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Baromètre pour les PME 2015 Tableau de bord financier et fiscal des PME belges

Baromètre pour les PME 2015 Tableau de bord … · Baromètre pour les PME 2015 Tableau de bord financier et fiscal des PME belges 3 Bienvenue Deloitte Fiduciaire a le plaisir de

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Baromètre pour les PME 2015Tableau de bord financier et fiscal des PME belges

3 Bienvenue

4 Les 9 indicateurs-clés

6 La rose de positionnement

8 Le groupe de référence

10 La réserve de liquidation porte ses fruits

12 Évolution du chiffre d’affaires: la fracture entre les entreprises de croissance et les autres PME s’accroît

14 Reprise de la productivité et du rendement - le secteur de la construction reste en proie à des difficultés

16 Reprise de l’emploi

18 Une PME médiane paie 28 % d’impôt des sociétés sur le bénéfice comptable 20 Empreinte fiscale 22 Pour la première fois en 4 ans, la valeur des PME a augmenté 25 La performance financière des sociétés d’exploitation

26 La performance financière de quelques secteurs importants

34 Quelle est la santé financière de votre entreprise?

36 Deloitte Fiduciaire connaît le monde des PME comme nul autre

37 Nos bureaux régionaux

Table des matières

Baromètre pour les PME 2015 Tableau de bord financier et fiscal des PME belges 3

BienvenueDeloitte Fiduciaire a le plaisir de vous présenter, pour la onzième année consécutive, son Baromètre pour les PME. Celui-ci constitue aujourd’hui un outil de référence et de travail pour une multitude de chefs d’entreprise, gérants et analystes. Il offre une image réaliste de la performance financière de nos PME et entreprises familiales belges. Deloitte vise à continuellement partager sa vaste expérience et ses connaissances poussées du marché avec ceux qui, jour après jour, donnent forme à leurs idées et osent prendre les risques nécessaires. Plus de 2.600 entreprises familiales ont été soumises à une analyse poussée de 9 indicateurs financiers, sur la base de données chiffrées publiques, mais aussi non publiques. Souhaitez-vous déterminer la position de votre entreprise par rapport à d’autres entreprises de votre secteur? Le Baromètre des PME constitue un outil de comparaison idéal à cet égard.

Cette année, le Baromètre des PME a décidé de se pencher sur l’empreinte fiscale. Cette dernière calcule l’ampleur de la contribution d’une entreprise à l’État. Vous y trouverez de plus amples explications pour plus d’efficacité au niveau fiscal. Cette édition en résume les conclusions les plus frappantes. Vous trouverez toutes les informations sur www.barometrepme.be.

Le Baromètre des PME peut vous aider à continuer à définir votre orientation stratégique. UCM souhaite également mettre en avant l’entrepreneuriat positif. Cette organisation d’entrepreneurs souhaite revitaliser notre paysage des PME, croissant, et joue clairement la carte du “Made in Belgium”. Avec plus de 2,4 millions d’emplois, nos PME et entreprises familiales sont la force motrice de notre économie.

Être le partenaire de vos affaires fait partie de notre ADN. “Entreprendre ensemble”, telle est notre devise!

Arnaud Deplae Nikolaas Tahon Secrétaire général UCM Managing Partner Deloitte Fiduciaire

www.deloitte-fiduciaire.be #baromètrepme

4

Les 9 indicateurs-clés

Critère d’évaluation Ratio Définition Remarque

Solvabilité réelle Fonds propres réelsTotal du passif

Fonds propres + Comptes courantsTotal du passif

Les comptes courants (C/C) des actionnaires, associés, administrateurs ou gérants sont considérés comme des quasi-fonds propres.

Capacité de remboursement

Couverture des obligations financières à court terme par le cash-flow opérationnel net

Cash-flow opérationnel netDettes à plus d’un an échéant dans l’année + intérêts nets sur les fonds de tiers (hors intérêts sur compte courant)

Le cash-flow opérationnel net est le cash-flow après impôts que l’entreprise génère par ses activités, sans tenir compte des coûts du financement ou du produit des placements financiers.

Liquidités Current ratio Actifs circulants (corrigés) Fonds de tiers (corrigés) à court terme

Nous ne tenons pas compte des comptes courants des actionnaires et chefs d’entreprise, ni dans le numérateur ni dans le dénominateur.

Besoin en fonds de roulement

Besoin en fonds de roulement Produits d’exploitation

Stocks + (créances opérationnelles – dettes opérationnelles) à court termeProduits d’exploitation

Besoin en fonds de roulement: hors C/C des gérants/administrateurs.Produits d’exploitation, hors récupération des charges sociales.

Marge valeur ajoutée pure Valeur ajoutée pureProduits d’exploitation

Produits d’exploitation – achats – services externes et marchandises divers Produits d’exploitation

La valeur ajoutée pure ne tient pas compte de la récupération des charges sociales, des coûts d’intérim et des rémunérations des administrateurs. Ces trois postes sont considérés ici comme des coûts salariaux.

Baromètre pour les PME 2015 Tableau de bord financier et fiscal des PME belges 5

Critère d’évaluation Ratio Définition Remarque

Importance du coût du travail dans la valeur ajoutée

Charges socialesValeur ajoutée pure

Charges salariales réellesValeur ajoutée pure

Les charges salariales réelles sont les charges salariales majorées des coûts d’intérim et des rémunérations des administrateurs. La récupération des charges sociales de l’employeur est déduite de ce poste.

Rendement opérationnel EBITDAChiffre d’affaires

EBITDAChiffre d’affaires

L’EBITDA (Earnings before interest, taxes, depreciation and amortization) élimine l’impact du financement, des méthodes d’évaluation appliquées et du régime fiscal sur le résultat de l’entreprise et constitue dès lors une excellente base de comparaison du rendement des entreprises, les unes par rapport aux autres.

Rendement financier net Rendement net Bénéfice net + charge d’intérêt nette sur compte courantFonds propres réels

Dans cette étude, nous considérons le C/C et les avances des administrateurs comme des fonds propres. Dès lors, nous ne comptabilisons pas les rémunérations qu’ils perçoivent en tant que coût, mais bien en tant que quasi-dividende.

Retour sur capital investi ROCE(Return on capital employed)

EBITFonds propres réels +Fonds de tiers porteurs d’intérêt

EBIT = Earnings before interest and taxes (résultat d’exploitation).

6

La rose de positionnement

La rose de positionnement nous permet de situer une entreprise ou un groupe d’entreprises par rapport à un groupe d’autres entreprises, appelé groupe de référence, en fonction de certains ratios financiers.

Chacun des 9 axes de la rose représente un indicateur. Au centre de la rose, nous positionnons les entreprises qui réalisent les scores les plus faibles dans le groupe de référence (percentile 0). L’entreprise qui réalise les meilleurs scores dans le groupe de référence est positionnée sur le cercle extérieur (percentile 100). Les quadrants pour le groupe de référence se trouvent à l’intersection des cercles et des lignes. Le plus petit cercle à l’intérieur représente le percentile 25 (Q1), le cercle du milieu représente l’entreprise médiane ou le percentile 50 (Q2). Quant au troisième cercle, il correspond au percentile 75 (Q3).

Concrètement, pour calculer la valeur d’un indicateur pour 100 entreprises, il convient de trier les valeurs obtenues de la plus petite (faible) à la plus grande (meilleure).

Q0 = valeur de l’entreprise qui réalise les scores les plus faibles (cœur de la rose).

Q1 = valeur de la 25e entreprise. 24 entreprises réalisent donc de moins bonnes performances.

Q2 = valeur de la 50e entreprise (entreprise médiane).

Q3 = valeur de la 75e entreprise. A 25 près, cette entreprise est la plus performante.

Q4 = valeur de l’entreprise la plus performante (le cercle le plus à l’extérieur de la rose).

Lors de l’évaluation d’un groupe d’entreprises, nous croisons pour chaque axe les scores (Q1, Q2, Q3, Q4) du groupe. En reliant les points des différents axes, nous obtenons quatre polygones qui traduisent en un clin d’œil la situation financière du groupe d’entreprises.

Lors du positionnement d’une entreprise individuelle, nous indiquons sur chaque axe la valeur du ratio de l’entreprise en question et obtenons ainsi un polygone qui reflète la situation financière de l’entreprise.

Plus les polygones sont grands, plus les différents ratios de l’entreprise individuelle (ou du groupe) sont bons. Un polygone parfaitement arrondi indique une structure financière équilibrée de l’entreprise.

Baromètre pour les PME 2015 Tableau de bord financier et fiscal des PME belges 7

Q4

Q3

Q2

Q1

Q0

Charges salariales / Valeur ajoutée Valeur ajoutée / Produits d’exploitation

EBITDA / Chiffres d’affaires

Rendement financier net

Retour sur capital investi

Fonds propres réels / Total du passif

Couverture des obligations financières à court terme par le cash-flow

opérationnel net

Current ratio

Besoin en fonds de roulement / Produits d’exploitation

Structure financière & capacité de remboursement

Valeur ajoutée & intensité du travail

Liquidité & gestion de fond de roulementRentabilité

8

Le groupe de référence

Nos analyses standard annuelles vous permettent de comparer la performance financière de votre entreprise à celle de la PME belge moyenne.

À cet effet, nous avons constitué un groupe de référence de 2.600 sociétés (comptes annuels statutaires). Chaque société satisfait aux conditions suivantes:• L’entreprise satisfait à la règle du going concern. Les

entreprises en liquidation ont été exclues.• Le dernier exercice de l’entreprise se clôture entre le

30 septembre 2014 et le 31 mars 2015.• Les entreprises à l’exercice prolongé ou raccourci n’ont

pas été retenues dans le groupe de référence. Les ratios calculés sur la base de comptes annuels représentant un exercice prolongé ou raccourci donnent en effet une image déformée de la position financière réelle et de la rentabilité de l’entreprise.

Pour chaque analyse et chaque ratio clé, nous avons exclu du benchmark les 3 % des observations plus élevées et les 3 % des observations les plus basses 1. Les valeurs extrêmes faussent en effet les valeurs de référence et donc également le portrait financier global. Le sixième indicateur, “charge salariale/valeur ajoutée”, est en outre uniquement calculé pour les entreprises qui emploient du personnel.

Le graphique ci-contre illustre la composition de notre groupe de référence:• 49% des entreprises de notre groupe de référence

n’emploient pas de personnel.

• 31% des sociétés emploient moins de 10 personnes. 16% des entreprises disposent d’un effectif de 11 à 50 personnes. 4% des entreprises du groupe de référence emploient plus de 50 personnes.

• 97% des entreprises génèrent un chiffre d’affaires de 25 millions d’EUR ou moins. La majeure partie d’entre elles (88%) réalisent un chiffre d’affaires annuel de maximum 6,25 millions EUR.

• Nous distinguons également les durées d’existence suivantes:- 35% des entreprises sont actives depuis moins de

10 ans dans leur secteur.- 73% des entreprises sont actives depuis moins de

25 ans dans leur secteur.- 27% des entreprises sont déjà actives depuis plus de

25 ans dans leur secteur.• 68% des entreprises du groupe de référence font partie

intégrante d’un groupe.• Mais pas moins de 85% des entreprises ont un

caractère familial. Il s’agit d’entreprises dont plus de la moitié des actions sont détenues par une seule famille et dont plus de la moitié des administrateurs font partie de ladite famille.

• 38% des entreprises du groupe de référence sont des holdings, des sociétés de patrimoine ou des sociétés de management. Les 62% restants sont des sociétés d’exploitation actives dans la construction, l’industrie, le commerce, l’agroalimentaire ou le secteur des services.

2600sociétés (comptes annuels statutaires)dans le groupe de référence

1 Les ratios pour lesquels une valeur nulle devait être intégrée dans le dénominateur n’ont pas été repris dans le benchmark.

Baromètre pour les PME 2015 Tableau de bord financier et fiscal des PME belges 9

2500

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0

2500

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2500

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0

0 ET

P

> 50

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0 ET

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< 6.

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TypeGroupeAgeChiffre d’affaires (000 EUR)Effectifs

2500

2000

1500

1000

500

0

Effectifs Chiffre d’affaires (000 EUR) Age

0 ETP 1.279 49% < 6.250 2.303 88% 0-3 a. 213 8%

1 - 10 ETP 818 31% < 12.500 136 5% 4-10 a. 699 27%

11 - 50 ETP 404 16% < 25.000 92 4% 11 - 25 a. 983 38%

> 50 ETP 99 4% > 25.000 69 3% > 25 a. 705 27%

Type Groupe

Entreprises familiales belges 2.213 85% Entreprises intégrées à un groupe 1.764 68%

Entreprises non familiales belges 273 11% Entreprises non intégrées à un groupe 836 32%

Filiales internationales 114 4%

10

La réserve de liquidation porte ses fruits

Nous obtenons la solvabilité réelle de l’entreprise en ajoutant aux “fonds propres” les fonds quasi propres, à savoir les emprunts subordonnés et comptes courants des actionnaires, des associés, des administrateurs et des gérants. Bien souvent, les actionnaires familiaux financent leur entreprise principalement avec des comptes courants, ce qui doit être tout autant considéré comme du capital à risque que comme un tampon financier pour tiers. Les fonds propres réels se composent par conséquent de trois éléments notables: capital, bénéfices réservés (sous la forme ou non de réserves) et comptes courants.

Fin 2014, la société d’exploitation moyenne affichait une solvabilité réelle de 51,1%. Les principaux bailleurs de fonds de nos PME sont donc les actionnaires propres et les administrateurs/gérants. Citons également l’importante solvabilité réelle du premier quartile (plafond des 25% des entreprises les moins performantes), à savoir 27,1%.

Au cours de ces dernières années, la composante “capital” a systématiquement gagné en importance dans la constitution des fonds propres réels. À la fin de 2011, les fonds propres réels se composaient en moyenne à 26,7% de capital 2.

Fin 2014, le capital représentait en moyenne 30,2% des fonds propres réels. L’introduction de la réserve de liquidation dans le courant de 2013 peut l’expliquer.

2 Seules les PME affichant des fonds propres positifs sont prises en compte.

0%

20%

40%

60%

80%

100%

26,7%

15,8%

57,6%

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26,6%

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54,9%

28,8%

15,6%

54,2%

30,2%

2011 2012 2013 2014

Quasi-fonds propresRéservesCapital

Composition des fonds propres réels

2011

3,2%

2012

3,3%

2013

8,4%

2014

5,3%

% des PME qui ont augmenté leur capital

Le nombre d’entreprises ayant procédé à une augmentation de leur capital en 2013 a sensiblement progressé par rapport aux années précédentes. Il est question de pas moins de 8,4% des PME reprises dans notre Baromètre PME. En 2014, 5,3% des PME ont de nouveau augmenté leur capital.

Baromètre pour les PME 2015 Tableau de bord financier et fiscal des PME belges 11

12

En 2014, 47,9% des PME d’exploitation ont réalisé une croissance réelle du chiffre d’affaires par rapport à 2011. On entend par croissance réelle du chiffre d’affaires, une croissance au-delà de l’inflation. En 2014, les prix à la consommation ont augmenté de 3,17% en moyenne par rapport à 2011. Enfin, 6,2% des entreprises ont bien vu leur chiffre d’affaires progresser au cours des 3 dernières années, mais dans une mesure inférieure au taux d’inflation moyen. Pour ce groupe d’entreprises, on ne peut donc parler que d’une croissance nominale du chiffre d’affaires. En 2014, l’entreprise médiane affichait une croissance du chiffre d’affaires de 16,5%.

En 2014, 45,9% des PME ont encore été confrontées à une baisse de leur chiffre d’affaires. Ce repli s’élevait à 15,7% pour la PME médiane. En 2012, ce repli se limitait encore à 9%. La fracture entre entreprises de croissance et autres PME s’est, en d’autres termes, considérablement accrue au cours de ces 3 dernières années.

Le même phénomène touche les différents secteurs. Ainsi, un nombre record d’entreprises du secteur des services (57,3%) a enregistré une croissance réelle de son chiffre d’affaires en 2014. La croissance moyenne de celui-ci par rapport à 2011 a atteint 21,2%.

Évolution du chiffre d’affaires La fracture entre les entreprises de croissance et les autres PME s’accroît

43,4%

7,3%

49,3%

32,0%

5,6%

62,4%

52,1%

8,4%

39,5%

40,0%

8,1%

51,9%

39,8%

4,3%

55,9%

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44,5%

6,9%

48,6%

35,9%

8,6%

55,5%

51,5%

8,0%

40,5%

38,7%

7,1%

54,2%

42,5%

4,5%

53,0%

47,9%

6,2%

45,9%

39,2%

6,3%

54,5%

57,3%

5,8%

36,9%

41,5%

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52,0%

47,1%

6,3%

46,6%

# Baisse du chiffre d'affaires # Croissance nominale du chiffre d'affaires # Croissance réelle du chiffre d'affaires

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2012 versus 2011 2013 versus 2011 2014 versus 2011

Évolution du chiffre d’affaires 2012, 2013, 2014 vs 2011

Baromètre pour les PME 2015 Tableau de bord financier et fiscal des PME belges 13

13,3%16,7% 16,2%

10,5%12,0%

-20

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8,9%

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-13,8%

10,3%

-10,5%

7,5%

-7,9%

10,9%

-8,4%

-12,9%

-17,8%-15,4%

-12,3% -12,2%

16,5%14,3%

21,2%

15,2%12,8%

-15,7%-18,3%

-16,4%-13,8%

-16,6%

Q2 - Baisse du chiffre d'affaires Q2 - Augmentation du chiffre d'affaires

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2012 versus 2011 2013 versus 2011 2014 versus 2011

Évolution du chiffre d’affaires 2012, 2013, 2014 vs 2011

36,9% des entreprises du secteur des services ont cependant assisté lors de la même période à un repli de leur chiffre d’affaires, et ce de 16,4% pour l’entreprise médiane. En 2012, ce repli se limitait encore à 10,5%.C’est dans le secteur de l’industrie que le plus de PME ont été confrontées à une perte du chiffre d’affaires. Fin 2013, encore 55,9% des entreprises industrielles affichaient une perte du chiffre d’affaires. Fin 2014, ce chiffre était tombé à 46,6%. La perte de chiffre d’affaires médiane dans ce groupe d’entreprises a pratiquement doublé au cours de ces 3 dernières années, passant de 8,4% en 2012 à 16,6% en 2014. La croissance médiane du chiffre d’affaires était par contre limitée à 12,8% en 2014.

En 2014, le nombre d’entreprises commerciales ayant enregistré un repli de leurs ventes s’est stabilisé aux alentours de 52%. Dans leur cas également, la perte de chiffre d’affaires au cours des 3 dernières années a augmenté, passant 7,9% en 2012 à 13,8% en 2014.

Pour terminer, encore 54,5% des entreprises du secteur de la construction ont été confrontées à une perte du chiffre d’affaires en 2014. Cette dernière s’élevait à 18,3% pour la PME médiane. À titre de comparaison: en 2012, 55,5% des entreprises du secteur de la construction ont assisté à un repli de leur chiffre d’affaires. Celle-ci représentait 13,8% pour l’entreprise médiane.

14

En 2014, le rendement opérationnel (EBITDA/chiffre d’affaires) a progressé pour la quatrième année consécutive. En 2011, la société d’exploitation moyenne voyait encore son EBITDA/chiffre d’affaires s’effriter à 8,1%. En 2014, la PME médiane affichait de nouveau 8,8% de rendement opérationnel. On observe cette tendance dans tous les secteurs, à l’exception du secteur de la construction, où l’EBITDA/chiffre d’affaires est tombé à 7,9% l’an dernier.

L’année passée, le rendement opérationnel par rapport aux effectifs a d’ailleurs progressé de 4% en moyenne, passant de 18.232 EUR à 18.980 EUR. Cette hausse s’explique non seulement par un contrôle accru des coûts, mais aussi par une utilisation plus efficace des moyens disponibles. La PME médiane du secteur des services et du commerce affiche par ailleurs un EBITDA par ETP supérieur à 21.000 EUR. L’entreprise industrielle médiane a également été en mesure d’enregistrer en 2014, et ceci pour la première fois, un meilleur rendement opérationnel qu’en 2011: 16.301 EUR en 2014 par rapport à 15.796 EUR en 2011. Dans le secteur de la construction par contre, le rendement opérationnel par ETP est en recul ces 4 dernières années, passant de 16.745 EUR en 2011 à 12.451 EUR en 2014.

Le retour sur capital investi (ROCE) traduit la rentabilité pour les actionnaires et autres bailleurs de fonds (c’est-à-dire, des banques et sociétés de leasing). L’an dernier, pour 100 EUR investis, la PME belge médiane a généré une rentabilité brute de 6,2%. La PME du secteur des services s’en sort encore mieux avec un ROCE de 8,1%. L’entreprise commerciale et industrielle moyenne a également été en mesure de signer une belle performance en 2014, avec des chiffres de respectivement 5,7% et 6,2%. Le secteur de la construction a quant à lui vu son ROCE diminuer systématiquement au cours des 4 dernières années, passant de 6,6% en moyenne en 2011 à 4,3% en 2014.

Reprise de la productivité et du rendementSecteur de la construction reste en proie à des difficultés

Industrie

Commerce

Services

Construction

Sociétés d’exploitation

8,5%

8,0%

16,0%

16,6%

4,9%

5,2%

7,4%

6,8%

8,6%

8,1%

8,0%

7,9%

16,6%

16,0%

4,9%

5,5 %

7,5%

7,7%

8,8%

8,2% 2012

2011

2014

2013

EBITDA / Chiffre d’affaires

Baromètre pour les PME 2015 Tableau de bord financier et fiscal des PME belges 15

6,6%

4,0%

8,0%

9,5%

5,0%

5,6%

5,5%

4,9%

6,2%

6,0%

4,5%

4,3%

8,1%

8,1%

4,7%

5,7%

4,9%

6,2%

6,2%

5,7% 2012

2011

2014

2013

Retour sur capital investi

Industrie

Commerce

Services

Construction

Sociétés d’exploitation

2011 2012 2013 2014

Sociétés d’exploitation 260.038 250.116 256.608 252.674

Construction 214.220 208.854 204.895 203.721

Services 187.858 192.022 203.870 192.921

Commerce 376.176 360.558 363.084 370.753

Industrie 216.070 203.082 201.665 204.650

2011 2012 2013 2014

Sociétés d’exploitation 18.312 18.589 18.232 18.980

Construction 16.745 13.461 14.300 12.451

Services 18.487 22.219 20.168 21.339

Commerce 20.329 19.988 21.394 21.271

Industrie 15.796 13.145 13.075 16.301

Chiffre d’affaires / ETP

EBITDA / ETP

après correction de l’inflation

après correction de l’inflation

Q2= valeurs médianes

16

Reprise de l’emploi

Au cours de la période 2011-2014, 38% des sociétés d’exploitation du groupe de référence ont engagé davantage de personnel. 35% ont employé en 2014 moins de personnel qu’en 2011. Au bout du compte, l’emploi au sein du groupe de référence a progressé de 8,3% au cours des 3 dernières années. Cette hausse s’est précisée dans le secteur des services, où l’emploi a progressé de 18,8%. Le commerce de gros a cependant perdu 1,8% d’emplois. Dans l’industrie l’emploi a également reculé de 0,9%.

En outre, la part des coûts d’intérim dans les coûts salariaux totaux a progressé l’an dernier. En 2011, les coûts d’intérim représentaient 4,3% des coûts du personnel totaux. En 2014, la PME moyenne a fait davantage appel à des intérimaires, portant ces coûts à 4,6% des coûts du personnel totaux. Cette augmentation s’explique d’une part par le statut unique et ses conséquences sur la période d’essai et le délai de préavis, et d’autre part par le timide redressement de l’économie.

C’est surtout le secteur de la construction qui a embauché le plus de personnel sous la forme de travail intérimaire. La part des coûts d’intérim dans les coûts du personnel totaux y a progressé ces 3 dernières années de 3,4% à 4,9%. Dans le secteur des services, on assiste à un mouvement inverse. La part des coûts d’intérim y a reculé de 3,9% à 3,1% lors de ces 3 dernières années.

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39%

41%

11%

48%

2014 versus 2011

Nombre de PME ayant créé des emplois supplémentaires

IndustrieCommerceServicesConstructionSoc. d’expl.

Croissance ETP

ETP constants

Baisse ETP

Baromètre pour les PME 2015 Tableau de bord financier et fiscal des PME belges 17

Industrie

Commerce

Services

Construction

Soc. d’expl.

3,4%

4,2%

3,9%

3,0%

4,8%

4,1%

4,1%

4,3%

4,1%

4,3%

4,0%

4,9%

4,5%

3,1%

4,3%

4,9%

3,7%

4,0%

4,6%

4,3% 2012

2011

2014

2013

Coûts d'intérim / Coûts du personnel totaux

8,3%7,7%

-1,8%

-0,9%2,6%

18,8%1,8%

Évolution ETP 2014 versus 2011

Soc. d’expl.

Construction

Commerce de gros

Industrie

Commerce de détail

Services

Commerce

Q2= valeurs médianes

18

Une PME médiane paie 28% d’impôt des sociétés sur le bénéfice comptable

Pour la première fois en 4 ans, 80% des PME de notre groupe de référence ont réalisé un bénéfice comptable avant impôts. Parmi ces entreprises, 82% d’entre elles ont payé des impôts des sociétés. À titre de comparaison: en 2011, seulement 69% des PME ont réalisé un bénéfice comptable avant impôts. Parmi celles-ci, 75% ont payé d’impôt des sociétés.

La moitié des PME belges rentables ont payé au moins 27% d’impôt des sociétés en 2014. Ce chiffre atteint même 28,1% pour les sociétés d’exploitation. La pression fiscale dont fait l’objet la PME médiane du secteur des services atteint même 31,5%. Les sociétés de management médianes ont également payé 31,7% d’impôt des sociétés en 2014.

80%

20%

30% 29%

69% 70% 71%

31%

2011 2012 2013

Nombre de PME bénéficiaires qui payent de l’impôt

Bénéfice avant imposition

Perte avant imposition

82,2%I.Soc. payé

17,8%Pas d’I.Soc. payé

20142014

201175,1%201281,2%201384,5%

201124,9%201218,8%201315,5%

Baromètre pour les PME 2015 Tableau de bord financier et fiscal des PME belges 19

2014 2013 2012 2011

# PME avec bénéfice comptable avant impôts 80,0% 71,0% 70,0% 68,8%

# PME rentables qui payent l’impôt sur les sociétés 82,2% 84,5% 81,2% 75,1%

Valeurs Q2: Impôt des sociétés / Bénéfice comptable brute

Toutes les PME 27,0% 26,2% 26,9% 26,8%

Sociétés d’exploitation 28,1% 27,2% 27,5% 28,4%

Construction 25,9% 25,1% 22,6% 24,7%

Services 31,5% 29,7% 30,5% 31,5%

Commerce 26,2% 26,4% 26,8% 27,3%

Industrie 23,1% 24,2% 23,9% 26,8%

Sociétés de holding et patrimoniales 18,0% 17,7% 18,0% 19,3%

Sociétés de gestion 31,7% 31,7% 32,5% 28,4%

20

70,0%

22,8%

-8,3%

11,9%

3,6%

Composition de l'empreinte fiscale (sociétés d'exploitation)

EMPREINTE FISCALE

31.12.2014

CHARGES PATRONALES ONNS

IMPÔT DES SOCIÉTÉS

SUBSIDES

DIVERSES TAXES

PRÉCOMPTE IMMOBILIER

Empreinte fiscale

L’empreinte fiscale reprend toutes les charges fiscales et parafiscales et permet donc de calculer globalement la contribution d’une entreprise à l’Etat. Le poids des charges patronales dans l’empreinte fiscale, soit 70%, est écrasant. Vient ensuite l’impôt des sociétés, qui représente 22,8%. Les diverses taxes incluent notamment la TVA non déductible, les accises, les taxes de circulation, les différentes taxes provinciales et communales et les contributions environnementales. Elles représentent en effet 11,9% de l’empreinte fiscale totale.

Pour 100 EUR de chiffre d’affaires d’une société d’exploitation belge médiane, celle-ci paye 5,7 EUR à l’administration fiscale ou à l’ONSS. Ce montant atteint même au moins 9,9 EUR par 100 EUR de chiffre d’affaires pour un quart des entreprises. La petite PME dont l’effectif est inférieur à 10 personnes, paie 5,6 EUR d’impôts ou cotisations ONSS par tranche de 100 EUR de chiffre d’affaires. Ce montant passe à 7 EUR pour les entreprises dont l’effectif dépasse les 50 travailleurs. Dans cette catégorie d’entreprises, ce montant atteint au moins 10 EUR ou plus par tranche de 100 EUR de chiffre d’affaires pour un quart des entreprises.

Baromètre pour les PME 2015 Tableau de bord financier et fiscal des PME belges 21

0%

2%

4%

6%

8%

10%

12%

2,9%

5,7%

9,9%

1,7%

5,2%

10,7%

3,0%

5,6%

9,3%

3,2%

5,8%

10,0%

4,7%

7,0%

10,0%

> 50 ETP11-50 ETP1-10 ETP0 ETPSociétés d’exploitation

Empreinte fiscale / chiffre d'affaires

Q1 Q2 Q3

22

Pour la première fois en 4 ans, la valeur des PME a augmenté

Nous calculons la valeur des PME belges sur la base de la formule suivante:

Valeur = (EBITDA x multiple) + position de trésorerie nette

Le multiple fluctue au fil du temps. Il est influencé par une multitude de paramètres économiques.

Grâce à une évolution positive de la position de trésorerie nette et à une hausse notable de la valeur de marché générale, la PME médiane a non seulement égalé la valeur de 2011, mais l’a même largement dépassée en 2014. La PME médiane enregistre en effet une création de valeur de 17% en 2014 par rapport à 2011.

La PME médiane du secteur des services a même affiché une augmentation de valeur de 27% en 2014. L’entreprise industrielle médiane a également vu sa valeur croître de 21% l’année dernière. La société commerciale médiane peut également se targuer d’une belle croissance de valeur de 10%. Seul le secteur de la construction n’a pas été en mesure de compenser entièrement la perte de valeur enregistrée ces 2 dernières années. La PME médiane de ce secteur y est encore confrontée à une perte de valeur de 8% par rapport à 2011.

0%

20%

40%

60%

80%

100%

120%

140%

100 73 100 94 100 78 100 7983100 85 92 102 127 92 110 94 12111796

20122011 20142013

Évolution valeur par rapport à 2011

IndustrieCommerceServicesConstructionSoc.d’exploitation

Valeur 2011

0%

2%

4%

6%

8%

10%

EBITDA Multiple

2014201320122011

8,07% 7,74%

7,03%

9,19%

EBITDA Multiple

Baromètre pour les PME 2015 Tableau de bord financier et fiscal des PME belges 23

Industrie

Commerce

Services

Construction

Sociétés d’expl.

100%

84%

100%

103%

100%

90%

100%

90%

96%

100%

88%

83%

104%

111%

96%

94%

98%

97%

100%

98% 2012

2011

2014

2013

Évolution EBITDA

Industrie

Commerce

Services

Construction

Soc. d’expl.

100%

96%

100%

113%

100%

108%

100%

101%

107%

100%

101%

109%

108%

114%

107%

120%

107%

105%

114%

107% 2012

2011

2014

2013

Évolution position de trésorerie nette

Q2= valeurs médianes

24

Baromètre pour les PME 2015 Tableau de bord financier et fiscal des PME belges 25

Sociétés d’exploitation Valeurs médianes (Q2)

2011 2012 2013 2014

Fonds propres réels / Total du passif 48,3% 51,3% 49,7% 51,1%

Couverture des obligations financières à court terme par le cash-flow opérationnel net 209,7% 197,0% 199,9% 220,4%

Current ratio 160,2% 161,6% 157,4% 160,8%

Besoin en fonds de roulement / Produits d’exploitation 7,1% 8,3% 7,4% 6,6%

Valeur ajoutée / Produits d’exploitation 35,1% 36,8% 37,3% 38,9%

Charges salariales / Valeur ajoutée 71,9% 72,6% 73,6% 73,0%

EBITDA / Chiffre d’affaires 8,1% 8,2% 8,6% 8,8%

Rendement financier net 7,8% 7,1% 7,4% 7,9%

Retour sur capital investi 6,0% 5,7% 6,2% 6,2%

30/09/2014 - 31/03/2015 Q1 Q2 Q3

Fonds propres réels / Total du passif 27,1% 51,1% 73,6%

Couverture des obligations financières à court

terme par le cash-flow opérationnel net111,0% 220,4% 572,4%

Current ratio 101,9% 160,8% 319,4%

Besoin en fonds de roulement / Produits d’exploitation

19,4% 6,6% -2,2%

Valeur ajoutée / Produits d’exploitation 21,1% 38,9% 61,6%

Charges salariales / Valeur ajoutée 85,7% 73,0% 58,7%

EBITDA / Chiffre d’affaires 3,5% 8,8% 19,5%

Rendement financier net 1,1% 7,9% 20,3%

Retour sur capital investi 0,8% 6,2% 16,6%

La performance financière des sociétés d’exploitation

Les tableaux présentent les valeurs Q pour les 9 indicateurs clés des sociétés d’exploitation.Le premier tableau reprend les valeurs Q1, Q2 et Q3 3 pour la période 30/09/2014 - 31/03/2015.Le second tableau résume l’ensemble des valeurs Q2 ou valeurs médianes sur les 4 années précédentes.

3 Q1 = percentile 25: 25% des entreprises réalisent de moins bonnes performances et 75% des entreprises sont plus performantes. Q2 = percentile 50: L’entreprise médiane. La moitié des entreprises réalise de moins bonnes performances, la moitié est plus performante. Q3 = Percentile 75: 75% des entreprises réalisent de moins bonnes performances et 25% des entreprises sont plus performantes.

26

La performance financière de quelques secteurs importants

Baromètre pour les PME 2015 Tableau de bord financier et fiscal des PME belges 27

Secteur: Construction 30/09/2014-31/03/2015 Valeurs médianes (Q2)

Q1 Q2 Q3 2011 2012 2013 2014

Fonds propres réels / Total du passif 27,4% 44,1% 73,6% 49,8% 49,7% 46,7% 44,1%

Couverture des obligations financières à court terme par le cash-flow opérationnel net

88,6% 168,3% 423,7% 243,5% 203,8% 197,2% 168,3%

Current ratio 107,1% 152,9% 296,3% 174,7% 165,1% 154,3% 152,9%

Besoin en fonds de roulement / Produits d’exploitation 22,4% 9,8% 1,3% 11,3% 12,6% 12,9% 9,8%

Valeur ajoutée / Produits d’exploitation 26,9% 37,1% 48,4% 35,5% 36,3% 37,3% 37,1%

Charges salariales / Valeur ajoutée 89,1% 79,5% 64,1% 73,9% 77,6% 76,1% 79,5%

EBITDA / Chiffre d’affaires 3,2% 7,9% 15,5% 8,5% 8,0% 8,0% 7,9%

Rendement financier net 1,7% 6,5% 13,8% 8,1% 6,2% 5,5% 6,5%

Retour sur capital investi 0,5% 4,3% 11,8% 6,6% 4,5% 4,0% 4,3%

Secteur: Services 30/09/2014-31/03/2015 Valeurs médianes (Q2)

Q1 Q2 Q3 2011 2012 2013 2014

Fonds propres réels / Total du passif 25,8% 55,5% 79,6% 50,0% 53,8% 52,5% 55,5%

Couverture des obligations financières à court terme par le cash-flow opérationnel net

137,3% 268,2% 685,1% 256,5% 232,8% 235,2% 268,2%

Current ratio 99,9% 166,6% 378,0% 162,9% 154,3% 156,1% 166,6%

Besoin en fonds de roulement / Produits d’exploitation 13,1% 2,9% -5,6% 3,4% 3,5% 1,5% 2,9%

Valeur ajoutée / Produits d’exploitation 42,1% 62,5% 75,4% 60,3% 58,8% 61,0% 62,5%

Charges salariales / Valeur ajoutée 85,6% 73,5% 61,3% 73,9% 73,1% 74,6% 73,5%

EBITDA / Chiffre d’affaires 6,7% 16,0% 35,4% 16,0% 16,6% 16,6% 16,0%

Rendement financier net 1,7% 9,4% 22,5% 9,7% 10,2% 10,8% 9,4%

Retour sur capital investi 1,5% 8,1% 19,6% 8,0 % 8,1% 9,5% 8,1%

28

Sous-secteur: Transport & logistique 30/09/2014-31/03/2015 Valeurs médianes (Q2)

Q1 Q2 Q3 2011 2012 2013 2014

Fonds propres réels / Total du passif 25,1% 53,8% 77,4% 46,2% 47,2% 42,5% 53,8%

Couverture des obligations financières à court terme par le cash-flow opérationnel net

117,6% 161,4% 405,1% 176,7% 153,9% 165,0% 161,4%

Current ratio 95,5% 158,9% 336,1% 145,5% 141,6% 136,8% 158,9%

Besoin en fonds de roulement / Produits d’exploitation 14,8% 5,4% 0,3% 5,9% 7,4% 6,6% 5,4%

Valeur ajoutée / Produits d’exploitation 29,5% 48,2% 63,7% 44,2% 49,0% 48,3% 48,2%

Charges salariales / Valeur ajoutée 86,3% 74,4% 64,2% 71,7% 73,1% 74,5% 74,4%

EBITDA / Chiffre d’affaires 3,9% 10,6% 17,9% 10,0% 10,8% 11,2% 10,6%

Rendement financier net 1,3% 6,1% 16,8% 9,7% 8,5% 6,3% 6,1%

Retour sur capital investi 0,7% 4,8% 9,5% 6,4% 4,7% 4,8% 4,8%

Secteur: Commerce 30/09/2014-31/03/2015 Valeurs médianes (Q2)

Q1 Q2 Q3 2011 2012 2013 2014

Fonds propres réels / Total du passif 27,4% 48,7% 71,4% 46,6% 51,4% 48,2% 48,7%

Couverture des obligations financières à court terme par le cash-flow opérationnel net

95,4% 216,2% 547,6% 191,7% 178,9% 188,3% 216,2%

Current ratio 94,4% 152,8% 277,8% 150,8% 159,3% 152,3% 152,8%

Besoin en fonds de roulement / Produits d’exploitation 19,6% 6,8% -2,0% 7,4% 8,7% 8,4% 6,8%

Valeur ajoutée / Produits d’exploitation 12,9% 22,1% 35,7% 20,2% 20,9% 20,7% 22,1%

Charges salariales / Valeur ajoutée 82,2% 69,3% 54,6% 68,7% 69,0% 68,9% 69,3%

EBITDA / Chiffre d’affaires 1,7% 5,5% 11,4% 4,9% 4,9% 5,2% 5,5%

Rendement financier net 0,2% 6,3% 20,1% 6,7% 5,5% 6,3% 6,3%

Retour sur capital investi -0,2% 5,7% 15,5% 5,0% 4,7% 5,6% 5,7%

Baromètre pour les PME 2015 Tableau de bord financier et fiscal des PME belges 29

Sous-secteur: Commerce de gros 30/09/2014-31/03/2015 Valeurs médianes (Q2)

Q1 Q2 Q3 2011 2012 2013 2014

Fonds propres réels / Total du passif 34,5% 52,4% 72,6% 49,3% 54,8% 48,4% 52,4%

Couverture des obligations financières à court terme par le cash-flow opérationnel net

116,3% 287,7% 978,7% 257,4% 238,2% 219,4% 287,7%

Current ratio 119,4% 170,5% 314,9% 169,3% 185,7% 185,3% 170,5%

Besoin en fonds de roulement / Produits d’exploitation 26,1% 13,6% 2,4% 14,8% 16,6% 15,1% 13,6%

Valeur ajoutée / Produits d’exploitation 11,5% 19,8% 27,8% 18,0% 17,5% 17,6% 19,8%

Charges salariales / Valeur ajoutée 86,8% 69,3% 50,1% 65,5% 68,1% 68,5% 69,3%

EBITDA / Chiffre d’affaires 1,5% 5,1% 9,5% 4,7% 4,6% 4,1% 5,1%

Rendement financier net 0,0% 5,7% 17,5% 7,1% 5,5% 5,7% 5,7%

Retour sur capital investi 0,0% 5,6% 15,4% 5,5% 5,4% 5,6% 5,6%

Sous-secteur: Commerce de détail 30/09/2014-31/03/2015 Valeurs médianes (Q2)

Q1 Q2 Q3 2011 2012 2013 2014

Fonds propres réels / Total du passif 24,8% 47,1% 69,7% 44,1% 48,3% 49,7% 47,1%

Couverture des obligations financières à court terme par le cash-flow opérationnel net

95,3% 185,0% 435,3% 171,2% 171,1% 178,1% 185,0%

Current ratio 97,9% 148,8% 267,1% 149,7% 158,8% 157,6% 148,8%

Besoin en fonds de roulement / Produits d’exploitation 18,1% 7,2% -1,3% 5,9% 7,8% 7,4% 7,2%

Valeur ajoutée / Produits d’exploitation 12,2% 20,6% 30,6% 18,2% 19,3% 19,5% 20,6%

Charges salariales / Valeur ajoutée 81,2% 69,3% 56,3% 69,4% 69,6% 68,4% 69,3%

EBITDA / Chiffre d’affaires 1,5% 5,0% 10,3% 4,3% 4,4% 4,8% 5,0%

Rendement financier net -0,2% 6,1% 20,5% 7,0% 5,3% 6,2% 6,1%

Retour sur capital investi -0,2% 5,8% 15,5% 5,1% 4,8% 5,7% 5,8%

30

Sous-secteur: Bois 30/09/2014-31/03/2015 Valeurs médianes (Q2)

Q1 Q2 Q3 2011 2012 2013 2014

Fonds propres réels / Total du passif 23,2% 49,8% 72,5% 34,9% 42,6% 36,8% 49,8%

Couverture des obligations financières à court terme par le cash-flow opérationnel net

109,3% 175,4% 405,7% 165,8% 162,1% 153,0% 175,4%

Current ratio 116,2% 170,4% 333,6% 133,5% 139,2% 144,5% 170,4%

Besoin en fonds de roulement / Produits d’exploitation 30,8% 15,6% 9,4% 12,6% 14,2% 13,9% 15,6%

Valeur ajoutée / Produits d’exploitation 17,3% 33,1% 50,9% 34,3% 32,9% 29,5% 33,1%

Charges salariales / Valeur ajoutée 88,8% 79,3% 63,7% 71,4% 78,1% 83,8% 79,3%

EBITDA / Chiffre d’affaires 4,2% 6,9% 9,8% 7,7% 7,1% 5,6% 6,9%

Rendement financier net 0,9% 4,0% 7,8% 8,0% 5,5% 3,7% 4,0%

Retour sur capital investi -0,5% 3,0% 8,9% 5,7% 4,6% 2,5% 3,0%

Secteur: Industrie 30/09/2014-31/03/2015 Valeurs médianes (Q2)

Q1 Q2 Q3 2011 2012 2013 2014

Fonds propres réels / Total du passif 28,9% 47,0% 69,5% 46,6% 48,5% 48,6% 47,0%

Couverture des obligations financières à court terme par le cash-flow opérationnel net

119,5% 216,4% 580,9% 192,8% 165,0% 176,1% 216,4%

Current ratio 115,9% 179,0% 314,3% 169,1% 175,8% 163,3% 179,0%

Besoin en fonds de roulement / Produits d’exploitation 28,8% 16,4% 5,5% 14,4% 15,7% 17,1% 16,4%

Valeur ajoutée / Produits d’exploitation 26,4% 37,3% 52,1% 34,9% 37,2% 36,3% 37,3%

Charges salariales / Valeur ajoutée 85,8% 75,6% 65,1% 75,1% 76,8% 78,3% 75,6%

EBITDA / Chiffre d’affaires 4,2% 7,7% 14,1% 7,4% 7,5% 6,8% 7,7%

Rendement financier net 1,4% 8,3% 18,9% 7,8% 5,5% 5,8% 8,3%

Retour sur capital investi 1,6% 6,2% 17,5% 5,5% 4,9% 4,9% 6,2%

Baromètre pour les PME 2015 Tableau de bord financier et fiscal des PME belges 31

Sous-secteur: Matières plastiques & chimie 30/09/2014-31/03/2015 Valeurs médianes (Q2)

Q1 Q2 Q3 2011 2012 2013 2014

Fonds propres réels / Total du passif 33,7% 53,1% 74,5% 53,7% 59,6% 59,7% 53,1%

Couverture des obligations financières à court terme par le cash-flow opérationnel net

128,6% 288,3% 868,6% 233,1% 207,0% 217,0% 288,3%

Current ratio 117,0% 179,0% 287,0% 186,6% 209,3% 194,8% 179,0%

Besoin en fonds de roulement / Produits d’exploitation 27,9% 16,5% 5,1% 17,9% 16,9% 15,9% 16,5%

Valeur ajoutée / Produits d’exploitation 24,9% 30,3% 42,8% 28,8% 30,7% 32,1% 30,3%

Charges salariales / Valeur ajoutée 79,8% 72,5% 51,2% 72,6% 72,1% 68,9% 72,5%

EBITDA / Chiffre d’affaires 5,0% 9,7% 18,3% 7,7% 9,0% 6,2% 9,7%

Rendement financier net 3,4% 11,6% 22,6% 7,4% 7,7% 6,5% 11,6%

Retour sur capital investi 3,7% 11,2% 17,5% 6,3% 7,4% 7,8% 11,2%

Sous-secteur: Industrie graphique 30/09/2014-31/03/2015 Valeurs médianes (Q2)

Q1 Q2 Q3 2011 2012 2013 2014

Fonds propres réels / Total du passif 14,1% 29,7% 58,2% 41,4% 39,6% 36,1% 29,7%

Couverture des obligations financières à court terme par le cash-flow opérationnel net

107,3% 174,3% 914,8% 175,3% 151,2% 148,0% 174,3%

Current ratio 83,8% 121,0% 193,1% 179,4% 146,8% 141,7% 121,0%

Besoin en fonds de roulement / Produits d’exploitation 19,9% 6,1% -1,7% 8,1% 14,2% 12,5% 6,1%

Valeur ajoutée / Produits d’exploitation 29,4% 38,2% 58,1% 37,6% 37,9% 38,4% 38,2%

Charges salariales / Valeur ajoutée 97,9% 73,6% 57,1% 76,4% 79,1% 80,0% 73,6%

EBITDA / Chiffre d’affaires -2,3% 8,6% 16,5% 9,3% 7,9% 6,7% 8,6%

Rendement financier net 3,9% 11,3% 19,3% 6,8% 3,3% 3,3% 11,3%

Retour sur capital investi 2,4% 7,8% 20,3% 5,8% 3,8% 3,6% 7,8%

32

Sous-secteur: Métal 30/09/2014-31/03/2015 Valeurs médianes (Q2)

Q1 Q2 Q3 2011 2012 2013 2014

Fonds propres réels / Total du passif 31,5% 41,9% 61,2% 44,8% 46,8% 43,0% 41,9%

Couverture des obligations financières à court terme par le cash-flow opérationnel net

124,3% 228,7% 457,8% 177,2% 152,9% 166,0% 228,7%

Current ratio 105,7% 160,3% 298,9% 159,0% 162,3% 151,5% 160,3%

Besoin en fonds de roulement / Produits d’exploitation 29,5% 17,0% 4,5% 15,4% 15,8% 17,6% 17,0%

Valeur ajoutée / Produits d’exploitation 29,6% 40,8% 51,2% 39,3% 40,2% 42,1% 40,8%

Charges salariales / Valeur ajoutée 86,9% 76,8% 69,9% 78,9% 79,8% 80,5% 76,8%

EBITDA / Chiffre d’affaires 3,9% 7,0% 12,2% 7,3% 6,4% 6,5% 7,0%

Rendement financier net 0,9% 5,3% 20,2% 7,8% 3,6% 3,8% 5,3%

Retour sur capital investi 1,5% 3,8% 13,7% 5,0% 3,1% 4,1% 3,8%

Sous-secteur: Textile 30/09/2014-31/03/2015 Valeurs médianes (Q2)

Q1 Q2 Q3 2011 2012 2013 2014

Fonds propres réels / Total du passif 30,3% 54,3% 71,0% 49,2% 65,9% 59,8% 54,3%

Couverture des obligations financières à court terme par le cash-flow opérationnel net

60,0% 183,1% 390,6% 137,8% 139,3% 178,2% 183,1%

Current ratio 133,9% 188,0% 360,5% 181,5% 205,5% 230,2% 188,0%

Besoin en fonds de roulement / Produits d’exploitation 44,0% 24,9% 13,3% 19,5% 17,6% 23,7% 24,9%

Valeur ajoutée / Produits d’exploitation 27,7% 35,8% 42,5% 30,6% 33,5% 36,0% 35,8%

Charges salariales / Valeur ajoutée 81,1% 69,4% 67,5% 76,9% 77,2% 75,8% 69,4%

EBITDA / Chiffre d’affaires 0,7% 7,4% 11,0% 3,6% 5,8% 6,5% 7,4%

Rendement financier net 0,6% 8,8% 23,7% 6,6% 4,5% 5,4% 8,8%

Retour sur capital investi -5,0% 5,2% 14,2% 1,5% 3,6% 3,3% 5,2%

Baromètre pour les PME 2015 Tableau de bord financier et fiscal des PME belges 33

Secteur: Alimentation & Agriculture 30/09/2014-31/03/2015 Valeurs médianes (Q2)

Q1 Q2 Q3 2011 2012 2013 2014

Fonds propres réels / Total du passif 37,3% 53,2% 83,1% 61,2% 58,6% 58,3% 53,2%

Couverture des obligations financières à court terme par le cash-flow opérationnel net

142,1% 262,4% 3580,0% 265,0% 268,0% 222,0% 262,4%

Current ratio 120,2% 165,8% 453,5% 196,0% 150,7% 221,6% 165,8%

Besoin en fonds de roulement / Produits d’exploitation 18,5% 11,4% 2,4% 10,0% 9,2% 13,7% 11,4%

Valeur ajoutée / Produits d’exploitation 13,1% 28,4% 44,4% 22,3% 24,2% 21,1% 28,4%

Charges salariales / Valeur ajoutée 85,0% 59,2% 40,2% 65,0% 59,4% 56,5% 59,2%

EBITDA / Chiffre d’affaires 3,2% 8,7% 17,8% 9,4% 8,5% 7,4% 8,7%

Rendement financier net 1,4% 7,9% 20,6% 8,5% 10,5% 9,2% 7,9%

Retour sur capital investi 3,3% 6,4% 16,4% 6,3% 9,6% 4,6% 6,4%

34

Connaissez-vous le BMI de votre entreprise?Les résultats de notre Baromètre pour les PME annuel montrent l’importance que continuent de revêtir les crédits bancaires comme source de financement. Toutefois, quand il s’agit d’octroyer des crédits aux entreprises, les banques font toujours preuve de réticence en raison de la diminution de la capacité de remboursement.

Afin de vous assister dans les relations avec les institutions bancaires, Deloitte Fiduciaire a mis au point un “rapport BMI (Balance Management Index)”. Cet outil, simple à utiliser, vous permet d’identifier où votre entreprise peut trouver des propositions afin de s’améliorer financièrement par le biais d’une gestion optimale du bilan. Le rapport BMI utilise les principaux ratios financiers, dont la rentabilité, la liquidité et la solvabilité. La capacité de remboursement est primordiale afin de tenir scrupuleusement à l’œil le BMI de votre entreprise!

Vous souhaitez connaître la santé financière de votre entreprise? Vous aimeriez en outre la comparer aux collègues de votre secteur? Et recevoir aussi des suggestions afin de consolider votre entreprise sur le plan financier?

Nous vous invitons à surfer sur notre application web conviviale sur www.renforcezvotrepme.be

Quelle est la santé financière de votre entreprise?

Le BMI (“Balance Management Index”), un instrument d’analyse des ratios, un point de comparaison et un rapport avec des conseils concrets réunis dans un seul outil

Gestion comptable• Evaluez la date de clôture de votre

exercice afin de neutraliser les éventuels effets saisonniers (solvabilité & liquidité ↑)

• Si vous disposez d’un rapport d’évaluation recent montrant que la valeur comptable de votre terrain et des bâtiments est supérieure à la valeur réelle, fournissez ces renseignements à votre banquier (solvabilité ↑)

Gestion financière• Réduisez vos dettes financières

(straight loan) en utilisant les liquidités excédentaires (solvabilité & liquidité ↑)

• Affectez la dette R/C à l’un des gérants/administrateurs comme une dette à LT plutôt qu’une dette à CT (solvabilité & liquidité ↑)

Gestion bancaire• Evaluez le renting par rapport au

leasing (solvabilité ↑)• Evaluez la nécessité de recomposer

votre capital social (solvabilité ↑)

1/

2/

3/

Sur la base des chiffres clés de votre entreprise en termes de liquidité, rentabilité et solvabilité, nous générons pour vous un rapport BMI (Balance Management Index) comportant des suggestions comptables et financiers concretes afin d’analyser la gestion bilancielle de votre entreprise – en accordant l’attention nécessaire à votre situation bancaire nette.

Vous prenez connaissance de l’évolution d’un certain nombre de chiffres financiers clés et votre entreprise est comparée avec plus de 2.600 entreprises de la référence “Baromètre pour les PME 2014” via une rose de positionnement par rapport à:Q1: la valeur de la 25e entreprise (sur 100). 24 entreprises enregistrent donc des scores inférieurs.Q2: la valeur de la 50e entreprise (entreprise médiane).Q3: la valeur de la 75e entreprise. Il s’agit de la 25e meilleure entreprise.Q4: la valeur de l’entreprise la plus performante.

La rose de positionnement

Rentabilité après impôt / Fonds propres

Besoin en fonds de roulement / Chiffre d'affaires Fonds de roulement

Liquidité

Solvabilité100

75

50

25

-

Avec l’approche BMI, la structure bilantaire ainsi que le score de crédit de votre entreprise est examiné d’un point de vue financier. Certaines mesures doivent être prises avant la clôture de l’exercice. Concrètement, cela peut se faire en prenant des mesures à trois niveaux:

Baromètre pour les PME 2015 Tableau de bord financier et fiscal des PME belges 35

36

Deloitte Fiduciaire connaît le monde des PME comme nul autre

Voilà déjà plus de 80 ans que Deloitte Fiduciaire jouit d’une réputation sans faille en tant que partenaire en matière de comptabilité, fiscalité, services juridiques aux entreprises, fusions et acquisitions et conseils en matière de défis informatiques et opérationnels pour les PME.

Deloitte Fiduciaire se met dans la peau du chef d’entreprise afin de lui proposer des outils grâce auxquels il sera mieux armé pour relever les défis d’aujourd’hui et élaborer une vision stratégique pour l’avenir. De plus en plus, l’entreprise qui veut maintenir son avance concurrentielle doit pouvoir traduire la complexité des dispositions fiscales, juridiques et comptables en lignes de conduite et stratégies réalisables sur le terrain.

Deloitte Fiduciaire vous accompagne tout au long de ce processus et vous apporte son appui professionnel dans ces différentes matières.

Deloitte Fiduciaire a mis en place un réseau régional de consultants spécialisés, qui apportent des réponses pertinentes à vos questions grâce à une vision pluridisciplinaire unique en son genre. Notre clientèle rassemble plus de 5.000 entreprises familiales belges, qui peuvent compter sur l’expertise de plus de 530 spécialistes Deloitte. Chacun de ces conseillers de haut rang traite votre cas avec passion, compétence et clairvoyance.Deloitte Fiduciaire. Votre entreprise est aussi un peu la nôtre …

Baromètre pour les PME 2015 Tableau de bord financier et fiscal des PME belges 37

Lange Lozanastraat 2702018 AntwerpenTél. 03 800 85 00Fax 03 800 85 [email protected]

Blankenbergsesteenweg 1618000 BruggeTél. 050 32 83 00Fax 050 32 83 [email protected]

Av. Bourgmestre E. Demunter 3 Greenland II (Blue Planet)1090 Bruxelles (Jette)Tél. 02 263 06 80Fax 02 263 06 [email protected]

Chaussée de Courcelles 1136041 Charleroi (Gosselies)Tél. 071 34 76 43Fax 071 34 71 [email protected]

Berkenlaan 8a1831 DiegemTél. 02 800 25 00Fax 02 800 25 02

Raymonde de Larochelaan 199051 GentTél. 09 393 75 85Fax 09 393 75 [email protected]

Gouverneur Roppesingel 133500 HasseltTél. 011 89 39 00Fax 011 89 39 [email protected]

President Kennedypark 8a8500 KortrijkTél. 056 59 44 00Fax 056 59 44 [email protected]

Martelarenlaan 383010 Leuven (Kessel-Lo)Tél. 016 31 41 50Fax 016 31 41 [email protected]

Office Park AlleurRue Alfred Deponthière 464431 Liège (Loncin)Tél. 04 349 35 35Fax 04 349 35 [email protected]

Accent Business ParkKwadestraat 1518800 RoeselareTél. 051 66 47 00Fax 051 66 47 [email protected]

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Cette étude et cette publication sont une réalisation de Deloitte Fiduciaire sous la coordination de Nikolaas Tahon, Managing Partner, et avec la collaboration de:

Analyse en rédaction: Heidi Verhelst, Xavier Decock, Roosmarijn Vanrobays en Frederik DeclercqBase de données et assistance informatique: André Jacobs, Peter Seynaeve, Sylvie Valais, Hilde Vannevel, Els De RickCoordination et réalisation de la traduction: Didier Bouckaert, associé et Renaud Sonet. Mise en page: Liesbeth Van Gucht

Editeur responsable: Deloitte Fiduciaire, Nikolaas Tahon, Berkenlaan 8B, 1831 Diegem

Adresse de rédaction: Deloitte Fiduciaire, Liesbeth Van Gucht, Raymonde de Larochelaan 19, 9051 Gent, Tél. 09 393 75 85, email: [email protected]

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