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É DITIONS DE L ’É CHELLE DE JACOB Auteur : Bernard du PUY-MoNtBrUN Format : 16 x 24 cm Pages : 480 rayon : religion - Droit français L’EcHELLE dE JacOb diffusion-distribution : EdItIONs saLvatOr 55, avenue Victor Hugo – 21000 – Dijon 103, rue Notre-Dame-des-Champs – 75006 - Paris Tél. 06 85 72 41 76 – Fax 03 80 49 80 69 Tél. 01 53 10 38 38 – Fax : 01 53103839 E.mail : [email protected] [email protected] Site internet : www.echelledejacob.fr Prix : 27 euros Parution : décembre 2012 Diffusion : Editions SAlvA tor ISBN : 978-2-35968-035-5 Il est des thèmes dont l’étude est pleine de périls, où l’auteur est guetté par l’ignorance, l’idéologie – favorable ou défavorable – voire à la mauvaise foi. Le sujet retenu par Monsieur l’Abbé Bernard du Puy-Montbrun, La détermination du secret chez les ministres du culte, est assurément de ceux-là. Il fallait avoir une double culture pour traiter un pareil sujet qui, à l’instar de Janus bifrons des romains, est duel. Le secret pastoral intéresse en effet et le droit canonique et le droit français, chacun de ces deux versants du problème étant lui-même fort complexe comme le démontre l’auteur avec clarté. Côté canonique, le profane voit dans le secret du prêtre le secret de la confession et rien d’autre. Or la notion de secret canonique est surchargée ; coexiste à partir de ce secret, sorte de noyau dur, le secret pontifical, le secret du conclave, le secret de l’office à la Curie diocésaine et romaine, le secret scripturaire et d’autres encore. Du côté du droit positif, le secret du prêtre, surtout celui de la confession pose des difficultés redoutables, sans doute plus redoutables encore que celles qui appartiennent au droit canonique. Il est vrai que la loi civile, depuis 1905, a laïcisé notre droit. Il n’empêche que la doctrine et les institutions religieuses sont un fait, une donnée sociologique que ni le législateur ni le juge ne peuvent ignorer. Un ministère a même pour intitulé «ministère de l’intérieur et des cultes». (Extrait de la préface du professeur Jean Pradel) Bernard du PUY-MONTBRUN, docteur en droit canonique, diplômé en Sciences criminelles, doyen émérite de la Faculté de Droit canonique, est Maître de conférences à l’Institut Catholique de Toulouse. Il est avocat-ecclésiastique auprès de l’Officialité Interdiocésaine de Toulouse et aumônier titulaire au Centre de détention de Muret. LA DÉTERMINATION DU SECRET CHEZ LES MINISTRES DU CULTE Préface de Jean Pradel Postface de Tony Anatrella L’ÉCHELLE DE JACOB LA DÉTERMINATION DU SECRET CHEZ LES MINISTRES DU CULTE Le secret pastoral en droit canonique et en droit français Préface de Jean PRADEL Postface de Tony ANATRELLA Bernard du PUY-MONTBRUN Doyen émérite de la faculté de droit canonique de Toulouse

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Page 1: La détermination du secret chez les ministres du culte … · Le secret pastoral intéresse en effet et le droit canonique et le droit français, chacun de ces ... S E C R E T C

ÉDITIONS DE L’ÉCHELLE DE JACOB

auteur : Bernard du PUY-MoNtBrUNFormat : 16 x 24 cmPages : 480rayon : religion - Droit français

L’EchELLE dE Jacob diffusion-distribution : Editions saLvator55, avenue Victor Hugo – 21000 – Dijon 103, rue Notre-Dame-des-Champs – 75006 - ParisTél. 06 85 72 41 76 – Fax 03 80 49 80 69 Tél. 01 53 10 38 38 – Fax : 01 53103839E.mail : [email protected] [email protected] internet : www.echelledejacob.fr

Prix : 27 eurosParution : décembre 2012Diffusion : Editions SalvatorISBN : 978-2-35968-035-5

Il est des thèmes dont l’étude est pleine de périls, où l’auteur est guetté par l’ignorance, l’idéologie– favorable ou défavorable – voire à la mauvaise foi. Le sujet retenu par Monsieur l’Abbé Bernarddu Puy-Montbrun, La détermination du secret chez les ministres du culte, est assurément de ceux-là.Il fallait avoir une double culture pour traiter un pareil sujet qui, à l’instar de Janus bifrons des romains,est duel. Le secret pastoral intéresse en effet et le droit canonique et le droit français, chacun de cesdeux versants du problème étant lui-même fort complexe comme le démontre l’auteur avec clarté.Côté canonique, le profane voit dans le secret du prêtre le secret de la confession et rien d’autre.Or la notion de secret canonique est surchargée ; coexiste à partir de ce secret, sorte de noyau dur,le secret pontifical, le secret du conclave, le secret de l’office à la Curie diocésaine et romaine, lesecret scripturaire et d’autres encore.Du côté du droit positif, le secret du prêtre, surtout celui de la confession pose des difficultésredoutables, sans doute plus redoutables encore que celles qui appartiennent au droit canonique. Ilest vrai que la loi civile, depuis 1905, a laïcisé notre droit. Il n’empêche que la doctrine et lesinstitutions religieuses sont un fait, une donnée sociologique que ni le législateur ni le juge ne peuventignorer. Un ministère a même pour intitulé «ministère de l’intérieur et des cultes». (Extrait de lapréface du professeur Jean Pradel)

Bernard du PUY-MONTBRUN, docteur en droit canonique, diplômé en Sciencescriminelles, doyen émérite de la Faculté de Droit canonique, est Maître de conférences à l’InstitutCatholique de Toulouse. Il est avocat-ecclésiastique auprès de l’Officialité Interdiocésaine de Toulouseet aumônier titulaire au Centre de détention de Muret.

LA DÉTERMINATION DU SECRET CHEZ LES MINISTRES DU CULTE

Préface de Jean PradelPostface de Tony Anatrella

Il est des thèmes dont l’étude est pleine de périls, où l’auteur estguetté par l’ignorance, l’idéologie – favorable ou défavorable –voire à la mauvaise foi. Le sujet retenu par Monsieur l’AbbéBernard du Puy-Montbrun, La détermination du secret chez lesministres du culte, est assurément de ceux-là.Il fallait avoir une double culture pour traiter un pareil sujet qui,à l’instar de Janus bifrons des romains, est duel. Le secret pastoralintéresse en effet et le droit canonique et le droit français, chacunde ces deux versants du problème étant lui-même fort complexecomme le démontre l’auteur avec clarté.Côté canonique, le profane voit dans le secret du prêtre le secretde la confession et rien d’autre. Or la notion de secret canoniqueest surchargée ; coexiste à partir de ce secret, sorte de noyau dur,le secret pontifical, le secret du conclave, le secret de l’office à laCurie diocésaine et romaine, le secret scripturaire et d’autresencore.Du côté du droit positif, le secret du prêtre, surtout celui de laconfession pose des difficultés redoutables, sans doute plusredoutables encore que celles qui appartiennent au droitcanonique. Il est vrai que la loi civile, depuis 1905, a laïcisé notredroit. Il n’empêche que la doctrine et les institutions religieusessont un fait, une donnée sociologique que ni le législateur ni lejuge ne peuvent ignorer. Un ministère a même pour intitulé«ministère de l’intérieur et des cultes». (Extrait de la préface duprofesseur Jean Pradel)

Bernard du PUY-MONTBRUN, docteur en droit canonique,diplômé en Sciences criminelles, doyen émérite de la Faculté deDroit canonique, est Maître de conférences à l’Institut Catholiquede Toulouse. Il est avocat-ecclésiastique auprès de l’OfficialitéInterdiocésaine de Toulouse et aumônier titulaire au Centre dedétention de Muret.

LA DÉTERMINATION DU SECRET CHEZ LES MINISTRES DU CULTE

Le secret pastoral en droit canonique chez les ministres du culte

Diffusion : SALVATORPrix : 27 €

ISBN : 9782359680355

L’ÉCHELLE DE JACOB

LA DÉTERMINATION DU SECRET

CHEZ LES MINISTRESDU CULTE

Le secret pastoral en droit canoniqueet en droit français

Préface de Jean PRADELPostface de Tony ANATRELLA

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Doyen émérite de la faculté de droit canonique de Toulouse

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