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autres tumeurs avaient un aspect inhabituel: 2 carcinomes liés à latranslocation t (Xpll,2) (l'un de stroma calcique, l'autre kystiquevésiculaire), 2 sarcomes de taille volumineuse (1 synovialosarcomerompu, 1 tumeur périphérique neuro-ectodermique, métastatique), 1néphroblastome, porteur d'une pseudo cicatrice centrale.Conclusion: Devant une tumeur solide non graisseuse ou kystiqueBosniak IV, le carcinome rénal reste l'étiologie la plus fréquente,même chez l'adulte jeune. La proportion de carcinomes tubulo-papillaires est élevée dans notre série. Les carcinomes avec translocationet les sarcomes restent l'apanage de l'adulte jeune. L'aspect non typique d'une tumeur solide doit inciter à réaliser une biopsie, notammentpour le néphroblastome, indication de chimiothérapie pré-opératoire.
Mots clés: Rein, tumeur
AGU-WS-6
IMAGERIE DES CARCINOMES PAPILLAIRES DU REINC Couvidat, D Eiss, SMerran, EDekeyser, V Verkarre,A Khairoune, JM Corréas, 0 HélénonParis - France
Objectifs: Décrire les aspects radiologiques des carcinomes papillaires rénaux, du plus typique aux présentations plus trompeuses.Matériels et méthodes: Etude rétrospective multicentrique sur5 ans de 103 carcinomes papillaires explorés par TDM avec 3 ou 4phases d'acquisition (81 cas) et/ou IRM (62 cas).Résultats: En TDM, 85 % des tumeurs de notre série présentaientl'aspect typique de petite lésion homogène hypovasculaire, avec dans87 % de ces cas un rehaussement inférieur à 40 UR. En IRM, l'aspectclassique en hyposignal T2 était présent dans 93 % des cas. Parmi lesformes atypiques, on dénombre 7 % de tumeurs massivement nécrosées (pseudo-kystiques ou non), 5 % de lésions à croissance kystiqueet 3 % de lésions infiltrantes. En TDM, à la différence de plusieurspublications de la littérature, nous retrouvons seulement 7 % detumeurs calcifiées. La présence d'un contingent graisseux macroscopique, d'un thrombus veineux ou d'adénomégalies rétropéritonéalesest exceptionnelle (1 % des cas).Conclusion: Le carcinome papillaire apparaît sous sa forme classique (hypovasculaire en TDM et en hyposignal T2 en IRM) dans 85 %des cas. Dans 15 % des cas, la lésion prend un aspect atypique (nécrotique, à croissance kystique ou infiltrant), ne permettant pas d'orientervers ce diagnostic histologique.
Mots clés: Rein, tumeur
AGU-WP-7
CD D'AUTOAPPRENTISSAGE SUR LES TUMEURS RENALESSOLIDES ET MALIGNES: CONFRONTATIONSANATOMO-RADIOLOGIQUESX Julien (1), ETapon (2), J Thiébot (3), FGobet (3),C Pfister (3)(1) Paris - France, (2) Le Havre - France, (3) Rouen - France
Objectifs: Connaître et comprendre l'expression radiologique desprincipales tumeurs solides et malignes du rein de l'adulte.Savoir éviter les pièges diagnostiques responsables d'une prise encharge thérapeutique radicalement différente.Points clés: Prouver que le processus de tumorigenèse, au planmicroscopique, est en lien étroit avec son expression macroscopiqueet iconographique. La bonne compréhension de celui-ci permet demieux caractériser une tumeur en imagerie et de guider les urologuespour une prise en charge thérapeutique plus appropriée.
Mots clés: Rein, tumeur
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AGU-WP-8
ECHOGRAPHIE DE CONTRASTE ET TUMEURS RENALESTRAITEES PAR RADIOFREQUENCEC Hoeffel (1), A Khairoune (2), A Méjean (2),o Hélénon (2), JM Corréas (2)(1) Reims - France, (2) Paris - France
Objectifs: Connaître les critères de succès en échographie de contraste (EDC) des tumeurs rénales traitées par radiofréquence (ARF).Connaître les performances de l'EDC par rapport à l'échographieDoppler et au couple TDMIIRM pour l'évaluation de l'efficacité thérapeutique des tumeurs rénales traitées par ARF, de façon immédiatepuis à moyen et long terme.Connaître les limites et avantages de cette technique.Points clés: L'EDC est beaucoup plus performante que l'écho-Doppler pour le suivi des tumeurs rénales traitées par ARP.L'EDC peut être proposée comme une méthode complémentairesinon alternative du couple TDM/IRM pour le suivi de ces tumeurs.L'EDC peut être réalisée en cas d'insuffisance rénale post ARP.
Mots clés: Rein, tumeur - Echographie, tumeur
AGU-WP-9
ASPECTS TDM ET IRM DES TUMEURS RENALES TRAITEESPAR RADIOFREQUENCEC Hoeffel (1), EDekeyser (2), P Debrito (2), SMerran (2),A Méjean (2), 0 Hélénon (2), JM Corréas (2)(1) Reims - France, (2) Paris - France
Objectifs: Connaître les aspects des tumeurs rénales traitées avecsuccès par radiofréquence (ARF) en TDM et en IRM.Connaître les aspects TDM et IRM permettant de diagnostiquer lapersistance d'un tissu tumoral résiduel.Savoir identifier les différentes complications de la procédure enTDM et IRM.Points clés: Le suivi TDM et/ou IRM des tumeurs rénales traitéespar ARF est crucial pour évaluer l'efficacité du traitement et guiderla prise en charge ultérieure.L'analyse de la cinétique de rehaussement du territoire traité par rapport au rein adjacent est indispensable pour évaluer l'efficacité thérapeutique.L'aspect du territoire traité doit être comparé à celui de la tumeuravant traitement.
Mots clés: Rein, tumeur - Radiofréquence
AGU-WP-10
ETUDE DE LA VOIE EXCRETRICE PAR L'UROSCANNERSUR MESUREM Azahaf. PVerpillat, P Puech, D Argatu, C Giurca,JC FantonL J Biserte, L LemaitreLille - France
Objectifs: Comment faire un uroscanner.Adapter le protocole en fonction des indications.Connaître les protocoles de réduction de dose.Transposer la séméiologie UIV en séméiologie scanographique.Points clés: L'injection préalable du furosémide (Lasilix®) améliorel'analyse de la voie excrétrice (détection des tumeurs urothéliales, calculs).La réduction de dose passe d'abord par la limitation du nombre despirales.Le protocole d'uroscanner est fait « sur mesure », adapté à chaqueindication.L'uroscanner remplace l'UIV excepté pour l'analyse dynamique(reflux, péristaltisme, jonction positionnelle).
Mots clés: Voies urinaires, technique d'exploration - Scanographie