INDICATEURS MACROECONOMIQUES ET … · Métadonnées pour bien comprendre et mieux utiliser les indicateurs, volet macroéconomie et budget 19 Sources des données de base Données

INDICATEURS MACROECONOMIQUES ET BUDGETAIRES

Observatoire National de la Pauvreté et du Développement Humain Durable -- ONAPAD -- PRGE - BKF 00/001

Métadonnées pour bien comprendre et mieux utiliser les indicateurs, volet macroéconomie et budget

11

IDENTIFIANT INDICATEUR PAGE

2.R.MB.01 Arriérés de paiement intérieurs et extérieurs 12

2.A.MB.02 Budget revenant aux structures déconcentrées des ministères sociaux (Part du) 15

2.R.MB.03 Budgets des ministères sociaux (Taux d'exécution des) 16

2.R.MB.04 Crédits délégués aux structures déconcentrées (Taux d'exécution des) 18

1.R.MB.05 Délai moyen de paiement 20

1.I.MB.06 Dépenses d’investissement sur ressources internes (Ratio) 22

2.R.MB.07 Ecart entre les prix unitaires des produits acquis par le secteur privé et ceux des produits acquis par le secteur public 24

1.R.MB.08 Endettement (Ratio d’) 26

1R.MB.09 Indice de Gini pour les dépenses sociales 28

1.I.MB.10 Inflation annuel moyen (Taux d') 30

3.I.MB.11 Incremental capital output ratio (ICOR) ou coefficient marginal du capital 32

2.A.MB.12 Investissement (Taux d') 34

3.I.MB.13 Produit Intérieur Brut par tête (Taux de croissance réel du) 36

1.R.MB.14 Solde budgétaire de base en pourcentage du PIB nominal 38

2.A.MB.15 Soutenabilité de la dette par rapport aux recettes d’exportation (Ratio de) 40



12

Résultat

2.R.MB.01

Annuelle

???

Les arriérés de paiement intérieurs et extérieurs représentent l’ensemble des engagements intérieurs et extérieurs arrivés à échéance depuis quatre vingt dix (90) jours et non encore payés.

REFERENTIELS OU ELEMENTS D’ATTACHE DE L’INDICATEUR

CADRE DE REFERENCE

OBJECTIF GENERAL

Objectif Spécifique Mesurable (OSM)

PLAN DE

RENFORCEMENT DE LA

GESTION BUDGETAIRE

(PRGB)

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x% NAT I ONAL

CADRE STRATEGIQUE

DE LUTTE CONTRE LA

PAUVRETE (CSLP)

Assurer la crédibilité de l’Etat et améliorer la gestion budgétaire

A définir

1998 2001 2002 2003 2010 xx.x% xx.x%

UNION ECONOMIQUE ET

MONETAIRE OUEST

AFRICAINE

! Renforcer la convergence des économies des Etats membres ;

! Conforter la stabilité macro économique ;

! Accélérer la croissance économique ;

! Approfondir la solidarité entre les Etats membres.

Critère de 1er rang : Non accumulation d’arriérés sur la gestion de la période courante.

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%

CCA/UNDAF - -

1998 2001 2002 2003 2010 xx.x% xx.x%

I NTERNAT I ONAL

OBJECTIFS DE

DEVELOPPEMENT DU

MILLENAIRE

Traiter globalement le problème de la dette des pays en développement, par des mesures d’ordre national et international propres à rendre leur endettement viable à long terme

A définir

1998 2001 2002 2003 2010 xx.x% xx.x%

Méthodologie de calcul de l’indicateur

La formule de calcul des arriérés de paiement intérieurs et extérieurs est la suivante : Σ engagements intérieurs échus depuis 90 jours non payés + Σ engagements extérieurs échus depuis 90 jours non encore payés.

Arriérés de paiement intérieurs et extérieurs



13

Sources des données de base

Données de base SOURCE NATURE / PRODUCTEURS Montant des arriérés intérieurs et extérieurs

NATURE Situation des paiements de la Direction de la Dette Publique ADMINISTRATIVE

PRODUCTEUR Direction de la Dette Publique / Direction Générale du Trésor et de la Comptabilité Publique (DGTCP) ;

NATURE - COLLECTE COURANTE

PRODUCTEUR -

NATURE -

ENQUETE PERIODIQUE PRODUCTEUR -

Niveau de désagrégation

Variables pour lesquelles l’indicateur est calculé :

" Intérieur / extérieur " Multilatérale / bilatérale

Ajustements apportés aux sources statistiques et procédures d’Estimation

Insuffisances actuelles de l’indicateur et projets d’amélioration

Personne à contacter pour les mises à jour de l’indicateur

Moïse OUEDRAOGO, Direction de la Prévision et des Analyses Macroéconomiques (DPAM) / DGEP ; 01 BP 000 Ouagadougou 01 ; Téléphone : (226) 00 00 00/ 00 ; Fax : (226) 00 00 00 ; Email :



14

Output

2.A.MB.02

Annuelle

???

Ce taux indique la part du budget alloué aux structures déconcentrées du Ministère en charge de la Santé et de celui en charge de l’éducation pour la réalisation de leurs programmes d’activités.


CADRE DE REFERENCE

OBJECTIF GENERAL


PLAN DE

RENFORCEMENT DE LA

GESTION BUDGETAIRE

(PRGB)

1998 2001 2002 2003 2010


CADRE STRATEGIQUE

DE LUTTE CONTRE LA

PAUVRETE (CSLP)

Accroître l’accès des populations aux services sociaux essentiels.

1998 2001 2002 2003 2010 xx.x% xx.x%

UNION ECONOMIQUE ET

MONETAIRE OUEST

AFRICAINE

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%

CCA/UNDAF

1998 2001 2002 2003 2010 xx.x% xx.x%

I NTERNAT I ONAL

OBJECTIFS DE

DEVELOPPEMENT DU

MILLENAIRE

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%

Méthodologie de calcul de l’indicateur Quotient entre le montant des dotations budgétaires des structures déconcentrées des ministères sociaux et celui du budget global alloué à ces ministères (hors ressources extérieures)

Part du budget revenant aux structures déconcentrées des ministères sociaux



15


Données de base SOURCE NATURE / PRODUCTEURS Crédits des structures déconcentrées

NATURE Lois de finances ADMINISTRATIVE

PRODUCTEUR DGB/MFB

NATURE - COLLECTE COURANTE

PRODUCTEUR -

NATURE -

ENQUETE PERIODIQUE PRODUCTEUR -



" Par ministère


Pour l’instant la délégation de crédits ne concerne que les dépenses de fonctionnement, notamment le Titre III – « Dépenses de matériel ». La répartition des crédits communs globaux devra être faite et pris en compte dans le calcul du ratio.

Observations générales ; Insuffisances actuelles de l’indicateur ; Projets d’amélioration

Correspondant ONAPAD à contacter pour les mises à jour de l’indicateur

Bakary TRAORE, Institut National de la Statistique et de la Démographie (INSD) ; 01 BP 374 Ouagadougou 01 ; Téléphone : (226) 32 42 02 ; Fax : (226) 30 04 69 ; Email : [email protected]



16

Résultat

2.R.MB.03

Annuelle

???

Le taux d’exécution des budgets des ministères sociaux indique la capacité d’absorption du budget annuellement alloué par l’Etat aux ministères sociaux.


CADRE DE REFERENCE

OBJECTIF GENERAL


PLAN DE

RENFORCEMENT DE

LA GESTION

BUDGETAIRE

(PRGB)

1998 2001 2002 2003 2010


CADRE STRATEGIQUE

DE LUTTE CONTRE LA

PAUVRETE (CSLP)

Accroître l’accès des populations aux services sociaux essentiels.

1998 2001 2002 2003 2010 xx.x% xx.x%

UNION ECONOMIQUE

ET MONETAIRE

OUEST AFRICAINE

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%

CCA/UNDAF

I NTERNAT I ONAL

OBJECTIFS DE

DEVELOPPEMENT DU

MILLENAIRE

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%

Méthodologie de calcul de l’indicateur La formule de calcul est la suivante :

Quotient du montant du budget effectivement consommé par le montant du budget total alloué aux ministères concernés.

Taux d’exécution des budgets des ministères sociaux



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Données de base

SOURCE NATURE / PRODUCTEURS

Réalisations budgétaires sur financement intérieur

Réalisations budgétaires sur financements extérieurs

Prévisions budgétaires; Exécution des dépenses de personnel.

NATURE Situation d’exécution de la Loi de Finances exercice n-1

Situation d’exécution des financements extérieurs

Loi de finances ; Paiements des salaires

ADMINISTRATIVE

PRODUCTEUR DCCF/ Ministère des Finances et du Budget

DGCOOP/ Ministère Finances et Budget

Direction Générale Budget et DGTCP.

NATURE - - - COLLECTE COURANTE

PRODUCTEUR - - -

NATURE - - - ENQUETE PERIODIQUE

PRODUCTEUR - - -



" Par ministère.


Les ministères sociaux doivent être bien définis et ne doivent pas varier d’une année à l’autre pour permettre des comparaisons dans le temps.


Les financements intérieurs n’étant pas intégrés au circuit informatisé de la dépense (CID), la détermination des réalisations par ministère n’est pas facile. L’intégration de ces financements au CID est une condition indispensable pour obtenir des ratios comparables dans le temps. Les réalisations financières doivent porter sur les liquidations effectives des engagements de dépenses. Ce taux d’exécution doit être appuyé d’une analyse des objectifs quantitatifs et qualitatifs des ministères sociaux à travers l’indicateur Taux d’exécution physique des objectifs des ministères sociaux (TEP).





18

Résultat 2.R.MB.04

Annuelle

???

Il indique la capacité de consommation des crédits délégués des structures déconcentrées.


CADRE DE REFERENCE

OBJECTIF GENERAL


PLAN DE

RENFORCEMENT DE

LA GESTION

BUDGETAIRE

(PRGB)

1998 2001 2002 2003 2010


CADRE STRATEGIQUE

DE LUTTE CONTRE LA

PAUVRETE (CSLP)

Accroître les capacités des structures déconcentrées à améliorer la qualité de leurs prestations au profit des populations défavorisées.

1998 2001 2002 2003 2010 xx.x% xx.x%

UNION ECONOMIQUE

ET MONETAIRE

OUEST AFRICAINE

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%

CCA/UNDAF

1998 2001 2002 2003 2010 xx.x% xx.x%

I NTERNAT I ONAL

OBJECTIFS DE

DEVELOPPEMENT DU

MILLENAIRE

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%

Méthodologie de calcul de l’indicateur Le TECD se calcule en rapportant le montant des crédits délégués effectivement liquidés à celui des crédits délégués effectivement engagés

Taux d’exécution des crédits délégués aux structures déconcentrées



19


Données de base SOURCE NATURE /

PRODUCTEURS Engagements de crédits délégués

Ordonnancements des délégations de crédits

NATURE Situation des délégations de crédits

Situation des Ordonnancements des crédits délégués ADMINISTRATIVE

PRODUCTEUR DAF /ministères DGB/MFB

NATURE - - COLLECTE COURANTE

PRODUCTEUR - -

NATURE - - ENQUETE PERIODIQUE

PRODUCTEUR - -



" National







20

Résultat

1.R.MB.05

Annuelle

???

Il indique le délai qui s’écoule entre la liquidation des engagements et le paiement des mandats par les comptables assignataires de ces dépenses.


CADRE DE REFERENCE

OBJECTIF GENERAL


PLAN DE

RENFORCEMENT DE

LA GESTION

BUDGETAIRE

(PRGB)

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%

NAT I ONAL

CADRE STRATEGIQUE

DE LUTTE CONTRE LA

PAUVRETE (CSLP)

Préserver la stabilité macro-économique et améliorer la gestion budgétaire

1998 2001 2002 2003 2010 xx.x% xx.x%

UNION ECONOMIQUE

ET MONETAIRE

OUEST AFRICAINE

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%

CCA/UNDAF

1998 2001 2002 2003 2010 xx.x% xx.x%

I NTERNAT I ONAL

OBJECTIFS DE

DEVELOPPEMENT DU

MILLENAIRE

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%


Le délai moyen de paiement est obtenu en rapportant la somme des délais de paiement par dossier payé au nombre total des dossiers payés. Ce délai doit être comparé à celui du régime financier qui fixe à soixante (60) jours répartis ainsi qu’il suit :

- trois (03) pour l’édition du projet de liquidation par l’Administrateur de crédits ; - deux (02) jours pour la transmission du projet de liquidation au contrôleur financier ; - sept (07) jours pour la vérification et la validation du contrôleur financier ; - deux (02) jours pour la transmission de la liquidation à l’Ordonnateur ; - sept (07) jours pour la vérification par l’Ordonnateur ; - deux jours (02) pour la transmission au comptable as signataire de la dépense ; - sept (07) jours pour la vérification du mandat par le comptable ; - trente (30) jours pour le paiement des mandats jugés bon à payer.

Délai moyen de paiement



21


Données de base SOURCE NATURE / PRODUCTEURS Ordonnancements Paiements Liquidations.

NATURE Situation des ordonnancements

Situation des paiements

Situation des liquidations ADMINISTRATIVE

PRODUCTEUR DGB/MFB DGTCP/MFB DCCF/MFB


PRODUCTEUR - - -


PRODUCTEUR - - -



" National







22

Résultat 1.I.MB.06

Annuelle

???

Il mesure la part des ressources propres affectées aux dépenses en capital dans le PIB.


CADRE DE REFERENCE

OBJECTIF GENERAL


PLAN DE

RENFORCEMENT DE

LA GESTION

BUDGETAIRE

(PRGB)

1998 2001 2002 2003 2010


CADRE STRATEGIQUE

DE LUTTE CONTRE LA

PAUVRETE (CSLP)


1998 2001 2002 2003 2010 xx.x% xx.x%

UNION ECONOMIQUE

ET MONETAIRE

OUEST AFRICAINE

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%

CCA/UNDAF

1998 2001 2002 2003 2010 xx.x% xx.x%

I NTERNAT I ONAL

OBJECTIFS DE

DEVELOPPEMENT DU

MILLENAIRE

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%


Quotient entre le montant des dépenses d’investissement sur ressources internes et le PIB.

Ratio dépenses d’investissement sur ressources internes



23



PRODUCTEURS Réalisations investissements sur ressources propres

Produit intérieur brut (PIB)

NATURE TOFE • Comptes nationaux • Projections macroéconomiques

ADMINISTRATIVE PRODUCTEUR DCCF

SP/PPF

• INSD • Comité de prévision, de conjoncture

et de surveillance multilatérale (DPAM/DGEP)-


PRODUCTEUR - -


PRODUCTEUR - -



" Public " Privé


Déterminer le montant des dépenses de capital fixe en procédant à un retraitement des dépenses du titre 6 actuel qui contiennent des dépenses de fonctionnement en attendant l’application de la directive de l’UEMOA relative à la nomenclature budgétaire.


Le contenu des investissements doit être précisé.





24

Résultat 2.R.MB.07

Annuelle

???


CADRE DE REFERENCE

OBJECTIF GENERAL


PLAN DE

RENFORCEMENT DE

LA GESTION

BUDGETAIRE

(PRGB)

1998 2001 2002 2003 2010 xx.x% xx.x% N

AT I ONAL

CADRE STRATEGIQUE

DE LUTTE CONTRE LA

PAUVRETE (CSLP) 1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%

UNION ECONOMIQUE

ET MONETAIRE

OUEST AFRICAINE

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%

CCA/UNDAF

I NTERNAT I ONAL

OBJECTIFS DE

DEVELOPPEMENT DU

MILLENAIRE

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%


Ecart entre les prix unitaires des produits acquis par le secteur privé et ceux des produits acquis

par le secteur public



25


Données de base SOURCE NATURE / PRODUCTEURS

NATURE - - - ADMINISTRATIVE

PRODUCTEUR - - -


PRODUCTEUR - - -


PRODUCTEUR - - -



# #

# #







26

Résultat

1.R.MB.08

Annuelle

???

Il exprime la part relative de l’encours total de la dette publique (intérieure et extérieure) en fin de période sur le PIB nominal et permet de mesurer la capacité du pays à générer des richesses nécessaires au remboursement de sa dette.


CADRE DE REFERENCE

OBJECTIF GENERAL


PLAN DE

RENFORCEMENT DE

LA GESTION

BUDGETAIRE

(PRGB)

1998 2001 2002 2003 2010


CADRE STRATEGIQUE

DE LUTTE CONTRE LA

PAUVRETE (CSLP)


1998 2001 2002 2003 2010 xx.x% xx.x%

UNION ECONOMIQUE

ET MONETAIRE

OUEST AFRICAINE




! Approfondir la solidarité entre les Etats membres

Critère de 1er rang : Ce ratio ne doit pas excéder 70%. A partir de l’année 2002

1998 2001 2002 2003 2010 xx.x% xx.x%

CCA/UNDAF

1998 2001 2002 2003 2010 xx.x% xx.x%

I NTERNAT I ONAL

OBJECTIFS DE

DEVELOPPEMENT DU

MILLENAIRE

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%


La formule de calcul est la suivante :

Quotient de l’encours total de la dette publique par le PIB nominal.

Ratio d’endettement



27



PRODUCTEURS PIB Données sur l’encours total de la dette publique

NATURE • Comptes nationaux • Projections

macroéconomiques

Rapport CNDP TOFE

ADMINISTRATIVE

PRODUCTEUR

• INSD • Comité de prévision, de

conjoncture et de surveillance multilatérale (DPAM/DGEP)-

• DGTCP/MFB • SP/PPF

NATURE COLLECTE COURANTE

PRODUCTEUR

NATURE

ENQUETE PERIODIQUE PRODUCTEUR



# National







28

Résultat 1.R.MB.09

Annuelle

???

L’indice de Gini ou indice de concentration a pour but de mesurer la concentration d’une distribution (salaires, revenus, dépenses, etc.) dans une population donnée. L’indice de Gini est un nombre sans dimension compris entre 0 et 1. Plus sa valeur est grande, plus la concentration est forte et plus la répartition est équitable et vice versa.


CADRE DE REFERENCE

OBJECTIF GENERAL


PLAN DE

RENFORCEMENT DE

LA GESTION

BUDGETAIRE

(PRGB)

1998 2001 2002 2003 2010 xx.x% xx.x% N

AT I ONAL

CADRE STRATEGIQUE

DE LUTTE CONTRE LA

PAUVRETE (CSLP)

Accélérer la croissance et la fonder sur l’équité 1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%

UNION ECONOMIQUE

ET MONETAIRE

OUEST AFRICAINE

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%

CCA/UNDAF

I NTERNAT I ONAL

OBJECTIFS DE

DEVELOPPEMENT DU

MILLENAIRE

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%


Soit xj les centres de classe de dépenses, nj les effectifs des ménages de la classe de centre xj ; njxj, les valeurs globales ; qj les valeurs relatives globales, Qj les valeurs relatives globales cumulées , fj = nj/n, les fréquences; Fj les fréquences cumulées, l’indice de Gini i s’obtient par la formule dite de la méthode des triangles ci-dessous :

∑−

=

+−+=

1

1

)11(r

j

QjFjFjQji

L’indice de Gini peut être également déterminé par méthode graphique ou par méthode dite des trapèzes par intégration de la fonction de concentration si on la connaît (Confère manuel de statistiques descriptives).

Indice de Gini pour les dépenses des ménages



29




PRODUCTEUR - - -


PRODUCTEUR - - -


PRODUCTEUR - - -



" Région " Types de dépenses

" Sexe du chef de ménage



L’étude de la concentration ne se fait généralement que pour des séries statistiques continues et positives.





30

Résultat

1.I.MB.10

Annuelle

???

Le taux d’inflation annuel moyen est la variation du niveau de l’indice Harmonisé des Prix à la Consommation (IHPC) entre deux années consécutives. L’IHPC mesure entre deux périodes, l’évolution moyenne des prix des biens et services consommés par les ménages. Il est calculé mensuellement et l’indice annuel est une moyenne simple des indices élémentaires mensuels.


CADRE DE REFERENCE

OBJECTIF GENERAL


PLAN DE

RENFORCEMENT DE

LA GESTION

BUDGETAIRE

(PRGB)

1998 2001 2002 2003 2010 xx.x% xx.x%

NAT I ONAL

CADRE STRATEGIQUE

DE LUTTE CONTRE LA

PAUVRETE (CSLP) 1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%

UNION ECONOMIQUE

ET MONETAIRE

OUEST AFRICAINE




! Approfondir la solidarité entre les Etats membres.

Maintenir le taux d’inflation à 3% au maximum par an

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%

CCA/UNDAF

I NTERNAT I ONAL OBJECTIFS DE

DEVELOPPEMENT DU

MILLENAIRE 1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%


La méthodologie de calcul de l'indice est à la méthodologie de l'indice harmonisé de l'Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA). L'indice couvre uniquement la ville de Ouagadougou et concerne tous les types de ménage à l'exception des ménages non africains et des ménages africains expatriés dont un des membres occupe un emploi dans un organisme international ou les corps diplomatiques. Le nombre de variétés est de 320, couvrant l'ensemble de la consommation des ménages, conformément à la Nomenclature Ouest Africaine de Consommation (NCOA) dérivée de la COICOP. Sont exclus du champ de l’indice, les opérations d’investissement (achats de logements ou des machines, etc.), les opérations financières, les opérations d’épargne, les impôts directs, les cotisations sociales, les intérêts versés, les dons ou pensions versés à d’autres ménages. Sont également exclus en raison de conventions internationales les achats de biens d’occasion et l’autoconsommation des ménages. En raison de leur faible poids ou à cause des difficultés de suivi, sont exclus les services d’assurance-maladie et d’assurance-accident, les services subsidiaires de l’enseignement, les services d’action sociale, certains services relatifs au logement (assainissement, assurances), certains biens pour les loisirs et la culture (matériels informatiques, biens durables importants, fleurs et animaux d’agrément).

Taux d’inflation annuel moyen



31

Le nombre total de relevés s'élève en moyenne à 3250 chaque mois. Le système de pondérations provient d'une enquête sur les dépenses des ménages réalisée dans la ville de Ouagadougou en 1996 auprès de 1008 ménages. La structure au niveau des fonctions de consommation est la suivante :

Fonctions de consommation Pondération

en % Fonctions de consommation

Pondération en %

Produits alimentaires, boissons, tabac 33,9 Transports 15,6 Habillement et chaussures 6,4 Loisirs, spectacles et culture 3,9 Logement, eau, électricité, combustibles 10,5 Enseignement 3,4 Ameublement, équipement ménager, entretien courant 6,7 Hôtels, cafés, restaurants 10,0 Santé 4,2 Autres biens et services 5,5

Au niveau élémentaire, les indices sont calculés à partir des ratios des prix moyens pour les variétés homogènes, et comme la moyenne des indices pour les variétés hétérogènes. La formule retenue pour agréger les indices élémentaires est la formule de Laspeyres version standard. La continuité de la série des indices est assurée par le raccordement de l’ancienne base à la nouvelle au niveau de l’indice général.




PRODUCTEUR - - -


PRODUCTEUR - - -


PRODUCTEUR - - -


# Fonction de consommation # Groupe et sous-groupes



L’indice ne couvre que la seule ville de Ouagadougou. Il n’existe pas de ce fait un indice national. La base de l'indice date de 1996. Il est prévu la réalisation d'une enquête pour la mise à jour des pondérations de l'indice. L'extension éventuelle du champ de l'indice et la réécriture du logiciel de traitement (CHAPO) sont également envisagés. Il est aussi prévu la réalisation d’indices régionaux et d’un indice national.





32

Résultat 3.I.MA.11

Annuelle

???

Le coefficient marginal de capital et de produit ou incremental capital output ratio (ICOR), mesure l'efficacité du capital utilisé dans le processus de production.


CADRE DE REFERENCE

OBJECTIF GENERAL


PLAN DE

RENFORCEMENT DE

LA GESTION

BUDGETAIRE

(PRGB)

1998 2001 2002 2003 2010 xx.x% xx.x% N

AT I ONAL

CADRE STRATEGIQUE

DE LUTTE CONTRE LA

PAUVRETE (CSLP) 1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%

UNION ECONOMIQUE

ET MONETAIRE

OUEST AFRICAINE

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%

CCA/UNDAF

I NTERNAT I ONAL

OBJECTIFS DE

DEVELOPPEMENT DU

MILLENAIRE

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%

Méthodologie de calcul de l’indicateur Il se calcul en divisant l'accroissement de la part moyenne de l'investissement intérieur brut dans le PIB par le taux de croissance du PIB ;

Coefficient marginal du capital ou Incremental Capital output ratio (ICOR)



33



PRODUCTEURS Investissement intérieur brut Produit intérieur brut NATURE - -

ADMINISTRATIVE PRODUCTEUR - -

NATURE

Projections macroéconomiques à partir de l’Instrument Automatisé de

Prévision (IAP)

Projections macroéconomiques à partir de l’Instrument Automatisé de

Prévision (IAP) COLLECTE COURANTE

PRODUCTEUR

Comité de Prévision, de Conjoncture et de Surveillance Multilatérale

Comité de Prévision, de Conjoncture et de Surveillance

Multilatérale NATURE Comptes économiques de la nation Comptes économiques de la nation

ENQUETE PERIODIQUE PRODUCTEUR INSD INSD



" National


Observations générales ; Insuffisances actuelles de l’indicateur ; projets d’amélioration

L'utilisation de la FBCF (au lieu des seuls investissements productifs des entreprises) dans le calcul biaise quelque peu la valeur de l'ICOR.

L’ICOR dépend du caractère plus ou moins capitalistique du processus de production. Il est plus élevé dans les pays prospères (9,6 pour les Etats Unis de 1988 à 1992, et 7,5 pour le Japon sur la même période), du fait que le capital y est moins coûteux que le travail, contrairement aux pays pauvres, du moins au premier stade de leur développement. Toutefois, la valeur de l'ICOR peut dépendre également de la différence d'efficacité avec laquelle les pays gèrent leur capital et leurs autres intrants.


Bakary TRAORE, Institut National de la Statistique et de la Démographie (INSD) ; 01 BP 374 Ouagadougou 01 ; Téléphone : (226) 32 42 02 ; Fax : (226) 30 04 69 ; Email :



34

Résultat 2.A.MB.12

Annuelle

???

Le taux d’investissement mesure l’effort financier que le pays consacre à l’investissement Une décomposition des facteurs de la croissance souligne le rôle déterminant de l’investissement.


CADRE DE REFERENCE

OBJECTIF GENERAL


PLAN DE

RENFORCEMENT DE

LA GESTION

BUDGETAIRE

(PRGB)

1998 2001 2002 2003 2010 xx.x% xx.x%

NAT I ONAL

CADRE STRATEGIQUE

DE LUTTE CONTRE LA

PAUVRETE (CSLP) 1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%

UNION ECONOMIQUE

ET MONETAIRE

OUEST AFRICAINE

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%

CCA/UNDAF

1998 2001 2002 2003 2010 xx.x% xx.x%

I NTERNAT I ONAL

OBJECTIFS DE

DEVELOPPEMENT DU

MILLENAIRE

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%


C’est le rapport entre la FBCF et la valeur ajoutée exprimé en pourcentage.

La formation brute de capital fixe (FBCF) enregistre la valeur des acquisitions diminuée des cessions d’actifs fixes. On distingue deux types d’actifs fixes :

" Les actifs fixes tangibles : logements, autres bâtiments et constructions ; machines et équipements ; actifs cultivés – arbres – et cheptels, utilisés de manière continue pour produire des fruits, du lait, etc. ;

" Les actifs fixes intangibles : exploration minière ; logiciels informatiques ; originaux d’œuvres littéraires , artistiques, etc. , les améliorations majeurs apportées à des actifs tangibles non produits (terres) ; les frais d’acquisition liés au transfert de propriété d’actifs tangibles non produits.

La valeur ajoutée = production - consommation intermédiaire.

Taux d’investissement



35


Données de base SOURCE NATURE / PRODUCTEURS FBCF VALEUR AJOUTEE

NATURE - - ADMINISTRATIVE

PRODUCTEUR - -

NATURE

" Comptes économiques de la nation

" Projections macroéconomiques à partir de l’IAP

" Comptes économiques de la nation

" Projections macroéconomiques à partir de l’IAP

COLLECTE COURANTE

PRODUCTEUR

" INSD " COMITE DE PREVISION, DE

CONJONCTURE ET DE SURVEILLANCE MULTILATERALE

" INSD " COMITE DE PREVISION, DE

CONJONCTURE ET DE SURVEILLANCE MULTILATERALE


PRODUCTEUR - -



" Secteur d’activité " Public et privé


Observations générales - Insuffisances actuelles de l’indicateur - Projets d’amélioration

Même si l'accumulation de capital n'apparaît plus comme la panacée pour les pays pauvres (fondamentalisme du capital), il est évident que ces pays ne peuvent conserver sur de longues périodes, des taux de croissance de revenus même modérément soutenus que lorsqu'elles sont en mesure de maintenir un courant d'investissements égal à une proportion substantielle du PIB. Dans un pays comme le Burkina où le taux de croissance des revenus est jugé essentiel pour permettre d'avancer dans la réalisation des objectifs fondamentaux du pays, cette proportion doit atteindre 25%, voire 35%. Un autre indicateur pertinent en matière d’investissement est la progression du stock de capital physique. Lez stock de capital physique augmente avec l’investissement et diminue au rythme de dépréciation du capital (amortissement). Si le stock de capital augmente au même rythme que le PIB, l’économie peut continuer à croître de manière équilibrée sans buter sur les capacités de production. Si le capital physique augmente moins vite que la production, un effort d’investissement est nécessaire pour éviter l’apparition de goulots d’étranglement, venant entraver la croissance. Si en revanche, le stock de capital augmente plus vite que la production, l’apparition de capacités de production excédentaires est à craindre.





36

Résultat 3.I.MB.13

Annuelle

???

Le produit intérieur brut correspond à la somme des valeurs ajoutées de tous les agents économiques résidant sur le territoire économique à laquelle on ajoute les droits et taxes perçus à l’importation. Il couvre ainsi l’ensemble des activités productrices, y compris celles du secteur informel. Toutefois, Il ne contient pas des activités illégales. Le PIB est publié aux prix courants (nominal) et aux prix constants (réel) de 1985. Il est valorisé aux prix de marchés. Rapporté à l’effectif de la population, on obtient le produit intérieur brut (nominal ou réel) par tête et la variation du PIB réel par tête d’une année sur l’autre donne le taux de croissance réel du PIB par tête.


CADRE DE REFERENCE

OBJECTIF GENERAL


PLAN DE

RENFORCEMENT DE

LA GESTION

BUDGETAIRE

(PRGB)

1998 2001 2002 2003 2010 xx.x% xx.x% N

AT I ONAL

CADRE STRATEGIQUE

DE LUTTE CONTRE LA

PAUVRETE (CSLP)

Accroître le produit intérieur brut par habitant d’au moins 3% par an entre 2000 et 2002 et de 4 à 5% par an à partir de 2003

1998 2001 2002 2003 2010 xx.x% xx.x%

UNION ECONOMIQUE

ET MONETAIRE

OUEST AFRICAINE

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%

CCA/UNDAF

I NTERNAT I ONAL

OBJECTIFS DE

DEVELOPPEMENT DU

MILLENAIRE

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%


La variation du PIB réel par tête d’une année sur l’autre donne le taux de croissance réel du PIB par tête.

Taux de croissance réel du Produit Intérieur Brut par tête



37


Données de base SOURCE NATURE / PRODUCTEURS Données économiques Données économiques

NATURE - - ADMINISTRATIVE

PRODUCTEUR - -

NATURE Projections macroéconomiques Comptes économiques de la nation

COLLECTE COURANTE PRODUCTEUR

Comité de prévision, de conjoncture et de surveillance

Multilatérale INSD


PRODUCTEUR - -



" National







38

Résultat 1.R.MB.14

Annuelle

???

Le solde budgétaire de base représente les recettes totales (hors dons) auxquels on soustrait les dépenses courantes (y compris les prêts nets) et les dépenses d’investissement publics financés sur ressources internes exprimées en pourcentage du PIB nominal.


CADRE DE REFERENCE

OBJECTIF GENERAL


PLAN DE

RENFORCEMENT DE

LA GESTION

BUDGETAIRE

(PRGB)

1998 2001 2002 2003 2010


CADRE STRATEGIQUE

DE LUTTE CONTRE LA

PAUVRETE (CSLP)


1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%

UNION ECONOMIQUE

ET MONETAIRE

OUEST AFRICAINE




! Approfondir la solidarité entre les Etats membres

Critère de premier rang : ce ratio doit être supérieur ou égal à 0% à partir de l’an 2002 (critère clé).

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%

CCA/UNDAF

I NTERNAT I ONAL

OBJECTIFS DE

DEVELOPPEMENT DU

MILLENAIRE

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%


La formule de calcul est la suivante :

Le solde budgétaire de base est égal au quotient recettes totales hors dons - dépenses totales (y compris prêts nets) - investissements publics sur ressources internes par le PIB nominal.

Solde budgétaire de base en pourcentage du PIB nominal



39



PRODUCTEURS Réalisations de recettes et dépenses

PIB

NATURE • Situations d’exécution ; • TOFE

• Comptes nationaux • Projections

macroéconomiques ADMINISTRATIVE

PRODUCTEUR • DGTCP; • SP/PPF ; • DCCF

• INSD • Comité de prévision, de

conjoncture et de surveillance multilatérale (DPAM/DGEP)-

NATURE COLLECTE COURANTE

PRODUCTEUR

NATURE

ENQUETE PERIODIQUE PRODUCTEUR



# National #



La multiplicité des producteurs des données pourrait être source d’erreurs. Il y a donc lieu de déterminer un producteur final par nature de donnée.





40

Résultat

2.A.MB.15

Annuelle

???

Il mesure le poids de la charge de la dette par rapport aux exportations de biens et services (non facteurs de production). Lorsque ce ratio est inférieur à 20, on dira que la dette est soutenable et vice versa.


CADRE DE REFERENCE

OBJECTIF GENERAL


PLAN DE

RENFORCEMENT DE

LA GESTION

BUDGETAIRE

(PRGB)

1998 2001 2002 2003 2010 xx.x% xx.x% N

AT I ONAL

CADRE STRATEGIQUE

DE LUTTE CONTRE LA

PAUVRETE (CSLP) 1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%

UNION ECONOMIQUE

ET MONETAIRE

OUEST AFRICAINE

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%

CCA/UNDAF

I NTERNAT I ONAL

OBJECTIFS DE

DEVELOPPEMENT DU

MILLENAIRE

1998 2001 2002 2003 2010

xx.x% xx.x%

Méthodologie de calcul de l’indicateur C’est le rapport entre le service de la dette et le total des exportations de biens et services (non facteurs de production).

Ratio de soutenabilité de la dette par rapport aux recettes d’exportation



41



PRODUCTEURS Service de la dette Exportations de biens et services

NATURE Situations de paiement de la dette Statistiques douanières et statistiques du commerce extérieur ADMINISTRATIVE

PRODUCTEUR DIRECTION DE LA DETTE / DGTCP

DIRECTION GENERALE DES DOUANES ET INSD


PRODUCTEUR - -


PRODUCTEUR - -



" National


Observations générales ; Insuffisances actuelles de l’indicateur ; projets d’amélioration

L'importance de la charge de la dette est en général examinée à l'aide de deux rapports principaux : rapport de la dette au PIB et rapport du service de la dette aux exportations de biens et services (non facteurs de production). Généralement, on considère que le ratio "dette sur PIB" doit rester inférieur à 15%, tandis que le service de la dette aux exportations ne doit pas dépasser 20%, autrement, des difficultés à honorer la dette deviennent très probables. L'indicateur " service de la dette aux exportations " est plus pertinent pour l'analyse de court terme, puisqu'il mesure la difficulté qu'aura le pays à rembourser sa dette à l'aide de ses ressources fondamentales en devises. Fondamentalement, pour qu'une dette extérieure soit supportable, il faut que les recettes en devises permettent d'honorer le service de cette dette. Toutefois, cet indicateur présente une faiblesse dans le cadre d'une analyse empirique car les statistiques disponibles retracent les versements effectifs au titre du service de la dette et non les versements contractuels. De cette manière, un pays qui accumule des arriérés de paiement extérieur verra donc son ratio diminuer.



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INDICATEURS MACROECONOMIQUES ET … · Métadonnées pour bien comprendre et mieux utiliser les indicateurs, volet macroéconomie et budget 19 Sources des données de base Données