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Duggy-T "Exiges beaucoup de toi même..."

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Comme l’a dit Confucius : ‘‘Exige beaucoup de toi-même, et attend peu des autres’’. Moi je vais aller plus loin et dire : exige beaucoup de toi-même, et n’attend rien des autres.

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N °4 - Avril - 2011

Bienvenue dans l’univers Sup ‘Info et ses actualités internes !

1Micro Trottoir

3InterviewRamlatou Diallo

InterviewDuggy-Tee15

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Horoscope27

Blague et proverbe

Le Stress

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Dossiers Spéciaux

Un sage a dit : « l’information est une forme de pou-voir ». Cette métaphore pourrait être biblique en ce sens qu’elle corrobore des siècles d’évolutions.

Cependant, à travers les âges, l’histoire a montré que c’est dans le partage que l’information revêt toute son utilité.Aujourd’hui, « informer » implique une prise de conscien-ce certes, mais aussi et surtout une responsabilité vis-à-vis de ce qu’on écrit. C’est dans cette optique que chaque mois un thème est traité avec l’aide de différentes inter-ventions aussi bien intérieures qu’extérieures à l’Acadé-mie; la conjugaison de ces différents aspects de l’informa-tion aboutit à un élargissement d’une vision des choses !

Duggy-Tee, la voix « mélodieuse » du groupe Positive Black Soul dont il est le Cofondateur, avec Didier Awadi, nous a fait l’honneur de tourner son prochain clip nommé « WORK » au sein de notre Institut!

Elle est jeune, belle et talentueuse. Découverte lors du précédent Sup’ Info Summer Show, évènement au terme duquel elle avait remporté la 3ème place du concours de création et de stylisme, elle s’appelle Ramlatou Diallo, étudie à sup’ Info et est styliste débutante!

Et si on allait du coté de l’ISM (Institut Supérieure de Management) pour vivre en live leur journée d’intégra-tion qui s’est déroulée dans les règles de l’art, comme vous aurez l’occasion de découvrir !

Gino Fogui

N °4 - Avril - 2011 N °4 - Avril - 2011

Bienvenue dans l’univers Sup ‘Info et ses actualités internes !

Amadou Barry Alias Duggy-Tee, l’une des figures embléma-tiques du mouvement hip hop africain nous a fait l’honneur

de tourner son clip nommé « WORK » au sein de notre acadé-mie, montrant ainsi l’importance qu’il nous accorde !Véritable bête de scène, il est un MC (Master of Ceremony) adulé par les scènes de Dakar dès l’adolescence.Sa musique fourmille et dépasse les frontières des genres tout en donnant à chaque fois un nouvel essor à l’identité du hip hop africain. Retrouvez en exclusivite son interview dans la suite de notre magazine (P 17)

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Dans le cadre de ses activités, le club Réseaux et Télécommunications de Sup’ Info (SUP’NETWORKING) a organisé au sein même de l’institut, une séance de réparations gratuites qui s’est tenue dans la journée du Samedi 16 avril 2011. Le but de cette journée était de promouvoir la politique de l’établissement, compte

tenu de tous les ingénieurs et techniciens en herbe qu’elle abrite et forme pour le marché de l’emploi.

Ainsi, cette dernière a permis non seulement d’aider les étudiants à résoudre la plupart des problèmes qu’ils rencon-traient avec leurs ordinateurs (portables et fixes), mais a aussi été riche en conseils de maintenance, d’entretien et de bonne gestion du matériel informatique. Nous notons aussi la participation et l’implication des membres du corps administratif et professoral de l’établissement, à l’instar de Mr Didier Diop (PDG de Sup’ Info), Mr Léon Coly, Mr Birame Diouf, Mr Barro, Mr Badara Sylla, Mr Diallo, Mr Cissé, Mr Bao, Mr Leger Djiba, Mr Omar Ndiaye, le BDES (Bureau Des Etudiants de Sup’ Info) et l’ensemble des techniciens du Laboratoire technique.

La séance a débuté à 10h30 et s’est achevée à 15h. Le travail du club Sup’ Networking consistait à faire la Mainte-nance Préventive, Curative et Evolutive, et durant cette journée 14 ordinateurs portables et 1 Desktop (Ordinateur de bureau) ont été diagnostiqués et réparés.

Gino Fogui

Micro TrottoirThème : Que peut-on faire après sa formation pour servir notre pays.

Servir son pays est, en effet, un honneur, un privilège, mais aussi des devoirs et des obliga-

tions. Car il s’agit de défendre, à tout instant et dans toute circonstance, notre cher pays et ses intérêts, Il est indénia-ble que chaque responsabilité et cha-que fonction, quel qu’en soit le niveau, est un jalon et une balise dans toute vie professionnelle. La richesse d’une car-rière se compose, au jour le jour, d’une succession d’expériences qui, in fine, donnent un sens à vos engagements et à vos actions au service d’un idéal précis. Toutes les fonctions et toutes les responsabilités qu’on a la chance d’exercer constituent une valeur ajou-tée dans notre carrière professionnelle. Il est inutile de rappeler que lorsque vous avez eu des supérieurs hiérar-chiques d’une expérience reconnue et d’une dimension certaine, vous demeu-rez marqué par leurs enseignements et par leurs conseils. Elle ancre en vous les valeurs de fraternité, de tolérance.Pour servir son pays, nous ne pensons pas qu’il soit nécessaire d’attendre la fin de sa formation. Tout passe par l’éducation d’abord, éduquer le peuple

envoyer les enfants à l’école, sensibili-ser les jeunes à l’hygiène, à l’avancée du pays mais aussi à l’unité de la na-tion.En effet, il faut beaucoup plus se concentrer sur l’éducation, que ce soit par la télévision, la radio, les jour-naux. Ils devraient créer des emplois en formant des médiateurs chargés de sensibiliser les personnes habitant des contrées éloignées à envoyer leur enfants à l’école, etc., etc., il ya telle-ment de choses à faire et les solutions sont là !Il faut continuer à envoyer les étu-diants à l’étranger pour les former et revenir au pays pour enseigner et développer les filières !Une fois le peuple éduqué, tous les autres problèmes seront oubliés petit à petit : plus de corruption, unité nationale, tolérance et un pays propre.Et donc forcement le pays sera riche car il se gérera lui-même, il aura du tourisme, les jeune pourront voyager, s’ouvrir au monde d’entier et il y’aura de l’emploi.

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Idrissa - Van 15 Mul-timédia numériqueServir son pays, selon moi, c’est vouloir le faire grandir, vouloir le protéger des guerres (d’où ma référence aux militaires). C’est apporter ma pierre, si petite soit-elle, à l’édi-fication de la société, par mon travail ou ma

formation, mon engagement politique ou caritatif. Etre à la hauteur de la confiance que notre glo-rieux Souverain a bien voulu placer en nous est un espoir et un principe qui guide au quotidien nos pas dans chaque décision visant à intensifier la coopération avec le pays d’accréditation.Le pays dans lequel nous vivons nous offre des tas d’avantages que d’autres pays ne possèdent pas (protection sociale, services médicaux, éduca-tion, sécurité grâce à une police et une armée que l’on aime tant à brocarder, etc.…) en échange que lui donnons-nous? Le Service National n’existe guère, bien peu sont prêts à partir comme volon-taires civils dans des pays du tiers monde ou à militer dans des associations (car c’est aussi cela servir son pays).Tu peux servir l’image de ton pays par ton âge, en ayant simplement de la reconnaissance. Et aussi la connaissance du pays, de son histoire, de sa géographie, des belles-lettres, des personnes qui ont servi leur pays en leur temps, par leur travail (pas seulement militaire). Sans oublier les aides sociales ou humanitaires. Il ya tellement de choses qu’on peut faire, comme sensibiliser les enfants en les formant à travers l’éducation, l’enseignement, la pêche, l’élevage, l’agriculture, le commerce international etc.….. Je tiens aussi à souligner que notre pays est un creuset de civilisations et un carrefour de nom-breuses influences. De ce fait, chaque région, voir chaque ville, a sa spécificité, sa richesse et son patrimoine.

Que peut-on faire pour servir notre pays après la formation (dans le cas du civisme et géné-ration).Une fois que les étudiants terminent leur for-mation ils doivent se familiariser avec leur pays d’origine, approfondir leurs connaissances, rester et travailler pour la croissance et le développe-ment de leur pays au lieu d’aller à l’étranger. Ces jeunes étudiants ne font que le bénéfice des pays étrangers au détriment du leur.

Mme NDIAYE Aissatou DialloDu moment qu’on a un métier on pourra travailler et participer au développement de son pays. Après la formation on doit voir comment s’intégrer dans les entreprises.

Mr FALLProfesseur en comptabilité Il faut que les futurs diplômés prennent leur destin en main, c’est-à-dire qu’ils ne doivent plus atten-dre l’aval d’une autorité supérieure telle que l’état pour préparer leur avenir et entreprendre, à partir de projets bien ficelés, l’émergence de leur pays.

Cheikh DiaChargé de la sécurité de Sup infoAprès la formation le diplômé doit répondre à la demande de la société. Ainsi, il doit résou-dre la plupart des problèmes auxquels est confrontée la

par le biais de projets, ou bien s’insérer dans le sec-teur formel. Cette participation du citoyen au déve-loppement de son pays diminuera le taux chaumage, contribuera à mettre fin à l’émigration clandestine, etc

SIDY FOFANAGestionTout d’abord on fait une formation pour répondre à une demande précise sur le marché de l’emploi. Ce qui veut dire que c’est le désir de vouloir réaliser tel ou tel projet qui nous pousse à nous former dans un secteur d’activités bien précis. Les expériences et connaissances acquises lors de la formation nous permettent de pourvoir au développement de la société. Notre pays, après avoir répondu aux préoccupations du citoyen, à savoir la procuration d’une formation, en retour, voudrait que ce dernier apporte quelque chose de positif à la société. Ainsi, les moyens et méthodes mis à sa disposition pour réaliser ses projets et servir son pays vont êtres nombreux et variés. Le problème repose sur la volonté du nouveau diplômé; beaucoup pensent qu’ils ne pourront pas avoir du travail. Chaque société deman-de un certain niveau d’études et ou d’expérience professionnelle, ce qui fait que seuls ceux répondant à ces critères seront recrutés.

Didaa

L’International School of Managemnt de Dakar (ISM) a vu le jour en1992 avec à sa tête Monsieur Ama-dou DIAW, sis au Point E, Rue des Ecrivains; c’est le premier business school privée au Sénégal.

L’ISM dans son rôle de leader de l’enseignement supérieur privé du Sénégal a tissé des liens de partenariats forts avec de nombreux organismes (Membre de la Confédération Nationale des Employeurs du Sénégal (CNES), Membre du Board de l’Association of African Business School (AABS),etc…) Universités (Uni-versité de Georgetown, Harvard, HEC Paris, etc…) Institutions et Banques (Union Économique et Moné-taire Ouest Africaine, Fondation Friedrich Naumann, Shell Sénégal, etc…)

La qualité des enseignements dispensés et le dynamisme du top management de l’ISM ont fini par lui donner une aura et une reconnaissance internationale qui font la fierté des étudiants, étudiants venus des quatre coins de l’Afrique pour avoir la chance de profiter des grandes débouchés scolaires et professionnels que leur offre L’ISM.

Au vu de ce mixage culturel une journée d’intégration n’est que la bienvenue pour pouvoir permettre l’af-firmation culturelle de chacune des ces communautés que renferme cet établissement ! C’est ainsi que 3 ans après sa création, l’ISM de Dakar a organiser sa première journée d’intégration qui a marquer les génération passées et futures entrainant la perpétuation de cet événement historique !

Cette année cette journée a été transformée en « week end d’intégration » avec pour dernier jour « La jour-née d’intégration » proprement dite !

ISM DOSSIER SPECIAL

Journée d’Intégration

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Présentation des Nations

ISM All Stars

Groupe de danse du Lycée Birago Diop

Groupe composé de huit jeunes et de trois sous-groupe de 3éme et de 2éme année, ils font du Rap

Représentant du Burkina Présentation du Cameroun Représentant du Niger

Les Miss

Sénégal

Togo

Burkina Fasso

Djibouti

Tenues Traditionnelles

Tenues de Soirée

Cameroun

Centre-Afrique

CongoTenues Traditionnelles

La gagnante et les deux Dauphines

Niger

Burkina Fasso DjiboutiCentre-Afrique CongoGabon

Cote d’Ivoire Gabon

Ballet des Nations

TogoDjibouti Gabon

Centre-Afrique Guinee Conakry

Congo

Cote d’Ivoire

Interview de : Magnasse Niasse Pré-sident du BDEISM (Bureau Des Etudiants de l’Institut Supérieure de Management)

Expliquez nous brièvement ce que représente cette journée d’intégra-tion.Je ne parlerais pas de journée d’intégration, mais plutôt de week-end d’intégration, dont l’ouverture a été marquée par un match de galla opposant l’administration de l’ISM et ses étudiants. Ce match fut d’ailleurs soldé par un score de 3 - 1 en faveur de l’administration. L’après midi nous avons fait un Mini-ISM ; les différents clubs pré-sents au sein de l’Institut ont essayé de faire une prestation pour pouvoir permettre aux étudiants d’adhérer au club de leur choix. Aujourd’hui s’est déroulée la journée d’intégration en tant que tel, et elle avait pour but de permettre non seulement pouvoir permettre aux étu-

diants d’adhérer au club de leur choix. Aujourd’hui s’est déroulée la journée d’intégration en tant que tel, et elle avait pour but de permettre non seulement aux rési-dents non sénégalais de découvrir la culture locale, mais aussi de leur donner l’occasion de présen-ter et partager leur propre culture, celle de chez eux. Tout ceci facilite grandement l’échange et améliore la communication entre les étudiants cohabitant au sein de l’ISM.

Est-ce la première édition ?Non ce n’est pas la première édi-tion. Depuis que l’Institut a ouvert ses portes (1993), juste deux ans après s’est tenue la toute première journée d’intégration (1995).

Depuis votre ascension au poste de président du BDEISM, avez-vous apporté des innovations aux journées d’intégration ?Déjà je ne suis qu’étudiant en deuxième année, je suis arrivé l’an passé. A la journée d’intégration précédente il n’y avait pas d’ar-tistes invités, et pas de concours de Miss intégration. J’ai pu enri-chir l’évènement avec ces deux nouvelles activités, et en ce qui concerne le côté animation j’ai fait venir Pape Thiopet, qui a vraiment mis l’ambiance et ravi la foule.

Cette journée s’est-elle déroulée comme vous le vouliez ? A-t-elle eu du succès ?Elle a été très innovante, beaucoup de gens en étaient très satisfaits, et avant la fin je recevais déjà des compliments, et des félicitations venant de partout. En gros je dis ALHAMDOULILAH 1 !

Un petit mot pour la fin, que di-riez-vous à tous ces lecteurs ?J’aimerai juste remercier Ama-dou Diaw, Président directeur de l’ISM, qui nous a permis d’orga-niser cet événement, Mr Mbaye Amar, le Dean of Undergraduates ² qui nous a soutenus moralement et financièrement tout au long de cet événement, sans oublier tous les étudiants présents, les mem-bres du bureau, les comités d’or-ganisation, les présidents de clubs, ainsi que toutes les communautés qui ont grandement contribué au succès de cette journée.Merci !

Lexique :ALHAMDOULILAH : Expres-sion arabe qui signifie Dieu merci.Dean Undergraduates : Sorte de titre attribué au Doyen des étu-diants d’une école

CESAG DOSSIER SPECIAL

Journée Gastronomique

Une fois de plus nous retrouvons le CESAG, non pas pour une journée d’intégration cette fois ci mais pour une journée gastronomique organisée par la communauté camerounaise ! Et qui parle de cuisine camerounaise parle bien sûr de mets tels que le poulet DG, le poisson braisé, ou encore des

beignets – Haricots comme dans ce cas de figure.Nous nous sommes rapprochés du président de la dite communauté, Mr Gilles NZELA, pour qu’il nous parle un peu plus de cette fameuse journée !

Interview de : Gilles NZELA (Licence, comptabilité et finance)Président de la Communauté Camerounaise

Quel est le but de cette journée gastronomique ?Permettre aux ressortissants des différents pays repré-sentés au CESAG et au Sé-négal de savourer les mets d’origine camerounaise, une marque ainsi d’intégration africaine.

Etant moi-même camerou-nais et ayant assisté à la journée, pourquoi avoir choisi exclusivement le poulet DG, le poisson brai-sé et les beignets-haricots ? A cause de la disponibilité des ingrédients. Il n’est pas évident de trouver sur le marché sénégalais, plus

précisément le marché da-karois, les ingrédients né-cessaires à la confection d’un plat comme le Ndolé. Et pourtant la demande était grande ! Elle venait prin-cipalement de nos amis et compatriotes camerounais, mais aussi des camarades des autres pays.

Est-ce une première au CESAG ? Ou avez-vous déjà eu l’occasion d’or-ganiser pareille journée auparavant? A en croire nos prédéces-seurs, on n’en était pas à la première édition. Vu la satisfaction qui pouvait se lire sur le visage des parti-cipants ou des invités, il est évident que l’association songe déjà à faire pareil très prochainement. Pour le Ndolé tout dépendra de la disponibilité des ingré-dients, parce qu’il n’est pas évident de confectionner ce plat pour une grande cible.

Quelle innovation a été faite cette par rapport aux autres journées gastronomiques ?Au cours de l’édition précé

dente, un seul était présenté au menu. J’imagine que cela n’a pas dû être facile de sa-tisfaire tout le monde. L’in-novation avec nous cette année était déjà la diversité des plats qui ont été cités plus haut accompagné de la musique de chez nous, et puis une forte mobilisation tant de l’intérieur que de l’extérieur.

Que pensez-vous de l’évé-nement ? S’est-il déroulé comme vous l’attendiez ? Disons que cet évènement a permis à la communauté camerounaise de démontrer son savoir-faire culinaire. Notre objectif a été atteint, nous avons fait plaisir aux participants par le biais de nos mets et de notre rythme musical.

On salue et encourage énor-mément cette initiative qui permet non seulement de faire découvrir la culture à l’état pur d’une nationalité, mais aussi le savoir faire des membres de cette com-munauté !

Gino Fogui

RAMLATOU

Il faut avoir confiance en soi, persévérer, se donner la possibilité d’arriver à ses fins et avoir la foi.

temps pour m’occuper de moi même et de mes amis. Mais je voudrais qu’ils sachent qu’ils comptent beaucoup pour moi.

Quand tu étais petite fille, rê-vais-tu déjà de travailler dans le monde de la mode?Pas vraiment, j’ai toujours été attirée par le bricolage. Ce n’est quà partir du lycée que la mode a commencé à m’intéresser.

Quelles sont les caractéristi-ques de vos vêtements ?Plutôt traditionnels, toujours rattachés à la Guinée.

Avez-vous des heures spe-cifiques pour dessiner?Non cela me prend sur un coup de tête, peu importe l’heure ou le moment. Dès que j’imagine quelque chose je dessine sur le champ!

Quelle est ta couleur préférée?Sans hésiter je dirai la couleur bleue.

Fais-tu d’autres activités en dehors du stylisme ?En plus des cours en Main-tenance Réseaux, je suis conseillère commerciale au

PCCI(société spécialisée dans la gestion à distance de la relation client : Teleservice, Télémarketing, Télétravail) pour acquérir plus d’expérien-ce professionnelle.

Est-ce facile de gérer ces trois activités en même temps ?Ce n’est pas trop évident , je n’ai pratiquement plus le

Bonjour, peux-tu te présenter aux lecteurs ?Bonjour ! Je m’appelle Ramla-tou Diallo, j’ai 20ans et je suis d’origine guinéenne. J’ai vécu en Guinée depuis que je suis toute petite mais je voyageais entre les différentes régions. Cela fait maintenant 2 ans que je me suis installée à Dakar, et je suis actuellement des cours en Maintenance et Réseaux. Pour le moment je suis en 2ème année, et j’ai pour objectif d’ar-river jusqu’à la licence.

D’où t’es venue cette passion pour la mode et la création? Disons que j’aime voir une personne bien habillée. Je dois aussi mon savoir faire à mon couturier (Alphao) de la Guinée ; il m’a beaucoup inspiré parce qu’il faisait des habits vraiment magnifiques.

As-tu suivie une formation spécifique pour exercer ce métier?Non je n’ai suivi aucune forma-tion, j’ai juste eu besoin d’un peu d’imagination et du bon sens. J’aime innover, j’ai une imagination assez débordante et j’aime bien la nouveauté et l’originalité.

Interview de la jeune styliste Ramlatou Diallo

RAMLATOU : (20 ans)Styliste.

INTERVIEWINTERVIEW

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En quoi consiste réellement le métier de styliste ?Apporter aux gens une plus grande ouverture d’esprit concernant la mode ; tout le monde peut être styliste, il faut juste avoir « l’œil » , un esprit créatif, et être passionné.

Qu’aimeriez-vous voir émer-ger de vos collections?Faire sortir la culture Guinéen-ne et pousser les gens à visiter et connaitre mon pays.

Quelles sont vos sources d’ins-piration dans le domaine de la mode ?Alphadi un grand couturier nigérien, j’aime bien ses créa-tions... il a du goût et du talent.

Quelles sont les matières avec

lesquelles vous aimez tra-vailler ?Le leppi ou les pagnes qu’on appelle chez nous foret sacrée.

Quelles seraient les qualités requises pour percer dans le monde de la mode ?La créativité, avoir du goût, aimer la nouveauté, être ambi-tieux et être ouvert à toute sorte de changement.

As-tu l’intention de monter une ligne « Ramlatou » ?Non pas vraiment je n’y pense pas pour l’instant. On verra bien d’ici quelques années !

Quels sont tes projets d’ave-nir ?Avoir un bon travail, évoluer

dans tout ce que j’entreprends, et me trouver un bon mari ! (rires)

Un conseil pour les person-nes qui aimeraient, comme toi, devenir styliste...Il faut avoir confiance en soit, persévérer, se donner la pos-sibilité d’arriver à ses fins et avoir la foi.

Un petit mot pour les lec-teurs de Wassup Mag ?J’adore ce mag ! Ils ont de l’imagination, j’encourage les lecteurs à plus s’y intéresser et les éditeurs à persévérer.

Merci !

MTN

Comme l’a dit Confucius : ‘‘Exige beaucoup de toi-même, et attend peu des autres’’. Moi je vais aller plus loin et dire : exige beaucoup de toi-même, et n’attend rien des autres.

Pourquoi avoir choisi un établis-sement pour le tournage de votre clip, et en particulier le notre?Déjà j’entretiens e très bonnes re-lations avec le directeur, Mr Diop, et la dernière fois que je suis venu ici j’ai été très bien accueilli, j’ai ressenti une atmosphère vraiment agréable. Il ya aussi le statut de l’école ; Ici il y a des jeunes qui apprennent, qui ne demandent qu’à apprendre et à partager leur savoir. C’est une école moderne, et non comme celles qu’on montre dans les documentaires, avec une porte en piteux état sans poignée, des fe-nêtres sans volets, des professeurs qui écrivent sur des tableaux en carton, etc. C’est une école mo-derne, qui bouge en même temps que le monde. Chaque étudiant a son ordinateur, ses logiciels ; ils passent leur temps à penser, à créer, à développer de nouveaux logiciels, à entreprendre de nou-velles choses. Il faut montrer cette Afrique qui vit à l’heure et à la vitesse du monde. Et comme on dit, « prendre du temps c’est per-dre du temps. Et perdre du temps, c’est perdre de l’argent ». Time is money ! Ce n’est pas seulement une question d’argent, mais qu’on le veuille ou non c’est l’argent qui gouverne le monde. Faut peut-être qu’on sache que nous sommes auto-suffisants maintenant, et que nos lois nous allons les établir nous même. Nous sommes là dans le cadre du tournage de mon prochain clip, qui porte le nom de WORK, WORK qui veut dire « travail »

Votre clip s’intitule ‘’Work’’. Pouvez-vous nous dire pourquoi vous avez choisi ce nom ? Parce qu’on veut montrer l’image d’une Afrique qui se prend en main, et qui ne tend pas la main. Une Afrique qui travaille à tous les niveaux : artisanal, technolo-gique, financier, une Afrique qui entreprend et qui fait des choses, qui n’est pas là à attendre qu’une Organisation non gouvernementale ou internationale fasse bouger les choses.

Devrions-nous dans ce cas refuser toute aide extérieure ?Toute aide est la bienvenue, il en va de soit, mais nous ne comptons pas là-dessus pour nous développer. Parce que la génération qui est là en train d’étudier, c’est cette géné-ration qui tiendra les rennes demain. Vous avez vu ce qui s’est passé avec les colonies françaises, et tout ça... Ils nous ont divisés pour mieux régner. Ce discours n’a rien de xénophobe, il est juste réaliste. Maintenant il faut qu’on ouvre les yeux et qu’on bouge à la vitesse du monde. Le monde va vite, les gens n’ont même plus le temps d’aller se voir les uns les autres, tout se fait par le biais d’internet. Malheu-reusement il ya des choses qui se pas-sent en ce moment et qu’on déprécie vraiment, com-me c’est le cas par exemple

INTERVIEW

Artiste

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DUggy Tee

en Côte d’Ivoire, en Lybie... Tout ceci est dû au manque de commu-nication, les gens ne savent pas ce qu’ils font. Nous sommes en train de perdre nos valeurs culturelles, traditionnelles, et nous devons pré-server et développer celles qui res-tent. L’Afrique défaitiste qui pense que tout ce qui lui arrive relève de la volonté divine est morte. Nous, nous sommes la nouvelle Afrique, les nouveaux africains, les précur-seurs de l’Afrique de demain. Je pense que nous avons assez appris grâce aux bêtises et aux erreurs commises par nos aînés, et nos parents. Il y a aussi énormément de bonnes choses qui ont été faites. Mais en général, c’est déplorable, les priorités de la majeur partie des chefs d’Etats africains ne sont pas les priorités du peuple.

Qu’est ce qui pourrait être fait pour changer les choses ?Le peuple a besoin de 4 choses pour que le pays se développe : la santé, l’éducation, la sécurité, et l’emploi. Sans ces 4 choses aucun pays ne peut se développer. Et j’aimerai ajouter une chose ; je ne suis pas écolo, je suis juste réaliste. Il faut préserver nos ressources naturelles et notre environnement, parce que nous sommes littérale-ment en train de nous faire piller par des étrangers. Ils ne vien-nent pas ici parce qu’ils aiment l’Afrique, mais parce qu’ils ont tellement exploité leurs sols, leurs matières premières, qu’ils n’ont plus rien chez eux, et n’ont d’autre choix que de venir se ravitailler ici, en Afrique. Maintenant on parle de bio, et quand on parle de bio on se dirige vers l’Afrique. C’est eux qui viennent tout racheter afin d’alimenter les caisses de leurs pays. C’est bien beau de parler des problèmes auxquels nous sommes confrontés, mais il faudrait aussi que l’on propose des solutions. Cela ne sert à rien de critiquer si

nous on apporte rien, et la premiè-re étape du développement c’est la communication.

Que faites vous pour pallier a ce problème ?Moi je suis dans la communica-tion, je suis musicien. Je crois que la musique est le vecteur de communication le plus puis-sant au monde ; ça je le dis haut et fort. Parce que mis à part les instruments, rien que la voix et les textes forment un ensemble qui touche les cœurs. Nous avons beau nous développer, nous restons des êtres humains. Il faut diffuser des messages positifs qui pousseront les gens à travailler en conscience

d’eux même, et qui fera en sorte qu’ils puissent aimer ce qu’ils sont, accepter et respecter ce qu’ils sont, afin de s’affirmer en tant que tel et prendre leur avenir en main.

Avez-vous un message à faire passer ?Comme l’a dit Confucius : ‘‘Exige beaucoup de toi-même, et attend peu des autres’’. Moi je vais aller plus loin et dire : exige beaucoup de toi-même, et n’attend rien des autres.. Le premier combat, c’est l’ego, et après ce sont ses démons.

Fogui Gino et Arnaud Satsa

BlaguesPendant le mondial

Pendant le mondial, Raymond Dome-

nech en a vraiment marre des mauvais

résultats de l’équipe de France de foot-

ball. Il décide d’appeler Aimé Jacquet,

pour lui demander quelques conseils.

Raymond Domenech au téléphone :

- Allô, Aimé ? Ici c’est Raymond. Dis-

moi, comment ferais-tu pour avoir une

bonne équipe ?

Aimé Jacquet accepte de lui donner un

petit coup de pouce :

- Écoute, c’est simple ! Tous les jours

à l’entraînement, tu disposes onze

mannequins en plastique sur le terrain,

tu fais jouer les gars contre ces man-

nequins, et comme ils vont gagner à

chaque fois au moins 80 à 0, ils vont

avoir un moral d’acier !

Raymond Domenech, emballé :

- Ah d’accord ! Je vais essayer...!!

Deux jours plus tard, Domenech rap-

pelle Aimé Jacquet :

- Dis donc Aimé, j’ai fait ce que tu

m’as dit, mais que fais-tu quand les

gars perdent 2-0 contre les manne-

quins pendant l’entrainement ?

Dans une famille où les parents

divorcent

Dans une famille où les parents divor-

cent, le juge demande à l’enfant :

- Alors, mon petit, tu voudrais habiter

chez lequel de tes parents ?

- En tout cas pas chez ma mère, elle me

bat.

Le juge regarde la mère d’un air mé-

chant et continue :

- Alors dans ce cas, il reste ton père...

- Ah non, pas mon père non plus, il me

bat aussi.

Toujours d’un air accusateur, le juge

fixe les parents et pour finir :

- Mais alors, chez qui tu voudrais

habiter ?

- J’aimerais habiter au PSG, parce

qu’eux au moins, il n’ont encore battu

personne !

Bulletin scolaire :

C’est une mère qui rentre dans la

chambre de sa fille et qui trouve, sur le

lit vide, une lettre, elle imagine tous de

suite le pire. Sur la lettre il y avait écrit :

«chère maman chérie, je t’écris pour te

dire que j’ai, malheureusement, quitté la

maison pour aller vivre avec mon petit

copain.

S’il te plaît ne me cherche pas nous

allons former une très grande famille

dans sa caravane dans la forêt.

Et oui maman je suis enceinte enfin, ne

t’inquiète pas j’ai déjà 18 ans je suis une

adulte et le manque d’expérience que

j’ai, mon copain le comblera du haut

de c’est 44 ans, de plus j’espère que la

science va trouver un remède contre le

sida pour guérir Abou mon mec.

Bon je te laisse, je vais prendre l’avion pour aller au Sri Lanka chez les parents d’Abou, je reviens dans un an et demi pour te présenter tes petits enfants.Je te fais d’énorme bisous : CLAI-RE

PS: je te raconte des conneries je suis chez les voisins, c’était juste pour te dire que dans la vie il y a des choses BEAUCOUP plus impor-tantes que le bulletin scolaire, que tu trouveras sur la table de nuit...je t’aime TRES,TRES, for

Chanteur En classe de C.P, la maîtresse demande aux élèves de citer un chanteur contemporain. La petite Julie lève le doigt : - Chantal Goya, Madame. - Hmmm oui, c’est bien Julie. Un autre ? - Francis Lalanne, Madame - Non, j’ai dit chanteur. Un autre ? - Demis Roussos, Madame dit la petite Nathalie,- Bien, Nathalie. Encore un ? Momo alors lève le doigt : - M’dame, Nathalie elle a dit Demis Roussos, mais c’est pas bon. - Pourquoi Momo, Demis Roussos est bien chanteur pourtant ? - Oui, M’dame, mais vous avez dit un chan-teur contemporain, et Demis Roussos il est comptant pour deux !

Blagues et proverbes21

Le stress

Diseur de bons mots, mauvais caractère.Ce proverbe est de Blaise Pascal ; Pensées, i, 46 (1670).Pascal est un mathématicien et physicien fran-çais né le 19 juin 1623 et décédé le 19 août 1662.Explication: Dans ce proverbe de Pascal, il faut entendre «mauvais caractère» dans le sens «peu estimable». On accorde peu d’estime à certaines plaisanteries qui sont déplacées.

Il faut découdre et non déchirer l’amitié.Ce proverbe est de Caton le Censeur (Homme politique romain 234-149 av. J.-C.) ; IIe S. av. J.-C.Explication: Il vaut mieux avoir une bonne

Faut-il du stress pour apprendre ? Comment le stress se manifeste? Est-il utile pour apprendre efficacement? N’est-il pas également destructeur? Quelles sont les astuces pratiques pour lutter contre le stress? On ne finira pas de parler du stress, dans le numéro précédent nous avons développé une série d’astu-ces pour la bonne gestion de notre stress ; ce mois ci nous intégrons le milieu scolaire afin d’aider d’aucuns d’entre vous a gérer leur année scolaire.

Stress et échec scolaire seraient-ils liés ?Toutes les études médicales sur le sujet sont unani-mes : le stress est nocif, il est la cause de plus de la moitié des arrêts maladie en Europe, ce qui représen-te un véritable fléau pour les comptes de la sécurité sociale. C’est dans cette même logique de nocivité que nombreux sont les pédagogues qui prônent un minimum de stress pour les élèves dans leur appren-tissage. Stress et échec scolaire seraient-ils liés ?Mais ne dit-on pas parfois que le stress est bon ? La question est pourtant loin d’être « idiote ». En effet n’a-t-on pas besoin d’une dose de stress « salvateur » pour finir un travail urgent, pour nous pousser à apprendre une leçon face aux examens qui s’annon-cent ? Certains chefs d’entreprise ne jurent que pas

explication plutôt que de perdre une amitié. Découdre indique en venir aux mains, mais ce proverbe l’évoque dans le sens «avoir une expli-cation».

À se cogner la tête contre les murs, il ne vient que des bosses.Ce proverbe est de Georges Musset (né le 26 novembre 1844 à Thairé, et décédé le 18 mai 1928 à la Rochelle), Proverbes de Saintonge (1897).Explication : Quand le désespoir est là, bien présent, rien ne sert de s’infliger des sanctions ! La vie nous réserve bon nombre de déceptions, mais mieux vaut trouver quelques solutions qu’un supplice corporel.

le management par le stress pour pousser les salariés à trouver des solutions et à se dépasser.

L’origine du stress?Tout cela semble bien contradictoire. Alors quelle attitude tenir face au stress ? Faut-il l’encourager ou le bannir ? En fait la question ne se pose pas dans ces termes. Il y a différents types de stress. Aussi bizarre que cela puisse paraître, le stress est une réaction de défense de l’organisme pour faire face aux circonstan-ces exceptionnelles, et se surpasser. C’est par exem-ple le cas classique que vivent les étudiants lorsqu’il s’agit d’écrire un mémoire : c’est au moment où le délai pour rendre le travail approche, où le temps dis-ponible se fait plus rare que le stress pousse à trouver l’inspiration et l’énergie nécessaire pour terminer le travail. Ce stress sera d’autant plus fort que l’enjeu est important. Le mécanisme est tout simplement biolo-gique.Par contre, il est aussi bien établit qu’un stress prolon-gé et excessif à des effets néfastes. Néfastes d’abord sur l’état d’esprit et ensuite néfaste sur la santé. De nombreuses études montrent un affaiblissement des défenses immunitaires. C’est comme cela que le stress crée les conditions favorables à un déclenchement de maladies qui deviennent alors plus fréquentes.

Proverbes :

Qu’est-ce que le bon stress?En résumé, il y a ce que l’on appel le bon stress qui provient de nous même (comme par exemple vou-loir réussir des examens, c’est nous même qui nous imposons cette volonté) et qui est de courte durée. Ensuite il y a le mauvais stress issu des pressions ex-térieures (comme les exigences d’un chef, d’un pro-fesseur qui semblent irréalistes) qui se manifeste sur une durée bien plus longue. Tout est aussi question de bon dosage : un peu de stress de temps en temps est naturel. Mais se soumettre à un stress prolongé est mauvais, voir dangereux.Dans un travail d’apprentissage, le stress fait souvent suite à un affolement. On sent que l’on ne va pas y arriver. On se fait des images mentales sur la catas-trophe qui ne va pas manquer de se produire, car on n’aura pas appris suffisamment (selon nous). En fait ce sentiment est dans 80% des cas non vérifié par la réalité des choses. (Sauf bien sûr, si on ne fait rien). Mais l’état de stress généré par cette peur injusti-fiée va créer les conditions de l’échec : dans un état d’esprit négatif, la personne ne travaillera pas de manière efficace. Il lui faudra donc plus de temps. Ce temps sera pris sur les loisirs et c’est comme cela que la même personne se fatigue, s’épuise et devient encore moins performante. C’est ainsi que le jour de l’échéance (que ce soit un examen, un devoir surveillé ou une soutenance de mémoire) les choses auront toutes les chances de mal se dérouler, l’échec étant « préprogrammé » à cause de cet état de stress du départ.

Quelques astuces et rappelCeux qui apprennent le mieux et le plus rapidement ne sont pas forcement ceux qui ont une grande faculté de mémorisation, mais sont ceux qui savent travailler le plus efficacement. Voici quelques astu-ces à connaître :

Interrogez vous sur l’origine de votre stress. Est-ce que devant une difficulté vous avez tendance à paniquer ? Subissez-vous un stress prolongé ?

On est rarement au mieux de sa forme durant l’ensemble de la journée. Vers 11 heures et après le repas (de 13 heures jusqu’à 15 heures environ) l’or-ganisme fonctionne au ralenti. Et c’est normal ! Il est bon de faire une petite sieste après le repas de midi. Des études américaines démontrent qu’un quart d’heure de sieste, (en état de somnolence) permet d’être plus efficace et de gagner 2 heures de travail dans la journée.

La concentration n’est pas constante. Celle-ci peut baisser de 50% voir plus au bout d’une heure et demie de travail. Il convient de s’accorder de petites pauses de quelques minutes, dans l’effort intellec-tuel.

Découvrez comment vous apprenez, décortiquez votre stratégie d’apprentissage afin d’apprendre de la manière la plus efficace qui soit pour vous. Sachez, que chacun à sa propre façon d’apprendre.

• 1. RespirerLa respiration est l’un des meilleurs moyens pour se relaxer. Les sages expliquent qu’elle est le lien entre l’esprit et le corps. Ils enseignent que la qualité d’une vie dépend de la qualité de la respiration. Il s’agit d’une respiration profonde par le ventre. Pour le faire, il peut être plus facile de poser sa main sur son ventre.

• 2. Se concentrer sur son ventreLa concentration permet de libérer les tensions du corps. Il suffit de porter son attention sur le ventre. Au début, on peut le faire en baissant la tête pour regarder son ventre.

• 3. Être présent«Dans presque toutes les méthodes d’harmonisation intérieure, il nous est demandé de nous concentrer. Il s’agit donc moins de faire le vide que d’être présent à quelque chose: à nos membres, à notre respiration, à nos idées, à des formules, à des sons ou à de la musique, à des consignes enregistrées sur cassette, à certains mouvements, à certaines sensations, à des images, à la flamme d’une bougie, à des objets, etc. (...) Dans le quotidien, la présence aux choses et aux êtres rend la vie beaucoup plus belle.» Jacques Lafleur, Relaxer. Des stratégies pour apprivoiser son stress, Éditions Logiques, 1998.

• 4. Masser ses musclesLe massage permet de détendre les muscles. Il peut se pratiquer à deux ou seul. Il est possible de passer plus d’un heure pour masser doucement toutes les parties du corps.

• 5. Ecouter une musique zenLa musique douce est une bon moyen de se déten-dre. Ecouter «Zenradio» par exemple.

• 6. Adopter une position qui permette la détendre ses muscles«Quand on est stressé, tous nos muscles se contrac-tent. On peut cependant les détendre, en partie, en prenant une posture qui ne nécessite pas de contrac-tion. Les positions allongée et assise facilitant le relâchement de la plupart des muscles, on les utilise dans la majorité des méthodes de relaxation.» Dans «Relaxer», l’auteur suggère des positions tirées du yoga, du training autogène(Le training autogène de Schultz se base sur un phénomène d’auto-hyp-nose qui a pour but d’abaisser légèrement le niveau de vigilance (beaucoup moins que pendant l’hyp-nose traditionnelle). Le but de cette technique est d’obtenir une relaxation qui est induite un par une sensation de pesanteur et de chaleur parcourant les membres supérieurs et inférieurs. Cette pesanteur est source de décontraction des muscles ce qui aboutit à l’apparition d’une sensation de chaleur qui augmente l’irrigation sanguine de la peau), de la sophrologie ( Pratique visant à maîtriser la douleur et l’angoisse par des moyens psychologiques)et de l’anti-gymnas-tique. Jacques Lafleur, Relaxer. Des stratégies pour apprivoiser son stress.

• 7. Penser à une scène relaxanteFermer les yeux et se projeter dans un endroit calme que l’on connait ou pas. Cela peut être au bord d’une plage calme. Regarder autours de soi. Ecouter le bruit du l’eau.

• 8. Pratiquer la méditation de contemplationIl s’agit de regarder ses pensées apparaître et dispa-raître.

Angleo

Horoscope Bélier Vous faites preuve d’une générosité naturelle. Votre altruisme est incontestable et fort apprécié. Vous êtes très expansif. Aussi pensez à freiner vos impulsions. Usez de votre intuition. Vous savez parfaitement faire face aux obs-tacles et à l’adversité. Cependant ne foncez pas tête première. Avant d’agir, prenez le temps de la réflexion. Si vous arrivez à canalisez vos passions, vous pourrez les utiliser à bon escient.

Taureau Jeux de séduction et situations érotiques animeront les soirées autour de votre anniversaire. Les choses s’engageront positivement, vous jouerez sur du velours. Les influx décupleront votre dynamisme et votre esprit d’aven-ture. Proposez vos idées, c’est le moment d’ouvrir des portes et de pénétrer sur de nouveaux marchés. Le Soleil veillera sur vous et baignera votre carrière de lumière.

Gémeaux Vous pensez que vous ne trouverez pas le partenaire idéal. Soyez encore un peu patient, vous finirez par le trouver. Si vous êtes en couple, vous arriverez à calmer vos doutes en fin de mois.Vous avez tendance de passer de l’eupho-rie à la mélancolie. Tentez de trouver un moyen de mieux contrôler ses éruptions émotionnelles. Ecimez vos pointes d’émotion, c’est le seul moyen pour retrouver votre équilibre. Ainsi, vous états dépres-sifs ne seront plus aussi forts.

Cancer Période agréable pour les cancers fait de séduction et d’érotisme discrets. Libre à vous de courir les bals costumés ou de tomber amoureuse pour éprouver des sensations inédites.Vous ne manquerez pas de punch. Pourquoi ne pas tenter l’aventure ? Misez sur une pointe d’insolence pour prépa-rer le terrain et des actions !

Lion Il faut que vous vous posiez des questions sur les chan ces qui vous ont été offertes ces derniers temps. Il faut prendre des décisions qui ne peuvent plus être repoussées. En fin de mois, vous verrez plus clair dans votre vie sentimentale et vous serez moins exposé au stress.Ne repoussez pas vos tâches importantes au mois prochain car ce qui doit être fait maintenant est prioritaire. Ce projet va encore vous donner des maux de tête.

Vierge Qu’y a-t-il de plus beau que le grand amour ? Ce mois- ci, vous êtes particulièrement comblé. Le monde entier se transforme en un grand paradis. Et le mieux dans tout ça, c’est que ça va durer. Si vous ne le remarquez pas encore, attendez-vous à ce que le bonheur vienne frapper à votre porte.Rien ne peut vous déstabiliser ce mois-ci. Vous êtes dans une forme extraordinaire. Vos performances et votre concentration sont au plus haut point. Cet état vous a fait oublier les difficultés des derniers temps. Votre moral et votre organisme se reposent et vous resplen-dissez. Continuez ainsi, vous en serez récompensé.

Balance Vous avez de bonnes chances pour un nouveau départ en amour. Même si vous avez trouvé depuis longtemps déjà votre partenaire idéal, vous allez maintenant le redécouvrir. C’est ce qui rend l’amour passionnant.. Réjouissez-vous !Vous êtes au top de votre forme et de votre bonne humeur. Partez donc en vacances en famille ou avec des amis pour profiter à fond de votre bonheur. Rechargez vos batteries pour les moments difficiles.

Scorpion Une personne va croiser votre route et mettre votre vie sans dessus dessous. Rien ne sera plus comme avant. Mais n’ayez pas peur, ça sera formidable. Votre passion va redoubler et vous serez sur un petit nuage. Mais n’oubliez pas de respirer malgré tout cet amour. Ça doit encore durer un peu.Vous avez une condition physique extraordinaire qui vous autorise tout ce que vous désirez. La seule chose à surveiller est une alimentation équilibrée et de ne pas consommer ni alcool ni tabac.

Sagittaire Vous avez le sens des affaires et de très bonnes idées. Mais essayez de mieux exposer vos propositions afin d’engranger en fin de mois quelques succès.Allez plus souvent au grand air et laissez-vous masser. De la sorte, vous arriverez à remédier à ces fâcheuses conséquences. Mais à long terme, il faudra bien rechercher les causes profondes de ces troubles.

Capricorne Vous débordez de charme, vous êtes entreprenant et vous flirtez volontiers. Le bonheur viendra sonner à votre porte. Si vous êtes célibataire, vous allez rencontrer le grand amour. Si vous êtes dans une relation, ce sont des grands moments de bonheur qui vous attendent.Continuez à vous concentrer sur votre travail pour récolter les fruits du succès. Vous êtes également habile dans vos affaires financières, c’est pourquoi vous n’avez aucun souci à vous faire.

Verseau Votre vitalité est au summum et vous donne de l’énergie supplémentaire de sorte que vous vous sentez parfaitement dans votre peau. Ne faites pas des tours de passe-passe avec vos finances ce mois-ci. Sinon, vous risquez de vous en mordre les doigts. Evitez les grosses dépenses. Professionnellement parlant, tout va bien. vous débordez d’idées nouvelles. Si vous êtes sans emploi, il se pourrait que vous trouviez l’emploi de vos rêves.

Poisson Vous pouvez flirter tant que bon vous semble. Vous rayonnez de bonheur, ce qui promet un mois plein de forts moments. Votre partenaire est amoureux comme jamais encore et de très nombreuses soirées câlines sont au programme. Les célibataires ont de l’influence, alors profitez de cette belle période.

Arnaud Satsa

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