Exemples1er cas individuel : décès ou maladie

Etape 1 : Souscription d’une assurance, prise en charge des soins par l’employeurEtape 2 :

 Etape 3 :

 Etape 4 : Cotisations par la communauté des proches, solidarité des proches. Possibilité de lancement d’une nouvelle activité

 Etape 5 : Soutien de l’employeur, des collègues ; 

 2ème cas : exemple du quartier qui a été envahi pendant la crise (aspect communautaire)Etape zéro : pré-sensibilisation, adoption d’un système d’autodéfense dans le quartier

 Etape 1 : Phase de prise de conscience du sinistré, capacité de nouer les relations avec l’ennemi 

 Etape 2 : Alerte, des médias, déplacement ou fuite, accueil parfois difficile, information par les médias

 Etape 3 : Autorités, intervention des ONG dans l’aide d’urgence, les OIG avec les consignes de précautions, appui de l’extérieur

 Etape 4 : Rebond, réorganisation, définition de tâches à accomplir, association des femmes qui à chercher à se réorganiser, appui du WANEP (ONG) en termes de conseils, aides publiques au développement, les élus locaux, l’armée qui fait des patrouilles, aide au retour des déplacés

L’aide internationale (consulat)   

Assistance obligatoire    

La communauté des proche, communauté religieuse viennent en aide aux victimes d’un choc.  Gestion de la résilience

 Indiquer les institutions impliquées : rôles, niveaux d’implication

 Indiquer les acteurs impliqués

 Indiquer les normes de valeurs éthiques qui fondent cette résilience

 Indiquer les piliers sur lesquels reposent les activités réalisées par rapport au PND

 Indiquer les points forts, les difficultés rencontrées

 Faire des recommandations en vue du renforcement du contrat social et de l’éthique au niveau des secteurs sociaux en faveur de la résilience

Normes et valeurs éthiquesSolidarité, cohésion, courage (individuel et collectif), persévérance et espoir s’appuient sur des valeurs personnelles, capacité à garder espoir, capacité à se réconcilier, capacité à renouer la confiance, la démocratie, le dépassement de l’humiliation, respect mutuel, le respect du droit à la dignité, responsabilité, 

Le PNDLa résilience est intégrée dans le PND à travers certains objectifs spécifiques. 

L’axe de cohésion sociale, avec la sensibilisation des populations à la démocratie, renforcement des capacités des autorités locales, y adjoindre les acteurs de la société civile et la représentativité des acteurs, renforcer la capacité des médias pour qu’ils jouent leur rôle dans la cohésion sociale ; la participation des femmes à la prise de décision ; l’indemnisation des victimes et la réinsertion des personnes armées ; le rôle de l’armée qui doit être une armée républicaine. Le PND 2012-2015 est un programme de résilience 

Travaux de la commission 2 : Résilience et politique sociale

• Introduction : Termes de référence• Quelle politique sociale de résilience ?• Toutes les politiques sociales rentrent-elles dans la politique de résilience ? Anticipation 

• Faire une politique de résilience anticipée et ciblée pour préparer 

•  

Le Processus: modèle général

• Etape avant choc• Etape 0 au moment du choc• Étape 1 de la prise de conscience• Étape 2 : volonté de réagir - déclic• Etape 3 : organisation, identification des besoins, définition des tâches, allocation optimale des ressources

• Etape 4 : reconstruction, redémarrage, rebond, relance

Décrire le processus de résilience à partir de cas concrets issus de secteurs sociaux

Premier cas : individuel/familial suite à un décès ou une maladie grave d’une personne clé 

• Perte d’emploi : nouvelles activités de remplacement, parfois une activité de risque. (activités secondaires)

• Allocution optimale des ressources en cas de décès ou de perte d’emploi

Deuxième cas de quartier: action communautaire

• Guerre en Cote d’Ivoire, donc choc : adaptation à une nouvelle situation, donc un choc, 

• Prise en charge par la communauté, • Résilience individuelle et collective avec l’identification des besoin, 

• Allocation des ressources, mise en place d’un comité de réconciliation (gouvernance avec structure de décision, leaders) avec un programme d’action et de renforcement de capacité, 

• Décision d’aller chercher une aide, répartition des tâches.  

Acteurs impliqués dans les étapes du processus sur chacun des deux cas

1. Acteurs gouvernementaux  • Ministères, collectivités territoriales, organisations internationales gouvernementales (OIG), services spécialisés, aides publiques internationales (coopération bilatérale)

2. Acteurs non gouvernementaux• ONG, leaders traditionnels, institutions traditionnelles, classes d’âge, association de quartier, association d’usagers, syndicats, entreprises privées, médiats,

Cas 1: Choc individuelActeurs

Etape avant choc

Etape 0 (moment du choc)

Etape 1 Prise de conscience

Etape 2 Volonté de réagir, déclic

Etape 3 Décision/organisation

Etape 4 Rebond, relance, reconstruction

Institutions traditionnelles

X X X

Communauté des proches

X X X X X X

Employeur

X X

Assurance privée

X

Assurance   publique CNPS

X

Services de l’Etat 

X

Service éducatif

X

Cas 2: Quartier envahiActeurs Etape

avant choc

Etape 0 (moment du choc)

Etape 1 Prise de conscience

Etape 2 Volonté de réagir, déclic

Etape 3 Décision/organisation

Etape 4 Rebond, relance, reconstruction

Comité de défense du quartier

X X X

Communauté des proches

X X X X

OIG X X

Autorité gouvernementale

X

Médias X X X

ONG X X X

Système éducatif

X

Force publique

X

Normes et valeurs éthiques

• Solidarité, • cohésion, • Courage  (individuel  et  collectif),  persévérance  et espoir s’appuient sur des valeurs personnelles, 

• Capacité à garder espoir, capacité à se réconcilier, • Capacité à renouer la confiance, • Démocratie, • Dépassement de l’humiliation, • Respect mutuel, le respect du droit à la dignité, • Responsabilité, 

Le PND

• La  résilience  est  intégrée  dans  le  PND  à  travers  certains objectifs spécifiques.

• L’axe  de  cohésion  sociale,  avec  la  sensibilisation  des populations  à  la  démocratie,  renforcement  des  capacités des autorités  locales, y adjoindre  les acteurs de  la société civile  et  la  représentativité  des  acteurs,  renforcer  la capacité  des  médias  pour  qu’ils  jouent  leur  rôle  dans  la cohésion sociale ; la participation des femmes à la prise de décision ; l’indemnisation des victimes et la réinsertion des personnes  armées ;  le  rôle  de  l’armée  qui  doit  être  une armée républicaine. 

• Le PND 2012-2015 est un programme de résilience 

Recommandation

• Mais le processus de résilience n’est pas linéaire, chacun réagit à un choc suivant ses capacités, sa spécificité

Mesures préventivesRenforcer la résilience de quoi ?Préciser la cible, ou les objets cibles qui vont bénéficier de la politique sociale e résilience : famille, quartier, village, communeQui a l’initiative de la politique de résilience sociale ou qui la conduit ? Etat, ONG, Quel serait le tuteur de résilience, ou que faire de cette notion de tuteur de résilience et qui seraient ces tuteurs ?Quels sont les risques ou les limites à mettre en œuvre une politique de sociale de résilience ? Quels seraient les critères ? Les valeurs éthiques à prôner dans les politiques de résiliences socialesQuelle action ?Où se situe la résilience ? Sciences sociales, médicales et en sciences économique du bien être, politique économique publique, en tenant compte de l’interaction avec les autres disciplines. Sociologie du développement, approche pluridisciplinaire dans la mesure de la résilience. La résilience intègre l’imprévisible, les chocs. Changement de paradigme dans la vision qu’on a du monde 

 Gouvernance pour la résilience dans les secteurs sociauxIl faut aussi identifier qui sont les acteurs, les tuteurs, (cas des ONG) qui vont accompagner le processus de résiliences et les groupes en difficulté. Phase de sensibilisation, recherche de personnes leaders, phase de préparation de retour des réfugiés, démarche de réconciliation, développement d’activités génératrices de revenu.  Plan d’action d’anticipation du choc en vue de préparer la résilience, assurance décès pour la prise en charge  Perte d’emploi : nouvelles activités de remplacement, parfois une activité de risque. (activités secondaires)Allocution optimale des ressources en cas de décès ou de perte d’emploiMais le processus de résilience n’est pas linéaire, chacun réagit à un choc suivant ses capacités, sa spécificitéTrouver les ressources  Acteurs impliqués dans le processus de résilience Acteurs publics Ministères, collectivités territoriales, organisations internationales non gouvernementales (OIG), services spécialisés, aides publiques internationales (coopération bilatérale) Acteurs privés  Acteurs non gouvernementaux (ONG), leaders traditionnels, institutions traditionnelles, classes d’âge, association de quartier, association d’usagers, syndicats, entreprises privées, médiats, ActeursActeurs ActeursRôlesNiveau d’actionActeurs publics MinistèresEtape zéroPolitiques préventives excentrées ou post-chocs Education à l’école     Collectivités territoriales   organisations internationales non gouvernementales (OIG)   services spécialisés,   aides publiques internationales (coopération bilatérale)      Acteurs privés    Leaders traditionnels, institutions traditionnelles proches Etape 4    Acteur non gouvernemental (ONG)   association de quartier 

classes d’âge, association d’usagers   entreprises privées   syndicats   médiats   Assurances