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Traveaux réalisés pendant la 1ère année en graphisme & communication visuelle à l'école EDL à Lausanne.
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2010/2011« La meilleure manière d'avoir une bonne idée est
d'avoir un bon nombre d'idées. »
Linus Pauling
FRANZONIJESSICA
PIXELART
Création d’une série cohérente de pictogrammes en pixels dans le but d’obtenir un équilibre entre
l’utilisation, la quantité et la disposition des pixels et la lisibilité de chaque icône.
Garde la pêche.Ramène pas ta fraise.
Il a un petit pois à la place du cerveau.C’est la fin des haricots.
Il faut couper la poire en deux.Je suis rouge comme une tomate.
Occupe toi de tes oignons.Piouff...J’ai les jambes en compote.
Tu es vraiment un légume.Grrr...La moutarde me monte au nez.
Tu es haut comme trois pommes.J’ai plus un radis.
Il aura la tête grosse comme une pastèque.Il est un petit cœur d'artichaut.
J’ai des oreilles de choux.Il est tombé dans les pommes.
MONOGRAMME
Création d’un monogramme avec ses initiales dans le but d’obtenir avec ces deux lettres une référence symbolique en relation avec le nom choisis pour le
visuel du logo.
fleurjardin.com
PICTOGRAMME
Création d’un code spécifique pour une série de pictogrammes dans le but d’obtenir une cohérence graphique pour une famille d’éléments établis par
une codification de l’aspect visuel.
APLAT DECOULEURS
Reproduction d’une image en utilisant la technique d’aplat des couleurs dans le but de syntétiser
l’image de base tout en gardant l’esprit de celle-ci.
LOGODETOURNE
Détourner un logo connu et le mettre en situation commerciale. Essayer de trouver un détournement
subtile et rigolo tout en gardant un maximum l’aspect du logo de base.
CREATIOND'UN LOGO
Création d’un logo à partir de deux symboles & mise en situation. Les symboles sont choisis suite à une recherche symbolique de signification de mots
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MAGAZINECréation et mise en page cohérentes d’un concept
de magazine et déclinaison d’un acte promotionnel pour la sortie de celui-ci.
Création et mise en page cohérentes d’un concept de magazine et déclinaison d’un acte promotionnel
pour la sortie de celui-ci.WWW.SOCULT.
DOSSIER
Campagne publicitairePendant 5 jours dans le journal
avant la première parution du nouveaumagazine
Black Swan est sans aucun
doute l’un si ce n’est l’événe-
ment de l’année 2011.
Réalisé par le génie Darren
Aronofsky, ce lm très attendu
est d’ores et déjà pressenti
pour être couronné aux Os-
cars et ce, dans plusieurs ca-
tégories (meilleur lm, meilleur
réalisateur, meilleur actrice).
Si les images se font rares,
nous venons d’obtenir une
toute nouvelle af che, mettant
en avant Natalie Portman, la
révélation de Black Swan.
Sur ce poster de Black Swan,
on peut apprécier une Natalie
Portman et son in nie beauté,
le visage craquelé par une s-
sure indélébile. Comme pour
signi er que la perfection
n’existe pas.
Pour rappel, Black Swan nous
emmènera dans le monde
cruel des danseuses de ballet,
un monde gangréné par les ri-
valités entre lles cherchant la
reconnaissance ultime. C’est
avec ce contexte dif cile et
destructeur qu’avance la bal-
lerine Nina Sayers, bien dé-
cidée à obtenir le Saint Graal
: le rôle principal du Lac des
Cygnes.
18
Marilyn Monroe est morte il y a trente-six
ans. Of ciellement au matin du dimanche
5 août 1962, à 4 h 25. Elle avait 36
ans. Elle avait peur. Elle comptait encore
sur deux ou trois doigts les amis qui ne
l’avaient pas trahie. Elle avait un chien,
Maf, qui aboyait. Les chiens jappent contre
le malheur. On la déclara suicidée. Over-
dose. Trop de médicaments, trop de dom
Pérignon, trop de... Pas assez de chaleur
humaine pour le corps le plus moelleux qui
fut jamais photographié. Depuis sa mort,
plus de 110 livres sont parus sur sa vie, ses
dernières années, ses derniers mois, ses
derniers jours, presque sur son Jugement
dernier. Tous, quasi tous, sauf certains, bâ-
tis sur commande a n d’engoncer le bon
peuple dans la guimauve, ceux ne voulant
que la montrer en gloire ou ceux voulant
pro ter de sa beauté pour faire un peu de
pognon - drame posthume qui dupliquait
celui d’une vie maltraitée - suggéraient,
avançaient que ce suicide tenait du crime,
du meurtre, de l’assassinat. L’interrogation
n’avait pas attendu longtemps. Quelques
semaines après les obsèques, dirigées
par Joe Di Maggio, un vrai dèle, un vrai
amour, quoique plutôt nerveux, sinon vio-
lent, et dont furent exclus tout Hollywood,
tout le cinéma, tout ce que Joe n’aimait
pas.
L’un des premiers livres faisant clairement
état d’un assassinat fut écrit en 1964 par
un ancien du FBI. Une sorte de Fox Mulder
de drôles d’X Files, Frank Cappell, qui s’in-
terrogeait en 70 pages sur L’Etrange Mort
de Marilyn Monroe (Strange Death of Ma-
rilyn Monroe). Opuscule ingué à mort
dès parution. Moqué. Mais lu de près par
le tsar du renseignement, le dictateur de
la icaille, Edgar J. Hoover, directeur ina-
movible et haï du FBI. Lu également à la
loupe par toute une famille
du Massachusetts qui venait
de perdre, en novembre 1963,
un de ses ls en la personne d’un
président des Etats-Unis. Et ce n’était
pas ni.
Aujourd’hui sort, aux Etats-Unis, en
Grande-Bretagne et en France, le même
jour, le 15 octobre 1998, peut-être ce qui
résume toute l’affaire, du moins, et cela est
sûr, la somme des enquêtes, recherches
effectuées depuis la mort de Marilyn,
augmentée de douze ans de travaux, de
fouinages, d’interviews et de contre-in-
terrogatoires: Marilyn Monroe, enquête
sur un assassinat, de Don Wolfe. Ni un
ic ni un journaliste d’investigation, un
acharné. Un homme de cinéma, qui
collabora avec Spielberg, travailla sur
maints lms, dont, naguère, Certains
l’aiment chaud, de Billy Wilder. Star-
ring Marilyn Monroe. Et c’est de ce
livre de 600 pages que L’Express,
aujourd’hui, vous livre en exclusivité
des extraits.
Wolfe ne patauge pas dans la pleur-
nicherie, l’émotion de commande,
la nostalgie, le chant d’amour à la
beauté saccagée. Il rend justice. Et
la justice est sévère. Le livre de Don
Wolfe ne fait pas de quartier.
Il démontre, montre, il livre,
délivre, prouve. Le lyrisme est
bridé au pro t de la précision.
Résultat étonnant autant que
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Don Wolfe. Ni un
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Et c’est de ce
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rend justice. Et
e livre de Don
e quartier. il livre,
risme est précision. tant que
Enquête
Peter Jennings, le présentateur vedette, y alla d’un commen-
taire désabusé: «Il a suf de quelques semaines pour que le
monde sache tout sur la vie privée de Bill Clinton. Plus de
trente ans ont été nécessaires pour en apprendre un peu sur celle
de John Fitzgerald Kennedy.»
Un ange passa dans le studio, un fantôme blond. Une douce
source de chaleur qui s’est éteinte par une nuit d’août dans la
canicule de Californie.
Qui a tué Marilyn ?
« La somme des
enquêtes depuis la mort de
Marilyn, augmentent ! »
détonant. Car, à la lecture de ce réquisi-
toire fondé uniquement sur des faits, on
ne peut s’empêcher de penser au lyrisme
fou, incantatoire, halluciné, et qui, par le
biais de la ction, débusquait les crimes
d’une société, des romans du cycle de
Los Angeles, signés de James Ellroy,
et principalement d’American Ta-
bloid, dont la couverture af chait
sur fond de Capitole les pro ls
de médailles bénies de John et
Bobby Kennedy. Et rapportait,
au hasard d’un surcroît d’intui-
tion, matrice de l’intelligence
exacerbée par une passion de
la vérité, ce que Don Wolfe,
méthodique inspiré, vient de
démontrer. La vraie mort de
Marilyn Monroe.
La comparaison n’a rien
de choquante entre un ou-
vrage de ction (Ellroy) et
le résultat d’une enquête
interminable (Wolfe). Les
écrivains sont tous des ics
sentimentaux; et non ri-
poux. Ils traquent l’explica-
tion, ce repos soudain de la
raison agacée. Qu’Ellroy, en
1995, ait débusqué comme
ça, dans l’air, par le raison-
nement simple des mots qu’on
jette sur le papier et qui tout à
coup, sculptent un autre visage
aux icônes ce que Don Wolfe le
méticuleux bâtit paragraphe par
paragraphe, témoignage par té-
moignage, s’échinant à donner 50
pages de sources dûment répertoriées
en n de volume, ressemble fort à une
grande belle vieille statue verdie par les
âges mais qui mérite un salut: celle de
Liberty Island, à l’entrée de New York.
Les écrivains sont des êtres remarquables
qui offrent en effet à leurs personnages,
aux sujets humains de leurs études, la
plus grande liberté. Comment faire passer
dans le sens commun que lire le livre de
Don Wolfe est libérer Marilyn? Non pas
la venger, lui donner une revanche. Le
repos. Lui faire savoir par-delà l’Au-delà
que jamais plus elle ne sera plaquée. Sa
terreur. Terreur d’une enfant qui, sortant
d’un orphelinat, valsa entre neuf familles
d’accueil en quatre ans. Que les mu es
autour d’elle - on dut planquer son ca-
davre dans un placard à balais pour qu’il
échappe aux paparazzi - s’ajoutaient aux
salauds. Le dernier vient de mourir, il y a
peu, et toute la presse a célébré sa voix,
son élégance, son génie. L’homme qui la
t violer - et lmer son viol - par un patron
de la Ma a: Frank Sinatra. Elle qui pen-
sait l’épouser. Elle en épousa d’autres, qui
en ont bien pro té. Miller, le grand Arthur
Miller, une belle conscience qui déclara lui
faire un somptueux cadeau (moyennant
250 000 dollars et vivant à ses crochets):
le scénario des Mis ts. Mise en scène John
Huston, costarring Monty Clift («la seule
personne connue qui m’ait paru plus mal-
heureuse que moi,» dixit M. M.) et Clark
Gable, le père irréel qu’elle s’était choisi
sur photo. Sur le tournage tragique - Mon-
ty et Gable n’en virent pas la sortie - Clark
fut très gentil avec elle, qui jouait le déses-
poir platine en robe à pois. A sa mort, on
accusa Marilyn d’avoir provoqué sa crise
cardiaque par ses retards. Gable n’était
plus là pour démentir. ... suite page 20
19
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d’un orphelina
d’accueil en q
Nom : Norma Jeane Baker
Sur le certi cat de naissance :
Norma Jeane Mortensen
Lieu : Los Angeles, Californie.
Date de naissance : Le 1er juin 1926
Décédée : Dans la nuit
du 4 au 5 août 1962
Taille : 164 cm
Poids : 58 kg
Pointure : 38 - 39
Cheveux : Bruns / blonds décolorés
Yeux : Bleus
Mensurations :
En 1945 : 92 - 64 - 88
En 1952 : 92 - 62 - 88
En 1946 : 92 - 64 - 92
En 1955 : 97 - 62 - 92
En 1951 : 95 - 62 - 88
En 1956 : 95 - 62 - 95
En 1955, Marilyn suggéra que
son épitaphe soit celle-ci :
« Ici repose Marilyn Monroe,
97 - 62 - 92 »
Carte d’identité
Johnny Depp est un lézard,
Eddie Murphy est un âne, An-
gelina Jolie est une tigresse, et
ensuite ?
Rango , de Gore Verbinski ,
est sorti mercredi dernier en
France. L’occasion de décou-
vrir un personnage de lézard
haut en couleurs qui est dou-
blé par Johnny Depp et res-
semble en fait plus que prévu
à l’acteur qui lui prête sa voix.
En fait, il est fortement inspiré
par le personnage que Depp
incarnait dans Las Vegas Pa-
rano , mais re ète aussi, plus
généralement, le côté camé-
léon du comédien, qui se fond
dans la peau de différents per-
sonnages en faisant oublier sa
propre identité.
A l’heure où les doublages
de personnages d’animations
sont de plus en plus effec-
tués par des stars hollywoo-
diennes, focus sur quelques
cas particuliers, où le choix de
l’acteur est loin d’être anodin.
Oui, quelque part, Eddie Mur-
phy est un âne et Jack Black un
panda...La preuve en images.
Plus d’image sur www.socule.ch
Black Swan,
er une NaNaNaNaNatalietalietaltalie talie
n nie ee e be bebeabeabeabeaeaeaeaa téututéuté, uté, uté, uté, utéuté,,
elé paaar rr uuuuuua unnnnenenene ne e e s-s- s-s
Commmmmmmeeeee e ppppm oouour our
la pppeeererrfffefeeeccctctitioion
lack SSSwSwwwwaaaannnn nnnous
ans leleee mmmmmoooonde
seuseeeess ddddeeeee bbbbaaallet,
ngrénnnnéé ppppaaaaarrr lelees ri-
lles ccchhhheeeerrrcccchhhhaaant la
ce uuuultltiiimmmmmeeee... C’est
ntexteeee ddddiififff ccccile et
qu’avvavaaannncccceeee laaa bal-
Sayeyeyeerrsss,s,, bbbbiieeen dé-
enir llleee SSSSaaaaaiinnnnttt Graal
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ceavançaient que ce suicide te
du meurtdu meurdu meurtmeurdu meurtdu mmdu re, de lre,re, ’assassinat. L’interrogation
’ ititit’avaitn’avait’avain’avait n avait vait n avain attepas attepas apas attepas attepas apppp d l gd l ngd longndu longndu longtemps Qtemps. Qtemps. Qtemps. Qp uelques ue qq
i esemainesemainesemainessemainessemasemllè lès laprès laprès laprès laprès l apap b èb èbsèqobsèqes obsèqes obsèqes obsèqes o qes dis dires dirues dirues, dirues,u , i éesigées igées igéegg
par Joe iDi MaggiDi MaggiDi Maggi un vro un vro un vro, un v iiaiai a d ldèl udèle udèle udèle, udèle, u dè , iivrain vrain vrain vrai n vn
amour, quoique plutôt nerveux, s ioi vioinon vio-
lent, et dont furent exclus tout Hollywood,
tout le cinéma, tout ce que Joe n’aimait
pas.
L’un des premiers livres faisant clairement
état d’un assassinat fut écrit en 1964 par
un ancien du FBI. Une sorte de Fox Mulder
de drôles d’X Files, Frank Cappell, qui s’in-
terrogeait en 70 pages sur L’Etrange Mort
de Marilyn Monroe (Strange Death of Ma-
rilyn Monroe). Opuscule ingué à mort
dès parution. Moqué. Mais lu de près par
le tsar du renseignement, le dictateur de
la icaille, Edgar J. Hoover, directeur ina-
movible et haï du FBI. Lu également à la
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ring Mar MMilyn Monro
livre de 600 page
aujourd’hui, vous li
des extraits.
Wolfe ne patauge p
nicherie, l’émotion
la nostalgie, le ch
beauté saccagée.
la justice est sévère
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délivre, prouve. Le
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Pointure : 38
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En 1945 : 92 - 64 - 8888
En 1952 : 92 - 62 - 88
En 1946 : 92 - 64 - 92
En 1955 : 97 - 62 - 92
En 1951 : 95 - 62 - 88
En 1956 : 95 - 62 - 95
En 1955, Marilyn suggéraaa qqqqququuuuueee
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« Ici repose Marilyn Monnnrrroroooooeeee,,
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W.SO
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LT.No 03-mars 2011
MAIS AUSSI LA RUBRIQUE SPÉCIALE CONSACRÉE À MARYLIN MONROE
DOSSIERDOSSIERPhilo+PsychoChanger... pour moi & pour moi !
++ INTERVIEWEXCLUSIFMarc LevyLes secrets de l’écriture
Le hip-hop, ou hip hop, est un mou-
vement culturel et artistique apparu aux États-Unis à New York,
dans le South Bronx au début des années 1970, mêlant des aspects festifs et revendica-
tifs. Originaire des ghettos noirs de New York, il se répandra rapidement dans l’ensemble du pays puis au monde entier au point de devenir une culture urbaine importante.
p.4
REPORTAGESPÉCIAL
RE-TOUCHES
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