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Septembre 2008 | Volume 31 | Numéro 3 Bulletin de l’Association des médecins omnipraticiens de Montréal (Affiliée à la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec) (suite à la page 3) Valoriser la médecine familiale, une nécessité L a médecine familiale traverse des moments difficiles. Boudée par les étudiants depuis deux ans, 21 et 23 % des postes de résidence n’ont pas été comblés au Québec en 2006 et 2007. Qui plus est, certains des nôtres vont désormais parfaire leur formation dans d’autres provinces. Et ceci ne représente que la pointe de l’iceberg. La médecine familiale est en perte de vitesse depuis près de quinze ans et les causes sont multiples. La situation ne cesse de se détériorer. Les médecins de famille se sentent de plus en plus isolés dans leur cabinet. La rupture des liens hospitaliers a engendré la difficulté d’accès aux consul- tants, aux plateaux techniques, ainsi qu’à l’in- formation nécessaire. Pour une rémunération nettement supérieure et un rôle plus valorisé, la spécialisation semble être le choix tout indiqué pour nos étudiants. Les étudiants boudent la médecine familiale, peut-on les en blâmer ? Certains suggèrent de faire de la médecine familiale une spécialité pour enrayer le problème. Cette solution n’est pas nouvelle. Je vous ramène en février 1962, il y a 46 ans, avant la naissance de la Fédération lors d’une réunion de l’Association des médecins omnipraticiens de Montréal : « Le docteur Georges Desrosiers fit valoir qu’on devait dorénavant considérer la médecine familiale comme une discipline particulière de la médecine et en faire fixer les normes comme on l’a fait pour les spécialités ».* La médecine familiale vivait à cette époque une situation semblable à celle d’au- jourd’hui. Pour ces omnipraticiens, alors relégués au niveau des sans diplômes par la classe émergente des spécialistes, privés de l’accès aux hôpitaux et incapables de se retrouver dans les départements de médecine générale qu’on leur refusait, la reconnais- sance de la spécificité de notre discipline prit une place prépondérante dans la création du syndicalisme médical au Québec. Depuis, les choses ont tout de même évolué : cette discipline fut reconnue par une formation spécifique et par la particu- larité de son approche. On ne pratique plus ce métier par défaut, il faut s’y former. Mais ce n’est certes pas suffisant comme nous le constatons et nous en convenons. Difficile cependant d’imaginer com- ment la création d’une spécialité en méde- cine familiale modifiera la situation actuelle. Que tous les médecins de famille devien- nent des spécialistes ne leur ouvrira pas la porte des plateaux techniques et des corri- dors de service et ne les rémunérera pas mieux. Et penser que certains pourraient l’être et d’autres pas, me semble irrespon- sable. Quel que soit notre âge, nous sommes tous des médecins de famille et devrions tous, sans exception, devenir spécialistes, si tel était le cas. La valorisation de cette magnifique profession doit passer par l’attrait qu’elle suscitera aux étudiants. Le cursus et les exigences ne peuvent être simplifiés pour y arriver. Être médecin de famille est difficile et le restera. D r Marc-André Asselin É ditorial É Dépôt à la Bibliothèque nationale du Canada et du Québec, 2 e trimestre 1985 ISSN 0831-6465 Bulletin de l’Association des médecins omnipraticiens de Montréal (Affiliée à la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec) © Photo : Le Médecin du Québec

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Septembre 2008 | Volume 31 | Numéro 3

Bulletin de l’Association des médecins omnipraticiens de Montréal(Aff i l iée à la Fédération des médecins omnipratic iens du Québec)

(suite à la page 3)

Valoriser la médecine familiale,une nécessité

L a médecine familiale traverse desmoments difficiles. Boudée par lesétudiants depuis deux ans, 21 et 23%

des postes de résidence n’ont pas étécomblés au Québec en 2006 et 2007. Quiplus est, certains des nôtres vont désormaisparfaire leur formation dans d’autresprovinces. Et ceci ne représente que la pointede l’iceberg. La médecine familiale est enperte de vitesse depuis près de quinze ans etles causes sont multiples. La situation ne cessede se détériorer. Les médecins de famille sesentent de plus en plus isolés dans leurcabinet. La rupture des liens hospitaliers aengendré la difficulté d’accès aux consul-tants, aux plateaux techniques, ainsi qu’à l’in-formation nécessaire. Pour une rémunérationnettement supérieure et un rôle plus valorisé,la spécialisation semble être le choix toutindiqué pour nos étudiants.

Les étudiants boudent la médecinefamiliale, peut-on les en blâmer ?

Certains suggèrent de faire de lamédecine familiale une spécialité pourenrayer le problème. Cette solution n’est pasnouvelle. Je vous ramène en février 1962, il ya 46 ans, avant la naissance de la Fédérationlors d’une réunion de l’Association desmédecins omnipraticiens de Montréal :

« Le docteur Georges Desrosiers fitvaloir qu’on devait dorénavantconsidérer la médecine familialecomme une discipline particulière dela médecine et en faire fixer lesnormes comme on l’a fait pour lesspécialités ».*

La médecine familiale vivait à cetteépoque une situation semblable à celle d’au-jourd’hui. Pour ces omnipraticiens, alorsrelégués au niveau des sans diplômes par laclasse émergente des spécialistes, privés del’accès aux hôpitaux et incapables de seretrouver dans les départements de médecinegénérale qu’on leur refusait, la reconnais-sance de la spécificité de notre discipline pritune place prépondérante dans la création dusyndicalisme médical au Québec.

Depuis, les choses ont tout de mêmeévolué : cette discipline fut reconnue parune formation spécifique et par la particu-larité de son approche. On ne pratique plusce métier par défaut, il faut s’y former. Maisce n’est certes pas suffisant comme nous leconstatons et nous en convenons.

Difficile cependant d’imaginer com-ment la création d’une spécialité en méde-cine familiale modifiera la situation actuelle.Que tous les médecins de famille devien-nent des spécialistes ne leur ouvrira pas laporte des plateaux techniques et des corri-dors de service et ne les rémunérera pasmieux. Et penser que certains pourraientl’être et d’autres pas, me semble irrespon-sable. Quel que soit notre âge, noussommes tous des médecins de famille etdevrions tous, sans exception, devenirspécialistes, si tel était le cas.

La valorisation de cette magnifiqueprofession doit passer par l’attrait qu’ellesuscitera aux étudiants. Le cursus et lesexigences ne peuvent être simplifiés pour yarriver. Être médecin de famille est difficileet le restera.

Dr Marc-André Asselin

ÉditorialÉ

Dépôt à la Bibliothèque nationaledu Canada et du Québec,

2e trimestre 1985ISSN 0831-6465

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L’OMNI VOUS PUBLIERAL’OMNI est un bulletin d’information

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ÉommaireSPAGE

ÉDITORIAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1

Un sincère merci . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3

Nos priorités 2008. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4

Ce n’est qu’un au revoir ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5

Assemblée générale annuelle, version revisitée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5

Bienvenue à nos nouveaux membres ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5

Colloque des délégués de l‘AMOM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6

Une nouvelle direction au DRMG . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7

Élections à l’AMOM. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7

Troisième tournoi de golf des fédérations médicales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8

L’AMC honore un de nos membres… . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8

L’Association amorce une consultation auprès de ses omnipraticiens à l’aube de la retraite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9

Le comité des jeunes médecins de la FMOQ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10

Remerciements à nos jeunes et nos moins jeunes ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10

Offres d’emploi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11

Assemblée générale annuelle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12

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Septembre 2008 Bulletin de l’Association des médecins omnipraticiens de Montréal

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La voie choisie par la Fédération se définit par laremise sur rails de tous les wagons défectueux. Il fautexiger du ministère une politique nationale sur lamédecine de famille, augmenter l’exposition de ladiscipline aux étudiants, et cela dès les premièresannées prédoctorales, corriger les iniquités derémunération entre les omnipraticiens, les spécialisteset les autres médecins canadiens et, enfin, redonner àtous les médecins de famille les outils indispensables àleur pratique.

Il n’y a pas d’autres solutions et il y a urgence. LaFMOQ a déjà entrepris les travaux et déposera, dèsl’automne, son plan de valorisation de la médecinefamiliale. C’est un projet ambitieux et essentiel.

Le désir d’offrir à chaque citoyen du Québec unmédecin de famille autrement qu’en paroles, passeobligatoirement par la volonté d’en valoriser la réalité.Il y a des incongruités de taille dans le discoursgouvernemental actuel. Vouloir faire du médecin defamille le fondement de notre système de santé en luioffrant les piètres moyens dont il dispose actuellement,reflète une incompréhension sérieuse de la réalitémédicale.

Dr Marc-André AsselinPrésident

Éditorial… (suite de la page 1)

A près plus de 15 ans au service des omni-praticiens de Montréal, le Dr Serge Duludea choisi de réorienter sa carrière et de se

lancer de nouveaux défis : il vient d’être nommédirecteur de la Planification et à la Régionalisation dela Fédération des médecins omnipraticiens duQuébec, en remplacement du Dr Jacques Ricard.

À l’AMOM, Serge a occupé le poste deconseiller du secteur Ouest pendant quatre ans,avant d’accéder à celui de secrétaire de l’Associa-tion, fonction qu’il exerce depuis déjà 12 ans. Ilassumait également la responsabilité du présentbulletin, et il s’agit donc de son dernier numéro àtitre de rédacteur.

Simultanément, comme vous le savez, il a habile-ment assuré avec grande générosité la direction duDépartement régional de médecine générale deMontréal. Après huit ans d’intense labeur, il avaitchoisi d’en abandonner ses fonctions au printempsdernier.

Qualifier Serge de bourreau de travail n’éton-nera personne, ni d’ailleurs recevoir un de ses

messages électroniques tard dans la nuit. Il fut etrestera un fier allié de l’Association de Montréal etde ses membres, et son départ laissera un videimportant dans nos rangs. Nous avons toujours pucompter sur sa présence, sa disponibilité et safidélité. Ce fut un réel plaisir de partager avec luiles grands défis des 15 dernières années.

Il ne sera pas bien loin, bien sûr, mais ne seraplus avec nous. Il œuvrera désormais au service detous les omnipraticiens du Québec, rôle qu’iljouera avec panache et compréhension, nous ensommes convaincus.

Serge, au nom des membres du Bureau del’AMOM et au nom des médecins de Montréal, jete souhaite beaucoup de bonheur et de succèsdans les défis que tu as choisis et qui t’attendent.

Un gros merci !

Dr Marc-André Asselin Président

Un sincère merci au nom de tous les omnipraticiens montréalais… le Dr Serge Dulude quitte l’Exécutif de l’Association de Montréal

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Chers amis omnipraticiens et omnipraticiennes de Montréal,

D e toute évidence, 2008 représente uneannée charnière au niveau de ma carrière etelle aura été remplie de grandes émotions.

En effet, au printemps, je terminais mondeuxième mandat de chef du département régionalde médecine générale et, après huit années en fonc-tion, je décidais de passer le flambeau.

Par ailleurs, j’ai eu l’honneur d’être le chef d’uneéquipe médicale formée de six professionnels de lasanté à l’hôpital Sainte-Anne-de-Bellevue. Notremandat visait à assurer les services de santé à unedélégation canadienne de plus de cent personnes,principalement constituée d’anciens combattantsde la guerre de Corée. En juillet dernier, nous avonsd’ailleurs eu l’opportunité de nous rendre en Coréedu Sud, voyage tout à fait mémorable.

À mon retour d’Asie, j’ai postulé au poste affichéde directeur de la Planification et de la Régionalisa-tion de la FMOQ et ma candidature fut retenue. J’as-sumerai donc cette fonction à partir du 1er novembreprochain. Il me tarde de débuter le travail et je tiensà remercier le Dr Louis Godin, président de la FMOQ,ainsi que les membres du comité de sélection,présidé par le Dr Claude Saucier, de cette marque deconfiance. Ils ne seront pas déçus, vous non plus.

Mon entrée en fonction implique que je cessede pratiquer la médecine, décision des plus difficilesà prendre, vous en conviendrez, mais j’ai toutefoisla certitude que telle est ma voie. Je mets donc finà mes activités cliniques au sein du Centre médicalSainte-Anne, dont je suis l’un des fondateurs, et del’Hôpital Sainte-Anne. J’aurai œuvré dans ces deuxmilieux durant vingt-sept merveilleuses années.

C’est avec un pincement au cœur que je quittemon poste de secrétaire de l’AMOM, poste quej’occupe avec fierté depuis 1996. J’ai eu la chanced’évoluer au sein d’un Exécutif très dynamique etd’un groupe de conseillers de secteur exceptionnel.

Je vous connais fort bien, omnipraticiens deMontréal, et mon modus operandi a été de vousservir au mieux, et ce, toujours au bénéfice de nospatients. Le temps est venu pour moi de releverd’autres défis, cette fois à l’échelle provinciale.Plein d’idées me viennent déjà à l’esprit.

Je conserverai un très agréable souvenir demon expérience « AMOM ». Je tiens à remercier

Mme Danielle Villemaire,notre secrétaire, pour sonprofessionnalisme, sondévouement, sa discré-tion et sa bonne humeur.

Mes derniers remercie-ments se tournent versnotre président, le Dr Marc-André Asselin, pour m’avoiraccordé le privilège de fairepartie de son équipe. Au fildes ans, nous avons déve-loppé une belle complicité,dont l’assise reposait sur laconfiance mutuelle et laliberté d’expression. Notre président est un granddémocrate.

Au plaisir !Dr Serge Dulude

Ce n’est qu’un au revoir !Le secrétaire de l’Association relèvera de nouveaux défis

Dr Serge Dulude

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L e vendredi 21 novembre, à l’Hôtel Omni Mont-Royal, se tiendra notre traditionnelle assembléegénérale annuelle. Cette année, nous avons

décidé d’innover en vous offrant une nouvelle formuleen ce qui a trait à l’horaire. En effet, dans le sondage2007 s’adressant aux jeunes médecins, vous avez ététrès nombreux à nous faire part qu’il vous est plusfacile de vous libérer le jour pour assister à cetterencontre, plutôt que le vendredi soir. Nous vousavons entendus et avons modifié nos traditions.

Un colloque scientifique de trois heures sedéroulera en matinée (8 h à 12 h) et sera suivi del’assemblée elle-même qui débutera durant lerepas du midi, gracieusement et exclusivementoffert aux membres de l’Association.

Les médecins intéressés pourront s’inscrire auxdeux activités ou uniquement à l’assemblée générale.Le tout devrait se terminer au plus tard à 15h30,vous permettant ainsi d’éviter les embouteillages. Iln’en tient qu’à vous de nous convaincre que cettenouvelle approche est la meilleure. Comment? Envous inscrivant en grand nombre !

Notre prochaine assemblée prendra une saveurbien particulière. En effet, d’importants dossiers

seront présentés par le Dr Asselin, président de notreassociation, et par le Dr Louis Godin, président de laFédération, à l’occasion de sa première visite avecnous à ce titre. N’oublions pas que plusieursententes particulières devront être actualisées euégard au rattrapage de notre rémunération. Il seraégalement question des effectifs médicaux, desjeunes médecins, de ceux qui approchent la retraiteet, finalement, de l’Entente générale à négocier en2010. Une période de discussion suffisammentlongue est prévue afin que tous et toutes aient letemps de discuter avec vos représentants.

Enfin, nous dévoilerons le résultat du votepostal pour les élections des conseillers de secteuret procèderons aux élections des quatre postes desdirecteurs.

Nous vous invitons à inscrire cette date immé-diatement à votre agenda. Vous recevrez sous peuune lettre de convocation, ainsi que le programmescientifique du colloque.

Syndicalement vôtre,

Dr Serge DuludeSecrétaire de l’AMOM

Septembre 2008 Bulletin de l’Association des médecins omnipraticiens de Montréal

Assemblée générale annuelle,version revisitée

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Bienvenue à nos nouveaux membres !Les médecins suivants ont récemment joint les rangs de l’AMOM

Leur adhésion à notre association syndicale est importante puisqu’elle contribue à une améliorationde la représentation des omnipraticiens de Montréal au Conseil de la FMOQ et à la promotion et ladéfense des intérêts qui nous sont propres. Par ailleurs, à titre de membre de l’AMOM, ils serontinformés au mieux des dossiers qui les concernent et pourront bénéficier d’assistance syndicale aubesoin.

Dr Serge DuludeSecrétaire de l’AMOM

Dr Karina Ait HamoudaDr Daniel BeaudryDr Johanne BruneauDr Marianne ChabotDr Ramona Lynn CoelhoDr Anita Pearl CrerarDr Julie Dupont

Dr Marie-Claude ForgetDr Julie GirouxDr Michael GolgoonDr Jennifer HeineggDr Hany Mahoud KamelDr Isabelle ParadisDr Alexandra Rubin

Dr Teresa Mary RudkinDr Karine St-ArnaudDr Rita TanDr Nicola TomaDr Mylène Vanier

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L e 30 mai dernier, dans les Laurentides et parune merveilleuse température, se tenaitnotre traditionnel colloque annuel des

délégués de l’Association. L’avant-midi étaitconsacré aux grands dossiers, tels le redressementde la rémunération, l’entente générale à négocier en2010, la tournée automnale du président dans les sixsecteurs, le rapport du comité des jeunes médecinset la mise sur pied de celui des médecins à l’ap-proche de la retraite et les médecins retraités. LesDrs Daniel Laliberté et Marc Gagné faisaient partie ducomité organisateur et nous les remercions pour leurcollaboration.

En après-midi, le thème portait sur la place duprivé dans les services offerts à la population. LesDrs Jean-Pierre Savaria (Clinique médicale Rivière-des-Mille-Îles), Fernand Taras (Clinique Rockland

MD) et M. Gary Furlong (direc-teur général du CSSS Lucille-Teasdale) nous ont présenté leurvision sur le sujet.

Dans la par-tie traitant durenouvellement

de l’entente, le Dr Asselin invitaitles délégués à identifier leurscinq grandes priorités quidevraient être retenues à l’occa-sion de la prochaine négociation.

➣ favoriser l’accessibilité aux heuresdéfavorables

➣ instaurer des mesures afin de favoriser larétention en pratique

➣ favoriser l’intégration d’autresprofessionnels de la santé

➣ favoriser l’intégration des pratiques préventives

➣ favoriser de meilleurs liens entre lesmédecins de 1ère et 2e ligne.

Par la suite, la Dre Lise Cusson a dressé le tableaudes principaux constats dans le dossier du comitédes jeunes médecins. Nous vous invitons d’ailleursà lire l’excellent article paru à ce sujet dans lenuméro d’août du Médecin du Québec.

Dans le cadre de la place du privé dans notresystème de santé, les responsables du comité avaientconçu un questionnaire à l’intention des délégués. Lacompilation des réponses démontre que les partici-pants avaient, en général, peu réfléchi au privé, à lasous-traitance et aux partenariats public-privé; la trèsgrande majorité ne portait pas d’intérêt sur desservices à titre de médecin désaffilié et s’inquiétaitd’une forte possibilité d’introduire un risque d’ini-quité envers les patients, notamment quant à leurrichesse relative. Soulignons, par ailleurs, que la porten’est pas totalement fermée à la notion de médecinemixte, mais il est ressorti clairement que ce ne seraitpas pour travailler un plus grand nombre d’heures.Selon eux, les répondants estiment qu’un maximumde 25% de leur clientèle les suivrait au privé. Enterminant, nous désirons préciser que ce question-naire n’avait pour but que de prendre le pouls d’en-viron 25 personnes, que nous ne pouvons extrapolersur les résultats et que ces derniers ne sont qu’indi-catifs des perceptions actuelles.

Bref, cette journée nous a permis, encore unefois, de brasser bien des idées, et ce, afin detoujours mieux vous servir.

Dr Serge DuludeResponsable du Colloque

Colloque des délégués de l’AMOM, Mai 2008

Dr Fernand Taras

M. Gary Furlong

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Septembre 2008 Bulletin de l’Association des médecins omnipraticiens de Montréal

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Le département régional de médecine générale de Montréal accueille une nouvelle direction, à lasuite du départ du Dr Serge Dulude. En effet, le Dr Marc Roper vient d’en être choisi le chef. Nousdésirons le féliciter et l’assurer de notre soutien et de toute notre collaboration.

Nous saluons également tous les membres de ce nouvel exécutif, soit les Drs Albert Benhaim, chefadjoint et Mario Zummo, secrétaire.

Dr Marc-André AsselinPrésident

Une nouvelle direction au départementrégional de médecine générale de Montréal

C onformément aux statuts de l’Association,nous procèderons en 2008 aux électionsdes quatre postes de directeur (président,

vice-président, secrétaire et trésorier) et des sixpostes de conseiller de secteur. Les mandatsdemeurent d’une durée de deux ans et les résultatsseront dévoilés à l’assemblée générale annuelle du21 novembre prochain.

S’il y a plus d’une candidature à l’un des postesde conseiller de secteur, un scrutin postal aura lieuen octobre. Par ailleurs, advenant la même situationà un poste de directeur, un vote secret à l’assembléegénérale annuelle de novembre déterminera les élus.

Rappelons que l’an dernier, nous avions apportédes amendements aux Règlements de l’Association,lesquels furent dûment adoptés en assembléegénérale. Voici ceux qui concernent les élections :

« Tout membre désirant se porter candidatà un poste de directeur doit faire appuyersa candidature par écrit par au moins vingt

(20) membres en règle provenant d’aumoins trois (3) secteurs de l’Association. »

«Tout membre désirant se porter candidatà un poste de conseiller de secteur doitfaire appuyer sa candidature par écrit parau moins dix (10) membres en règle dusecteur où il désire se présenter. »

Tous les membres de l’Association recevront enseptembre un avis d’élection accompagné de tousles documents et renseignements pertinents. La viesyndicale est trépidante et il importe de s’impliquer.Si vous avez le goût de relever de nouveaux défis,saisissez la balle au bond.

Solidairement vôtre,

Dr Serge DuludeSecrétaire et responsable des élections

Élections à l’AMOM

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P our une troisième année consécutive, laFMOQ, la Fédération des médecins spécia-listes du Québec (FMSQ), la Fédération des

médecins résidents du Québec (FMRQ) et laFédération médicale étudiante du Québec (FMEQ)ont tenu, le 28 juillet dernier, leur tournoi de golfau profit du Programme d’aide aux médecins duQuébec (PAMQ).

Cette année, ce sont les Drs Jean-Luc Choquette,Alain Neveu et Claude Paquin qui avaient remportéle tirage de l’AMOM effectué à notre assembléegénérale. Accompagnés du Dr Lise Cusson, vice-présidente de notre association, ils faisaient partiedes 159 golfeurs ayant parcouru le club Le Mirage àTerrebonne.

Le Dr William Barakett, président de la Fonda-tion du PAMQ, s’est vu remettre un chèque aumontant de 130 000 $, somme qui permettra àcet organisme de poursuivre ses activités.

Une fois de plus, Dame nature aura contribuéau bon déroulement de cet événement organisépour une cause qui occupe une place de plus enplus grande dans le milieu médical.

Dr Serge DuludeSecrétaire de l’AMOM

Troisième tournoi de golfdes fédérations médicales

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Drs Alain Neveu, Claude Paquin, Lise Cusson et Jean-Luc Choquette

C haque année, l’Association médicale canadienne décerne le titre demembre honoraire à un certain nombre de médecins qui se sont distinguéspar leurs réalisations en médecine, en science ou en sciences humaines ou

qui ont rendu d’importants services à l’association.

C’est donc avec fierté que nous vous informons que le Dr Yvon Grand’Maison a éténommé membre honoraire de l’AMC 2008 à l’occasion de leur 141e assembléeannuelle tenue en août dernier à Montréal.

Félicitations Dr Grand’Maison !

Dr Marc-André AsselinPrésident

L’AMC honoreun de nos membres…

Dr Yvon Grand’Maison

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C omme vous le savez sans doute, l’âgemoyen des omnipraticiens en pratiqueactive augmente d’année en année, et ce,

malgré l’arrivée de nos jeunes collègues. Cephénomène inquiétant est pan québécois et se vitsurtout dans la région de Montréal. En effet, plusde 800 de nos effectifs sont âgés de 55 ans et plus,ce qui représente environ 45 % des membres enrègle.

L’Association de Montréal a formé un comitéd’étude afin d’analyser la réalité de ces médecins etleurs intentions quant aux dernières années depratique, à la transition vers la retraite et, finale-ment, la retraite elle-même. Le but de cet exercicevise à offrir les meilleurs services possible à cesmédecins. Nous savons tous que la population duQuébec est vieillissante et qu’il y a une pénurieanticipée de main-d’œuvre qualifiée dans denombreux secteurs d’activité. Encore récemment,il y avait un article bien détaillé sur le sujet dans ungrand quotidien montréalais et les chiffres faisaientfrémir. La profession médicale ne fera pas excep-tion. Bien au contraire, puisque nous vivons déjàen pénurie. Si nous effectuons le calcul suivi :pénurie actuelle, plus médecins vieillissants plusdésintérêt de la médecine familiale des nouveauxmédecins (voir article du Dr Asselin), égale catas-trophe anticipée.

Alors que pourrait envisager notre fédérationafin de rendre la tâche plus agréable envers cesomnipraticiens ? Comment pourrait-elle créer desenvironnements professionnels mieux adaptés àleur réalité ? Y aurait-il des aménagements ànégocier avec le ministère au sein de notre Ententegénérale ? Pourrions-nous convaincre cesmédecins dans la force de l’âge de remettre à plustard leurs intentions de retraite prévue prochaine-ment et si oui, à quelles conditions ? Telles sont lesquestions que nous nous posons.

Responsable du comité, j’étais accompagné desDrs Marc-André Lemire, conseiller du secteur Nordet Michel Miron, conseiller adjoint du secteur Est,

et nous avions le plaisir d’avoir avec nous le Dr RenéGascon, ancien trésorier de l’AMOM, et à laretraite depuis plus de dix ans.

Une fois les objectifs bien ciblés, nous avonsconçu un sondage qui a été envoyé cet été à 873médecins (voir article du Dr Asselin). Un taux departicipation extraordinaire nous encourage etlaisse présager que les réponses apporteront beau-coup de matière à réflexion. L’Association entendproduire un rapport officiel cet automne et ledéposer au Bureau de la FMOQ.

Nous vous tiendrons évidemment informés desrésultats et nous remercions, encore une fois, tousles répondants.

Dr Serge DuludeSecrétaire

Septembre 2008 Bulletin de l’Association des médecins omnipraticiens de Montréal

L’Association amorce une consultation auprèsde ses omnipraticiens à l’aube de la retraite

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Au Québec, une femme sur neuf sera atteinted’un cancer du sein au cours de sa vie.Selon un sondage mené auprès des femmes :

• près de la moitié des Montréalaises âgées de50 à 69 ans n’a pas subi de mammographiede dépistage au cours des 24 derniers mois;

• les médecins jouent un rôle crucial dans ladécision des femmes de participer au PQDCS.

Le PQDCS soutient les médecins dans la lutte contre le cancer :

• il invite systématiquement toutes les femmes de 50 à 69ans à subir une mammographie tous les deux ans;

• il assure le suivi de la patiente en cas de besoin d’investigation plus poussée;

• il achemine tous les résultats au médecin de la patiente.

Le Centre de coordination des services régionaux du PQDCSde Montréal invite les médecins à encourager leurs patientes àparticiper au programme.

POUR EN SAVOIR PLUS !Si vous désirez recevoir un représentant du

Centre de coordination pour une séance d’information, veuillez contacter Manon Hudson

au 514 528-2400 poste 3817.

Le Programme québécois de dépistage du cancer du sein(PQDCS) de Montréal fait appel à tous les médecins

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Bulletin de l’Association des médecins omnipraticiens de Montréal Septembre 200810

D ans le cadre de la démarche de la Fédéra-tion pour se rapprocher de nos jeunesomnipraticiens et dans la foulée du comité

sur les jeunes de l’AMOM, le Bureau de la FMOQvient de mettre sur pied un comité composé dequatre jeunes médecins de moins de sept ans depratique. Le principal objectif est de favoriser unemeilleure intégration des jeunes aux affaires de laFMOQ et de meilleurs échanges entre la Fédéra-tion et eux.

Le Dr Marc-André Amyot, président de l’Asso-ciation des Laurentides / Lanaudière et troisième

administrateur de la FMOQ, représentera le Bureaude la Fédération et les Drs Julie Théroux deMontréal, Antoine Groulx de la Gaspésie, PatrickBernier de Québec et Marie-Hélène Dubé de larégion la Mauricie complèteront le comité.

Beaucoup d’espoirs reposent sur ce comité etnous sommes convaincus de l’importance qu’ilprendra dans les années futures.

Dr Marc-André AsselinPrésident

Le comité des jeunes médecinsde la FMOQ

D epuis l’automne 2007, l’Association desmédecins de Montréal a tenu deux consul-tations d’envergure. La première, vous

vous en souvenez sans doute, s’adressait auxjeunes omnipraticiens de moins de 10 ans depratique et le rapport final fut publié au printempsdernier. Nous avions alors obtenu un taux deréponse supérieur à nos attentes, soit de 40 %. Eneffet, 154 des 380 questionnaires postés nous sontrevenus. Votre participation était essentielle.

Dès le printemps, nous avons récidivé avec unquestionnaire conçu par notre comité desmédecins préretraités et retraités. Le comité aenvoyé 873 questionnaires à nos omnipraticiens

de plus de 55 ans dont 41 étaient en pleineretraite. En quelques semaines, près de 45 % desmédecins concernés ont rempli et retourné leditquestionnaire, ce qui représente un taux de partici-pation assez exceptionnel. Nous en sommesactuellement à colliger les résultats et le rapportdevrait vous être présenté vers la fin de l’automne2008.

Nous désirons adresser nos sincères remer-ciements à tous ces médecins pour leurprécieuse contribution.

Dr Marc-André AsselinPrésident

Remerciements à nos jeuneset nos moins jeunes !

MÉDECINS DE FAMILLE RECHERCHÉS !Dans le cadre du dossier sur la santé des médecins, l’AMOM est toujours à la recherched’omnipraticiens qui accepteraient de traiter d’autres médecins. N’hésitez surtout pasà communiquer avec nous !

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Septembre 2008 Bulletin de l’Association des médecins omnipraticiens de Montréal

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Médecins omnipraticiens (nes)(Mi-temps ou temps plein)

L’Institut universitaire de gériatrie de Montréal est uncentre de soins généraux et spécialisés pour les personnesâgées.

Plusieurs programmes sont en place dont l’unité de courtedurée gériatrique, l’unité de réadaptation fonctionnelle inten-sive, l’hôpital de jour et les soins de longue durée. Pratiquereconnue à titre d’activité médicale particulière (AMP). Postedisponible pour les retours de régions. Plusieurs avan-tages sont offerts : formation par les pairs et formation médi-cale continue incluant des sessions de formation en péda-gogie médicale, radiologie, ECG, laboratoire, spécialistes surplace, système de garde avantageux, possibilité de participa-tion à l’élaboration de projets novateurs, à la diffusion del’expertise et à des projets de recherche clinique, etc.

Les personnes intéressées sont priées de faire parvenir leurcurriculum vitae par télécopieur au (514) 340-2832 à l’atten-tion du docteure Suzanne Lebel ou par courriel à[email protected]

Recherchons omnipraticien (e)

La direction des services aux personnes en perte d’autonomie du CSSS du Cœur-de-l’Île est à la recherche d’un

omnipraticien (e) intéressé (e) à se joindre au programme de psychogériatrie de 2e ligne.L’horaire de travail pourra être adapté selon

les disponibilités du médecin.

L’équipe desservant les territoires du CSSS du Cœur-de-l’Île et de Jeanne-Mance est composée d’une infirmière, d’un (e)

neuropsychologue, d’une psychologue, d’une travailleuse sociale et s’est associée l’expertise

d’un gériatre consultant du CHUM.

Pour de plus amples informations, veuillez communiquer avec : Sylvie Brassard, chef de programme

Installation La Petite Patrie

514-273-4508 # [email protected]

Offres d’emploi

Le CSSS Jeanne-Mance compte plus de 3000 employés et100 médecins membres actifs. Il regroupe le CSLC desFaubourgs, le CSLC du Plateau Mont-Royal, le CLSC Saint-Louis du Parc et les centres d’hébergement Jacques-Viger,Centre-Ville de Montréal, Émilie-Gamelin, Armand-Lavergne, Bruchési et Jean-De La Lande. Deux missionsdistinctes qui présentent des milieux stimulants et riches endéfis professionnels.

Recherchons médecinsLe CSSS Jeanne-Mance est à la recherche de médecinsintéressés par une pratique diversifiée à se joindre à notreéquipe médicale stable et dynamique en CLSC et en centred’hébergement pour plusieurs postes disponibles pleintemps ou partiel.

Pour de plus ample information, veuillez communiquer avec :

Dr Roger RobergeDirecteur des affaires médicales 514 527-9565, poste 1458

HÔPITAL DE SOINS GÉNÉRAUX ET SPÉCIALISÉS DE 369 LITS

ET DE SOINS D’HÉBERGEMENT DE 103 LITSSitué dans le quartier Rosemont, dans l’est de l’île de Montréal, tout prèsdu Jardin Botanique et du Stade Olympique, l’Hôpital Santa Cabrini offredes soins généraux et spécialisés dans un milieu de travail moderne. Sasalle d’urgence figure parmi les plus achalandées de l’île de Montréal etvient d’être entièrement rénovée dans un environnement à la fois spacieuxet lumineux. La réalité multiculturelle de l’établissement en fait un milieustimulant et un endroit familial.

Nous sommes présentement à la recherche de médecins pour œuvrer dans le

➤ Postes disponibles dès maintenant➤ Pour joindre équipe dynamique de plus de 10 médecins➤ Forfaits de garde en disponibilité➤ Horaires flexibles

Si vous êtes intéressé(e) ou pour de plus amples informations, n’hésitez pas à contacter :

Dr Richard Potvin,Chef – département Clinique de médecine générale

Hôpital Santa CabriniSecrétariat des chefs de département

5655 rue St-Zotique Est – Montréal QC H1T 1P7Téléphone : (514) 252-6508 – Télécopieur : (514) 252-6501

SERVICE D’HOSPITALISATION EN COURTE DURÉEOMNIPRATICIEN(NE)S

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Assemblée générale annuelle

Vendredi 21 novembre 2008 à 12 h 30Hôtel Omni Mont-Royal

1050, rue Sherbrooke Ouest, MontréalStation de métro Peel

Stationnement intérieur au 2055, rue Metcalfe ou service de valet disponible à l’Hôtel

➣ Rattrapage de la rémunération➣ Effectifs médicaux➣ Jeunes médecins➣ Médecins à l’approche de leur retraite➣ Entente générale

Un colloque de formation précèdera l’assemblée générale quidébutera durant le repas du midi pour prende fin vers 15h30

(Frais du repas assumés par votre associationet s’adressant exclusivement aux membres de l’AMOM)

Veuillez vous inscrire auprès de :Mme Danielle Villemaire, secrétaire de l’AMOM

Téléphone : 514 878-1911 – Télécopieur : 514 878-2608Courrier électronique : [email protected]

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