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[I5. VI. x946] Vorl~ufige Mitteilungen - Preliminary reports 221 Ausfiihrliche Publikation erscheint in den Astrono- mischen Mitteilungen der Eidg. Sternwarte Ziirich. M. WALDMIglER Astrophysikalisches Observatorium der Eidg. Stern- warte, Arosa, den 8. Mai 1946. Summary It is shown that the intensity of the red coronal line 6374 A is diminished in the regions of the stationary solar prominences. Contribution l'~tude du ph6nom~ne d'imbibition capiHaire (i.) D&ermination du volume total des porosit& et de la densit6 r6elle des substances poreuses. D~finition d'un indice de porosit6. En 6tudiant le pouvoir de p~n6tration de diff6rents tiquides dans les corps poreux, j'ai d6montr6 (Th~se Doctorat Chimie, Universit6 Montpellier, novembre 1944) l'existence de la relation suivante V=a-b-s (1) off Vest le volume de liquide imbib6 par g de substance, lorsque l'&at d'dquilibre est atteint, la substance poreuse &ant plong6e dans le liquide; s est la tension super- ficielle du liquide an contact de Fair; a et b sont des constantes qui d6pendent de l'dtat physique du corps poreux (porositY). Cette relation a ~t6 v~rifi~e sur un certain nombre de corps comme, notamment, le verre fritt6, le fer fritt~, le graphite, le ciment, etc., avec des liquides de diff~ren- tes tensions superficielles, eomme l'ae~tone, l'.alcool &hylique, m&hylique, le benz~ne, l'eau etc. La relation (1) montre qu'un liquide imbibe d'autant plus compI&ement la substance poreuse, que sa tension superficielle est plus faible, toutes choses &ant ~gales par ailleurs; ~ l'aide d'une hypothbse, v~rifi~e par l'ex- p6rienee, eUe permet d'~valuer le volume r~el, et par- tant, la densit~ r~elle du corps poreux. En effet, nous pouvons admettre qu'un liquide hypoth&ique, dent s= 0 (tension superficielle nulle) remplirait eompl~te- rn~nt les porosit~s de la substance poreuse (en relation avec la surface externe). Si, par consequent, nous raisons s= 0, la relation (1) devient V=a. La eonstante a repr6sente done le volume total des pores de la substance poreuse. Connaissant a (d~ter- rain6 exp6rimentalement) on calculera /acilement la densitd rdelle -- ce qui constitue; en m~me temps, un moyen commode de v~rifier I'hypoth~se ~none6e plus haut. La ddtermination de a La densitd rdelle de la substance poreuse Le corps poreux, plong~ darts le liquide d'imbibition, est suspendu au flSau d'une balance de precision. On d&ermine te poids apparent du corps poreux (tenant compte de la pouss~e du liquide) lorsque l'6quilibre est atteint (valeur constante); on en d~duit V, con- naissant la densitd du liquide. En rSp&ant cette ex- p&ience avec diff~rents liquides, dont on mesure les tensions superficielles, on obtient une s&rie de valeurs pour V qui v~rifient bien la relation (i). Le volume r~el du corps poreux s'obtient imm6diate- ment lorsqu'on d*duit le volume total des pores (a) du volume apparent (d&ermin~ par exemple dans du mercure). Exemples numdriques A. - Un morceau de verre fritt6 est suspendu darts diff6rents liquides pour d&erminer son 6quation d'imbi- bition. On trouve (en unit6s C.G.S.) V----0,39-- 0,0045.s sa masse= 1,i73 son volume apparent= 0,914 son volume r~elle est done 0,914-- 0,390= 0,524, d'ofi sa densit6 d= 2,24 x. B. - On d6termine de la m~me mani~re l'6quation d'imbibition d'un graphite d'61ectrodes, qui donne a = 0,225 masse= 1,56 volume apparent= 0,93, d'oh densit6 r6elle= 2,45. Dd[inition d'un indice de porositd La relation (1) permet 6gatement de caract6riser la finesse des pores et d'affecter ainsi le corps poreux d'un indice caract6ristique. Consid6rons un tube capillaire de diam&re 2 r et de capacit6 vo. Soient: p la pression initiale (= 1 atm) du gaz contenu initialement duns le capillaire, P la pression de ce m~me gaz lorsque l'6quilibre statique d'imbibition est atteint, et v le volume oecup~ alors par le liquide. Nous pouvons 6crire: P= vo.p/(v o- v) et P-- p = v.p/(vo-- v) . Lorsquc l'6quilibre est atteint, on a 2urs.cos 0 = 2nr. I= ( P- p) ~r"- ofi Iest la diff6rence entre les tensions interfaciales solide/gaz et solide/Iiquide, et cos 0 le cosinus de l'angle de contact. D'ofi finalement: 2 S" COS ~9 = (P -- p) r = vpr/(v o -- v) . Or: v/Cvo- v) = y/(a- V). Par consequent (en supposant que tousles pores de la substance poreuse ont le m~me diam~tre) nous pourrons 6crire: 2s.cos O= 2.1= Vpr/(a- V). Done, pour un m~me corps poreux et un m~me liquide (m~me I et m~me volume total des pores a), V varie en sens inverse de r, c'est-~-dire la constante b de la relation (1) est d'.autant plus petite que rest plus faible. Par cons6quent, b caract&ise la finesse de la porosit6. Pour d6finir l'indice de porosit6 (n), on rhpportera b au volume total des pores. n = b/a Voici quelques valeurs num6riques: verre frittd .n = 0,0115 graphite n = 0,0126 brique n-~ 0,0117. O. I. GINIEWSKI Department of Biological and Colloidal Chemistry, The Hebrew University, Jerusalem, March 20, 1946. 1 II s'agit bieu do la densit6 d'un verre.

Contribution à l'étude du phénomène d'imbibition capillaire

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[I5. VI. x946] Vorl~ufige Mitteilungen - Preliminary reports 2 2 1

Ausfiihrliche Publ ikat ion erscheint in den Astrono- mischen Mitteilungen der Eidg. Sternwarte Ziirich.

M. WALDMIglER

Astrophysikalisches Observatorium der Eidg. Stern- warte, Arosa, den 8. Mai 1946.

S u m m a r y

I t is shown tha t the intensi ty of the red coronal line 6374 A is diminished in the regions of the s tat ionary solar prominences.

C o n t r i b u t i o n l ' ~ t u d e d u p h 6 n o m ~ n e d ' i m b i b i t i o n c a p i H a i r e

(i.) D&erminat ion du volume total des porosit& et de la densit6 r6elle des substances poreuses. D~finition d ' un

indice de porosit6.

En 6tudiant le pouvoir de p~n6tration de diff6rents tiquides dans les corps poreux, j ' a i d6montr6 (Th~se Doctorat Chimie, Universit6 Montpellier, novembre 1944) l 'existence de la relation suivante

V = a - b - s (1)

off Vest le volume de liquide imbib6 par g de substance, lorsque l '&at d'dquilibre est at teint , la substance poreuse &an t plong6e dans le liquide; s est la tension super- ficielle du liquide an contact de Fair; a et b sont des constantes qui d6pendent de l 'dtat physique du corps poreux (porositY).

Cette relation a ~t6 v~rifi~e sur un certain nombre de corps comme, notamment , le verre fritt6, le fer fritt~, le graphite, le ciment, etc., avec des liquides de diff~ren- tes tensions superficielles, eomme l'ae~tone, l'.alcool &hylique, m&hylique, le benz~ne, l 'eau etc.

La relation (1) montre q u ' u n liquide imbibe d ' au t an t plus compI&ement la substance poreuse, que sa tension superficielle est plus faible, toutes choses &an t ~gales par ailleurs; ~ l 'aide d 'une hypothbse, v~rifi~e par l 'ex- p6rienee, eUe permet d '~valuer le volume r~el, et par- tant , la densit~ r~elle du corps poreux. E n effet, nous pouvons admett re q u ' u n liquide hypoth&ique, dent s = 0 (tension superficielle nulle) remplirait eompl~te- rn~nt les porosit~s de la substance poreuse (en relation avec la surface externe). Si, par consequent, nous raisons s = 0, la relation (1) devient

V = a .

La eonstante a repr6sente done le volume total des pores de la substance poreuse. Connaissant a (d~ter- rain6 exp6rimentalement) on calculera /ac i lement la densitd rdelle -- ce qui constitue; en m~me temps, un moyen commode de v~rifier I 'hypoth~se ~none6e plus haut.

L a ddterminat ion de a L a densi td rdelle de la substance poreuse

Le corps poreux, plong~ darts le liquide d ' imbibi t ion, est suspendu au flSau d 'une balance de precision. On d&ermine te poids apparent du corps poreux ( tenant compte de la pouss~e du liquide) lorsque l '6quilibre est a t te in t (valeur constante) ; on en d~duit V, con- naissant la densitd du liquide. En rSp&ant cette ex- p&ience avec diff~rents liquides, dont on mesure les tensions superficielles, on obt ient une s&rie de valeurs pour V qui v~rifient bien la relation (i).

Le volume r~el du corps poreux s 'obt ient imm6diate- ment lorsqu'on d*duit le volume total des pores (a) du volume apparent (d&ermin~ par exemple dans du mercure).

E x e m p l e s numdr iques

A. - Un morceau de verre fritt6 est suspendu darts diff6rents liquides pour d&erminer son 6quat ion d ' imbi- bition. On trouve (en unit6s C.G.S.)

V---- 0,39-- 0,0045.s sa masse= 1,i73

son volume a ppa r e n t = 0,914 son volume r~elle est done

0,914-- 0,390= 0,524, d'ofi sa densit6 d = 2,24 x.

B. - On d6termine de la m~me mani~re l '6quat ion d ' imbibi t ion d ' un graphite d'61ectrodes, qui donne

a = 0,225 masse= 1,56

volume a p p a r e n t = 0,93, d'oh densit6 r6elle= 2,45.

Dd[in i t ion d ' u n indice de porositd

La relation (1) permet 6gatement de caract6riser la finesse des pores et d'affecter ainsi le corps poreux d ' u n indice caract6ristique.

Consid6rons un tube capillaire de diam&re 2 r et de capacit6 vo. Soient: p la pression initiale ( = 1 atm) du gaz contenu ini t ialement duns le capillaire, P la pression de ce m~me gaz lorsque l '6quilibre stat ique d ' imbibi t ion est at teint , et v le volume oecup~ alors par le liquide.

Nous pouvons 6crire:

P = vo.p/(v o - v) et P - - p = v .p / ( vo - - v) .

Lorsquc l '6quilibre est at teint , on a

2 u r s . c o s 0 = 2 n r . I = ( P - p) ~r"-

ofi I e s t la diff6rence entre les tensions interfaciales solide/gaz et solide/Iiquide, et cos 0 le cosinus de l 'angle de contact.

D'ofi f inalement:

2 S" COS ~9 = (P -- p) r = vpr / (v o -- v) . Or:

v/Cvo- v) = y / ( a - V) .

Par consequent (en supposant que tous les pores de la substance poreuse ont le m~me diam~tre) nous pourrons 6crire:

2s.cos O= 2 . 1 = V p r / ( a - V ) .

Done, pour un m~me corps poreux et un m~me liquide (m~me I et m~me volume total des pores a), V varie en sens inverse de r, c'est-~-dire la constante b de la relation (1) est d ' .autant plus petite que r e s t plus faible. Par cons6quent, b caract&ise la finesse de la porosit6.

Pour d6finir l ' indice de porosit6 (n), on rhpportera b au volume total des pores.

n = b/a

Voici quelques valeurs num6riques:

verre frittd .n = 0,0115 graphite n = 0,0126 brique n - ~ 0,0117.

O. I. GINIEWSKI

Depar tment of Biological and Colloidal Chemistry, The Hebrew Universi ty, Jerusalem, March 20, 1946.

1 II s'agit bieu do la densit6 d'un verre.

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222 Communications provisoires - Comunieazioni preliminari [ExPERIENTIA VOL. II/6]

Sum~ar3t

The real density of a porous mat te r is determined by means of the equat ion V = a - b . s , where V is the volume of imbibition, related to the surface tension (s) of the liquid, while "a" and "b" are experimental coefficients. The examinat ion of this equat ion led to the conclusion tha t "a" represents the total porous volume, while "'b" is a funct ion of the mean porous radius, The knowledge of the equation related to a given substance, allows to calculate immediately the real density.

Fur thermore the ratio b/a defines a characteristic porosity index.

Stoll verdanken, steht in der Gruppe der Pyrenomy- ceres (Euascomycetes).

Da die biologische Verwandtschaft beider Stoffe (und beider Pilze) eine nahe ist und sic chemische Berfihrungs- punkte haben, dart man beim Gynergen, so wie es beim Penicillin gesehah, nach antibiotischen Eigenschaften forschen. Beim Penicillin richten sich diese gegea Bak- terien, beim Gynergen mit Wahrscheinliehkeit gegen Virusarten, Bei zwei Viruskrankhei ten hat Gynergen Sandoz in vielen Fi~llen seine therapeutische Wirksam- keit schon bewiesen: beim Herpes zoster ~ und beim Herpes "simplex 2. R. BIRKH~.USER

Basel, den 15. April 1946.

Gynergen und Penicillin als Antibiotika

Die Erk rankung der Hornhau t an Herpes simplex (febrilis) ist in ihrer leichten Form eine sehr 1Astige, in ihrer schweren Form eine for das Auge gef~ihr- l i the Viruskrankheit . Vieles spricht ffir die intrazellu- l~ire (endogene) Bildung des Virus (Elementark6rper- chen), welche Auffassung keine Beeintrlichtigung der Tatsache bedeutet, dab sich Herpesvirus vom Menschen auf das Tier und vom Tier auf den Menschen iiber- t ragen litBt. Ents tehung und Heilung der Herpeskrank- heft ist eine Angelegenheit des Zellchemismus ~. 2.

Zum erstenmal fiel mir, als eine Nebenbeobachtung, die Heilwirkung des Gynergen Sandoz auf Herpes simplex auL anl~131ich einer Untersuchungsreihe mit Sulfanilamidsalbe *.

In der Hegel heilt /rische Erkrankung des Hornhaut - epithels an Herpes simplex durch Einnehmen yon 4- -6 mg Ergotamintar t ra t tiiglich (4--6 Table t ten Gynergen Sandoz) in durchschnittl ieh vier Tagen; ohne Gynergen beansprucht die Heilung wesentlich mehr Zeit. Das klinische Bild des Krankheitsverlaufs scheint mir dutch den Grad des Erregungszustandes des Orthosympathikus stark beeinfluBt zu sein ~.

Neuestens babe ieh Gynergenl6sung, 1 cm s --- 0,5 nag Ergotamintar t ra t , direkt auf die herpetischen $tellen im Hornhautepi thel gebracht, mit gutem Erfolg. Wei- tere Anwendung dieser Therapie wird lehren, ob die direkte Applikation der Gynergenl6sung auf das herpe- tisch erkrankte Epithel die enterale oder parenterale Darreichung mit gleich gutem Erfolg abl6sen kann.

FaBt man das Ergo tamin ta r t ra t Stotl (Gynergen Sandoz) wie das Penicillin als ein Ant ibiot ikum ant, mit der F~higkeit, den Zellehemismus beeinflussen zu k6n- nen, dann diirfte man dem Gynergen die Eigenschaft zubiUigen, die intrazellul~re (endogene) Herpesbildung hemmen zu k6nnen. Nach heutiger AuHassung hat das Penicillin diese Eigenschaft Virusstoffen gegeniiber nicht.

Zwischen beiden Stoffen bestehen ~ewisse chemische Berfihrungspuukte n, *. Wdchtiger erscheint nlir die bio- logisehe Verwandtschaft. Beide Stoffe verdanken ihre Ents tehung Pilzen ein und derselben Reihe.: den Askomyzeten. Der Pilz Penicillium notatum, aus dem das Penicillin gewonnen wird, geh/Srt in dieser Reihe zur Gruppe der Plectascales (Euascomycetes). Der Pilz Claviceps purpurea, dem wit das Ergo tamin ta r t ra t

1 DOERR und HALLAUER, Handbueh der Virusforschung, Band 1 undo und 1. Erg~inzungsband, Springer, Wien 1938--1944.

2 LEVADITI: Pr6cis de virologic m6dicale, Masson, Paris 1945, 3 RUDOLF BIRKI~AUSER, Praxis, 5, 2 (194~). 4 RUDOLF BIRKH~USER, Schweiz. Ophthalm. Ges. 1942; Schweiz.

reed. Wsehr. 34, 33 (1943); Ophthalmologica, 10a, 214 (1943). s A. ~VETTSTF.XH, ~ber Penicillin, Ciba AG., Basel 1946. 6 ARTmm STOLL, Holy. chim. aeta, 28, 1283 (1945).

Summary Herpes corneze simplex (febrilis) is a virus disease.

I n 1942 the author found out tha t the purely epithelial forms of Herpes cornem are cured on an average within four days, if the pat ients took 4- -5 milligrams of

Gynergen Sandoz~ (Ergotamin-tar t ra te Stoll) a day. According to the newest observations fresh Herpes cornem can also be cured through rinsing with a solu- t ion of 0.5 mg of Gynergen (2 cm 3 a day);

The development of the Herpes disease and its cure is a chemical process of the cells, which, according to the author, is influenced by Gynergen. - - Ergotamin is won out of secale cornutum, which owes its origin to the fungus Claviceps purpurea. This fungus together with the Penicillium notatum belongs to the ¢lscomycetes group. Both are biologically related and their substance has chemical points of contact. ~ Wi th respect to bac- teria, Penicillin is antibiotic, the author presumes anti- biotical properties against Herpes in Ergotamin (Gyn- ergen Sandoz), the s tudy of which he suggests should be gone into more thoroughly. With two different viruses Gynergeu Sandoz has been known to bring about a cure in many cases: namely Herpes zoster ophthalmicus, and Herpes cornem simplex (febrilis).

x V. FRxxs, fObersetzung aus Ugeskrift for Laeger, 102, 43 (1940) (Bei Sandoz AG.)

2 RUDOLF BIRKH~USER, Schweiz. Ophthalm. Ges. 1942; Schweiz. reed. Wschr. 34, 33 (1943); Ophthalmologica 106, ~14 (1943}.

~3ber Beziehungen der Molekiilgr6fSe und -gestalt zur physiologischen Wirkung

Aus klinischer Notwendigkeit und angeregt durch die Arbeiten yon CHARGAFF 1 und besonders KARRER* haben wir den Aufbau halbsynthetischer Ant ikoagulant ia durch Sulfurierung hochmolekularer Kohlehydrate und anderer polymerer Produkte aufgenommen. Dabei war wichtig, zu wissen, ob eine Beziehung zwischen Molekfil- gr6Be bzw. -gestalt und physiologiseher Wirksamkeit besttinde. KARRER, der einzige, der bisher bezfiglieh der genannten Produkte in dieser Richtung vorstieB, sieht bei sulfurierten Kohlehydraten bzw: Kohtehydratderi- va ten keinen sicheren Zusammenhang zwischen Wirk- samkeit und Viskosit~t. Wir selbst haben zur Kl~rung dieser Frage polymerhomologe Reihen sulfurierter Hexosane, Pentosane und von Polyvinvlalkoholen her- gestellt und die Wirkung dieser Stoffe, die einen sehr unterschiedlichen, abet wohl definierten Polymeri-

1 CHARGAFF, BANCROFT and STANLEY-BROWN, J. bioLChem. 115, 148, 155 (1936).

2 KARR~R, K6sm und USTERI, Helv~chim. acta ~6, 1296 (1943}.