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2 nd discours de rousseau I. Thème→ nature humaine Différence spécifique entre l’animalité/essentielle culture/processus On pourrait se demander si la différence H/A n’est pas que de degré et que l’hOmme se leurre quand il se pense être le seul doué de raison et de liberté : cette illusion est anthropocentriste Il ignore tout simplement les causes de son déterminisme A cela rousseau oppose une différence indubitable qui justifierait une rupture Problématique : qu’est ce qui fonde la différence h/A Plan : dans un premier temps critère indubitable de la perfectibilité = diff nature Puis dans un second temps → ambivalence de la perfectibilité I→ progrès II→ remise en question II image du dé gagne sur une face on le perde sur l’autre opposition à l’escalier du faux évolutionnisme 2 nd problème : cela implique-t-il une supériorité de la nature humaine culture/liberté A. Qu’est ce que la perfectibilité 1 paragraphe rousseau définit d’abord positivement faculté de développer des facultés Négativement par opposition à la condition animal/stabilité, fixité → déterminée, nécessité de l’instinct Evolution darwin → involontaire →innée comme une mutation hasard = subie ! Culturelle→ histoire → acquis Dans cette phrase Rousseau convoque un fait indubitable : l’Homme a une Histoire voir est une Histoire. La culture n’est pas qu’un contenu à déverser, il modifie l’âme → processus Contrairement à l’animal entièrement déterminé au niveau individu que espèce

2nd Discours de Rousseau

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Page 1: 2nd Discours de Rousseau

2nd discours de rousseau

I. Thème→ nature humaine Différence spécifique entre l’animalité/essentielle culture/processus On pourrait se demander si la différence H/A n’est pas que de degré et que l’hOmme se

leurre quand il se pense être le seul doué de raison et de liberté : cette illusion est anthropocentriste

Il ignore tout simplement les causes de son déterminisme A cela rousseau oppose une différence indubitable qui justifierait une rupture Problématique : qu’est ce qui fonde la différence h/A Plan : dans un premier temps critère indubitable de la perfectibilité = diff nature

Puis dans un second temps → ambivalence de la perfectibilité I→ progrès II→ remise en question II image du dé gagne sur une face on le perde sur l’autre opposition à l’escalier du faux

évolutionnisme 2nd problème : cela implique-t-il une supériorité de la nature humaine culture/liberté

A. Qu’est ce que la perfectibilité 1 paragraphe rousseau définit d’abord positivement faculté de développer des

facultés Négativement par opposition à la condition animal/stabilité, fixité → déterminée,

nécessité de l’instinct Evolution darwin → involontaire →innée comme une mutation hasard = subie ! Culturelle→ histoire → acquis Dans cette phrase Rousseau convoque un fait indubitable : l’Homme a une Histoire

voir est une Histoire. La culture n’est pas qu’un contenu à déverser, il modifie l’âme → processus Contrairement à l’animal entièrement déterminé au niveau individu que espèce Il ne s’agit pas de dire le temps n’a pas d’effte, mais qu’il ne modifie pas ce qu’il peut

être → déterminée , a priori Fixité de l’animal comportement , animal réagit l l’Homme choisit ! Naturalité de l’animal exclue tt liberté tt créativité et possibilité de s’améliorer Cela s’oppose à la dimension culturelle de l’existence , ce qui fait l’Homme c’est

moins la nature que la culture. Que historicité / éducation Temps modifie mon être pas reproduction identique ‼ ‼ ‼

Définition : s’adapter développer créer faculté de dev d’autres à l ‘est de nature virtuelle Exemple : raison ; maitrise de soi ; moralité, langage, socialité , la technique -> condition du

développement culturel de l’existence. Son dev n’est pas déterminé à l’avance ( comme le corps ) il est au contraire contingent ( ce

qui aurait pu ne pas être et ce qui aurait pu être autre ) La diversité culturelle en fonction des milieux et ce qui pose la question de la responsabilité

de l’Homme par rapport avec son devenir Responsable de laisser perdurer une situation.

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=> Bilan la nature humaine se définit par son incapacité à être enfermée dans des limites ( naturelles, culturelles ) en rasions de son indétermination foncière

Cela valant également au niveau de l’individu , il semble que chacun pourrait s’échapper de sa culture et peut être la modifier en retour

Nature humaine -> donnée naturelle de fait -> essence , ce qui pourrait être, voire devrait être tout Homme Le néant de nature = indétermination -> liberté -> faculté de recevoir n’importe quelle

seconde nature

Condition humaine de Sartre On entend par là qu’on ne peut pas définir l’Homme de tout éternité a priori mais que ce

qu’il est son identité ce définit par son rapport à l’extériorité ( pas humain ) -> rapport dialectique

Sartre critique l’idée selon laquelle on pourrait définir la nature humaine -> sens de s’enfermer dans des limites, l’Homme est celui qui cherche à s’échapper de ces limites

L’existence précède l’essence Cela renvoi à ce statu à part de l’Homme qui est d’échapper à la naturalité -> transformer sa

nature et son monde ( cf. H nature / H H )

II. Rousseau est moins optimiste quand il aborde la contrepartie de la perfectibilité

Précarité des acquis, sans la mémoire des acquisitions l’Homme retombe dans un état inférieur à l’animal n’yang ni mémoire ni instinct pour se guider

Cela devrait valoir tant individu que culturellement , un peuple sans mémoire est sans histoire -> incapable de mettre le présent en perspective avec d’autre évènement , il ne serait pas vraiment libre

Pérennité d’une culture d’une civilisation ; ce rejoue à chaque génération, dans la transmission des savoirs et techniques