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CAHIER DE TEXTE TS2 Date Séance Capacités /Attitudes Connaissances acquises A faire 05/09 Evaluation diagnostique : QCM THEME 1 A : GENETIQUE ET EVOLUTION CHAPITRE 1 : BRASSAGE GENETIQUE ET SA CONTRIBUTION A LA DIVERSITE GENETIQUE Problème : Comment les modalités de la reproduction sexuée permettent-elles une grande diversité génétique ? 05/09 TP1 : Les mécanismes cellulaires et chromosomiques liés à la reproduction sexuée EX1 - Observer le réel (loupe binoculaire) C1- Traduire des informations par un schéma A1 - Manifester son sens de l’observation. La méiose est la succession de deux divisions cellulaires précédée comme toute division d'un doublement de la quantité d'ADN (réplication). Dans son schéma général, elle produit quatre cellules haploïdes à partir d'une cellule diploïde. Au cours de la fécondation, un gamète mâle et un gamète femelle s'unissent: leur fusion conduit à un zygote. Pour lundi 09/09 : Exercice 2 : Donner la formule chromosomique des cellules schématisées 09/09 Activité 1 : La variabilité génétique des gamètes : le devenir des allèles au cours de la méiose I2- S’informer à partir d’une image C4 - Représenter des données sous forme d’un tableau La méiose est une succession de 2 divisions cellulaires particulières, permettant d'obtenir quatre cellules filles haploïdes à partir d'une cellule mère diploïde. Au cours de la première division de méiose, qui est précédée d'une phase réplication de l'ADN, les chromosomes homologues de chaque paire s'associent étroitement, puis se séparent et se répartissent dans deux cellules filles. La seconde division de méiose s'engage sans réplication préalable de l'ADN. Elle assure la séparation des chromatides de chaque chromosome et leur répartition dans les quatre cellules filles. Ces dernières seront à l'origine des gamètes. Pour jeudi 12/09 : Exercice 3 : Partie B de l’activité 1 12/09 TP2 : Mécanismes méiotiques et diversité DS – Pratiquer une démarche scientifique EX1 - Observer le réel (loupe binoculaire) EX5 – Utiliser des logiciels de gestion de l’information A1 - Manifester son sens de l’observation Au cours de la méiose, des échanges de fragments de chromatides (crossing-over ou enjambement) se produisent entre chromosomes homologues d'une même paire. Les chromosomes ainsi remaniés subissent un brassage interchromosomique résultant de la migration aléatoire des chromosomes homologues lors de la 1ère division de méiose. Une diversité potentiellement infinie de gamètes est ainsi produite. Pour lundi 16/09 : Finir le TP 2 16/09 Mise en commun des résultats du TP2 C4 - Représenter des données sous forme d’un tableau 17/09 Activité 3 : Le brassage génétique lors de la fécondation DS5 – Mettre en relation des informations pour répondre à un problème Au cours de la fécondation, un gamète mâle et un gamète femelle s'unissent : leur fusion conduit à un zygote. La diversité génétique potentielle des zygotes est immense. Chaque zygote contient une combinaison unique et nouvelle d'allèles. Seule une fraction de ces zygotes est viable et se développe. Pour jeudi 19/09 : Exercice 3 et 4 : Les anomalies chromosomiques

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CAHIER DE TEXTE TS2

Date Séance Capacités /Attitudes Connaissances acquises A faire

05/09 Evaluation diagnostique : QCM

THEME 1 A : GENETIQUE ET EVOLUTION CHAPITRE 1 : BRASSAGE GENETIQUE ET SA CONTRIBUTION A LA DIVERSITE GENETIQUE

Problème : Comment les modalités de la reproduction sexuée permettent-elles une grande diversité génétique ?

05/09 TP1 : Les mécanismes cellulaires et chromosomiques liés à la reproduction sexuée

EX1 - Observer le réel (loupe binoculaire) C1- Traduire des informations par un schéma A1 - Manifester son sens de l’observation.

La méiose est la succession de deux divisions cellulaires précédée comme toute division d'un doublement de la quantité d'ADN (réplication). Dans son schéma général, elle produit quatre cellules haploïdes à partir d'une cellule diploïde. Au cours de la fécondation, un gamète mâle et un gamète femelle s'unissent: leur fusion conduit à un zygote.

Pour lundi 09/09 : Exercice 2 : Donner la formule chromosomique des cellules schématisées

09/09

Activité 1 : La variabilité génétique des gamètes : le devenir des allèles au cours de la méiose

I2- S’informer à partir d’une image C4 - Représenter des données sous forme d’un tableau

La méiose est une succession de 2 divisions cellulaires particulières, permettant d'obtenir quatre cellules filles haploïdes à partir d'une cellule mère diploïde. Au cours de la première division de méiose, qui est précédée d'une phase réplication de l'ADN, les chromosomes homologues de chaque paire s'associent étroitement, puis se séparent et se répartissent dans deux cellules filles. La seconde division de méiose s'engage sans réplication préalable de l'ADN. Elle assure la séparation des chromatides de chaque chromosome et leur répartition dans les quatre cellules filles. Ces dernières seront à l'origine des gamètes.

Pour jeudi 12/09 : Exercice 3 : Partie B de l’activité 1

12/09 TP2 : Mécanismes méiotiques et diversité

DS – Pratiquer une démarche scientifique EX1 - Observer le réel (loupe binoculaire) EX5 – Utiliser des logiciels de gestion de l’information A1 - Manifester son sens de l’observation

Au cours de la méiose, des échanges de fragments de chromatides (crossing-over ou enjambement) se produisent entre chromosomes homologues d'une même paire. Les chromosomes ainsi remaniés subissent un brassage interchromosomique résultant de la migration aléatoire des chromosomes homologues lors de la 1ère division de méiose. Une diversité potentiellement infinie de gamètes est ainsi produite.

Pour lundi 16/09 : Finir le TP 2

16/09 Mise en commun des résultats du TP2

C4 - Représenter des données sous forme d’un tableau

17/09 Activité 3 : Le brassage génétique lors de la fécondation

DS5 – Mettre en relation des informations pour répondre à un problème

Au cours de la fécondation, un gamète mâle et un gamète femelle s'unissent : leur fusion conduit à un zygote. La diversité génétique potentielle des zygotes est immense. Chaque zygote contient une combinaison unique et nouvelle d'allèles. Seule une fraction de ces zygotes est viable et se développe.

Pour jeudi 19/09 : Exercice 3 et 4 : Les anomalies chromosomiques

19/09 TP3 : Les anomalies de la méiose et les conséquences évolutives

Ex5 – Utiliser des logiciels de gestion de l’information C1- Traduire des informations par un schéma

Des anomalies peuvent survenir. Un crossing-over inégal aboutit parfois à une duplication de gène. Un mouvement anormal de chromosomes produit une cellule présentant un nombre inhabituel de chromosomes. Ces mécanismes, souvent sources de troubles, sont aussi parfois sources de diversification du vivant (par exemple à l’origine des familles multigéniques).

Pour lundi 23/09 : Exercice 5: Mutants bar/ultra bar

23/09 Activité 4 : Le brassage génétique lors de la fécondation

DS5 – Mettre en relation des informations pour répondre à un problème C1- Traduire des informations par un schéma

Des anomalies peuvent également survenir au cours de la migration des chromosomes homologues ou des chromatides, lors des anaphases 1 et 2 de la méiose. Ces anomalies conduisent à la présence d'un nombre anormal de chromosomes dans les gamètes obtenus. Si ces gamètes sont impliqués dans une fécondation, les zygotes obtenus ont également un caryotype anormal, souvent à l'origine de troubles.

THEME 1 A : GENETIQUE ET EVOLUTION CHAPITRE 2 : DIVERSIFICATION DES ETRES VIVANTS

Problème : Quels sont les processus de diversification des êtres vivants ?

26/09 TP 4 : Diversification et gènes du développement

Ex5 - Comparer les gènes du développement pour en identifier les homologies des séquences. I – Recenser, extraire et organiser des informations pour interpréter un changement évolutif en termes de modification du développement. A1 - Manifester sens de l’observation, curiosité, esprit critique.

Chez les animaux, la combinaison de certains gènes s'exprimant dans une région donnée de l'embryon est un élément-clé qui détermine le tissu ou l'organe qu'elle va former. Ces gènes sont qualifiés de gènes homéotiques ou gènes du développement. Les mêmes gènes du développement peuvent être présents chez différentes espèces, mais leur chronologie d'expression, l'intensité de cette expression ou la localisation dans l’embryon de cette expression varie d'une espèce à l'autre. Ces variations de l’expression de ces gènes se traduisent par des modifications des organes formés à l'issue du développement embryonnaire. Des modifications de l'expression de gènes du développement au cours de l'évolution ont ainsi pu mener à des innovations qui ont été retenues par sélection naturelle, d'où une diversification du vivant.

Pour lundi 07/10 : EVALUATION N°1 (Chapitre 1) Apporter ses fiches de révision

01/10

Correction de l’exercice 5 (chapitre 1) et rappels des méthodes concernant l’exercice 2.2

Pour mardi 08/10 : Faire l’exercice 1 : Origine des chiroptères

03/10 TP 5 : Quelques mécanismes de diversification du vivant

I – Recenser, extraire et organiser des informations C1 – Traduire des informations sous forme d’un schéma A1 - Manifester sens de l’observation, curiosité, esprit critique.

Il existe différents mécanismes de diversification des êtres vivants :

- des mécanismes sans modification du génome (apprentissage de comportements, symbiose)

- des mécanismes avec modification du génome (transfert de gènes horizontaux, polyploïdisation)

Pour le mardi 15/10 : EVALUATION N°2 (Chapitres 1 et 2) Apporter ses fiches de révision

07/10 EVALUATION N°2 (Chapitres 1 et 2)

THEME 1 A : GENETIQUE ET EVOLUTION CHAPITRE 3 : DE LA DIVERSIFICATION DES ETRES VIVANTS A L’EVOLUTION DE LA BIODIVERSITE

10/10 TP 6 : Mécanismes évolutifs

Ex - Modéliser les conséquences de la sélection naturelle et de la dérive génétique. DS - Analyser une situation concrète, à partir d'arguments variés (données génétiques, paléontologiques, biologiques, arbres phylogénétiques, etc.). TIC - Exprimer des résultats en utilisant les TIC

Une population est un ensemble d’organismes vivant au même endroit, au même moment, et pouvant se reproduire entre eux. Dans une population, tous les individus ne sont pas identiques ; on peut ainsi décrire une population par la fréquence des différentes formes qui la constituent. Au cours des générations, les fréquences des différentes formes peuvent changer : les populations évoluent. Ces fréquences changent sous l’effet de la sélection naturelle et du hasard.

Pour mardi 15/10 : EVALUATION N°3 (Chapitre 3) Apporter ses fiches de révision

14/10 Activité 1 : De l’évolution des populations à l’évolution des espèces

I – Recenser, extraire et organiser l’information

La diversité du vivant est en partie décrite comme une diversité d'espèces. La définition de l'espèce est délicate et peut reposer sur des critères variés qui permettent d'apprécier le caractère plus ou moins distinct de deux populations (critères phénotypiques, interfécondité, etc.). Le concept d'espèce s'est modifié au cours de l'histoire de la biologie. Une espèce peut être considérée comme une population d'individus suffisamment isolés génétiquement des autres populations. Une population d'individus identifiée comme constituant une espèce n'est définie que durant un laps de temps fini. On dit qu'une espèce disparaît si l'ensemble des individus concernés disparaît ou cesse d'être isolé génétiquement. Une espèce supplémentaire est définie si un nouvel ensemble s'individualise.

15/10 EVALUATION N°3 (Chapitre 2)

THEME 1 A : GENETIQUE ET EVOLUTION CHAPITRE 4 : UN REGARD SUR L’EVOLUTION DE L’HOMME

17/10 TP 7 : La place de l’Homme parmi les Primates

Ex – Utiliser un logiciel de traitement des données (PHYLOGENE) I - Comparer les génotypes de différents primates. DS - Positionner quelques espèces de primates actuels ou fossiles, dans un arbre phylogénétique, à partir de l'étude de caractères

L'Homme est un mammifère dont le pousse est opposable aux autres doigts et qui possède des ongles (et non des griffes). Ces caractères font de lui un primate. L'histoire évolutive de l'Homme s'inscrit donc dans celle des primates, dont les premiers représentants fossiles sont âgés de 65 à 50 Ma. L'Homme est un primate dont l'appendice nasal est un nez (et non une truffe), les orbites sont ouvertes, les narines sont rapprochées et qui ne possèdent pas de queue : ces caractères font de lui un grand primate dont les premiers représentants émergent vers -20 Ma. La diversité des grands primates connus par les fossiles, qui était grande, est aujourd'hui réduite. À l'exception de l'Homme, les grands primates actuels sont tous en danger d'extinction du fait

Pour jeudi 07/11 : - EVALUATION N°4 (Chapitre 3) - Apporter ses fiches de révision - ECE Blanc n°1 Pour lundi 04/11 : DM « La notion d’espèce »

de la réduction des forêts tropicales équatoriales qu’ils peuplent. L'étude de la séquence de gènes et de protéines permet de montrer que, parmi les grands primates actuels, les chimpanzés sont les plus proches parents de l'Homme. Homme et chimpanzés partagent donc un ancêtre commun plus récent qu'avec les autres grands primates actuels. On peut estimer son âge à environ 6-7 Ma. Aucun fossile ne peut être considéré comme correspondant à cet ancêtre commun.

07/11

ECE Blanc n°1 : Place de l’homme parmi les primates : une comparaison établie par comparaison moléculaire

Pour mardi 12/11 : Faire l’Exercice 1 « Compléter et interpréter un arbre phylogénétique »

EVALUATION N°4 (Chapitre 2)

12/11

Exercice 1 : Compléter et interpréter un arbre phylogénétique Exercice 2 : Construction d’un arbre phylogénétique

C – Communiquer par un schéma (arbre phylogénétique) I Extraire et recenser des informations

12/11 Activité 1 : Les mécanismes à l’origine de la diversification Homme/Chimpanzé

I – Recenser, extraire et organiser l’information

D’un point de vue génétique, l’Homme et les chimpanzés sont très proches : 98.5% de nucléotides de leur génome sont identiques et leurs caryotypes ne diffèrent que par quelques réarrangements chromosomiques (qui ont modifié la position de certains gènes) et par la fusion de deux chromosomes. C’est surtout le niveau et la chronologie d’expression de certains gènes qui distinguent l’Homme et les chimpanzés. L’interprétation de ces différences génétiques est très délicate. Il en est de même pour l’interprétation des conséquences de mutations qui modifient la séquence de certaines protéines entre Homme et chimpanzés. Chez l’Homme et les autres grands primates, la construction du phénotype est réalisée lors du développement pré-natal et post-natal, sous le contrôle de l’expression des gènes et des interactions avec l’environnement (notamment des échanges avec les autres individus).

14/11 TP8 : Caractérisation du genre Homo

I – Recenser, extraire l’information EX – Utiliser un logiciel de gestion de l’information DS – Pratiquer une démarche scientifique

L'Homme (Homo sapiens) appartient au genre Homo, définit notamment par une face réduite, une mandibule parabolique, un dimorphisme sexuel non marqué sur le squelette est une bipédie stricte, avec un trou occipital en position avancée et une aptitude à la course. L'existence de pratiques culturelles et l'utilisation d'une grande variété d'outils sont associées au genre Homo, mais de façon non exclusive (on le retrouve par exemple chez les chimpanzés).

Pour lundi 18/11 : EVALUATION N°5 (Chapitre 4) Amener les fiches de révision du Chap. 4

18/11 EVALUATION N°5 (Chapitre 4)

THEME 2 A : GEOTHERMIE ET PROPRIETES THERMIQUES DE LA TERRE CHAPITRE 5 : LES PROPRIETES THERMIQUES DE LA TERRE

21/11 TP 9 : Température et profondeur dans l’écorce terrestre

C3 – Présenter ou traiter des données sous forme d’un graphique I – Recenser et extraire l’information (à partir de carte d’hydrogéologie)

Dans le bassin de Paris, l’eau contenue dans certaines couches géologiques présente une température d’autant plus élevée que celles-ci sont profondes. Dans ce bassin, le gradient géothermique est évalué à 30°C.km

-1.

Ainsi, dans l’écorce terrestre, la température augmente avec la profondeur suivant un gradient géothermique.

25/11

Activité 1 : Comprendre les causes de l’implantation d’une centrale géothermique

I - S’informer, recenser, extraire et organiser des informations

L’énergie géothermique chauffe les roches et les fluides qui peuvent circuler. L'Homme extrait ces fluides pour exploiter cette énergie. Le flux géothermique, mesurée W.m-2, correspond à la dissipation d'énergie provenant des profondeurs de la Terre et traversant une surface donnée en un temps donné. Une telle mesure permet d'évaluer le transfert de chaleur de la profondeur vers la surface. 95% de la libération d'énergie interne est ainsi dissipés de façon diffuse, les 5 % restants correspondant à des événements localisés brefs : séismes et éruptions volcaniques. Le flux géothermique présente des variations importantes d'une région à l'autre : il est, par exemple, un peu plus élevé au niveau des océans que sur le continent. Dans les domaines océaniques, les zones à flux de chaleur élevé sont les dorsales océaniques d'une part, les arcs volcaniques liés à la subduction et les points chauds d'autre part. En revanche, le flux de chaleur est faible au niveau des zones stables (plateau continental et plein abyssal) de même qu'au niveau des fosses associées à la subduction. Sur les continents, un flux géothermique élevé est observé dans les régions volcaniques mais aussi dans certains rifts continentaux où la croûte est amincie.

Pour jeudi 28/11 : Préparer l’activité 2

26/11

28/11 TP 10 : Origine de l’énergie thermique et transfert d’énergie

C - Exprimer et exploiter des résultats : - Utiliser un tableur pour calculer les quantités d’énergie libérées par radioactivité dans les différentes enveloppes de la Terre. - Traiter des mesures de conduction et de convection à l’aide d’un dispositif EXAO avec un tableur.

La chaleur de la Terre provient essentiellement (2/3) de la désintégration naturelle des isotopes radioactifs de certains éléments chimiques présents dans les roches du globe : uranium (238U et 235U), thorium (232Th) et potassium (40K). Le noyau atomique instable des isotopes radioactifs se fragmente spontanément en libérant un rayonnement et de l'énergie thermique. Même si le manteau est moins concentré en ces isotopes que la croûte terrestre, sa masse énorme lui permet de jouer le rôle prépondérant dans la production d'énergie interne. L’énergie thermique produite est transférée au sein des enveloppes du globe selon deux modalités : la conduction à la convection. La convection est un mode de transfert de chaleur plus efficace. On peut considérer la Terre comme une sphère dans laquelle existe une convection lente dans le manteau à l'origine des remontées et des descentes asthénosphériques. Celles-ci sont à l'origine de la dynamique lithosphérique et donc aussi à l'origine des manifestations de surface. Ces cellules de convection sont repérables par tomographie sismique. Ainsi, c'est la dissipation d'énergie interne du globe « fait bouger » les plaques. De part et d'autre de cette zone convective existent deux couches où règne la conduction : la lithosphère et l'interface noyau/manteau. C'est la conduction à travers la lithosphère qui est responsable du flux géothermique mesuré. Ainsi, l'énergie interne est efficacement transférée par convection de la profondeur vers la surface puis dissipée par conduction à travers la lithosphère. Le globe terrestre se refroidit ainsi très progressivement.

Pour lundi 02/12 : Préparer exercice 9 page 258 du livre Pour lundi 09/12 : EVALUATION N°6 (Chapitre 5)

02/12 Correction de l’activité 3 Exercice 9 page 258

I - S’informer, recenser, extraire et organiser des informations

Pour lundi 09/12 : EVALUATION N°6 (Chapitre 5)

THEME 1B : LE DOMAINE CONTINENTAL ET SA DYNAMIQUE CHAPITRE 6 : LA CARACTERISATION DU DOMAINE CONTINENTAL

05/12 TP 11 : Epaisseur de la croute et équilibre isostatique

DS –Utiliser un modèle analogique pour adopter une démarche explicative. C – Présenter ou traiter des données sous forme d’un graphique

Le modèle de l’isostasie propose que la lithosphère, rigide, repose en équilibre sur l’asthénosphère, plus dense et plus déformable. Des modifications de cet équilibre sont à l’origine de mouvements verticaux de la lithosphère.

Pour lundi 12/12 : Préparer les exercices 1 et 2

09/12 EVALUATION N°6 (Chapitre 5)

Correction des exercices 1 et 2

12/12

TP 12 : Voyage dans les Pyrénées a la recherche d’indices de l’épaissement crustal

I – Recenser, extraire et organiser l’information

Les plis, les failles inverses et les nappes de charriage observés dans les chaînes de montagnes résultent d’un raccourcissement et d’un empilement de terrains qui expliquent l’épaisseur de la croûte. Ce sont des indices tectoniques de l’épaississement de la croûte. Certaines roches des chaînes de montagnes présentent des traces de fusion partielle, ou contiennent des minéraux caractéristiques de conditions de pression et de température élevées (roches métamorphiques). Ces roches témoignent d’un enfouissement et donc d’un empilement des terrains. Les indices pétrographiques convergent ainsi avec les indices tectoniques : c’est un raccourcissement et un empilement de terrains qui entrainent l’épaississement crustal à l’origine des reliefs que sont les chaînes de montagnes.

16/12 EXERCICE 3 : Métamorphisme de la vallée de la Rance

CO – Mobiliser et restituer ses connaissances I – Recenser, extraire et organiser l’information

19/12 TP 13 : Déterminer l’âge d’un granite de la croute continentale

EX – Utiliser Excel C – Communiquer des informations par un graphique

Les roches magmatiques de la croûte continentale peuvent être datées par radiochronologie : elles contiennent des éléments chimiques instables comme 87Rb, qui se désintègre en 87Sr au cours du temps. Les quantités de 87Rb et de 87Sr sont liées et varient avec le temps : leur mesure permet de calculer l’âge de la roche. L’âge des roches de la croûte continentale est varié, jusqu’à plus de 4Ga, alors que celui des roches de la croûte océanique n’excède pas 200 Ma.

21/12 BAC BLANC n°1

THEME 1B : LE DOMAINE CONTINENTAL ET SA DYNAMIQUE CHAPITRE 7 : LA FORMATION DES CHAINES DE MONTAGNES

06/01 ACTIVITE 1 : Les traces d’une ancienne marge passive

I – Recenser, extraire et organiser l’information

Dans les chaînes de montagnes, on observe la présence d'anciennes marges continentales passives. Plus ou moins déformées, ces marges sont cependant identifiables grâce à des arguments structuraux et pétrographiques (présence de blocs basculés séparés par des failles normales et/ou de sédiments de milieux océaniques peu profonds caractéristiques des marges passives). Le rapprochement au sein d'un même massif montagneux de deux marges continentales autrefois séparées par un océan témoigne également du contexte de convergence entre deux plaques lithosphériques associé à la formation d'une chaîne de montages.

07/01 ACTIVITE 2 : Les indices d’un ancien domaine océanique

Co – Utiliser ses connaissances I – Recenser, extraire et organiser l’information

Dans les chaînes de montagnes, affleurent des complexes de roche appelés ophiolites, qui sont constitués de péridotites, de gabbros, de basaltes et de roches issues de l’accumulation de sédiments à grande profondeur en milieu océanique (radiolarites). Les ophiolites sont interprétées comme les vestiges de lithosphère océanique. Les ophiolites sont situées au cœur des chaînes de montagnes, à la frontière entre deux plaques lithosphériques. Cette localisation suggère que la formation d'une chaîne de montagnes est associée à la disparition d'un domaine océanique par subduction dans un contexte de convergence entre deux plaques lithosphériques.

09/01 TP 14 : Les preuves d’une ancienne marge active dans les Alpes

Ex – Utiliser le microscope polarisant C – Communiquer des observations par un dessin d’observation et un tableau comparatif

Dans les chaînes de montagnes, affleurent des roches océaniques dont les minéraux portent les traces de transformations minéralogiques à plus ou moins grande profondeur : ce sont des roches métamorphiques. Grâce aux diagrammes de stabilité des associations minéralogiques, il est possible de retrouver quelles conditions de pression et de températures ont subi ces roches. Ces conditions correspondent à celles que rencontrent des matériaux océaniques ou continentaux lors d'un enfouissement lié à un processus de subduction. Les chaînes de montagnes présentent des indices d’une ancienne marge active (zone de subduction)

ACTIVITE 3 : Le moteur de la subduction

13/01 ACTIVITE 3 : Un modèle de formation d’une chaîne de montagnes

Pour mardi 21/01 : EVALUATION N°8 (chapitres 6 et 7)

THEME 1B : LE DOMAINE CONTINENTAL ET SA DYNAMIQUE CHAPITRE 8 : LE MAGMATISME DES ZONES DE SUBDUCTION

16/01 TP 15 : L’origine du magmatisme des zones de subduction

I – S’informer, recenser et extraire l’information

Dans les zones de subduction, des volcans émettent des laves souvent visqueuses associées à des gaz et leurs éruptions sont fréquemment explosives. La déshydratation des matériaux de la croûte océanique subduite libère de l'eau qu'elle a emmagasinée au cours de son histoire, ce qui provoque la fusion partielle des péridotites du manteau sus-jacent.

20/01 ACTIVITE 3 : L’accrétion continentale

CO – Mobiliser ses connaissances

Dans les zones de subduction, le magma issu de la fusion partielle du manteau de la plaque chevauchante cristallise en profondeur, formant, au sein de la croûte continentale, des roches plutoniques. Ces roches sont regroupées sous le terme de granitoïdes (diorite, granodiorite). Les points communs des granitoïdes sont : - une composition chimique et minéralogique proche d'un granite ;

- une structure grenue, comme celle du granite : la roche est entièrement cristallisée et est formée de minéraux visibles à l'œil nu, ce qui témoigne d'un refroidissement lent du magma à partir duquel elles se sont formées. À l'échelle du globe, plus de 85 % du magma produit dans les zones de subduction cristallise en profondeur, formant des granites et des granitoïdes, et produisant ainsi de nouveaux matériaux continentaux. Les zones de subduction sont en outre à l'origine de 75 à 85 % des granites et des granitoïdes produits sur notre planète. Les zones de subduction sont donc le contexte géologique privilégié de fabrication de la croûte continentale à partir d'un magma d'origine andésitique. On parle d’accrétion continentale. Actuellement, cette production de la croûte continentale et compensée par sa disparition par érosion puis subduction. La croissance des continents est donc nulle.

21/01 EVALUATION N°8 (chapitres 6 et 7)

THEME 1B : LE DOMAINE CONTINENTAL ET SA DYNAMIQUE CHAPITRE 9 : LA DISPARITION DES RELIEFS

23/01 TP 16 : Evolution des chaînes de montagnes

I - Recenser, extraire et organiser des données cartographiques en utilisant un globe virtuel Google Earth. Ex – Utiliser des logiciels de gestion de l’information. C – Présenter des données sous forme d’un tableau

Les chaînes de montagnes anciennes ont des reliefs moins élevés que les plus récentes. On y observe à l’affleurement une plus forte proportion de matériaux formés et/ou transformés en profondeur.

27/01 ACTIVITE : La disparition des reliefs

I – Recenser, extraire et organiser l’information

Altération et érosion contribuent à l'effacement des reliefs. Les produits de démantèlement sont transportés sous forme solide ou soluble, le plus souvent par l'eau, jusqu'en des lieux plus ou moins éloignés où ils se déposent (sédimentation). Des phénomènes tectoniques participent aussi à la disparition des reliefs. L'ensemble de ces phénomènes débute dès la naissance du relief et constitue un vaste recyclage de la croûte continentale.

Pour lundi 03/02 : Préparer l’exercice 1 : Qualifier et quantifier l’érosion d’un relief Pour mardi 04/02 : Préparer la question de synthèse

THEME 3A : LE MAINTIEN DE L'INTEGRITE DE L'ORGANISME : QUELQUES ASPECTS DE LA REACTION IMMUNITAIRE CHAPITRE 10 : LA REACTION INFLAMMATOIRE, UN EXEMPLE DE REPONSE INNEE

30/01 TP 17 : Le mode d’action d’un anti-inflammatoire : l’ibuprofène

I – Recenser, extraire et organiser l’information C – Communiquer par un schéma

La réaction inflammatoire aiguë en est un mécanisme essentiel. Elle fait suite à l'infection ou à la lésion d'un tissu et met en jeu des molécules à l'origine de symptômes stéréotypés (rougeur, chaleur, gonflement, douleur).

03/02 ACTIVITE 2 : Les étapes de la phagocytose

C – Communiquer par un schéma