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Sécurité informatique Attention aux attaques! Vol à voile La passion de Lionel Chapuis Connect en fête Dix ans d’activités florissantes La cogénération Une technique pour produire de la chaleur et de l’électricité au contact Juin 2013 N o 48 Le journal d’entreprise

Au Contact juin 2013

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SécuritéinformatiqueAttention aux attaques!

Vol à voileLa passion de Lionel Chapuis

Connect en fêteDix ans d’activitésflorissantes

La cogéné rationUne technique pourproduire de la chaleuret de l’électricité

au contactJuin 2013 No 48 Le journa l d ’ent repr ise

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l’actualité2

sommaireE d i t i o n j u i n 2 0 1 3 n o 4 8

en couverture

La GED sous la loupeExplications de Christian Tinguely, directeur12

Pour l’étéMusées, balade ou visites de centrales22

nos loisirsImpressum

Coordinatrice de la rédactionClaudine Jungo 026 352 5410e-mail: [email protected]

Comité de rédaction / RedaktionskomiteeJean-Pierre Chapuis, Sandra Curty, Christophe Dumont, Claudine Jungo, Christophe Kaempf, Iris Mende, Joëlle Pingeon, Nathalie Salamin, Bernard Singy, Joël Willemin

Traductions / ÜbersetzungenMonika Meatchi

Impression / DruckImprimerie St-Canisius, Fribourg

Tirage / Auflage2500 exemplaires

Groupe E SARoute de Morat 1351763 Granges-Paccot

Prochaine édition: fin septembre 2013Nächste Ausgabe: Ende September 2013Délai de remise des textes: 26 août 2013Abgabedatum für die Texte: 26. August 2013

Imprimé sur papier FSC

Lionel Chapuis, responsable exploitationhydraulique, pratique sa passion le vol à voile, à l’Aérodrome de la Gruyère.Lionel Chapuis, Leiter Wasserkraftwerkeund leidenschaftlicher Hobbypilot, startet seine Flüge auf dem Aerodrome von Greyerz.PHOTO: PIERRE-YVES MASSOT

Résultats 2012Les comptes subissent la situation de nos partenaires

10 Pourquoi externaliser des activitésInterview de Willy Zeller,directeur Finances

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Innover sans se disperserLes résultats de l’exercice 2012 de Groupe E sont réjouis-sants: hors effets exceptionnels liés à nos participations,notre résultat net augmente de 33% par rapport à 2011.Cette performance opérationnelle est le fruit du travail etde l’engagement quotidien de chacune et de chacund’entre nous, et nous pouvons en être fiers. Toutefois, les parts que nous détenons dans Alpiq, BKWet la centrale à gaz de Timelkam, en Autriche, viennentternir le tableau (lire en page 2).Ces sociétés subissent de plein fouet les conséquencesdes prix bas sur le marché européen. Cette situation est laconséquence du subventionnement massif des nou-velles énergies renouvelables, notamment en Alle-magne, et de la crise économique européenne qui se tra-duit par une offre en électricité supérieure à la demande.Pour les sociétés suisses s’ajoute encore le handicap d’uneuro bas par rapport au franc suisse. Ces bouleverse-ments nous frappent moins que les sociétés actives de fa-çon prépondérante dans la production d’électricité. Ilsnous rappellent toutefois que nous ne pouvons pas nousreposer sur nos acquis. Nous nous devons de continuer d’innover sans nous dis-perser. Il nous faut poursuivre le développement de nou-velles activités complémentaires à notre cœur de métier,la production, la distribution et la commercialisationd’électricité ainsi que les services liés à l’énergie. En ex-ploitant les opportunités liées à un contexte de l’énergieen pleine mutation et en visant la satisfaction perma-nente de nos clients, je suis convaincu que Groupe E pour-ra encore pendant longtemps se démarquer de sesconcurrents et assurer son succès.

Dominique Gachoud, directeur général

EditoPH

OTO: PIERR

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Innovativ sein ohne sich zu verzettelnDie Resultate von Groupe E für das Geschäftsjahr 2012sind erfreulich. Wenn man vom Einfluss der Beteiligun-gen absieht, ist das Nettoresultat gegenüber 2011 um 33%gestiegen. Diese operationelle Leistung ist das Resultatunserer täglichen Arbeit und wir können stolz daraufsein.Trotzdem, unsere Beteiligungen an Alpiq, BKW und amGaskraftwerk von Timelkam in Österreich trüben dasBild (siehe Seite 2).Diese Unternehmen leiden unter den tiefen Stromprei-sen auf dem europäischen Markt. Diese sind auf die - na-mentlich in Deutschland - massive Subventionierungder neuen erneuerbaren Energien sowie auf die eu-ropäische Wirtschaftskrise - welche ein Überangebot anElektrizität mit sich bringt - zurückzuführen. Für Schwei-zer Unternehmen kommt zusätzlich das Handicap destiefen Eurowechselkurses dazu. Diese Umwälzungentreffen uns weniger als die vorwiegend in der Elektri-zitätsproduktion tätigen Unternehmen. Sie erinnern unsdaran, dass wir wachsam sein müssen und uns nicht aufunseren Lorbeeren ausruhen dürfen.Wir müssen also weiterhin innovativ sein, ohne uns aberzu verzetteln. Wir müssen neben unserem Kerngeschäft- der Produktion und Kommerzialisierung von Energiesowie die Dienstleistungen im Energiebereich - die Ent-wicklung zusätzlicher neuer Aktivitäten antreiben.Wenn wir die Möglichkeiten, die uns ein Energiemarktim vollen Wandel zu bieten hat, zu nutzen wissen undstets die Zufriedenheit unserer Kunden anstreben, wirdsich Groupe E noch lange von der Konkurrenz abhe-ben und ihren Erfolg sicherstellen können.

Dominique Gachoud, Generaldirektor 1 le c

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Les résultats 2012 de Groupe E sont soitfranchement positifs, soit foncièrementnégatifs, selon que l’on comptabilise les participations dans BKW, Alpiq et dans la centrale de Timelkam ou non. Explications.

Dominique Gachoud, directeur général et Willy Zeller, directeur Finances, ont présenté les résultats 2012 deGroupe E aux médias le 24 mai dernier à Sugiez. L’exerci-ce relevait presque du grand écart: hors participation, lerésultat d’exploitation (EBIT) augmente de 22%, à 113 mil-lions de francs et le résultat net de 33%, à 104 millions defrancs. En incluant celles-ci, le bilan de l’an dernier s’avè-re toutefois négatif: 63 millions contre 77 millions defrancs en 2011 pour le résultat d’exploitation (EBIT) et 183 millions de francs pour les résultats net consolidé (36 millions de francs en 2011).

Résultats 2012oscillant entre rouge et noir

La situation est-elle grave?Malgré les chiffres globaux dans le rouge, Willy Zellerinsiste sur la bonne santé financière de Groupe E. «L’en-treprise a été entièrement désendettée fin 2012 et lecash-flow (qui permet de financer les investissements)est en hausse, passant de 151 à 171 millions de francsentre 2011 et 2012. Et d’expliquer que «la perte purementcomptable constatée pour l’exercice 2012 est due princi-palement à la dévalorisation des actifs d’Alpiq ». Engros, comme les ouvrages de cette société produisent del’électricité qui est vendue moins cher qu’auparavantsur le marché, leur valeur a été revue à la baisse. On ap-pelle ça un impairment. «La dévalorisation des actifsd’Alpiq doit toutefois être mise en rapport avec le gainde 475 millions de francs que Groupe E a fait en 2009,lors de la création de la société». En ce qui concerneBKW, l’impact sur les comptes de Groupe E est lié à lachute du cours de l’action de la société bernoise. Pour Ti-melkam, enfin, le prix élevé du gaz et les bas prix del’électricité sur le marché européen expliquent le résul-tat en retrait.

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Revendre les participations?Malgré leur impact sur les résultats de Groupe E, il n’estpas question de se défaire des actions dans l’une oul’autre de ces sociétés. «Une éventuelle revente des partsde Groupe E dans des sociétés tierces n’est, pour l’heure,pas à l’ordre du jour, car celles-ci permettent de dévelop-per des synergies et des collaborations stratégiques», ex-plique Dominique Gachoud. La participation dans BKWa, par exemple, permis de créer un service commun à la clientèle, cc energie et de mettre sur pied une structu-re spécialisée dans l’achat de matériel pour le réseau,Spontis. Groupe E profite également de la production des ouvrages d’Alpiq, ce qui lui permet de s’affranchir partiellement des fluctuations de prix sur le marché del’électricité pour ses achats de courant. La participationdans la centrale à gaz de Timelkam, en Autriche, enfin, ap-porte une expérience qui sera précieuse dans le cadre dudéveloppement de la centrale énergétique de Cornaux II.

Pourquoi Groupe E se porte bien?Si les résultats 2012 de Groupe E, hors participations,

sont réjouissants, c’est notamment grâce aux apportsde la production hydroélectrique, en hausse de 47% parrapport à 2011. «Cette augmentation de la productions’est traduite par une plus-value de 18 millions defrancs» indique Willy Zeller. Groupe E a également pro-fité de ventes stables ainsi que de l’avantage d’avoir unrapport équilibré entre sa propre production et lesachats de l’électricité qui lui manque sur le marché eu-ropéen.

Et les résultats 2013?L’année 2013 a bien débuté, avec une production hydrau-lique au même niveau que celle de 2012. Pourtant aucuneamélioration des conditions macro-économiques dans lesecteur de l’électricité n’est à attendre: surproduction,prix bas, stagnation de la consommation, crise en Europeet subventionnement des nouvelles énergies renouve-lables en Allemagne devraient encore fortement im-pacter le marché de l’électricité. Les résultats 2013seront certainement en baisse par rapport à 2012.

Christophe Kaempf l’ac

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Découvrez le rapport degestion 2012Le rapport de gestion 2012 est disponible sur internet à l’adresse suivante:www.groupe-e.ch/rapports-annuels.Les clichés, réalisés par le photographe bullois NicolasRepond, mettent en scène descollaborateurs de Groupe E

effectuant des actions en faveur du développement durable.

L’excellente hydraulicité de l’année2012 (+47% par rapport à 2011) s’esttraduit par un gain de 18 millions defrancs pour Groupe E. Ici, le barrage de Montsalvens.

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Das Geschäftsergebnis von Groupe E istentweder sehr positiv oder sehr negativ, je nachdem, ob man die Beteiligungen anBKW, Alpiq und am Gaskombikraftwerk vonTimelkam bei der Berechnung berücksichtigtoder nicht. Erklärungen. Dominique Gachoud, Generaldirektor und Willy Zeller,Finanzdirektor, haben am vergangenen 24. Mai in Sugiezden Medien das Geschäftsergebnis von Groupe E präsen-tiert. Keine leichte Aufgabe, denn ohne Berücksichtigungder Beteiligungen war das Betriebsergebnis (EBIT) um22% auf 113 Millionen Franken und das Nettoresultat um33% auf 104 Millionen Franken gestiegen, unter Mitein-bezug der Beteiligungen jedoch, fiel das Resultat negativaus: das Betriebsergebnis (EBIT) – 63 Millionen gegenü-ber 77 Millionen Franken im Jahr 2011 und das konsoli-dierte Nettoresultat –183 Millionen Franken, gegenüber36 Millionen Franken im Vorjahr.

Das Geschäftsergebnis2012 schwanktzwischen rot und schwarz

Ist die Situation kritisch?Willy Zeller betont, dass sich Groupe E trotz der rotenZahlen einer guten finanziellen Gesundheit erfreut.«Das Unternehmen wurde Ende 2012 vollständig ent-schuldet und der Cash-Flow (der die Finanzierung vonInvestitionen erlaubt) ist zwischen 2011 und 2012 von151 auf 171 Millionen Franken gestiegen». Er erklärt, dass«der buchhalterische Verlust im Geschäftsjahr 2012hauptsächlich auf die Entwertung der Alpiq Aktivenzurückzuführen ist». Vereinfacht gesagt, da der Strom,der in den Alpiq Anlagen produziert, wurde auf demMarkt billiger verkauft wurde als zuvor, musste derWert der Anlagen nach unten korrigiert werden. Mannennt das ein Impairment. «Die Entwertung der AlpiqAktiven muss aber dem Gewinn von 475 Millionen ge-genübergestellt werden, den Groupe E 2009 anlässlichder Gründung des Unternehmens gemacht hat». WasBKW betrifft, steht der Einfluss auf die Groupe E Resul-tate mit dem Sinken des Aktienkurses des Berner Unternehmens im Zusammenhang. Für Timelkamschliesslich, erklärt sich das rückläufige Resultat mitdem hohen Gaspreis und den tiefen Strompreise aufdem europäischen Markt.»

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Sollte man die Beteiligungen verkaufen?Trotz ihres Einflusses auf das Geschäftsergebnis kommtes für Groupe E nicht in Frage, die Aktien des einen oderandern Unternehmens zu verkaufen. «Ein eventuellerVerkauf der Beteiligungen von Groupe E an Drittunter-nehmen steht zu heutigen Zeitpunkt nicht zur Debatte,denn dieses helfen uns Synergien und strategische Part-nerschaften zu entwickeln», erklärt Dominique Ga-choud. Die Beteiligung an BKW hat die Gründung des ge-meinsamen Kundendienstes cc energie und den Aufbaueiner spezialisierten Struktur für den Materialeinkauffür den Netzbereich, Spontis, möglich gemacht. Groupe Eprofitiert ebenfalls von den Alpiq-Produktionsanlagen,die das Unternehmen in einem gewissen Ausmassunabhängiger vom europäischen Strommarkt und des-sen Preisfluktuationen machen. Die Beteiligung am Gas-kraftwerk Timelkam in Österreich wiederum bringt unswichtige Erfahrungen, die uns im Rahmen der Entwick-lung der Energiezentrale Cornaux II sehr nützlich seinwerden.

Warum geht es Groupe E so gut?Wenn das Geschäftsergebnis von Groupe E 2012 – unter

Vorbehalt der Beteiligungen – erfreulich ist, ist das in ers-ter Linie der Wasserkraftproduktion zuzuschreiben, diegegenüber 2011 um 47% gestiegen ist. «Diese Steigerungäussert sich in einem Mehrwert von 18 Millionen Fran-ken» erklärt Willy Zeller. Groupe E profitierte ebenfallsvon stabilen Verkäufen sowie einem ausgeglichenen Ve-rhältnis zwischen der Eigenproduktion und den Einkäu-fen auf dem europäischen Elektrizitätsmarkt.

Und das Geschäftsergebnis 2013?Das Jahr 2013 hat – mit einer Wasserkraftproduktion aufdemselben Niveau wie 2012 – gut begonnen, Auf ge-samtwirtschaftlichen Niveau ist aber auf dem Strom-markt keine Verbesserung zu erwarten: Überproduktion,tiefe Preise, gleichbleibender Verbrauch, die Krise in Eu-ropa und eine starke Subventionierung der erneuerba-ren Energien in Deutschland, werden zwangsläufig denElektrizitätsmarkt weiterhin beeinflussen. Das Geschäft-sergebnis 2013 wird sicherlich gegenüber 2012 eher tieferausfallen.

Christophe Kaempf

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Entdecken Sie denGeschäftsbericht 2012Der Geschäftsbericht 2012steht auf dem Internet unterhttp://www.groupe-e.ch/de/geschaeftsberichte zur Verfügung. Ausser demdetaillierten Finanzbericht und den Kennzahlen desUnternehmens finden Sie die Bilanz unsere Aktivitäten

in Jahr 2012 in den Bereichen Produktion, Verteilung,Energieservices, Verkauf und nachhaltige Entwicklung. Die Fotos des Geschäftsberichts 2012 wurden vom BullerFotographen Nicolas Repond gemacht. Sie zeigen Mitarbeiter, die sich für die nachhaltige Entwicklung einsetzen.Wenn Sie eine Papierversion erhalten möchten wenden Sie sich bitte an [email protected], Telefon 026 352 54 24.

Die exzellente Hydraulizität desJahres 2012 (+47% gegenüber 2011)führte für Groupe E zu einem Gewinnvon 18 Millionen Franken. Hier dieStaumauer von Montsalvens.

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Groupe Groupe E Connect a fêté ses dixd’existence avec ses collaborateurs et leur famille le 10 juin dernier. La partie officielle a eu lieu en marsavec de nombreux clients.

Officialités pourun anniversaireEn soirée du 27 mars dernier, Groupe E Connect a ac-cueilli environ 200 clients pour fêter ses 10 ans d’exis-tence sur le site de Matran. «Mettrel’énergie et la communication à laportée de tous: telle est l’ambition deGroupe E Connect» souligne Philip-pe Virdis en ouverture. En tant queprésident du conseil d’administra-tion, il rappelle que «depuis sa créa-tion en avril 2003, Connect a déve-loppé ses activités dans les installa-tions et les tableaux électriques defaçon continue et qu’aujourd’hui, iljoue un rôle capital dans les do-maines de la production solaire et des pompes à cha-leur». Cette évolution a eu un impact significatif sur lenombre de collaborateurs. «En 10 ans, l’entreprise a pudoubler le nombre de ses employés. Celle-ci accordeune grande importance à la formation des jeunes etaccueille plus de 130 apprentis» se réjouit ChristianTinguely, administrateur-délégué.

Le futur de la société a aussi été évoqué. En pleine ex-pansion, Connect entend poursuivre sa stratégie decroissance, notamment en développant ses activitésdans le domaine de l’efficience énergétique et en fai-sant l’acquisition de sociétés actives en Suisse occi-dentale.

A la suite de la partie officielle, les participants ont pudécouvrir les différentes activités en parcourant lesateliers. Invité surprise de la soirée, Raphael Domjan araconté ses 19 mois d’Eco-Aventure à bord du TuranorPlanetSolar autour du monde, sujet en lien avec lephotovoltaïque que Connect développe activement.

L’atelier transformé en salle de fêtes.Die Werkstatt wurde zum Festsaal umgestaltet.

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Raphael Domja aprésenté son tour dumonde sur le bateauSolarPlanet.Vortrag von RaphaelDomjan über seineWeltreise auf demSolarPlanet.

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E Connect en fêteUne fête sous le signe du NépalLe 10 juin, les collaborateurs de Connect et leur famille se sont réunis sur la montagne de Lussy à Romont pour fêter les 10 ans de leur entreprise. Ce fut l’occasionpour Connect de lier cette fête à son engagement envers la fondation Nicole Niquille, hôpital de Lukla.Toute la journée s’est déroulée au rythme népalais grâce à une équipe d’or-ganisateurs motivés et dynamiques. Chaque invité a découvert les diffé-rentes facettes du Népal: culture, art et plaisirs culinaires. Les animaux ontpris part à la fête, lamas, yaks, chèvres ont émerveillé les enfants qui ont aus-si chevauché des ânes et des chevaux. Des ateliers créatifs comme le «man-dala» (cercles symboliques), l’impression de t-shirts et la création de bijouxont révélé leurs lots d’artistes. Nicole Niquille, qui nous a fait l’honneur de sa présence, a présenté les acti-vités de la fondation pour l’hôpital de Lukla. Nous avons ainsi découvert laréalisation d’une installation photovoltaïque construite par trois de nos col-lègues.La journée s’est poursuivie par des activités ludiques, et un grand lâché deballons a clôturé l’évènement.

Christophe Dumont

Nicole Niquille, de la Fondation de l'Hôpital Pasang Lhamu à Lukla, entourée de (g. à d.) ChristianTinguely, administrateur délégué de Groupe E Connect SA, Joseph Winiger et Michel Beaud,directeurs Groupe E Connect et Dominique Gachoud, directeur général de Groupe E.

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10 Jahre Groupe EConnectAm Abend des 27. März begrüsste Groupe EConnect in ihrem neuen Gebäude in Ma-tran rund 200 Kunden zu den offiziellenFeierlichkeiten anlässlich des 10-jähri-gen Firmenbestehens. Zur Auflockerungdes offiziellen Teils erzählte der Über -raschungsgast Raphael Domjan von sei-ner 19-monatige Weltreise an Bord desTuranor Planet Solar.Am 10. Juni feierten dann die Mitarbeitervon Connect zusammen mit ihren Fami-lien auf dem «Montagne de Lussy» in Ro-mont den zehnten Geburtstag ihres Unternehmens.

Das Fest stand im Zeichen des Enga-gements von Groupe E Connect

für die Stiftung Nicole Ni-quille.

Nicole Niquille, Ehren-gast des Tages, präsen-tierte die Tätigkeit ihrerStiftung für das Spitalvon Lukla, auf dessenDach drei Mitarbeiter von

Groupe E Connect eine 40 m2 grosse Fotovoltaik -

anlage mit einer Leistung von6000 Watts installiert haben.

Pour un soutien à l’hôpital de LuklaGroupe E et Groupe E Connect soutiennent depuis plusieurs années la fondation de Nicole Niquille. La dernière opération a consisté àla mise en place d’une installation photovoltaïque sur le toit de l’hôpital de Lukla. Trois collaborateurs de Groupe E Connect ont vécuune magnifique expérience humaine en offrant leur professionnalisme : l’installation permet de tripler la puissance électrique disponibleà l’hôpital. Grâce à cette installation, la radiologie est enfin performante, les médecins et le personnel soignant peuvent en mêmetemps faire des échographies et stériliser des instruments, et il n’est plus nécessaire d’attendre la nuit pour faire tourner la machine à laver.

40 m2 de panneaux solaires d’une puissance de 6000 Watts.40m2 Solarpanels mit einer Leistung von 6000 Watt.

(g. à d.) Yves Van Damme (apprenti 4ème Fribourg), Cédric Kolly(Installateur-électricien Châtel-St-Denis), Maximilien Clément(apprenti 4ème Romont), Marco Vuadens (fondation), Rajan (intervenant local), Bernard Magnin (retraité Groupe E).

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STOP aux attaquesinformatiques

Bedroht durch Cyber-AngriffeIm letzten Jahr hat die Informatikabteilung einenTest durchgeführt: 600 Mitarbeiter erhielten ein E-Mail in dem Sie aufgefordert wurden, auf einen Linkzu klicken und Ihr Passwort anzugeben. Das Resultatwar sehr bedenklich: 6% der Mitarbeiter übermittel-ten ihre Login-Daten. Wenn es ein echter Angriff auf unser Informatiksystem gewesen wäre, wäre ergelungen. Um die Informatiksicherheit zu gewährleisten gilt es,einige einfache aber wichtige Regeln zu beachten:nicht auf zweifelhafte Links klicken, niemals seine Lo-gin-Daten preisgeben und generell kritisch überle-gen, bevor man klickt. In Zukunft werden weitereTests durchgeführt, um zu sehen, ob die Sicher -heitsregeln respektiert werden.

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UNE MENACE BIEN RÉELLEMais qui pourrait en vouloir à Groupe E au point de s’enprendre à son site internet ou à son réseau informatique?Des militants contre les éoliennes ou les centrales à gaz,des hackers qui exercent leur talent pour le plaisir, desconcurrents? «Peu importe, estime Manuel Francey,notre mission est d’assurer la sécurité de l’entreprise. Lesmesures techniques ne sont efficaces qu’avec l’appui detous les collaborateurs».

Nathalie Salamin

En matière de sécurité informatique, les collaborateurs doivent appliquer des règles simples: ne pas cliquer sur des liens douteux, ne jamais divulguerleurs mots de passe et avoir le clic critique.

Au mois de mai dernier, les services informatiques deGroupe E ont bloqué 120 000 spams et courriels espions,soit 75% des e-mails entrants. Des chiffres à donner levertige et qui illustrent l’immensité de la tâche. «C’estun combat permanent, souligne Manuel Francey, res-ponsable informatique de l’entreprise. En cas d’attaquesréussies, les conséquences peuvent être dramatiques:compte en banque vidé, usurpation d’identité, espion-nage industriel».

DES RÈGLES SIMPLESL’an dernier, un e-mail a été envoyé à 600 collaborateurs.Ils étaient invités à cliquer sur un lien et à transmettreleur mot de passe. Résultat: 6% des employés testés onttransmis leurs données. «C’est un résultat inquiétant,commente Manuel Francey. Si un malfaiteur souhaitaitnous attaquer, il exploiterait cette faille». Effectué enjuin, un nouveau test est en cours d’analyse; un premierrésultat montre une attitude contrastée: alors que cer-tains collaborateurs se sont montrés prudents, d’autresont livrés des données personnelles.De nouveaux tests permettront d’évaluer la progressionde l’entreprise. Pour se prémunir des attaques, les règlessont simples: ne jamais communiquer ses mots de passeà des tiers et stopper la navigation sur Internet en cas dedoute.

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L’outsourcing consiste à sous-traitercertaines tâches pour se focaliser sur la vocation première de l’entreprise.Explications de WILLY ZELLER, DIRECTEUR FINANCES.

Sous-traiter, externaliser ou encore outsourcer, autant deverbes d’action pour autant de situations diverses. Cer-taines activités d’un domaine précis, mais aussi certainscollaborateurs, peuvent être transférés dans une sociétéspécialisée. Parfois, le partenariat unit plusieurs sociétésdu même domaine dans le but de sous-traiter des activi-tés communes. Inversement, et on n’y pense pas toujours,Groupe E réalise aussi de la sous-traitance, par exemplepour des sociétés en participation. Celles-ci confient la te-

nue de leur comptabilité à Groupe E qui dispose d’un poolde comptables assurant un service sans interruption.

Pourquoi une entreprise décide-t-elle de se séparer de certaines activités?

Il y a plusieurs raisons. La première est la possibilité debénéficier de compétences étendues dont nous ne dispo-sons pas, par exemple avec Genassurances (courtier enassurance) et AIL (gestion de la flotte véhicules). Uneautre est la réalisation d’économies d’échelle (avec CISELet Spontis). Enfin, nous avons une meilleure maîtrise del’activité dictée par une relation contractuelle spécifiantles exigences en termes de coûts, de qualité et de délais.La sous-traitance s’accompagne en général d’une profes-sionnalisation de l’activité et se traduit par une meilleu-re prestation à moindre coût.

Des sociétés externes travailleraient mieux que nous?Nous avons nos forces et nos faiblesses. Essayons de

Outsourcingune bonne idée malgréune mauvaise réputation

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bénéficier des compétencesque des prestataires externesont développées, améliorées etaffinées au fil des années.

Peut-on tout sous-traiter?Non. Il est important que la so-ciété garde la maîtrise des acti-vités qui garantissent son suc-cès économique, des activitésfaisant partie du cœur du mé-tier. Dans les fonctions de sup-port également, il existe des ac-tivités difficilement sous-trai-tables telles que la communica-tion, la trésorerie et le control-ling: des activités exigeant uneforte interaction et une grandeproximité avec les organes dedécision.

Existe-t-il différents types de sous-traitance?

Oui, si nous prenons l’exemplede l’informatique, nous avonssous-traité nos activités au CISEL. Cependant nous avonsgardé une structure informa-tique à l’intérieur de la sociétéafin de conserver la maîtrised’ouvrage des projets informa-tiques et le pouvoir décisionnelsur les solutions et l’architectu-re. Ensuite, il y a des sous-trai-tances qui comprennent letransfert des activités ainsi quedes collaborateurs. C’est le casde la logistique avec Spontis(ndlr. société qui approvisionneet met à disposition du matérielde construction et de mainte-nance des réseaux de distribu-tion). Chaque situation est dif-férente et doit être étudiée.

Peut-on parler de partenariat dans le cadre de l’outsourcing?

L’outsourcing établit d’abordune relation classique entre un

client et un fournisseur. Par contre, la mutualisation d’ac-tivités se pratique fréquemment dans le cadre de parte-nariat entre acteurs de la branche. C’est le cas avec ccenergie, que nous gérons en partenariat avec BKW, et àqui nous avons confié la gestion de nos clients retail.

Est-il si simple de transférer nos activités?Avant de transférer des activités, une analyse détaillée dela situation doit être menée. L’éventualité d’une sous-traitance nous force à réaliser en interne des réflexionsapprofondies sur les activités en question, à définir exac-tement quelles sortes d’activités seront confiées, à préci-ser nos exigences et le degré de performance à atteindre.Des processus sont établis et ceux-ci incluent la défini-tion d’indicateurs de performance que nous voulons me-surer à tout moment.

Avez-vous un exemple concret?Nous avons confié la gestion des véhicules à une entre-

prise spécialisée, à l’exception des achats. Ici, il s’agit d’uncontrat de sous-traitance à la carte. Nous restons pro-priétaires des véhicules, par contre toute la gestion estsous-traitée car la société choisie (AIL) dispose des com-pétences techniques afin d’évaluer la nécessité et le coûtdes prestations des garagistes et des carrossiers. Elle dis-pose également d’un système informatique spécifique àla gestion d’un parc de véhicules. En un mot, ce sont desgens du métier. En plus, leur gestion améliore la transpa-rence sur le coût réel de notre parc de véhicules à pluslong terme. Sans cette transparence, vous ne pouvez pasgérer une activité.

On parle souvent de transfert d’activités…qu’en est-il des collaborateurs?

Chaque décision de sous-traiter des activités aboutit àune organisation différente. Parfois, les collaborateurs re-prennent d’autres activités au sein de l’entreprise, maisdans la majorité des cas, des collaborateurs sont égale-ment transférés. Pour eux, cela implique un changementde méthode de travail. Ils doivent trouver de nouveaux re-pères. L’accompagnement des collaborateurs est doncprimordial, notamment par une information régulièresur l’avancement du projet et des décisions prises par lesdirigeants. Notons que Groupe E se distingue clairementdes grandes sociétés qui sous-traitent à l’étranger (offshore) et qui suppriment massivement des emplois. A travers maints projets, Groupe E a démontré sa volontéde maintenir les emplois.

Claudine Jungo

Outsourcing – einegute Idee trotz einesschlechten RufsOutsourcing bzw. Auslagerung bezeichnet in der Öko-nomie die Abgabe von Unternehmensaufgaben und-strukturen an externe Dienstleister. Es ist eine spe-zielle Form des Fremdbezugs von bisher intern er-brachten Leistungen, wobei Verträge die Dauer undden Gegenstand der Leistungen festlegen. Bevor Aktivitäten ausgelagert werden, ist eine de-taillierte Analyse der Situation erforderlich. WelcheAktivitäten sollen ausgelagert werden? Welche An-forderungen müssen erfüllt und welche Leistung er-bracht werden? Es werden exakte Prozesse mit Leis-tungsindikatoren erarbeitet, damit die Leistung jeder-zeit gemessen werden kann.Wir haben beispielsweise das Management der Fir-menfahrzeuge einem spezialisierten Unternehmenanvertraut. Wir bleiben zwar Besitzer der Autos, aberdie Firma AIL kümmert sich um die Garagen- und Ka-rosseriebelange. Ausserdem verfügt AIL über ein In-formatiksystem für die Verwaltung von Fahrzeugflot-ten, was mehr Transparenz bezüglich der langfristi-gen Kosten der Fahrzeuge erlaubt. Andere Bereiche,wie das Kerngeschäft des Unternehmens oder Sup-portfunktionen wie Kommunikation oder Controllingkönnen nur schwer ausgelagert werden, denn sie er-fordern eine starke Interaktion mit den Entschei-dungsträgern.

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Willy Zeller, directeurFinances: «Le restaurant Le Plexus est un exemplede sous-traitance que l’ondéguste tous les jours».Willy Zeller, Finanzdirektor:«Das Restaurant Le Plexusist ein vorzügliches Beispieldes Outsourcings».

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«Nous voulons faire de la

«Wir wollen aus der GED ein leistung Seit ihrer progressiven Inbetriebnahme im letzten Jahr,soll die GED - die elektronische Verwaltung von Doku-menten - unserem Unternehmen erlauben, effizienterzu werden. Sie wird aber aufgrund ihrer Langsamkeitund ihrer Komplexität von zahlreichen Mitarbeiternkritisiert. Daher ist geplant, in den Sommermonatenein Audit durchzuführen, mit dem Ziel, die GED leis-tungsfähiger und benutzerfreundlicher machen. EinGespräch mit Christian Tinguely, Direktor Energie Ser-vices.

Welche Art GED-Benützer sind Sie?Ich benütze die GED täglich, um Dokumente zu konsul-tieren, einzuordnen oder natürlich, um neue Dokumentezu erstellen.

Erfahren, aber auch überzeugt?Absolut, ich bin von der Effizienz dieses Systems überzeugt.Ich gebe aber zu, dass die GED unter dem Druck des Unter-nehmensziels 2012 zu früh implementiert wurde. Daherwurden Details vernachlässigt und die Benützer wurdennicht genügend begleitet, was ich bedaure. Heute stehenwir mitten in der Furt und müssen uns die Mittel geben,diese zu durchqueren, um von der GED zu profitieren.

Daher die Entscheidung einen externen Auditor zubeauftragen. Was erwarten Sie von seiner Analyse?

Wir wollen aus der GED ein leistungsfähiges Werkzeugmachen, das unser Unternehmen auf die künftigen Herausforderungen vorbereitet. Der Auditor wird das Gespräch mit den Mitarbeitern suchen und eine Um -

PHOTO: FRÉDÉRIC SIFFERT

Christian Tinguely,responsable du projetGED: «L’auditeur mèneraun sondage auprès des utilisateurs.»Christian Tinguely,Direktor Energie Servicesund verantwortlich für das Projekt GED: «DerAuditor wird eine Umfragebei den Mitarbeiterndurchführen.»

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GED un outil performant»

Critiqué pour sa lenteur et sa complexité parnombre de collaborateurs, cet outil informa-tique sera audité durant l’été. Objectif: lerendre plus performant et mieux adapté auxbesoins des usagers.

Quel utilisateur de la GED êtes-vous?J’utilise quotidiennement la GED pour consul-ter des documents, en importer et bien enten-du en créer des nouveaux.

Expérimenté mais aussi convaincu?Absolument, je suis convaincu de l’efficacité dece système. Je reconnais toutefois que sous lapression de l’objectif d’entreprise 2012, nousl’avons déployé trop vite, ce qui n’a pas permisde finaliser les détails et d’accompagner les uti-lisateurs; je le regrette. Aujourd’hui, nous noustrouvons au milieu du gué et il faut se donnerles moyens de traverser celui-ci pour récolterles bénéfices de la GED.

D’où la décision de faire appel au service d’un auditeur externe. Qu’en attendez-vous?

Nous voulons faire de la GED un outil perfor-mant qui prépare notre entreprise aux défis fu-turs. L’auditeur mènera des entretiens et unsondage auprès des utilisateurs afin d’identi-fier et d’apporter des solutions. Après une pha-se d’analyse durant l’été, nous déploierons unplan d’action dès la rentrée.

Les collaborateurs critiquent la lenteur du système, la complexité de sa structure. Que leur répondez-vous?

Nous nous soucions d’améliorer les perfor-mances de la GED et allons nous y atteler. Nousavons eu soin de travailler avec chaque directionpour définir les besoins et le plan de classement.La GED permet d’organiser la documentation demanière universelle au sein de Groupe E. De plus,elle offre des possibilités de recherche et de ges-tion des versions des documents, et aussi deconservation des traces de modifications ou deconsultations. Cette dernière fonction est trèsutile dans le cadre de la certification ISO 9000.Nous avons ainsi déjà atteint certains des objec-tifs du projet. L’objectif est d’utiliser à terme laGED pour les flux de validation.

Vous attendiez-vous à tant de difficultés?L’introduction d’une GED est un projet difficile,car il est transverse et touche tous les collabo-rateurs de l’entreprise. Avoir l’esprit de pion-nier exige parfois d’avancer sur des cheminscaillouteux. La GED est un outil jeune que nousallons faire évoluer tous ensemble pour at-teindre la maturité souhaitée et ceci dans unevision de comportement durable.

Nathalie Salamin

Mise en service progressivement depuis l’an dernier, la GED, la gestion élec -tronique des documents, doit permettre à l’entreprise de gagner en efficacité.Entretien avec CHRISTIAN TINGUELY, DIRECTEUR SERVICES ÉNERGIE.

sfähiges Werkzeug machen»frage durchführen, um die Schwierigkeiten zu identifi-zieren und Lösungen vorzuschlagen. Nach der Analyse-phase im Sommer werden wir einen Aktionsplan ausar-beiten und im Herbst mit dessen Umsetzung beginnen.

Die Mitarbeiter kritisieren die Langsamkeit des Systems und die Komplexität seiner Struktur. Was antworten Sie ihnen?

Die Leistungen der GED sind Teil unserer Sorgen und wirarbeiten an ihrer Verbesserung. Wir haben darauf geach-tet alle Direktion miteinzubeziehen, als die Bedürfnissefür den Klassierungsplan festgelegt wurden. Die GEDermöglicht eine universelle Organisation der Dokumen-te innerhalb von Groupe E sowie das Suchen und Ver-walten von verschiedenen Versionen. Nicht zuletzt kön-

nen Änderungen und Konsultationen zurückverfolgtwerden – eine Funktion, die im Rahmen der ISO9000 Zer-tifizierung von grossem Nutzen ist. Wir haben also schongewisse Ziele des Projekts erreicht. Endziel ist es, die GEDfür Validierungsflüsse zu benützen.

Habe Sie so viele Schwierigkeiten erwartet?Die Einführung einer GED ist ein schwieriges Projekt,denn es ist transversal und betrifft alle Mitarbeiter desUnternehmens. Pioniergeist zu haben heisst manchmal,sich auf steinigen Wegen fortzubewegen. Die GED istein junges Werkzeug und wir werden alle gemeinsam –mit der Vision der nachhaltigen Entwicklung vor Augen – daran arbeiten, ihr die notwendige Reifezu geben.

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Groupe E Entretec et l’entreprise Liebherr Machines à Bulle collabo-rent étroitement dans le développement et l’installation de moteursde couplage chaleur-force, ou cogénération. Ceci permet à Groupe EEntretec de proposer à ses clients une solution locale: construction,installation et exploitation de moteurs de dernière génération, in-cluant la vente de l’appareil et l’entretien de l’installation.

DE LA CHALEUR ET DE L’ÉLECTRICITÉLa cogénération est une technologie permettant de produire simul-tanément de la chaleur et de l’électricité. Elle permet ainsi à l’utilisa-teur de disposer des deux types d’énergie les plus importantes. Lachaleur dégagée par le moteur est récupérée pour le chauffage debâtiments ou d’industries. Cette énergie thermique est utilisée laplupart du temps à proximité du site de production (alimentant parexemple un réseau de chauffage à distance) ce qui permet de mini-miser les pertes de transport et de distribution. L’électricité, produitepar un alternateur couplé au moteur Liebherr, est également desti-née à une consommation locale. Les couplages chaleur-force propo-sés par Entretec fonctionnent au biogaz ou au gaz naturel.

PRODUCTION DE 890 MWH/AN À SEIGNEUXLe 9 janvier dernier, Groupe E Entretec a mis en service une instal-lation de ce type dans une exploitation agricole située à Seigneux.Cette installation utilise du biogaz agricole. Elle s’inscrit ainsi dansla philosophie de Groupe E Greenwatt qui assume la direction du projet. Cette installation fonctionne avec plus de 80% de matiè-re organique provenant de l’exploitation agricole. Chaque jour, elle est alimentée avec cette matière première, remplissant un

réservoir chauffé à 40 degrés environ. Cela permet à la matière dese décomposer et de produire différentes sortes de gaz, principale-ment du méthane. Avant d’être valorisé par le moteur, le gaz estdéshumidifié et débarrassé des particules de soufre. L’électricitéproduite par le moteur est ensuite réinjectée dans le réseau, et lachaleur produite par son refroidissement est valorisée par unchauffage à distance au sein de l’exploitation. Elle sera utilisée dansle futur pour du séchage de plaquette forestière. La matière digéréedurant ce processus, appelée digestat, est répandue sur les culturesde l’exploitation et sert de fertilisant naturel. Il est prévu que cetteinstallation produise 890 MWh par an, ce qui correspond à laconsommation d’un peu moins de 200 familles. Groupe E Entretec a été impliqué dans toutes les phases du projetde Seigneux. Elle a ainsi réalisé les plans d’installation du moteuret la mise en service. Elle assure actuellement le service après-ven-te grâce à un contrat de maintenance de l’installation.Le potentiel de la cogénération pour les années à venir est plutôtimportant. En effet, elle pourrait représenter 12% de la productionélectrique et 8% de la production de chaleur en Suisse, selon lesprévisions de l’Office fédéral de l’énergie pour 2050.

Coralie Barthlomé

Autres activitéschez EntretecOutre le développement

de la cogénération, Groupe E Entretecpropose une large palette

de prestations dans la gestion del’énergie. La société est égalementprésente sur le marché du traitement

de l’eau potable et industrielle. Plus d’infos sur www.entretec.ch

Vue de l’installation de Seigneux dans son ensemble. A gauche, le local abritant le moteur Liebherr.Gesamtüberblick der Installation von Seigneux. Links der Raum in dem der Liebherr Motor installiert ist.

Parmi les activités offertes à ses clients, Groupe EEntretec effectue l’installation de groupes decouplages chaleur-force, activité en plein essor. Une installation au biogaz a été mise en servicedans la Broye à Seigneux.

La cogénération: chaleu

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Nicolas Petitpierre,responsable bois etcogénération chezEntretec, dans le localabritant le moteurLiebherr d’unepuissance électrique de 150 kW. La chaleurproduite par ce moteursera utilisée poursécher de la plaquetteforestière utilisée dans des chaudières à bois.Nicolas Petitpierre,Verantwortlicher Holzund Wärmekraft -koppelung bei Entretec, im Raum, in dem derLiebherr-Motor miteiner Leistung von 150 kW installiert ist. Die Abwärme desMotors wird zumTrocknen vonHolzpellets verwendet, die danach imHolzheizkesselverbrannt werden.

r et électricitéWärmekraftkoppelung:Strom & WärmeGroupe E Entretec und die Firma Liebherr inBulle arbeiten im Bereich der Entwicklung vonWärmekraftkoppelungsmotoren eng zusam-men. Dies erlaubt Groupe E Entretec, ihren Kun-den eine lokale und den neusten Technologienentsprechende Lösung anzubieten.In Seigneux hat Groupe E Greenwatt im letz-ten Januar in Zusammenarbeit mit Groupe EEntretec eine solche Installation in Betrieb ge-setzt. Sie funktioniert zu 80% mit Biogas ausder Landwirtschaft und sollte voraussichtlichjährlich 890 MWh Strom produzieren, dasentspricht dem Verbrauch von knapp 200 Fa-milien. Die bei der Stromproduktion entste-hende Wärme wird in ein Fernheizungsnetzeingespeist.

Principe d’une installation à biogaz

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Système d’alimentation en biomasse solide

Chauffage de la serre

Stockage du digestat Post-digesteur Digesteur

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Développement à GenèveGroupe E Connect SA a acquis 100% du capital-actions de la société Tableaux Electriques. Basée à Chêne-Bourg dansle canton de Genève, cette dernière est spécialisée dans la conception et la réalisation d’armoires électriques.

Groupe E Connect concrétise sa stratégie d’expansion enSuisse occidentale, en particulier dans la région léma-nique. Ses activités sur le marché des tableaux élec-triques dans les secteurs industriels, administratifs et au-près des installateurs électriciens sont ainsi renforcées.Créée en 1962, la société Tableaux Electriques est un ac-teur local de premier plan. En cédant son capital-actionsà Groupe E Connect, l’entreprise assure la pérennité et ledéveloppement de son savoir-faire et de ses services.L’ensemble des collaborateurs, soit six personnes, est réengagé par Groupe E Connect. Patrick Moille assure laconduite de la succursale assisté de Jean-Marc Morin, actuel responsable de la société Tableaux Electriques.

Christophe Dumont

Groupe E Connect jetzt auch in GenfIm Rahmen ihrer Expansionsstrategie hat Groupe EConnect AG 100% des Aktienkapitals der Firma Ta-bleaux Electriques (spezialisiert im Schalttafelbau) inChêne-Bourg im Kanton Genf akquiriert. Alle sechsMitarbeiter werden von Groupe E Connect übernom-men. Patrick Moille wird die Niederlassung leiten; da-bei wird er von Jean-Marc Morin, dem heutigen Direktor der Firma Tableaux Electriques, unterstützt.

PHOTO: ABEL SAVOY

Patrick MoilleResponsable de la succursale de Groupe E Connect à GenèveQu’apporte cette acquisition à Connect?Avec cette reprise, Groupe E Connect s’établit officiel-lement à Genève où il est déjà actif aujourd’hui. Avecdes activités de proximité, Connect assure une pré-sence effective dans un marché en fort développe-ment et améliore la rapidité d’intervention pour leservice après-vente.

Quels sont les principaux défis pour Connect avec l’implantation à Genève?Dans tout processus de reprise, les premiers défis sontcommerciaux et organisationnels. Il faut convaincreet surtout démontrer aux clients que nous sommes làpour poursuivre et développer l’activité dans un espritde partenariat. Avec les collaborateurs, nous devonsdéployer, dans une structure existante avec son his-toire et ses habitudes, nos méthodes de travail tout enconservant les acquis.

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: ABEL SAVOY

La sécurité en têteGroupe E dispense une formation à plus de 300 collaborateurs chargés des activités à proximitéd’installations de réseau électriques en service.

La pratique a démontré que des accidents surviennentlors d’activités en présence d’installations sous tension.Les exceptionnelles défaillances du matériel n’en sontque rarement à l’origine. Ce sont plutôt les erreurs, négli-gences ou indiscipline des collaborateurs, qui sont encause, alliés à des lacunes au niveau du port des équipe-ments de protection individuels (EPI). Fort de cetteconstatation, Groupe E met en place une formation pourles personnes chargées de ces activités à risque. Ces col-laborateurs spécifiquement formés sont ainsi habilitésaux travaux sur ce type d’installation. Par la suite, les ac-tivités sont contrôlées par la hiérarchie afin d’éviter tou-te dérive dans la méthode. Les points forts du cours consistent à connaître la législa-tion, maîtriser les directives concernant les travaux àproximité et de routines & mesures, ainsi que savoir dé-finir les limites de sécurité.

LES SITUATIONS TRAITÉESPour préparer cette formation, le comité «Travaux soustension» (TST) a répertorié les activités au voisinage d’ins-tallations électriques de réseau en service, ainsi que leursconditions d’exécution. Mesures électriques, rondes et vi-sites dans les installations, intervention sur des installa-tions à courant fort déclenchées, manœuvres de couplageà basse tension par fusibles à haut pouvoir de coupure oudispositifs de réglettes destinées à ces fusibles, en repré-sentent quelques exemples. Un participant relève à justetitre: «Cette formation représente une bonne remise à ni-veau et permet d’uniformiser les connaissances!»

NOUVEAU CONCEPT DE FORMATION Dans un souci de développement durable et d’efficacité,la formation est dispensée sur site par des membres ducomité TST, sous forme d’atelier didactique. Ce procédéévite le déplacement des groupes de collaborateurs entrenos différentes installations. Une vingtaine de situationschoisies dans nos installations sont présentées au moyend’images et de cartes. En fonction de la donnée du pro-blème, les collaborateurs doivent définir les règles de sécurité à appliquer.

Virginie Oberson

PrioritätMitarbeitersicherheit 300 Groupe E Mitarbeiter profitierten von einer Wei-terbildung für sicheres Arbeiten unter Spannung. Dertheoretische Teil des Kurses umfasste unter anderemInformationen zur rechtlichen Situation und über dieinternen Richtlinien. Im praktischen Teil standenStrommessungen, Besuche in Installationen, Arbei-ten an nicht unter Strom stehenden Starkstromanla-gen und vieles mehr auf dem Programm. Ein Kursteil-nehmer meinte zu Recht: «Diese Weiterbildung isteine gute Aktualisierung unserer Kenntnisse und er-laubt, alle Mitarbeiter auf denselben Wissensstand zubringen!»

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(g. à d.)FranciscoSoares, Paul-AndréHostettler etIfoli Nyangerecherchentensemble lasolution.(v.l.n.r.)FranciscoSoares, Paul-AndréHostettlerund IfoliNyangesuchengemeinsameine Lösung.

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Un loisir au-dessusdes nuages

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Le club de vol-à-voile possède huit planeursqu’il met à disposition de ses membres.Der Segelflugclub besitzt 8 Segelflugzeuge,die er seinen Mitgliedern zur Verfügungstellt.

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Lionel Chapuis, responsableexploitation hydraulique à la

Direction Energie, est unpassionné de vol à voile.

Même lorsqu’il était encore trop jeune pour vo-ler, Lionel Chapuis était déjà amateur d’avions.

Adolescent, il s’amusait à assembler des modèles ré-duits de planeurs pendant son temps libre. C’est à

l’âge de 14 ans qu’il passe du modèle au vrai planeur. Ilparticipe à un camp de vol à voile d’une semaine où il faitses premiers vols. Motivé par cette expérience, il décidede passer sa licence de pilote dès l’âge requis, 16 ans àl’époque et consacre ainsi presque toutes ses économiesà sa licence. Ensuite, il travaillera durant ses vacances afinde financer son hobby.Aujourd’hui, Lionel Chapuis passe une grande partie deses week-ends à l’Aérodrome de la Gruyère, lieu de ren-contre des membres de l’association «Aéro-Gruyère».Pour lui, la planification d’un vol commence déjàquelques jours plus tôt par l’observation de la météo. Ilconsulte des sites internet spécifiques et affine ses prévi-sions. Le jour du vol, au matin, il choisit les zones les plusfavorables. Un pilote de planeur cherche des instabilitésd’air: des masses d’air froid qui arrivent sur un sol chaudcréent les ascendances qui permettent au planeur de ga-gner en altitude.

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traident. Bien sûr, la présidence me prend du temps, maisje peux m’appuyer sur un comité très performant au seinduquel chacun assume parfaitement ses responsabilités.»

Ainsi, les pilotes se rencontrent à l’aérodrome même enhiver, quand il n’y a pas de vols. Chaque samedi, ils s’oc-cupent de l’entretien des planeurs. Les machines sont dé-montées et remontées sous la surveillance de membresspécialisés. En contrepartie, le club tient à mettre du bonmatériel à la disposition de ses membres. Les huit ma-chines en possession du club de vol-à-voile de la Gruyèresont très performantes et permettent aux pilotes d’exer-cer leur activité dans les meilleures conditions. Quelquesmembres ont leur propre planeur, mais le club a décidéde limiter les places privées afin de se concentrer sur sonparc de planeurs de location.Un autre aspect prépondérant du club est la formation desfuturs pilotes. Lionel Chapuis consacre à l’instruction en-viron la moitié de son temps en l’air. Huit moniteurs bre-vetés se répartissent la tâche afin d’assurer l’écolage tousles week-ends de la saison et trois semaines de camp devol à voile par année. L’école est suivie et réglementée parl’Office fédéral de l’aviation civile et contrôlée chaque an-née par des auditeurs externes.

Une licence coûte aujourd’hui entre 7000 et 8000 francsà répartir sur 2 ans. Ensuite, pour assurer un entraine-ment régulier, il faut compter 3000 francs par année. Lio-nel Chapuis insiste sur le fait que le vol à voile n’est tou-tefois pas un hobby élitiste: «On y rencontre des gens detout âge et de tous les milieux sociaux. C’est une activitéexigeante, mais tellement passionnante, on ne finit ja-mais de progresser!».

Iris Mende

LE SOLEIL ET LE VENT COMME SEULES SOURCES D’ÉNERGIEUne fois le planeur préparé, équipé et contrôlé, il est tirésur la piste de décollage par une voiture et décolle ensui-te remorqué par un avion à moteur. Arrivé à une altituded’environ 1000 m/sol dans une zone ascendante, la cordeest larguée et le planeur continue à monter tout seul, uti-lisant le soleil et le vent comme seules sources d’énergie.Du plus haut de son ascendance, le planeur suit son par-cours en perdant de l’altitude. Pour le pilote, le défi estalors de trouver, après quelque 20 km de vol plané, unenouvelle ascendance qui lui permettra de remonter en-core une fois et se déplacer à nouveau. Si les conditionsmétéorologiques sont bonnes, un vol depuis Gruyèrepeut durer entre 5 et 6 heures, amener le planeur jus-qu’aux Grisons et revenir par le sud des Alpes valai-sannes et Chamonix.

Vu du sol, le vol d’un planeur peut paraître tranquille etfacile, mais cette activité est très exigeante tant au ni-veau physique que mental. Comme le pilote profite desinstabilités météorologiques pour diriger son planeur, levol peut être turbulent. Il faut une bonne santé pour sup-porter les secousses, les accélérations et l’immobilitépendant plusieurs heures. De plus, le pilote doit disposerd’une bonne capacité d’analyse car il prend en perma-nence des décisions en fonction des conditions météoro-logiques changeantes. Pour tout ce travail de concentra-tion et de stratégie, il est récompensé par de vrais mo-ments de poésie, par exemple une descente le long de lapente du glacier d’Aletsch, un panorama magnifique duMont Blanc ou encore du Cervin.

Malgré que le pilote soit souvent seul dans son planeur,le vol à voile n’est pas une activité solitaire. Tout seul, lepilote n’a aucune autonomie. Il a besoin d’aide pour sor-tir son planeur, quelqu’un doit tenir l’aile pendant qu’ils’installe et accrocher la corde, et enfin, le planeur doit sefaire remorquer pour décoller. Dans les airs, les pilotescommuniquent entre eux à l’aide de radios et se donnentdes indications concernant les conditions de vol.

UN CLUB TRÈS UNIDe plus, il y a le côté social du club de vol-à-voile: tout estbasé sur le bénévolat. Les membres de l’association neviennent pas seulement pour voler, mais ils s’occupentégalement de l’entretien des machines, de l’administra-tion des membres, de l’école de vol et des manifestationsqui ont lieu régulièrement. Lionel Chapuis ne tarit pasd'éloges sur le groupe de vol à voile dont il est président de-puis 2012: «Nous sommes un club très uni. Les membress’engagent beaucoup dans les différentes activités et s’en-

Über den Wolken…Lionel Chapuis, Leiter Wasserkraftwerke in der Direk-tion Energie, ist passionierter Segelflugzeug-Pilot. Be-reits mit 16 Jahren machte er seinen Pilotenschein, istmittlerweile Ausbilder und seit 2012 Präsident der Segelfluggruppe Gruyère.Möchten Sie auch einmal das Segelfliegen ausprobie-ren oder jemanden mit einem Fluggutschein überra-schen? Der Segelflugclub bietet Flugtaufen und Passa-gierflüge an. Mehr Informationen auf der Homepagewww.aerodrome-gruyere.ch/vol-a-voile/.

Avec de bonnes conditions, un vol peut durer entre 5 à 6 heures.Bei guten Bedingungen kann ein Flug 5 bis 6 Stunden dauern.

Envie d’essayer?Pour toutes celles et ceux qui sont intéressés à devenir pilote de planeur, le club de vol-à-voileeffectue des vols d’initiation. Il propose également des volspassagers. Et pour faire plaisir àquelqu’un, il est possible d’offrir un bon de vol. Plus d’informationssur le site http://www.aerodrome-gruyere.ch/vol-a-voile/. L’aérodrome fête ses 50 ans les 10 et 11 août prochains.

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Suppression de lignesL’équipe de construction des lignes HT procède actuellement au démontage d’une ligne haute et moyenne tension dans lesGorges de l’Areuse, entre les postes des Moyats et la centrale de Combe-Garrot. Ce tronçon, d’une longueur de 3260 mètres,n’est plus utile suite à la reconfiguration du réseau HT sur lelittoral neuchâtelois mettant en œuvre le nouveau poste de Gorgier.Les travaux nécessiteront l’intervention d’un hélicoptère, commelors du démontage 2500 mètres de ligne au-dessus du Locle en début d’année. Cette dernière va être reconstruite avec unprolongement du tronçon souterrain.

Abbau von FreileitungenEine Equipe der Direktion Energieverteilung ist zurzeit mit demAbbau einer HS-MS-Freileitung in den «Gorges de l’Areuse»,zwischen den Posten von Moyats und Combe-Garrot, beschäftigt.Dieser Abschnitt mit einer Länge von 3260 m wird aufgrund des Baus einer neuen Leitung, die vom Posten von Gorgier bis zum Posten von Travers führt, nicht mehr benötigt. Wie beimAbbau der 2500m langen Freileitung über der Stadt Le LocleAnfang Jahr, die neu unterirdisch verlegt und zudem verlängertwerden soll, können auch diese Arbeiten nicht ohne Helikopterausgeführt werden. 21 en

bref

Couleurs locales à l’OelbergLe 28 mai dernier, une quinzaine de collaborateurs de la RTSont été accueillis à l’usine de l’Oelberg en basse-ville. L’équipe a filmé la centrale et réalisé de belles prises de vue de laSarine. Dominique Gachoud, directeur général, a été interviewésur la météo et les pluies abondantes du mois de mai, ainsi que sur l’origine de la centrale et du barrage de la Maigrauge. Le but de l’émission étant de se trouver à un endroit en adéquation avec le thème «au fil de l’eau»,celui-ci convenait parfaitement bien.

«Couleurs locales» im Kraftwerk OelbergAm 28. Mai waren ein gutes Dutzend Mitabeiter desWestschweizer Fernsehens RTS im Kraftwerk Oelberg zu Besuch. Thema der Sendung war: «au fil de l’eau»(flussabwärts).Sie haben in und um das Kraftwerk gefilmt und auch schöne Bilder der Saane gedreht. Dominique Gachoud, unser Generaldirektor, wurde zum Wetter, zu den ergiebigenRegenfällen, zum Ursprung des Staudamms Magere Au und zum Kraftwerk interviewt.

La croissance d’EntretecAlessandro Circelli, (à droite) responsable commercial, accueille le 50e collaborateur d’Entretec, Pascal Clément qui occupera la fonctionde technico-commercial. Depuis sa reprise par Groupe E en 2005,Entretec a connu une croissance importante, puisqu’à l’époque lasociété comptait 14 collaborateurs. Ce développement a été marquénotamment par l’ouverture d’une succursale à Lausanne en 2011.

Entretec wächstAlessandro Circelli, (rechts) kaufmännischer Leiter, begrüsst Pascal Clément, den 50. Mitarbeiter des Unternehmens, der alskaufmännisch-technischer Angestellter tätig sein wird. Seit der Übernahme von Entretec durch Groupe E im Jahr 2005 (damals 14 Mitarbeiter) erfreut sich das Unternehmen eines bedeutendenWachstums. Ein wichtiger Meilenstein war namentlich die Eröffnung einer Niederlassung in Lausanne im Jahr 2011.

NewsCentraleénergétiquede CornauxLe troisième numéro dumagazine CEC (pour cen-trale énergétique de Cor-naux) vient de sortir. Cetteédition, comme les précé-dentes, a été diffusée à plusde 8'000 exemplaires dansles communes proches dusite d’implantation de lafuture unité de production.Le magazine est disponibleen ligne sur www.centra-le-energetique.ch

Energiezentrale CornauxDie dritte Ausgabe des Magazins CEC (für CentraleEnergétique de Cornaux) wurde vor Kurzem veröf-fentlicht. Auch dieses Mal wurden wieder mehr als8'000 Exemplare in der Gemeinden rund um denkünftigen Standort der geplanten Produktionsanlageverteilt. Das Magazin steht unter www.centrale-ener-getique.ch in elektronischer Form zur Verfügung.

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Espace des Inventionsà LausanneQuand: Du mardi au samedi 14h-18h, dimanche et jours fériés 10h-18h jusqu’au 29 décembre 2013

Combien: Enfants (0-7): gratuit,enfants (7-16), étudiants, apprentis,chômeurs: 4 fr., adultes: 6 fr.

Quoi: INDESTRUCTIBLE ENERGIEest une exposition interactive où il s’agit cette de se familiariser avec un concept très souvent utilisémais rarement défini. En effet, si l’on fait référence presquequotidiennement à la notiond’énergie, on est en général bien en peine de la définir. C’est ainsiqu’à travers des expériences et des manipulations et avec l’aided'une famille de joyeux personnages, cette exposition va tenter de débroussailler la question.

www.espace-des-inventions.ch

Sentier «Riggli à la découvertede l’énergie» au Lac Noir,inauguration en juilletQuand: Sentier ouvert toute l’année

Combien: Forfait famille

Quoi: Le nain Riggli vous accueillera au Lac Noirsur les alpages de Riggisalp. Il propose un voyagepar les sens, dans le monde des énergiesrenouvelables. L’énergie du bois, du vent, du soleil ou de l’eau, et bien d’autres surprises sont à découvrir, en pleine nature. Il s’agit d’une balade agréable et à la portée de tous (durée: 2h, y compris activités proposées).

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Sorties en famille

Ecomusée de Saint-Sulpice (NE)Quand: D’avril à octobre, du lundi ausamedi. Fermé les dimanches et lesjours fériés. Visite guidée sur rendez-vous au 0840 40 40 30. Visiteindividuelle libre du sentier didactique.

Combien: Gratuit

Quoi: Notre écomusée de Saint-Sulpicevous fait découvrir l’histoire industrielledu Val-de-Travers ainsi que ses conteset légendes. Une balade envoûtanted’une heure et demie dans le cadrenaturel de la source de l’Areuse, en passant par deux centraleshydroélectriques du XIXe siècle et une centrale en service.

www.ecomusee.ch

Centrale de Veytaux au bord du lac Léman et barrage del’Hongrin près du Col des MossesQuand: Sur rendez-vous pour visiter la centrale de Veytaux au tél. +41 27 328 43 41. Le barrage est accessible par la route de juin à octobre.Combien: GratuitQuoi: Visite de la centrale souterraine de Veytaux pour comprendre le système de pompage turbinage en relation avec le barrage de l’Hongrin. Possibilité de rejoindre le barrage à pied, à vélo ou en voituredepuis La Lécherette.

www.alpiq.ch/visites

Centrale de Veytaux au bord du lac Léman et barrage del’Hongrin près du Col des MossesQuand: Sur rendez-vous pour visiter la centrale de Veytaux au tél. +41 27 328 43 41. Le barrage est accessible par la route de juin à octobre.Combien: GratuitQuoi: Visite de la centrale souterraine de Veytaux pour comprendre le système de pompage turbinage en relation avec le barrage de l’Hongrin. Possibilité de rejoindre le barrage à pied, à vélo ou en voituredepuis La Lécherette.

www.alpiq.ch/visites

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AteliersClientsPLUSDu 21 mai au 7 juin, tous les collaborateurs de la mai-son-mère ont participé à l’une des sessions Clients-PLUS «Partageons PLUS que l’énergie». L’objectif prin-cipal était: Pour partager PLUS que l’énergie avec nosclients, il faut tout d’abord bien les comprendre, vali-der leurs réels besoins mais aussi bien connaître notrepropre entreprise et toutes les richesses qu’elle peutoffrir. A cette fin, des ateliers – dont vous trouvez surcette page quelques illustrations réalisées à Sâles –ontété mis sur pied. Afin d’assurer l’alignement de tousles collaborateurs Groupe E à notre nouveau slogan,ces actions seront adaptées et déployées dans toutesles filiales dans le courant de cet automne.

Alle Mitarbeitenden von Groupe E waren eingela-den, zwischen dem 21. Mai und dem 7. Juni an einerder zahlreichen KundenPLUS Weiterbildung zumThema «Wir teilen MEHR als Energie» teilzuneh-men. Ziel der Workshops war es einerseits, die Kun-den besser verstehen zu lernen, um Ihren Bedürf-nissen besser gerecht zu werden und andererseitsunser Unternehmen und seine Aktivitäten besserkennen zu lernen, um die Kunden kompetent in-formieren zu können. Um sicherzustellen, dass alleMitarbeitenden hinter unserem neuen Slogan ste-hen, werden die Kurse in nächster Zeit überarbeitetund im Herbst in allen Filialen durchgeführt. ZurIllustration sehen Sie einige Fotos von den Work-shops, die in Sâles durchgeführt wurden.

Claude Gremion, directeurConseils & Stratégie transmet le message de la Direction.Claude Gremion, Direktor Beratung & Strategie übermitteltdie Botschaft der Direktion.

Travail en équipeTeamarbeit

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Que signifie pour vous le nouveauslogan? «Une meilleure écoute,bien me renseigner auprès des clients pour pouvoir lesorienter au bon endroit et aussipromouvoir nos produits.» Claude Chambettaz

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Les produits doivent être placés dans la bonne entreprise du groupe.Die Karten mit denProdukten müssen demrichtigen Unternehmen der Gruppe zugeteiltwerden.

Quelle attitude faut-ilencourager face à un clientterre-à-terre?Wie soll man sich gegenübereinem bodenständigenKunden Verhalten?

Place aux questions.Platz für Fragen.

Que signifie pour vousle nouveau slogan?«En plus de l’énergie,partageons toutes lesvaleurs et les produitsde notre entreprise(y.c. filiales).»Frédéric Richoz

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Louis Combremontavec ses petits-enfants Maël etAlexis.Louis Combremontmit seinenEnkelkindern Maël und Alexis.

Jacques Jeanneret avec sa petite-fille LinaJacques Jeanneret mit seiner Enkeltochter Lina

Retraites

Jacques JeanneretJacques Jeanneret est engagé à l’ENSA le 1er juillet 1974à titre de chauffeur et monteur MT/BT. Doté d’uneformation de tôlier en carrosserie et d’un permis deconduire pour poids lourds, il assumera durant toutes ces années des activités diverses: travaux de serrurerie,montage dans les postes de transformation, réparations de véhicules, conduite de poids lourds et fabrication de pièces. Parmi tous ces travaux, il a particulièrementapprécié ceux qui consistaient à équiper les véhicules de ses collègues se rendant sur les chantiers. A sa retraite, Monsieur Jeanneret va s’adonner avec plaisirà des travaux de ferronnerie. En effet, il dispose d’unatelier aménagé en forge. C’est ainsi qu’il participera auxfêtes médiévales organisées à Saint-Ursanne, car il lui tient à cœur de faire vivre l’ancien métier de forgeron.De plus, il est passionné de locomotives à vapeur et actifau sein d’une association. Entre-deux, il fera du vélo, de lamoto et s’occupera de son jardin à Montezillon.

Louis CombremontEn 1968, Louis Combremont commence un apprentissage de monteur électricien aux EEF. Après quatre années de formation et sondiplôme en poche, il est engagé à Grandcour. Il exerce ses activités au sein des installations intérieures jusqu’en 2002 pour ensuitereprendre le poste d’agent technique clientèle à Payerne. Très attaché à son village, il y soigne ses contacts et s’occupe d’une clientèle qui s’étend dans toute la Broye. Parmi les travaux effectués, M. Combremont mentionne la réalisation de l’installation électrique de l’usine de terreau Bachmann à Chevroux, ainsi que celle d’une villa dont la construction a duré deux ans et demi et coûté CHF 25millions. Il sera aussi, durant quelques années, le spécialiste de la pompe à chaleur.Amoureux de la moto, Louis a participé durant plusieurs années à des rallyes internationaux. Aujourd’hui, il roule pour le plaisir sur les routes suisses avec son épouse Irène. Son rôle de Papi et son talent de bricoleur amoureux du travail bien fait lui promettent une belle retraite active.

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Marcel Richard en randonnée à ski à la Rosablanche Marcel Richard auf einer Skitouren auf dem Rosablanche

Marcel Schmutz estpassionné de mécanique, il retape avec bonheur untracteur Hürlimann.Marcel Schmutz ist einleidenschaftlicherMechaniker. Hier renoviert er mit viel Elaneinen Hürlimann Traktor.

Marcel Schmutz estpassionné de mécanique, il retape avec bonheur untracteur Hürlimann.Marcel Schmutz ist einleidenschaftlicherMechaniker. Hier renoviert er mit viel Elaneinen Hürlimann Traktor.

Marcel RichardDiplômé de l’Ecole d’ingénieur à Genève en 1969, Marcel Richardcommence sa carrière professionnelle auprès de la maison Brown,Boveri & Cie. Son expérience d’expatrié a marqué sa vie: départ en 1981 direction l’Afrique du Sud – en voiture! – avec sa femme et sa première fille de 6 ans, où il travaillera durant 13 ans. Les gigantesques chantiers de centrales électriques lui laissent un souvenir très vivant, où les autochtones et les expatriés de toutes nationalités collaborent à la construction d’usinesthermiques de grande puissance. De retour en Suisse, Marcel Richard est engagé à l’ENSA en 1994 comme adjoint au chef de la division études et constructions. A partir de 2002, il travaillera en qualité de responsable de projets HT. Marcel Richard n’a aucune crainte de s’ennuyer durant sa retraite, il va déménager dans sa propriété du Chablais vaudois. Avec son épouse Evelyne, il souhaite rénover la maison. Il continuera à consacrer du temps à ses petits-enfants, profitera de voyager et de pratiquer ses sports favoris: la randonnée alpine et le skide randonnée.

le p

erso

nnel

Retraites / Pensionnierte

HubertCotting

DEN - EXPLOITATIONTHERMIQUE &

ENVIRONNEMENTPOSIEUX

31.05.2013

FrancisDewarrat

DEN – EXPLOITATIONHYDRAULIQUE

BROC31.05.2013

Marcel SchmutzMarcel Schmutz commence sa carrière à l’usine d’Hauterive en avril 1992.Le premier souvenir qui lui vient à l’esprit est le nettoyage du barrage deRossens à l’occasion du 60e anniversaire de sa construction. Avec soncollègue, ils ont traqué mousse et plaques de calcaire au karcher surenviron 15000 m2. Il s’est aussi occupé du petit train qui descend aubarrage et du renouvellement de ses rails. Mécanicien de formation, il a participé à maintes révisions de vannes et de turbines et, polyvalent, il a réparé des chaudières et des moteurs à gaz sur différents sites. Depuis 2001, il travaille à l’atelier mécanique de SAIDEF à Posieux. Durant une période de deux ans, il retournera à Hauterive pour effectuer le démontage de l’ancienne turbine et le montage de la nouvelle. La mécanique, il adore, chez lui à la maison aussi. La preuve: ilcollectionne quatre anciens tracteurs dont un Hürlimann et un Fergussonqu’il compte retaper cet été avec son dernier fils à qui il transmet sonsavoir. Passionné de motos, il a conservé sa première acquisition uneHonda 750 de 1971 et aujourd’hui, il roule pour le plaisir. Enfin, engagé au niveau politique, il rempile cette année pour un 4e mandat au sein de sa commune de Pont-en-Ogoz.

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Daniel StempfelDaniel a commencé sa longue carrière professionnelle aux EEF en 1971 par un apprentissage de monteur électricien, à Le Mouret.Ses connaissances, son savoir-faire, mais surtout sa passion pour ce métier l’ont mené dans un parcours professionnel pavé de promotions et de nominations. De jeune électricien à la Centralede Hauterive, Daniel a poursuivi son chemin dans les aménagementshydroélectriques pour arriver en 2001 à l’Oelberg, commeResponsable de Centrale. Les barrages, les centrales électriques et tout ce monde de l’énergie n’avaient presque plus de secretspour lui, il connaissait toutes les installations complexes et toutesles finesses pour les faire fonctionner. Ses qualités de Responsablede Centrale étaient connues loin à la ronde. Il assumait parfaitement ses responsabilités et ne rechignait jamais à aider ses collaborateurs sur le terrain si l’urgence se faisait sentir.

Daniel adorait aller à la cueillette des champignons. Il n’était pas rare de le voir redescendre de la montagne avec des paniers pleins à ras bord de bolets et de chanterelles. Les sociétés villageoises pour lesquellesDaniel travaillait sans compter vont le regretter. Daniel œuvrait souvent dans l’ombre pour la réussite desgrandes fêtes de musique, de foot et bien d’autres. Le Bon Dieu a dû avoir une grosse panne de turbine et ne connait apparemment pas nos processus RH pour venir chercher Daniel au Barrage de la Maigrauge,sans lui laisser le temps de nous dire au revoir.

Nos pensées et notre sympathie vont à son épouse Nicole, sa fille Amélie, ses deux garçons Ludovic etQuentin, et à toutes les personnes que le départ de Daniel laisse dans la peine.

Jean-Pierre Vaucher et les collaborateurs de la Centrale de l’Oelberg

Christian CorminboeufNé en octobre 1955 au sein d’une fratrie de sept enfants, Christian,dont le papa était menuisier, fit un apprentissage d’installateur-sanitaire et ferblanterie auprès de l’entreprise Marcel Corminboeuf à Domdidier. Désireux de relever un nouveau défi, il décida par la suite avec un associé de monter sa propre affaire en chauffage-sanitaire-ferblanterie. En 2006, Christian fut engagé en qualité de monteur en chauffage spécialiste PAC auprès de la succursalede Groupe E Connect à Payerne où ses compétences techniques,particulièrement au niveau hydraulique et ventilation, ainsi que son caractère agréable et constant furent grandement appréciés.

Footballeur dans l’âme, il joua au FC Vallon, club de la région, durantquelques années, il fit également partie de la société de tir de Delley-Portalban et de la société des amisdes oiseaux de Fribourg; passionné de moto, il aimait également faire des balades et découvrir la région.

Quinze mois de maladie ont eu raison de cet homme dont la vie fut placée sous le signe de la discrétion et de la chaleur humaine et qui a vécu ses derniers mois avec élégance et courage. Nos pensées et notre sympathie vont à sa maman, à ses enfants et petits-enfants, ainsi qu’à tous ses proches que son départ laisse dans la peine.

Pierre-André Ballaman

Décès

Décèsretraités

RenéThalmannFRIBOURG87 ans

11.03.2013

RenéSansonnensCORPATAUX87 ans

12.03.2013

FrançoisTalabotMEYRIN76 ans

19.03.2013

LucienNiklausGORGIER87 ans

28.03.2013

GeorgesPythonFRIBOURG88 ans

09.04.2013

JosefKaeserALTERSWIL65 ans

18.04.2013

Page 31: Au Contact juin 2013

Nouvelles du personnel

MarcBaehler

CONSTRUCTIONVILLARS-SUR-GLÂNE

ELECTRICIENHobbies: moto,aero-modélisme

Coralie Barthlomé

GROUPE E ENTRETECASSISTANTE DE DIRECTION

Hobbies: volley,lecture

ClaudeBerset

GROUPE E CONNECTRESPONSABLE

COMMERCIAL TEHobbies: football,hockey, montagne

Stephan-CemBezecioglu

GROUPE E CONNECTGESTIONNAIRE EN

LOGISTIQUEHobbies: course à pied, football

JulienBigler

GROUPE E CONNECTELECTRICIEN DE RÉSEAUHobby: slackline

LaurentBallif

GROUPE E CONNECTDÉPANNEUR ENTABLEAUX ÉLECT.

Hobby: modélisme

SilvianeBrodard

GROUPE E ENTRETECRESPONSABLE

ADMINISTRATIONHobbies: balades,lecture, cinéma

BenoîtBuchs

INF-/KOMM-TECHNOLOGIE

LEITER INFRASTR.,NETZE & ARBEITSP.Hobby: Skifahren

Jean-DanielCramattePRODUCT

MANAGEMENTINGÉNIEUR

EN EFF. ÉNERG.Hobby: voile

Najib AhmedDakir

GROUPE E CONNECTINSTALLATEUR-ÉLECTRICIEN

Hobbies: musique,cinéma, voyages

LaurentDemierre

GROUPE E ENTRETECTECHNICIEN SAV –

ENERGIE Hobbies: famille,sports motorisés

SandrineDucret

GROUPE E CONNECTSECRÉTAIREHobbies:

nature, marche,vélo

MartineGenoud GROUPE E

ELECTROMÉNAGERVENDEUSE

Hobbies: jardinage,ski, randonnée

JamesGiuliani

GROUPE E ENTRETECTECHNICIEN EN

TRAITEMENT D’EAUHobbies: fitness,

marche

ChristopheGrandjean

RESP. COMPTABILITÉET CREDIT

MANAGEMENTHobbies: famille,

ski, cuisine

FrançoisDombre

GROUPE E CONNECT TECHNICIEN

D’INSTALLATIONHobbies: lecture,

voyages

WalterHofer

AGENT TECHNIQUECLIENTÈLE PAYERNE

Hobby: pétanque

PhilippeJungo

GROUPE E ENTRETECTECH. SAV – CCF BOIS

Hobby: musique

CliveKolb

GROUPE E ENTRETECTECH. SAV – ENERGIE

Hobbies: pêche, moto

FrankKuhn

GROUPE EELECTROMÉNAGERTECHNICIEN SAV Hobby: voyage

StéphaneJobin

GROUPE E CONNECTINSTALL-ÉLECT. T&T

Hobby:champignons

AlexandreBrülhartTHERMIQUEINGÉNIEUR

CHEF DE PROJETSHobbies: ski,

natation, badminton

29 le p

erso

nnel

Nous souhaitons la bienvenue aux nouveaux collaborateurs. / Wir heissen die neuen Mitarbeiter herzlich willkommen.

HervéBouchetPRODUCT

MANAGEMENTINGÉNIEUR

EN EFF. ÉNERG.Hobby: wakeboard

Page 32: Au Contact juin 2013

30 le p

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nnel

Jean-MarcKuhn

GROUPE E CONNECTTECHNICO-

COMMERCIAL PACHobbies: VTT, ski, montagne

Pierre-AlainMaillardPRODUCT

MANAGEMENTSPÉCIALISTE EDMHobbies: ski,

cuisine, natation

Antonio ManuelMarques MartinsGROUPE E CONNECT

INSTALLATEUR-ÉLECTRICIEN

Hobbies: vélo, sport en général

MatoMazalovic

GROUPE E CONNECTPROJET. EN TECHN. DUBÂTIMENT CHAUFFAGEHobbies: sports

automobiles, dessin

PatrickMorand

GROUPE E CONNECTINSTALLATEURÉLECTRICIEN

Hobby: folklore trad. gruyérienne

SergioLopes

GROUPE E CONNECTACQUISITEUR

TECHNIQUE FTTHHobby: football

AlexandreMorin-Guimond

THERMIQUETECHNICIEN

D’EXPLOITATIONHobbies: escalade,ski hors-piste

FrédéricPache

GROUPE E CONNECTTECHN. EFFICIENCE

ÉNERGÉTIQUEHobby:

modélisme

PierrePapaux THERMIQUE

RESP. DÉV. PROJETSTHERMIQUESHobbies: ski,

sports en montagne

AnouckPerret

GROUPE E CONNECTAUTOMATICIENNE

Hobbies: lecture, dessin,

voile

SreckoObradovic GROUPE E

ELECTROMÉNAGERLIVREUR-INSTALLATEURHobbies: hockey,

foot, ski

ChristophePilloud GROUPE E

ELECTROMÉNAGERVENDEUR

Hobbies: football,fitness

EtienneQuin

GROUPE E CONNECTPLANIFICATEUR-ÉLECTRICIEN

Hobbies: musique,natation, vélo

JérômeRoulin

GROUPE E ENTRETECTECHNICIEN EN

TRAITEMENT D’EAUHobbies: VTT,escalade

YanRuckstuhlEXPLOITATIONINGÉNIEUR

D’EXPLOITATIONHobbies: voyage,bandes-dessinées

EmilieSchmutz

DSESECRÉTAIRE-ASSISTANTE

Hobbies: fitness,cinéma, lecture

AlainPittetVENTE

KEY ACCOUNTMANAGER

Hobbies: VTT, ski, famille

JoachimSegui

GROUPE E CONNECTPLAN.-ÉLECT. MT

Hobby: batterie

RogerWaser

AGENT TECHNIQUECLIENTÈLE COURGEVAUXHobbies: sport,marche, foot, ski

MathiasWinzig

MANAGER KURZFRIST-PORTFOLIO

Hobbies: Musik,Sport

PascalVauthey

EXPLOIT. THERMIQUE& ENVIRONNEMENT

MÉCANICIENHobby: karting

SerhanOzveren

GROUPE E CONNECTAUTOMATICIENHobbies: fitness, natation

Nouvelles du personnelNous souhaitons la bienvenue aux nouveaux collaborateurs. / Wir heissen die neuen Mitarbeiter herzlich willkommen.

Page 33: Au Contact juin 2013

Echos médiatiquesCette rubrique vous présente les principaux reflets médiatiques de Groupe E des trois derniers mois.

Freiburger Nachrichten, 26.03.2013Groupe E gibt sich einen neuen visuellen Auftritt.Der Energieversorger Groupe E hat sich eine optischeAuffrischung verpasst. Damit sollen die Werte, die Visionund die Identität des Unternehmens deutlicher werden. Der neue Auftritt umfasst auch die TochtergesellschaftenGroupe E Connect, Groupe E Entretec, Groupe EElectroménager und Groupe E Greenwatt.

PME Magazine, 01.04.2013Groupe E s’implante à Payerne. Les bonnes nouvelless’enchaînent pour la commune vaudoise. Le producteur etdistributeur d’électricité Groupe E a en effet signé l’acted’achat d’une parcelle à l’Aéropôle, où il installera soncentre d’exploitation pour la Broye et le district fribourgeoisdu Lac d’ici à 2015 et y réunira près de 60 collaborateurs.

La Liberté, 08.04.2013Groupe E Connect: Dix ans de croissance. A l’occasion de ses dix ans d’existence, Groupe E Connect entendpoursuivre sa stratégie de croissance. Elle emploieactuellement 400 collaborateurs et 130 apprentis contre170 employés et 80 jeunes en formation il y a dix ans.Groupe E Connect vient en outre d’agrandir son bâtimentprincipal situé à Matran.

L’Express/L’impartial, 30.04.2013Partenariat inédit en Suisse. La collaboration entre la Société électrique du Val-de-Travers et Groupe Eproposera dès janvier 2014 du courant à des tarifsuniformes dans toute la région. A l’avenir, la SEVT assureranon seulement la construction et la maintenance de son réseau électrique, mais également celui de Groupe Epour l’ensemble du Vallon et de Brot-Dessous. Groupe Edeviendra, lui, le seul fournisseur d’électricité du secteur.Un partenariat gagnant-gagnant.

La Gruyère, 02.05.2013Estavannens va être à la pointe de la technologie. La localitéde Bas-Intyamon sera la première commune rurale

à bénéficier du très haut débit. Un symbole pour montrer le désir d’éviter une «fracture numérique» dans le canton.

L’Express/L’Impartial, 03.05.2013Neuchâtel entre au capital de Groupe E Greenwatt. L’entréedu canton de Neuchâtel au capital de Groupe E Greenwattse concrétise. Les actionnaires de l’entreprise ont donnéjeudi leur feu vert lors de leur assemblée générale. Ils ont également nommé le conseiller national Laurent Favre au conseil d’administration.

Freiburger Nachrichten, 23.05.2013Gewinner: Mehr Strom und viel Grundwasser. Freuen über den Regen kann sich der Energiekonzern Groupe E.Im Zehnjahresvergleich liegen diesen Frühling die Niederschlagsmengen um 25 Prozent höher. Je mehr es regnet, desto mehr Strom lässt sichproduzieren. Diesen Frühling habe man im Vergleich zu den letzten zehn Jahren 18 Prozent mehr Stromproduzieren können.

Le Temps, 24.05.2013Groupe E est entré dans l’actionnariat de glass2energy (g2e). Cette société vaudoise affirme être la première au monde ayant mis au point un processus industriel pour la fabrication de panneaux solaires photovoltaïquestransparents et entièrement en verre.

La Liberté, 25.05.2013 et plusieursautres médias dans toute la SuisseLes résultats 2012 sont plombés par les participations dans Alpiq et BKW. La perte nette de Groupe E s’élève à 163 millions. Hors effets exceptionnels, l’entreprise a réalisé une bonne performance opérationnelle: cash-flow et résultat net sont en hausse.

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