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nova in tourisme culture fashion shopping Les cadeaux et les tendances du 2013 De la mode, de l’art et des cadeaux à Pékin L’Amérique du Sud dans cinq destinations inoubliables Interview avec Liliam Kechichián, Ministre de tourisme de l’Uruguay Année I | Numéro 3 | Décembre 2012 Avant-garde et style à Madrid

Innova Magazine - Année 1 - No 3 - Décembre 2012

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De l'avant-garde et du style à Madrid Madrid est la ville du shopping en Espagne par excellence. Dès les marques les plus célèbres au monde jusqu'à l'inégalable production locale, la grande variété des locaux et des produits attire des touristes du monde entier. Pour ce fin d'année, découvrez les routes qui font du shopping une expérience inoubliable.

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novaintourisme culture fashion shopping

Les cadeaux et les tendances du 2013

De la mode, de l’art et des cadeaux à Pékin

L’Amérique du Sud dans cinq destinations inoubliables

Interview avec Liliam Kechichián, Ministre de tourisme de l’Uruguay

Année I | Numéro 3 | Décembre 2012

Avant-garde et style à Madrid

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sommaire

INNOVA MAGAZINE Année 1. numéro 3 Édition Décembre 2012

Innova Magazine est un magazine d’innova taxfree group, s.l.

CEOLuciano Ochoa de AbreuDirecteurAntonio [email protected]

Rédacteur en chefAdriana Morán [email protected]

Coordination généraleJosé Luis [email protected]

Rédactrice de mode Patricia Rodríguez [email protected]

TechnologieAbel [email protected]

Conception graphiqueDaniel Pérez [email protected]

Coordination internationaleIlenia [email protected]

Communication et Marketing María Rodrí[email protected]

Country ManagersChina: Lucía [email protected]

France: Stéphane [email protected]

Italie: Giuseppe [email protected]

Portugal: José Félix [email protected]

UK: Merton [email protected]

PARTENAIRES

Beatriz García García-Fuentes Valentina García Plata Lorenzo Iturbide Ministerio de Turismo y Deportes de Uruguay

CONTACT: innova taxfree group Calle Velázquez 140 - 1º izqE-28006 Madrid t. +34 915 237 004 f. +34 915 230 [email protected] www.innova-magazine.com

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novaint u r i s m o c u l t u r a m o d a s h o p p i n g

Regalos y tendencias del 2013

Moda, arte y regalos en Pekín

Sudamérica en cinco destinos inolvidables

Entrevista a Liliam Kechichián,

Ministra de Turismo de Uruguay

Año I | Número 3 | Diciembre 2012

Vanguardia y estilo en Madrid

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14tourismeBienvenues à Madrid,

bienvenues à FITUR 2013

18tourismeDe la mode, de l’art et des

cadeaux à Pékin

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tendancesPLACE TO BEL’Amérique du Sud dans cinq

destinations inoubliables

65nouvelles taxfreeTransforex : du change de

devises en Chine

30tourismeCe qui est “espagnol” dans

chaque détail

56gourmetLe vin du lendemain

40modeÉditorial : Alone after work

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interviewL’Uruguay : petite grande

puissance touristique. Liliam

Kechichián, Ministre de tourisme.

24tourismeAvant-garde et style à Madrid

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cultureMontévidéo : Capitale de

l’Amérique Latine pour la

culture 2013

44modeKavita Parmar. L’histoire derrière le tissu

36shoppingLes cadeaux et les tendances

du 2013

48modeLisu Vega écologique style

34shoppingTous les produits à Madrid

52modeNoms propes : Lady Dior - Rolex

Oyster Perpetual

54tendancesIII Bienal Iberoamericana de

Diseño

55tendancesÎle de Fogo

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Pour la deuxième fois, Montévidéo sera la Capitale de l’Amérique Latine pour la culture ce 2013, distinction attribuée par l’Union des villes capitales ibéro-amé-

ricaines (Unión de Ciudades Capitales Iberoamericanas, UCCI, en espagnol). En 1996, cette ville portuaire avait été récompensée avec ce titre, devenant une destination pour des touristes venant des quatre coins du monde au Sud de l’Amérique pour découvrir ses charmes.

L’UCCI attrbiue cette distinction aux villes du monde participant d’une ma-nière active dans les processus d’organisation des villes de l’Amérique Latine pour la culture, ainsi que dans les réseaux et les comités. De cette façon, Montévidéo joint le liste des villes lauréates.

Avec un taux d’alphabétisation au-dessus du 90 %, Montévidéo garde ses racines latines, à la fois qu’elle s’ouvre vers la moder-nité et le progrès. Ses rues, musées, monuments et des autres lieux de loisir conforment une métropole dont la connaisance vaut la peine.

Route par des musées et des espaces d’art

La capitale de l’Uruguay est distinguée par sa belle architecture, et dans beaucoup des bâtiments on garde le mieux de sa culture du Rio de la Plata.

Le Musée municipal des beaux arts Juan Manuel Blanes. Créé en 1930, il a le nom du peintre qui a créé l’iconographie constitutive de la nation dans le cente-naire de sa naissance.

Sala Zitarrosa. Inaugurée en 1999, elle offre des spectacles musicaux d’haut niveau et quelques fois de la danse et des audiovisaux. Elle a une capacité de 531 places : 391 au parterre et 140 à la tertulia.

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Montévidéo : Capitale de l’Amérique Latine pour la culture 2013

Le tango, la murga et le candombé, le maté, le délicieux chevreau uruguayen et des poètes comme Mario Benedetti sont les symboles de l’Uruguay reconnus dans tout le monde. Grâce à sa forte action culturelle,

Montévidéo a été récompensée avec la mention de Capitale de l’Amérique Latine pour la culture 2013.

Département de culture. Intendance de Montévidéo

cultura |

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Muralla Abierta (Muraille ouverte). Un com-plexe culturel qui joint le Musée des migra-tions et le Musée de la ville. Elle contient les restes archéologiques les plus importants de la fortification du Montévidéo colonial autour d’une grande place avec de la toiture.

Archivo de la Ciudad (Archives de la ville). UN espace de la communauté, qui devient un lieu de rencontre et de promotion pour tout genre d’activités.

Le Musée d’art précolombien et indigène (MAPI). Il fait des expositions temporaires de son patrimoine et des autres collections, publiques et privées, qui beaucoup des fois sont le résultat des recherches autour des sujets du processus historique et culturel

local et le contexte régional. Il se trouve au 279 de la rue 25 de Mayo 279.

Centre culturel et musée de la mémoire (MUME). Il promeut d’une façon participative la paix, les droits de l’homme et la mémoira dans les luttes populaires pour la liberté, la démocratie et la justice sociale. Visites de lundi à samedi de 12:00 a 18:00.

Musée du carnival. Il a gagné en 2009 le Pre-mio Reina Sofía de Conservación y Restaura-ción del Patrimonio Cultural (Prix Reine Sofía de conservation et restauration du patrimoine culturel) et il se trouve à la vieille ville de Mon-tévidéo, face au port et à côté du marché du port (Mercado del Puerto), le centre gastrono-mique principal du pays.

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De la célébration portes ouvertes

Tout au long du 2013, Montévidéo fêtera avec plus de 50 grandes activités culturelles. Le programme commence 19 janvier, avec le Desfile de Carnavales iberoamericanos (Défilé des carnivals de l’Amérique Latine) tput au long de la rambla de Carrasco.En plus, des festivaux internationaux de tango, jazz, cinéma, théâtre et dessin ressortent dans le programme :

Festival international de musique avancée et de culture contemporaine - 9 à 13 avril

Le Fest Contrapedal - 10 à 14 avril

La Semaine de La Cumparsita - Avril

Le DUY 2013- Dessin - 15 juin

Art futura – Deuxième semaine de novembre

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culture |

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Cinq traits culturels de la ville

1 La vieille ville. Dans la vieille ville on garde la Puerta de la Ciudadela (Porte de la

citadèle) qui, jusqu’à 1829 servait à protéger la zone contre des invasions éventuelles.

En plus, elle protége une grande variété de bàtiments emblématiques, comme la

Cathédral métropolitaine, le théâtre Solís et le Musée Torres García.

2 Le Carnival. Il s’agit de la gête la plus importante de l’Uruguay. Il a lieu chaque février

à la centrale avenue 18 de julio, l’avenue principale de la ville.

3 El Río de la Plata. Il nous amène vers des diverses bords de mer où on peut voir la

culture des habitants de la ville, qui bien sûrement offriront du maté (une boisson

chaude fait à partir de l’herbe maté) aux visiteurs.

4 Marché du port. Face au port, il date de 1868. Chaque midi une fête pour le palais est

déployée entre des délicieux rôtissages et des accords de guitare, bandonéon et des

tambourins en candombé.

5 Stade de football Centenario. Ici il eut lieu la premier Coupe du Monde de Football

de l’histoire en 1930, gagné par le maître de la maison, l’Uruguay.

Plus information: www.cultura.montevideo.gub.uy

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Entretien avec la Ministre de tourisme Liliam Kechichián

Uruguay : une petite grande puissance touristique

Avec un équipe de travail consolidé, de l’en-thousiasme, du développement et de la

maturité, le Ministère de tourisme d’Uruguay, avec l’enseignante Liliam Kechichián à la tête, a construit des bases solides pour le développe-ment du tourisme d’un pays habité par peu plus de trois millions de personnes.

«Il faut remarquer que, l’année dernière, l’Or-

ganisation mondiale du tourisme nous a choisi comme un cas unique dans lequel, au milieu de la crise financière des années 2008 et 2009, nous n’avions pas seulement gardé le nombre des touristes, mais nous avions accompli un revenu par tourisme plus haut. Grâce à son importance, l’OMT l’a appelé ‘le cas Uruguay’», a dit la mi-nistre dans une interview exclusive avec innova magazine.

Adriana Morán Sarmiento Gentillesse du Ministère de tourisme et des sports d’Uruguay

À propos de la désignation de Montévidéo comme Capitale latino-américaine de la culture, Liliam Kechichián, Ministre de tourisme d’Uruguay, fait le point des politiques touristiques de l’État et de l’intervention du secteur privé. «La formule n’est pas magique» indique-t-elle, «il faut travailler».

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Le «cas Uruguay» est un sujet d’étude dans les meilleures universités au monde, comme un modèle de cela qu’on peut faire quant au tourisme dans des temps de crise. Aujourd’hui, le deuxième pays le plus petit de l’Amérique du Sud s’érige comme une grande puissance avec des plages, des croisières, du tourisme des congrès et beaucoup plus à offrir au tou-riste international.

Une meilleure politique, plus des bénéfices

Même si on parle d’un pays si petit, le contexte externe a de l’influence sur l’économie, surtout sur le secteur touris-tique, comme nous explique la nommée deux fois «Femme de l’année quant au tourisme» (en 2006 et en 2011), Liliam Kechichián.

- Comme surge-t-elle l’idée de «plus des bénéfices pour les touristes» ?

- Pour la prochaine saison d’été on a des différents défis, comme tous nous savons. Dans ce secteur ils ont de l’influence toutes les conjonctures, mais aussi nos politiques à long terme et le dialogue per-manent entre l’État et le secteur privé. Dans ce moment on affronte des divers problèmes, comme une réduction de notre connectivité aérienne à la fois qu’on traite les changements dans ce secteur dès la fermeture de Pluna; les mesures restric-tives quant au tourisme en général qu’on a pris en Argentine; et la persistance d’une grande incertitude dans les pays déve-loppés, surtout en Europe. C’est dans ce contexte où on a dessiné les politiques de stimulation au tourisme avec des nou-veaux bénéfices : la réduction des impôts quand on paie avec des cartes de crédit

LE PAYS DE LILIAM KECHICHIÁN- Pourriez-vous nous dire un lieu que le touriste étranger ne doit pas perdre ?- Il est très difficile choisir. Je lui recommanderais visiter tout notre pays. Uruguay compte avec des destinations touristiques pour tous les goûts, dès du soleil et des plages jusqu’au thermal, et aussi du tourisme rural.

- Aucune recommandation gastronomique ?- Le rôtissage de Parrillada Don Koto et le matambre au lait de n’importe quel «boliche» (bar ou discothèque) à Montévidéo; et comme dessert ? des crêpes avec du dulce de leche (confiture de lait).

- C’est laquelle votre destination préférée en Uruguay ?- Il y a beaucoup des beaux lieux en Uruguay, mon préféré : Valizas, dans le Département de Rocha.

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et de paiement, le développement du système de commerces tax-free, des bénéfices dans les com-bustibles et même dans les téléphones portables. Néanmoins, on doit tenir compte du fait que des milliers de familles argentines ont leur résidence de repos en Uruguay, et que les destinations tou-ristiques argentines ont registré une explosion des prix. En plus, des autres destinations tradi-tionnelles du voyageur argentin, comme le Brésil ou le Caraïbe sont aussi très limitées ou très peu compétitives, et donc on attend aussi un grand nombre des frères argentins cet été.

- Il y a une intégration entre le secteur pu-blique et privé, comment se bénéficient-ils les deux secteurs avec ces politiques ?

- Le tourisme, comme toute activité économique, est développée et croît sur la base des politiques stables qu’on peut bien appeler des politiques d’État; sur la base des consensus et de l’effort conjoint des secteurs public et privé et de la créa-tivité et poussée des deux secteurs. Notre tou-risme n’a pas cru au-dessus des 3 millions de vi-siteurs seulement par un effet naturel et spontané d’une embellie économique régionale. Ce qu’on fait ou qu’on ne fait pas, tant dès l’État comme

dès le secteur privé, est très important et un facteur fonda-mental qui explique les bons résultats obtenus. La crois-sance soutenue du tourisme dans le dernier décennie s’est produite grâce à un équipage efficace et attentif, et grâce à que ce bateau a une quille solide.

Le secteur public a mis de son côté de la stabilité macro-éco-nomique, des règles du jeu claires et persistantes tout au long du temps, une politique des impôts raisonnable et prévisible, une stabilité insti-

tutionnelle dont tout le monde a fait l’éloge. Et il a apporté aussi de la créativité, du travail, des ressources fiscales (comme dans cette saison); il a répondu les demandes du secteur privé; il a fait la promotion du pays dans les marchés les plus divers; il a stimulé le tourisme social, parce que le tourisme interne, il rend aussi le secteur et l’économie en général plus dynamiques.

De son côté, le secteur privé a fait des grandes investissements dans l’infrastructure touristique, a professionnalisé et sophistiqué son offre, a dé-veloppé une gastronomie et une hôtellerie d’une plus grande qualité; a formé et professionnalisé son personnel. Il s’agit d’un secteur dynamique qui a su comment s’adapter aux temps, il a été créatif et a vérifié les avantages d’un travail à long terme, lesquelles on aperçoit surtout dans des temps difficiles, comme ces-ci.

- Dans des temps de crise au niveau mondial, comment fait-il face Uruguay au tourisme ré-ceptif ?

- Comment je vous ai dit : la formule n’est pas magique. On a besoin d’un travail focalisé au long terme de part de l’État et des compagnies

URUGUAY NATURAL

Uruguay se trouve au Cône Sud de l’Amérique, entre le Brésil et l’Argentine.

Il a de la côte au sud-est de l’océan Atlantique, et au sud sur le Rio de la Plata.

Il compte avec la deuxième colonie en taille des lions marins au monde, à «la isla de los Lobos» (l’île des loupes).

Il y a 10 aéroports internationaux en Uruguay, dont le plus important l’aéroport international de Carrasco, à Canelones, dans la zone métropolitaine de Montévidéo.

Plus d’information sur Uruguay : http://www.turismo.gub.uy/

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interview |

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privées. Beaucoup de dialogue, beaucoup de créativité, et la notion de qu’on n’agit pas pour gagner un été, mais pour développer un secteur qui est un des principaux secteurs dans notre économie.

- C’est lequel le tourisme le plus cherché en Uruguay ?

- Le tourisme des affaires a beaucoup crû, avec son centre à Montévidéo, et le tourisme de croi-sières. On prévoit l’arrivée de 244 croisières cette saison : 126 à Montévidéo et 118 à Punta del Este.

En été les plages sont l’attraction principale, mais le reste de l’année le littoral thermal a une demande croissante, comme Colonia del Sacra-mento. En plus, l’intérêt pour le tourisme rural croît beaucoup, celui pour distinguer des oiseaux, le tourisme nautique est en train de se dévelop-per. Uruguay est déjà entièrement conscient du fait qu’il doit être une destination touristique toute l’année et que pour atteindre cela on doit diversi-

fier les offres. Toutes les intendances au pays ont développé leur propre proposition. En plus, cela a tourné à l’augmentation du tourisme interne, ce qui est soutenu par le Ministère du tourisme et des autres organismes de l’État, avec la stimulation au tourisme social, avec des plans pour les personnes âgées et pour les filles de quinze ans qui vont dans leur premier voyage touristique à la côte.

- Ils sont lesquels les principaux défis touris-tiques d’Uruaguay quant au tourisme interna-tional ?

- Le défi principal est celui de garder les poli-tiques à long terme et de penser aux fondements de ce secteur d’activité. Le tourisme est une des formes dans lesquelles Uruguay est en train de changer sa matrice productive. Partant d’un pays agro-pastoral on se trouve aujourd’hui dans un pays qui, en plus de continuer à faire croître les secteurs traditionnels, croître grâce à l’industrie et l’agro-industrie, le boisement, la logistique, l’in-formatique, les communications.

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Bienvenues à Madrid Bienvenues à FITUR 2013Du 30 janvier jusqu’au 3 février Madrid est une fête. Des représentants de plus de 160 pays de tout le monde vont se réunir à la 33e édition de la Foire internationale de tourisme, FITUR.

IFEMA -FITUR

Comme toutes les années, les exposants de FITUR et les

référents du tourisme mondial inau-gurent le calendrier des foires inter-nationales et dressent les lignes du travail à développer tout au long de l’année 2013. Plus de 9500 expo-sants vont montrer, dans 9 pavillons d’exhibition, l’offre la plus variée d’un secteur qui chaque jour devient plus important pour l’économie mondiale.

Dans cette édition il y aura une im-portante représentation de l’Amé-rique Latine, ce qui renforce FITUR comme «Hub» consolidé pour l’in-dustrie touristique de le Région et comme une voie d’accès naturelle pour des marchés si attractives comment l’euro-péen, l’asiatique et, bien sûr, l’ibérique. De cette façon sera amenée l’offre du continent américain au pavillon 3, avec le but de favoriser la visibilité de ses propositions et destinations par plus des visiteurs.

Les visiteurs trouveront l’espace idéel pour re-cueillir toute l’information sur l’offre commerciale

spécialisée qui existe dans le marché touristique et pour connaître les nouveautés, technologies et services au monde.

Donc, tout est prête pour la grande fête du tou-risme mondial qui nous offrira, en plus de l’ample offre touristique, des conférences, des ren-contres, des ateliers et plus encore.

Plus d’information : http://www.ifema.es

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tourisme |

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La foire ouvrira ses portes le 30, 31 janvier et le 1 février seulement pour les professionnels, et le 2 et 3 février elle est ouverte pour le public général.

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Pour jouir de la capitale de la Chine De la mode, de l’art et des cadeaux à PékinPékin est une ville avec du charme, pleine de culture et d’histoire, mais aussi de mode. Ces dernières années, une nouvelle génération de «fashionistas» a commencé a transformer la vie sociale, la mode et les tendances de la ville.

Lucía Galarza Andrés López

À l’heure de voyager à Pékin, donc, on ne doit pas tenir compte seulement des visites pen-

dant le jour, des musées et des anciens monu-ments. Brunch, dîners, événements et vie nocturne sont des autres grandes attractions de la ville, ainsi que des occasions sociales où voir et se montrer. Au lieu de charger avec des valises impossibles, pour quoi pas visiter les zones de shopping les plus célèbres de la ville ? Nous compterons avec l’avantage additionnelle de retourner chez nous avec la dernière mode et les derniers accessoires.

Et si nous voulons profiter au maximum de notre après-midi de shopping et, en plus, retourner avec des cadeaux de Noël originaux et différents, on vous présente ici trois options pour trois personnalités dif-férentes, mais qui ont le bon goût en commun.

798 Art District: Art ContemporainPour les amants de l’ambiance bohème et/ou alter-native, le district de l’art est un paradis. On peut se promener en admirant les sculptures et des autres œuvres d’art, ou entrer dans les différentes galeries pour chercher le dernier talent chinois à découvrir, ou pour «chasser» cette œuvre qui apportera la touche exclusive et unique à la salle. Et pour quoi pas ? Trouver finalement un cadeau pour cette per-sonne qui a déjà tout.

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La zone a été construite dans les années 50; dans ce temps elle n’était pas le centre d’art contemporain qu’on trouve au-jourd’hui, mais une zone indus-trielle propriété de l’État où il ressor-tait l’usine électronique. Au 2002, des organisations culturelles et artistiques ont commencé à louer, diviser et reconver-tir l’ancienne usine et les espaces industrielles pour les transformer en galeries, centres d’art, studios, com-pagnies de dessin, bars et res-taurants. Dans ce moment on a appelé la zone 798, car ces chiffres symbolisent le mouvement culturel qui avait l’avant-garde artistique chinoise à la tête.

Dans les galeries on peut acheter des œuvres, mais beaucoup d’elles, comme si elles s’agissaient des mu-sées, comptent avec des boutiques de souvenirs, avec des planches, des livres d’art, des articles de papeterie curieux, ainsi que de dessin, etc.

Nanluoguxian: Hipster à PékinAs-tu découvert que tu es un ama-teur des choses rétro et artisanales ? Est-ce que tu es tombé amoureux de la nouvelle courant vintage ? Est-ce que tu aimes les choses arti-sanales et faites avec du câlin ? Nan-luoguxiang est une place où tu dois aller. Cette ancienne zone de hutongs rénovée et sauvée par les commerçants locaux est pleine de charme et de nostalgie, mais aussi d’une vibrante ambiance en-

treprenante et unique. Dans une zone proche à des nombreuses attractions touristiques, comme la tour du tambour ou Houhai, Nanluoguxiang est une des zones les mieux gardées de l’ancien Pékin, célèbre par ses hutongs et ses maisons

chinoises traditionnelles. Néanmoins, cette zone est célèbre aussi par ses cafés, bars, restaurants et, bien natu-rellement, par ses boutiques de mode et artisanat.

Le tracé de Nanluoguxiang est le tra-cé typique du temps dans lequel elle a été construite, celui de la dynastie Yuan (1271 - 1368), avec une artère centrale qui va du Nord au Sud (la zone actuelle la plus fréquentée) et huit hu-tongs des deux côtés. Ces dernières années de plus en plus des boutiques et des autres établissements com-mencent à ouvrir leurs portes dans les hutongs adjacents, même si avant l’artère centrale était le lieu de concentration de tous les com-merces et toute l’activité. Comme

cela, la zone commence à gran-dir d’une façon progressive sans perdre le caractère unique qui l’a fait devenir une des zones les plus célèbres de la ville.

Ici elle se trouve encore la Cen-tral Academy of Drama, source de nombreux acteurs et actrices

chinois de cinéma et télé qui sont aujourd’hui des vedettes nationales et internationales, comme Zhang Ziyi (Tigre et Dragon).

On raconte que ils étaient ce bâtiment et ses étudiants ceux qui ont commencé à donner la touche alterna-tive au voisinage, si bien le

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caractère historique provienne de bien avant, car dès le temps des dynasties Ming et Qing elle est devenue une zone fréquentée par des personnes importantes. Des hommes riches, des officiers d’haut rang et des figures clé dans la vie sociale chinoise ont marqué cette zone, car des nom-breux maîtres de la littérature chinoise, artistes, présidents du Kuomintang, princes et nobles de la dynastie Qing, ainsi que des généraux et officiers de la dynastie Ming, ont choisi cette place comme résidence un moment ou l’autre.

Des petites boutiques d’artisanat intercalent avec des restaurants et cafés, dans la plupart avec du caractère et décoration traditionnelles, mais avec

une touche de modernité. Pendant qu’on se pro-mène en regardant les vitrines, on peut déguster des friandises traditionnelles chinoises des mar-chands dans la rue. Elles abondent les boutiques de céramique artisanale, où on peut acheter des délicats services à thé, des assiettes et des plats, etc., comme The Pottery Workshop, une mélange de studio et boutique, avec des pièces artisanales d’artistes de la céramique locaux qui, quelquefois, donnent des cours dans le studio.

Sanlitun Village: de la mode internationaleCe centre commercial était proposé comme quelque chose en plus qu’un simple bâtiment avec

COMMENT Y ARRIVER ? Le Beijing International Capital Airport se trouve à 25 kilomètres de la ville, approximativement. Pour arriver à la ville dès l’aéroport de Beijing la meilleure idée est de prendre un taxi o l’express train. La monnaie chinoise est le renminbi ou yuan ou kuai. On peut changer la monnaie à la banque de l’aéroport ou dans

n’importe quelle banque de la ville. L’euro et le dollar sont bien accueillis. Les banques ouvrent les 365 jours de l’année en Chine.

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des boutiques. En fait, il s’agit d’un espace si ouvert et intégré que on ne pense plus à lui comme un centre commercial, mais comme une zone commerciale et de loisir, avec des bou-tiques, des cinémas, des restaurants, etc. Avant de commencer un après-midi fou de shopping, c’est une bonne idée de s’asseoir dans un des cafés ou res-taurants et observer les gens.

Des vrais experts en mode se promènent par ici chaque jour, jouant le rôle de mannequins des der-nières tendances et d’inspiration pour les indécis qui ne savent pas quoi acheter. Pour un après-mi-di de shopping au vrai style Carry Bradshaw, ici est où aller. À Sanlitun Village ils se trouvent essen-tiellement les marques internationales haute-de-gamme. Alexander Mcqueen, Armani ou Lanvin

peuvent habiller le plus exigeant, mais on trouve aussi des marques plus décontractées.

Pour ces courses spéciales, on peut aller au sous-sol, où ils se trouvent des librairies pleines des choses curieuses pour les amateurs de la pape-terie et du matériel de bureau de dessin, ainsi qu’une des meilleures boutiques de perruques des cheveux naturels à Pékin. Il y a aussi un ample

espace ouvert avec des nom-breuses mini-boutiques de jeunes dessinateurs où acheter des ac-cessoires, de la vaisselle peinte à la main, etc.

Si on pensait en accessoires ou des autres cadeaux plus spé-ciaux, on peut aller à X+Q. Fon-dée par deux célèbres sculpteurs chinois, la prononciation XiQi veut dire «étrange et spécial». Le même nom reflète l’intention de ces deux artistes d’emporter des éléments de la culture et de l’art contemporains chinois à la vie de chaque jour des gens. Tous les articles sont basés ou inspirés par des œuvres d’art originaux des artistes, faits à la main et d’édition limitée et signés par eux.

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Avant-garde et style à MadridTrois routes pour le shopping et le loisir

tourisme

Madrid est la ville de shopping par excellence en Espagne. La variété des boutiques, des produits, des petits marchés et des activités de loisir et d’amusement font possible que visiter cette ville devienne une expérience inoubliable. Dès innova-magazine nous choisissons trois zones à connaître par tout touriste amateur du shopping. De la tradition et de l’avant-garde pour tous les goûts.

Dès les marques les plus connues à niveau international jusqu’à des produits pas habi-

tuels, ainsi que de la inégalable production locale, les boutiques de Madrid en son pleines.

Dans la zone de la Plaza Mayor, les locaux s’étendent par les rues, dans des quartiers comme Salamanca et Chueca, le shopping se mélange avec le loisir et la gastronomie; et au même temps, les petits marchés les plus tradi-tionnels attirent les regards des curieux.

Il y a de tout à Madrid. On vous présente à conti-nuation trois routes à ne pas laisser tomber.

1-SALAMANCA: PARADIS CHIC

Beaucoup des rues les plus emblématiques pour faire du shopping à Madrid se trouvent dans le quar-tier Salamanca. Serrano, Goya, Velázquez, Claudio Coello, Ortega y Gasset et Príncipe de Vergara sont les rues où ils se trouvent les boutiques les plus luxueuses de la ville, et elles offrent au touriste une variété unique quant à mode et jouissance.

Le quartier de Salamanca confine avec Paseo de la Castellana, Alcalá, María de Molina et Francisco Silvela. Il est un des secteurs de Madrid avec la structure urbanistique la mieux définie. Ici elle se

Adriana Morán Sarmiento Cheché Díaz Yugurí

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conjugue l’aristocratie de la mode espagnole représentative, comme Ro-berto Verino, Carolina Herrera, Purificación García ou Pronovias, et la mode mondiale, avec des noms comme Gucci, Chanel ou Loewe, marques

qu’on peut trouver dans El Corte Inglés.

Elle est remarquable aussi la route des «5 commerces cente-naires», qui ont reçu le prix de la Mairie «par sa qualité et bon service au client, par son effort et sacrifice et par son innovation et capacité d’adaptation aux conditions du 2011».

Benítez-Monné. Ancien barbier du 1896, où la tradition est conjuguée avec la modernité. (Calle Serrano, No. 72)

Platería González Aragoneses offre de l’orfèvrerie et de la bijou-terie pour tous les goûts. (Calle Lagasca , Nº. 41)

Yanes. Ici elles ont été dessinés les bijoux portés par les invités au mariage royal entre Alfonso XIII et Victoria Eugenia de Battem-berg. (Calle Goya, No. 27)

La nueva parisién. La boutique à boutons la plus célèbre en Eu-rope, fondée en 1897. (Calle Claudio Coello, No. 23)

Álvarez Gómez. Bien si elle a été crée en 1899, elle a été la colonne crée en 1912 laquelle a rendu la marque célèbre. Aujourd’hui on gardé et on utilise encore sa formule originale. (Calle Serrano, No. 14)

Ils rejoignent la route du shopping deux centres commerciaux très distingués : Le Jardín de Serrano et ABC Serrano, avec des bou-tiques des premières marques quant aux vêtements et accessoires. En plus, El barrio compte avec une grande quantité d’importantes bijouteries, soulignant : Nicol’s, Vasari, Aristocrazy, Pomellato, Oh my God, All Swiss Madrid, Perodri Joyeros, Rabat.

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Route culturale :

Palacio de Cibeles. (Palais de Cybèle). Connu comme «el Centro» («le Centre»), le Palacio de Ci-beles offre dès sa terrasse une panoramique spec-taculaire : les sièges du Círculo de Bellas Artes et de l’Instituto Cervantes, la Puerta de Alcalá, le Pa-lacio de Buenavista, le Palacio de Linares... entre autres lieux touristiques de Madrid. Majestueux et impressionnant, il a été bâti entre 1904 et 1918. Il est aujourd’hui le centre névralgique de la ville et où des innombrables événements historiques et sociaux ont eu lieu. Il offre des visites guidées tous les premiers mercredis du mois.

Palacio de Amboage. (Palais d’Amboage). Il s’agit d’un des petits palais les plus grands de Madrid. Il occupe le grand pâté qui se trouve entre les rues Lagasca, Padilla, Velázquez et Juan Bravo. Il a été bâti entre 1914 et 1917 et est au-jourd’hui un des icônes du quartier. Aujourd’hui il loge l’ambassade de l’Italie.

2-PLAZA MAYOR: DE LA TRADITION MADRILÈNEAutour de la Plaza Mayor, la Puerta del Sol et la Gran Vía on trouve la zone de shopping la plus

traditionnelle de Madrid. Il faut parcourir quelques mètres et les options son infinites : de la mode, de l’artisanat, des disques, des livres, de la gastro-nomie. Des petites boutiques avec une tradition enracinée et qui ouvrent leurs portes aux touristes des quatre coins du monde. Quelques boutiques représentatives sont :

Casa de Diego: Spécialisée en éventails, para-pluies et châles de Manille dès 1823.

La Favorita: Dédiée à la vente de tout genre de chapeaux dès 1894.

Pour plus connaître sur la culture madrilène :

Le triangle d’or de l’art, où elle se trouve une des pinacothèques les plus importantes au monde. Au Paseo del Prado, donnant son nom au Musée del Prado. Mais on trouve aussi le Musée Thyssen Bor-nemisza et le Musée Reina Sofía. Dans cette route on peut visiter aussi des boutiques comme Objetos de Arte Toledano et ArteStilo, où on peut acheter des petits souvenirs ou des importantes pièces arti-sanales ou en porcelaine.

Programme cultural : www.museodelprado.es, www.museothyssen.org, www.museoreinasofia.es

Feria del Libro Antiguo y de Ocasión. (Foire du livre ancien et d’occasion). Aussi connu comme le marché de livres de la Cuesta de Moyano, elle offre une ample variété d’offre littéraire, des livres d’occasion et des livres nouveaux. Où : Cuesta de Moyano.

SE DÉPLACER À MADRID Madrid compte avec plus de 150 routes de bus publics et un moderne système de métro et trains qui lient les villages de

la périphérie avec la capitale. (Voir plan de trains de Madrid) La base centrale des transports en commun se trouve à la Puerta del Sol. Et les «búhos» les bus de nuit, sortent dès la

Plaza de Cibeles vers les différents quartiers. Leur horaire est de 23h30 jusqu’à 06h. Se déplacer en taxi est plus cher et lent à cause de la circulation. Il y a beaucoup des options pour louer des voitures, mais il peut être difficile trouver où se garer.

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Horaire : De lundi à vendredi, de 9:30 à 17:00 en hiver, et de 9:30 è 20:00 en été. Samedi et di-manche, horaire de matin

Mercado de Pinturas. (Marché des peintures). Pour les amateurs de l’art celle-ci est une visite à faire dimanche, avec une bonne éventail de pein-ture et des autres techniques. Où : Plaza Conde de Barajas.

Horaire : Dimanche de 10:00 à 14:00.

3-CHUECA: CONTEMPORAIN ET OSÉIl est un des quartiers les plus cosmopolites et authentiques du centre de Madrid. Il est un lieu pour la distraction unique et attirant, avec un goût exquis pour le shopping et le loisir.

Aux vitrines de Chueca on obtient de l’originalité et de l’avant-gardisme à parts égales. Le jour, il compte avec une vie très active autour des petits commerces offrant une grande variété des pro-duits : des librairies, des boutiques scandaleuses,

des sex shops, des cafés, des saunas et des boutiques de lingerie osée où ils ressortent les plumes, le cuir et les paillettes. Les accessoires sont à l’ordre des clients les plus extravagants.

Le Mercado de San Antón, rue Augusto Figue-roa 24, se trouve aujourd’hui le espace créé dans l’intersection des rues Augusto Figueroa, Barbieri et Libertad, mais il n’a pas été toujours comme cela. Au commence il était un petit marché de la rue approvisionnant le quartier Justicia, une partie de Madrid qui s’est agrandie beaucoup au XIXe siècle quand il a accueilli les émigrants provenant de la campagne.

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Il était si populaire que Galdós l’a cité dans la deuxième partie de son œuvre Fortunata y Jacinta. En 2002 la Mairie a inclus le mercado de San Antón dans son plan de modernisation et dynamisation des Mercados de Madrid.

Pour faire du shopping dans le quartier :

De la confection unisex : Benny Room Conde de Xiquena, 17, Yube Fernando VI, 23.

De la lingerie avec de l’imagination : TCN Almirante, 16.

Des chaussures : Unisa Madrid I Augusto Figueroa 35.

De la confection avec du dessin : Oliphant Santa Teresa, 7.

Des accessoires avec du style : Malababa, à la rue Santa Teresa 5.

De la mode chic: Purificación García, à la rue Bárbara de Braganza 4 et Carolina Herrera, calle Bárbara de Braganza 2, (coin avec Conde de Xiquena)

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Zocotiendas, ArteStilo et Arte Toledano sont trois boutiques représentatives de la culture espagnole la plus traditionnelle. À Madrid et à Tolède, des milliers des produits attirent au touriste le plus curieux cherchant un souvenir unique et de qualité.

Des épées à Tolède

Une grotte du XVIII siècle rénovée au sous-sol d’un bâtiment de quatre étages est la sensation de Zocotiendas. Ici, des centaines des produits de la Moyenne Âge, des épées et tout type des com-pléments, comme des armures, des plastrons ou des boucliers, sont prêts à être regardés avec de la curiosité. Mais on a aussi une bonne représentation des produits orientaux, très à la mode ces dernières années, comme des katanas ou des autres.

V. Moreno, fondateur de Zocotiendas, a dédié sa vie à l’artisanat et la fabrication des épées. Après, il a décidé parier pour un espace lui permettant offrir à son public les meilleurs produits de la tradition euro-péenne. Et les épées sont son attraction principale.

Israel Moreno Fernández, responsable de la bou-tique, nous raconte que la variété des clients est très grande, malgré les ajustements économiques à niveau mondial : «la demande a changé subs-tantiellement, marquée par la crise économique actuelle: le client national et, surtout, l’américain, a cédé du terrain, et le client russe et le chinois sont les plus représentatifs pour nous.»

- Qu’est-ce que peut-il trouver, un touriste, à Zocotiendas ?

- Nous offrons le pro-duit artisanal le plus important et le plus connu, qui est el damasquinage, dont la plupart est fait à la main par nos artisans. Nous avons tout genre de produit: des produits décoratifs, des assiettes, des tableaux, des compléments; aujourd’hui des produits plus deman-dés, comme les bracelets, les colliers, les boucles d’oreille, les boutons de manchette, etc. Dans ce sous-sol nous avons aussi deux artisans qui travaillent de manière permanente, offrant à nos clients des démonstrations de l’élaboration de ces produits.»

Zocotiendas compte aussi avec des produits ty-piques de la ville au premier étage, et des souvenirs espagnols au troisième.

Coordonnèes: Calle Comercio 48-50 / 45001-Toledo / www.zocotiendas.com

Des produits typiques pour les touristes Ce qui est «espagnol» dans chaque détail

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Des petits objets de qualité

Tout touriste doit parcourir les installations d’ArteS-tilo, qui logent plus de six mil références entre pro-duits Lladro, souvenirs, bijoux de fantaisie espa-gnols et européens, et des objets divers, comme des sculptures et céramiques.

Carlos Sanchez Tardio, représentant de la bou-tique, commente que la marque commerciale a commencé en 1982, quand les plus importants étaient les produits Lladro, les bronzes et les céra-miques de qualité. En ce moment là celle-ci était la première boutique exclusive de la marque Lladro.

- Quel genre de produits cherchent-ils plus, les touristes ?

- On essaie de donner au touriste quelque chose de représentative de notre pays pour emporter, quelque chose qui, même si petite ou pas cher, porte notre marque d’identité. Je veux dire, qu’il soit fait en Espagne. Notre intérêt et notre offre sont basées, au moins le 80%, sur des produits artisans faits entièrement en Espagne.

- Quel produit recommandez vous à un touriste indécis ?

- En premier lieu, nous essayons de lui placer dans les catégories d’argent à dépenser et destination du cadeau. Nous basant sur cela, nous essayons de l’aider à trouver ce qui est le mieux pour lui ou elle. C’est vrai que, quand il y a des doutes sur quoi acheter, l’icone espagnol, l’Andalou résoudre le problème, et si c’est pour un homme, le Qui-chotte nous offre la solution.

Aujourd’hui, ArteStilo compte avec un prestige re-connu aux marchés national et international.

Coordonnèes: Paseo del Prado 12 / 28014 Madrid / www.artestilo.com

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Objets d’Arte Toledano

Fondée par Ciriaco Sánchez Garrido en 1960, Arte Toledano se trouve dans le «triangle de l’art», entre les grands mu-sées et les mieux hôtels de Madrid.

Jose María Sánchez nous raconte que tous les produits artisanaux représentent l’Espagne, dès une sculpture en bois du Quichotte jusqu’à la plus raffinée marqueterie de Grenade.

Bien que les touristes cherchent n’importe quel produit artisanal représentant l’Espagne, Jose Ma-ria Sanchez Tardio, représentant de la boutique, nous raconte que les épées sont les produits les plus cherchés quant à la Moyenne Âge: «on en a dès le XIIe siècle, avec les épées du Cid Cam-

peador et les croisades; jusqu’au XVe siècle, avec les épées de Carlos V et des Rois catholiques; et aussi du XVIe siècle, avec le tizona espagnole et la rapière.»

Les armures sont des autres articles importants en Arte Toledano, où on peut trouver, si on est inté-ressé, des différents genres : gothique, churbur, germanique, Carlos V et des templiers.

En Arte Toledano on peut acheter aussi des perles Majorica, des autres armes, des souvenirs, des damasquinages de Tolède, des éventails, des cé-ramiques et des porcelaines.

Coordonnèes: Paseo del Prado 10 / 28014 Madrid / www.artetoledano.com

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Tous les produits de MadridDeux chemins pour trouver les articles les plus recherchés par les touristes du monde: la mode, parfums, chaussures, cadeaux et plus encore. Des itinéraires fascinants à travers le centre de la ville et le quartier de Salamanca.

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Centre

BIJOUX / MONTRES Gran Vía: Aldao, No. 15. Calle Arenal: Rojocar, No. 9. Comercial Arenal, No. 3.

Joyería El Belén, No. 7 Calle Mayor: Estirpe Joyera, No. 19

CHAUSSURES Gran Vía: Clark’s, No. 31 Calle Arenal: Zapatería Summum, No. 16 Calle Carretas: Boludos y Boludas, No. 7.

Zapatería Elena H, No. 13

PARFUMERIES Calle Arenal: Perfumerías Padilla, No 26 Calle Carmen: Green Perfumerías, No. 26

SPORTSWEAR Calle Mayor: Tienda Real Madrid. Adidas Stuff, No. 21

ARTESANÍA / REGALOS Plaza Mayor: Gritos de Madrid, No. 6.

Bazar El Pulpito, No. 11. Tiendas Turísticas Casa Pan; No. 27. Gracias Mama, No. 32. Los Siete Soles, No. 73. Spain Gift, No. 47

Calle Preciados: Toro (Tienda Osborne), No. 35 Paseo del Prado: Objetos de Arte Toledano, No. 10.

Artestilo, No. 12 Calle Huertas: Goa, No. 5 Calle Arenal: Cubica, No. 9 Calle Carmen: O2, No. 8

PHOTO / AUDIO Callejón de Preciados: Galeote, No. 2.

Panasonic Center, No. 38

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Tous les produits de Madrid

POUR PLUS D’INFORMATION: INNOVA TAXFREE À MADRIDCalle Velázquez, 140 Pl. 1Téléphone : +34 915 237 004www.innovataxfree.com

Barrio de Salamanca

MODE Calle Serrano: Carolina Herrera, No. 16. Purificación García, No. 28. Alfaro; No. 7.

Roberto Verino, No. 33 Calle Jorge Juan: Breuer, No. 13. Callejón Jorge Juan: Cashmere Concept, No. 14. Cortana, No. 14

Calle Goya: Façonnable, No. 6-8. Benetton, No. 23 y 63.

Callejón de Puig Cerda: Estudio Masscob, No. 2.

ACCESSOIRES DE MODE Calle Goya: Parfois, No. 55.

Concha García, No. 38

CHAUSSURES Calle Claudio Coello: Carmina Shoemaker, No. 73. Meermin

Calle Jorge Juan: Berwick 1707, No. 11. Bow- Tie, No. 15. If Shoes, No. 22.

Calle Serrano: Bravo, No. 42. Lurueña, No. 54. Calle Goya: Antonio Parriego, No. 45 Calle Lagasca: MBT, No. 124.

BIJOUX / MONTRES Calle Serrano: Rabat. Perodri Joyeros, No. 17. Aristocrazy, No. 46. Nicol’s, No. 88.

Vasari. Oh my God, No. 70 Calle Ortega y Gasset: Panerai, Nº 11.

Nicol’s, Nº 11. PARFUMERIES

Calle Lagasca: Carla, No. 44. Claudio Coello: If, No. 50

AUTRES Calle Agustín de Foxa: Harley Davidson, No. 27. Calle Goya: Bang & Olufsen, No. 6-8.

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Après une dure journée de travail, tous les regards se fixent sur elles. Le magnétisme et la beauté de la femme d’aujourd’hui.

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Shoulder pad jacket. Grove nite by Natalia Mardones (www.quinmadrid.com)

Boucles d’oreille “Hoja” (“Feuille”). Andrés Rodríguez (www.enfantterrible.es)

Patricia Rodríguez

éditorial

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Maquillage et cheveux : Miguel Ángel Gómez Tragacete, [email protected] : Irene Bujalance, www.irenebujalance.com. Mannequin : Ann Mürph, Isabel Navarro Model Management.Directeur de la videoweb: Jesus Plaza. www.jesusplaza.com. Style : Patricia Rodríguez.Remerciements à la collaboration d’O´CLOCK pub à Madrid. www.oclockpub.com

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Jersey Trip Saigon. a-couple (www.quinmadrid.com)Jupe “Female prisioner”. Grobe nite by Natalia Mardones (www.quinmadrid.com)Bracelet Marc Jacobs (www.marcjacobs.com) Boucles d’oreille Briana Guerra(www.enfantterrible.es)

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Robe “conuulsum”. Impúribus (www.enfantterrible.es / www.quinmadrid.com)Boucles d’oreille “Hoja” (“Feuille”). Bijoux d’Andrés Rodríguez (www.enfatterrible.es)Bracelet avec de la pierre naturelle. Q de Queta (www.enfantterrible.es)

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Pillbox hat. Biliana Borissova (www.bilianaborissova.com)Short lenger. Cristina Piña (www.enfatterrible.es)Top avec des plumes et chaussures Bixo : Assaad Awad (www.assaadawad.com)

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Cette histoire commence en Inde. P. Audiyapatham est

maître tisseur dans la coopérative Sri Sakathi Vinayagar et a com-mencé à tisser quand il avait 25 ans. C’était son père qui l’a ensei-

gné à tisser. Il voudrait que Man-mohan Singh, le Premier ministre

de l’Inde, portait ses lungis, vêtement traditionnelle qui on porte liée autour

de la ceinture dans les pays où la cha-leur et l’humidité ne rendent pas agréable

porter des pantalons serrés.

P. Audiyapatham tisse pour IOWEYOU de-puis 2010. La coopérative donne du travail à 247 maîtres tisseurs. Fondée en 1991 et

dirigé par P.A. Ramalingam, elle se trouve dans le petit village de Kandachipuram, en Villlupuram, district de Tamil Nad.

Elle compte aujourd’hui avec 14 tisseurs, 236 mé-tiers à tisseurs avec 1688 mètres de tissu faits pour IOU, fabriquant 425 vêtements en coton.

Grâce à ce noyau en Inde, Marisa Sangurabo et son équipe d’experts artisans de Maniffature Di Padova reçoivent une matière première de qualité travaillée avec le soin d’un métier artisanal pour pouvoir, de cette façon, lui transformer dans un vêtement magnifique.

Mondialement connue par son excellence dans la manufacture textile. “Manifatture di Padova” fait al-

En Inde on tisse les tissus. En Italie, des mains dédiées à l’artisan métier les transforment dans des vêtements uniques. Et Kavita Parmar, fondatrice de cette chaîne, utilise la technologie pour faire connaître l’origine unique de chaque pièce.

José Luis Baciero iouproject.com

Kavita Parmar

L’histoire derrière le tissu

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lusion à ses origines, la région italienne de Padoue, où le métier textile a été une tradition très appré-ciée. Marisa et ses collègues ont été une partie fon-damentale dans la réalisation du The IOU Project quand il a du changer son processus d’élaboration pour garder les réquisits artisanaux d’IOU.

Parce que chaque pièce textile est unique, IOWEYOU donne aux acheteurs finaux la possi-bilité de suivre le processus de production dès la main qui a tissé le tissu jusqu’aux dernières re-touches quand le vêtement est fini. Les histoires de comment il a été créé le produit, des personnes impliquées, des clients qui l’ont acheté, sont l’es-sence du réseau social d’e-commerce que The IOU Project a construit comme un lieu de rencontre pour une communauté qui partage ses valeurs de marque d’authenticité, transparence, singularité et responsabilité sociale et environnementale. Pour cela, chaque vêtement d’IOWEYOU a un code QR, grâce auquel tout utilisateur peut accéder à l’his-toire de son vêtement avec une simple touche sur son Smartphone.

Arrivée en EspagneKavita utilise presque involontairement le bouche-à-bouche pour faire de la promotion, au point d’avoir une usine en Espagne quand tout le monde est prête pour partir. En 2008 elle décide poser une haute parie. Elle ouvre les portes d’une boutique, mais tout commence a changer... Le besoin de res-ter fidèle à ses consommateurs lui fait être confor-tée dans la confection artisanale. Elle rejette pro-duire d’une autre façon, et comprend que le monde des réseaux sociaux est en train de changer le monde du réel.

Grâce à ces moments qui changent des vies et qui allument ce «quelque chose» dedans quelqu’un qui nous amène à réaliser un projet, on peut jouir au-jourd’hui d’une dessinatrice qui porte de la lumière dans ce monde de la mode qui n’est pas banal. Kavita Parmar elle-même le dit bien : “Quand tout allait se faire foutre, j’ai lutté au moins…”

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LA FEMME EN COULISSES

L’artisane de tout cela est Kavita Parmar, une femme créative, innovatrice et pas conformiste du tout. Elle conquiert même avant de lui connaître, capable d’attirer l’attention avec une communication virtuelle.

Cette dessinatrice, avec son idéologie politique bien marquée, regarde en derrière pour réinventer un secteur dès ses racines. Quand la mode semble avoir oublié l’artisanal, qui la fait devenir un art, elle parie pour un travail conjoint entre des différents tisseurs, artisans et dessinateurs, avec des merveilleux tissu de l’Inde, des dessins créés en Italie et des artisans tissant des espadrilles en plein XXIe siècle.

Elle parie pour la qualité et l’originalité au lieu de la quantité, s’éloignant comme cela du dit phénomène des «firmes low-cost”. Grâce à la technologie on peut lier le consommateur final avec les artisans involucrés dans le processus, donnant la pièce un exceptionnel pouvoir de connexion émotionnelle.

Kavita Parmar est née en Inde, près de la frontière avec le Népal. Elle a habité à Londres, Hong Kong, New York, San Francisco et New Delhi. Elle n’oublie pas ses moments de l’enfance quand sa mère choisissait parmi beaucoup des tissus et lui permettait créer ses propres vêtements avec lesquels étaient endommagés, donnant un coup de pouce à la créativité de cette dessinatrice avec un esprit nomade et innovateur.

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Les vêtements de Lisu Vega donnent beaucoup à parler. Cette dessinatrice vénézuélienne ha-

bitant à Miami travaille avec des combinaisons uniques dans une proposition pro-environnement et très artistique.

Elle prépare dans ce moment sa prochaine collec-tion sur le recyclage. La première partie sera pré-sentée dans l’Art Basel (Miami Beach, décembre 2012) et après, au début du 2013, elle aura son propre show à New York.

Avec une prononcée tendance vers le bienfaisant, ses défilés sont pleins de magie, couleur et des-sins légers pour la femme qui change constam-ment, comme dans sa collection Nina, inspirée d’une chanson de Nina Simone dont le titre est “I put spell on you”.

Lisu fait sa propre interprétation de cette chan-son et crée une image représentant une femme qui subi une métamorphose d’émotions, qui se déconstruit et construit elle même. “Nina est une séquence d’images qui montrent cette femme-ci vivant un processus viscéral et chaotique jusqu’à

sa floraison”, nous explique Lisu.

- C’est comment ton processus créa-tif, dans lequel tu lies les collections

avec le dessin des tissus et des ac-cessoires ?

- Les rêves, l’art, la musique, ma fa-mille et mes expériences vécues chaque

jour font partie de mon processus créatif. La surprise est toujours là parce mon ma-tériel fixe pour travailler avec est recyclé.

L’écologie et la mode marchent ensemble dans les collections de Lisu Vega. La dessinatrice habitant à Miami s’inspire de la renaissance de la femme d’aujourd’hui pour créer des pièces et accessoires uniques.

Adriana Morán Sarmiento Lisu Vega

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Lisu Vega écologique style

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Je fais des collages des tissus avec la machine à coudre, et ça devient la base pour mon impression et aussi un nouvel accessoire unique. Je crois beaucoup dans les connexions, dans l’utilisation des éléments jusqu’à leur plus grande expression et dans la création de cons-cience sur le recyclage, qui est un nou-veau style de vie.

- Est-ce que le monde est en train de tourner vers l’écologique ?

- Heureusement, je crois oui. Il y a des plus en plus des dessinateurs qui se préoccu-pent d’utiliser des matériaux pro-environ-nement ou de réutiliser des éléments et de créer des nouvelles pièces. Je suis pour le recyclage, mais je crois que quelquefois le spectateur a une position erronée sur le recyclage et plusieurs fois on dévalorise le travail; donc, je me suis préoccupée de créer une pièce à partir du recyclage mais soignant sa finition jusqu’au moindre dé-tail.

- Quelle collection t’a donné plus des satisfactions ?

- Toutes les collections m’ont donné beaucoup des satisfactions, surtout parce que je considère que je n’ai pas un stéréotype. Les canons, ils me sont égal. Je fais ce qui me plaît, et cha-que collection est une vision à moi d’un moment concret: quand tu crées une pièce littéraire, ou une œuvre, ou peut-être une collection et tu sais que c’est à toi, parce que elle a surgi d’un élément qui t’a inspiré et qui t’a don-né l’occasion de créer quelque chose d’unique.

Collection NINAPhotographe : Osvaldo Pontón

Maquillage : Nikki Oxley Mannequin : Anna Handshy

Dessin des tissus : Lisu Vega

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Clan artistiqueLisu Vega a une grande inspiration : son fils Julián, quatre, qui dessine les impressions pour sa collec-tion pour les enfants, pendant que Lisu se dédie à la collection pour les femmes.

“Nous sommes un clan”, explique le designer, se référant à son mari Juan Henriquez, artiste plasti-que, et de son fils. “Nous avons passé quelques années développant un projet dont le nom est Trip hope et qui est une ligne pour les enfants où nous faisons des choses différenciées et créant à tra-vers des projets une proposition différente pour le marché”, commente-t-elle. C’est comme cela que Julián, “notre fidèle collègue” a une vision pure de la vie et qu’il transmet de l’innocence et de la sa-gesse à ses parents.

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Photographe : Osvaldo Pontón Maquillage : Nikki OxleyMannequin : Anna Handshy Dessin des tissus : Lisu Vega

Vêtements et accessoires : Lisu VegaPhotographe : Alexandra Vivas Maquillage : Cristina Pilo Tang Production : Juan Henriquez

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porsche designfashion

ß1000

porsche design

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nombs propres

ElleLady Dior

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Un cadeau rendu icone de style. Cela est ce qui c’est passé quand Berna-dette Chirac, première dame de la

France a reçu comme invitée à Lady Diana en 1995 par l’exposition de Cézanne, et l’a donné comme cadeau un (jusqu’au moment nommé chouchou) sac à main d’édition li-mitée de Christian Dior. Renommé dès ce moment-là comme ‘Lady Dior’.

C’est un hommage aux anciennes chaises napoléoniennes de ‘cannage’ sur les-quelles elles s’asseyaient les clientes les plus exclusives de la demeure française.

Fait en cuir de mouton. Le ‘cannage’ reste parfaitement reflété dans les broderies extérieures. Des autres marques d’identité sont les plaques métalliques avec les initiales ‘CD’ et sa doublure interne rouge.

C’est une pièce qui a réussi non seulement à main-tenir ses adeptes, mais aussi à s’adapter au nou-veau rythme du marché, jusqu’a devenir une pièce de collectionneur.

En 2011 John Galliano a réinventé le ‘Lady Dior’, ajoutant des différentes matériaux et styles. Au-jourd’hui plus de 70 modèles versionnent le premier.

Le sac à main a inspiré aussi une saga de court-mé-trages identifiant le pouvoir que cette pièce irradie

quand elle entre en scène. Jouées par Marion Cotillard comme ‘Lady Rouge’, ‘Lady Noir’, ‘Lady Grey’ et ‘Lady Blue’.

Des photographes, des directeurs de ciné, des acteurs, des musiciens… tous se sont intéressés par inclure dans leurs œuvres cet objet qui n’a pas besoin des présentations, ‘Lady Dior’.

Patricia Rodríguez Ovejero

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IlRolex Oyster Perpetual

Elegance. Précision. Robustesse. Ce sont les valeurs qui transmet un œil ROLEX.

Le modèle phare de Rolex, «Oys-ter Perpetual», a été transfor-mée au fil du temps pour conti-nuer à représenter la force de la marque.

En 1926, fut la première montre étanche à la poussière avec le monde her-

métique et étanche. Mieux connu comme «Bubbleback». Est-ce le secret, lui donnant le

nom. En tant que partenaire fondateur Wilsdorf a comparé ses espaces restreints, la difficulté d’ouvrir les huîtres dans un dîner mémorable.

Plus tard, le modèle est également un pionnier en intégrant une montre automatique, ainsi que la date, le mois et l’année, dans son Datejust Oyster Perpetual modèles ultérieurs.

L’idée de voir les chevaliers du temps avec leurs montres au poignet, plutôt que dans ses poches, c’était impensable, et un rêve pour les créateurs. Aujourd’hui, l’impensable est un portage Rolex Oyster Perpetual dans votre poche.

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Valentina García Plata | www.bid-dimad.org

III Bienal Iberoamericana de DiseñoDIMAD. Matadero Madrid

Dernier 26 no-vembre elle a été

inauguré la troisième édition de la Biennale iberoaméricaine de dessin, organisée par la Central de Diseño (Centrale de dessin) et DIMAD. Tout au long de sa

courte vie, la BID est un autre pont entre l’Amérique et l’Europe en marge des sommets politiques. D’ailleurs, la conclusion après la dernière ayant lieu à Cadix était que l’Espagne avait beau-coup à apprendre de ses cousins américains pour s’en sortir des sérieux problèmes économiques, bancaires et sociaux qui s’abattent sur nous. En fait,

il n’y a que deux années les frères Campana plai-santaient sur ce sujet dans un entretien publié en REM Magazine : ils n’étaient pas surpris par le phé-nomène économique, parce que l’atout des gens de l’Amérique Latine est celle d’avoir surmonté des différentes crises dans des différentes décennies.

C’est pour cela que les relations entre le dessin eu-ropéen et celui de l’Amérique Latine ont aujourd’hui une perspective renouvelée et aussi des traits com-muns. Des deux côtés de l’Atlantique, le souci par la durabilité est reflétée dans des objets efficients dans leur production ou dans leur entretien. En fait, le Prix BID12-Cosentino soutient ces intentions. La même chose se passe avec la nécessité de renfor-cer le dessin comme une discipline pour inclure à tous dans une société sans des barrières. Des mul-tiples propositions comme des conférences, des ateliers, des discours et des expositions pourront être visitées jusqu’au prochain 28 février dans la Central de Diseño du Matadero Madrid.

LUNETTES - Reused History. PCM .Tomas Kral (España)

TABLE DES TIROIRS MULTIPLESBS01. Wewood. Bruno Serrão (Portugal)

BANQUE DE LIÈGE. Delini. Alina Leiva y Rodolfo Morales (Chile)

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Lorenzo IturbideBent René Synnevåg et Saunders Architecture

Île de FogoFogo, Canadá / Saunders Architecture

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Nous devons célébrer la grande idée de la Fondation Shorefast: Transformer l’île Fogo, au nord-est de Terre-Neuve, un lieu pour les artistes en résidence pendant les saisons clémentes de l’année.

Ils ont choisi les arts pour focaliser l’attention sur l’île et la faire devenir un thème ou un cadre de création grâce aux résidences bâties ex professo pour l’officine norvégienne Saunders Architecture. Les architectes ont conçu trois genres de maisons à préfabriquer l’hiver dans les ateliers dans l’île et à monter n’importe où dans la même île.

Les studios dessinés par Saunders sont des exer-cices de géométrie qui contrastent totalement avec la réalité environnante. Chaque maison est consi-dérée un lieu d’observation de la nature dans le cours des saisons, raison par laquelle ils ont fait des grandes entrées de lumière dans plusieurs des faces des bâtiments. Tous les bâtiments sont orientés vers la mer, et ils sont en haut, pour que les artistes aient la sensation de ne pas avoir ni des obstacles ni des astreintes. En plus, comme ils sont isolés, ils sont pensés pour l’autosuffisance d’électricité et le recyclage de leurs déchets.

Les trois genres de bâtiments, inspirés de l’habi-tat local, entrent en liaison avec leur entour des différentes manières. Le studio Largo (Longue) veux exercer d’observatoire, pendant que la Torre (la Tour) est une icône verticale dans un paysage principalement horizontal: un immeuble de trois étages avec quatre façades différentes entre eux. Quant au Puente (Pont), il s’agit d’un espace de seulement 20 m2 qui permet l’immersion dans le paysage. L’artiste est tout seul devant la nature sidérant qui l’entoure.

Ce programme de résidences a commencé en 2010, et dès ici on ne connait pas les résultats de la relation avec l’île des artistes venus des quatre coins de la planète. Néanmoins, on peut jouir de la première de ces interactions, la singulière œuvre de Saunders Architecture.

Projet : Studios à l’Île de Fogowww.saunders.no

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Le monde du vin changer aussi vite que la te-chnologie, donc dans cette section tiendra

compte de cette évolution, l’approche des chan-gements qui se produisent dans le secteur dans différentes parties du monde.

Utilisation de la célèbre phrase “In vino veritas” (“dans le vin il ya la vérité»), notre intention est de diffuser cette merveilleuse culture, de sorte que tous les lecteurs et les amateurs de vin à apprécier.

Nous allons mettre tous nos sens, comme une dégustation de bons vins, de sorte que notre tra-vail est une référence pour le voyageur lecteur, où vous trouverez un endroit pour partager leur passion du vin.

Nous allons faire un tour des vins du monde (Amérique, Europe ...), avec une sélection de produits recommandés, d’analyser les clés de dégustation et les secrets de l’élaboration et de partager les événements les plus importants survenus dans le monde sur le vin.

Première dégustation

Notre première recommandation pour les fêtes: le champagne Mumm déboucher que nous vo-yons dans de Formule 1, mais dans notre cas, nous aidera à remplir nos tasses de joie pour le toast, seulement pour irriguer les invités ... Joyeuses fêtes!

Bienvenue à cette nouvelle section du innova-magazine qui a été fondée dans le but de partager une passion pour beaucoup de gens dans le monde: LE VIN.

Beatriz García García-Fuentes. Directrice de DE VINO

Le vin de l’avenir

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gourmet |

Viva Mexico

À l’avance, notre premier choix dans la prochaine édition sera consacrée aux vins du Mexique, si ce n’est pas la fin du monde en 2012 selon la prédiction maya ...

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La más completa información sobre turismo en Argentinaal servicio de periodistasy medios de comunicación.

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Place to beL’Amérique du Sud dans cinq destinations inoubliables

Cinq lieux inoubliables où recevoir le nouvel an chargés avec l’énergie de la nature, la tradition et la culture au Sud d’Occident.

Au sud-est du Brésil, elle est la deuxième ville la plus peuplée du pays, et la première destination touristique de l’Amérique Latine. Parmis ses attractions les plus importantes on souligne les plages de Copacabana et Ipanema, le célèbre Pain de Sucre et l’inégalable Christ Rédempteur. À la fin de chaque année, Copacabana est comblée de touristes venant des quatre coins du monde à ses plages pour fêter l’arrivée d’un nouveau cycle. Les plages, la jungle et la joie font de Rio une des villes les plus belles d’Amérique.

Événements :La ‘Cidade Maravilhosa’ se prépare pour recevoir 2013 comme siège des grands événements :

La Coupe des confédérations et la Journée mondiale de la jeunesse.

En plus, la Coupe du monde de football du 2014 et les Jeux olympiques 2016.

Rio de Janeiro

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Un des plus impressionnants lieux archéologiques au monde nous invite à jouir des beautés naturelles et de toute la tradition et culture des Pâques du Chili. Inscrit au Patrimoine mondial de l’Humanité par l’UNESCO en 1995, l’Île de Pâques, ou Rapa Nui, est un des territoires les plus éloignés dans l’océan Pacifique, à 3 680km du Chili continental et à 4 050km de Tahiti. L’abondance des falaises, trois plages blanchâtres, des douces buttes et prairies et ses volcans éteints accompagnent les célèbres Moais érigés par leurs ancêtres.

En voyageant :

Porter des vêtements légers, imperméable, des chaussures de sport, coupe-vents et des lunettes de soleil.

Pour se déplacer par l’île: il n’ya pas des transports en commun. On peut louer des jeeps, des motos, des vélos ou des chevaux.

Du à l’isolement, les produits sont très chers.

C’est la ville la plus vieille d’Amérique du Sud, avec un patrimoine architectonique inégalable. Un paradis naturel idéel pour jouir du meilleur du Caraïbe. Les plages du Parc National Tayrona sont connues comme unes des plus belles au monde. Il s’agit d’une réserve naturelle avec des eaux cristallines, du sable blanc et des impressionnants levers du jour dans la baie. Une destination unique où la mer et les montagnes se rejoignent. En plus, la ville de Santa Marta, au nord-est de la Colombie, est un héritage historique du pays. Une promenade par son centre historique et la jetée de Bastidas vaut bien la peine.

Balnéaires :

Les plages les plus célèbres sont : Cabo San Juan, Bahía Concha, Neguanje et Cañaveral.

La côte compte avec des cabanes et des restaurants, ainsi qu’un terrain de camping.

Santa Marta

Île de Pâques

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Un imposant paysage comblé de mystères à découvrir. Les ruines les plus célèbres du Pérou conforment une des destinations les plus fascinantes à la planète.À 7 000 pieds sur le niveau de la mer et situé dans une petite colline dans les Andes, la ville s’élève majestueuse sur la vallée d’Urubamba. La découverte de cette ‘ville perdue’ a eu lieu en 1911.Une expérience magique comprenant parcourir le Chemin de l’Inca et jouir des champs, des terrasses et des versants conformant un paradis vert.

Recommandations :

C’est qui est idéal est de faire une visite de deux jours dès Cusco. Le paquet avec le transport, une nuit dans un hôtel et la visite guidée à la citadelle compris peut avoir un coût de 250 dollars.

Porter du filtre solaire, des lunettes et des chapeaux, car il est à une très grande altitude et le soleil, même si c’est nuageux, est très fort.

Connu par tous comme la ville la plus au Sud de la planète. Au Sud de l’Argentine, aux mêmes Andes, elle se trouve cette merveille où on peut réaliser n’importe quel genre d’activité.Au bord du grand du canal de Beagle, elle est une conjugaison finale de montagnes, forêts, mer et, sur tout, vent. Selon les habitants, le nom veut dire en langue yamana ‘baie face à l’ouest’ C’est pour cela aussi une destination d’excellence pour amarrer des importants croisières.

Tout dans un seul lieu :

La compte avec un service hôtelier de premier niveau, ainsi que des charmants restaurants pour jouir d’une araignée de mer ou d’un agneau patagonique à la croix.

Au niveau touristique, elle représente le dernier chaînon du corridor Austral formé par Bariloche et El Calafate, porte d’entrée au continent Antartique.

La ville est exonerée de TVA, ce qui lui a fait dévenir un point stratégique pour accéder à des locaux libres d’impôts tout au long de l’avenue San Martín, au centre-ville.

Ushuaia

Machu Picchu

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La première compagnie avec une licence nationale

Transforex : du change de devises en Chine5 décembre 2012 il y a eu lieu la remise à Transforex de la licence de son nouvel état comme opérateur de change de devises à niveau national. La cérémonie a eu lieu à Pékin, à l’Hôtel Tangla.

Wang Xiaoyi, Subsecrétaire de l’Administration de l’État de devises, et Chen Feng, Pré-

sident du Conseil de HNA Group ont lu chacun un discours de félicitations. Ils sont assistées à l’événement 120 personnes, parmi lesquelles il se trouvait Lin Tiegang, Secrétaire de l’Administration de l’État de devises à la province de Tianjin, Guan Tao, Directeur du Département de la balance des paiements de l’administration de l’État de devises du Bureau économique de Tianjin, Tan Xiangdong, Dirécteur de l’Assemblée de HNA Group, Zhang Ling, Président et CEO de HNA Tourism, ainsi que des représentants des diverses sociétés partenai-res et collaborateurs de HNA et plus de 50 agen-ces des médias.

Au cours de la cérémonie, Transforex a reçu de la main de Lin Tiegang le certificat lui autorisant à agir comme une chaîne par toute la Chine quant au change de devises. de cette façon, elle devient la première et, pour le moment, la seule institution financière en Chine qui a obtenu cette licence, un fait qui marque formellement la transition du cadre des affaires de Transforex de local à national.

HNA Group

nouvelles taxfree |

Wang Xiaoyi, Subsecrétaire de l’Administration de l’État de devises

Chen Feng, Président du Conseil de HNA Group

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V O Y A G E U R

Re t r o g r a d e

C h r o n o g r a p h C o l l e c t i o n