7
CO.LLECTfDN Hf,'\RTLAND LE PROPHËTE DE L'IMPERIUM ; FRANCIS PARKER YOCKEY Toute l'éco.nomi: alleman.d~ : même si elle utilise toujours l'argent _ J~ parle, bl~ n sur" du Trol~ leme Reich - est une tentative systéma- tique de .valncre 1argent. Leffort des créations sociales allemandes es~d~ faire en sorte que la quantité d'argent qu'un individu reçoit ~ Olt directement proportionnée à ses besoins. Le seuFrôle joué par 1argent da~ s ce. p.roce~ sus est de le faciliter. L'argent permet de se passer d? 1adm~ nlstratlon q~ i serait nécessaire pour faire fonction- ner une economle non-monetaire. ~ n Angleterre, le besoin ne jouajamais aucun rôle dans la vision de 1argent. Le but d~ ~ hacun était d'en avoir autant que possible. Tant que la classe supeneure conserva le sens de sa mission mondia.lece con:e.pt de l'argent-comme-culture (culture signifie ici ;~ ie s~ p:n;ure) ne causa aucun dommage; il ne produisit aucune degenerescenc~ . Sans doute, il ruinait les classes inférieures, mais elles ne comptaient pas pour la mission mondiale. la destinée de l'Amérique 14 Le premier Américain arriva sur une terre dont il ne connaissait rien. line connaissait passa géographie, sa fertilité, son climat, ses dan- gers.Au Nord, il affronta des forêts, dessols rocheux, et des hivers d'une rigueurqu'iFn'avait pas connue auparavant. Au Sud, il rencon- tra des marais, la malariç, et d'épaisses forêts. Partout il rencontra le sauvage hostile avec son couteau à scçlper et sa tactique de guerre contre les femmes etles enfants. Par petits groupes, ces premiers Américains défrichèrent les forêts, et bâtirent des maisons et des forts. Les hommes labouraient les champs avec un fusil suspendu à l'épaule, et délns lamaisonl'épousefaisait son travail avec une arme chargée à portée dela main. Il y avaifdes bateaux faisant la liaison avec l'Europe, et les colons auraient pu abandonner leurs épreuves et repartir - mais ils n'admettaient pas la défaite. De ces colons sortit le Minuteman. Le Minuteman ! Ces fermiers américains étaientprêtsenune minute àabandonner la charrue et à saisir lefusil.Jlssavaient que l'heurede leur indépendance politique était toute procheerinstinctivementilss'y préparaient. Quand le moment arriva, <sous forme d'un ordre des Britanniques d'arrêter deux de leurs chefs, les Minutemen se rassemblèrent avant le lever du jour à Lexington pour faire face à la force britannique envoyée pour les capturer. Bien que largement inférieurs en nombre, ils restèrent fermes face à l'ordre de dispersion du major Pitcairn. « S'ils veulent avoir une guerre », dit le capitaine John Parker, chef des Minutemen, « qu'elle commence ici Elle commença, et pendant huit longues années elle continua. Concord, Bunker Hill, Boston, Ticonderoga, Quebec, New York, Long 119

La destinée de l'Amérique

Embed Size (px)

DESCRIPTION

Francis Yockey.

Citation preview

Page 1: La destinée de l'Amérique

CO.LLECTfDN Hf,'\RTLAND

LE PROPHËTE DE L'IMPERIUM ; FRANCIS PARKER YOCKEY

Toute l'éco.nomi: alleman.d~: même si elle utilise toujours l'argent _J~ parle, bl~n sur" du Trol~leme Reich - est une tentative systéma-tique de .valncre 1argent. Leffort des créations sociales allemandeses~ d~ faire en sorte que la quantité d'argent qu'un individu reçoit~Olt directement proportionnée à ses besoins. Le seuFrôle joué par1argent da~s ce.p.roce~sus est de le faciliter. L'argent permet de sepasser d? 1adm~nlstratlon q~i serait nécessaire pour faire fonction-ner une economle non-monetaire.

~n Angleterre, le besoin ne jouajamais aucun rôle dans la vision de1argent. Le but d~ ~hacun était d'en avoir autant que possible. Tantque la classe supeneure conserva le sens de sa mission mondia.lececon:e.pt de l'argent-comme-culture (culture signifie ici ; ~ies~p:n;ure) ne causa aucun dommage; il ne produisit aucunedegenerescenc~. Sans doute, il ruinait les classes inférieures, maiselles ne comptaient pas pour la mission mondiale.

la destinée de l'Amérique14

Le premier Américain arriva sur une terre dont il ne connaissait rien.line connaissait passa géographie, sa fertilité, son climat, ses dan-gers.Au Nord, il affronta des forêts, dessols rocheux, et des hiversd'une rigueurqu'iFn'avait pas connue auparavant. Au Sud, il rencon-tra des marais, la malariç, et d'épaisses forêts. Partout il rencontra lesauvage hostile avec son couteau à scçlper et sa tactique de guerrecontre les femmes etles enfants. Par petits groupes, ces premiersAméricains défrichèrent les forêts, et bâtirent des maisons et desforts. Les hommes labouraient les champs avec un fusil suspendu àl'épaule, et délns lamaisonl'épousefaisait son travail avec une armechargée à portée dela main. Il y avaifdes bateaux faisant la liaisonavec l'Europe, et les colons auraient pu abandonner leurs épreuveset repartir - mais ils n'admettaient pas la défaite.

De ces colons sortit le Minuteman. Le Minuteman ! Ces fermiersaméricains étaientprêtsenune minute àabandonner la charrue et àsaisir lefusil.Jlssavaient que l'heurede leur indépendance politiqueétait toute procheerinstinctivementilss'y préparaient. Quand lemoment arriva, <sousforme d'un ordre des Britanniques d'arrêterdeux de leurs chefs, les Minutemen se rassemblèrent avant le leverdu jour à Lexington pour faire face à la force britannique envoyéepour les capturer. Bien que largement inférieurs en nombre, ilsrestèrent fermes face à l'ordre de dispersion du major Pitcairn. « S'ilsveulent avoir une guerre », dit le capitaine John Parker, chef desMinutemen, « qu'elle commence ici !»

Elle commença, et pendant huit longues années elle continua.Concord, Bunker Hill, Boston, Ticonderoga, Quebec, New York, Long

119

Page 2: La destinée de l'Amérique

COLLECT!ON HËARTLANO

LE PROPHtTE OE L'IMPERIUM : FRANCIS PARKER YOCKEY

Island, Harlem Hei~hts, White Plains, Fort Lee, Fort Washington,Valley Forge, Trenton, Princeton, Brandywine, Sarato~a, Stony Point,Savannah, Camden, The Cowpens, Yorktown - ces noms rappellentimmédiatement les terribles forces que combattirent les colons, lesgouffres jusqu'où tomba leur fortune, et le silencieux et constantdévouement des troupes. A Valley Forge, les hommes n'étaient qu'àdemi-vêtus, et les rations, quand il y en avait, étaient maigres. Lamaladie sévissait, et la mortalité était élevée. Pourtant personne nepensait à se rendre. Le général Washington leur dit: « Nus et affaméscomme ils sont, nous ne pouvons trop admirer la patienci? et lafidél-ité incomparables de nos soldats ».

Aucune nation n'a produit de soldats supérieurs à Nathaniel Greene,au ~énéral Know, au général Sullivan, à John Stark, NicholasHerkimer, Anthony Wayne, Daniel Morgan, John Paul Jones,ni deplus grands patriotes que John Dickinson, Richard Henry Lee, JohnAdams, Benjamin Franklin, John Rutledge. Ce ne sont que quelques-uns d'entre eux. L'esprit qui animait ces héros fait partie de la raceblanche, et il durera tant que cette racedurerêl. Il attend· pour seréveiller la venue de grands événements sur le sol américain, unefois dè plus. Quand les prairies de ce continent seront à nou.veau visi-tées par la dure créativité de la guerre - la guerre· pourl'indépendance et pour la libération du véritable esprit pionnieraméricain - le monde verra que les Américains ne sont pas lescrétins sans volonté, égoïstes, ne recherchant que leur plaisir, enquoi Hollywood a si désespérément tenté de les transformer.

CefuU'impérialisme individuel de l'homme de la Frontière qui ouvritet qui conquit véritablement le continent nord-américain. Des explo-rateurs comme George Rogers Clark et John Fremont précédaientl'homme de la Frontière dans le pays sauvage, et il entrait dans lepays hostile avec ses sauvages en maraude. Avec son fusil en ban-doulière, il emportait femme et enfants et tous ses biens terrestresvers le pays devant lui, inconnu, non peuplé, non défriché. Chaquejour il surmontait un millier de dangers, il vivait avec la Mort. Cetypeintrépide qui était à la fois explorateur, guerrier, pasteur, docteur,juge, et colon, avança jusqu'à ce qu'il atteigne le Pacifique, et ensuiteil re~arda vers l'Alaska et les îles de l'ouest.

La tragique défaite des Fédéralistes devant les moins dignes de lagénération d'après la Révolution rendit possible l'émergence dusécessionnisme en Amérique, et du sécessionnisme surgit la désas-

PARTIE; - ANTHOtOGHi

120

COLLECTiON HEARTLAND

treuse « Guerre entre les Etats ». Cette ~uerre prouva seulement quele type héroïque de l'Américain sur~issait partout dans ce vaste pays.La seule leçon que nous pouvons tirer de ce sacrifice est que les agi-tateurs braillards du style vicieux de .Theodore Parker et HoraceGreeley sont capables de livrer des nations aux flammes pourréaliser leurs extravagantes théories égalitaires.

Durant la conquête du continent, de petites voix rampantess'élevèrent constamment contre les actions héroïques. Les membresdu Congrès riaient à l'idée de gouverner une région aussi éloignéeque la lointaine côte pacifique. Les poètes Lowell et Whittier et lesagitateurs Garrison etPhillips firent de leur mieux pour provoquerune guerre de sécession pendant toutes les années 18'+0et 1850. latentative de Calhoun pour annexer le Texasfut brisée par le Congrès.Les petits esprits étaient opposés àla guerre contre le Mexique et àl'acquisition du Sud-Ouest. Ils s'opposaient à l'acquisition de Hawaï,des Philippines, du protectorat cubain. Après la Guerre entre lesEtats,ce type d'esprit, représenté par des hommes comme Summer etStevens, voulait traiter les Sudistes comme un peuple étrangeret inférieur et en triompher en plaçant la botte du conquérant surleurs nuques.

Ce type de mentalité survit encore en Amérique. Aujourd'hui il lutteencore contre la grandeur et l'héroïsme. Aujourd'hui il enseigne ladoctrine du libéralisme avec son pacifisme, son amour de l'inférieuret du déshérité, son internationalisme qui fait de la trahison unevertu, sa haine de tous ceux qui possèdent un fort sentimentnational, son veule désir de l'égalité raciale, et sa tolérance de tout etde >tout le monde, en particulier de l'étranger et de l'inadapté.Aujourd'hui ce type d'esprit - à savoir, tous ceux à qui s'adresse ladoctrine libérale -travaille pour les forces anti-américaines, con-sciemment ou non. Les sous-Américains sont au service de l'ennemiintérieur de l'Amérique.

Nous avons vu l'esprit de la race blanche: l'esprit de divine colère etd'effort personnel, l'esprit de confiance en soi, d'intrépidité face augrand danger, le sentiment de supériorité raciale, l'élan vers lesgrands espaces et la volonté de conquérir tout ce qui s'y trouve, l'es-prit d'Alamo. Pour le vrai Américain, c'est une nation blanche,vivante, organique, et non un ensemble de principes, de « quatre lib-ertés », ni un «gendarme du monde ». A cet esprit appartenaient tousles grands Américains: Washington, Hamilton, Henry Clay, Robert E

121

Page 3: La destinée de l'Amérique

COLLECTiON HEARTLAND

LE PROPHËTE DE L'IMPERIUM ; FRANCIS PARKER YDCKEY

Lee, Sam Houston. Le soldat américain montre dans chaque guerreque même aujourd'hui ce type du vrai Américain survit.

Mais aujourd'hui les vrais Américains, les anciens ~rands leaders, ontété remplacés par les Morgenthau, Ezekiel, Paswolski, Cohen,Frankfurter, Goldsmith, Lubin, Bede, Schenk, Edelstein, Baruch,Goldwyn, Mayer, Strauss, Lilienthal, Hillsman, Rosenman, Lehmann,Rosenberg, Eisenhower.

Nous connaissons le vrai Américain et nous connaissons le libéral -le sous-type à "intérieur de la race blanche. Regardons maintenantvers le troisième groupe qui arriva ici seulement hier et qui estaujourd'hui lié aux libéraux, aux internationalistes, aux guerriers-de-classe, aux destructeurs des traditions blanches, européennes, del'Amérique. Ce groupe utilise des slogans américains et des idéesaméricaines, mais cela ne peut masquer son ori~ine étrangère.Examinons la signification des nouveaux venus et examinons leurhistoire.

I:histoire du Juif

La culture qui produisit la nation juive surgit en Asie Mineure vers100 av. Je. Cette culture produisit de nombreuses nations, toutes, ence qui nous concerne, similaires aux Juifs. Ces « nations» n'étaientpas du tout des nations ausens de notre mot, car ellesn'avaient pasde patrie. La citoyenneté de ce type étranger de nation était obtenueen devenant un adepte de la religion du groupe. Les Juifs, ·IesMarcionites, les Gnostiques, les Mahométans - tous ceux-ci étai~ntdes nations, et pour tous l'appartenance à la nation était obtenue enétant un croyant. Le mariage avec des non-croyants était interdit, etces unions internes pendantdes milliers d'années ont rendupossi-ble aujourd'hui de repérer le Juif par son apparence. Ainsi, pour leJuif, race et religion devinrent identiques, et si le Juif perd sareligion,il ne perd pas grand-chose car il reste toujours un Juif par la race.L'unité de la race n'est pas détruite même si de ~randes masses deJuifs deviennent athées.

Après la dispersion des Juifs à travers l'Europe et la Russie, ils furententièrement coupés de tout contact avec les nations similaires à eux.Ils s'enfermèrent eux-mêmes dans les ghettos des villes et vécurentcomplètement entre eux. Là, ils avaient leur propre religion, leur pro-pre loi, leur propre langue, leurs propres coutumes, leur propre

PARTlf. i - ANTHO\.OGH:.

122

COLLf:CT:ON HEARTLAND

LE PROPHËTE DE L'IMPERIUM : FRANCIS PARKER YOCKEY

alimentation, leur propre économie. Comme ils n'étaient nulle partchez eux, n'importe quel endroit était leur foyer pour eux.

Les premières nations européennes perçurent le Juif comme aussitotalement étranger qu'il percevait lui-même son environnement. LesAnglo-Saxons, les Goths, les Lombards, les Francs, tous méprisaientl'infidèle usurier. Un chant populaire du Moyen Age décrit les TroisEtatscomme la création de Dieu, et le Juif usurier comme la créationdu Diable. Les Croisés.en route pour la Terre Sainte se livrèrent à desmassacres massifs de Juifs. Chaque roi européen à un moment ou àun autre dépouilla les Juifs et les expulsa hors de son domaine.Pendant quatre cent ans le Juiffut banni d'Angleterre. Quand il fut ànouveau autorisé à entrer, des siècles de plus passèrent avant qu'ilacquiert ou désire les droits civils des Anglais. Cette persécution duJuif qui continua pendant mille ans prit différentes formes -dépouillement par des amendes, extorsion, exil, massacres - et celaeut un résultat déterminant, invariable: cela renforça chez le Juif sahaine première envers la civilisation chrétienne, au point où elledevint le seul contenu eUe seul sens de son existence. Cette haine estle souffle dela vie pour le Juif. Il veut détruire tout ce qui l'entoure,toute forme de vie occidentale, toute idée occidentale. Pendant unmillier d'années il trembla devant le maître européen, qui était inat-taquable dans sa supériorité. La figure de Shylock, ravalant sa bile etattendant son heure, s'adonnant à l'usure et accumulant les piècesde monnaie qui représentent pour lui les moyens de sa libération -c'est la figure symbolique du Juif depuis un millier d'années. Cettehaine brûlante de la part du Juif est l'un des faits les plus importantsdans le monde aujourd'hui. Le Juif est une puissance mondiale.Comment cela est-il arrivé?

la montée dU Juif vers le pouvoir

Cefut la Révolution Industrielle en Europe et en Amérique qui permitau Juif, après avoir été Shylockpendant un millier d'années, l'usurierméprisé et servile, de devenir le type du Juif moderne, le dictateur ducinéma, le tyran des pensées les plus intimes de cent millionsd'Américains. le Juif a pensé en termes d'économie et d'ar~ent pen-dant un millier d'années avant que l'Europe et i'Amérique necommencent à développer une civilisation de l'argent. Par con-séquent, quand l'argent devint la force suprême, le Juif montacomme un météore. Cependant, il y avait encore un obstacle avant sacomplète conquête du pouvoir. L'infidèle, l'étran~er, était encore

123

Page 4: La destinée de l'Amérique

COL.LËCT10N HE:ARTLAND

LE PROPHËTE DE L'IMPERIUM ; FRANCIS PARKER YOCKEY

privé de droits civils. Pendant lon~temps il ne les avait pas recher-chés ; mais à présent ils lui étaient nécessaires s'il voulait dominerson maître d'hier. Une nation après l'autre succombèrent auxprincipes prêchés par les bouchers de la Révolution Française, etque le Juif reprit et clama passionnément à travers le monde. Unecivilisation de l'ar~ent ne veut pas d'aristocratie sur sOn chemin,donc l'Ar~ent et le Juif prêchèrent l'é~alité.iI ne doit pas y avoir nonplus d'obstacle à l'utilisation de l'ar~ent, donc le Juifprêchala liberté.il cherchait à perdre sa marque d'étran~er, car dans son nouveaurôle il voulait être accepté comme un membre de chaque nation où ilpourrait se trouver, pour pouvoir conquérir le pouvoir en vued~sarevanche. Donc il prêcha la fraternité envers les autres et lafraternitéentre les hommes.

Mais son « é~alité » si~nifiait seulement une nouvelle iné~alité - ladictature du Maître de l'Ar~ent sur l'esclave économique attaché àson banc par la chaîne de son salaire. Sa «liberté » si~nifiait que leJuif était libre de sucer le san~ des nations au moyen de l'usure et dela dictature financière. La « fraternité entre les hommes» - c~la/si-~nifiait que le Juif devait être accepté comme un é~al - mais aussiqu'il devait conserver son ancienne unité et son ancien désir derevanche. Maintenant le point a été atteintoù il se lève et rédamedesprivilè~es particuliers - et les obtient! Hier il niait l'aristocratie -aujourd'hui il l'affirme, et c'est lui le nouvel aristocrate! AlbertEinstein, devant lequel les Américains sontsupposés s'incliner etseprosterner, n'a-t-il pas écrit dans Colliers Magazine un article intituléPourquoi leJuifest-i1 supérieur? Etles Américains blancs n'osant pluspenser par eux-mêmes ne le lisent-ils pas et ne le croient-ils pas?

Le Juif n'a pas conçu ni or~anisé l'industrialisme moderne. il n'a pasnon plus inventé le libéralisme. Mais quand ces deux choses furentdevenues des réalités, il s'insinua habilement dans la nouvellestruc-ture sociale et économique qui apparut, et il s'est maintenantidentifié au capitalisme rapace des exploiteurs et à la « démocratie»malhonnête et révoltante du type Tweed and Co contre Tweed Ltd, etle Juif se moque de savoir qui ~a~ne car il contrôle les deux.

il Y avait un ~rand dan~er pour le Juif dans cette suppression detoutes les barrières entre lui et les nations hôtes. Ce danger était l'as-similation de la ~rande masse des Juifs. Si cela devait arriver, lesRothschild, les Baruch, les Frankfurter, les Rosenman, lesGu~~enheim, les Schiff, les Lehmann, les Cohen - tous ceux-ci

PART!E ! - ANTHÜLO:C..1.IE

124

COllECT!ON HEARTLAND

LE PROPHËTE DE L'IMPERIUM ; FRANCIS PARKER YOCKEY

deviendraient des leaders sans adeptes. ils perdraient leurs fidèlesadeptes qui pouvaient pénétrer partout et répandre l'influence duJuif. Une fructueuse source de revenus serait perdue. Ainsi le mot« assimilé »devint un terme méprisant utilisé par les vrais Juifs pourdécrire les autres Juifs qui perdaient leurs sentiments et leursinstincts juifs. le Juif, avec ses deux mille ans derrière lui, faisait faceà une situation périlleuse. Aucune simple manipulation financièrene pouvait résoudre cette ur~~nce. Dans cette situation, les leadersjuifs inventèrent le Sionisme.

le Sionisme et l'apogée de la puissance juive

Cefutuncoup de maître politique de la part du Juif de lancer le mou-vement connu sous le nom de Sionisme. Son but ostensible était derechercher un « foyer national}) pour le Juif, une terre vers laquelle,thépriquement, tOllS les Juifs retourneraient et s'installeraient là.Comme l'idée semblaitfairedes Juifs une nation comme l'Amérique,une natic:mavec des frontières ~éo~raphiques, cela sembla être unmouvementdigned'él()~e auxyeux des Américains.

Cela semblait promettre la fin des Juifs en tant que dunes de sablesse déplaçant à travers les nations, et annoncer leur établissement entant q!Jenation civilisée. <Parconséquent une activité et une propa-~andesionistes illimitées purent être développées parmi lesJuifs parleurs leaders, et aucun soupçonne sur~it dans les esprits des nationshôtes ..

Mais le véritable but du Sionisme était simplement de sauver le Juif,où qu'il se trouve, de l'assimilation par les peuples occidentaux, lespeuples ~uropéen et américain. Il permit à ses leaders d'unir lesJuifsfermement, d'empêch~r l'assimilation en donnant aux Juifs un butpolHiqueà suivre. le caradèreJallacieux du mouvement est révélépar le faH>que très peu de Juifs f\jrent envoyés en Palestine.Seulement quelques-uns y furent envoyés, pour des raisons com-merciales et politiques et pour dissimuler la fraude sioniste, mais desmillions restèrent en Amérique et en Europe. Le véritable but duSionisme - réaffirmer et perpétuer la solidarité du Juif - a été atteint.Le Sionisme est devenu la politique officielle de l'entité juive, et sonascendant signifie, dans la mesure où le simple Juif ordinaire est con-cerné, qu'il est un parfait esclave entre les mains de ses leaders. Il estprobablement superflu de mentionner qu'aucun diri~eant sionisten'a quitté son poste de pouvoir en Amérique pour retourner en

125

Page 5: La destinée de l'Amérique

COi...LECT1DN HEARTLAND

LE PROPHËTE DE L'IMPERIUM : FRANCIS PARKER YOCKEY

Palestine. Il n'est pas non plus nécessaire de souli~ner. u~e ,fOiS deplus combien peu de Juifs parmi les millions ,ayant qUl!t~ 1 Europesont allés en Palestine. Presque tous sont alles en Amenque, leurterre promise, la dernière base de leur puissance, la dernière placepour leur revanche.

l'invasion de la Palestine, bien que straté~iquement importante,reste cependant éclipsée par I~ vaste ~nvasio~ de.l'Amérique. ~ura.ntle bref demi-siècle qui a suivi 1 adoption du SIOnisme par la JUlvene,quelque dix millions de Juifs ont été déversés sur les riva~es del'Amérique du Nord pour remplacer les A.méricain,s biol~~iquem~~tet économiquement, pour vivre en paraslt~~ sur 1 organisme .amen-cain, pour détourner la vie sociale~ et S~lrIt~e."e. de la nation. l~volume de l'invasion a été tel que meme I.Amencaln blanc, assoup~,politiquement inconscient, a commen~é à ouvrir ,.Iesyeu,xetaregarder autour de lui avec étonnement, a mesure qu ~I prenait co~s-dence que son pays natal était passé sous la possession de parfaitsétrangers, comploteurs, assoiffés de>pouvoiret d'argent.

L'étranger possède sa propre presse, dans la~uelleil r~vèle c~schoses que la presse démocrate-libérale se fait un devolr?e dis-simuler sur l'ordre du Juif. Prenons au hasard un numero .duContemporary Jewish Recordls - celui de juin 191.f1.A la pag~ 282~nnous apprend comment ~es éducat~urs)~ifs ~omb,attent avec spcces« le mouvement non-americain de 1 amertcamsme a 100>%». ~ ~apa~~259 un membre du Comité Juif Américain rapporte avec IOle qu acau'se de l'hostilité entre les Américains elles Juifs, les vagues suc:cessives d'immigrants juifs « se transforment en unecom~un.autejuive américaine cohésive ». L'article L'émigrant juif - 19lf~, decnvantl'arrivée du Juif en Amérique, dit: « Notre seule conclusIOn est qu~quand l'émigrant est finalement arrivé à destination,> il peutconsl-dérer qu'il est à l'entrée duCiel » (sic).

Sept millions de ces immigrants sont arrivés à « l'entrée du Ciel»depuis 1933. Il existe une hostilité reconnue entre eux et I~ peuple-hôte. Le Juif s'oppose à 100 % à l'américanisme. Pourtan.t Il appelleson arrivée ici « l'entrée du Ciel ». Comment cela se peut-II?

L:influence croissante du Juif en Amérique

Le continent nord-américain a été découvert, exploré, défriché,labouré et peuplé par l'impérialisme individuel des membres de la

P.ARTH~ ! - ANTHOLOGJf.

126

COLlECT~ON HEARTLÂNO

LE PROPHtTE DE L'IMPERIUM , FRANCIS PARKER YOCKEY

race blanche européenne-américaine. l'indépendance politique del'Amérique a été conquise, et le système industriel-technique du con-tinent a été conçu et bâti par la race blanche. La marine marchandeaméricaine a été construite et envoyée sur les sept mers par leshommes blancs. Chaque idée créative dans n'importe quel domaine- politique, économique, technique, religieux, juridique, éducatif -qui a été apportée sur ce continent a été conçue et a été développéepar des membres de la race européenne-américaine blanche.L'Amérique appartient spirituellement, et appartiendra toujours, à laCivilisation Occidentale dont elle est une transplantation coloniale,et aucune partie de la vraie Amérique n'appartient au primitivismedes barbares erdes fellahs extérieurs à cette civilisation, que ce soiten Asie Mineure, en Extrême-Orient ou en Afrique.

Et pourtant, même si le Juif n'était pas présent à Valley For~e, mêmes'iln'était pas à la Nouvelle Orléans en 1811.f,ni à Alamo, ni à Bull RunOPChancellorsville, ni à Guantanamo Bayou Manille, même s'il n'apris aucune part àla conquête du continent - en dépit de cette com-plète dissociation du Juif d'avec le passé américain, c'est un faitavéré et sinistre que l'Amérique aujourd'hui est diri~ée par le Juif. làoÙIE!sAméricains détiennent l'administration, ils la détiennent selonle plaisir des Juifs et l'utilisj:!ntau service de sa politique. Baruch dis-cute avec Rosenman suries marches de la Maison-Blanche - jadis larésidençe de Washington, Madison, Adams - et c'est ainsi que lapolitique de l'Amériqueestdéterminée.la Guardia donne publique-ment à lehmann ün nom yiddish injurieux. En tant que juriste, le Juifapporte un juridisme excessif; en tant que ju~e il importe la chi-caneriedans l'administration, et il a le pouvoir de décider des loispour les Américains. Un rabbin déclare: « Les idéaux du judaïsme etles idéaux de l'américanisme ne font qu'un ». Et laJewish Chronicle (.Ifavril 1919) dit : « Lesidéaux du bolchevisme sont en accord aIJeclesmeilleurs idéaux du judaïsme ». Le célèbre rabbin Wise annonce: «Jesuis un Américain depuis soixante-sept ans, mais il y a six milleans que je suis un Juif». LaJewish Chronicle nous dit: « LesJuifs enAmérique sont 100 % juifs et 100 % américains ». Ces pourcentagesschizophrènes se résolvent par la thèse des rabbins selon laquelle lejudaïsme, le bolchevisme trotskiste et l'américanisme ne font qu'un.les Juifs des synagogues assistent à un défilé de libéraux - des sous-Américains avec des instincts défectueux - venus devant eux pourrépéter comme des perroquets leur propre point de vue.

127

Page 6: La destinée de l'Amérique

COLLECTION HE.ARTLANO

LE PROPHËTE DE L'IMPERIUM ; FRANCIS PARKER YOCKEY

Le Juif forme approximativement 10 % de la population d'Amériquedu Nord, mais pendant la seconde guerre mondiale, u~e guerr~menée seulement pour les intérêts juif s,une guerrefomentee par lUi,une guerre pour accroître sa puissance, les conscrits juifs ~.~ l'armé~américaine n'étaient pas plus de 2 %, selon les sources officielles. NIdans son rôle supposé d'Américain, nidans son véritable statut demembre de la Culture-Et at-Nation-Ra ce-Peuple juive, il ne voulait ris-quer son sang, même pour sa propre guerre. Dans les ..forcescombattantes, illimitasa participation aux branches administratives:juge, avocat, médecin, magasinier, finance. Dans l'armée ~m~ricaine,les conscrits juifs ont un droit inconditionnel àune permission pourPâques, pour Yom Kippour, pour Roch Hachanah. L'incorporationdes Juifs dans l'armée est retardée lors des fêtE!s juiyes ~. «pouréuiter une épreuue injuste ».ta Cqnférence Centrale des Rabb.insAméricains, lorsde sa quarante-septième convention à New York, aadressé une résolution au Congrès Américain, demalldanLque lesJuifs soient exemptés de la conscription, «en accord.auec les plushautes interprétations du judaïsme» !

Dans l'enseignement supérieur financé par l'argent public, le Juifremplace l'étud iant américai n.d'origi ne. Dans les universités privées,telle que l'Université de Wayne et le CityCollegede NewYqrk,ladomination du Juifest complète.la Bourse présente une imagesirni-laire. La Bourse de New York est fermée pendant les fêtes juives. LeCorps des officiers de réserve est encore pluspénétré?ar leJuif.~esforces de police des grandes vill.es sont sous son controle, etlapollcesecrète fédéral.e fait respecter ses ordres. Il cqmmélndelaGardeNationale dans les Etats les plus peuplés.

Commentcela est-il arrivé? Comment l'Américain d'originea+iFétéchassé des postes de représentation,de pouvoir etde prestige dansson propre pays? Comment a-t-il été chassé des professionslibérales, du gouvernement, des universités, des sou.rces d'informa-tion publique? Comment l'intrus venu d'Asie, la créature du ghettode Kichinev, esHI parvenu à ce sommet d'où il tient dans ses mainsla décision de la guerre et de la paix, et décide qui sont les amis del'Amérique et qui sont ses ennemis?

Deux choses sont responsables de cette situation où se trouvel'Amérique, servant de simple instrument entre les mains d'unétranger. D'abord il yale Libéralisme ~ l'ennemi de la grandeurnationale, le virus qui dévore les sentiments nationaux. Le

COLlËCT:ON MEARTLAND

LE PROPHËTE DE L'IMPERIUM ; FRANCIS PARKER YOCKEY

Libéralisme est la doctrine selon laquelle tous les hommes sontégaux, tout le monde est acceptable, la doctrine selon laquelle les dif-formes ~L I:s déshér,i!és sont égaux au fort et au supérieur, selonlaquelle Il n y a pas d etrangers et pas de différences. Le Libéralismeprospère sur la structure pour laquelle les patriotes et les grandsleaders ont donnéleursvies et leurs fortunes. Pour le Libéralismel'Amé~ique est un melting-pot, un dépotoir pour les rebuts du genr~hu~a.ln. Qu~nd la race blanche d'Europe expulse le Juif, il va enAmenque ou des têtes vides et des. inférieurs, jaloux de ce qu'ils nep.eu,ve~t pas égaler, ont déroulé devant lui le tapis rouge duLlber:llsme, et. sur c~tapis ·!e Juif s'est avancé vers le pouvoir~upr~rne e~ ~n pet~tdemi-siècle après avoir découvert que1 ~~ert~ue etal.t ,~n ho~e parfait pour un parasite entreprenant. LeLiberalisme est 1 inverSion de cet américanisme à 100 % que le Juifdéteste.

Mais le simple Libéralisme seul n'explique pas tout. Le second fac-teura, été l'unité~g~essive du Juif, sa cohésion née de la haine, qui l'asoude et a organise ses forcespoursamission de destruction. Par lave.rtu de la cohésipn de l'entité juive, à la fois Culture, Etat, Nation,Peuple, Race, Religion et.société, le·Juif a conquis "industrie ducinéma,les agences d'information quLcontrôlent toutes les informa-tions~tropinion journalistique, la presse périodique et l'édition, etles , rese~u~>de r~dio. Quand il devint évident que le parti« Republicain» allait perdre les élections de 1932, il s'insinua habile-ment dans le parti« Démocrate », et plaça son candidat à laprésidence. Ce futla Révolution de 1933, mais comme elle eut lieusouslaJormed'unsimplechan~ement de parti, les Américains poli-tiquement inçonscients ne s'en rendirent pas compte.

En 1933, .s'abattit sur Washington l'essaim conduit par Baruch,Lehmann, Morgenthau, frankfurter, Niles et Rosenman. A leur suitev~~rentdes milliers de Paswolski, Messersmith, Lubin, Berles, fortase,Lille~thal,.Cohen, Ezekiel, Silverstein et les autres, et après cette pro-cessIon vinrent assez de petits Juifs, de libéraux déracinés detechnocrates et d'étrangers pour doubler la population de la capitaleen quelques années.

Entre les fissures de la chaussée, le Juif recruta un millier desous-Américains en tant que « commentateurs à la radio »« chro~iqueurs » de journaux, et propagandistes professionnels:pour repandre la vision-du-monde que le Juif considérait comme

Page 7: La destinée de l'Amérique

COLLECTION Hr.ARTLANO

LE PRDPHtTE DE L'IMPERIUM ; FRANCIS PARKER YDCKEY

appropriée pour l'Amérique. Une multitude de ;ervices .~ouvern~-mentaux furent créés, nécessairement composes de J~lfs. Le J.Ulfcherchait à placer sous son contrôle cha'!ue ,facteur. d.exp~esslonpublique et d'influence, pour s'ass,urer qu il ~ Y au~alt Jamais plusune élection nationale libre, car il n avait pas 1 mtentlon de ,renoncerà son pouvoir, si lon~temps rêvé, et maintenant ~evenu reel. p~r}elibre usa~e de tout le jeu constitutionnel des partl.s et des m~Jontes.il purgea le ~ouvernement central de tou~ ceux qUi n~ ~ouvalent .pasêtre menés par le bout du nez, ni achetes. Ceux qUI ~ Y .0pPos.alent

furent hués, diffamés par des moyens ignobles, et amslredults au

silence.

Ainsi l'Amérique prit unvisa~e sémitique.

PARTIE' - ANTHGl()Ü'E

130

le monde en flammes,une analyse de la situation mondiale16

En octobre 19lf6, dans un jardin tranquille de Wiesbaden, uninconnu, dont les écrits et les actions ne sont appréciées que par sesennemis et né~ativement17, rédig-ea une courte monog-raphie inli-tuléeLes Possjbilités de l'Allemagne, et cette analyse peut commencerpar une courte citation de ce texte inédit:

« Finalement- pas avant quinze ans, et pas plus tard que dans trente-l'alliance juive-anglo-saxonne et l'Empire russe mèneront latroisième de la série des guerres mondiales ».

1960a été la première année où la situation politique mondiale a étémûre pour une ~rande ~uerre. Mais le moment exact de sondéclenchement n'est connu de personne à cet instant, pas même desclairvoyants. Elle pourrait avoir lieu ce.tteannée, ou une autre annéeaprès cette date, le dernier moment possible étant probablement1975.

Une brève comparaison est nécessaire avec la situation de 19'f6.Cette année-là, l'Amérique-Juiverie contrôlait, au sens politiquesinon militaire, l'hémisphère occidental entier, la totalité de l'Europeoccidentale sauf une partie de l'Allemag-ne, toute l'Afrique, tout leProche-Orient, le Moyen-Orient, et l'Extrême-Orient. Tout cela faisaitles 9/10' de la surface de la Terre et plus des trois quart de la popula-tion de la Terre.

131