Centre - Juillet 2012

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édito Bon’jour !

« Mais qu’est ce que je vais bien pouvoir leur dire ? » Oui, parfois l’inspiration se fait la malle… Et puis j’allais pas te raconter ma dernière soirée : un mariage… Le bonheur des autres, c’est trop éner-vant. Quoi d’autre ? Ah si, nous sommes en été. Mouah ah ah c’te bonne blague ! Avec les hectolitres de pluie qui nous tombent sur le museau ces derniers jours, j’ai plutôt l’impression qu’on a accéléré le temps pour passer direct en Automne… Même si Woody Allen a dit dans Midnight In Paris : « Paris est plus jolie sous la pluie », ça va quand même pas être bien pratique pour profi ter de la fête des Tuileries, ses chaises volantes et sa grande roue !Tu sais, j’ai une théorie sur le sale temps de ces derniers jours. Comme je te sens intrigué, je vais te raconter. N’hésites pas à me dire ce que tu en penses sur [email protected] Voilà le topo : je pense que Dieu, qui qu’il soit, s’est salement fait lar-guer par sa meuf. Voilà, il faisait beau, c’était l’amour fou, et là paf ! Sa gonzesse décide de se tirer. Evidemment, il pleure toutes les larmes de son corps ou de sa représentation astrale, bref on s’en fout, il chiale, ça fl otte sur le truc qu’il a créé et où toi et moi vivons. La salope ! Dieu oscille entre les sanglots longs, les larmounettes, les rivières de déses-poir… Puis il relativise. Tiens, une éclaircie ! Il croit même avoir trouvé un plan génial pour reconquérir sa belle. Tiens un grand soleil bien lumi-neux ! Mais il se rend compte bien vite que ça va pas le faire… Il chiale, rebelote, on sort les parapluies, ou pas. Car, toujours selon Woody Allen : « Tant que vous n’avez pas été embrassé par un de ces pluvieux après-midis parisiens, vous n’avez jamais été embrassé. » Ça vaut peut-être le coup d’essayer ?

Marion BuiattiRédactrice en chefPublicité

[email protected] 06 83 22 97 63

Régie grands [email protected]

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Président

Jacques de la Chaise

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Rédactrices en chef

Marion Buiatti

Camille Clance

Graphiste

Alexandra Praud

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Secrétaire de rédaction

Anne-Charlotte Anris

Rédaction

Marion Buiatti, Camille Clance,

Blanche Delacourt, Aude Deltin, Coralie

Dienis, Sabrina Hamed,

Anne-Laure Parmantier

Photographes

Marion Buiatti, Nelson Tiberghien

Photo couverture

Florian Prioreau

Responsable culture et partenariats

Macha Binot / 06 22 36 20 88

Dreamteam

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Petites annonces

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01 48 78 15 64

SAS Le Bonbon

12, rue Lamartine

75009 Paris

SIRET 510 580 301 00016

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Un verre de vin offert

L’Entrepôt Paris VilletteThe place to be216, av. Jean Jaurès - 19e

Tél. : 01 48 03 44 95. De 6h30 à Minuit- JVS : 2hMétro Porte de Pantin - Facebook : Entrepôt Paris Villette

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sommaire

6. Alternative Bike

18. Martin Médus

10. James Denton

24. Dauphine-Lamarck

14. DopeShirt

28. Le Crédit municipal de Paris

5. Le Bon Timing6. Le Bon Commerçant

10. La Bonne Étoile12. Les Bons Plans

14. Le Bon Art

16. Le Bon en Arrière17. La Bonne Pause

18. La Bonne Journée20. Les Bons Snapshots

22. Les Bons Shops

24. Les Bons Bikers26. Le Bon Horoscope28. Le Conte est Bon

30. Le Bon Agenda32. Les Bonnes Adresses

Juillet / Août 2012

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le bon timing Les événements à ne pas manquer !

bon plan

soirée

exposition

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festival

Les 5 ans de Vélib’Le vélo le plus célèbre de la capitale fête ses 5 ans. Pour l’occasion, le Bonbon organise une grosse fiesta le 21 juillet à la Machine du Moulin Rouge avec, entre autres, le duo électro-pop Exotica et la Djette Violaine Schütz. En attendant, bonnes balades dans la ville sur votre deux roues. Le 21 juillet à la Machine du Moulin Rouge - 18e

Plus d’infos sur www.lebonbon.fr

Paris prend ses aisesParis quartier d’été, c’est le festival qui annonce enfin les beaux jours. Ou quand Paris se transforme en scène multi-arts, où se côtoient artistes aguer-ris et graines de star, spectacles confidentiels et grosses productions, activités gratuites et payantes, lieux fixes et éphémères… Pour plus d’infos, rendez-vous sur le site ! Du 14 juillet au 11 août www.quartierdete.com

Street Art foreverStreet Art Collection présente le travail de six artistes issus de la scène graffiti/street art. La plupart d’entre eux ont commencé à opérer dans les années 1990 : Babou, L’Atlas, Space Invader, Sun7, Tanc et Seen… À découvrir sur place ou directement à leur QG. Jusqu’au 21 juillet, galerie Marie Cini16, rue Saint-Claude - 3e. Tél. : 01 42 71 44 12 www.galeriemariecini.com

Un été coloréLe leader japonais du matériel audio, Audio-Technica, présente sa collection d’été ! Des écouteurs hauts en couleur à assortir à son smartphone, son iPod, ou son walkman si on est resté dans les années 1990. Douze teintes pop pour un look jusqu’au bout des lobes ! 29 ! la version standard / 36 ! la version IPhone.Concept store Audio-Technica 11, rue des Pyramides - 1er - Tél. : 01 43 72 97 27

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Alternative Bike

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le bon commerçant

Électricité vs pétrole« À la fin du 19e siècle, la première voiture à avoir atteint les 100km/h était une voiture électrique. Je ne saurais toujours pas expliquer pourquoi l’homme a préféré exploiter le pétrole. Bizarre... » C’est sur ce constat qu’Alexis fonde Alternative Bike il y a un an. « Je suis mon premier client. J’ai toujours été consommateur de moyens de déplacement. J’ai eu le même parcours que beaucoup d’urbains : piétons, vélo, transport en commun, deux roues de toutes cylindrées… Pour me rendre compte finalement qu’il y avait une alternative moins contraignante ! Je suis d’ailleurs étonné que l’électrique n’ait pas pris plus de place à ce jour sur le marché. »

Des avantages, beaucoup d’avantages !« L’électrique est totalement adapté à la ville. Quand on pense que 80% des trajets urbains compor-tent moins de 5km, l’autonomie d’une batterie (en moyenne 50km) est largement suffisante non ? Le prix de l’essence a explosé ces dernières années, ajoutez à ça les assurances, le parking, les contraventions, les réparations… La voiture basique par exemple représente le 2e poste de dépenses après le loyer. La consommation électrique coûte moins d’un dixième de ce que coûte un moteur à essence. Donc même si le prix à l’achat est un peu plus élevé, on s’y retrouve très, très rapidement ! » Les assurances sont aussi moins chères. En effet, les statistiques prouvent que les transports électriques causent moins

d’accidents. Pourquoi ? « Les utilisateurs d’électrique ont souvent une conduite plus éco-responsable, parce que moins à la recherche de performance. De plus, le gain de confort entraîne un comportement plus cool. Une clientèle plus concernée entraîne une conduite plus sécuritaire ! Avec un VAE (vélo à assis-tance électrique, donc), on peut emprunter les pistes cyclables. Pas d’assurance, pas de port de casque obligatoire, pas d’embouteillage… »

Une offre adaptée…Chez Alternative Bike, on trouve de l’électrique pour tous les goûts. Trottinettes, skates, vélos, scooters… « Pratique ou ludique, petite, moyenne ou grande distances : l’idée était de proposer une solution de déplacement électrique adaptée aux besoins du client » Pourquoi pas de voiture ? « Ce n’est pas mobile à mon sens ! »

… à une clientèle hétéroclite« Jeunes, anciens jeunes, actifs, sportifs, mères de famille, âmes écolos, 3e age, touristes… Il y a même de plus en plus d’utilisateurs de scooters qui passent à l’électriques pour des raisons évidentes de budget. On réalise maintenant qu’en ville la performance n’est pas la solution à tout ! » Du vélo à assistance élec-trique qui évite aux mamans de s’essouffler à traîner leurs petits à l’arrière, au businessman et son scoo-ter électrique qui s’économise les corvées de pleins d’essence, en passant par l’étudiant qui va de bus en

UNE HISTOIRE ÉLECTRIQUE

Publi-reportage Camille ClancePhoto Léonard Porché

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le bon commerçant

métro avec sa trottinette électrique super compacte, ou le jeune qui s’amuse avec son skate à moteur… Alternative Bike fait dans la diversité.

Des facilités pour accéder à l’électriqueAlternative Bike propose des produits à la vente, mais aussi à la location « Les touristes ont très bien accueilli l’offre – en VAE, on fait le tour de Paris en deux grosses heures ! On a aussi la possibilité de brider les moteurs pour limiter la vitesse et profiter au mieux des ballades. » Mais la location est aussi proposée à de possibles clients, qui souhaitent tes-ter les produits avant de s’engager « Bien entendu, je propose toujours de faire un tour avant l’achat. Mais pour les indécis qui voudraient vraiment faire l’ex-périence, il est possible de louer pour un jour, deux, trois, une semaine… Et si cette période débouche sur une acquisition définitive, je procède au rem-boursement partiel ou total de la location du vélo ! » Pratique et convaincant aussi, la location-finance-ment. Pour 45!/mois, votre VAE sera vôtre au bout de deux années ! Enfin, sachez que la mairie de Paris rembourse aux résidents de la ville 25% (plafonné à 400!) du prix d’achat de vélo ou cyclo électrique. Bluffant, pas vrai ?

Profitez de l’été pour essayer !Offre spéciale pour les lecteurs

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Tél. : 01 44 61 56 76www.alternative-bike.com

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la bonne étoile

Il y a quelques semaines, j’ai rencontré un plombier. Mais les travaux dans mon appartement n’y sont pour rien… Car mon plombier n’a pas la raie des fesses à l’air, ni ne baragouine dans sa moustache poivre et sel. Non. Mon plombier est en carton-pâte, made in Hollywood. Mon plombier, c’est Mike Delfino, oui oui, le même que dans Desperate Housewife. Et dans la vraie vie, il est aussi charmant que sur mon écran. Il répond au doux nom de James Denton, et vient tout juste d’être choisi pour incarner l’élégante griffe de mode Daniel Hechter. Pour ses 50 ans, la marque s’est payée le luxe d’un ambassadeur d’un an son cadet, qui en paraît aisément dix de moins… S’il n’avait emmené femme et enfants dans la capi-tale pour la soirée d’anniversaire de la marque, j’au-rais volontiers déchiré sa chemise… Après tout, il n’aurait pas eu de mal à s’en trouver une autre !

Vous avez été choisi en tant qu’égérie de Daniel Hechter avant tout parce que vous êtes beau, quel effet ça fait ?Ah ah ! (grand sourire hollywoodien, ndlr) Je ne sais pas trop, mais merci ! C’est une lourde responsabi-lité car presque toute ma vie d’acteur, j’ai joué des mauvais types, des vilains… Et ça a changé avec le personnage de Mike, qui devait être sexy ! Mais ne vous inquiétez pas, je vais manger un peu et puis ça sera fini (rires) !

La marque est parisienne, avez-vous un attachement particulier à Paris ?C’est marrant parce que lorsqu’ils m’ont demandé d’être leur ambassadeur, je ne connaissais pas beau-coup la marque car elle n’est que dans très peu de magasins aux États-Unis… et je n’étais jamais venu à Paris ! Donc travailler avec eux c’était une aubaine. J’ai pris des cours de français quand j’étais à la fac, et j’ai beaucoup rêvé de Paris en lisant Hemingway. J’ai toujours voulu venir, mais c’est un grand voyage, assez cher. Donc c’est génial d’avoir eu cette oppor-tunité avec Daniel Hechter.

Qu’avez-vous visité en premier alors ?J’ai pris le bus touristique qui fait le tour de la ville, c’était génial !

Qu’est-ce vous aimez ici ?Je m’excuse parce qu’en France, je devrais parler français, je le comprends, mais je ne peux pas le par-ler… Et tous les gens sont vraiment merveilleux ici, même s’ils ne parlent pas forcément bien anglais, ils essayent, alors que ce n’est pas leur boulot. Les gens sont vraiment sympathiques, et polis… Évidemment, c’est peut-être aussi parce que je passe à la télé (il sourit), mais les gens ont sincèrement l’air super. Et puis Paris, c’est une ville vraiment romantique. J’adore l’émotion qu’elle procure la nuit… Je ne sais

JamesDentonUN AMÉRICAIN À PARIS

Interview Marion BuiattiPhoto Daniel Hechter


pas si c’est à cause des monuments, de la Seine… En tous cas, ça ressemble exactement à tout ce que j’ai entendu dire : c’est fantastique.

La griffe fête son cinquantième anniversaire, vous vos 49 ans, avez-vous peur de passer à la cinquan-taine ?C’est presque mon anniversaire aussi avec cette soirée (la marque a organisé une grande fête au pavillon Cambon, 46, rue Cambon, 1er, le 14 février dernier, ndlr) ! Mais c’est drôle, je m’en fiche

complètement ! Ces deux dernières années, quand les gens me demandaient quel âge j’avais, je répon-dais 50, parce que c’était plus facile. Et puis, vous savez, mes enfants sont très jeunes, on les a eus très tard avec ma femme, et ça vous force à rester jeune ! Donc je ne m’inquiète pas. Et puis tout le monde va dans le même sens, on devient tous vieux ! (il sourit)

Desperate Housewife s’arrête après huit saisons, qu’allez-vous faire désormais ?Je dois trouver un nouveau job ! (rires)


la bonne terrasse Publi-reportage & Photo Bruno Jamin

L'Entrepôt, Paris VilletteThe place to be !

Une superbe terrasse, face au parc, est le rouge sou-rire de l'Entrepôt, dont les hôtes vous accueillent avec un plaisir de recevoir souriant et chaleureux. Une autre terrasse, intérieure, aucun bruit, laisse le soleil jouer tout le jour sur les courbes méditerra-néennes de la végétation. Le bar-restaurant est élégant dans les moindres détails : fauteuils Chesterfield, canapés profonds, cuirs patinés, bibliothèque, piano, jeux d'éclairages subtils, expos modernes sur les murs. Le bar-lobby attend les groupes, gens d'affaires ou intimistes qui désirent une ambiance plus saturée, confiden-tielle, pour discourir, passer des films, prendre pos-session du lieu, à l'écart. Puis, vous avez la chance d’accéder au 10ème étage, pour découvrir une vue panoramique sur tout Paris, surréaliste, depuis la salle prévue pour les grandes occasions (séminaires, banquets, réunion de famille…). On découvre le parc de La Villette sous un angle inédit, majestueux, futu-riste, vert et boisé, sous un ciel couronnant la Ville-Lumière. L’équipe, composée de 18 personnes, forme des rangs dynamiques et courtois pour vous servir sur plus de 600m". La cuisine est celle d'une brasse-rie parisienne classique aux valeurs sûres, qui per-met, outre une carte variée et des formules rapides, des collations ou un snacking sur le pouce à toute heure. Une scène équipée d’un piano est ouverte aux musiciens et les différents espaces accueillent

expos, before, chill-out, happy hours en afterwork de 17h à 21h. Accolé à l'hôtel 4 étoiles Mercure, là, l'idée du lounge puise ainsi aux sources d'une ins-piration raffinée, dans un luxe privatif, si besoin. Ces beautés sinon demeurent publiques, simple-ment, et le cadre est idéal pour les scènes ouvertes aux artistes de talent. L'Entrepôt de la Villette tient donc à partager l'excellence Parisienne avec un raf-finement enchanteur, artistiquement festif. On vous recommande sans modération le charme détendu de ce nouvel Eldorado, cet été justement, dans un quar-tier qui mérite le détour et donne sa mesure avec cinéma plein-air, festivals, concerts, expos, dans l'herbe tendre, à l'ombre des bosquets. Musiciens, vidéastes, cinéastes, peintres, sculpteurs, poètes, cols-blancs ou cols débraillés, monde de la mode, public rêveur, deejays, un nouvel espace n'attend plus que vous, sous la lumière au bord de la ville, au soleil, ou à l'intérieur, merveilleusement installés. Très facile d'accès, parking offert au client, voilà un rendez-vous rare à multiplier par goût de l'élégance, de la fête, et « du luxe, du calme et de la volupté »…

L'Entrepôt Paris Villette216, av. Jean Jaurès – 19e

Tél. : 01 48 03 44 95Facebook : L'Entrepôt Paris la VilletteDe 6h30 à minuit - Jeu/Ven/Sam : 2h


le bon plan

L’Assiette à CarreauxDéjeuner sur l’herbe (ou presque)

Forcément, tout espace ouvert récemment qui contribue à développer un peu plus la vie du quartier des Petits-Carreaux sera toujours accueilli positive-ment par moi-même. C’est le cas de l’Assiette à Car-reaux, charmant coin lunch / brunch / dîner / apéro / petits verres entre amis.L’espace est gris et blanc, cosy, chaleureux et ça donne envie. Un peu à l’image de Thierry, manager du lieu. Cette figure du quartier arpente le Sentier depuis 32 ans. Fondateur de Bel Air, la griffe pari-sienne chérie des fashionistas, il connaît tout le monde et tout le monde le connaît. Entre deux ser-rages de mains et trois louanges de riverains habi-tués (« Le thon d’hier Thierry, mortel ! « Il reste de la mousse au chocolat aujourd’hui ? »), il me raconte. « Le quartier est en pleine mutation, entre les ateliers qui se transforment en appartements pour abriter les familles bobos et la population du Marais qui émigre vers le Sentier parce que l’immobilier y est moins cher. Peu à peu, les boutiques de gros font place aux détaillants, et les alentours deviennent un lieu de promenade et de flânerie. Les gens viennent trouver ici le calme qu’il n’y a plus à Montorgueil (la foule, les passages de camions). » Car la rue des Petits-Car-reaux, c’est une pure rue piétonne, avec tout ce que ça engendre de plaisir et de bien-être. Parlons plaisir justement : la carte de l’Assiette à carreaux n’est pas en reste. Produits frais du matin tout droit livrés de Rungis quotidiennement, vins en provenance directe

des vignerons, charcuterie italienne (attention, la mortadelle truffée est le huitième péché capital), fromages de la Mère Richard à Lyon (sublimes), viande incroyable (ce filet de bœuf au saint-marcel-lin est à se damner), desserts à tomber – et à 5 ! (la mousse au chocolat au Carambar est dangereuse), et un poisson frais par jour… « On propose aussi des formules plat-dessert à 18 !, ou encore la formule deux entrées-dessert, très appréciée par les filles ! La relation au client, l’accueil, c’est capital pour moi. Vous pouvez manger super bien dans un restaurant, si le service est exécrable, vous garderez un mauvais souvenir. » Ici, on peaufine le moindre détail : de la déco (sets de table en kraft personnalisés, couverts Laguiole, carrelage à l’ancienne qui fait d’ailleurs office de logo de l’espace, lumière tamisée et bougies quand vient le soir), à l’ambiance musicale (Thierry est un fan des années 1980, vous dînerez donc sur les rythmes du Bus Palladium d’il y a 30 ans, façon Californie) en passant par le café (Illy « le meilleur de Paris »). Un petit conseil : la terrasse n’est pas bien grande et vite prise d’assaut… Ne tardez pas !

L’Assiette à Carreaux45, rue des Petits-Carreaux – 2e

Tél. : 09 53 27 33 83Ouv midi et soir du mar au sam. Brunch le dimancheOuv le lun midi. After work le lundi de 18h30 à 21h30

Texte Camille Clance

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le bon t-shirt Texte Aude DeltinPhoto Camille Payen

Envisager nos corps comme des galeries d’art ambulantes, transformer l’achat d’un vêtement en une expérience originale. Voilà comment résumer en quelques mots le concept de DopeShirt.

Derrière cette idée originale, il y a une “Dopeteam” que j’ai bien évidemment tenu à rencontrer. À l’occa-sion d’un petit apéro, je découvre que DopeShirt c’est en réalité deux jeunes créateurs charmants : Julien, 25 ans, Parisien et photographe. Jérémy, même âge, même origine, graphiste.

Mais au fait… Pourquoi DopeShirt ? L’appellation paraît tout de même un peu borderline, voire carré-ment provocatrice… « En anglais, le mot Dope signi-fie une addiction à la créativité ou un sentiment qui stimule la créativité. Ça nous correspond totalement. D’où le nom. » Il fallait y penser…

Après s’être rencontrés sur les bancs d’une école d’architecture, J&J réfléchissent à un moyen de par-tager ce goût pour la création ainsi que leur atta-chement à la musique et à la mode. Le tee-shirt leur paraît être le meilleur support mais aussi « un bon moyen de dire, de faire et d’être ». Pour se démarquer, ils décident de réfléchir à un packaging différent du traditionnel sac griffé, et d’accompagner chacun de leur produit d’une création unique réalisée par leurs

soins sur du carton, histoire d’ajouter une petite touche écologique à l’histoire.

Résultat : pour cette première collection, J&J pro-pose une dizaine de modèles différents vendus dans une sorte de sac congélation… Les imprimés sont issus des créations graphiques de Jérémy et de pho-tomontages détournés, pour certains plutôt osés. Enfin, hommes et femmes trouveront leur bonheur grâce à de très jolies coupes faites main, un détail assez appréciable de nos jours.

La prochaine collection sera disponible dès sep-tembre mais d’ici-là, n’hésitez pas à doper votre col-lection de tee-shirts en vous rendant dans les deux points de vente du centre de Paris.

Leurs bonnes adressesLe Musée en Herbe, 21, rue Hérold - 1er

H2Impression, 8, rue d’Uzès - 2e

Points de venteMy ElectroKitchen

60, rue Quincampoix - 1er

La Braderie des Jeunes Créateurs 18, rue des Blancs-Manteaux - 3e

http://cargocollective.com/dopeshirt

Dope yourself !

ART-SHIRT

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le bon en arrière

Niché non loin du boulevard des Italiens, sir de la place Boildieu depuis des siècles, pas vraiment Opéra ni comique d’ailleurs, mais un peu de tout ça à la fois, je suis un de ces Français avec des soupçons d’Italie, un de ces monuments qui a réussi à brasser les cultures… Je suis, je suis ?

Tout commence par une histoire de foire. Dans ces places to be de la vie parisienne du XVIe siècle, au milieu de montreurs d’animaux, de marchands ven-tripotents et de théâtres de marionnettes, s’organise la rébellion du théâtre à l’ita-lienne, suite à un décret du bon Louis XIV interdisant ce genre d’exotisme pour favoriser celui de la tradition française. Alors libre de tous droits, les forains entrepreneurs de spectacles s’avi-sent de ce fond de commerce qu’est le répertoire italien et, le public, laissé en mal d’Arlequin et de Pierrot, se rue afi n d’assister aux représentations. De ces origines populaires naît un théâtre vif et impertinent tourné vers la satire, la parodie et qui se veut quotidiennement enrichi par l’actualité.

Alternant le chant et la parole, les puristes de la Comédie Française voient vite dans ce style baptisé du nom d’une des troupes de foire, Opéra Comique,

une concurrence qu’il faut évincer ! Ainsi, plusieurs arrêtés royaux interdisent successivement la parole puis le chant. Pour faire face, les forains montent des pantomimes dans lesquelles ils brandissent des écriteaux portant les textes et répliques : le premier sous-titrage était né ! Puis, ils font chanter le public. Mais pour que ce concept marche, les troupes uti-

lisent des airs populaires tout en modifi ant les paroles. Ces couplets se chantent alors

sur une seule mélodie dite des voix de ville, ou communément Vaudeville !

Grâce à la rivalité avec les comédiens français, les forains inventent de toutes pièces une toute nouvelle forme de

spectacle qui attire encore aujourd’hui le spectateur dans

l’univers calfeutré de l’Opéra. En 1783, se tourne la première page

importante de l’histoire de ce genre avec l’ouverture de la salle Favart, théâtre spécia-

lement dédié et, qui plus est, inauguré par Marie-Antoinette en personne !

Depuis, le petit a bien grandi et il est de ceux que l’on croise dans les guides touristiques, dont on lit la programmation sur les affi ches du métro, dont on sait, ou pas, qu’il a vu naître Car-men de Bizet ou Pelléas et Mélisande de Debussy.Je suis, je suis ?… l’Opéra Comique pardi !

L’Opéra C…LE PLUS PARISIEN DES ITALIENS

Texte Coralie DienisPhoto DR

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Une entrée offerte pour l’achat

d’un cocktail

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Une Fleur en Liberté

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Venez découvrir une véritable cantina mexicaine en plein cœur du Marais où vous pourrez boire un verre et découvrir le Mezcal tout en dégustant des « botanas » plats traditionnels mexicains.44, rue des Tournelles - 75004 - Tél. 01 49 96 58 39www.lamexcaleria.com

La Mexcaleria

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Les Arches du Marais

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L’Assiette à Carreaux

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la bonne aventure Texte Blanche DelacourtPhoto DR

Crime au MaraisQuand le jeu de société devient grandeur nature

Lorsque j’ai découvert ce qui se tramait dans le Marais, ce que j’allais pouvoir vivre dans peu de temps, mon sang n’a fait qu’un tour, et les souvenirs m’ont assailli. Il y a quinze ans, Fantômette, c’était moi. Avec mon costume noir et jaune, mes semelles crêpe, mon loup et ma cape, partout je menais l’enquête. Je me déplaçais sans bruit, comme une souris, pour espionner mes suspects. J’inventais des intrigues. Je n’avais pas le droit de me glisser dehors la nuit ou de monter sur le toit pour arrêter les coupables : mon terrain d’enquêtes était trop restreint, alors je l’ai élargi grâce à la littérature policière. Je la dévorais, et elle m’a accompagnée depuis mon enfance : les sœurs Parker et Alice, puis Sherlock Holmes, Miss Marple et Hercule Poirot, et bien d’autres. J’aimais jouer au Cluedo et même si je perdais, c’était déli-cieux de mener l’enquête, hypothétiser et diagnosti-quer, monter des stratégies et prendre des risques… Alors, quand j’ai appris qu’il allait y avoir une sorte de Cluedo grandeur nature, un jeu de piste géant en plein cœur de Paris, dans lequel nous investigue-rions pour trouver l’auteur d’une scène de crime, j’ai trépigné de plaisir. Et comme par hasard, la veille, je m’étais remise à lire un Arsène Lupin. Démasquez Paris est une adaptation totalement innovante du traditionnel jeu de piste. C’est un véritable jeu d’aventures qui nous plonge dans des

lieux historiques du Marais, souvent inconnus du grand public, nous faisant découvrir Paris autre-ment. Tout est mis en scène pour nous faire vivre une intrigue dans laquelle nous sommes les acteurs.

Le contexte : un homme est retrouvé mort dans les escaliers d’une galerie d’art. Un journaliste de faits divers le trouve, et alors qu’il était parti mener l’en-quête et qu’il avait presque atteint son but, il est soudain arrêté en tant que suspect ! Pour le discul-per et résoudre l’énigme, il nous fournit les éléments qu’il a pu réunir et nous envoie enquêter pour révéler la vérité. Il ne faut pas perdre de temps ! Un parcours a été tracé, des indices dissimulés, des témoins sont là pour nous fournir des informations, et une malette nous est remise avec tout le matériel du par-fait détective : carnet de route, jumelles, boussole, loupe… La chasse aux indices est ouverte ! Au fur et à mesure de l’enquête, notre équipe gagne des points qui nous permettent de participer à un grand tirage au sort avec plein de lots à gagner !Je cours m’inscrire. Et vous ?

Crime au Marais Du 21 juin au 9 septembre

Tél. : 06 48 88 81 32 Tarif : 15 !/participant

www.demasquezparis.com


la bonne journée Texte & Photo Marion Buiatti

Je sors. Souvent. La nuit, on a nettement plus de facilités à se rapprocher des gens. L’autre soir, j’étais à la soirée Desperados Custom (la marque lance un site où l’on peut personnaliser la bouteille de leur fameuse bière aromatisée à la téquila). Bonne ambiance, alcool à volonté. J’y croise des artistes surdoués du collectif 9e Concept, des bloggeurs plus ou moins connus, des amis, et puis Martin Médus.

Étrange énergumène que ce jeune homme. La plu-part des gens le connaissent pour son apparition dans Secret Story (saison 3), et aussi pour son blog où il poste des vidéos de toutes sortes (Martinme-dus.com). Au premier abord, on pourrait penser que c’est un petit con prétentieux, mais quand on creuse un peu, le brun ténébreux est loin d’être une coquille vide. Un sujet idéal pour notre rubrique donc. Un 06, un coup de fil et quelques jours plus tard, me voilà en tête à tête avec Martin.

Quand je lui demande à quoi ça ressemble une jour-née avec Martin, il me répond du tac au tac : « Ça dépend si t’es un mec ou une fille. » Oui, Martin est coquin, mais il a le regard enfantin. Martin est un gosse aux mille et un projets qui se réveille vers 9h le matin et « cultive [son] côté branleur », mais boit un verre de Jack pour bien démarrer la journée. Mar-tin en a dans le pantalon. Sans cesse, il se remet

en question, note ses idées qui défilent aussi vite que des étoiles filantes. « Je fais de la muscu dans ma chambre, quand je suis d’humeur », me dit-il, l’air amusé et blasé à la fois. Il bosse « quatre à cinq heures par jour », histoire d’entretenir son réseau, mettre à jour son blog et honorer quelques rendez-vous avec des fournisseurs ou des associations… Oui, Martin est un mec au grand cœur qui a monté une marque de tee-shirts dont 25 % du prix est reversé à l’association de votre choix. Ça s’appelle Juste un cœur, c’est joli, basique, facile à porter, généreux et ça s’achète sur Justeuncœur.com.

Martin aime poster des photos sur Instagram, twit-ter et flâner dans le Marais. Il mange volontiers « les meilleurs hot-dogs de Paris » à La Mosaïque (56, rue du Roi-de-Sicile, 4e) avant d’aller se ruiner chez Fleux, sa « boutique préférée » (39, rue Sainte-Croix de-la-Bretonnerie, 4e), puis jette un œil chez Sandro (50, rue Vieille-du-Temple, 4e) et Corpus Christi (64, rue Vieille-du-Temple, 4e)… Pour finir place des Vosges où il adore « passer [sa] vie dès qu’il y a du soleil, avec une Despe » dans la main. Martin se déplace à scooter, écoute du rock et de la folk comme The Killers, Band of Horses, Cold War Kids, Mumford & Sons, Tracy Chapman et Bon Iver. C’est une chan-son de ce dernier qui lui a d’ailleurs inspiré le nom de son chat : Flume.

L’insaisissable Martin Médus

« N’EST PAS BRANLEUR QUI VEUT »


Martin a la bougeotte. Une nuit avec lui, c’est un peu fou. « Parfois je bois, toute la nuit, avec des amis. Puis vers 8 heures du matin, on prend un train ou un avion. On se pose en arrivant, on décuve et on découvre où on est ! Une folie, mais j’aime bien faire tous les trucs qu’il ne faut pas faire », me confie-t-il l’air espiègle. Curieuse, je m’enhardie et lui demande finalement à quoi ressemble une journée avec lui si on est une fille… « On baise toute la journée », regard désinvolte, sourire en coin. Martin n’en fait qu’à sa tête, et c’est ce qui le rend attachant.

Ses bonnes adressesFuxia, 42, place du Marché-Saint-Honoré - 1er

« J’adore y déjeuner »Rock-Hair, 7, boulevard Beaumarchais - 4e

« Mon coiffeur »Abraxas, 9, rue Saint-Merri - 4e

« C’est là que je me fais tatouer »Heschung, 8, rue du Marché-Saint-Honoré - 1er

« Pour leurs chaussures magnifiques »

Il vous suf!t de prononcer le mot magique le Bonbon au moment de payer et vous béné!cierez de l’offre annoncée !

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Retrouvez encore plus de bons plans surwww.leBonbon.fr

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© Nelson Tiberghien

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les bons plans

Mademoiselle MÀ vous les cuisines

Une trentaine de verres à laver à la main. Une grosse tache de rouge sur le tapis beige. Des petits fours cramés, allez savoir pourquoi. La haine à vie de votre voisine du 3e qui n’a pas dormi de la nuit… On a tous connu les affres de la réception à la maison. C’est pour ça que Mademoiselle M est un genre de béné-diction. Une adresse centrale idéale. Un espace décoré avec goût et sobriété, modulable à loisir. Une équipe à l’écoute, qui n’a qu’une envie : vous faire plaisir. Un chef à la pointe, qui excelle autant dans l’art d’en-seigner ses recettes que dans la maîtrise des petits plats. Lesdits petits plats, aussi jolis que succu-lents et inventifs… Bienvenue chez Mademoiselle M. Sylvie, qui nous vient tout droit du milieu de la communication, a commencé cette aventure il y a un an. « Je déplorais le manque de simplicité et de convivialité dans le milieu à Paris. Je revenais du Canada et j’ai eu envie d’apporter cette touche nord-américaine, ce coup de kitch chic caractéristique de là-bas. » En résultent un lieu chaleureux et un concept simple mais radical. Une cuisine, un espace de réception. Dans la cuisine, Émilie Lang, chef à domicile de profession, toute acquise à votre cause, qui exaucera le moindre de vos désirs (culinaires). Envie de bœuf ? D’un colorama de rose ? De cuisine thaï ? « Tout ce que la saison permet. On ne fait pas dans le petit four, mais plutôt dans le plat miniature. Notre cuisine est simple et généreuse, mais raffinée

et créative. » Et jolie ! Les verrines sont de véritables Kandinsky prêts-à-manger, des petits Miro à dégus-ter. Et côté salle de réception ? « Des amis réunis pour un anniversaire, des présentations corporate, des événements presse, des mariages, des baptêmes… Émilie est en cuisine, et il n’est pas rare de voir les convives s’inviter aux fourneaux, observer, poser des questions, et même prendre les plateaux pour servir eux-mêmes ! On privilégie l’interaction. Si c’est trop salé, on refait, si vous voulez aider, vous êtes les bien-venus ! Rien n’est figé. D’ailleurs, on ne propose pas de menu ou de carte. L’offre est personnalisée, on compose selon les envies de nos clients. »En parlant de s’inviter en cuisine, les cours sont aussi légion chez Mademoiselle M. Enterrements de vie de jeune fille ou tout simplement cours privés, Émilie, Sylvie, Bérangère et leur équipe dispensent leur savoir avec professionnalisme et passion. « Tout est frais et minute. Ici, une salade de fruits, ce sont des fruits du marché du jour qu’on vient juste de cou-per, et croyez-moi, ça fait toute la différence ! »Le bon plan : l’espace à privatiser au premier étage, avec terrasse sur la calme rue de Palestro.

Mademoiselle M - 19, rue Palestro – 2e

Tél. : 01 42 36 16 02Ouvert du mardi au samedi de 10h à 19h

Mademoisellem.com

Texte Camille Clance


les bons plans Publi-reportage Camille BaudouPhoto DR

Yogurt FactoryLe Yaourt anticlassique

Le Bonbon a dégoté pour vous le bon plan fraîcheur de l’été 2012 ! Vous connaissiez les glaces pour leur aspect rafraîchissant aux moments les plus chauds de l’année, mais vous vous en méfiez vraiment étant donné leur teneur en calories... Tout droit venu des Etats-Unis, le Bonbon vous présente le frozen yogurt. Le concept est simple, c’est une glace à base de yaourt 0% que l’on peut personnaliser à souhait avec différents ingrédients. Après avoir terminé leurs études, Ouriel et Emmanuel ont voulu lancer leur propre entreprise. C’est aux Etats-Unis qu’ils ont découvert le concept du frozen yogurt, et ils ont lancé leur première boutique Yogurt Factory en plein centre ville de Marseille. Emmanuel, d’origine italienne, s’y connaît en gelati, quant à Ouriel qui vient de Cherbourg, on peut dire qu’il a été élevé au yaourt ! Les deux jeunes hommes viennent d’ouvrir leur seconde boutique à Paris, à deux pas du Centre Georges Pompidou. Yogurt Factory, c’est une usine à délices, qui revisite les grands classiques et plus particulièrement le yaourt. Vous pourrez y savourer un délicieux yaourt glacé nature ou bien aromatisé, les goûts et les parfums changent chaque mois ! La bonne nouvelle c’est que vous pouvez voter sur le site web Yogurt Factory (www.yogurtfactory.fr) ou sur leur page Facebook, pour élire votre saveur préférée du moment et la retrouver en boutique. Pour le mois de juillet, les internautes ont sélectionné le fruit de

la passion, excellente alliance de douceur, fraîcheur, et sucres naturels ! À cette base vous pouvez ajouter des « toppings » (de succulentes garnitures telles que des fruits frais, du Nutella fondu ou encore des morceaux de cookies) et à volonté (tant que ça ne déborde pas du pot du moins !). Chez Yogurt Factory vous ne dégusterez pas vos glaces dans un pot for-mat petit/moyen/grand mais dans un pot « mignon », « beau » ou « magnifique » ! Vous pourrez également savourer de délectables smoothies aux noms de couples mythiques. Venez ainsi vous rafraîchir avec un « Bonnie & Clyde » à base de fraises et bananes ou encore un « Roméo & Juliette » composé de mûres et mangues. On vous le garantit, vous voudrez reve-nir. Vous pourrez retrouver les deux jeunes entre-preneurs dans leur boutique parisienne. Ils vous accueilleront avec le sourire et sont toujours dis-ponibles pour vous servir avec soin. Clin d’œil malin à notre héro moustachu préféré : les deux acolytes portent chacun une salopette rouge ! Une réinven-tion de la tenue d’usine, qui s’adapte parfaitement au métier de glacier. Ouriel, Emmanuel, chapeau bas !

Yogurt Factory3, rue Saint Merry - 4e

Ouvert tous les jours de midi à minuitwww.yogurtfactory.fr

Facebook : Yogurt Factory


les bons bikers

Philippe Ricaud, 27 ans, est designer de profession et enseigne à Créapole le design automobile… C’est dans cette école de design et arts appliqués qu’il tombe sur le jeune et prometteur Nicolas Benois, 23 ans, qui deviendra son disciple et futur associé. Dauphine-Lamarck est le fruit de leur rencontre. Celle de deux passionnés mus par une vision com-mune de l’essentiel et du beau.

Le petit Philippe a grandi dans un établi au milieu de radios en pièces détachées, avec un papa passionné qui le sensibilise à la mécanique et l’électronique. Depuis tout jeune, Nicolas est, lui aussi, féru de cet univers plein de cambouis. L’amour des voitures et des motocyclettes les a tout naturellement rappro-chés… Tout comme leur appétence pour le beau, l’es-thétique et surtout les années 1970. Sur ce dernier point, Philippe est d’ailleurs absolument imbattable sur Jacques Dutronc et autres chanteurs yéyé.

Ils se sont donc enfermés pendant plusieurs mois dans la cave du paternel Ricaud afin de créer une collection de motocyclettes haute couture. Ils ont ainsi conçu quatre prototypes inspirés de modèles phares des années 1970. Travaillant autour d’un univers graphique mêlant tradition et modernité,

leurs créations permettent de métamorphoser des émotions en expériences uniques sur des bases de Honda inférieures à 126cc.

Une fois que la carcasse (rachetée d’occasion) est entre leurs mains, l’opération commence. Une remise à neuf intégrale s’opère : du moteur à la selle, en passant par la peinture, le cuir, les boulons polis à la main… Plus de 70 heures de travail par modèle sont nécessaires pour un résultat digne des plus beaux bijoux de haute joaillerie. Chacun des modèles est présenté comme une pièce à part et unique, baptisé d’un prénom de fille reflétant son caractère. Un peu comme Dauphine–Lamarck en fait. Un nom choisi en hommage au trajet parisien réalisé à moto par Claude Lelouch dans son premier court métrage en 1976. Philippe me dit avec un sourire en coin : « c’est un peu la bécane de la dragouille… » Clairement, c’est un bijou de 125cc, unique, et qui ne coûte pas plus cher qu’une Vespa neuve !

Colocataires dans le Marais, les garçons me parlent de leurs bébés comme d’un accessoire indispen-sable à leurs comparses hipsters, bobos et autres dandys. Habitués à prendre leur café matinal au comptoir du Charlot, puis leur apéritif à 20 heures en

Dauphine–Lamarck

UN JOUJOU EXTRA

Texte Anne-Laure ParmantierPhoto Gilles Lopez


terrasse du Progrès, ils constatent qu’il subsiste « un vide entre la brutalité des grosses cylindrées et la subtilité du vélo ». Dauphine-Lamarck explore donc de nouvelles manières d’envisager le deux-roues motorisé. Leur ambition est de sortir une collection printemps-été et une collection automne-hiver par an ; mais aussi de proposer du sur-mesure aux plus passionnés… Des modèles à part, uniques, réali-sés avec amour, une french touch non dissimulée,

beaucoup de savoir-faire, de la passion… bref, un joujou extra, un piège à filles comme dirait Dutronc.

Dauphine-lamarck.tumblr.comTél. : 06 79 82 18 25

BELIER 22 mars / 21 avril

Vous attendiez un changement, il arrive ! Les mois précédents vous ont permis de faire le tri dans vos pensées et vous avez hâte de vous lancer à la conquête de tous ces nouveaux mondes dont vous avez envie. Vous n’aurez aucun scrupule à laisser sur le bord de la route tous ceux qui ne tiendront pas leurs promesses. Rebelles et convaincus, c’est comme ça que l’on vous aime ! Ne changez rien ! En août une invitation surprise vous emmènera loin et vous fera découvrir un nouvel avenir, ne refusez au-cune propositions. Amour ou amitié vous allez adorer.

TAUREAU 22 avril / 21 mai

C’est une période de stabilité qui démarre pour les couples et une période de stand-by pour les cœurs à prendre. La tendance devrait changer mi août : quand les autres pleureront la fin de leur été, vous commencerez le vôtre. Alors armez-vous de votre plus grande patience ! Rassurez-vous, vous essaye-rez d’entretenir ces folles passions pour réchauffer votre hiver. Quand à vos espérances, vous ne serez pas déçus car vous bénéficierez d’excellents aspects professionnels. Quelques billets supplémentaires à dépenser cet été, que demander de mieux ?

GEMEAUX 22 mai / 22 juin

Si le soleil de juillet réchauffe votre peau, vous n’avez pas vraiment la tête aux relations amoureuses. Un conseil : lâchez prise ! Profitez de tous les petits ins-tants de bonheur passés en famille ou avec vos amis. Certes votre vie privée ne connaitra pas de big bang en juillet mais des stimuli en août vous mettront en effervescence et de jolies surprises vous attendent. Une rentrée d’argent est à prévoir. Profitez-en pour refaire votre intérieur. Arborez votre plus beau sou-rire et tout se passera à merveille !

Texte M Voyance

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le bon astro

CANCER 23 juin / 21 juillet

À vous regarder agir, on pourrait croire qu’il vous manque un jour pour finir à temps vos obligations. Pourtant, on ne peut pas dire que vous soyez désor-ganisés. Un peu de régularité ! Côté cœur, le temps est venu pour parler avec votre partenaire de vos projets communs. Un conseil, arrêtez de vous épar-piller ! Le soleil de l’été déclenchera des envies de séduction et si vous voulez vous refaire une beauté c’est le bon moment car en août votre sensualité sera à son comble et vos coups de tête ouvriront des portes inattendues côté professionnel.

LION 22 juillet / 23 août

Pour vous Lion accouplés, cette période sera placée sous le signe du romantisme, du partage et de la communication. Pour les cœurs à prendre, pas d’in-quiétude : vous entrez dans une phase d’ouverture et de séduction. Vous retrouvez une certaine assurance et vous irez plus volontiers vers les gens. La période estivale va vous permettre de retrouver un bon équi-libre personnel. Fin juillet un coup de chance risque de vous rapporter une belle somme : Casino, Loto, ou proposition professionnelle. Conseil : ouvrez les bras à la chance !

VIERGE 24 août / 23 sept.

L’été est le déclencheur de vos pulsions amoureuses et nombreuses seront les tentations autour de vous. Attention pourtant à ne pas perdre la tête et à vous laisser berner par le chant des sirènes ! Faites le bon choix puisque vous aurez plusieurs opportunités. At-tention aux dépenses excessives. Pour les couples le moment sera propice à de nouvelles perspectives, emménagement, maternité… ne vous freinez pas ! De bonne nouvelles devraient arriver fin juillet, alors souriez !

Votre horoscope vous plait ? Vous avez envie d’en savoir plus et de trouver une équipe “Bonbon” pour répondre à vos questions ? Appelez-nous : Consultations gratuites au 08.92.06.77.77 (0,34 Ct min)

BALANCE 24 sept. / 23 oct.

Auriez-vous eu une révélation ? Vous avez procédé ces dernières semaines à un virage à 180 degrés. En-fin ! Vous avez décidé que votre vie allait changer sur tous les plans. Certains de vos doutes sont encore quelque peu présents, mais Mars dans votre signe ce mois-ci finira de les réduire à néant. Des proposi-tions professionnelles vont vous amener à bouger.En même temps l’amour se cachera derrière les portes et on le sait, vous adorez les ouvrir. Vous allez enfin repartir sur des bases saines et viables ! Le temps est aux changements positifs. Quel bonheur !

SCORPION 24 oct. / 22 nov.

Votre période estivale s’annonce orageuse ! Vous au-rez envie de dire tout fort ce que depuis longtemps vous pensez tout bas. Evitez pourtant l’agression verbale, la douceur vous conduira vers votre bonne étoile. Soyez sûr de vous dans la rue car Cupidon sortira son arc et vous risquerez de vous retrouver terrassé par l’amour, vous qui avez pour habitude de mener la danse ! Vous seriez même prêt à déména-ger pour suivre votre love story. L’été se passera entre discussions pros et flirts à outrances. Profitez de vos heures de sommeil, vous en aurez besoin !

SAGITTAIRE 23 nov. / 22 déc.

Vous êtes littéralement à côté de vos pompes ! À croire que vous aimez vous imposer un mode de vie qui ne vous correspond pas. Vous vous laissez me-ner par le bout du nez. Changez de décor, vous de-vez saisir toutes les opportunités pour changer votre mental. Commencez par votre look. Et là, la magie opèrera : coup de foudre ou déclaration d’amour. Tout va dépendre de vous cet été et votre punch va mettre du piment dans votre environnement, dites-vous que c’est pour cela que l’on vous aime.

CAPRICORNE 23 déc. / 20 jan.

L’été vous stimule. Vous êtes plein d’idées nouvelles que vous ne devez pas avoir peur d’exprimer. Vous serez surpris par l’accueil qui vous sera réservé et vous pourrez même être étonné par les compliments et récompenses qui fuseront de votre entourage professionnel et amical. Vous allez être renversés par l’amour fin juillet, n’en oubliez pas vos devoirs et obligations car malgré la chaleur vous devrez prépa-rer votre retour de vacances. L’été sera le moyen de retrouver confiance et force, alors profitez-en !

VERSEAU 21 jan. / 19 février

N’y a t-il pas des études que vous souhaiteriez re-prendre ? Profitez du soleil pour lire à outrance mais ne passez pas trop de temps à vous complaire dans la réflexion, l’action vous attendra derrière un pa-rasol. Les rayons de soleil du mois de juillet vous apporteront bien-être et détente ! Vous avez envie d’évolution et vous vous préparez à cela. Tout ce que vous croyez simple et évident va se retrouver com-plexe et étonnant . Bébé en route, changement de destination de vacances, coup de foudre ; la vie va vous attendre là ou vous ne l’attendez pas !

POISSONS 20 fév. / 21 mars

Vous serez débordé de boulot cet été mais le travail c’est la santé ! Vos qualités professionnelles sont reconnues de tous, profitez-en pour demander une augmentation, c’est le moment ! Côté cœur, l’époque est agité car vos vies respectives sont pleines d’agi-tation et vous êtes souvent sous pression. Le prin-cipal c’est de savoir que l’amour profond l’un pour l’autre est toujours là, et que ça n’est pas prêt de s’arrêter ! Alors profitez à fond de vos vacances pour vous ressourcer de part et d’autre.

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le bon astro Juillet / Août 2012

Consultations privées au 01 75 43 05 20. Dites “BONBON” et vous aurez 5 minutes offertes pour toutes consultations payantes.


le conte est bon Texte Anne-Laure ParmantierPhoto DR

Le Crédit Municipal de Paris

UN VAUDEVILLE À LUI TOUT SEULMais que se cache derrière ce nom si institutionnel ? Beaucoup de fantasmes populaires, mais qui peu-vent être résumés très simplement.

Avant tout, un peu d’histoire : le Crédit municipal de Paris est un héritage des grands noms de la poli-tique française. C’est au XVIIe siècle que Théophraste Renaudot, commissaire général proche de Richelieu, est autorisé par le roi Louis XIII à ouvrir un mont-de-piété à Paris. Pendant plusieurs siècles, l’histoire ne sera pas tendre avec cette institution : fermée par les détracteurs de Renaudot, puis par le Parlement en 1643, elle sera rouverte par Louis XVI à l’adresse qu’elle occupe toujours aujourd’hui, au 55, rue des Francs-Bourgeois dans le 4e, pour être close à nou-veau par la Révolution française en 1795. Le dernier coup de théâtre sera donné en 1797, le mont-de-piété sera rouvert pour ne plus jamais fermer malgré les nombreuses officines de prêt sur gage qui fleu-rissent à Paris.

En 1804, Napoléon Bonaparte accorde au mont-de-piété le monopole du prêt sur gage. Au début du XXe siècle, l’activité décline, l’institution doit évoluer pour apporter de nouvelles réponses aux difficultés financières des Parisiens face à la Première Guerre mondiale. Le 24 octobre 1918, le mont-de-piété devient donc le Crédit municipal de Paris, une nou-

velle dénomination qui annonce aussi le développe-ment de ses activités bancaires.

L’activité du Crédit municipal de Paris se ralentit considérablement pendant la Seconde Guerre mon-diale. Le déclin se poursuit au cours des années 1950 et l’établissement est contraint de diversifier ses activités. C’est en 1984 que le Crédit municipal sera reconnu comme une banque à part entière, et c’est en 1992 que l’établissement sera placé sous la res-ponsabilité de la ville de Paris qui en est l’actionnaire unique.

Mais à quoi ça sert concrètement ?Contre le dépôt d’un objet de valeur (bijou, montre, argenterie, tableau, sculpture, tapis, mobilier, tapis-serie, verrerie, fourrure, instrument de musique, bouteilles de grands crus…), un prêt est accordé immédiatement. « Le prêt sur gage est une réponse simple, facile et rapide pour tous ceux qui ont à faire face à un besoin de trésorerie, un coup dur, un imprévu » explique l’institution.

Comment ça marche ?Il faut déjà se rendre au Crédit municipal de Paris avec les justificatifs demandés. Le prêt est généra-lement accordé dans un délai d’environ une heure, le temps que les objets soient estimés par des


commissaires-priseurs. C’est la valeur de l’objet qui détermine le montant du prêt. Celui-ci représente 50 à 70 % de la valeur estimée de l’objet sur le marché des ventes aux enchères publiques. Puis, un contrat nominatif d’une durée d’un an est établi et la somme d’argent est remise immédiatement. Évidemment, les objets sont conservés en toute sécurité dans l’une des chambres fortes de l’établissement. Les objets peuvent être récupérés à tout moment en remboursant le montant du prêt et les intérêts cal-culés au prorata du nombre de mois.

Une pratique intelligente et précieuse car, comme le disait Théophraste Renaudot : « L’expérience a appris que dans les affaires de la vie, un secours venu à pro-pos avait toute l’importance d’un trésor. «

Le Crédit municipal de Paris55, rue des Francs-Bourgeois - 4e

Tél. : 01 44 61 64 00www.creditmunicipal.fr

le bon agenda L’agenda des manifestations culturelles

Ah, l’été… Nous on sait ce dont on a envie : des apé-ros en terrasse et… des apéros en terrasse. Mais les petits, on les met où pendant ce temps-là ? Petite sélection d’activités juste pour eux, ou pour vous et eux…

Concert

Du 5 au 13 juillet - Soirs d’été revient !Après le succès de l’édition 2011, le festival Soirs d’été-OÜI FM fait son grand retour sur le parvis de la mairie du 3e. Venez assister à 8 jours de concerts gra-tuits en plein air et profiter des premières chaleurs estivales. Retrouvez Mina Tindle, Pony Pony Run Run, Da Silva, Miossec, et tant d’autres…Parvis de la mairie du 3e

Vendredi 6 juillet à 12h30 - Les gardiens de la paix en mode fanfareComme chaque année depuis près de 30 ans, l’or-chestre d’harmonie et la batterie-fanfare de la Musique des gardiens de la paix de la Préfecture, animent les parcs et jardins de la ville de Paris…Carrousel du Louvre, 1er

Le 5 juillet à 21h45 - La musique apprivoiséeCapture, c’est Édouard aux mains d’argent projeté dans l’univers de Stanley Kubrick. Un univers pop-électro sur fond de tranches de vie à explorer abso-lument.Le Sentier des Halles50, rue d’Aboukir, 2e

Tél. : 01 42 61 89 90

Glady’s

26 rue de Maubeuge - 75009

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LA MEXCALERIA44, rue des Tournelles - 75004

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FRIPES VINTAGE18, rue des Vertus - 75003

Tél. 01 44 78 52 90

L’ASSIETTE À CARREAUX45, rue des Petits Carreaux - 75002

Tél. : 09 53 27 33 83

LES JARDINS DU MARAIS74, rue Amelot - 75011

Tél : 01 40 21 22 70

ARCHIVES PATRIMOINE33, rue des Archives - 75004 - Tél. : 01 42 71 05 21

28, av. de la République - 75011 - Tél. : 01 47 00 21 86

LES ARCHES DU MARAIS 11, rue de Braque - 75003

Tél. 01 40 27 00 70 - 06 32 24 38 50

CERITEX52-56 rue Kléber - 92300 Levallois Perret

Tél. : 01 84 11 85 00

UNE FLEUR EN LIBERTÉ26, rue Saint-Sauveur - 75002

Tél. 01 42 33 41 05

Restaurant eatme!38/40, rue Léopold Bellan – 75002 Paris!Tél. 01 42 36 18 28 – www.eatme.fr!Du lundi au vendredi de 10h à 19h!Des formules de 6,60 " à 14,60 " pour tous les appétits et tous les goûts !

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Documents

Centre - Juillet 2012