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CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA TOPOGRAPHIE CHRÉTIENNE D'AOSTE ET DE GENÈVE Author(s): Charles Bonnet Source: Revue Archéologique, Nouvelle Série, Fasc. 1 (1983), pp. 168-174 Published by: Presses Universitaires de France Stable URL: http://www.jstor.org/stable/41736100 . Accessed: 01/09/2013 13:20 Your use of the JSTOR archive indicates your acceptance of the Terms & Conditions of Use, available at . http://www.jstor.org/page/info/about/policies/terms.jsp . JSTOR is a not-for-profit service that helps scholars, researchers, and students discover, use, and build upon a wide range of content in a trusted digital archive. We use information technology and tools to increase productivity and facilitate new forms of scholarship. For more information about JSTOR, please contact [email protected]. . Presses Universitaires de France is collaborating with JSTOR to digitize, preserve and extend access to Revue Archéologique. http://www.jstor.org This content downloaded from 194.214.27.178 on Sun, 1 Sep 2013 13:20:44 PM All use subject to JSTOR Terms and Conditions

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CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA TOPOGRAPHIE CHRÉTIENNE D'AOSTE ET DE GENÈVEAuthor(s): Charles BonnetSource: Revue Archéologique, Nouvelle Série, Fasc. 1 (1983), pp. 168-174Published by: Presses Universitaires de FranceStable URL: http://www.jstor.org/stable/41736100 .

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CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA TOPOGRAPHIE CHRÉTIENNE D'AOSTE ET DE GENÈVE

par Charles Bonnet

De récentes recherches archéologiques ont permis de mieux comprendre l'organisation urbaine des villes antiques d'Aoste et de Genève. Elles ont également contribué à mettre en évidence l'impor- tance de certains modèles architecturaux. En effet, par leur position géographique, ces deux villes ont subi divers courants d'influence : Aoste a bénéficié du rayonnement des grandes métropoles de la plaine du Pô, et Genève a été en contact avec tout le bassin rhodanien jusqu'à la Méditerranée.

Plusieurs aspects de la topographie de la Genève chrétienne sont à reconsidérer à la lumière des dernières découvertes effectuées sur le chantier de la cathédrale Saint-Pierre. La ville du Haut- Empire n'avait pas le même rang que l'agglomération voisine de Nyon, la Colonia Iulia Equestris. Les vestiges mis au jour à l'emplacement de l'ancien oppidum appartiennent d'ailleurs à de modestes habitations de bois ou de torchis. Le centre de la ville ne semble donc pas avoir été marqué comme à Nyon par plusieurs grands bâtiments publics. Un abondant matériel archéologique est cependant attesté pour la période du Ier siècle avant J.-C. au Ier siècle après J.-C. Cette zone sera à nouveau fortement occupée aux environs de l'an 300 (fig. 1).

Après les invasions germaniques de 260-279, la cité se replie derrière d'épaisses murailles. L'hypothèse, proposée par M. D. van Berchem, qu'à cette époque Genève est promue au rang de chef-lieu, pourrait expliquer l'ampleur des réalisations architecturales entreprises dès le début du IVe siècle. Un très vaste bâtiment, composé de pièces quadrangulaires en liaison avec des cours, est bâti dans le quartier oriental de la cité réduite. Il est trop tôt pour en préciser les fonctions, mais ses dimensions font penser à un bâtiment officiel.

La religion chrétienne paraît s'être imposée rapidement dans la ville, quelques décennies après l'Edit de Milan. C'est aux dépens d'une partie du bâtiment officiel que le premier sanctuaire est édifié. Il est terminé à l'est par une large abside et son orientation en biais démontre que l'architecte s'est efforcé de préserver les constructions existantes. En outre, plusieurs indices suggèrent la présence d'un baptistère contemporain.

Aux environs de 400, ime cathédrale de plan basilical est édifiée au sud, formant ainsi avec le premier sanctuaire ce qu'il convient d'appeler une « cathédrale double ». Dans le baptistère quadran- gulaire doté d'une petite abside, la cuve octogonale est parementée de marbre et surmontée d'un ciborium . De multiples annexes complètent ce groupe épiscopal déjà fort imposant. Dès le début du Ve siècle, l'évêque dispose également d'un palais comprenant une salle de réception chauffée et une chapelle privée. L'édifice nord, qui reste le lieu de culte le plus important, est rapidement remplacé par une construction de près de 45 m de longueur. Une annexe abritant une seconde cuve octogonale est établie entre l'abside de la nouvelle cathédrale nord et le baptistère. De la même époque date une autre salle de réception chauffée, pourvue de remarquables mosaïques. Elle est adossée au mur latéral de la cathédrale sud et communiquait directement avec le chœur de celle-ci.

Les aménagements liturgiques des deux cathédrales montrent d'importantes différences : au sud, la solea qui prolonge le presbyterium est très étroite et conduit à un ambon polygonal. En revanche, au nord, la solea - ou, dans ce cas, la schola cantorum - est très large et s'achève du côté de la nef par un escalier. Sans doute les deux édifices répondaient-ils à des fonctions liturgiques diversifiées.

A l'époque burgonde, des remaniements vont à nouveau modifier le groupe épiscopal. La cathédrale nord, incendiée lors des guerres fratricides entre Gondebaud et Godegisèle, est reconstruite

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1. Plan tqpographique de la ville de Genève au VIe siècle.

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avec des proportions monumentales (près de n mètres pour l'ouverture de l'abside), vraisemblable- ment sous le règne de Sigismond. Dans l'axe du baptistère est édifié un nouveau sanctuaire, dont le chevet est constitué par trois absides irrégulières. Ses aménagements liturgiques semblent avoir été conçus en fonction du tombeau d'un personnage vénéré (fig. 2).

Le fait que le groupe épiscopal occupe près du quart de la superficie de la ville et qu'une autre église, Saint-Germain, soit située à l'intérieur des murs est significatif. Il traduit d'une part un déve- loppement démographique - confirmé par les 50 nécropoles retrouvées en territoire genevois - et pose, d'autre part, le problème de la population établie en ville. Cette ville fortifiée, siège spirituel et administratif d'un vaste diocèse, servait-elle de refuge en cas de conflit ? Les familles importantes avaient certainement leurs maisons défendues par les remparts, à l'instar des Victorides de Coire, qui ont assuré la protection et le développement de la cité. Un autre exemple est donné par Kaiseraugst au bord du Rhin. Ainsi, Genève n'a sans doute été occupée que par des ecclésiastiques et par une classe aristocratique (avec ses artisans et ses serviteurs), alors que le reste de la population habitait hors les murs. Plusieurs villages sont localisés, mais les quartiers suburbains doivent encore être retrouvés. Le Castrum de Carouge, dans les environs immédiats de Genève, pourrait apporter un élément de réponse.

Les aires funéraires, établies selon la tradition romaine le long des voies d'accès, se sont peu à peu rapprochées de l'enceinte de la ville. Quatre églises hors les murs ont vraisemblablement une origine liée au culte des morts. A la Madeleine, les recherches entreprises ont permis de retrouver une memoria , et de voir comment ce petit édifice funéraire a été transformé en un lieu de culte au début du Ve siècle. A Saint- Victor, dans le quartier des Tranchées, étaient déposées d'importantes reliques ; c'est là que se sont fait inhumer les premiers évêques de Genève. Mentionnons encore sur la rive droite du Rhône les églises funéraires de Saint-Gervais et de Saint-Jean. Ce dernier site semble avoir été vénéré dès le Ve siècle, ce qui expliquerait la présence au Moyen Age d'un grand monastère à cet emplacement. En effet, un récit de la Vie des Pères du Jura relate la guérison par saint Romain de deux lépreux vivant dans des grottes, qu'il est difficile de placer, dans les environs de Genève, ailleurs qu'à Saint-Jean. Les fouilles conduites en 1970 ont, par ailleurs, révélé dans les couches antérieures à l'édifice préroman les vestiges d'une construction primitive en bois. A l'époque, cette découverte s'expliquait mal. Depuis, les restes d'une autre église en bois ont été mis au jour à Satigny (Genève) et, tout récemment, une rangée de trous de poteaux a pu être repérée dans la cathédrale nord du groupe épiscopal. Un type d'architecture en bois, inconnu à l'époque romaine, semble ainsi s'être développé à Genève durant le Haut Moyen Age, peut-être sous l'influence burgonde.

L'ancienne Augusta Praetoria est fondée par les Romains en 25 avant J.-C. Le rempart qui l'entoure témoigne de l'importance stratégique de la ville, dernière étape avant les grands cols et lieu de passage vers la Gaule. Le plan orthogonal de l'implantation romaine a influencé le dévelop- pement urbain d'Aoste jusqu'à nos jours. Plusieurs nécropoles s'étendaient le long des deux axes prolongeant le decumanus maximus et le cardo maximus .

La christianisation a entraîné de nombreux remaniements à l'intérieur de la ville, comme le montre, dès le début du Ve siècle, le remploi systématique dans les maçonneries des édifices chrétiens de blocs architecturaux appartenant aux bâtiments publics et aux mausolées romains. Aoste est le siège d'un évêché aux environs de 400. Toutefois, les recherches menées dès 1976 dans la crypte et le sous-sol de la cathédrale ont permis d'analyser les vestiges d'un édifice qui pourrait remonter au IVe siècle déjà. La disposition des aménagements liturgiques ainsi que le caractère des sols suggèrent une datation aussi haute. En avant du presbyterium , une barrière solidement établie sur de larges bases s'ouvrait sur une solea (ou schola cantorum ) d'environ 10 mètres de longueur qui ressemble

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2. Cathédrale Saint-Pierre de Genève. Vue générale des fouilles en 1979.

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beaucoup à celle de Sainte-Tècle de Milan. Des trois niveaux d'occupation se rattachant au premier état du monument, le plus ancien, en opus sedile, est identique à celui de Milan qui est généralement attribué à une phase de construction du milieu du IVe siècle. Les deux sols plus tardifs ont respecté le dispositif liturgique.

Une autre cathédrale, dédiée à saint Jean-Baptiste, se dressait en face de la cathédrale Notre- Dame. Ce sanctuaire est considéré comme le lieu de culte chrétien le plus ancien d'Aoste. L'éventualité d'une « cathédrale double » doit ainsi être envisagée. Dans ce cas, la situation des deux édifices rappel- lerait l'organisation du groupe épiscopal primitif de Milan, avec les deux sanctuaires placés dans le prolongement l'un de l'autre ; à Aoste, cette situation paraît avoir été déterminée par les construc- tions existantes. Le choix du vocable mariai associé à celui de saint Jean-Baptiste est également à relever.

Des fouilles récentes ont permis de mieux saisir l'évolution de certaines aires funéraires et d'étudier l'architecture de quelques bâtiments cimétériaux. Dans l'une des principales nécropoles, située près de la porte décumane, ont été dégagés trois mausolées, que des monnaies datent de la seconde moitié du IVe siècle. Près de la porte prétorienne s'est développé le bourg Saint-Ours, qui formait à l'origine une zone funéraire importante. C'est là que se sont fait inhumer les premiers évêques. L'ensemble médiéval du prieuré Saint-Ours se trouve un peu à l'écart, au nord des maisons qui bordent aujourd'hui encore le tracé de l'ancienne voie. A l'occasion d'une restauration partielle de la Collégiale, les fondations de la façade d'un sanctuaire antérieur à l'an mil ont été découvertes.

Faisant face à la Collégiale, l'église Saint-Laurent a un plan en forme de croix latine, dont les bras se terminent par des absides. Elle est de dimensions moyennes (36 m de longueur dans l'œuvre et 32,50 m de largeur). L'entrée, précédée d'un porche, est donc établie au travers d'une abside polygonale à l'extérieur et circulaire à l'intérieur, particularité qui se retrouve dans le chevet. Les absides des bras latéraux sont d'un autre type, leur face externe est arrondie et épaulée par deux contreforts. Deux annexes sont adossées de part et d'autre du chœur (fig. 3-4).

Une étude approfondie des aménagements liturgiques a permis d'éclairer certaines fonctions de l'église. Dans le bras oriental, un banc presbytéral s'appuyait contre un mur semi-circulaire. Devant, le presbyterium , légèrement surélevé, communiquait avec une solea ou schola cantorum qui, curieusement, n'était pas ouverte en direction de la nef. Sous ces aménagements ont été dégagées des formae , dont certaines étaient peut-être dès l'origine prévues pour des inhumations multiples. La barrière de la schola cantorum a été supprimée le long d'une de ces sépultures, retrouvée intacte. Le sarcophage, taillé dans un bloc monolithe de pierre ollaire, a pu être daté précisément puisque la mort du prélat, l'évêque Agnellus, est mentionnée dans l'épitaphe (le 29 avril 528). Les restes d'un coffre maçonné, situé presque au milieu du tracé de la croix, restituent un des éléments essentiels de ces aménagements liturgiques. Il est d'ime facture particulièrement soignée et était sans doute destiné à recevoir des reliques.

Ainsi, l'église Saint-Laurent a peut-être été un martyrium , où le culte des reliques a pu se développer. Elle a toutefois gardé les aménagements liturgiques d'un sanctuaire ordinaire. Son architecture reflète cette dualité, puisque l'orientation vers l'est, où se trouve le synthronos , est accentuée et que le centre du monument, où étaient déposées les reliques, est mis en valeur par le plan cruciforme. Bâtie durant la première moitié du Ve siècle, elle a certainement été conçue sur le modèle de la fameuse Basilica Apostolorum de Milan. Ces deux édifices sont très proches, tant par leurs proportions que par leur type. Il reste encore à préciser leur parenté avec les églises du bassin de la Méditerranée.

Ce bref aperçu aura permis de constater que le développement des villes d'Aoste et de Genève n'est pas sans présenter des analogies : au cours du IVe siècle, ces deux cités sont réorganisées et,

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3. L'église Saint-Laurent d'Aoste.

4. L'abside occidentale de l'église

Saint-Laurent d'Aoste.

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très vite, de nombreuses églises sont bâties aussi bien à l'intérieur des murs qu'à la périphérie. Le type architectural des édifices se rattache à certains modèles du bassin méditerranéen. Plusieurs éléments de leur plan et de leur élévation relèvent d'un mode de bâtir bien attesté dans le monde chrétien durant l'Antiquité tardive. Les aménagements liturgiques ont également des affinités directes avec des exemples orientaux ou africains.

Cependant, l'architecture de ces monuments témoigne aussi d'une originalité régionale, qui s'affirmera aux Ve et VIe siècles, et que seule une étude très minutieuse a permis de mettre en évidence. Le baptistère de Genève est une copie presque exacte de celui de Lyon, alors que les aménagements liturgiques ou les sols de la cathédrale d'Aoste sont à comparer avec ceux de Milan, où se trouve l'exemple le plus proche de Saint-Laurent. Aoste et Genève n'ont pas été marquées par les mêmes courants d'influence et il est logique que leur architecture n'ait pas toujours suivi les mêmes traditions. Enfin, il faut souligner que la mise au point d'une méthodologie d'intervention, adaptée aux parti- cularités locales, facilite ce genre de démarche et contribue à améliorer la qualité de la documentation établie sur le terrain.

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