3
www.facebook.com/misterfevrier www.myspace.com/misterfevrier CONTACT PRESSE 06 42 02 87 39 – [email protected] CONTACT SCÈNE 09 54 18 27 37 – [email protected]

Dossier Presse Mister Février

Embed Size (px)

DESCRIPTION

Dossier Presse de Mister Février

Citation preview

Page 1: Dossier Presse Mister Février

www.facebook.com/misterfevrierwww.myspace.com/misterfevrier

CONTACT PRESSE 06 42 02 87 39 – [email protected]

CONTACT SCÈNE 09 54 18 27 37 – [email protected]

Page 2: Dossier Presse Mister Février

Je suis né dans le quartier des Batignolles, à Paris. J’ai grandi dans une chambre claire,autour d’un piano et d’un petit cheval de bois. Je viens de la scène et des belles rencontres.Je viens de cette année mille-neuf-cent-quatre-vingt-quatorze où je croisai la route de Jean-Claude Dreyfus, au hasard d’une terrasse parisienne. Je reste depuis un inconditionnel de ceslieux calmes, aériens, où la contemplation et la rencontre sont possibles. Deux ans plus tard,le comédien m’offrait ma première scène en tant que pianiste, compositeur et arrangeur deson spectacle «Tour de cochon ou l’amuse de soi». Je viens donc de là, de cet espace ouvert,libre et bienveillant, à remplir et à rêver.

J’ai ensuite composé la musique de diverses fictions radiophoniques et autres pièces deThéâtre, me familiarisant avec des auteurs tels que Pinter, Rictus, Handke, Kawabata ouJon Fosse, écrivains du mot juste, entre bruit et silence. Une nouvelle fois, je me retrouvai surles planches, musicien à vue le plus souvent, accompagnant mots et émotions du bout desdoigts. C’est à ce moment que je commençai à écrire, nourri et rempli des œuvres et des équipesque je rencontrai.

Mister Février est né de cela. De mon envie de me retrouver sur scène, de jouer et de ressentir,de partager. Mister Février est également le fruit d’une rencontre avec Yaël Tama, qui me guideet m’accompagne pas à pas sur la route de ce personnage élégant, au sourire en coin, au regardtendre et se livrant entièrement, assis derrière son piano. Un piano que j’aime deshabiller.Je trouve que ses mécaniques sont belles à observer, à contempler. J’adore l’idée qu’appuyersur une simple touche déclenche une réaction en chaîne qui finit par produire un son, jamaisle même. Lorsque je joue, devant moi, c’est comme une ville qui se mettrait doucement enmouvement...

Je suis animé par l’envie d’aller à la rencontre d’un public inconnu et de lui raconter un peu demoi, un peu de lui sûrement. Je préfère la naïveté à l’habileté, même si elle n’est qu’apparente.La naïveté permet de croire et de se laisser porter. Un concert est une performance humaine,avec ses maladresses et ses élans, ses rêves, son absolue nécessité de vivre.

Depuis deux ans, parallèlement aux voyages de Mister Février, je suis l’itinéraire de TchekyKaryo. Nous nous sommes trouvés sur un plateau commun, puis retrouvés à une terrasse…Nous écrivons et jouons ensemble. Nos chansons nous portent à travers la France. Cette routese poursuit avec sérénité et élégance.

Je viens du dedans et du dehors. Mes concerts m’ont porté ailleurs, entre Liverpool, Londreset Berlin, en passant par Dieulefit ou Annecy. Je vogue et voyage entre mes villes d’élection,comme sur un ferry qui me conduirait vers l’insulaire, vers ce qui m’inspire et m’aspire.J’aime la distance qui rapproche.

Thomas Février

Page 3: Dossier Presse Mister Février

Thomas Février monte sur scène pour la première fois en 1996 en compagnie du comédienJean-Claude Dreyfus pour le spectacle «Tour de cochon ou l’amuse de soi» dont il signe lesarrangements complets ainsi que quatre musiques originales.

En 1997, il entre à France Culture et compose les musiques de plusieurs fictions radiophoniques.Il travaille également et par l’intermédiaire de Jean-Claude Dreyfus avec la danseuse MarieClaude Pietragalla.

Thomas Février signe ensuite la musique et l’univers sonore de «Rictus», pièce mise en scènepar Jean-Claude Dreyfus (2005). Toujours pour le théâtre, il travaille en tant que compositeur surdiverses pièces contemporaines (Inventaires de Philippe Minyana, L’Amant d’Harold Pinter).Il écrit ensuite une première musique de film pour le cours métrage «Empaillé» de Laure Plaindoux.En même temps, Thomas Février donne ses premiers concerts sur les scènes parisiennes eten province.

En février 2007 sort son premier album, «Bus de nuit». Tout au long des onze titres de l’album,Il décline une route pavée de sensations, d’instants fixés, de sensualité et d’attente…

Puis, Thomas Février se consacre à l’écriture, à ses chansons et à la scène. Il traverse laManche et donne une série de concerts à Londres et à Brighton, puis en France au NouveauCasino, à la Maroquinerie, au Sentier des Halles et à la Flèche d’or.

En 2009, il retrouve Jean-Claude Dreyfus pour un nouveau spectacle au 20ème Théâtre,«En toute sobriété». Dans le même temps, il réalise l’album de la chanteuse Wenta : «Mai Drusia».

2010 voit la Naissance des «Home-concert» : Une fois par mois, Thomas Février donne dansun lieu original un concert devant un public d’inscrits. Un rendez-vous régulier et intimiste.En même temps, il travaille sur le nouvel album de Tcheky Karyo et l’accompagne au piano surscène. Par l’intermédiaire de Nicolas Boualami, il rencontre Yaël Tama, comédienne et auteur.

En 2011, Thomas Février devient Mister Février sur scène et prépare un second album.Il retrouve Jean-Claude Dreyfus pour «Devos-Dreyfus, d’Hommages sans interdit(s)». Le spectacleest crée en Juillet lors du festival d’Avignon. Il travaille ensuite à la bande son du «Cou(p) de lacarpe», spectacle écrit et joué par Yaël Tama, mis en scène par Marie Boisseau. Régulièrement,Thomas Février se produit en «Home-concert» et décline les visages de Mister Février sur scène.

Équipe musicaleThomas Février : Piano, chant

Yaël Tama : Accompagnement scénique, mise en scèneAndré Margail : Guitares, chœurs

Cyrille Nobilet : Basse, claviersJimmy Bontou : Batterie

Idalio Guerreiro : Lumières+Brauer : Graphisme, objets lumineux