Chailley, Essai sur les structures melodiques

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    Jacques Chailley

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    174 ESSAI SUR LES STRUCTURES MLODIQUES

    une suprmatie mme fugitive), mais on peut combiner entreeux plusieurs fragments ou plusieurs formes dela srie (rcurrence, renversements, transpositions, etc.) ce qui ifitroduit surune base fortuite les proximits rcuses' titre dlibr. La verticalit rcuse surla base des consonances, phnomne naturel,

    est rintroduite titre d'audition simultane (non forcmentcontrapuntique) des numros dela srie appelspar l'ordre adopt,ce qui introduit entre l'ordre verticalet l'ordre horizontal uneconfusion quela perception auditive ne semble pas susceptiblede dominer.Le principe mlodique de conjonction, dont les applications ont vari, mais qui semble peu prs constant dans toutesIes structures, est gaIement limin comme susceptible d'introduire des relations trangres au systme en cause: d'o un aspcctstrotyp deft 'zig-zag mlodique grands intervalles (surtoutdans la descendance de Webern) que ne relie aucune structureperceptible - bien que celle-ci existe souvent dans l'espritducompositeur surla base du numro dansla srie.

    Enfin aucun des lments de structure dont nous avons vuprcdemmentla permanenceet l'volution sous les formes lesplus diverses n'est ici retenu, tandis qu'aucun des lmcnts iciretenus n'apparait, mme sous une forme diffrente, danslesstructures antrieures.

    C'est pourquoi, sans mettre aucun jugement de valeur,et enfaisant abstraction detout sentiment d'agrment ou de dsagrment, il est permis de s'tonner que le systme sriel soit si volontiers prsent comme le rsultat logiqueet la consquence inluctable de l'volution. On m'excusera de n'avoir pu trouverjusqu' ce jour sur quoise basait cette affirmation.

    CONCLUSION. - Les notes qui prcdent, forcment condenseset fragmentaires, ne visent ni puiserla question, ni apporterdes solutions dfinitives. Elles soulignent, au contraire, combiende problmes restent encore en suspenset combien de suggestionsid faites ne peuvent encore tre considres quecom me des hypothses de travail. Du moins peuvent-elles, nous l'esprons dumoins, pourvoir une base de dpart d'utiles discussions, commece1les que prpare le colloque deMai prochain organis l'Institu t de musicologiesur la. Rsonance dans la. formation des chellesmusicales. Il semble en effet que l'on puisse aujourd'hui appliquer

    la musique ce qu'crivait en1620 FranoisBacon dans sonNovum organum :

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    Il Les ~ r a v a u xdes hommes, dans la recherche de l'histoire naturelle, dOlvent~ ~ e ? d r eu ~ eroute oppose celle que l'onsuit ~ r s e n t .Jusqu.ICI, on 5 est beaucoup et curieusement occupc noterla vant des choses... De telles conn":ssan tde l' t cu ces on certesagr men et servent quelquefois dans la prati ue M .

    ? O ~ S~ a i r epntrerIes secrets dela nature, ellesn ~ n tq U ~ : ~po?rmSlgmfiant ou nuI.Ce quoi il faut que l'espn't to t pruesoin ' t d . urne ous ses. s, ces couvnret observer les ressemblanceset IIogles desc h ~ s e s ,soit dans l'ensembie soit dans le dtail~ a ~ n a sont ellesqUI forment les lienset l'unit dans la nature' t cemencent constituerIes sciences. e com-

    Jacques CHAILLEY.

    TABLE DES PARAGRAPHESPrincipes directeurs.Structure thoriqued ~ ' ~ ~ c l ~.d ~ ' q ~ ~ t ~. . . . . . . . . . . . . . . . . . .Rate de l'attraction. . . . . . . . . . . . . . . . . . . ..ROte de l'galisation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Le principe dec o n j ~ ~ c ' t i ~ ~ '. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Le sy t ............................................................... .

    5 me . . . . . . . . . . . . . . . .Systmes simptes etm u l t i p l ~ : : : : : : : : : : : : : : : : : : : : " " "Les exemples nots de musique grecque . . . . . . . . .L'unification des systmes multiples. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .La notion de tonique mlodique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Le mode primitifet sa structure:. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .La structtire modale par finale et' d ~ ~ h t ~ t ~ '.............. .ROte des agrments . . . . . . . . . . . . . . . .ROle de la tierce. . : : : : : : : :. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .La polyphonie dec o n s o n a n ~ ~ " " " " " " " " " " " " " "La signature tonale. . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .L'harmonie der s o n ~ ~ ~ ~ " " " " " " " " " " " " " " "Le chromatisme. .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Rsurgence dess t ~ ~ t ~ ; ~' ~ ~ c i ~ ~ ~ ~.................... ... .CLansq1uenhces.mlodiques del ' e x t e n s i ~ ~ ' d ~ 'i ~ '~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~... .

    po yp ome de dissonance . . . L'atonalit schOnbergienne. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .La Srie dodcaphonique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

    ..............................................................................................

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