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CALENDRIER OPTIMAL DU TRAITEMENTDE LA FRACTURE VERTEBRALE PAR COMPRESSIONAVEC UN IMPLANT INTRAVERTEBRALA Denis (1), X Barreau (2), V Dousset (2), S Luc (2),JM Vital (2), JJ Railhac (1), N Sans (1)(1) Toulouse - France, (2) Bordeaux - FranceCorrespondance: sans,[email protected]
Durée: 7 minutes
Durée: 7 minutes
10 h 40
10 h 30
Objectifs pédagogiquesEvaluation des techniques d'embolisation.Suivi des pathologies vasculaires traitées en imagerie.
Modérateurs: Vincent Le Pennee, Marc Sapoval
Séance organisée par la SFICV
Imagerie vasculaire interventionnelle
PLACENTA ACCRETA (PA): PRISE EN CHARGE (PEC)PAR EMBOLISATION ARTERIELLE UTERINE (EAU) :17 PATIENTESA Diop, P Chabrot A Bertrand, G Favrolt EDumoussetLCassagnes, A Ravel, D Gollot L BoyerClermont-Ferrand - FranceCorrespondance: [email protected]
Responsable: Jean-François Heautot
Objectifs: Rapporter notre expérience de PEC du PA par EAU encomparant PEC prophylactique et PEC en urgence devant une hémorragie du post-partum (HPP).Matériels et méthodes: Etude rétrospective monocentrique (janvier 2002-mai 200S). Dans le groupe 1 (n = 6, PEC prophylactique),les patientes étaient âgées de 34,6 ± 5,5, l'âge gestationnel était 35± 2 SA. Dans le groupe 2 (PEC en urgence : diagnostic fait devantune HPP au décours de la césarienne (n =S) ou de l'accouchement(n = 3), elles étaient âgées de 31,4 ± 4,3 ans, l'âge gestationnel était3S ± 2 SA.Résultats: L'EAU était un succès dans tous les cas. Dans le groupel, une hémorragie massive à J2 après tentative de délivrance justifiaitune hystérectomie d'hémostase; une hémorragie tardive (2 mois) surplacenta en involution spontanée était contrôlée par une deuxièmeEAU; deux synéchies utérines et une atrophie de l'endomètre étaienten outre retrouvées. Une aménorrhée secondaire était déplorée dansle groupe 2. Les différences étaient significatives en terme de pertessanguines (groupe 1 : 0,7 ± O,S litre, groupe 2: 2,6 ± 1,2 P < 0,01),de délai d'accès à l'EAU (groupe 1 : 23,3 ± 5,1 mn, groupe 2:73 ± 44,7 P < 0,01). Le recours à la transfusion était plus importantdans le groupe 2 (64 % contre 16,7 % p = 0,13).Conclusion: L'EAU permet le plus souvent de surseoir à l'hystérectomie en situation de PA. Leur découverte anténatale permet une PECréduisant pertes sanguines, transfusions et délai d'embolisation.
Mots clés: Utérus, hémorragie - Embolisation
HEMATURIE INCOERCIBLE NON TRAUMATIQUED'ORIGINE VESICO-PROSTATIQUE : RESULTATSDU TRAITEMENT PAR EMBOLISATION ARTERIELLERLoffroy, BGuiu, A DelgaL JP Cercueil, D KrauséDijon - FranceCorrespondance: romaric.loffroy@chu-dijon,fr
Objectifs: Evaluer les résultats et la place de l'embolisation artérielle à visée hémostatique dans le traitement des hématuries incoercibles d'origine vésico-prostatique après échec des techniquesconservatrices.Matériels et méthodes: Etude rétrospective de 23 procédures endovasculaires réalisées chez 20 patients (H: IS; F: 2; âge moyen:73 ans) pour hématurie rebelle d'origine vésicale ou prostatique aprèséchec des mesures conservatrices entre 1999 et 200S. L'occlusionvasculaire uni (n =5) ou bilatérale (n =13) était réalisée soit demanière supra-sélective par colle ou particules (artères vésicales ou
Durée: 7 minutes
Durée: 7 minutes
11 h 50
11 h 40
INFILTRATIONS FORAMINALES CERVICALES: ANALYSEDES RISQUES POTENTIELS (EXPERIENCE DE 10 ANS)D Krausé, R Loffroy, BGuiu, N Méjean,MG Mourot De Rougemont LVadanici, JP CercueilDijon - FranceCorrespondance: denis.krause@chu-dijon,fr
Objectifs: Démontrer la sécurité et la fiabilité des infiltrations cervicales sous guidage TDM, par une technique rigoureuse d'opacification des structures endocanalaires intra-foraminales, préalablementà l'injection de corticoïdes.Matériels et méthodes: Entre 2000 et 2009, 400 infiltrations cervicales ont été réalisées sous scanner. La mise en place d'une aiguillede 22G contre le processus articulaire, en arrière du ganglion cervical,va permettre par l'injection de 0,4-0,5 ml de contraste de vérifierl'éventualité d'une contamination veineuse foraminale, d'une injection dans une artériole radiculo-médullaire ou d'une opacification desespaces sous-arachnoïdiens.Résultats: Les contaminations veineuses foraminales sont les plusfréquemment observées (27/400), par rapport aux artérioles (6/400),qui ont obligé à une modification impérative de la position del'aiguille. Dans tous ces cas, le nouveau contrôle était satisfaisant.Conclusion: La réalisation des infiltrations foraminales cervicalesen cas de NCB liée à un fragment herniaire nécessite avant touteinjection de corticoïdes, de vérifier la bonne position de l'aiguillepour reconnaître une éventuelle contamination veineuse épidurale(stagnation intra-canalaire, foraminale, et dans les muscles profondsde la nuque) ou artériolaire (pas de contraste visible par wash-out lorsdu contrôle). Au prix d'un contrôle radiologique rigoureux, l'infiltration cervicale par corticoïdes retard ne présente pas de risque particulier pour le patient porteur d'une NCB.
Mots clés: Ponction, hernie - Rachis - Scanographie, vascularisation
Objectifs: Evaluer l'influence de l'âge de la fracture vertébrale parcompression sur la restauration anatomique du corps vertébral avecun implant d'expansion cranio-caudale.Matériels et méthodes: Dans une étude multicentrique 53, patients(29F/24H, âge moyen: 59 ans) souffrant de fractures vertébrales parcompression ont été traités en utilisant 2 implants en titane intravertébraux à expansion cranio-caudale (spinejack®, Vexim) en association avec un ciment acrylique. Pour chaque sujet, des reconstructions3D ont été réalisées par un laboratoire indépendant à partir de coupesscanner millimétriques pré-et post-opératoire. La superposition desvolumes ainsi reconstruits a permis d'évaluer les restaurations effectuées au moyen des implants. Les résultats ont été ensuite analysésen fonction de l'âge des fractures: groupe A: moins de 10 jours,groupe B : entre 10 et 45 jours, groupe C : au-delà de 45 jours.Résultats : La restauration de l'effondrement fracturaire a étémeilleure dans les groupes A et B avec 27 % de réduction en moyenneen comparaison du groupe C (l0 % de réduction en moyenne).Conclusion: Les traitements des fractures vertébrales doivent sefaire au plus près de l'événement traumatique afin de permettre unemeilleure mobilisation du foyer de fracture et garantir une meilleurerestauration anatomique.
Mots clés: Thérapeutique, traumatisme - Rachis, fracture - Biomatériaux
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DESOBSTRUCTION DE LA VEINE CAVE SUPERIEUREEN PATHOLOGIE MALIGNEFThony, D Fagedet M Rodière, V Monnin-Bares,TMartineliL C SengeL D Moro-Sibilot G FerrettiGrenoble - FranceCorrespondance: fthony@chu-grenoble,fr
prostatiques: n =13), soit de manière non sélective par coils ou gélatine (tronc antérieur des artères hypogastriques: n =5).Résultats: Le taux de succès technique était de 90 % (18120). Lestaux de succès clinique primaire et secondaire étaient respectivementde 83,3 % (15/l8) et 88,9 % (16/l8). Le taux de mortalité péri-procédure était de 20 % (4/20), lié essentiellement à la co-morbidité sousjacente. Aucune complication majeure n'était rapportée. Une récidivehémorragique tardive (> 30 jours) était notée chez 4 (22,2 %) des18 patients traités. Le suivi médian était de 7 mois. Six autres décèsétaient rapportés au cours du suivi, mais aucun en rapport avec un resaignement.Conclusion: L'embolisation artérielle est une technique sûre et efficace dans le contrôle des hématuries rebelles d'origine vésico-prostatique.
Mots clés: Prostate, hémorragie - Vessie, hémorragie - Embolisation
Objectifs: Evaluer la désobstruction percutanée de la veine cavesupérieure (DPVCS) dans les syndromes de la veine cave supérieure(SVCS) d'origine néoplasique.Matériels et méthodes: De 1992 à 2007 168 patients porteurs d'unSVCS (âge moyen 60 ans) ont été traités par DPVCS. Il s'agissait desténose (n =III ,66 %) ou occlusion (n =57,34 %) de la VCS(n =75), confluence veineuse (n =59) ou TVBC (n =34). Une thrombose curorique d'amont était présente dans 62 cas, traitée par fibrinolyse/thrombo-aspiration dans 25 cas.Résultats: Le succès technique était de 95 % (160/l68), le succèsclinique de 95 % (157/l65). Le taux de décès à J8 était de 9 %(n =15) dont 2,4 % lié à la procédure [rupture de la VCS (n =3),complication de fibrinolyse (n = 1)],3,6 % au cancer et 3 % incertain.Le taux de complication était de 16 % (n = 27) incluant thromboseprécoce endoprothétique (n =13), OAP de reperfusion (n =4), rupture intra-péricardique (n =3), divers (n =7). La survie à BO était de71,4 %, la médiane de survie à 4 mois. Le taux de perméabilité primaire était de 75,8 %, secondaire de 93 % au terme du suivi.Conclusion: En pathologie maligne, la DPVCS est une techniqueefficace avec un taux de complication peu élevé et doit être indiquéeen première intention thérapeutique.
Mots clés: Veine cave supérieure, compression Durée: 7 minutes
Durée: 7 minutes
11 h 20
11 h 10
Objectifs: Comparer les volumes de nécrose myocardique aprèsalcoolisation septale dans le traitement des cardiomyopathies hypertrophiques, en IRM, en scanner et en échographie de contraste perprocédure.Matériels et méthodes: Dix patients porteurs d'une cardiomyopathie hypertrophique et traités par alcoolisation septale ont bénéficiéd'une échographie 3D de contraste pendant la procédure puis d'uneIRM et d'un scanner dans les 3 jours post procédure. Le volume dela zone hyperéchogène a été calculé. Le volume de nécrose et levolume des lésions microvasculaires (zones hypoperfusées) ont étéquantifiés en IRM et en scanner.Résultats: Les volumes de la nécrose myocardique en IRM (25,8± 8,9 mL) et en scanner (24,6 ± 8,3 mL) étaient bien corrélés (r=0,95 ; P <, 005), de même que les volumes des lésions microvasculaires en IRM et en scanner (respectivement 6,8 ± 2,6 mL et 6,5± 2,8 mL ; r =0,92 ; P <, 005). Le volume mesuré en échographie(20,9 ± 4,4 mL) présentait une corrélation avec le volume de nécrose,mesuré en IRM et en scanner (r =0,55 ; P =0,05).Conclusion : La mesure du volume de nécrose et des lésions microvasculaires est concordante entre le scanner et l'IRM. Le volumemesuré en échographie est corrélé avec le volume de nécrose total.
Mots clés: Cœur, nécrose - Efficacité thérapeutique
Comparaison de l'évaluation volumique à celle déjà instaurée demesures de diamètres.Résultats: L'évaluation des volumes est une technique fiable et précise, beaucoup plus reproductible que la méthode de mesure des diamètres qui est très opérateur-dépendante. Elle tend à montrer uneaugmentation proportionnelle du vrai chenal par rapport au faux chenal, qui selon le traitement, se stabilise, régresse et thrombose progressivement.Conclusion: L'étude des volumes des vrais et faux chenaux permetd'apporter des renseignements fiables et reproductibles.
Mots clés: Aorte thoracique, dissection - Angioscanner - AngioIRM
MESURE DU VOLUME DE NECROSE MYOCARDIQUEAPRES ALCOOLISATION SEPTALE EN ECHOGRAPHIE,IRM ET SCANNER CARDIAQUEJ Potet Cl), P Lim (2), E Bruguière (3), A Luciani (2),H Kobelter (2), A Rahmouni (2), JF Deux (2)(1) Le Kremlin-Bicêtre - France, (2) Créteil - France,(3) Paris - FranceCorrespondance: potetjulien@yahoo,fr
Durée: 7 minutes10 h 50
DISSECTION DE TYPE B: EVALUATIONPAR VOLUMETRIE DU SUIVI APRES ENDOPROTHESEOU TRAITEMENT MEDICALKD Dang-Tran, MH Tran, R Moreno, A BaalL B Honton,o El Aassar, V Chabbert, J Auriol, MA Maracher,H RousseauToulouse - FranceCorrespondance: [email protected]
Objectifs: Le manque de reproductibilité des méthodes de mesure(basées sur les diamètres) proposées dans l'évaluation quantitative del'évolution des dissections aortiques de type B, rend difficile l'analysedes résultats des publications internationales. L'objectif de ce travailest de montrer l'intérêt et les limites d'une nouvelle méthode de surveillance par mesure des volumes.Matériels et méthodes: Etude rétrospective des TDM et/ou IRM de90 patients (sexe ratio H!F : 2,8), ayant une dissection aortique (typeB), traités par endoprothèse (57 %) ou traitement médical (43 %).Mesure des diamètres et volumes des vrais et faux chenaux lors de lasurveillance (programme de reconstruction volumique: AMIRA 4.1.1).
11 h 00 Durée: 7 minutes MORBI-MORTALITE IMMEDIATE DES CHIMIOEMBOLISATIONS HEPATIQUES L1PIODOLEES (CHEL)POUR CARCINOME HEPATO-CELLULAIRE (CHC) :126 PATIENTSA Joubert (1), PChabrot (1), L Cassagnes (1), P Guibert (1),A Ravel (1), P Perreault (2), 1Brazzalotto (1), A Abergel (1),L Boyer (1)(1) Clermont-Ferrand - France, (2) Montréal - CanadaCorrespondance: pchabrot@chu-clermontferrand,fr
Objectifs: Evaluer la toxicité immédiate et la mortalité à court termeaprès CHEL non sélective pour CHC non réséquable.Matériels et méthodes: Cent vingt six patients (109 hommes;63,9 ans) étaient référés selon les critères de Barcelone. Deux centsoixante seize cures étaient réalisées (2,2/patient, intervalle moyen2 mois). La suspension était composée de Lipiodol et anthracyclineinjectée lentement dans l'artère hépatique propre, hépatique droite et/ou gauche suivie par une occlusion par gelfoam. Nous avons analysérétrospectivement la morbi-mortalité immédiate selon la classification National Cancer Center Common Toxicity.Résultats: Quatre patients (3,2 %) sont décédés dans les 30 jourssuivant la cure (2 insuffisances hépatiques, 1 septicémie sur aplasie,
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