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Responsable Sylvie Capitant Sociologue Maître de conférences IEDES - Paris 1 Panthéon-Sorbonne Site IEDES Institut d’étude du développement économique et social Campus du Jardin d’agronomie tropicale de Paris 45 bis, avenue de la Belle Gabrielle 94736 Nogent-sur-Marne Cedex France [email protected] http://www.univ-paris1.fr/ufr/iedes Laboratoire UMR Développement & Sociétés d’accueil Université Paris 1 – IRD http://umr-developpement-societes.univ-paris1.fr/ 2017 2018 MASTER 1 & 2 Développement local : acteurs, mobilisations et territoires Mention Études du développement – SHS

acteurs, mobilisations et territoires · * Possibilité de mobilité internationale en S3 ... (problèmes fonciers, urbanisation et ... Services sociaux à l'échelle locale 18 2

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Responsable Sylvie CapitantSociologueMaître de conférencesIEDES - Paris 1 Panthéon-Sorbonne

Site IEDESInstitut d’étude du développement économique et socialCampus du Jardin d’agronomie tropicale de Paris 45 bis, avenue de la Belle Gabrielle 94736 Nogent-sur-Marne Cedex France [email protected]://www.univ-paris1.fr/ufr/iedes

Laboratoire UMR Développement & Sociétés d’accueil Université Paris 1 – IRD

http://umr-developpement-societes.univ-paris1.fr/

20172018

MaStEr 1 & 2

Développement local : acteurs, mobilisations et territoires

Mention Études du développement – SHS

MASTER 1 & 2 Mention Études du Développement – SHS Parcours Développement local : acteurs, mobilisations et territoires Le Master mention Etudes du développement de l’IEDES est une formation unique en France offrant sur

deux ans la possibilité de se former spécifiquement sur les métiers de la solidarité internationale d’une matière pluridisciplinaire, critique et appliquée. L’Institut d’étude du développement économique et social (IEDES), créé en 1957 et rattaché à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne Paris I, a été le premier centre de formation francophone européen spécifiquement dédié aux questions de développement. Créé dans le contexte des indépendances africaines et dans une réflexion engagée des universitaires sur les relations contemporaines avec les Pays du Sud, il est aujourd’hui l’institut français le plus important dans les études du développement et est un lieu original de débats sur les politiques et les réalités du développement.

La formation s’adresse aussi bien aux futurs professionnels (coopération décentralisée, ONG, coopérations publiques nationales et internationales, fondations, consultant) et aux futurs chercheurs amenés à exercer en France ou à l'étranger. Le mémoire du Master 2 (M2) est adapté en fonction. Il est recommandé de suivre le master depuis le Master 1 (M1), mais une entrée en M2 est possible, sous condition d’avoir validé un M1. Le M2 est accessible à la formation continue. ◗Le parcours "Développement local : acteurs, mobilisations et territoires" Le parcours met l’accent sur les potentialités des acteurs à se mobiliser sur un territoire autour d’un projet de développement partagé. Le Master défend une certaine approche du développement valorisant les initiatives endogènes et participatives et prenant en compte les conflictualités inhérentes à tout processus de changement. Sa particularité par rapport à d’autres masters de développement local est de travailler dans des contextes essentiellement extra-européens, même si les passerelles sont nombreuses. Le développement local renvoie à une vision transversale du changement social. Différemment valorisé à travers les époques, il connaît depuis une dizaine d’années un renforcement significatif. Il se décline sous des acceptions multiples (développement territorial, durable, intégré, participatif, bottom-up) et s’actualise dans des domaines d’activités très contemporains et porteurs : l’économie sociale et solidaire, la micro finance, la RSE, la durabilité environnementale, l’économie circulaire… Loin d’être seulement une simple échelle d’intervention, le local est un point situé d’observation du monde global en mutation ainsi qu’une modalité d’action par laquelle les acteurs renforcent leurs capacités à changer leur destin. Approche prisée tant par les organismes internationaux, les coopérations internationales que par les associations/ONG, le développement local vise à établir un compromis social entre acteurs, territoires et ressources. Il cherche à valoriser les ressources locales (qu’elle soient économiques, humaines, sociales et historiques), à

Spécificités de cette formation : * Formation en Développement local tournée vers les Pays du Sud

* Parcours pluridisciplinaire en 2 ans et approche critique * Adossée à un Institut reconnu depuis 60 ans

* Stage de trois mois minimum obligatoire en M2 * Mémoire orienté recherche ou pro en fonction du parcours de

l’étudiant-e *Acquisition d’outils pratiques en M2 et Réalisation d’un Module

tuteuré * Possibilité de mobilité internationale en S3

* Une vie étudiante très dynamique sur le campus

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renforcer la capacité des acteurs à se penser comme les moteurs du développement de leur territoire et non plus comme de simples bénéficiaires et implique résolument une dynamique participative et de long terme. Dans le contexte des pays dits du Sud, ce développement local se fait dans un contexte marqué par :

- de fortes aspirations démocratiques et l’intensification des formes de mobilisations collectives ;

- le fort poids de la jeunesse, notamment en Afrique et en Asie ; - l’injonction à la « participation » des populations et de la société

civile ; - l’approfondissement des processus de décentralisation ; - une urbanisation soutenue et une lutte pour une égalité d’accès à la

ville et aux services urbains ; - une marchandisation des services collectifs ; - des fortes tensions foncières, aussi bien urbaines que rurales ; - la montée des problèmes socio-environnementaux ; - la montée des opérateurs privés multinationaux (minier et

agroalimentaire notamment). ◗ Les objectifs de la formation

* Former des futurs professionnels du changement social compétents et innovants dans les domaines spécifiques du

développement local : animateur de territoire, ESS, transition écologique, démarche participative… * Cerner le contexte historique, culturel et politique du secteur du développement et de l’aide internationale ; * Considérer la pluralité des logiques et des acteurs engagés dans les projets locaux de développement (Etat ; collectivités territoriales; opérateurs privés; acteurs de la coopération décentralisée ; médias ; associations, mouvements sociaux.) * Avoir une approche critique du développement $ Maîtriser des outils d’intervention du développement local (diagnostic territorial, dispositifs participatifs, microfinance, SIG … ) *Acquérir les outils professionnels de gestion de projets (cycle du projet, suivi financier, évaluation).

◗Les outils

* Séminaires d’ouverture dispensés doublement par des enseignants-chercheurs et des professionnels/intervenants du milieu ; *Maîtrise des outils techniques de gestion de projet ; * Un module tuteuré réalisé en en collaboration avec les partenaires associatifs et institutionnels de la formation. Les étudiants de M2 réalisent une mission réelle de jeunes experts pour leurs clients/partenaires : Conseil départemental, Région Ile France, Plateforme du commerce équitable, Secours Cath, Résolis…

*l’engagement associatif au sein notamment de l’AED (Association Etudes et Développement), association des étudiants de l’IEDES, membre du Réseau Etudiants et Développement et autour de nombreux projet (Guinée, Inde, Sénégal…).

Débouchés : Quelques postes occupés par des ancien-ne-s

de la formation

- Chargé de mission au sein du FMDV (Fonds mondial pour le développement des villes) -Chargé de mission, Fédération nationale d’Agriculture biologique ; -Expert Gouvernance locale, GIZ ; -Chef de projet ESS, Agence pour la promotion et le développement des provinces du Maroc - Chargé de projet, SIDI. - Chef de projet de développement urbain, Afrique de l’Ouest, AFD. -Chercheur junior, UN Habitat

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◗ Déroulé de la formation D’une durée de 2 ans, le parcours Développement local du Master en sciences humaines et sociales de l’IEDES, comporte un total de 758 h de cours magistraux (M1 + M2) ainsi qu’un stage professionnel obligatoire de 3 à 6 mois à réaliser en M2 entre le 1er février et le 30 novembre). Le Master est crédité de 60 crédits ects. Le parcours s’articule autour de 4 semestres. Le semestre 1 (M1S1) se compose de 216 h de cours magistraux, de 48 heures de TD dont 18h de langues. Le M1 S1 est commun à toutes les parcours SHS du master. C’est une des particularités fortes de notre formation. Il vise à l’acquisition des fondamentaux des différentes disciplines des sciences économiques et sociales nécessaires à l’étude et à l’action dans le domaine du développement et favorise également la consolidation d’une culture générale scientifique en sciences sociales Voir la fiche : http://www.univ-paris1.fr/fileadmin/IEDES/brochures_diplomes/2014-15_Maquette_M1S1.pdf

MAQUETTE 2016-2017 Master 1 Semestre 1 (Tronc commun) Intitulé des UE et des enseignements

CM TD Crédits Modalités de CC Semestre 1 UE n°1 : Mise en perspective du développement 10 Histoire du développement 20 2 Epreuve écrite Economie du développement 24 2,5 Epreuve écrite Mesure du développement 22 2,5 Epreuve écrite Analyse quantitative du développement 12 1 Epreuve écrite TD de l'UE 1 14 2 Contrôle continu UE n°2 : Analyse socio-économique du développement 10 NB : 10 crédits à obtenir dans la liste ; certains cours peuvent être obligatoires Sociologie du développement (SHS) 24 2,5 Epreuve écrite Sociologie politique (SHS) 24 2,5 Epreuve écrite Anthropologie du développement (SHS) 18 2,5 Epreuve écrite TD de l'UE 2 (SHS) 16 2,5 Contrôle continu UE n°3 : Espaces et Populations 10 Géographie du développement 18 2 Epreuve écrite Environnement et développement 18 2 Epreuve écrite Démographie 18 2 Epreuve écrite Géopolitique du développement 18 2 Epreuve écrite TD de langues et validation de la maîtrise LV 18 2 Contrôle continu Volume semestriel des enseignements 216 48 30

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M1 Semestre 2 (M1S2) : 30 crédits De février à juin. Semestre spécialisé « développement local » Le Semestre 2 (M1 S2) introduit la parcours spécifique développement local. Il se compose de 267 heures de cours. Autour d’un séminaire central portant sur le développement local, il introduit en petits groupes les étudiants à des thématiques sources de conflictualités locales (problèmes fonciers, urbanisation et inégalités dans les villes, pauvreté) ainsi qu’aux différents acteurs protagonistes (pouvoirs publics, collectivités locales, acteurs privés, sociétés civiles, médias). Master 1 Semestre 2 Parcours « Développement local » Semestre 2 Intitulé des UE et enseignements CM

(heures) ects

UE n°1 Aide au développement : politiques et acteurs (Tronc commun aux parcourss)

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Acteurs et institutions de l'aide 20 3 Conférences : pratiques sociales et professionnelles du développement 20 2 Politiques et programmes d'aide 20 3 UE n°2 Conflictualités locales 12 Développement local / Séminaire central - S. Capitant 21 2 Pauvreté, inégalités : définition, interventions 24 2 Urbanisation durable et villes du Sud 24 3 Tensions foncières 24 3 Villes, pratiques habitantes et informalité 18 2 UE n°3 Acteurs du développement local 10 Décentralisation et coopération décentralisée 21 2 Médias, développement et communication 18 2 Acteurs économiques : le cas des industries extractives 18 2 Acteurs pluriels de la société civile 21 2 Option libre : Initiation à la recherche ou un autre cours de l’offre de formation 18 2 Volume semestriel des enseignements du M1S2 267 30

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Master 2 Semestre 3 (M2S3) : 30 crédits De septembre à février. Semestre Parcours « Développement local » Le Semestre 3 (M2S3) aide les étudiants à acquérir des outils et à se former à des modalités d’interventions. Il implique 264h de cours. Des modalités d’intervention telles que la participation, la micro finance, l’économie sociale et solidaire, le diagnostic territorial sont abordées. L’UE 3 donne une formation complète en techniques de gestion de projet (gestion, suivi financier, évaluation, méthode d’enquêtes) alors que l’UE 2 poursuit son étude des thématiques majeures d’intervention (accès aux services, tensions rurales et agricoles, politiques sociales). Master 2 Semestre 3 Parcours « Développement local » Semestre 3 Intitulé des UE et enseignements CM

(heures) ects

UE n°1 Modalités d’intervention 10 Microfinance 24 2 Participation et mobilisation 24 2 Economie sociale et solidaire 21 2 Module tuteuré 18 4 UE n°2 Inégalités et territoires 10 Accessibilité aux services urbains 24 3 Durabilités environnementales 24 3 Services sociaux à l'échelle locale 18 2 SIG B. Toulouse 18 2 Aménagement et espaces urbains ou Aménagements des espaces urbains ou Option libre

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UE n°3 Outils professionnels 10 Diagnostic territorial 18 2 Système d’information géographique 18 2 Projet de développement : cycle de projet 21 2 Projet de développement : suivi financier 18 2 Evaluation de projet 18 2 Volume semestriel des enseignements du M1S2 264 30 M2 Semestre 2 (M2S4) : 30 crédits A partir de février Le semestre 4 est consacré au stage professionnel de trois mois minimum qui donne lieu à la rédaction d’un rapport de stage à rendre pour le mois de septembre. Master 2 Semestre 4 Parcours « Développement local » Semestre 4 ects UE n°1 Stage obligatoire de 3 à 6 mois, à commencer avant

juillet Rapport de stage pour 15 septembre. Evaluation note éliminatoire 8/20

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Pour plus de détails sur les cours, voir les Syllabus de cours de l’année 2017/2018 sur le site internet@ du diplôme.

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◗ Laboratoire d’accueil et pôle jeunes chercheurs Les enseignements de la parcours bénéficient d’un potentiel de recherche important en s’adossant aux activités scientifiques de l’UMR 201 « Développement et sociétés » (Université de Paris 1 et IRD). La recherche est structurée autour de 2 axes pluridisciplinaire et un pôle transversal : •Ressources, conflictualités, actions publiques et collectives. • Genre, inégalités et développement ° La fabrique du développement. Les étudiants sont invités à participer aux réunions thématiques par axes ainsi qu’au séminaire central de l’UMR « Développement et sociétés ». L’IEDES propose aussi un Master 2 « Sociétés en développement » qui prépare aux métiers de la recherche. Les étudiants de M1 qui souhaiteraient poursuivre leur parcours en recherche peuvent y poser leur candidature. L’IEDES accueille aussi 30 doctorants en sciences sociales et en économie qui organisent régulièrement des évènements scientifiques ◗ Équipe pédagogique Les séminaires sont doublement assurés par des enseignants/chercheurs menant des recherches sur les sujets d’intervention du sujet que par des professionnels du secteur. Ils interviennent souvent à double voix dans un même séminaire afin de transmettre aux étudiants des jalons théoriques ancrés dans une réalité professionnelle. A/ Equipe d’enseignement de l’IEDES/UMR 201 Tania ANGELOFF, sociologue, Professeure, IEDES/Paris 1 Rosé CUSSO, sociologue, Professeurs, IEDES/Paris 1 Sylvie CAPITANT, sociologue, Maître de conférences, IEDES/Paris 1 Alain DESDOIGTS, économiste, Professeur, Université Paris I IEDES-UMR 201 Gaëlle Gillot, géographe, Maître de conférences, IEDES/Paris 1 Charlotte GUENARD, économiste, Maître de conférences, IEDES/Paris 1 André GUICHAOUA, sociologue, professeur IEDES/Paris 1 Pierre JANIN, géographe, Chargé de recherche HDR IRD, UMR 201 «Développement et Sociétés» Anne LE NAËLOU, sociologue, maître de conférences, IEDES/Paris 1 Karine MARAZYAN, économiste, Maître de conférences, IEDES/Paris 1 Ariel PLANEIX, anthropologue, Chercheur associé UMR 201. Justine ROCHOT, sociologue, CECMC-UMR 201, Université Paris Descartes/ Paris 1. B/ Enseignants et chercheurs extérieurs Delphine ACLOQUE, géographe, Paris Ouest Nanterre. Catherine BARON, aménagement de l’espace et urbaniste, Professeur, IEP Toulouse. Nicolas BAUTES, Maître de conférences en géographie, Université de Caen - Laboratoire ESO. Sarah BEN NEFISSA, sociologue politique, Chargée de recherche-HDR, IRD. Pascal DAUVIN, Maître de Conférences en Science Politique à la Faculté de droit et de science politique de l'université de Versailles-Saint-Quentin Danièle DEMOUSTIER, économiste, Professeur, IEP Grenoble. Bénédicte FONTENEAU, sociologue du travail, Professuer, Université de Leuven et experte à l’OIT Michel GRIFFON, Ingénieur agronome, économiste, directeur général adjoint de l’Agence nationale de la recherche (ANR) Tourya GUAAYBESS, sciences de l’information et de la communication, Maître de conférences, Université de Nancy. Géraud MAGRIN, Professeur de géographie, Université Paris 1. Aurélie QUENTIN, Maitre de conférences Etudes urbaines -Directrice du laboratoire Mosaïques, Université Paris 10. Marie VANNETZEL, politologue, Chargée de recherche- CNRS. Osia VASCONCELOS, sociologue, Université fédérale du Reconcavo de Bahia et CNAM Paris.

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C/ Professionnels du développement Xavier CREPIN, chargé de mission ONG-société civile, Ministère des Affaires étrangères et européennes, Directeur de l’ONG Villes en développement. Myriam CONZETT, ACI- Atelier Compétences Internationales, Entrepreneuriat, Filières bio équitables. Frédéric BUNGE, Chargé de programme, IRAM. François DOLIGEZ, Responsable du pôle « Acteurs, Politiques, publiques et Evaluation », IRAM. Emmanuelle HUCHON, Chef de mission solidarité internationale, Croix rouge, Solidarités international. Yannick LECHEVALLIER, Directeur de l’agence COOP DEC Conseil. Florence LEMOINE, Responsable adj. du pôle Méditerranée-Asie, Agence Française de coopération Médias Michel MERLET, directeur des programmes, ONG AGTER Frédéric NAULET, chargé de programme, GRET. Laurent PANDOLFI, Chargé de mission Asie-Océan Indien, Unité affaires internationales et européennes, Région Île-de-France. Martin PERICARD, Chef de projet, Education, formation, sociétés civiles, jeunesse, AFD. Benoît TOULOUSE, géographe, UMR PRODIG Santiago NÚÑEZ REGUEIRO, Chargé des Programmes et Référent Qualité, Care France. Equipe d’AGTER, ONG d’action sur les accaparements fonciers. Equipe du SIDI, Solidarité internationale pour le développement et l’investissement. ◗ Mobilité internationale L’IEDES offre à ses étudiants entrés directement en M1 la possibilité réaliser un semestre de mobilité au cours de leur M2. L’IEDES a un accord spécifique avec l’EDIM de l’Université d’Ottawa, le CECID de l’ULB. D’autres destinations sont possibles via le réseau de Paris 1 (Europe, Amérique du Nord et du Sud, Asie). ◗ Candidatures La parcours est ouverte aux titulaires d’une formation en sciences sociales (sociologie, géographie, histoire, sciences-politiques, droit, économie, AES…) qui manifestent un intérêt particulier pour les questions liées au développement international et les pays du Sud (choix des matières, engagement militant ou associatif, séjours significatifs dans un pays du sud, expériences associatives).

Trois profils sont visés : étudiants issus d’un cursus classique en sciences sociales déjà orientés vers l’étude des PED ; étudiant issus d’autres disciplines (histoire, philosophie, ingénieurs ou architectes) et présentent un dossier prouvant leur intérêt pour la question du développement ; professionnels qui souhaitent acquérir ou réactiver des outils analytiques, conceptuels et méthodologiques qui leur permettront de progresser dans leur métier. Pour candidater en M1, il est demandé un diplôme de niveau L3 ou équivalent. Une entrée directe en M1S2 est possible pour les étudiants déjà inscrits dans une formation de M1 à l’Université de Paris I (jury début février). Pour candidater en M2, il est demandé un diplôme de nouveau M1 ou équivalent, ou d’une expérience professionnelle significative. Les places en M2 sont limitées car les le M2 accueille des étudiants issus de M1 de l’IEDES. Une dizaine de candidats « extérieurs » sont néanmoins acceptés chaque année directement enM2. ◗ Débouchés La parcours professionnelle « Développement local » est une parcours à finalité professionnelle. Cette formation vise la formation d'experts et de cadres appelés à travailler, en France ou à l’étranger, dans des institutions internationales, nationales, des collectivités territoriales, des fondations, des associations, des organisations non gouvernementales ou des bureaux d’étude. Elle forme à des emplois de professionnels de terrain, chargé(e)s d’études ou de projets, cadres généralistes, consultants offrant des compétences spécifiques dans des domaines divers mais tous liés au développement local : décentralisation et coopération décentralisée, urbanisation, DEL et diagnostic territorial, approches socio-anthropologique et socio-urbaniste, développement participatif, mobilisation des acteurs d’un territoire, gestion de projet etc.

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◗ Taxe d’apprentissage La Taxe d’Apprentissage : une ressource essentielle pour la qualité de nos enseignements. Pour procéder à un versement, adressez-vous à l’Organisme Collecteur de la Taxe d’Apprentissage (OCTA) de votre choix ; il vous fournira un bordereau de versement et la liste des diplômes bénéficiaires de l’Université Paris 1. ◗Localisation et accueil Étudier à l’IEDES c’est : • être accueilli au sein d’un pôle scientifique dynamique regroupant des organismes de recherche (CIRAD, CIRED, UMR 201) et des structures professionnelles reconnues (GRET, AVSF, CEDIMES, AGTER) sur les questions de développement durable dans diverses régions du monde ; • bénéficier d’espaces de travail équipés (salle informatique, salle de convivialité, bibliothèques) ; • intégrer une association étudiante (AED) active assurant une ambiance conviviale pour des étudiants venant de divers horizons ; • travailler dans un environnement agréable : le campus du Jardin Tropical de Paris situé à 20 mn de Châtelet-Les Halles. Pour s’y rendre : RER A Station Nogent sur Marne - ou bus 114 ou 210 à partir de Château de Vincennes , ou Vélib. Plan d’accès au campus : Plan d’accès au campus

◗ Contacts Service de la scolarité : [email protected]. 45 bis av. de la Belle Gabrielle - 94736 NOGENT SUR MARNE. tél. : +33 (0)1 43 94 72 15 - fax : +33 (0) 1 43 95 http://www.univ-paris1.fr/ufr/iedes/ ° Pour toutes questions pédagogiques (merci néanmoins de bien lire la brochure et le site internet avant) : Sylvie Capitant, Responsable pédagogique [email protected]

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