunes – rôle des medias SMS etc., messages communautaires, personnes a influence, cash for work etc)

2. Ou - Préfectures et sites (Bangui et hors Bangui)3. Qui - Possible partenaires de mise en œuvre 4. Lead - Agence/organisation suggérée pour le lead – (Lien avec cluster early recove-

ry)Déjeuner 12:30

– 13:30

Présentations des petits groupes (projets/réponse) et prochaines phases

Groupe 1 : IDTR - Cartographier les éléments d’un système IDTR pour le pays.

Le groupe a d’abord défini correctement les concepts d’enfants non accompagnés et séparés (ENA/ES), puis identifié des différentes étapes du système IDTR et ces principales caractéristiques. L’accent a été mis sur les lacunes de ce système encore peu fonctionnel d’une manière formelle en tout cas. Manque de capacités, de moyens, l’absence d’un système, des problèmes de paiement du personnel du ministère, ainsi que la situation sécuritaire, sont autant de contraintes. Des formations sont en cours pour former les acteurs clés, qui sont susceptibles d’avoir en face d’eux des ENA/ES, ainsi qu’un travail pour harmoniser et uniformiser les documents nécessaires a l’enregistrement et la documentation est en cours. Des synergies sont établies avec des acteurs comme le CICR pour assurer la partie de recherche familiale ; tandis que l’on continue de former des acteurs spécialement sur ce domaine-là. Les principaux lieux d’identification sont des lieux communautaires comme les ETAPEs, les Espaces Amis des Enfants, les points d’écoute etc. Tout un système de référencement doit être mis en place pour assister ce processus, celui-ci

13:45– 16:30

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se donne autour de la communauté a des endroits et personnes clés : hôpital, infirmiers, instituteurs, professeurs, policiers etc…. et le suivi est une composante transversale qui s’effectue à chaque étape du processus IDTR. Il est extrêmement important de s’insérer dans la communauté pour l’IDTR. Un enfant trouvé va probablement être plus vite reconnu s’il n’est pas retiré de sa communauté d’origine ; les solutions de placement provisoires aussi doivent s’inscrire localement, pour maintenir les liens, faciliter la recherche et favoriser la réunification familiale.Point d’action : avoir un système mobile

Groupe 2 : Support psychosocial - Identifier les éléments d’un modèle pour Espaces Amis des Enfants pour le pays

Le groupe a débattu des fonctions des EAEs (rétablir les habitudes, un sens de la sécurité, environnement protecteur, développement de l’enfant, de jeu de partage, identification des enfants qui ne sentent pas bien, ou vulnérables, à risque, favoriser la résilience à travers des activités etc). Le rôle des EAE dans le soutien psychosocial a été expliqué à travers la pyramide des besoins psychosociaux fondamentaux, qui reflète la ‘hiérarchie’ des besoins : ceux de base (nourriture, l’eau, la sécurité, et les besoins développementaux de l’enfant), ceux des enfants affectés dont la résilience permettra avec le support de leurs proches et de leur communauté une récupération et un retour au mieux-être progressif et ‘naturel’, ceux qui ont besoin d’un soutien plus spécifique mais non spécialisé (a travers les EAE), et enfin le pourcentage réduit qui aura besoin de soins ou d’une prise en charge plus spécialisée.

Les EAE sont un modèle de réponse en situation d’urgence applicable et adaptable dans tous les pays selon des contextes culturels spécifiques cependant. Ils fournissent un appui pour réorganiser et structurer une présence de qualité. Le groupe a aussi détaillé le réseau concentrique autour de la protection de l’enfant: famille, communauté et Etat à travers ses institutions, et le besoin d’en assurer la bonne coordination.Quelques activités supplémentaires ont été mentionnées comme étant importantes : par exemple, l’identification et référencement des enfants avec des besoins spéciaux ou spécifiques, comme les ENA/ES, la sensibilisation ainsi que la prévention, la mobilisation et participation de la communauté, le soutien socioéconomique etc

Il a été note qu’il est nécessaire de rendre les services des EAE accessibles par des équipes mobiles et de faire une cartographie des risques contextualisés avec analyse des ressources.

L’ensemble des actions à opérer au sein des EAE sont : les activités, l’identification et le filtrage des enfants à risques (avec l’aide des RECOPE), suivi d’un entretien individuel où la famille et la communauté (si cela est ds l’intérêt supérieur de l’enfant) seront impliqués. Cet entretien donnera lieu à un référencement et/ou un plan d’action avec un projet qui prend en compte les besoins de l’enfant immédiat et autant que possible à long terme. La clôture du cas se fera selon un plan de suivi.

Lacune identifiée significative : pour les problèmes de santé mentale sévères, MSF et le CICR sont les seules identifiées comme étant capable de répondre actuellement + certaines familles d’accueil temporaire mobilisables pour certaines problématiques de santé mentale.

Points d’action Faire le lien avec le sous-groupe santé mentaleIl faudrait voir au niveau du cluster les endroits où il serait utile de développer les EAE

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Permettre la présence de plus de psychologues à travers des points d’écoute Besoin de formation en référencement et de gestion de casBesoin de créer plus de synergie avec les acteurs et ressources localesGroupe 3 : DDR & Activités socio-économiques pour les jeunes – Identifier les éléments du système de DDR (FOCUS : prévention et la réinsertion dans les communautés, et les activités socio-économiques)

Le groupe a d’abord défini correctement les concepts d’enfants associes aux forces et groupes armes puis identifié des différentes étapes du système DDR. Identification (et référencement à l’UNICEF pour vérification) Information/ Sensibilisation : Il faut impliquer le gouvernement et local et les com-

munautés, sensibilisation pour la prévention de recrutement, et pour la réintégra-tion des enfants dans leurs communautés

Libération des enfants : UNICEF et autres acteurs (BINUCA, Gouvernement) à com-mencer un dialogue avec les groupes armés.

Prise en charge (CTO, FAT, prise en charge des familles) : le système des familles d’accueil doivent être soutenu parce que les familles peuvent encourager le recrute-ment (aide socioéconomique).

Les activités socioeco : offrent des options qui permettent d’autre choix de vies aux jeunes plutôt que l’enrôlement / recrutement…La prise en charge doit inclure les enfants vulnérables de la communauté, notamment les jeunes qui sont à risque de recrutement, et qui devraient aussi bénéficier des opportunités de formation et ap-pui psychosociale

Recherche familiale / réunification (avec une importante collaboration du CICR) Suivi : phase importante qui est faible dans le pays et qui a besoin d’être renforcée

(situation sécuritaire du pays ne le permet pas, les conditions géographiques et le climat quelque fois empêchent aussi la suivi, manque de ressources)

La problématique de prévention et de réponse se confondent….

Lacune identifiée significative   : Soutient aux familles des EAFGA, peu d’options socio-économiques, besoin de développer une stratégie pays/groupe de travail entre UNICEF et les acteurs qui vont répondre (COOPI, SCI, IRC ????) + prévoir des actions pour les enfants associés aux Anti Balaka.

L’atelier a permis de commencer une cartographie brievement des lieux ou le système DDR doit fonctionner, et de quelques acteurs travaillant sur les formations en petits metiers, sur les familles transitoires d’accueil, et la mobilisation communautaire.

Point d’action : Avoir des stratégies communes avec les différentes organisations qui s’occupent de cette thématique et coordonner ensemble.Etablir un parallèle dans le travail entre IDTR et les AEFGA car le niveau de sensibilité du sujet voir de la technicité des activités est autre.Organiser une réunion entre agences et organisations concernées qui permettra une stratégie et formera la base d’une soumission de fond

Groupe 4 : Mobilisation des communautés pour prévenir la violence contre les enfants – Explorer les possibilités d’engagement et mobilisation des communautés en RCA

Le groupe a d’abord défini correctement :

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le concept de violence (mauvais traitement, action infligée à autrui (ou à soi-même) d’ordre psychologique, émotionnel, sexuel, physique ou social (familial, communautaire…), les différents espaces de violence potentielle (la famille, l’école, la communauté et le travail entre autre), les manières de diagnostiquer les signes de violence (l’enfant nous l’exprime, les lois traditionnelles peuvent l’indiquer, ainsi que les lois nationales et internationales).Note a été faite sur les responsables de protéger de la violence : la famille, les communautés et l’Etat à travers ses institutions.Ils faut travailler avec tous ces acteurs, les sources de savoir et les lieux oú évoluent les enfants afin de prévenir et répondre a tous types de violence.

Différents types d’activités ont été identifiées, qui forment une réponse globale et a différent niveau. Les sensibilisations (radio, causerie, sensibilisation ludique et de masse dans les marchés

etc) faisant partie d’une stratégie. Les formations sur différents sujets a différents groupes cibles La communication et les échanges entre toutes les différentes parties, vers un change-

ment social profond (contre la violence sociale prévalente) et une transformation des rap-ports de la société, des normes sociales

Coordination avec tous les acteurs et ressources dans un site Participation des enfants et de la communauté Cartographie des risques et des ressources

Certains mécanismes de prévention et de réponse ont été débattus : Les Comités de Protection ; les RECOPEs ; les Bureaux de Protection et autre structures

de protection  Les espaces Amis des Enfants ; Les ETAPES Centres ou Points d’Ecoute

Il a été mis en évidence le besoin que tous ces mécanismes aient des lignes directrices, des standards minimums et des principes d’action, ainsi que de Termes de Reference pour les points focaux et staffs impliqués.

Point d’action : Renforcer la capacité des acteurs de la protection de l’enfance dans les sites oú ils sont déjà présents et assurer leur bon fonctionnement (avoir un RECOPE ou analogue partout oú les ac-teurs de protection opèrent).Elargir la présence autour des sites pour bien répertorier les problèmes de protection et ac-compagner/offrir un support.Terminer le manuel des EAE et ETAPES, y inclure des ToR pour les mécanismes de protection notamment les RECOPE, et généraliser sa connaissance et utilisation dans tous les sites oú la protection opère.

Groupe 5 : Monitoring de protection – Explorer le système courant et les possibilités d’harmonisation et d’utilisation optimale des informations

Point d’action : Identifier les sites et zones oú il y a des problèmes de protection (points chauds, cartographie des populations a risques).Faire la cartographie des intervenants de protection monitoring pour identifier les lacunes, no-tamment en identifiant des partenairesCoordination des agences lead de protection monitoring (UNICEF,UNHCR. OIM)

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Formation des agents de collecte de donnéesCentralisation des données (HCR, UNICEF)Règles de partage des informationsSuggérer un partage bimensuel des statistiques, et mensuel d’analyse approfondi

Groupe 6 : Engagement des jeunes dans des activités de consolidation de la paix - Proposition d’activités

Le groupe a commencé par définir le conflit (mésentente entre des/deux individus ou communautés) et ses éléments clés en RCA : manipulation politique des populations, inégalités historiques dans la distribution du pouvoir, les démobilisés des dernières crises n’ont pas été bien pris en charge, etc

Des activités à mener ont été identifiées :Les leaders communautaires doivent essayer de comprendre et de s’exprimer sur ce qui s’est passé/se passe Il faut impliquer la jeunesse dans la résolution du conflit Créer des exemples positifsCréer des forums de discussion pour les jeunes ainsi que des formations de toutes sortes notamment sur la citoyennetéIdentifier des messages clés et les diffuser a la populationMise en place de médiateurs communautaires (sorte de rôles modèles ?)Campagne de sensibilisation dans les medias menée par les jeunes eux même.Mettre en lien avec les activités socioéconomiques, le DDR et les EAFGA, ainsi que le développement du sens communautaire positif et la mobilisation de celle-ci

Point d’action : Il faut développer dans les villes prioritaires des exemples (genre projet pilote/rôle modèles) qu’on peut ‘exporter’/ utiliser dans d’autres villes du pays.Réunir des groupes (EAFGA par exemple) et proposer une soumission commune pour des fonds.