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LE MAGAZINE DE LA VILLE DE DIJON AVRIL 2011 N° 234 www.dijon.fr le Sup l’agenda culturel du mois + En cahier central 10 ANS QUE L’ON SÈME

Dijon mag avril 2011

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Dijon mag avril 2011

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LE MAGAZINE DE LA VILLE DE DIJONAVRIL 2011 N° 234

www.dijon.fr

le Supl’agenda culturel du mois

+ En cahier central

10 ANSQUE L’ON SÈME

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| ça s’est passé |

APRÈS LE VIOLENT SÉISME ET LE TSUNAMI DÉVASTATEUR AYANTRAVAGÉ LE NORD-EST DU JAPONLE VENDREDI 11 MARS, PLUSIEURSASSOCIATIONS DIJONNAISES SE SONTMOBILISÉES POUR SOUTENIR LE PEUPLEJAPONAIS LE 19 MARS DERNIER :DÉFILÉ ET RASSEMBLEMENTPLACE FRANÇOIS-RUDE (ORGANISÉS PARL’ASSOCIATION ÉCOLE COMPLÉMENTAIREJAPONAISE DE DIJON) ET STANDSOUS LES HALLES (PROPOSÉ PARL’ASSOCIATION FRANCO-JAPONAISEDE DIJON, L’ASSOCIATION D’UN PLIÀ L’AUTRE ET LE CLUB UNESCO DE DIJONET ENVIRONS).

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1 Objectif «1 000 grues en papier» le 19 mars sous les halles centrales.

Une action symbolique selon une tradition japonaise datant des

années 1950 qui veut que, si l’on plie 1 000 grues en origami, votre

souhait se réalise. En signe de solidarité, les passants étaient donc

invités à plier des grues en papier. Celles-ci seront prochainement

envoyées à l’ambassade du Japon en France pour être distribuées aux

nombreux sinistrés. 2 Après deux mois de restauration, la statue en

bronze Le Vendangeur, de Noël-Jules Girard, plus connue sous le nom

du « Bareuzai », a retrouvé la place François-Rude le 7 mars, parée

d’une nouvelle patine, afin que les Dijonnais puissent désormais

pleinement apprécier tous les détails de cette œuvre. 3 Avant-première

du film Nos ancêtres les Gauloises. Dans l’univers des mères de

l’immigration, le 7 mars dernier au cinéma Olympia. Écrit et réalisé par

Christian Zerbib, ce film documentaire met en scène dix femmes

dijonnaises d’origine étrangère, mêlant partage des cultures et

sentiment d’injustice devant l’expatriation. 4 La Fédération française de rugby remettait symboliquement, le 5 mars, un

chèque à la ville de Dijon pour la réalisation du terrain synthétique de rugby du stade Bourillot, dont l’inauguration s’était

déroulée le 25 novembre 2009. 5 Cérémonie de remise des primes du secteur sauvegardé présidée par François

Rebsamen, le 21 février. Ces primes récompensent les efforts des particuliers et des commerçants qui contribuent, par

leurs travaux, à la mise en valeur du patrimoine de la ville. 6 Le 4 mars, près de 1 000 jeunes âgés de 18 ans ou qui

devaient atteindre cet âge la veille du 1er tour des élections cantonales se sont vu remettre leur première carte électorale

ainsi que le « livret du citoyen» rappelant leurs droits et obligations civiques.

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P. 6 | c’est d’actu |DÉMOCRATIE PARTICIPATIVE : DIJON RENOUVELLE

SES CONSEILS DE QUARTIER

P. 11 | c’est d’actu |LA NEF : BIEN PLUS QU’UNE BIBLIOTHÈQUE

P. 13 | tout le monde en parle |BŒUF MODE (DE PÂQUES)

P. 30 | ça nous concerne |RYTHMES SCOLAIRES : DIJON ALIMENTE LE DÉBAT

P. 34 | à votre service |NUMÉROS UTILES, URGENCES, GRAND DIJON, ETC.

Sommaire

DIJON MAG N° 234 AVRIL 2011. Directeur de publication : François Rebsamen – Directeur de la rédaction : Thierry Coursin – Directeur adjoint :Fabian Forni – Ont collaboré : Nicolas Boisnard, Catherine Jonon, Jérémy Martin, Nadine Paulin, Éric Perruchot, Linda Simon – Photos :Philippe Bornier, Ludovic Charron, Hajar Zenasni – Secrétariat de rédaction : Antoine-Joseph Martin – Conception et réalisation : tempsRéel– Impression : BLG – Distribution : La Poste – N° d’impression : 70779 – Dépôt légal : 2e trimestre 2011

10 ANS

QUE L’ON SÈME

Pour raconter votre ville par le texteou par l’image, la rédaction de Dijon Mag vous invite à contribuerau magazine. Proposez vos sujets,vos articles, vos photos… et devenez acteur de votre revue !Vos propositions seront présentéesau comité de rédaction de Dijon Mag.

À vos plumes !Contact : [email protected]

Participez à Dijon Mag !

MARS 2011

CONCERT | THÉÂTRE | DANSE | JEUNE PUBLIC | EXPO | MUSÉE | CINÉ | ET AUSSI

le Supdijon culture

Serge Teyssot-Gay

(ici avec Interzone)

sera en concert le

29 mars avec Zone

Libre (voir p.7)

©Tcho-Antidote

au centre du magazine

le Sup dijon cultureTOUTES VOS SORTIES DU MOIS D’AVRIL

DOSSIER P. 20

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Les élections cantonales viennent d’avoir lieu, quel est votre commentaire concernant Dijon ?Je constate que les trois conseillers généraux sortants ont été confirmés, comme cela fut le cas pour la très grande majorité de leurs collègues dans le département. Je me réjouis particulièrement de l’importance des scores obtenus par Laurent Grandguillaume et Roland Ponsâa. Il m’appartient aussi de remercier les Dijonnaises et les Dijonnais qui ont voté, tout en regrettant le niveau élevé de l’abstention à ces élections. Cette situation doit interroger l’ensemble des formations politiques.

Après cette campagne électorale, quel est votre sentiment ?Je ne commenterai pas les arguments des uns et des autres. Cependant, et je l’ai souvent répété, je ne me satisferai jamais de l’opposition artificielle que les élus de la majorité départementale ont construite entre Dijon et son agglomération, et les territoires ruraux de la Côte-d’Or. Dijon est la capitale de la Bourgogne et donc celle de notre département. Son rayonnement et son attractivitébénéficient directement au département, et renforcent par là même l’authenticité et l’énergie des territoires qui le composent. Nos efforts en matière de développement économique, la constructionsoutenue de logements qui a permis d’augmenter le nombre de nos concitoyens, la croissance de nosinfrastructures, notre soutien à l’emploi, la qualité de notre coopération aussi bien avec l’université de Bourgogne que le centre hospitalier universitaire, la place que nous avons conquise avec l’agglomérationdans le Grand Est de la France, tout cela contribue à protéger tous les Côte-d’Oriens et à garantir leuravenir. Pour ma part, j’ai toujours prôné l’unité de nos territoires par le renforcement de la coopération des politiques menées par chaque collectivité territoriale, car je sais que la division des Côte-d’Oriensrecèle les ferments de la montée des extrémismes, comme nous avons pu hélas le constater à Saint-Jean-de-Losne en particulier.

C’est en soi une forme de rappel du travail accompli depuis 2001 ?C’est cela. Depuis 2001, je n’ai eu de cesse, avec les membres de mes équipes municipales, de conduireune politique qui assure l’avenir pour Dijon et ses concitoyens. Nos engagements et nos actions ont ainsipermis de faire bénéficier les jeunes de conditions d’éducation essentielles à leur formation, de soutenirl’activité économique de nos entreprises, d’améliorer l’accès aux services publics municipaux pour toutesles familles par une politique tarifaire adaptée, et de reconnaître la place et les efforts accomplis par nosaînés pour Dijon. Cela fait dix ans que l’on sème, en effet, pour tous les Dijonnais, et c’est avec une villerassemblée que l’on rendra Dijon encore plus douce à vivre.

| dites-nous… françois rebsamen |

Pour une villerassemblée

PROCHAIN CONSEIL MUNICIPAL LUNDI 18 AVRIL SALLE DE FLORE À 18 H30ET EN DIRECT SUR DIJON.FR

3 QUESTIONS À FRANÇOIS REBSAMENSÉNATEUR-MAIRE DE DIJON

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DÉMOCRATIE PARTICIPATIVE

DIJON RENOUVELLE SES CONSEILS DE QUARTIERLes conseils de quartier verront leurs membres renouvelés au mois d’octobre prochain. Participer réellement à la vie de la cité est ainsi possible et porte un nom : la démocratie locale, ou démocratie de proximité.

| c’est d’actu |

Vous résidez à Dijon, avez plus de 16 ans et êtes détenteur devos droits civiques ? Pourquoi ne pas envisager de participer àune commission de quartier ? Elle vous offre la possibilité de

participer activement à la vie locale, de mener à bien des projetsd’amélioration et d’embellissement du cadre de vie, et de prendre enconsidération la position des habitants au nom de l’expertise d’usage. La mise en place des ces instances a été voulue par la loi du 27 février2002. Dijon accueille trois conseils de quartier : Nord, Sud-Ouest etSud-Est. Chacun d’entre eux intègre trois commissions qui sont com-posées de 30 habitants tirés au sort pour trois ans, auxquels s’ajou-tent 6 élus municipaux ainsi qu’une personnalité qualifiée qui, par saqualité ou son expérience, peut apporter un regard singulier surle quartier.Le renouvellement des conseils de quartier se déroulera au mois

d’octobre. Il concerne 270 personnes tirées au sort parmi une liste devolontaires. Les appels à candidature seront lancés dès le mois demai. Nouveauté à cette occasion : chaque commission bénéficiera del’expérience de cinq personnes ressources tirées au sort parmi lesmembres volontaires du mandat actuel. En 2008, plus de 1 000 can-didats s’étaient au total présentés.

UN BUDGET PROPRE DE 40 000 EUROS. Dans leur fonctionnement,les commissions de quartier des trois conseils de Dijon se réunissenttrois fois par an, avec un taux de participation de près de 55 % et laprésence d’un public nombreux. Après un point d’intérêt général, lesdiscussions s’engagent très vite sur la vie du quartier. Parfois ellesprennent une tournure animée, chacun pouvant s’exprimer très libre-ment. Au-delà de ces échanges, chaque commission décide d’actions

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CONSULTATION JURIDIQUE

LES AVOCATS À VOTRE ÉCOUTE

Besoin d’un conseil ou d’un éclairage juridique ? Toutela journée du 9 avril, les avocats du barreau de Dijonse mobilisent. Sans interruption, de 9  h à 16  h, ils

proposeront, salle des États de l’hôtel de ville, une journée deconsultation gratuite sans rendez-vous et orienteront chaqueDijonnais vers un confrère compétent dans les domainessuivants : droit de la famille, de l’immobilier, du travail, droitpénal, droit des victimes, des entreprises ou droit adminis-tratif. Le centre de médiation de la Côte-d’Or sera égalementprésent. Cette opération, qui a déjà remporté un vif succès l’anpassé, est à l’initiative d’Arnaud Brultet, bâtonnier de l’Ordredes avocats à la cour d’appel de Dijon.Samedi 9 avril de 9 h à 16 h – Salle des États de l’hôtel de villeRens. : www.barreau-dijon.avocat.fr

concrètes  : grâce à un budget annuel de 40 000 euros par commission, de nombreux projets déjà ont vu le jour. Quelquesexemples prouvent que des équipements ludiques ou pra-tiques trouvent un large écho. La commission Chevreul-Parca ainsi décidé l’installation d’une porte d’accès entre le parcde la Colombière et le parking Bourillot, tandis que la com-mission Université a entamé le réaménagement du square duCreux-d’Enfer. Dans d’autres quartiers, les habitants souhai-tent des bancs, la plantation d’arbres, l’installation d’aires dejeux ou de toilettes publiques… Autant de réalisations quirendent notre ville plus agréable et plus conviviale, souligneLaurent Grandguillaume, adjoint au maire délégué à lajeunesse, à la vie associative et à la démocratie locale.Rens. : www.dijon.fr – Tél. : 03 80 74 70 99

Renouvellement des conseils de quartier en 2008.

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| c’est d’actu |

PATRIMOINE

LA «MARCHE DES CLIMATS» VERS L’UNESCOLa Bourgogne fait un nouveau pas vers la reconnaissance internationale et invite tous les passionnés à se joindre à l’événement symbolique de la « Marche des climats », vendredi 8 avril à partir de 19 h.

C’est le 8 avril prochain, au Clos de Vougeot, que sera signée la« charte territoriale des climats », résultat de deux années detravail concerté avec l’ensemble des décisionnaires du terri-

toire. Véritable document de référence et de gestion, la charte terri-

toriale est également un outil de cohérence des actions de valorisationsur l’ensemble du site retenu pour le classement. Sans formalismejuridique, elle offre une grande souplesse de fonctionnement etpermet l’adhésion des partenaires les plus divers à l’échelle du terri-toire : habitants, acteurs économiques et associatifs, grands parte-naires institutionnels (État, région, département, communes…). Cettecharte territoriale est donc une étape décisive dans la candidaturequi engage officiellement toute la région dans une dynamiqued’avenir.À cette occasion, l’Association pour l’inscription des climats duvignoble de Bourgogne au patrimoine mondial de l’Unesco et ses par-tenaires proposent la « Marche des climats » pour mobiliser habi-tants et acteurs du territoire. Les Bourguignons sont donc invités àune marche au cœur du vignoble, entre Chambolle-Musigny et leClos de Vougeot. Au passage des marcheurs, les parcelles de vigness’illumineront de flambeaux afin de donner chair à ces climats si spécifiques. Des animations sont également prévues tout au long duparcours. Vendredi 8 avril à partir de 19 h Départ de Chambolle-Musigny, place de l’ÉgliseRens. : 03 80 20 10 40 Courriel : [email protected] www.climats-bourgogne.com

CONSEIL MUNICIPAL D’ENFANTS

DIRECTION LE SÉNAT

Mais où vote-t-on les lois  ? Déjàimpliqués dans une démarchecitoyenne depuis leur élection en

octobre dernier, les 63  nouveaux élus duconseil municipal d’enfants (CME) appren-nent à découvrir leur ville pour ainsi amé-liorer le mieux-vivre ensemble.Ce mandat est aussi l’occasion d’élargir lacompréhension de l’exercice démocratiqueau niveau national, avec notamment la visitede la chambre haute du Parlement français :

le Sénat. Divisés en deux groupes, les13  avril et 11  mai prochains, ils verront lesiège même du pouvoir législatif s’ouvrir àeux. La découverte de l’Assemblée nationaleest également prévue lors de leur deuxième

année de mandat. Une opportunité qu’ils nemanqueront pas de partager avec leurscopains à leur retour dans leurs établisse-ments scolaires respectifs.Rens. : 03 80 74 71 43

© Jean-Louis Bernuy

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Ce sera l’une des grandes soirées decette 8e édition de Kill Your Pop : lesAméricains de Deerhunter en concert,

vendredi 8 avril, à La Vapeur. Armée de sescompositions envoûtantes et de ses guitaresraffinées, la bande de Bradford Cox proposeun rock mélodieux, hypnotique, entre éclatsdes plus contemporains et références à latradition. À la même affiche, Jana Hunteravec Lower Dens : là aussi, un groupe réso-lument guitares, où l’électrique ne le cède enrien à la mélodie.Une date qui résume à elle seule l’esprit dufestival, le seul qui soit exclusivement dédiéà l’indie à Dijon, revendique Marie Demarthe,de l’association Sabotage, maître d’œuvre deKill Your Pop. Vous avez dit «  indie  » ?Entendez « indépendant », ou « alternatif »,soit des artistes évoluant dans un registredifférent de celui, grand public, que l’on al’habitude d’entendre sur les ondes et lesgrands médias. Un genre qui, pour autant,n’est pas confidentiel et couvre un largespectre, du pop rock subtil à l’électro le plusdépouillé. La preuve en direct sera fournie par

Shackleton, typiquement orienté dubstep.Bien loin, par exemple, du punk travaillé(revisité  ?) de Cheveu, dont l’audience necesse de grandir. Ou de la rugosité desRusses de Motorama. Ou encore de TheNotes et d’Electricity in Our Homes, dont lescompositions rappellent de grands noms dupost-punk eighties (on peut penser à YoungMarble Giants pour les premiers, à The Fallou Gang of Four pour les seconds).

Au final, une programmation rare sur quatrecourtes journées, en soirée ou en avant-concert (on ne ratera pas La Féline, au Quentin,le samedi 9 à 20 h), à des prix modiques, voiregratuits. Une belle occasion pour découvrir denouveaux territoires musicaux.Du jeudi 7 au dimanche 10 avril Rens. : www.killyourpop.comTél. : 06 73 38 63 93 Courriel : [email protected]

ÉCODROME

ACCROBRANCHE ÉCOLO

Concept novateur initié depuis 2006 par l’association dijon-naise Arborescence, l’Écodrome revient, toujours avec lamême vocation : sensibiliser les citadins à la nature et au

développement durable tout en s’amusant. Grimper dans lesarbres devient ainsi un prétexte pour mieux assimiler les problé-matiques environnementales. Une découverte aérienne (trois iti-néraires) sportive et éducative, adaptée à tous les publics dès l’âgede 3 ans ainsi qu’aux personnes en situation de handicap.Au sol, des activités pédagogiques complètent les parcours aériensavec une exposition, des animations « nature » et divers jeux.Le grand public est attendu les mercredis, samedis, dimanches etjours fériés de 14 h à 19 h, les autres jours étant consacrés aux scolaires et centres de loisirs. Du samedi 16 avril au dimanche 18 septembre de 14 h à 19 h Parc de la ColombièreRens. et tarifs : 06 06 55 79 52 – www.ecodrome-dijon.com

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Deerhunter.

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KILL YOUR POP FESTIVAL

EN TERRITOIRE INDIE

REGGAE / RAGGA

UN ALBUMDÉFINITIVEMENTFULLSTYLE

Originaire de Martinique, c’est là que FullStylefait ses premiers pas dans le monde musical,en 1992, auprès d’artistes tels que Lord Kossity.

Doté d’un beau timbre atypique, évoluant entre reggae,ragga et hip hop, il utilise aussi bien le français quel’anglais pour prôner des valeurs de paix et de respect.Installé désormais à Dijon, il a publié Living Style, unpremier album qui dit tout de son évident talent.Rens. : www.myspace.com/fullstyle1ou http://fullstyle2.skyrock.comDans ta face Promotion – 2, rue des Corroyeurswww.danstafacepromotion.comCourriel : [email protected]

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> SI AFFINITÉS, LE SALON DE LA RENCONTREFaire de nouvelles connaissances et se lierd’amitié, voire plus, c’est ce que le salonSi affinités propose aux visiteurs via desconférences, des ateliers et des animations,pour mieux comprendre l’image de soi, laséduction et la relation à l’autre. Samedi 9 etdimanche 10 avril de 10 h à 20 h, au Parc desexpositions. Rens. : 03 80 60 86 08.

> « LE GRAND DIJON,UNE MÉTROPOLE »L’Institut pour une meilleure connaissance del’histoire urbaine et des villes (Icovil) propose,depuis une quinzaine d’années maintenant,une exposition retraçant l’évolution urbainede l’agglomération dijonnaise de 1995 à nosjours. La brochure « Le Grand Dijon, unemétropole », éditée en décembre dernier,devient un support complémentaire pourétayer cette histoire. Brochure disponibleà l’association pour 5 euros. Icovil, hôteld’Esterno, 1, rue Monge. Rens. : 03 80 66 82 23.

> SALON APPRENTISSIMODédié à la valorisation de l’apprentissage etde l’alternance en Côte-d’Or, le salonApprentissimo proposera deux joursd’animations, de tables rondes et de job datingqui réuniront entreprises et étudiants etpermettront d’offrir un accompagnementpersonnalisé. Mercredi 4 et jeudi 5 mai,au Parc des expositions. Rens. : www.apprentissimo-bourgogne.fr. Tél. : 03 80 65 92 35.

en bref

| c’est d’actu |

SEMAINE DE LA MARIONNETTE

DES POUPÉES QUI JOUENT

Pour sa 8e édition, la Semaine de la marionnette revient avec un programme plein.Chaque technique –  lumière noire, théâtre d’ombres, marionnettes à fils et biend’autres… – sera mise en avant au fil des spectacles. En tout, cinq journées consé-

cutives où petits et grands pourront découvrir ou redécouvrir l’art des «  poupées quijouent » en revisitant, à titre d’exemples, les traditionnels Petit Chaperon rouge ou les TroisPetits Cochons. L’an passé, plus de 1 800 spectateurs ont ainsi été conquis.Du lundi 18 au vendredi 22 avril à 10 h 30, 14 h 30 et 16 h 30 – Théâtre des Grésilles Rens. et réservations : www.intermarionnette.fr – Tél. : 03 80 72 41 27

Qu’elle semble loin, la Piste aux étoilesde Roger Lanzac ! Non, le cirque, cen’est plus ça  : un rigide Monsieur

Loyal sur une piste de sable fatiguée. Lecirque, désormais, est multiple, coloré  ; ildéborde les chapiteaux pour investir lesthéâtres et la rue ; il multiplie les formes etles styles. Il est même rebaptisé « arts ducirque », comme un adoubement.C’est ce cirque multiple que donne à voir lefestival Prise de cirq’, du 12 au 17 avril, portépar l’association Cirq’ônflex. Un festival quise veut innovant et populaire, avec (notam-ment) du cabaret, du jonglage, des clownscontemporains, de l’acrobatie, un bal coloréavec le formidable Imperial Kikiristan, maisaussi du théâtre circassien, aérien etmusical (Sway), des interventions de rue, desprojections de films…

Trois terrains de jeu sont investis : un chapi-teau parc Darcy, avec des rendez-vous régu-liers du 14 au 17  avril  ; des infiltrationsurbaines qui auront lieu rue Berbisey lesamedi  16  ; et des diffusions nomades aucinéma L’Eldorado, à Quetigny, sur laPéniche Cancale… Sans oublier le quartierde la Fontaine-d’Ouche, autre lieu d’ancragedu festival.Dernier signe de la modernité du cirqued’aujourd’hui, Prise de cirq’ s’engage dansune démarche écoresponsable et veille à ceque tous les lieux soient accessibles aux per-sonnes à mobilité réduite, avec un accueilspécifique mis en place sur demande.Du mardi 12 au dimanche 17 avrilRens. et réservations : 09 81 98 30 54 –Courriel : [email protected] –www.cirqonflex.fr

FESTIVAL PRIS DE CIRQ’

DÉTOURS DE PISTE

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Léon

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Depuis 2009, ce lieu culturel, dont le nom évoquel’espace architectural de l’église, abrite lesservices du musée des Beaux-Arts, la biblio-

thèque municipale centre-ville, la Société des amis desmusées de Dijon et des bureaux du centre d’art duConsortium.Petit rappel historique  : au Moyen Âge, siège d’unpuissant chapitre de chanoines, plusieurs fois recons-truite, l’église Saint-Étienne devint cathédrale à lacréation de l’évêché de Dijon, en 1731. Désaffectés en1792, les bâtiments furent achetés par la ville en 1809 etutilisés comme remises. En 1896, la chambre decommerce et d’industrie (CCI) s’installa dans sa nef. En1949, le transept nord et le chœur accueillirent le muséeRude, constitué pour abriter les moulages des œuvres dusculpteur dijonnais.Aujourd’hui, la bibliothèque est installée au rez-de-chaussée et propose des collections susceptibles d’inté-resser tous les publics à partir de 13 ans (livres, bandesdessinées, DVD, revues, journaux et quatre postes infor-matiques). Mais la Nef, au-delà de l’espace bibliothèque,c’est aussi un lieu d’expositions, de projections, de ren-contres-spectacles, de conférences, proposées principa-lement par le musée des Beaux-Arts, la bibliothèque etle Consortium (voir notre cahier central «  Le Sup  »page 14). Et l’été, mieux encore, c’est dans le jardin que l’on prendplaisir à lire !La Nef – 1, place du ThéâtreRens. : 03 80 48 82 55

> RÊVES, SPORT ET EXCEPTIONFerrari, Ford Mustang, Jaguar, Porsche, LotusElise, Alpine, Venturi, Chevrolet Corvette ouCamaro, autant de véhicules de légende qu’ilsera possible d’admirer le temps d’une halteà Dijon. L’association V Dream Auto, dans lecadre de son « Bourgogne Tour », fera en effetune étape d’une heure dans la Cour d’honneuravant de reprendre la route jusqu’à Époisses.Au total, les membres parcourront plus de800 km dans le week-end. Lundi 25 avrilà 10 h, Cour d’honneur de l’hôtel de ville. Rens. : www.vdreamauto.com

> SOL EN BIODe plus en plus nombreux sont lesconsommateurs qui se tournent vers le bio,à la recherche d’aliments plus sains, plusnutritifs, plus savoureux, plus écologiques.C’est pourquoi un nouveau groupementd’achats en produits bio, l’associationdijonnaise Sol en bio, propose d’acheter engros des produits bio afin de les revendre auxconsommateurs à des tarifs moindres queceux de la grande distribution. Rens. : 03 80 43 08 53. Courriel : [email protected]

> DIJON-SANTE.FRPremière Web TV locale dédiée à la santé etaux politiques sanitaires locales, Dijon-Santé.frest un outil de proximité qui vise à informerau plus près les patients des progrès et de leursdroits dans le domaine médical. Encore plusfonctionnelle, cette Web TV est désormaisdisponible sur tous les mobiles de typesmartphone, pour une consultation en directde l’actualité et des différentes rubriquesqu’elle propose. Rens. : www.dijon-sante.fr

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ACTION HUMANITAIRE

BÉNÉVOLAT OUPROFESSIONNALISME?

L’Association bourguignonne pour la formation à l’action humani-taire (Abfah) propose à tous ceux qui s’intéressent de près ou deloin à la solidarité internationale et/ou à l’action humanitaire une

journée de rencontre et de réflexion autour du thème « Action humani-taire, bénévolat ou professionnalisme ? ». Sous la présidence de Chris-tian Troubé, rédacteur en chef du magazine La Vie, la journée seraanimée par Pierre Salignon (Médecins du monde), Catherine Di Maria(Action contre la faim), Pascal Dauvin (sociologue, auteur et professeurà l’université de Versailles), Laëtitia Atlani-Duault (anthropologue).Samedi 9 avril de 8 h 30 à 17 h 30 Faculté de médecine – 7, boulevard Jeanne-d’ArcRens. : www.abfah.org Inscriptions : [email protected]

BIEN PLUS QU’UNEBIBLIOTHÈQUE

SEMAINE DE LA VACCINATION

ÊTES-VOUS À JOUR?

Comme chaque année, Dijon Ville-santé, le service hygiène (cellule vac-cination) de la ville et le CHU de Dijon organisent une journée de sen-sibilisation dans le cadre de la Semaine européenne de la vaccination,

qui se tient du 26 avril au 2 mai. Autour des différents types de vaccination, ellepermettra aux Dijonnais de participer à un quiz et de visiter l’exposition miseen place pour l’occasion. Et pour ceux qui ne peuvent se rendre en ville ce jour-là, des interventions sont également programmées sur le marché de laFontaine-d’Ouche le 27 avril et sur le marché des Grésilles le 28. Des person-nels du CHU et de la ville seront présents pour vous orienter, répondre auxinterrogations diverses et vous renseigner sur l’organisation des séancesmensuelles de vaccination.Mercredi 27 avril de 9 h à 12 h – Marché de la Fontaine-d’Ouche Jeudi 28 avril de 9 h à 12 h – Marché des Grésilles Samedi 30 avril de 9 h à 17 h 30 – Place François-Rude Rens. : 03 80 48 80 70

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| c’est d’actu |

JARDIN DES SCIENCES

UNE CHASSE À L’ŒUF ÉDUCATIVE

Organisée par le Jardin des sciences, la « Chasse à l’œuf »du 27 avril, au jardin de l’Arquebuse, se veut ludique etéducative. Si l’objectif affiché est de distraire les petits et

les grands, c’est aussi, en ces périodes de nidification et dePâques, de leur faire découvrir le monde ovipare, de la grenouilleà l’oiseau.Au programme, de 14 h 30 à 15 h : animations en salle. De 15 h à16  h, séance décoration avec une plasticienne. Dès 16  h,recherche des œufs en chocolat dans le parc de l’Arquebuse grâceà des énigmes et un jeu de piste. Une fois les trésors découverts,dégustation !Attention, l’inscription est fortement recommandée car lenombre de places est limité à 25. Les enfants peuvent venir seulsou accompagnés par des adultes.Mercredi 27 avril Rens. et inscriptions : Pavillon du Raines Jardin de l’Arquebuse – Tél. : 03 80 48 82 00

Compost  : n.m. Mélange derésidus organiques laisséen fermentation et utilisé

comme engrais. La nature recycle.C’est ce que nous explique lanouvelle activité pédagogique duJardin des sciences, qui s’orientede plus en plus vers le développe-ment durable et se propose denous faire découvrir le cycle de lamatière organique à travers troiscomposteurs de démonstration.Le mercredi 6  avril, des ateliersparents-enfants inaugurent lamise en place de cette manifesta-tion qui devrait durer au moins cinqans. Dans un premier temps,seules les écoles, MJC et autresassociations sont concernées,mais rapidement les familles pourront apporter leurs déchets organiques et les voir setransformer, naturellement, sous l’effet des vers et insectes.Ateliers parents-enfants du mercredi 6 avril : 14 h et 15 h 30, dans la limite des places disponiblesInscription obligatoire : Jardin de l’Arquebuse – Tél. : 03 80 48 82 00

COMPOST

LA DEUXIÈME VIEDE VOTRE POUBELLE

DANSE

LES ENFANTSS’INITIENT AU HIP HOP

C’est à l’association culturelleForce 2 Rue qu’en revient l’ini-tiative : initier des enfants issus

de différents quartiers de Dijon auhip hop à travers des ateliers de danse.Déjà une centaine d’enfants de 7 à11 ans se sont essayés à cette formed’expression. L’intérêt de cet art de labravade est son aspect collectif maiségalement individuel. L’artiste enherbe s’intègre dans une chorégraphiemais doit, à un moment donné,s’exhiber seul devant ses camarades.Nul esprit de compétition exacerbé,juste une volonté de montrer ce quel’on sait faire. Les filles, les garçons,quel que soit leur niveau, apprennent às’écouter et se regarder.Cette activité périscolaire se tient dansdes locaux prévus à cet effet, typecentres de loisirs, et elle est gratuite.Rens. : Direction de la jeunesse Tél. : 03 80 74 71 52

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| tout le monde en parle | | 13 |

Dijon, ville de foire aux bestiaux, lesjeunes générations ne le croiraientpas une seconde. Et pourtant,

lorsque les abattoirs municipaux fonction-naient, les bovins (mais aussi des ovins) fai-saient partie du paysage local. L’une de cesrencontres se perpétue aujourd’hui grâce àfeu Pierre Vallée. Cet inspecteur vétérinairedes abattoirs de Dijon a légué en 1876 à lamunicipalité une partie de sa fortune pourorganiser, la semaine qui précède lesRameaux, une vente de bêtes à cornesbaptisée, suivant les époques, fête du Bœufpascal ou du Bœuf de Pâques, voire du Bœufgras. Nous sortions de la guerre de 1870, et ilfallait relancer l’élevage, d’où ce concoursqui récompense le plus beau bœuf, expliqueÉliane Lochot, directrice des Archives muni-cipales. Mis à part le triste épisode desguerres mondiales et celui de la «  vache

folle », le concours a été célébré tous les anset fête cette année sa 115e édition. Dans lesannées 1970, le Hall des expositions [désor-mais Parc des expositions et congrès]accueillait un public très nombreux, avecdégustations de viande et même une proces-sion avec chars et majorettes qui parcouraitla ville, commente la responsable desArchives.

UN ÉPICURIEN. Cette tradition n’est pasmorte, grâce à un homme  : Jean-FrançoisMitanchey. Depuis vingt ans, il préside lecomité d’organisation du Bœuf de Pâques,soutenu financièrement par la ville. Ancienboucher, charcutier et toujours traiteur, ilconnaît bien son affaire. Nous devrions cetteannée pouvoir montrer entre 180 et200 bêtes d’éleveurs de Côte-d’Or, du Jura,de Saône-et-Loire et des Vosges, expliquecet épicurien dans l’âme. Parmi ces der-

nières, des bœufs, des génisses, des vaches,des culards, des mulards…Point d’orgue de la manifestation  : le plusbeau bœuf dédié à une boucherie dijonnaise,mais également d’autres prix et, cela va sansle dire, un repas gargantuesque deséleveurs. Nous voulons aussi démontrer quetous ces petits élevages avec des bêtes aupré garantissent une bonne alimentation,souligne Jean-François Mitanchey. Trucu-lent à souhait, avec son accent bourguignonprononcé, il n’a pas son pareil pourconseiller comment déguster une bonneviande, en commençant par l’acheter un peuvieillie au frigo afin d’éviter qu’elle nedurcisse à la cuisson.Dimanche 10 avril de 10 h à 17 h – Entréelibre – Parc des expositions et congrès,entrée Chambertin

Si Dijon a perdu sa grande tradition de ville de foirail, une manifestation dédiée à la vente de bovins subsiste : le Bœuf de Pâques. Jean-François Mitanchey, ardent défenseur de la bonne et saine viande, la perpétue.

TRADITION

BŒUF MODE (DE PÂQUES)

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| à suivre |

AVRIL AU FIL DU TRAMAlors que, dès mars dernier, les tout premiers rails du tram étaient posés du côté du boulevard Trimolet, les travaux de plate-forme se déploient à partir du 6 avril au centre-ville.Tour d’horizon d’un printemps marqué par l’avancée des travaux et par ce qui préfigure, déjà,l’organisation de la ville à l’automne 2012 avec le tramway.

Ça y est, nous y sommes  ! Au cœur du vaste chantier deconstruction de la plate-forme du tramway, c’est maintenantl’ensemble du tracé des deux futures lignes qui est en travaux.

Hormis les terminus de la ligne A, au sud à Chenôve et au nord de laToison-d’Or à Valmy, les fameuses barrières couleur cassis dessi-nent un linéaire qui préfigure une arrivée du tram à grands pas. Car,avec ce déploiement complet du chantier qui est en train d’investir lecentre-ville, entre la gare et la place de la République, c’est un toutnouveau plan de circulation automobile qui se met en place, parfoisde façon définitive. Rue Devosge à double sens, circulation modifiéesur le boulevard de Sévigné, ou encore fermeture de l’avenue Foch etnouvel accès à la gare par la rue des Perrières sont autant de modi-fications qui resteront en vigueur à l’automne 2012.

BOUGEZ MALIN ! Pour vous accompagner dans cette nouvelle orga-nisation de la ville et vous permettre de circuler malin pendant les

travaux, toute une palette de moyens d’information est à votre dispo-sition : site Web dédié, Maison du tram, permanence téléphonique,médiateurs, plaquettes infos-travaux… À l’aube de cette montée enpuissance du chantier, le Grand Dijon, soucieux de permettre à tousl’accès aux commerces et aux équipements, a aussi édité une cartedu centre-ville (voir encadré ci-dessus) qui donne toutes les clés d’undéplacement réussi : choix de l’itinéraire, solutions de stationnement– dont le bon plan « J’ai le ticket avec mon commerçant » –, intermo-dalité… Évidemment, sur le terrain, il faut toujours vous laisserguider par les panneaux, repérables grâce à leur fond jaune et à Tdi,la mascotte du tram.

ENTREZ, GRATTEZ, GAGNEZ ! Du côté des commerçants du tram, çabouge aussi en avril avec le grand jeu Amstramgrat’ : une chance augrattage en magasin, une chance au tirage au sort le 2 mai prochainet des milliers de cadeaux à gagner  ! Vous avez jusqu’au samedi16 avril pour tenter votre chance et collectionner les cartes de jeuauprès de quelque 500  commerçants. Alors, plus une minute àperdre, c’est à vous de jouer ! Consultez votre plan de circulationmalin. En voiture, suivez la signalétique et garez-vous dans l’un desparkings de la ville, ou adoptez l’une des solutions proposées enmode de déplacement doux. Vous arrivez alors devant une vitrine demagasin. Elle porte l’affiche Amstramgrat’. Laissez-vous tenter  :entrez, grattez, gagnez !

L’INFO CHANTIER SUR TOUS LES FRONTS

NOUVEAU : sortie du plan de circulation du centre-villede Dijon et des astuces pour bouger malin pendant lestravaux du tram. Il sera distribué début avril avec lemagazine du Grand Dijon. Vous pouvez aussi le téléchargerou obtenir plus de détails grâce à tous les relaisd’information du tram :

> www.letram-dijon.fr

> numéro vert Allô Tram (gratuit) : 0800 13 2013

> La Maison du tram, place Darcy à Dijon, ouverte dumardi au samedi de 12 h à 19 h

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Qui dit construction de la plate-forme, dit pose des rails. Celle-ci a débuté dès le mois de mars sur le boulevard Trimolet.Étape clé du chantier, elle marque une avancée concrète du

projet : les travaux progressent, vite, et ça se voit. Le 11 mars, pourcélébrer l’événement, François Rebsamen, président du GrandDijon, a symboliquement mis le feu à la charge de la premièresoudure de deux rails devant un parterre de près de 400 personnes.À deux pas de la future station des Grésilles, élus, riverains et unebonne partie des membres de l’équipe tramway se sont réunis poury assister. Moment de rassemblement convivial, petit instant derépit au cours duquel le chantier s’est assoupi… pour mieuxreprendre son souffle et repartir de plus belle dans la foulée. Car ilreste encore… 4 443 soudures à réaliser, au millimètre près !

UN PREMIER RAIL A ÉTÉ SOUDÉLA MI-TEMPSDU CHANTIER A SONNÉ

Température : 1 200 °C !Les rails sont soudésau 10e de millimètre parcoulée de métal en fusion.

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DE L’AMBITION ÉCOLOGIQUE À LA SOLIDARITÉ POUR TOUS, LA VILLE, EN DIX ANS, S’EST TOTALEMENT RÉINVENTÉE.CAPITALE RÉGIONALE AU STATUT CONFORTÉ,ELLE PEUT AUJOURD’HUI PRÉTENDRE À TOUS LES AVENIRS.10 ANS

QUE L’ON SÈME

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Élie Decrion 33 ANS

Depuis quatorze ans que j’habite à Dijon, la ville est deplus en plus agréable à vivre. Au niveau des services, destransports, des parkings – même si actuellement ce n’estpas commode. J’ai découvert de magnifiques monumentsà prendre en photo. C’est ma passion de photographier,par exemple, les maisons à colombages ou l’église dela Maladière en pierre rose, le fort de Varois, mais aussiau parc de la Toison-d’Or. Je trouve juste que la placedu Trente n’est pas assez mise en valeur et que le tourdu marché devrait être piéton.

Jean-Pierre Boirin 63 ANS

La place de la Libération a complètement changé etle secteur piétonnier s’est étendu. C’est une totale réussitequi a changé la vie citadine, comme le fera à son tourle tramway. Ce sont quelques-unes des transformationsmajeures de la cité, comme à l’époque du chanoine Kirqui fut aussi un grand aménageur avec le lac, les facultésou l’hôpital aujourd’hui transformé. La Piscine olympiqueet le développement de zones d’activités sont aussià mettre au compte de l’équipe qui conduit de tels projets.

Marie-Christine Oudard61 ANS

Ce que j’apprécie, ce sont les spectacles, très peuchers ou pour la plupart gratuits, par exemple lesconcerts au musée des Beaux-Arts dans le cadre des« Activités pour tous ». À l’Auditorium, l’offre dedernière minute à 5 euros est très alléchante, mêmes’il faut arriver une heure à l’avance. En revanche, jetrouve que le marché est devenu moins populaire ;il n’y a plus de « petits prix » en fin de matinée.La suppression de la sortie de parking, rue du Bourg,a aussi fait un bien infini. Mais le dimanche, Dijonmériterait d’être plus animée.

Chaïma Zenasni 18 ANS

Ce sont les avantages de la navette Diviaciti,que je trouve très conviviale. Ce mode detransport m’est devenu indispensable. De plus,c’est gratuit ! Je l’emprunte avant 7 heuresdu matin pour me rendre au travail, et mêmeplusieurs fois par jour pour aller d’un endroità un autre plus vite et plus facilement qu’avecle bus, souvent bondé. Les usagers ont prisl’habitude de se saluer et aussi de remercierle chauffeur. C’est une courtoisie qui devraitpartout aller de soi.

Parolesde Dijonnais

QUEL CHANGEMENT VOUS A LE PLUS MARQUÉ DEPUIS CES DIX DERNIÈRES ANNÉES ?

Valérie Maitrias 35 ANS

La disparition des casernes a libéré de grands espaces pour y recréerdes lieux de vie avec commerces, parkings, espaces verts, facilités dedéplacement, comme vers la rue du Drapeau où j’ai habité. L’ancienneusine Urgo, dans le quartier de Jouvence, a aussi été transformée, maisavec beaucoup moins de bonheur car les immeubles sont en vis-à-visdirect, sans verdure. En revanche, le quartier du Parc, où j’habite, estune zone qui a été préservée avec de la mixité sociale.

Inauguration de la place de la Libération avec la compagnie Malabar, le 1er juillet 2006.

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NOTRE AVENIR AUJOURD’HUIL’ÉCOLOGIE

La tour Elithis està l’avant-garde mondialedes bâtiments tertiairesà énergie positive. Unestructure qui séduit lessociétés en quête d’unevisibilité optimale ets’intègre parfaitementà la nouvelle cité desaffaires « Clemenceau ».

Le tonnage de déchets triés depuis 2001(bacs jaunes) sur le Grand Dijon s’élèveà 115 718 tonnes. Un chiffre passé de903 tonnes en 2001 à 15 527 tonnes en2010 pour l’ensemble de l’agglomération.

Pas moins de 25 km debandes cyclables sontouvertes à la circulationdes deux-roues, auxquelss’ajoutent 10 km de“contresens” dans lecentre-ville, 22 km depistes proprement diteset 5 km de voies vertes.Avec l’arrivée du tramway,Dijon bénéficiera de90 km de voies cyclables.

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CRÉATION DEPISTES CYCLABLES

17 FOIS PLUS DE TRI SÉLECTIF

INAUGURATIONDE LA TOUR ELITHIS

DEPUIS 2001

DEPUIS 2001

AVRIL 2009

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DIJON RÉFÉRENCE ÉCOLOGIQUE PANORAMALabels et projets : adoption de l’éco-PLU (plan locald’urbanisme) en vue d’une meilleure approcheenvironnementale de l’urbanisme, et d’un Plan climat-énergie territorial (PCET) dont la finalité première estla lutte contre le changement climatique, reconnu parle label européen Cap Cit’ergie.

Programme d’écoquartiers et de bâtiments à basseconsommation d’énergie : édifices écologiques, dontle dépôt bus-tramway et la tour Elithis ; constructionou réhabilitation selon les nouvelles normesenvironnementales du groupe scolaire Montmuzard,du gymnase de l’école Flammarion ou encore du muséedes Beaux-Arts…

Une attention à l’économie d’énergie : le palais dessports Jean-Michel-Geoffroy chauffé par une chaudièrebois-énergie ; un futur réseau de chaleur construitparallèlement aux travaux du tramway, alimenté par deuxchaufferies biomasse…

Des déplacements économes : navettes-relais Diviaciti ;extension du secteur cyclable et piétonnier ;développement de l’usage quotidien du vélo ; réalisation du tramway suivant les principaux fluxde déplacements urbains…

Des initiatives écocitoyennes au quotidien : neufcommissions de quartier, dotées d’un budget pourdes initiatives écocitoyennes ; éducation à l’environnementpar le biais du projet éducatif local, de la Maison del’environnement Latitude 21 et du Muséum ; produits bioet locaux pour les restaurants scolaires ; promotionde la consommation de l’eau du robinet avec la carafeLa Dijonnaise ; gestion sans pesticides des espaces verts,trottoirs et voirie où une flore adventice renaît aux piedsdes arbres d’alignement ; fauchage tardif des parcspréservant la biodiversité…

Des déchets triés et recyclés : collecte des déchets parbacs et composteurs fournis par le Grand Dijon ; centrede tri de déchets ménagers ; mise aux normes de l’usined’incinération ; télérelevé des compteurs d’eau contreles fuites…

7 j/7 et 24 h/24, le service Velodi de locationde vélos sur courtes distances relie à coupsde pédales 40 destinations différentes. Déjà854 000 vélos empruntés par les Dijonnais ettouristes. S’y ajoutent les locations longuedurée de DiviaVélo et les 19 km de pistessupplémentaires le long des lignes dutramway. Bientôt, 140 km de voies cyclablespour toute l’agglomération.

Après deux ans et demi de travaux,le tramway fonctionnera à l’électricité.Son impact écologique ne se fera pasattendre, au rythme prévu de90 000 usagers par jour. Cette nouvellevision globale des transports encommun, initiée il y a dix ans,métamorphosera Dijon, favorisant aussiles liaisons entre quartiers, centresd’activités et grands équipementsurbains à partir de la gare multimodaleoù convergeront bus, cars, piétons,vélos, tramways et trains.

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LANCEMENT DE VELODIFÉVRIER 2008

OBJECTIF TRAMDÉBUT 2010

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POUR LES PETITSDE GRANDS PROJETS

La nouvelle cuisine produitchaque année 126 000 baguettesqui, mises bout à bout, pourraientfaire un collier de 18 rangs autourdu lac Kir ! Voilà de quoi laisserinterrogateur plus d’un enfant quifréquente un restaurant scolaire.Chaque année, environ 1 millionde repas sont confectionnés à lanouvelle cuisine de Dijoninaugurée en 2005. La quantitéest devenue synonyme de variétéet d’exigence diététique, avec despetits plats « faits maison » etdes menus bio, favorisant aussiles circuits courtsd’approvisionnement.

En septembre 2010, la restauration scolaire, les activités du centremunicipal d’initiation sportive (CMIS) et le service « Vacances pourceux qui restent » ont adapté leur tarification aux revenus et à lastructure des familles. Les crèches, les haltes-garderies, les accueilspériscolaires des enfants avant et après la classe ainsi que lesmercredis et pendant les vacances en bénéficiaient déjà depuisplusieurs années.

De 785 en 2001 à 1 113 aujourd’hui, ce sont 328 placessupplémentaires qui ont été crées dans les crèchesde l’agglomération, avec entre autres, la maison dela petite enfance Delaunay, le centre multi-accueildes Varennes et de Junot, la crèche Roosevelt,les haltes-garderies Fontaine-d’Ouche, Bourroches…

NOUVELLE CUISINECENTRALE

DE NOUVELLES CRÈCHES

CRÉATION D’UNE TARIFICATION ADAPTÉE AUX REVENUS

AOÛT 2005

DEPUIS 2001

DEPUIS 2004

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+ 31,4 %Le nombre d’enfants inscritsdans les restaurants scolairea progressé de 12 % entrel’année scolaire 2000-2001et l’année 2009-2010, et lenombre de ceux qui y mangenttous les jours a progresséde 31,4 %. Ce sont aujourd’hui5 960 élèves qui dégustentquotidiennement les repasservis par la cuisine centrale(soit 58 % des enfantsscolarisés), quand ils n’étaientque 4 535 en 2001.

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Les petits Dijonnaisbénéficient aussi d’unaccompagnement en dehorsdes temps scolaires.Concrétisées dans le cadredu projet éducatif local(PEL), des initiations et desactivités variées sontproposées : culturelles,scientifiques,technologiques ou sportives,elles sont en lien avec lesprojets pédagogiques desécoles, où une éducationà l’environnement et à la sécurité routière estnotamment dispensée.

La ville a obtenu le label« Ville-santé » de l’OMS dès2002. Une reconnaissance,notamment, de ses actionsde sensibilisation tout aulong de l’année, tel lebrossage des dents dèsle plus jeune âge, avec lesconseils d’un chirurgiendentiste. Une initiative dela ville avec l’Unionfrançaise pour la santébucco-dentaire 21, la CPAMet l’Éducation nationale.

7 millions d’euros sont consacrés chaque année à la rénovation des écoles. De nombreux groupesscolaires ont déjà bénéficié de ces crédits : Alsace, Baudelaire, Darcy, Drapeau, Jean-Jaurès 2,Mansart, Monts-de-Vigne, Varennes, Voltaire, Flammarion, York, Ouest, Valendons, Colombière,Alsace, Darcy, Champs-Perdrix, Victor-Hugo, Buffon et, dernier en date, Montmuzard (photo),où un nouvel établissement a été construit selon les normes environnementales de basseconsommation. En 2011, les interventions porteront principalement sur Champs-Perdrixet Montchapet maternelle.

DEPUIS 2001

+ DE SANTÉNOVEMBRE 2002

RÉUSSITE ÉDUCATIVE

RÉNOVATION ET CONSTRUCTION DES ÉCOLES

DEPUIS 2004

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POUR TOUSUNE VILLE

DÉMOCRATIE PARTICIPATIVE :VOUS AVEZ LA PAROLE

Constitués en 2002, les conseils de quartier sontdes éléments structurants de l’action citoyenne.Leurs membres, désignés par tirage au sort,disposent d’un budget pour faire aboutir lessuggestions de leurs concitoyens : une fête dequartier, par exemple, ou un aménagementurbain. Grâce à leurs budgets participatifs, lesconseils de quartier ont permis la mise en placede nombreux projets, tels que la mise en valeurde la Plaine de loisirs et du square Henri-Giraud,l’aménagement du terrain de jeux allée de laSaône, la pose de bancs dans le quartierMontchapet, de panneaux dynamiques rue deJouvence ou encore l’installation de toilettessèches au parc du château de Pouilly.

Lieu d’expression offert aux adultes de demain, le conseil municipal d’enfants(CME), mis en place en novembre 2002, est une assemblée renouvelée tous lesdeux ans où siègent 64 enfants dijonnais, élus en classe de CM1 ou de 6e. Ici,les jeunes du mandat 2010-2012, tous avides de participer, eux aussi, à la viede leur ville.

Sociaux, culturels ou administratifs, les services de proximité activentla solidarité entre tous. Labellisée « Ville-amie des aînés », réseau initiépar l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Dijon s’engage à améliorerle quotidien des seniors et à contribuer à la cohésion entre toutes lesgénérations. Que faut-il réinventer pour échapper à l’isolement et participeractivement à la vie de la cité ? Une question qui concerne tous les Dijonnais,dont 33 000 d’entre eux auront plus de 60 ans en 2015.

Les parcs sont de tout temps de hauts lieux populaires.Celui des Grésilles, par exemple, bat à l’unissonmulticulturel le temps de sa grande fête de quartier.D’autres manifestations intergénérationnellesinvestissent aussi jardins, squares et places. Un grandnombre de rendez-vous festifs et gratuits, comme « DijonPlage », attirent une foule impressionnante sur les bergesdu lac Kir. Et pour le concert de rentrée, la placede la Libération ne désemplit pas.

DEPUIS 2002

MISE EN PLACE D’UN CONSEIL MUNICIPAL D’ENFANTS

+ D’ANIMATION DANS LES QUARTIERS

LANCEMENT DU PROGRAMME VILLE-AMIE DES AÎNÉS

NOVEMBRE 2002

OCTOBRE 2010

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ALLÔ MAIRIE

32 200INTERVENTIONSSUR DEMANDELes appels passés à Allô Mairie (0 800 21 3000), le numérogratuit de la mairie, crééen septembre 2003 pour signalerdes dysfonctionnements ou obtenirdes renseignements, a généré prèsde 32 200 interventions : réparationde feux de circulation ou de l’éclairagepublic, effacement de tags,amélioration de la chaussée, etc.

11 210 000 euros, c’est le montant dessubventions accordées en 2010 aux600 associations aidées (+ 21 % parrapport à 2001) sur les quelque1 800 associations locales.Une augmentation de l’aide de 41 %par rapport à 2001. De nombreusesassociations ont par ailleurs éludomicile à la Maison des associationssituée rue des Corroyeurs etparticipent chaque année au GrandDéj’ des associations.

Les Dijonnais de plus de60 ans se retrouventà l’occasion des fêtes de find’année pour partagerun repas offert par lamunicipalité. Une initiativequi réunit désormaisquelque 3 000 convivessur deux jours.

Le quartier de la Fontaine- d’Ouche s’est doté d’une maisonde quartier. Un nouvel endroit de rencontres et d’échanges,qui répond aux souhaits des habitants du quartier. Celuide la Toison-d’Or est, quant à lui, équipé depuis 2007d’une mairie annexe.

+ 41 % D’AIDESAUX ASSOCIATIONS

1er REPAS DES AÎNÉS

MAISON DE QUARTIER

DEPUIS 2001

DÉCEMBRE 2001

JUIN 2006

Le dispositif Panda (Points d’accèsnumériques de Dijon et sonagglomération) permet de s’initierà l’informatique et de l’utiliserpour un coût modique. De 5 sitesà leur ouverture en 2004, ils sontpassés aujourd’hui à 9. Plus de600 personnes les fréquententchaque année.

CRÉATION DES « PANDA »MAI 2004

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NOUVEAUX ÉCHANGESVERS DE

155 340HABITANTSGrâce à sa politique du logement, la villea gagné 1 882 habitants par rapport aurecensement de 1999. Dijon se classedésormais au 18e rang des grandes villesde France avec une population totalede 155 340 habitants et enregistre,depuis 2001, 48 801 naissances (+ 33 % par rapport à la décennie précédente).

Au cours de la dernière décennie, 3 300 logements à loyer modéré ontété réalisés à Dijon, et le parc aidé représente 16,5 % des résidencesprincipales. Dijon compte désormais 78 300 résidences principales dont12 700 logements locatifs à loyer modéré. En projet, la construction de1 000 nouveaux logements par an à Dijon, dont 440 à loyer modéré, surun total de 1 700 à l’échelle du Grand Dijon, dont 680 à loyer modéré.Ici, l’écoquartier – ou quartier écologique – Junot est une conceptionurbaine nouvelle qui privilégie la mixité sociale fondée non sur degrands ensembles, mais sur un habitat varié. Bien desservi par lestransports en commun, les commerces de proximité et les servicesà la personne, ils privilégient en outre le cadre de vie etl’environnement par des constructions à basse consommationd’énergie. D’ici à 2020, une dizaine d’entre eux redessineront la ville.

CONSTRUCTION DE LOGEMENTSDEPUIS 2001

> 660 logements dont prèsde 200 locatifs

> 1 500 habitants> 1 500 m2 de surface réservée

aux commerces de proximitéet aux services

> 1 crèche halte-garderie de 60 places

> 1 gymnase

PREMIÈRES LIVRAISONSAU QUARTIER JUNOT

AVRIL 2007

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Plusieurs grands projets structurant l’agglomération

dijonnaise aboutiront d’ici à 2013 : la LIAISONINTERCOMMUNALE NORD-OUEST (Lino),

achevant le contournement de Dijon vers l’A31 et l’A38 ;

l’achèvement de l’hôpital BOCAGE CENTRAL ;

la mise en circulation du TRAMWAY…

Complétant les nouvelles lignes régulières

de l’AÉROPORT DIJON-BOURGOGNE,

la LIGNE À GRANDE VITESSE (LGV) Rhin-Rhône

est annoncée pour le 11 décembre 2011.

Plus d’une centaine d’hectaresde zones d’activités ont étéaménagées en périphérie de la ville.L’implantation d’Ikea au parc Capnord a par exemple impulséla reconversion d’une fricheindustrielle et l’extension de la zonevoisine. Au nord, le parc Valmys’étend progressivement.Proche de l’université et du CHU,le technopôle Mazen-Sully regroupedes entreprises innovantes, commela société Oncodesign, en lien avecla recherche médicale.

+ DE ZONES D’ACTIVITÉS

EN 10 ANS

DÉBUT DES TRAVAUX DE LA LINO

NOVEMBRE 2006

TRANSFERT DES SERVICES DE L’HÔPITALGÉNÉRAL AU BOCAGE CENTRAL

FÉVRIER 2011

AÉROPORT : VOL INAUGURAL DELA COMPAGNIE EASTERN AIRWAYS

SEPTEMBRE 2010

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ET LES JAMBESLA TÊTE

La salle d’escalade CimeAltitude 245 est un des nouveauxpoints d’attractivité du quartierdes Grésilles.

Après plusieurs mois de travaux, la piscineolympique, située aux Portes de Mirande, a ouvertle week-end du 1er mai 2010. Un centre aquatique« haute qualité environnementale » (HQE), dontles trois bassins, la fosse à plongée de 20 m etl’espace sauna-hammam permettent de satisfaireles envies sportives comme de détente.

En septembre 2007, FrançoisRebsamen posait la premièrepierre du futur Grand Stade.Les deux virages nord et sud,non protégés, ont été raséspour laisser place à deuxtribunes couvertes. La nouvelletribune nord est inaugurée enmai 2009 (photo), la tribune sudfin 2010. Cette rénovation portela capacité d’accueil du parcmunicipal des sports Gaston-Gérard à 16 000 spectateurs.

MAI 2009

OUVERTURE DE LA SALLE D’ESCALADE

INAUGURATION DELA TRIBUNE NORD

OUVERTURE DE LA PISCINE OLYMPIQUE

MARS 2010

MAI 2010

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1 400 000SPECTATEURSC’est le nombre de personnes accueilliesau Zénith depuis son inauguration en 2005.Entre soirées de gala, soirées événementielles,sport, spectacles, concerts, cirque ou patinage,la configuration modulable de la salle permetde recevoir jusqu’à 7 800 personnes.

Comme chaque année, les bergesdu lac Kir sont aménagées pourcréer un espace de détente trèsapprécié de tous.

La ville offre chaque année auxDijonnais, début septembre, surla place de la Libération, un grandconcert de rentrée mêlant artisteslocaux et « pointures » internationalesde la musique actuelle. En 2009, cesont Vitalic (photo) et le DJ Bob Sinclarqui entraînaient la foule dans leurunivers électro.

Inauguré enoctobre 2005 avec legroupe Texas, le Zénithaccueille depuis lesplus grands talents,de Polnareff à DeepPurple, de Ben Harperau Cirque de Moscou,de la nuit techno « Livefrom Staps » à Holidayon Ice… La conceptionarchitecturale de cettejauge de 7 800 placesinnove aussi en matièred’économie d’énergiepar son système deventilation naturelleet ses panneauxphotovoltaïques.

LANCEMENT DIJON PLAGE

1er CONCERT DE RENTRÉE

OUVERTUREDU ZÉNITH

JUIN 2004

SEPTEMBRE 2002

OCTOBRE 2005

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MURS ET MERVEILLESLe réseau d’équipements et d’infrastructures est à lahauteur de Dijon et de son statut de capitale régionale :

La médiathèque Champollion : ouverte en 2007, c’est la dernière née du réseau des huit bibliothèques,disposant d’un espace multimédia.

La bibliothèque La Nef : déménagée au rez-de-chaussée de l’ancienne église Saint-Étienne,la bibliothèque centre-ville adultes dispose d’unespacieuse salle de lecture et accueille expositionset animations culturelles.

La piscine olympique : des bassins pour toutes lescompétitions et activités, du bébé nageur à la plongée …

La salle d’escalade Cime Altitude 245, aux Grésillesavec un pan adapté aux personnes à mobilité réduite.

Le Dijon Skate Parc : une aire de street et une pistede 150 m, auxquelles s’ajoute le plateau de roller et de skate à la Fontaine-d’Ouche.

Des terrains de beach-volley au lac Kir et à la piscinedu Carrousel.

Les nouvelles tribunes du Grand Stade.

Quinze terrains et miniterrains de football en gazonsynthétique, dont ceux des stades d’Épirey, de laFontaine-d’Ouche ou des Poussots.

Neuf gymnases et 30 plateaux d’évolution intégrés auxgroupes scolaires, en plus des très nombreux terrainsde jeu en libre accès, du stade Bourillot à la Combe à la Serpent (gymnase Junot et des Grésilles en 2006).

3,3 MILLIONSDE VISITEURSDepuis 2001, on totalise pas moins de 250 000 visiteurs au Muséearchéologique, 400 000 au musée de la Vie bourguignonne et d’Artsacré, plus d’1 million au Muséum et 1,6 million au musée desBeaux-Arts. Depuis 2006, l’entrée dans les musées est par ailleursgratuite pour toutes les expositions permanentes.

En 2013, après leur échappée américaine, les Pleurants feront un retour sans nuldoute triomphal au musée des Beaux-Arts… La renaissance des lieux entretiendra unsubtil dialogue entre l’âge d’or de la Bourgogne artistique et de nouvelles collectionsplus contemporaines. Le musée restera gratuit pour tous et s’ouvrira sur la ville,la cour de Bar devenant le cœur du projet prolongé jusqu’au square des Ducs.En mars 2011 a débuté la deuxième phase de la première tranche des travaux.Le musée reste ouvert pendant les travaux.

La médiathèque Champollion ouvre sesportes. Plus qu’une simple médithèque, cetéquipement culturel de 1 900 m² comprendle centre multimédia, une Médiathèque deprêt et une grande salle d’animation.

MUSÉE RÊVÉ, MUSÉE EN CHANTIER

OUVERTURE DE LA MÉDIATHÈQUE

MAI 2008

SEPTEMBRE 2007

Page 29: Dijon mag avril 2011

| 29 |

RÉCOMPENSÉSDES EFFORTS

Reconnaissance

CAP CIT’ERGIE 2010

Label

« VILLE D’ART

ET D’HISTOIRE »

du ministère

de la Cultureen 2008

Prix FONDATION

ABBÉ-PIERRE

pour le logement

en 2008

3e VILLE LA PLUS SPORTIVE

de France en 2007

1er prix

« SPORT, FILLES ET CITÉS »

du ministère des Sports en 2008

Lauréate du

PRIX ARTURBAIN.FR

en 2006 pour la place

de la Libération

Trophée

ACCESSIBILITÉen 2003

Grand Prix du

FLEURISSEMENT

NATIONAL

en 2001, 2004,

2007 et 2010

MARIANNE D’ORde l’Environnement et

du Développement

durable en 2007

Label

« VILLE-AMIE

DES ENFANTS »

d’Unicef France et de

l’Association des

maires de France

depuis 2006

Label

« VILLE-SANTÉ »

de l’Organisation

mondiale de la santé

(OMS) depuis 2002

RUBANS DU PATRIMOINE

En 2008, prix départemental

pour la rénovation de

la chapelle des Élus

En 2007, prix régional pour

la rénovation des frontons

du Palais des Ducs

Label

« QUATRE FLEURS »

en 2010

Ville INTERNET 3@

depuis 2006

TERRITOIRE

DE COMMERCE

ÉQUITABLEen 2009

Label

« VILLE-AMIE DES AÎNÉS »

de l’Organisation mondiale

de la santé (OMS) en 2010

Grand prix du

CONCOURS NATIONAL

DES VILLES 2010

pour sa politique

en faveur des aînés

Coup de cœur du jury au

Grand Prix CAP’COM 2010

pour « Dijon Must’Art »

Oscar national aux

FLORALIES DE PAU

en 2010

VILLE LA PLUS ATTRACTIVE DE FRANCE

(palmarès du magazine L’Entreprise)

en 2004 et 2005. Et depuis, toujours

sur le podium

Prix « SUSTAINABLE ENERGY »

de l’Union européenne

Depuis 2001, la ville a obtenu de nombreux labels et distinctions

Page 30: Dijon mag avril 2011

| ça nous concerne |

RYTHMES SCOLAIRES

DIJON ALIMENTE LE DÉBAT

La semaine de 4 jours mise en place il y a deux ans dans les écoles élémentaireset maternelles génère-t-elle une plus grande fatigue chez les enfants ? Alertéesur ce thème par certains enseignants et des personnels qui travaillent aux côtés

des élèves, la ville de Dijon a souhaité en savoir plus, afin d’alimenter également le granddébat national qui donnera lieu à des décisions du ministère de l’Éducation en juinprochain. Une enquête municipale, conduite mi-2010 auprès de 10 000 personnes, parents et pro-fessionnels, fournit un certain nombre d’éléments de réponse. Si la grande majorité desprofessionnels considère les journées comme étant trop longues et sources de nervositéet d’inattention chez l’enfant, les parents sont plus partagés, appréciant notamment lefait d’avoir pour la famille un week-end complet. Tous concordent néanmoins, et dansune très large proportion, sur un point : les grandes vacances estivales pourraient êtreraccourcies pour alléger les journées de scolarité.

CENTRE MULTIMÉDIA

PANDA : RESTEZ BRANCHÉS

Le Centre multimédia de Dijon, installé à la médiathèque Cham-pollion et gestionnaire des 9  points d’accès numériques deDijon et son agglomération (Panda), multiplie les initiatives

pour permettre au plus grand nombre de se familiariser avec l’outilInternet. Pour seulement 8 euros d’abonnement annuel (4 euros autarif réduit), pas moins de 40 initiations différentes sont proposées. Les dernières nouveautés concernent, entre autres, le centre PandaUniversité, hébergé à la faculté des sciences et techniques. Depuiscette année, une formation spécifique à la 3D et à l’intelligence arti-ficielle y est dispensée. Au Centre multimédia, un espace d’autofor-mation a ouvert en septembre dernier et permet d’apprendre, parexemple, le code de la route ou encore 24  langues étrangères,jusqu’au swahili. Depuis janvier, le service de CV personnalisé béné-ficie de travaux pratiques afin de rendre complètement autonomes lesdemandeurs d’emploi.Centre multimédia – 14, rue Camille-ClaudelRens. : www.dijon.fr – Tél. : 03 80 73 24 64

La maison de quartier de la Fontaine-d’Ouche a eu la bonne idée de réserver600 m2 sur son terrain à la création de

jardins partagés. Elle satisfait ainsi à unedemande des habitants de ce quartier popu-laire de Dijon, désireux de cultiver un petitbout de terrain ensemble pour récolterfleurs, légumes ou fruits dans un espace

commun, propre à favoriser les échanges.La municipalité engage 30  000  euros detravaux pour aménager avant l’été 62  par-celles de 1,50 m2 chacune, dont deux réser-vées aux personnes à mobilité réduite. Ellefournira en outre les planches qui servirontà délimiter chaque jardin, plantera troisarbres fruitiers et installera un robinet d’ar-

rosage. Les jardiniers amateurs s’organise-ront ensuite avec la maison de quartier pouragencer leur parcelle et l’entretenir sous lesconseils avisés d’un animateur.Rens. : Maison de quartier de la Fontaine-d’Ouche2, allée de GrenobleTél. : 03 80 45 45 26

JARDINS PARTAGÉS

TERRAINS D’ENTENTE À LA FONTAINE-D’OUCHE

Page 31: Dijon mag avril 2011

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Après quatre-vingt-cinq ans d’existence,et un an d’étude et de

mise en place, l’Office publicde l’habitat Opac de Dijon alancé son site Internet le3  janvier. Il s’adresse enpriorité aux 20  000  familleslocataires, aux partenairesinstitutionnels et aux entre-prises, mais plus générale-ment à toute personne quidésire se renseigner sur l’organisme et ses prestations.L’Office n’oublie toutefois pas son rôle et son importance vis-à-vis d’unepopulation parfois fragile. Les points d’accueil de proximité continuerontde créer un lien social physique avec son public.Le lancement est trop récent pour faire une analyse détaillée, mais le styleinformatif ne demande qu’à évoluer grâce aux suggestions des utilisa-teurs.Rens. : Office public de l’habitat Opac de Dijon www.opacdijon.fr – Tél. : 03 80 71 84 00

MISSION LOCALE

DÉMÉNAGEMENTÀ LA FONTAINE-D’OUCHE

Avant tout, l’esprit de la mission locale se veutpositif ! Patricia Lambert, chargée de communi-cation, insiste beaucoup sur cet aspect. Notre

but est d’offrir un accompagnement global aux 16-25 ans sortis du système scolaire. Nous faisons partied’un réseau qui entoure les jeunes, et pas uniquementceux qui sont en difficulté. Parfois, ils ont juste besoind’un coup de pouce. Pour cela, les services offerts s’ar-ticulent autour de la recherche d’emploi, de la forma-tion et de la vie sociale. Nous fondons notre approchesur le contact humain. Ici, pas de plate-forme télépho-nique, notre porte est ouverte. D’ailleurs, dans l’op-tique de se rapprocher de son public, l’antenne deDijon-Lac déménage à la Fontaine-d’Ouche et enprofite pour changer de nom.Mission locale de l’arrondissement de DijonAntenne de la Fontaine-d’Ouche – 9, allée d’AjaccioRens. : www.mldijon.asso.fr – Tél. : 03 80 43 08 14

VOUS AVEZ PLUS DE 60 ANS…C’EST POUR VOUSEN AVRIL!

JEUDI 7 AVRIL À 14 H 30thé dansant, salle Devosge (7, rue Devosge)

JEUDI 14 AVRIL À 14 H 30après-midi « bien-être »,résidence « Les Marguerites » (2, rue des Varennes)

JEUDI 21 AVRIL À 14 H 30fête du Printemps, salle Devosge (7, rue Devosge)

JEUDI 28 AVRIL À 14 H 30Les Causeries du jeudi : « L’éléphant »,Escale d’Alembert (5, rue d’Alembert)

OFFICE PUBLIC DE L’HABITAT OPAC

ENFIN POSÉ SUR LA TOILE

La prévention. C’est sur ce créneau que veut progresser le service de la direction dela tranquillité publique, qui prend en charge la sécurité aux abords des écoles, l’édu-cation routière et les peu populaires horodateurs.

L’éducation routière s’adresse à tous. En premier lieu aux enfants, qui bénéficient des pro-grammes « Vel’écoles » et « Traj’écoles ». Ils apprennent les bases du code de la route etde la conduite à tenir sur la voie publique, à pied comme à vélo, notamment grâce à la pistemunicipale du pont John-Kennedy. Ce circuit devrait accueillir 1  100  élèves pour la

saison  2011. Un partena-riat avec l’Office des per-sonnes âgées de Dijon(Opad) permet de toucherégalement les seniors. Ilssont sensibilisés, à l’aided’une animation interac-tive, aux risques liés àl’état de santé général età la réactivité du conduc-teur âgé.La prévention, vous dit-on.Rens. : 03 80 74 57 60

PRÉVENTION ROUTIÈRE

JUNIORS ET SENIORSÀ L’HONNEUR

Page 32: Dijon mag avril 2011

Quelle sera la voiture de demain ? Tous les construc-teurs automobiles planchent sur le sujet : véhiculenon polluant, économique… Depuis quelque temps,

le circuit Dijon-Prenois participe à cette démarche écolo-gique en accueillant différents véhicules de coursepréparés à base d’énergies électriques ou de biodiésel. Onva rechercher l’adéquation optimale entre la meilleure per-formance possible et le respect maximal de l’écologie,explique Yannick Morizot, président de la société d’exploi-tation. Le circuit s’investit dans une logique d’économied’énergie et reste très attentif à l’empreinte écologique. Dif-férents aménagements ont été réalisés à cet effet, en par-ticulier en matière de bruit (avec des suppléments de terreà certains endroits stratégiques permettant de réduirel’impact sonore) ou de tri des déchets.Rens. : www.circuit-dijon-prenois.com

L’ensemble des activités aquatiquessur le Dijonnais ne se limite pas à laPiscine olympique. Les piscines du

Carrousel, de la Fontaine-d’Ouche et desGrésilles proposent, elles aussi, un largeéventail d’activités, en direction des sco-laires comme du grand public.Pour les scolaires, la priorité va vers la fami-liarisation au milieu aquatique et à l’appren-

tissage de la natation pour les élèves de lamaternelle au CM2. Pour le grand public, dif-férentes formules sont proposées, telle laformule « Club » avec ses cours d’apprentis-sage jusqu’à la préparation à la compétition.Mais d’autres activités sont aussi proposées(bébés nageurs, plongée, triathlon…), tandisque les seniors se voient proposer des pro-grammes adaptés.

En outre, les bassins dijonnais ont connu denouveaux aménagements : casiers automa-tiques à la piscine du Carrousel et à celle desGrésilles (dès ce printemps), tarifs attractifsà la piscine de la Fontaine-d’Ouche(2,40  euros pour les adultes, 1,20  europour les enfants). Sans oublier les activitésestivales du Carrousel avec son bassindécouvert.

PISCINES MUNICIPALES

BASSINS D’ACTIVITÉS

| sports |

PLANNING DES MANIFESTATIONSDU 12 AU 15 MAI : Super série FFSA(courses voitures de grand tourisme)

DU 27 AU 29 MAI : Coupes MotoLégende (démonstrations motoshistoriques)

DU 3 AU 5 JUIN : Coupes O3Z (coursesd’endurance motos modernes)

DU 17 AU 19 JUIN : Coupes WERC(courses motos modernes)

DU 23 AU 26 JUIN : Grand Prix de l’Âged’or (GPAO, courses voitureshistoriques)

DU 30 JUIN AU 3 JUILLET : Série FFSA(courses d’endurance VHC et GT)

DU 23 AU 25 SEPTEMBRE :Rencontres Peugeot Sport

DU 29 SEPTEMBRE AU 2 OCTOBRE :Trophée historique de Bourgogne

Stade nautique du CARROUSEL 1, cours du Parc Tél. : 03 80 67 20 12

Piscine de la FONTAINE-D’OUCHEAllée de RibeauvilléTél. : 03 80 43 38 19

Piscine des GRÉSILLES1, allée Marius-ChanteurTél. : 03 80 71 37 35

CIRCUIT DIJON-PRENOIS

LES FEUX SONT AU VERT

Page 33: Dijon mag avril 2011

FOOTBALLLES MUNICIPAUX DE DIJON ENPOINTE

Créé dans les années 1950, le club desMunicipaux de Dijon de football

entreprise, fraîchement émancipé del’Association sportive corporative etmunicipale (ASCM), est devenu une asso-ciation. Il pointe en haut du classement duChampionnat national entreprise (CNE)de division CN2, avec une équipe qui a sus’imposer à chacune de ses rencontres.Une victoire contre le FC Caillot de Reimsprochainement permettrait au club uneascension en Championnat national 1. Rens. :http://municipauxdijon.footeo.com

ALLIANCE DIJON NATATIONCHAMPIONNAT DE FRANCEJEUNES

Ce championnat réservé aux jeunesnageurs de 14 à 20 ans s’inscrit dans

une logique d’accession au haut niveau etde préparation de la future élite qui repré-sentera la France sur la scène internatio-nale. Pas moins de 650 nageurs, issus deplus de 200  clubs, sont attendus à laPiscine olympique du Grand Dijon pourcette compétition qui leur permettra dese qualifier pour les championnats deFrance Élite et les championnatsd’Europe juniors.Du jeudi 14 au dimanche 17 avril de 8 hà 19 h – Piscine olympique du Grand DijonPortes de Mirande – 12, rue Alain-BombardRens. : www.dijonnatation.com

TANDEM CLUB DIJONNAISCONCOURS CYCLISTEINTERRÉGIONAL HANDISPORT

L’ensemble des adhérents (compéti-teurs et amateurs) de la Fédération

française de handisport (FFH) est attendudans les trois catégories (handicapsvisuel, physique et auditif) pour participerà cette course comptant pour la qualifica-tion aux championnats de France. Dimanche 17 avril Départ zone industrielle située entreDijon et Saint-Apollinaire dès 10hRens. : 06 71 53 01 41

CONCOURS HIPPIQUESLE SAUT D’OBSTACLESDOUBLEMENT À L’HONNEUR

Du vendredi 1er au mercredi 6 avril auralieu le Concours de saut d’obstacles

national de Dijon, comptant pour les qua-lifications des grandes épreuves régio-nales ainsi que pour le championnat deFrance. Les 5 et 6  avril seront réservésaux jeunes chevaux (de 4 à 6 ans). Dans unsecond temps, se déroulera le Concoursinternational de saut d’obstacles àBonvaux, sur une surface herbe ainsi quesur sable.Du vendredi 1er au mercredi 6 avril de 8 hà 18 h – Concours de saut d’obstaclesnational de Dijon de l’Étrier de Bourgogne Rens. : http://etrierdebourgogne.free.fr Du vendredi 22 au dimanche 24 avrilde 9 h à 19 h – Concours international desaut d’obstacles – Terrain de compétitionde Bonvaux – Daix, route de Troyes,à 7 km de Dijon, direction Darois

ASPTT DIJONMONDIAL DE FUTSALBENJAMINS

Pour la 28e édition du Mondial de futsalbenjamins organisé par l’ASPTT

Dijon, pas moins de 200  enfants de lacatégorie U12 vont en découdre sur leparquet dijonnais. En invités, les clubs deVancouver, Neuchâtel, Copenhague,Prague, mais également Strasbourg,Saint-Étienne ou encore Lyon. Qui succè-dera aux jeunes du Herta Berlin, vain-queurs en 2010 ?Samedi 23 et dimanche 24 avril de 9 h à 19 h Palais des sports Jean-Michel-Geoffroy Rens. : www.aspttdijonfoot.com

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Page 34: Dijon mag avril 2011

| à votre service |

NUMÉROS UTILESAllô Mairie 0 800 21 3000Resto’ Mairie 0 800 21 0519État civil et formalités administratives 03 80 74 53 60Élections 03 80 74 59 03/04/05Ramassage encombrants 0 800 12 12 11Objets trouvés 03 80 74 52 22Police municipale 03 80 74 51 53Police sanitaire 03 80 48 80 60CCAS (centre communald’action sociale) 03 80 74 51 51Opad (Office des personnes âgées de Dijon) 03 80 70 02 03

LES MAIRIES ANNEXESBourroches32, boulevard Eugène-Fyot 03 80 74 52 02Fontaine d’Ouche15, place de la Fontaine d’Ouche 03 80 74 52 00Grésilles6, avenue des Grésilles 03 80 74 52 03Mansart2, boulevard Mansart 03 80 74 52 04Toison d’Or10 bis, place Granville 03 80 48 83 83

TRANSPORTSVelodi 0 800 200 305Divia 0 800 10 2004SNCF 36 35Association artisanale des taxis de Dijon 03 80 41 41 12

URGENCESPolice secours 17Samu 15Pompiers 18Urgences depuis un mobile 112Pharmacie de garde 39 15Urgences gaz 0 810 433 021Urgences EDF 0 810 333 021Urgences techniques Lyonnaise des eaux 0 810 874 874Centre antipoison 03 80 29 37 97Médecin de garde 03 80 40 28 28SOS Médecins 03 80 59 80 80SOS Médecins consultations 36 24SOS 21 (visites, urgences médicales) 03 80 78 68 68Urgences dentaires dimanche et jours fériés 03 80 48 26 59Accueil sans-abri 115SOS Amitié 03 80 67 15 15

SOS Kiné 03 80 53 70 00SOS Mains 03 80 44 48 46SOS Vétérinaire 0 811 88 99 88Centre de soins infirmiers 03 80 41 66 66Drogue, alcool, tabac info service 0 800 23 13 13Sida info service 0 800 840 000Alcooliques anonymes 24h/24 03 80 30 27 00Allô Enfance maltraitée 119Violences faites aux femmes 3919Solidarité Femmes 21 03 80 67 17 89

MÉDIATION FAMILIALEDepuis les réformes sur l’autorité parentale (loi du 4 mars 2002) et ledivorce (loi du 26  mai 2004), le juge aux affaires familiales peut désormais, après avoir recueilli l’accord des personnes, recourir à lamédiation familiale afin que, dans l’intérêt de l’enfant, elles trouventpar elles-mêmes une issue à leur conflit. Proposée initialement auxparents séparés, la médiation familiale s’adresse aujourd’hui à lafamille dans sa diversité : parents, jeunes majeurs, grands-parents,fratrie, familles recomposées, et concerne la séparation aussi bienque la succession, la prise en charge d’une personne âgée, etc.Le médiateur familial, professionnel qualifié, indépendant, sanspouvoir de décision, assure aux personnes un cadre confidentiel favo-risant la communication. Il permet entre autres aux parents,lorsqu’ils ne sont plus en mesure, à un moment de leur vie, de dialo-guer pour résoudre leurs difficultés, de s’exprimer et de mettre enplace les conditions indispensables de l’autorité parentale conjointe.Des permanences d’information sont organisées par les services demédiation familiale de Côte-d’Or les lundis, mardis, mercredis etjeudis de 9 h 30 à 12 h à la Cité judiciaire (entresol escalier 1), boule-vard Georges-Clemenceau.Rens. : Centre de médiation Côte-d’Or – Cité judiciaire 13, boulevard Georges-Clemenceau – Tél. : 03 80 70 45 70Espace médiation familiale – Caisse d’allocations familiales 31, rue Félix-Vionnois – Tél. : 03 80 67 12 64 – www.caf.frFamille et médiation – 10, boulevard Rembrandt Tél. : 03 80 72 08 83 – www.mediation-familiale.orgwww.apmf.eu

SOLIDARITÉ FEMMES 21Contre toutes les violences faites aux femmes, pour l’égalité et lerespect entre les femmes et les hommes, Solidarité Femmes  21accueille et écoute les femmes. L’association les accompagne dansles démarches sociales, juridiques, d’hébergement, mais proposeégalement des groupes de parole, des ateliers pour les enfants ou desateliers d’art-thérapie. Depuis 2005, Solidarité Femmes est aussi unorganisme de formation et propose à ce titre plusieurs types d’inter-ventions : des formations de sensibilisation ou d’approfondissementsur les questions liées aux violences conjugales ; des modules dansdes formations construites par d’autres (exemples : centre de forma-tion de la police, Creai, Irtess).Solidarité Femmes 21 – 4, rue Chancelier-de-l’HospitalTél. : 03 80 67 17 89 – Courriel : [email protected] à la Maison de la solidarité (centre commercialde la Fontaine-d’Ouche, niveau haut) le vendredi matin. Rens. : 03 80 45 99 80

Page 35: Dijon mag avril 2011

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LOGEMENTS À LOYER MODÉRÉICF SUD-EST - MÉDITERRANÉEImmeuble Mazarin10, avenue Foch – 21000 DijonTél. : 03 80 45 90 40www.sud-est-mediterranee.fr

OFFICE PUBLIC DE L’HABITAT OPAC DE DIJON2 bis, rue Maréchal-LeclercBP 87027 – 21070 Dijon cedexTél. : 03 80 71 84 [email protected] de location 3, rue Chaudronnerie Tél. : 03 80 71 73 80

ORVITIS (OFFICE PUBLIC DÉPARTEMENTAL)Siège : 17, boulevard Voltaire BP 90104 – 21001 Dijon Cedex Tél. : 0 810 021 000 (prix d’un appel local) www.orvitis.frAgence Espace habitat : place des Cordeliers – Tél. : 0 810 021 000

SCIC HABITAT BOURGOGNELe KatamaranParc Valmy – 41, avenue Françoise-Giroud BP 30428 – 21004 Dijon Cedex Tél. : 03 80 50 56 50 – Courriel :[email protected]

SOCIÉTÉ NATIONALE IMMOBILIÈRE (SNI)5, rue des Perrières Tél. : 03 80 76 84 44 www.sni.fr

VILLÉO (ANCIENNEMENT LE FOYER DIJONNAISET NÉOLIA BOURGOGNE)28, boulevard Clemenceau – BP 3031221003 Dijon Cedex – Tél. : 03 80 68 28 [email protected]

avEEc LELEJ’aGIs

c’est pour la vie !

GRAND DIJON40, avenue du Drapeau – BP 17510 – 21075 Dijon cedex

DÉCHETTERIESLes déchetteries sont fermées les 1er janvier, 1er mai et 25 décembre.

QUETIGNY – Bd de la Croix-Saint-Martin – Tél. : 03 80 71 03 13

DIJON – Rue Alexander-Fleming – Tél. : 03 80 23 94 94

CHENÔVE – Rue de Longvic – Tél. : 03 80 58 87 32

MARSANNAY-LA-CÔTE – Chemin rural n° 15, dit « chemin des Vaches »

LONGVIC – Rue Jules-Guesde. Seule déchetterie habilitée à recevoirl’amiante-ciment (tuyaux, plaques planes et ondulées…) – Tél. : 03 80 68 03 91

HORAIRES D’HIVER (jusqu’au 30 avril)

du lundi au vendredi 9h-12h et 14h-18h le samedi 9h-13h et 14h-18h le dimanche 9h-12h

sauf Marsannaydu lundi au vendredi 9h-12h et 14h-17hle samedi 9h-13h et 14h-17h le dimanche 9h-12h

NUMÉROS UTILESAccueil Grand Dijon 03 80 50 35 35Allô Tram 0 800 13 2013Usine d'incinération 03 80 76 40 76Centre de tri 03 80 76 49 90Bac mal dimensionné 03 80 76 39 78 Composteur 03 80 76 56 26Emmaüs 03 80 23 80 11Encombrants sur rendez-vous 0 800 12 12 11Déchets verts sur abonnement 0 800 12 12 11Numéro vert : 0 800 12 12 11www.grand-dijon.frCourriel : [email protected]

L’ASTUCE D’AVRILNouveaux gestes de consommationÀ la maison, cuisinez vous-mêmes aussi souvent que possible : c’est plussain que les produits industriels, et aussi bien moins cher.

Plantez des arbresPour ombrager votre maison, n’hésitez pas à planter des arbres, toutparticulièrement des espèces locales, afin de protéger l’écosystème régional(les oiseaux locaux nichent dans les arbres locaux). Des arbres, c’est de l’airpour toute la famille !

Page 36: Dijon mag avril 2011

“| vous nous dites |

C’est à notre tour de vous remercier pour cettelettre. Vos retours ne peuvent qu’encouragertoutes celles et ceux qui, chaque jour, semobilisent pour faire de Dijon une ville douceà vivre. La Journée d’accueil des nouveauxhabitants permet à nombre de nouveauxDijonnais d’appréhender leur ville d’adoption etde rencontrer leurs élus. Ce moment d’échangeest né de la volonté de la municipalité et restel’une de ses priorités. Concernant le tramway,il sera effectivement un véritable atout pourla ville. Bien plus qu’un mode de transportmoderne et écologique, il est le fil rouge d’unemutation, déjà bien engagée, qui fera entrerla capitale de la Bourgogne dans le XXIe siècle.

MAGAZINE

VOS COUPS DE CŒUR,VOS RÉACTIONS...CETTE PAGE EST FAITEPOUR VOUS.

ÉCRIVEZ-NOUS : Dijon MagBP 1510 21033 Dijon cedex

[email protected]

?

““ENCOURAGEMENTS

J’habite Dijon depuisde nombreuses annéeset c’est toujours avecplaisir que je lisle magazine Dijon Mag.Malheureusement,depuis quelque temps,sa distribution est trèsaléatoire. Je doissouvent emprunterle magazine à d’autrespersonnes, et cela esttrès désagréable.Je souhaite être informéde la vie municipaleet bénéficier de cemagazine financépar mes impôts.Que pouvez-vous fairepour remédier à cettesituation ?A.M. – Rue des Roses

Nous sommes de nouveaux habitants sur Dijon et nous avons résidé à Messigny-et-Vantoux pendant treize ans. Nous tenions,mon épouse et moi-même, à vous remercierpour la Journée d’accueil des nouveaux arrivantsen automne dernier.Je trouve par ailleurs que Dijon a vraimentchangé, et cela en positif, sur beaucoup depoints, en particulier avec ce projet de tram quiva dynamiser notre ville (j’ai une très bonneexpérience, car nous avons vécu à Lyon etSaint-Étienne), mais aussi tous les projets quevous avez eus et que vous avez encore pour lesannées à venir. Nous sommes fiers d’habiterune ville qui s’ouvre aux autres.M. et Mme C. et P.B. – Dijon

De nombreuses personnes signalent régulièrement à la rédaction lesproblèmes qu’ils rencontrent en termes de distribution « aléatoire » de larevue dans leur boîte aux lettres. Dijon Mag est distribué par Mediapost,filiale du groupe La Poste, dans les mêmes conditions que les publicités,à savoir en courrier non adressé. Ce choix, s’il peut encore certainementêtre amélioré, reste aujourd’hui le plus équitable financièrement. Sachezque la distribution des magazines en courrier adressé, c’est-à-dire sousla même forme que le courrier classique, coûterait six à sept fois pluscher à la collectivité.Par ailleurs, la ville souscrit avec son prestataire un contrat qui stipulela distribution de toutes les boîtes aux lettres dijonnaises, y compris cellesaffichant un « Stop pub », afin que ceux qui ont fait le choix de lutter contrele gaspillage papier ne soient pas pénalisés. Soyez assuré que la villede Dijon porte une attention particulière à la diffusion de ses supportsd’information et de communication.Si votre boîte aux lettres n’est pas distribuée, c’est une anomalie, et ledistributeur va en être informé afin que la situation ne perdure pas.Sachez également que le magazine est aussi téléchargeable sur le siteInternet de la ville, www.dijon.fr. Si vous ne disposez pas d’ordinateur,vous pouvez vous le procurer à la mairie centrale ou à la mairie annexela plus proche de votre lieu de résidence.

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POUR LE GROUPE SOCIALISTE, RADICAL DE GAUCHE, CITOYEN ET APPARENTÉS

S’il existe aujourd’hui de nombreuses raisons de s’indigner enFrance, avec le désengagement de l’État, depuis mai 2007, dansde nombreux services publics –  non-remplacement d’unfonctionnaire sur deux, manque de moyens et mépris pourl’éducation, la santé, la justice et la sécurité…  –, il est unsecteur, compétence de l’État, qui marque et notre indi -gnation, et notre engagement. Il s’agit de l’emploi, ou plutôt,devrions-nous dire, du non-emploi de nos concitoyens. Là oùl’État aurait dû mettre en place une politique dynamique cararticulée avec le ministère de l’Économie pour empêcher lesdélocalisations et favoriser l’implantation d’entreprisesinnovantes, force est de constater, en cette période de crise quifrappe toutes les familles, que le gouvernement dit «  de larupture et du pouvoir d’achat » a fait d’autres choix, au principed’un déficit budgétaire qu’il a largement contribué à creuser. Le président de la République ne promettait-il pas, dansl’émission « Paroles de Français », en janvier 2010 : Je sais quedans les semaines et les mois qui viennent, vous verrez reculerle chômage dans notre pays ? Or, les promesses faites pour unvéritable service public de l’emploi efficient et de proximité–  que ce soit pour Pôle emploi, les missions locales et lesmaisons de l’emploi et de la formation  –, ne sont pas aurendez-vous : là aussi, suppressions de postes, diminution desaides financières.Malgré une asphyxie des collectivités territoriales, victimesd’une réforme de la fiscalité menée tambour battant et dont

nous ne savons pas encore l’impact réel sur nos budgetsrespectifs, nous nous indignons et nous engageons poursoutenir, à Dijon et au Grand Dijon, le développement éco -no mique et l’emploi local de notre territoire : partenariatsétroits avec les acteurs publics de l’emploi et les entrepriseslocales ; politique de grands travaux, dont le tramway, incluantdes clauses d’insertion  ; actions innovantes en faveur despublics discriminés (bourses aux permis de conduire, cafés del’emploi, forums des métiers…) ; soutien aux entreprises quiveulent s’installer et aux structures de l’économie sociale etsolidaire… Le chômage ne saurait être une fatalité dont la résorption seraitde la seule responsabilité des élus locaux. Si nous y prenonsnotre part, il appartient bien au gouvernement d’y prendrelargement la sienne.

Nelly Metge,adjointe au maire, déléguée à l’emploi, à l’insertion et à l’économie sociale et solidaireGroupe socialiste, radical de gauche, citoyen et apparentés 8, rue de la Chouette, 21000 Dijon Tél. : 03 80 36 41 77Courriel : [email protected]

POUR LE GROUPE DES ÉLUS COMMUNISTES ET RÉPUBLICAINS

L’annonce d’une réforme fiscale touchant l’impôt sur lepatrimoine pose plusieurs questions. Tout d’abord, en matièrede fiscalité la priorité est-elle de réduire à tout prix l’impôt desolidarité sur la fortune (ISF) ? Surtout quand on laisse la TVAà 19,6 % sur l’essentiel de la consommation populaire et queles Français connaissent la flambée des prix de l’essence et del’énergie? Pourquoi baisser l’ISF, quand le Président casse lesservices publics pour prétendument réduire les déficits  ?Renoncer à 700 millions d’euros de recettes fiscales quand lebudget 2010 est soldé avec 147 milliards de déficit, est-ce unesaine gestion des finances publiques ? On nous dit compenserla baisse de l’ISF par la suppression du bouclier fiscal ! Celaprouverait-il que le bouclier fiscal était là pour réduire les effetsde l’ISF ? Alors qu’il devait concerner tous les impôts, et passeulement l’impôt sur la fortune… Où est l’hypocrisie ?

On peut se poser la question du bénéfice politique que legouvernement entend tirer de cette mesure. L’exonération de300 000 contribuables ne viserait donc qu’à regagner leur appuipolitique pour les échéances électorales à venir. Il est vrai quece creuset de voix, pour un Président en baisse dans lessondages, vaut bien à ses yeux une entorse à la justice fiscale.Quoi qu’il en soit, cette mesure est et restera injuste etinefficace pour notre pays. Sans ambiguïté, il nous faut direnotre opposition à ces mesures coûteuses et politiciennes.Notre pays a besoin d’une autre solidarité !

Christine Truchot-Dessolle, André Gervais, Michel JulienGroupe des élus communistes et républicains222, rue d’Auxonne, 21000 DijonTél. : 03 80 72 29 97

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POUR LE GROUPE INITIATIVES DIJON

À de nombreuses reprises, les élus du groupe Initiatives Dijonont exprimé une vision différente de celle de l’actuel maire surl’organisation des transports dans notre ville. Bien sûr, nous sommes favorables au développement et à lamodernisation des transports en commun. Simplement, untramway était-il indispensable  ? N’existait-il pas d’autressolutions, plus modernes, plus souples, beaucoup moinschères ? Beaucoup de villes de taille équivalente (voire supérieure) à Dijonrefusent aujourd’hui de se lancer dans des projets de tram. Ainsi,parmi les 78 projets de transports collectifs identifiés par l’Étaten février dernier, seuls 29 concernaient des trams. La plupartdes villes choisissent aujourd’hui la solution des bus à hautniveau de service (busway). À Dijon, elle aurait permis de limiterles nuisances liées aux travaux, de réduire considérablement lecoût du chantier et de desservir plus de quartiers avec unequalité de service quasi équivalente.Quoi qu’il en soit, le choix est fait ; les travaux ont commencé.Nous ne ferons pas d’obstruction, mais restons très attentifs àl’évolution du dossier.Ainsi, les travaux colossaux qui ont été entrepris nous inquiètent.Ils semblent mal organisés, mal planifiés, gérés « au jour lejour ». Le réseau Divia se trouve fortement perturbé. Dans unesprit constructif, compte tenu de l’allongement des temps detrajet en bus, nous faisons une proposition simple : que la duréede validité du ticket soit portée de 1 h à 1 h 30.Sur les travaux, deux erreurs ont été commises. D’abord, ne pasavoir attendu la réalisation de la Lino afin de permettre auxautomobilistes de contourner facilement Dijon. Ensuite, réalisersimultanément les deux lignes de tramway (solution qu’aucuneautre ville en France n’a retenue), ce qui aggrave les pertur-bations en paralysant toute la ville en même temps. Pourquoicette précipitation ? Serait-ce pour être sûr de couper le rubanavant les municipales de 2014 ?

Autre constat : les conséquences négatives pour les entrepriseset les commerces. Le président de la chambre régionale desexperts comptables est catégorique : Quand le chantier met unebarricade devant une rue, ça fait zéro client pour le commerçant.Et il ne suffit pas d’afficher commerce ouvert ! On estime en effetque la plupart des commerçants subissent des pertes dechiffre d’affaires allant de 20 à 50  %. Certains se voientmême contraints de fermer définitivement. De réels drameséconomiques et humains se nouent. Le Grand Dijon a créé, grâce au soutien financier de l’État, unecommission d’indemnisation à l’amiable pour les commerçantstouchés par les travaux. Il s’agit d’une obligation légale.Toutefois, l’indemnisation n’est ouverte à Dijon qu’à ceux qui sontsitués directement sur le tracé du tramway. Cela est troprestrictif. C’est pourquoi, nous demandons la révision durèglement de la commission pour que l’ensemble descommerçants réellement impactés par les travaux puissentbénéficier de justes compensations.Les Dijonnais peuvent donc compter sur notre déterminationpour suivre ce dossier du tram avec la plus grande vigilance.

François-Xavier Dugourd,président du groupe Initiatives Dijon,Franck Ayache, Laurent Bourguignat,Jean-Michel Brocherieux, Malika Gauthié, François Hélie,Marie-Claude Mille, Jean-Charles Ouazana,Catherine Vandriesse43, rue Parmentier, 21000 DijonTél. : 03 80 72 46 65Courriel : [email protected] : www.initiativesdijon.com

POUR LE GROUPE DIJON MODEM

Vive le tram ! Depuis quelques semaines, les travaux entreprispour la construction de deux lignes de tramway sont entrésdans une phase très active. Par contrecoup, les embarras de lacirculation perturbent la vie des Dijonnais et de ceux quiviennent travailler à Dijon ou visiter la ville. Les itinéraires sontmodifiés chaque jour et les obstacles de toutes sortes sedressent sur le chemin de ceux qui veulent se rendre d’un pointà un autre. Il est alors assez logique que les automobilistes,mais aussi les autres usagers de la voie publique, exprimentleur mécontentement et leur énervement. Il en a été ainsi danstoutes les villes qui ont investi sur le long terme et ont fait lechoix d’un mode de transport rapide, propre et sûr.Mais il faut dépasser le stade des premières réactions et destracas immédiats pour considérer les avantages procurés parle tram et qui feront de Dijon une ville qui maîtrisedurablement son développement. Dans toutes les villesqui ont réalisé la construction de lignes de tramway,la transformation a été spectaculaire. Que l’on pense à

Bordeaux, où les travaux ont duré bien plus longtemps que cequi est prévu à Dijon. Certes, il s’agit d’un investissement lourd, mais des effortsimportants ont été effectués par les services du Grand Dijon enfaveur d’une réduction des coûts (notamment le choix desrames en partage avec la ville de Brest), et les délais ont étécalculés au plus juste afin de limiter la gêne occasionnée. Et les travaux du tram ne sont pas que des occasions de tracas,si l’on en juge au nombre de curieux venus prendre des photosde la pose des rails dans les quartiers où la construction a déjàbien progressé. Alors, oui, vive le tram !

François Deseille,maire adjoint délégué aux grands projets,pour le Groupe Dijon MoDem7B, rue Devosge, 21000 DijonTél. : 03 80 23 38 14Courriel : [email protected]

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