5

Click here to load reader

LA CAPITALISATION BOURSIERE ACTIONS TOUJOURS EN BAISSE … · Nigeria, l’Angola et l’Afrique du Sud », a précisé l’institution. « La baisse de la production de pétrole

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: LA CAPITALISATION BOURSIERE ACTIONS TOUJOURS EN BAISSE … · Nigeria, l’Angola et l’Afrique du Sud », a précisé l’institution. « La baisse de la production de pétrole

Revue hebdomadaire de la BRVM / EVEREST Finance | 04 Octobre 2018 1

Revue hebdomadaiRe de la bRvmeveReST Finance | 04 ocTobRe 2018

• La Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) a vu cette semaine ses deux principaux indices clôturer à la baisse. En effet, l’indice BRVM-Composite baisse de 0,78% à 190,69 tandis que le BRVM-10 passe de 183,61 à 183,01 points soit une regression de 0,33%.

• Au terme de cette semaine, le flux transactionnel s’établit à 1 650 millions FCFA, soit un volume moyen des échanges s’élevant à 330 Millions FCFA essentiel-lement porté par, SONATEL, ONTBF et BOABF.

• Au chapitre des variations sectorielles, on retient que le seul secteur d’activité ayant perfomé est celui des télécoms. Aucun autre secteur n’a performé au cours de cette semaine.

• La balance des variations de titres affiche 6 valeurs en hausse, 27 en repli et 11 stagnent.

LA CAPITALISATION BOURSIERE ACTIONS TOUJOURS EN BAISSE

•Secteur Bancaire : Hausse de 31% du résultat net au 1er semestre 2018 à 12,632 milliards FCFA de la SIB

•Prévisions : la Banque mondiale abaisse ses prévisions de croissance pour l’Afrique subsaharienne en 2018

•Cacao : En Afrique de l’Ouest, les premiers pas d’une Opep du cacao

•Telecom : l’Etat togolais ouvre le capital de Togocom

Faits marquants de la semaine

Page 2: LA CAPITALISATION BOURSIERE ACTIONS TOUJOURS EN BAISSE … · Nigeria, l’Angola et l’Afrique du Sud », a précisé l’institution. « La baisse de la production de pétrole

Performances hebdomadaires 27-Sept. 04-Oct. Variation (%)

INDICES DU MARCHE

BRVM composite 192,19 190,69 -0,78%

BRVM 10 183,61 183,01 -0,33 %

Capitalisation boursière (millions) 5 405 455 5 363 319 -0,78 %

FLUX TRANSACTIONNEL

Trans, Moy /jour (milliers) 763 033 330 050 -24,15 %

Volumes transigés(milliers) 2 175 740 1 650 251 -24,15 %

INDICES SECTORIELS

Industrie 65,99 63,37 -3,97 %

Services Publics 590,22 592,18 0,33%

Finances 69,34 68,39 -1,37 %

Transport 749,35 736,22 -1,75 %

Agriculture 134,70 134,58 -0,09 %

Distribution 272,52 267,20 -1,95 %

Autres Secteurs 345,49 339,32 -1,79 %

Revue hebdomadaire de la BRVM / EVEREST Finance | 04 Octobre 2018 2

L’essentiel du marché

Marché des actions :Les deux principaux indices de la BRVM sont encore une fois dans le rouge. L’indice BRVM-Composite est à la baisse de 0,78% à 190,69 et BRVM 10 en repli de 1,64% à 192,3 points. Pour sa part, la capitalisation boursière actions est en légère baisse à 5 405 milliards contre 5 363 milliards la semaine passée, soit une baisse de 0,78%.

BRVM Composite semaine du 27 Sept. au 04 Oct. 2018

Au niveau des transactions, le volume échangé a enregistré une légère baisse par rapport à la semaine dernière. La volumétrie hebdomadaire a, en effet, atteint 1 650 millions FCFA contre 2 175 millions FCFA la semaine dernière, soit une baisse de 24%. Le classement des plus grosses transactions en valeur est dominé par la SONATEL avec pres de 37% des transactions réalisées. Le top 5 des transactions est complété par quatre entreprises du secteur Finance à savoir ONATEL (9%), BOA Niger(9%), BICICI (6%) et SIB (3%).

Top 5 volumes de la semaineValeurs Volume en FCFA

SONATEL 448 807 560 ONATEL 112 727 785 BOA BURKINA 101 299 480 SAPH 76 043 370 SIB 38 623 105

Au niveau sectoriel, Il est à noter qu’un seul secteur présente une performance positive. La pire perfomance est à mettre au crédit du secteur Industrie avec une baisse de 4% par rapport à la semaine dernière. Le secteur Distribution suit de près avec un repli de 2%.

Dans le top 5 des performances du marché nous retrouvons cinq entreprises issues de cinq secteurs différents. En tête des bonnes performances nous retrouvons BICICI avec +12,08% dans un contexte de hausse des taux d’interêts débiteurs au cours du mois d’Août 2018 d’après les bulletins statistiques de la BCEAO. Ensuite viennent BERNABE et ONATEL avec respectivement +8,70% et +7,84%. A noter que ONATEL a annoncé cette semaine un résultat net en hausse de 26% au 30 Juin 2018 par rapport au premier semestre 2017. Le calvaire des entreprises du secteur Finance continue puisque les entreprises de ce secteur sont, à l’exception de BICICI, toutes dans le rouge en terme de performance boursière. Ceci pourrait être dû au fait que le secteur bancaire est en train de subir les conséquences des multiples rebondissements de l’affaire Saf-cacao. En effet, des banques comme NSIA ou Ecobank Cote d’Ivoire ont des créances non négligeables sur saf-cacao. Du coté du Bottom 5, la filiale Sénégalaise du groupe de Bank Of Africa et son homologue Ivoirienne figurent dans les mauvaises performances avec -14,58% et -7,69% respectivement. Le titre NESTLE enregistre la plus forte baisse sur cette semaine avec une regression de 15,73%. C’est aussi un titre qui n’a pas distribué de dividendes depuis l’année 2011 et dont les positions sont plutôt vendeuses qu’acheteuses.

Page 3: LA CAPITALISATION BOURSIERE ACTIONS TOUJOURS EN BAISSE … · Nigeria, l’Angola et l’Afrique du Sud », a précisé l’institution. « La baisse de la production de pétrole

∆ Valeur ∆ Valeur

12,08% BICC -15,73% NTLC

8,70% BNBC -14,58% BOAS

7,84% ONTBF -10,67% STBC

3,63% SPHC -7,69% BOAC

1,87% SMBC -7,45% SAFC

TOP 5 BOTTOM 5

Revue hebdomadaire de la BRVM / EVEREST Finance | 04 Octobre 2018 3

Principales variations du marché Marché des obligationsSur le compartiment obligataire la valeur totale des transactions s’est élévée à 452,6 millions FCFA pour 45 471 titres transigés. Le titre « TPCI 5.99% 2015-2025», avec 10 000 titres pour 99 millions FCFA, a été le plus liquide, représentant presque 45% de la valeur totale transigée sur le compartiment obligataire. La capita-lisation boursière du marché des obligations est en légère baisse. En effet, elle passe de 3 290,8 millions FCFA à 3 286,9 millions FCFA entre le 27 Septembre et le 4 Octobre 2018 soit une régression de 0,12%.

Hausse de 31% du Résultat Net Premier semestre 2018 de la SIB

La Société Ivoirienne de Banque, filiale du groupe marocain Attijariwafa, a enregistré de bonnes performances au 1 er semestre 2018. En effet, le produit net bancaire a progressé de 25 % (par rapport au 1 er semestre 2017) et s’élève à 34 372 millions FCFA au 1 er semestre 2018.Cette progression du chiffre d’affaires s’explique par une hausse des ressources clientèle de 9% alors que ses emplois ont très légèrement progressé de 2% tout en maintenant un niveau d’encours moyen relativement élevé (+8%). De plus, la banque a élargi sa gamme de carte bancaire avec l’intro-duction de la carte Platinum destinée au haut du marché. La banque a aussi étendu son réseau d’agence à Abidjan portant ainsi le nombre d’agences à 62.Le Produit National Brut à fin juin 2018 s’établit à 34,372 milliards FCFA. C’est une hausse de 25% par rapport à juin avec une marge d’intérêts globale en progression de 16% et une marge sur opérations de marché en augmentation de 77% en liaison avec la hausse des encours de titres détenus en portefeuille.Malgré une hausse des charges d’exploitation (+12%), le coefficient d’exploitation a augmenté de 45 % au 1 er semestre 2017 à 50,2 % au 1 er semestre 2018. Par conséquent le résultat d’exploitation progresse de 38 % par rapport au à fin juin 2017 et s’élève à 18,932 milliards de FCFA. Le résultat net a augmenté de 31% et s’établit à 12, 632 milliards FCFA.

Source : Afriveille

La Banque Mondiale abaisse ses prévisions de croissance pour l’afrique de subsaharienne

La Banque mondiale a abaissé, dans un rapport publié le 3 octobre, ses prévisions de croissance économique pour l’Afrique subsaharienne à 2,7%, en 2018, contre une précédente estimation de 3,1%, en raison notamment de la croissance plus lente que prévu des grandes économies de la région. « Le ralentissement de la reprise en Afrique subsaharienne s’explique par la lente expansion des trois

plus grandes économies de la région, en l’occurrence le Nigeria, l’Angola et l’Afrique du Sud », a précisé l’institution.

« La baisse de la production de pétrole en Angola et au Nigeria a annulé l’effet de la hausse des prix du pétrole. En Afrique du Sud, la faible croissance de la consommation des ménages a été aggravée par une contraction du secteur de l’agriculture », a-t-elle expliqué. Les économies des pays d’Afrique subsaharienne, qui avaient enregistré des taux de croissance élevés jusqu’en 2015, ont vu leurs performances baisser après la chute des prix des matières premières, depuis mi-2015. En avril, la Banque mondiale avait prédit que la reprise économique de la région devrait s’accélérer en 2018, avec une croissance moyenne attendue de 3,1% sur l’ensemble de l’année en cours, contre 2,3% durant l’année écoulée. L’économiste en chef de la Banque mondiale pour l’Afrique, Albert Zeufack (photo), a recommandé aux pays d’Afrique subsaharienne de cesser de gaspiller leurs ressources financières et d’améliorer leur productivité afin de soutenir la reprise économique dans la région. « Les décideurs politiques de la région doivent se donner les moyens de gérer les nouveaux risques découlant de changements dans la composition des flux de capitaux et de la dette », a-t-il souligné. Selon lui, la dette publique élevée, la dépréciation des monnaies nationales et la hausse des taux d’intérêt pourraient compromettre la capacité de certains pays africains à assurer le service de la dette.

Source : LAgence Ecofin

Les premiers pas d’une OPEP du Cacao

La Côte d’Ivoire et le Ghana, les deux plus grands producteurs mondiaux, harmonisent leurs prix. Mais des obstacles struc-turels demeurent pour influer sur le marché du cacao. La récolte de cacao a démarré en Afrique de l’Ouest. Pour la première fois, les deux plus grands producteurs mondiaux, la Côte d’Ivoire et le Ghana, se sont entendus pour annoncer ensemble les prix qu’ils payeront aux planteurs. Et ce, juste avant le coup d’envoi de la nouvelle campagne de commer-cialisation. Un événement dans cette région qui fournit

Faits marquants de la semaine

Page 4: LA CAPITALISATION BOURSIERE ACTIONS TOUJOURS EN BAISSE … · Nigeria, l’Angola et l’Afrique du Sud », a précisé l’institution. « La baisse de la production de pétrole

Revue hebdomadaire de la BRVM / EVEREST Finance | 04 Octobre 2018 4

les trois quarts des fèves de la planète. La Côte d’Ivoire a légèrement relevé le prix minimum garanti à 750 francs CFA par kilogramme (soit 1,07 euro), le Ghana a maintenu le sien à 7.600 cedis par tonne (soit 1.372 euros, ou 1,372 euro par kilogramme). Fin mars, Abidjan et Accra avaient signé un pacte stratégique en ce sens . Certains y voient l’amorce d’une Opep du cacao, à l’image de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole. Renforcer leur coopération pourrait permettre aux deux pays voisins de peser sur le marché mondial. Car, ils ont beau cueillir plus de 60 % du cacao consommé sur le globe, leur influence sur la fluctuation - parfois extrême - des prix internationaux reste limitée. Récemment, le cours de l’ingrédient phare du chocolat, coté à New York et à Londres, n’a pas échappé aux montagnes russes. Après avoir plongé de 45 % sur 2016 et 2017, il a réalisé un bond sans égal de 40 % entre janvier et mai... avant de rechuter de 30 % depuis. Cette très forte volatilité des cours plonge régulièrement dans la crise le secteur du cacao en Afrique de l’ouest. La filière « est extrêmement déséquilibrée car la production mondiale se répartit entre plus de 5 millions d’exploitations, qui cultivent en moyenne moins de 10 hectares, tandis que les secteurs d’aval sont très concentrés », souligne Frédéric Courleux, directeur des études d’Agriculture Stratégies, dans un rapport récent. De 50 % à 60 % du négoce mondial de fèves sont contrôlés par trois grandes entreprises (Barry Callebaut, Olam et Cargill) tandis que, dans la transformation, six entreprises (Barry Callebaut, Olam et Cargill, auxquelles s’ajoutent Ecom, Touton et Blommer) représenteraient à elles seules 90 % de la transformation cacaoyère, a estimé la Cnuced en 2016. Ces sociétés vendent ensuite leurs produits à l’industrie du chocolat. Face à ces mastodontes, il faudra plus qu’une harmonisation des politiques de prix pour que les deux grands producteurs africains gagnent en influence sur les marchés mondiaux, estiment les analystes de Fitch Solutions. « Divers obstacles structurels vont limiter leur capacité à manipuler le marché du cacao », assurent-ils. La Côte d’Ivoire et le Ghana organisent notamment leur système de ventes très différemment, ils ne stockent pas le cacao dans des entrepôts (ce qui permet d’éviter de vendre quand les prix sont bas) ou encore transforment peu la matière première en produits semi-finis. En attendant, les volumes de leur production de cacao sont regardés de près par le secteur, car leurs variations peuvent avoir des répercussions impor-tantes sur le marché à l’échelle mondiale. Après deux années d’excédents, cette saison pourrait être différente : les bonnes récoltes attendues - dont 2 millions de tonnes en Côte d’Ivoire et 900.000 au Ghana - devraient être entièrement absorbées par une demande très solide. Le marché pourrait même être déficitaire de 50.000 tonnes, selon un consensus d’experts interrogés par Bloomberg.

Source : Les Echos

L’Etat ouvre le capital de Togocom

« Cette décision obéit à une cohérence stratégique » et fait « suite à l’initiative du gouvernement de créer en 2017, Togocom, un holding qui rassemble Togo Télécom et Togo Cellulaire, les deux opérateurs historiques de la téléphonie fixe et mobile », précise le communiqué. « L’ouverture du capital, explique le communiqué, devrait permettre à Togocom de se doter des moyens nécessaires à la réali-sation de ses ambitions. Elle lui permet ainsi de consolider sa capacité d’investissement et de bénéficier des dernières innovations en matière de TIC pour développer de nouveaux segments de croissance ». Selon le communiqué, ces orien-tations stratégiques devraient permettre au groupe de satisfaire, non seulement la forte demande des consom-mateurs d’accessibilité à des services d’excellence qualité et à bas prix sur toute l’étendue du territoire, mais aussi de financer ses projets en adoptant une approche innovante pour leur mise en œuvre. Annoncée pour relancer un secteur des télécommunications à la traîne, Togocom est composée de 3 différentes filiales, devant naitre des cendres de Togo Télécom, l’opérateur historique, et de sa filiale Togo Cellulaire, leader sur le marché de la téléphonie mobile. Selon une annonce faite en juillet 2017, il s’agira d’une société dotée d’un capital social d’un milliard de F CFA (environ 1,75 millions de dollars) et qui devra contrôler les résultats des filiales qu’elle détient à 100%.

Source : Apanews

Page 5: LA CAPITALISATION BOURSIERE ACTIONS TOUJOURS EN BAISSE … · Nigeria, l’Angola et l’Afrique du Sud », a précisé l’institution. « La baisse de la production de pétrole

Revue hebdomadaire de la BRVM / EVEREST Finance | 04 Octobre 2018 5

Valeur 27-sept. + Haut + Bas 4-oct. Var. Q.Echa V.Echan + Haut + Bas 2-janv. Var./An

Sicable CI 1 200 1 205 1 200 1 200 0,00% 814 980 990 2 956 1 875 1 150 4,35%

Filtisac CI 2 150 2 135 2 050 2 050 -4,65% 4 197 8 650 580 7 710 16 000 4 875 -57,95%

NEI-CEDA CI 170 160 160 160 -5,88% 265 42 400 175 112 37 332,43%

Nestle CI 1 430 1 400 1 205 1 205 -15,73% 1 208 1 678 605 4 075 45 305 1 990 -39,45%

Crown Siem CI 13 400 13 385 13 380 13 380 -0,15% 6 80 290 60 200 30 460 13 875 -3,57%

Air Lquide CI 470 475 465 465 -1,06% 545 256 125 2 250 950 420 10,71%

Solibra CI 60 000 60 100 58 800 58 800 -2,00% 345 20 308 135 219 000 152 625 125 000 -52,96%

SMB CI 19 240 20 350 19 600 19 600 1,87% 806 15 821 495 46 000 18 000 8 000 145,00%

SITAB CI 1 780 1 740 1 590 1 590 -10,67% 12 286 21 087 550 196 455 114 000 3 600 -55,83%

Unilever CI 11 110 11 110 10 995 10 995 -1,04% 60 662 640 29 495 15 500 8 500 29,35%

Uniwax CI 2 985 2 950 2 900 2 900 -2,85% 6 758 19 413 740 6 100 4 340 4 200 -30,95%

CIE CI 1 550 1 560 1 510 1 510 -2,58% 4 295 6 547 700 4 925 3 150 2 095 -27,92%

Onatel BF 3 700 3 990 3 750 3 990 7,8% 27 973 112 727 785 14 950 9 335 8 900 -55,17%

SODE CI 3 600 3 645 3 645 3 645 1,25% 1 707 6 247 825 3 763 2 077 5 800 -37,16%

Sonatel SN 20 100 20 105 20 000 20 000 -0,5% 22 422 448 807 560 26 000 20 765 23 000 -13,04%

BICI CI 4 015 4 500 4 020 4 500 12,1% 1 244 5 310 645 10 700 8 550 8 700 -48,28%

Bank of Africa BN 4 100 4 195 4 000 4 000 -2,4% 7 888 31 680 580 15 576 6 000 7 195 -44,41%

Bank of Africa BF 4 000 4 400 4 000 4 000 0,00% 26 038 110 299 480 8 063 5 700 7 100 -43,66%

Bank of Africa CI 3 250 3 400 3 000 3 000 -7,7% 4 329 13 886 130 10 300 4 261 4 900 -38,78%

Bank of Africa ML 2 070 2 000 1 925 2 000 -3,38% 7 537 15 053 340 71 500 37 000 5 100 -60,78%

Bank of Africa NG 3 900 4 000 3 800 3 800 -2,6% 4 605 17 554 325 132 930 83 995 4 895 -22,37%

Bank of Africa SN 2 400 2 400 2 050 2 050 -14,6% 11 449 24 894 340 5 950 3 500 2 400 -14,58%

CBI BF 8 100 8 100 8 000 8 100 0,00% 4 038 32 384 760 11 600 1 500 9 500 -14,74%

Ecobank TG 21 22 21 21 0,00% 189 665 4 019 215 44 20 18 16,67%

Ecobank CI 23 100 23 200 22 500 22 500 -2,60% 767 17 519 760 20 000 24 450 28 500 -21,05%

NSIA Bank CI 7 400 7 300 7 280 7 280 -1,62% 2 600 18 916 195 10 400 9 000 9 000 -19,11%

SAFCA CI 5 500 5 090 5 090 5 090 -7,5% 7 35 630 45 145 19 425 10 900 -53,30%

SGB CI 9 995 10 000 9 995 9 995 0,00% 1 987 19 876 735 16 824 11 500 11 550 -13,46%

SIB CI 2 600 2 500 2 450 2 455 -5,58% 15 389 38 623 105 28 825 14 000 4 236 -42,05%

Bollore CI 3 100 3 100 3 100 3 045 -1,8% 8 490 26 210 305 6 200 4 237 4 620 -34,09%

Movis CI 2 595 2 595 2 595 2 595 0,00% 31 80 275 6 400 3 895 3 205 -19,03%

PALM CI 3 145 3 145 3 145 3 050 -3,0% 129 399 305 14 000 8 200 5 300 -42,45%

Sucrivo ire CI 1 000 1 005 1 005 1 000 0,00% 11 745 11 713 750 3 755 2 725 1 090 -8,26%

SICOR CI 3 530 3 600 3 600 3 530 0,00% 22 78 360 15 505 5 000 3 950 -10,63%

SOGB CI 2 650 3 000 3 000 2 755 3,96% 13 086 37 922 075 3 800 2 500 4 200 -34,40%

SAPH CI 2 980 3 060 3 060 3 000 0,7% 25 141 76 043 370 3 399 1 900 3 095 -3,07%

Servair CI 1 150 1 150 1 150 1 100 -4,3% 810 889 245 9 317 3 860 1 850 -40,54%

Bernabe CI 2 300 2 560 2 560 2 500 8,7% 1 349 3 154 515 11 406 6 778 2 995 -16,53%

CFAO CI 600 600 600 600 0,00% 12 438 7 423 605 1 615 570 395 51,90%

Tractafric CI 128 500 128 500 128 500 128 495 0,0% 12 1 541 945 725 000 280 000 288 600 -55,48%

VIVO ENERGY CI 900 900 900 850 -5,6% 8 116 7 175 055 4 480 1 630 860 -1,16%

Total CI 1 700 1 695 1 695 1 625 -4,4% 3 582 5 998 270 4 154 3 016 2 780 -41,55%

Total SN 1 300 1 300 1 300 1 300 0,0% 4 368 5 614 605 3 400 1 605 1 900 -31,58%

SETAO CI 280 275 275 275 -1,79% 5 1 375 601 265 180 52,78%

SECTEUR AGRICULTURE

SECTEUR DISTRIBUTION

AUTRES SECTEURS

Données de la semaine

SECTEUR SERVICES PUBLICS

SECTEUR FINANCE

SECTEUR TRANSPORT