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1 La Ballade à Vélo On faisait ce jour-là une ballade à vélo dans la forêt près de chez nous, mon mari et moi. Le soir commençait à descendre lentement. Au beau milieu d’une montée particulièrement raide, je montre des signes de faiblesse. Kamel me rejoint, se place à mes côtés et commence à me pousser. La jupe courte que je porte laisse voir une petite culotte blanche. Mes fesses se balancent de part et d’autre de la selle. Je ne me rends pas vraiment compte qu’on voit tout. On est seuls sur la petite route de campagne, je regarde vers mon mari et je surprends dans son regard une idée de lubricité. Il me demande si je veux bien enlever ma culotte. Je le traite de fou, d’obsédé. Il insiste. Il me fait remarquer qu’on est vraiment seuls dans cette forêt. Après bien du mal je finis par accepter. Il est tellement têtu ! Il me la prend et la met dans sa poche. Je remonte sur le vélo et penchée sur mon guidon, toute mon intimité doit être exposée. Je suis quand même troublée. En roulant au moindre coup de vent mes fesses et mes cuisses reçoivent la fraicheur du vent. Une nouvelle côte et mon mari descend de son vélo pour me pousser. Bien sûr il ne peut s’empêcher de me peloter les fesses et les cuisses. Soudain j’aperçois, au détour d’un virage, un groupe de trois coureurs à pied qui se dirigent vers nous, ils nous rattrapent lentement. Je panique mais il est trop tard. Ils nous rejoignent. À notre hauteur, il leur est facile de deviner ce qui se passe : je me balade à vélo le cul nu. Mes fesses sont bien visibles malgré la courte jupette. Mon mari pousse, mine de rien. Je suis toute rouge de honte, je sens les regards sur mon cul. Je suis humiliée de me faire surprendre ainsi comme une vulgaire salope obsédée sexuelle, moi qui n’étais pas encore libérée de mes tabous religieux musulmans. Bien souvent j’ai taxé de pervers mon époux quand il m’incitait à répondre à ses fantasmes. Et là maintenant je suis prise pour une petite pute, et je vois que mon mari est pris d’une érection fantastique qu’il a du mal à cacher dans son survêtement. Ils mettent un temps fou à nous dépasser surtout que les deux derniers se mettent à ralentir pour profiter plus longtemps de la situation. J’ai peur. Alors le premier se retourne tout en courant et propose, en rigolant de nous aider à pousser. Je panique. Et sans attendre notre réponse, un d’entre eux passe de l’autre côté de mon mari et prenant la selle en main se met également à me pousser. Celui de droite fait de même. Celui de devant s’arrête et passe derrière pour regarder. Ils rigolent maintenant tandis que je les me rends compte que mon mari nous laisse partir devant. Des allusions sans ambiguïté fusent. Je n’ose bouger mais j’essaie d’accélérer pour m’échapper. Kamel suit à distance sur son vélo, le salaud ! J’accélère toujours mais les mains maintiennent le vélo par la selle. Je comprends qu’ils m’empêchent de partir. Je me sens piégée. Je suis en plus, à bout de souffle et exténuée. Soudain cédant à une peur panique, me sentant abandonnée, je me lève en danseuse pour essayer de fuir les regards des trois hommes qui me poursuivent. Cela a pour effet d’exposer entièrement mes fesses et mon sexe aux yeux des coureurs. Me comprenant abandonnée et sans défense, celui de droite abandonne la selle et pose sa main sur mes fesses qui dandinent devant ses yeux. Alors j’ai un geste brusque de retrait, et je me mets à crier : « Laissez-moi… !! Je vous en prie !! » Ce qui a pour effet d’exciter mon violeur, qui se saisit cette fois de mon sexe à pleine main entre mes cuisses. Je me débats, le vélo tombe, et les trois hommes me saisissent et m’entraînent vers le bas-côté du chemin. Quand mon mari les rejoints, je suis allongée par terre et maintenue jambes et bras écartés. Un des hommes est entre mes cuisses et me malaxe le sexe dans lequel il a introduit un doigt. Il me fait mal. Je me débats et je supplie mon mari d’intervenir. Mais bien vite je m’aperçois que ce spectacle le comble et comme les violeurs je comprends qu’il participe à mon viol. D’ailleurs il a sorti son sexe et se branle violemment devant ce spectacle des trois hommes qui violent sa femme. Maintenant on

La Ballade à Vélo

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Une femme se fait violer devant son mari par trois inconnus lors d'une balade à vélo.

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La Ballade à Vélo

On faisait ce jour-là une ballade à vélo dans la forêt près de chez nous, mon mari et moi. Le soir commençait à descendre lentement. Au beau milieu d’une montée particulièrement raide, je montre des signes de faiblesse. Kamel me rejoint, se place à mes côtés et commence à me pousser. La jupe courte que je porte laisse voir une petite culotte blanche. Mes fesses se balancent de part et d’autre de la selle. Je ne me rends pas vraiment compte qu’on voit tout. On est seuls sur la petite route de campagne, je regarde vers mon mari et je surprends dans son regard une idée de lubricité. Il me demande si je veux bien enlever ma culotte. Je le traite de fou, d’obsédé. Il insiste. Il me fait remarquer qu’on est vraiment seuls dans cette forêt. Après bien du mal je finis par accepter. Il est tellement têtu !

Il me la prend et la met dans sa poche. Je remonte sur le vélo et penchée sur mon guidon, toute mon intimité doit être exposée. Je suis quand même troublée. En roulant au moindre coup de vent mes fesses et mes cuisses reçoivent la fraicheur du vent. Une nouvelle côte et mon mari descend de son vélo pour me pousser. Bien sûr il ne peut s’empêcher de me peloter les fesses et les cuisses.

Soudain j’aperçois, au détour d’un virage, un groupe de trois coureurs à pied qui se dirigent vers nous, ils nous rattrapent lentement. Je panique mais il est trop tard. Ils nous rejoignent. À notre hauteur, il leur est facile de deviner ce qui se passe : je me balade à vélo le cul nu. Mes fesses sont bien visibles malgré la courte jupette. Mon mari pousse, mine de rien. Je suis toute rouge de honte, je sens les regards sur mon cul.

Je suis humiliée de me faire surprendre ainsi comme une vulgaire salope obsédée sexuelle, moi qui n’étais pas encore libérée de mes tabous religieux musulmans.

Bien souvent j’ai taxé de pervers mon époux quand il m’incitait à répondre à ses fantasmes. Et là maintenant je suis prise pour une petite pute, et je vois que mon mari est pris d’une érection fantastique qu’il a du mal à cacher dans son survêtement.

Ils mettent un temps fou à nous dépasser surtout que les deux derniers se mettent à ralentir pour profiter plus longtemps de la situation. J’ai peur. Alors le premier se retourne tout en courant et propose, en rigolant de nous aider à pousser. Je panique. Et sans attendre notre réponse, un d’entre eux passe de l’autre côté de mon mari et prenant la selle en main se met également à me pousser. Celui de droite fait de même. Celui de devant s’arrête et passe derrière pour regarder. Ils rigolent maintenant tandis que je les me rends compte que mon mari nous laisse partir devant. Des allusions sans ambiguïté fusent. Je n’ose bouger mais j’essaie d’accélérer pour m’échapper. Kamel suit à distance sur son vélo, le salaud ! J’accélère toujours mais les mains maintiennent le vélo par la selle. Je comprends qu’ils m’empêchent de partir. Je me sens piégée. Je suis en plus, à bout de souffle et exténuée. Soudain cédant à une peur panique, me sentant abandonnée, je me lève en danseuse pour essayer de fuir les regards des trois hommes qui me poursuivent. Cela a pour effet d’exposer entièrement mes fesses et mon sexe aux yeux des coureurs.

Me comprenant abandonnée et sans défense, celui de droite abandonne la selle et pose sa main sur mes fesses qui dandinent devant ses yeux. Alors j’ai un geste brusque de retrait, et je me mets à crier : « Laissez-moi… !! Je vous en prie !! » Ce qui a pour effet d’exciter mon violeur, qui se saisit cette fois de mon sexe à pleine main entre mes cuisses. Je me débats, le vélo tombe, et les trois hommes me saisissent et m’entraînent vers le bas-côté du chemin. Quand mon mari les rejoints, je suis allongée par terre et maintenue jambes et bras écartés. Un des hommes est entre mes cuisses et me malaxe le sexe dans lequel il a introduit un doigt. Il me fait mal.

Je me débats et je supplie mon mari d’intervenir. Mais bien vite je m’aperçois que ce spectacle le comble et comme les violeurs je comprends qu’il participe à mon viol. D’ailleurs il a sorti son sexe et se branle violemment devant ce spectacle des trois hommes qui violent sa femme. Maintenant on

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me relève mon maillot de sport, j’apparais en soutien-gorge comme seul vêtement en haut. On me l’enlève et je me retrouve la poitrine nue.

Celui qui est entre ses cuisses a déjà sorti son sexe et le présente à l’entrée de mon ventre offert. Je me débats de toutes mes forces refusant la pénétration. Je crie. Je supplie, je pleure. Mais rien n’y fait, je suis complètement immobilisée. Lasse, je me relâche, les salauds prennent cela pour une acceptation. Ils rigolent de plus belle.

Méchamment, ils commencent à me pincer les tétons et à me les tordre. Je me soumets à ce dressage en règle, inconsciemment honorée d’être l’objet du désir sexuel de ces hommes. Petit à petit, résignée, ces mains qui me touchent de partout, les seins, les cuisses, le ventre, commencent à me procurer la naissance d’un plaisir. Comme si ce viol m’autorisait la débauche des sens. Ma résistance faiblit et je pousse sans m’en rendre vraiment compte, un petit gémissement quand le pénis pénètre sans ménagement mon sexe ouvert. J’ai mouillé sans m’en rendre compte, et sa bite coulisse en moi facilement. L’homme en même temps me force les lèvres et comme un automate, ma bouche s’ouvre et je réponds à son baiser, mêlant ma langue à la sienne.

L’homme à une grosse bite Il exécute des mouvements rapides et très vite, tant il est excité, il éjacule en râlant. Frustrée, entre les larmes et l’excitation, je n’ai pas eu le temps de jouir, mais quand Il se retire aussitôt un second prend sa place. Je sens un sexe encore plus gros qui chauffe mes muqueuses intimes. Le troisième lui a décidé de se faire sucer : « Allez, ouvre la bouche et suce !!! » dit-il en posant sa bite sur mes lèvres. Je m’en saisis et me mets à la sucer. Un ravissement inconnu s’empare de moi du fait d’être avilie sexuellement comme la dernière des putes.

Cette fois mon violeur prend son temps. Il s’enfonce et se maintien quelques secondes au fond de mon vagin. En appui sur ses bras il regarde la queue de son complice aller et venir dans ma bouche, s’engageant de plus en plus profondément dans ma gorge. Je suis à bout de souffle. Sur le point de jouir il se retient, se retire annonçant qu’il veut encore profiter. Maintenant je collabore entièrement. De violée, je deviens baisée et je commence à prendre goût à la situation. Je découvre que j’aime être humiliée.

De mes deux mains je saisis les fesses de celui qui me baise et l’attire à moi pour mieux ressentir sa bite au fond de mon ventre et dans un souffle je m’entends lui demander : « Prend-moi ! Explose-moi la chatte ! ». Cela déclenche chez lui une furie instantanée et il se met à me limer la chatte prenant bien soin à chaque fois d’aller buter au fond de mon vagin. Quand il explose en longues giclées de sperme, je sens parfaitement le jus chaud me remplir, déborder de mon antre souillée. Je jouis en même temps qu’il s’affale sur moi, prenant ma bouche dans un baiser violant. Je suis épuisée. Je n’ai pas le temps de reprendre mon souffle et mes esprits que le dernier veut prendre son dû.

Il me prend par les hanches et sans ménagement me retourne sur le ventre. Il me soulève les reins pour bien exposer mon cul qui l’a tant excité tout à l’heure. Il écarte mes fesses pour bien jouir de la vue du petit trou. Ma chatte dégouline du sperme de ses copains. Avec un doigt il en recueille un peu pour en lubrifier mon anus. Une fois, puis deux, il me prépare comme je l’entends dire : « Prépare-toi à une belle enculade, ma salope ! » Une dernière fois, son doigt pénètre mon cul, et effectue des mouvements de va et vient et de rotation qui m’arrachent à la fois des cris de douleur et de plaisir que je sens renaître en moi.

Soudain je sens la pression de son gland qui force l’entrée encore étroite de mon cul. Il va m’enculer. Je le sens qui pousse et force car je suis très étroite en cet endroit. Il force encore tandis que je grimace de douleur, mais ne me dérobe pas. Et soudain je sens la colonne de chair s’enfoncer dans ce qui est pour moi ma plus grande intimité. Je suis souillée, salie mais je sens que je vais jouir à nouveau, excitée par ce mélange de honte et d’humiliation auxquels s’ajoute la sensation de mes chairs violées, déchirées, écartelées. Mon premier violeur m’a saisie sous le menton a soulevé ma tête et s’est introduit dans ma bouche. Il se branle dans ce réceptacle. Les deux types ne prennent aucune précaution, se contentant de cadencer leurs coups de reins en moi. Après quelques va et vient brefs et profonds, la bite qui m’encule finit par se répandre entre mes reins. C’est le moment

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que choisit son compère pour éclater dans ma bouche. En maintenant ma tête contre son ventre, il m’oblige à avaler la totalité de sa semence. Du sperme me coule de la chatte et de mon cul martyrisés. Mon visage est couvert de traînées blanchâtres qui dégoulinent sur mon menton et mes seins. Mes trois violeurs me regardent hilares, et se relèvent repus.

Mon mari a joui deux fois sur le sol devant le spectacle obscène de mon viol. Les trois hommes m’entourent et se mettent en position pour uriner sur moi. Leurs jets partent simultanément visant mon visage et mes seins. Suffoquant, je dois ouvrir ma bouche pour respirer et recracher leur pisse que j’ai dû absorber.

Finalement, ils se rajustent et s’éloignent rapidement après un bref salut : « Elle est vraiment bonne, ta salope de femme !!! ». Crevée, je regarde mon époux qui vient de se rajuster également. Il semble également épuisé. Il m’observe presque nue, de la terre sur le corps, baignant dans une flaque d’urine. Il a bien vu que j’ai participé à mon viol, même si au départ je n’étais pas consentante. Nos regards se croisent, je me rhabille sans remettre ma culotte et on rentre sans un mot.

Bien souvent par la suite nous avons fait l’amour en nous parlant de ce moment excitant vécu ensemble au détour d’un chemin.

Bises, Anissa