Jean-François BuetCandidat à l’élection présidentielle de la FNAIM

25 mai 2012

LA FNAIM EN TÊTE

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LA FNAIM EN TÊTE

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4Je veux une Fédération écoutée et entendue des pouvoirs publics, nationaux et locaux.La FNAIM est d’abord une force politique. Plus jamais de loi ni de décret concernant nos métiers qui ne porte notre marque. Plus de dispositions financières ou fiscales hostiles au marché. À la place, un lien de confiance entre la Fédération et les décideurs publics, et une Fédération respectée.

Je m’engage à :• créer un pool politique constitué d’élus nationaux et territoriaux de la FNAIM, chargé d’élaborer le discours et de définir les prises de position ;• m’appuyer sur une cellule économique, pour construire des argumentaires étayés et piloter des études et des observatoires de vente, de location et de charges de copropriété ;• professionnaliser le lobbying fédéral, en installant une cellule dédiée à la défense de la profession ;• œuvrer à des alliances politiques avec les autres organisations professionnelles du secteur, en France et en Europe ;• agir non seulement à l’échelon national, mais aussi au niveau territorial, grâce au réseau des chambres ;• multiplier les événements pour dialoguer avec les pouvoirs publics et créer une lettre politique destinée au gouvernement, au Parlement et aux collectivités ;• fonder l’Institut des Hautes Études de l’Immobilier, « think tank » ouvert aux professionnels et à des personnalités extérieures à la profession.

Que faut-il pour être un bon président de la FNAIM ?

L’envie, la lucidité et le courage.

L’envie, parce que le mandat est exigeant, qu’il conduit à donner le meilleur de soi-même et toute son énergie, sans compter.

La lucidité, parce qu’il est indispensable de connaître le fonctionnement interne, sans doute pour le faire évoluer, pour le respecter aussi, de connaître l’histoire de notre institution, de connaître les dossiers et les méthodes de l’action syndicale. La mission ne s’improvise pas, et les défis du moment ne laisseront pas à l’élu le temps de se former…

Le courage d’agir et la volonté de déplacer les lignes. Oui, la FNAIM doit faire face à des enjeux de plus en plus lourds pour les femmes et les hommes chefs d’entreprise qui lui font confiance. Oui, la FNAIM doit s’adapter et changer. Oui, pour ses adhérents, la FNAIM a désormais une obligation de résultat.

Je veux une Fédération visible de tous, symbole de la compétence immobilière.La FNAIM doit être la référence immobilière aux yeux des médias et aux yeux de l’opinion. Ses avis, ses informations économiques, ses appréciations sur les professions et sur le marché doivent être recherchés et servir de repères incontestables.

Je m’engage à :• bâtir et faire évoluer une véritable stratégie de communication élaborée par un groupe d’élus assisté des permanents de la Fédération ; • dynamiser les relations avec la presse, en particulier avec un discours ouvert sur les préoccupations du consommateur ;• animer une chaîne numérique d’information immobilière télévisée ;• exploiter les réseaux sociaux pour diffuser des messages fédéraux et créer de l’empathie avec l’opinion ;• moderniser l’ensemble des outils fédéraux de marketing direct ;• construire un observatoire des loyers et des charges.

Je veux une Fédération décentralisée et participative.La FNAIM a été créée il y a près de 70 ans sur des principes étonnamment modernes : elle est une Fédération de syndicats de proximité, et non une institution centralisée.Elle doit vivre complètement cette décentralisation et aider les chambres à agir avec efficacité. Elle doit profiter des richesses humaines et de la créativité des chambres en se gardant d’un pilotage solitaire.

Je m’engage à :• transformer l’Académie des Présidents en Centre du Développement Fédéral, lieu de formation et de partage des bonnes pratiques ;• assister les chambres dans leurs missions d’organisation et d’action politique et médiatique, en leur affectant des correspondants territoriaux ;• mettre à la disposition des chambres des kits d’actions, disponibles et constamment actualisés sur le site Intranet ;• définir et partager les orientations stratégiques avec le Conseil Fédéral ;• organiser au sein des chambres régionales des débats sur les thèmes ouvertspar la Fédération ;• valoriser le travail des commissions et les rendre plus représentatives des territoires et des métiers ;• créer une commission communication.

« MES 7 ENGAGEMENTS »

Je veux une Fédération qui épanouisse les talents syndicaux et valorise l’engagement militant.La FNAIM doit identifier des talents nouveaux et les faire émerger. Elle doit s’enrichir de toutes ses forces vives, en leur donnant la parole et en favorisant le partage des solutions.

Je m’engage à :• créer un Club Croissance Plus FNAIM, cellule d’analyse prospective des métiers et des méthodes ;• favoriser la création de clubs de chefs d’entreprise, désireux de partager les bonnes pratiques ;• soutenir les initiatives locales innovantes ;• instituer des dispositifs d’intégration pour les nouveaux adhérents ;• développer la pratique du partage intercabinets, la constitution de fichiers communs et le recours au mandat exclusif ;• imposer la FNAIM comme le modèle professionnel de référence en Europe et dans le monde, notamment par une présence plus forte au sein des organisations internationales de l’immobilier.

Je veux une Fédération responsable de l’exigence, de la transparence et de la discipline professionnelles. Nous ne devons plus accepter que nos professions soient dévalorisées. La FNAIM doit être responsable et garante de l’accès à la profession, de la correction des pratiques professionnelles, du niveau de compétence acquis par la formation ainsi que de la discipline.

Je m’engage à :• mettre la formation au cœur de nos entreprises ;• édicter une obligation de formation continue par métier pour les détenteurs de cartes professionnelles et les dirigeants de succursales ;• obtenir l’instauration d’un Haute Autorité de l’Immobilier ;• instaurer un véritable label distinguant les entreprises les plus vertueuses en matière de formation ;• créer des commissions régionales de contrôle des pratiques professionnelles en mettant à leur disposition un « vade-mecum » des jurisprudences existantes ;• exiger une formation initiale et continue pour les collaborateurs salariés ou non-salariés ;• exiger une formation initiale diplômante pour les mandataires indépendants à distance œuvrant pour le compte d’entreprises adhérentes ;• instaurer un mode de cotisation adapté aux réseaux de mandataires.

Pour que nous ayons la fierté collective d’être membres de la FNAIM, de l’incarner,

je veux de toutes mes forces la conduire plus loin, plus vite,

pour qu’elle gagne.

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Jean-François Buet :Le 25 mai 2012

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un candidat, une vie dédiée à l’immobilierÂgé de 55 ans, Faculté de droit de l’Université de Bourgogne, marié, père de 3 enfants.Jean-François Buet a créé son entreprise immobilière en 1993, à Dijon, sa ville d’origine, après avoir été cadre de banque et directeur commercial d’une grande société de promotion immobilière dijonnaise.

Il y exerce non seulement la transaction et les deux grands métiers de l’administration de biens, la gestion locative et la gestion de copropriété, mais aussi l’expertise et le conseil en immobilier d’entreprise.

Il est également promoteur-constructeur. Il manage une équipe de 25 collaborateurs.

Il est adhérent de la FNAIM depuis 22 ans et a occupé aux échelons national et local l’ensemble des mandats. On retient notamment son action déterminante au sein de la commission formation fédérale. Il préside aujourd’hui la Chambre FNAIM de Côte-d’Or et assume le secrétariat général de la Fédération.

Jean-François Buet est également professeur de droit à la Faculté de Dijon, en licence professionnelle Gestion de l’immobilier locatif. Enfin, il est juge au tribunal de commerce.

Je veux une Fédération soucieuse de l’efficacité des services apportés et vigilante sur son équilibre économique.La FNAIM doit assurer l’équité entre tous ses adhérents et permettre aux entreprises petites et moyennes (groupes, réseaux, franchises, indépendants, artisans…) de disposer des moyens professionnels les plus efficaces.Elle doit aussi veiller à la plus totale transparence et à l’équilibre économique de ses activités de service aux adhérents.

Je m’engage à :• faire du fnaim.fr le site de référence de l’immobilier, en particulier en y ajoutant des services associés et en déléguant sa gestion tout en protégeant de manière absolue nos données ;• refonder l’Intranet FNAIM ;• mettre en place un club des utilisateurs de logiciels professionnels ;• proposer aux adhérents des audits pour l’ensemble des fonctions d’entreprise, en partenariat avec la CGAIM ;• créer des packs de services adaptés aux entrepreneurs, associant conseil, assistance et formation ;• mettre en place une évaluation périodique des services et des actions de la Fédération par ses adhérents.

Je veux une Fédération morale, exemplaire et généreuse.La FNAIM ne peut prétendre être une référence professionnelle sans être elle-même exemplaire : son équipe dirigeante doit être économe de ses moyens financiers.Elle doit également donner l’image de la générosité des professionnels immobiliers et de leur engagement civique et social.

Je m’engage à :• rationaliser et maîtriser les dépenses de la Fédération ;• exploiter à des fins pédagogiques les observations collectées par le service qualitéde la Fédération ;• associer la Fédération à une organisation caritative engagée dans le logement et inciter les chambres à faire de même localement.

Correspondez avec Jean-François Buet sur son blog : www.jean-francois-buet.fr

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