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CONTEXTE Avec plus de 450 000 salariés en France, la filière maintenance joue un rôle essentiel pour maintenir et rétablir la capacité productive de l'Industrie française (agroalimentaire, automobile, aéronautique, chimie, sidérurgie, mécanique...). De la gestion des systèmes du bâtiment (ex. : climatisation, chauffage...), en passant par la maintenance de systèmes complexes (ex. : train) ou les capacités de production (de processus continus ou discontinus), le périmètre de la filière est relativement vaste et fait appel à de nombreuses compétences techniques. Le type d'intervention et le niveau de maintenance peuvent également modifier la stratégie de l'entreprise sur ce sujet en internalisant ou externalisant certaines taches. De plus les modèles d'affaires (équipe maintenance dédiée, maintenance intégrée, retrofit, maintenance préventive, SAV...) engendrent un besoin de développement des compétences de leur personnel tant organisationnelles, technologiques que relationnelles. OBJET DE L’ÉTUDE Les grands projets de carénage, les évolutions des pratiques de la maintenance et le besoin de faire évoluer les certifications ont poussé le Groupe de Travail Paritaire Qualifications (GTP Qualifications) a initié cette étude, pilotée par la Métallurgie rhodanienne, avec le soutien des CST et du cabinet KATALYSE. Photo La filière de la maintenance : Etude des besoins de professionnalisation Synthèse – Septembre 2015 (à partir de l’étude validée en septembre 2014) Crédit photo : Les Industries technologiques

La filière de la maintenance : Etude des besoins de

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CONTEXTE

Avec plus de 450 000 salariés en France, la filière maintenance joue un rôle essentiel pour maintenir

et rétablir la capacité productive de l'Industrie française (agroalimentaire, automobile, aéronautique,

chimie, sidérurgie, mécanique...).

De la gestion des systèmes du bâtiment (ex. : climatisation, chauffage...), en passant par la

maintenance de systèmes complexes (ex. : train) ou les capacités de production (de processus continus

ou discontinus), le périmètre de la filière est relativement vaste et fait appel à de nombreuses

compétences techniques. Le type d'intervention et le niveau de maintenance peuvent également

modifier la stratégie de l'entreprise sur ce sujet en internalisant ou externalisant certaines taches.

De plus les modèles d'affaires (équipe maintenance dédiée, maintenance intégrée, retrofit,

maintenance préventive, SAV...) engendrent un besoin de développement des compétences de leur

personnel tant organisationnelles, technologiques que relationnelles.

OBJET DE L’ÉTUDE

Les grands projets de carénage, les évolutions des pratiques de la maintenance et le besoin de faire

évoluer les certifications ont poussé le Groupe de Travail Paritaire Qualifications (GTP Qualifications)

a initié cette étude, pilotée par la Métallurgie rhodanienne, avec le soutien des CST et du cabinet

KATALYSE.

Photo

La filière de la maintenance : Etude des besoins

de professionnalisation

Synthèse – Septembre 2015 (à partir de l’étude validée en septembre 2014)

Crédit photo : Les Industries technologiques

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Cette étude sur la professionnalisation de la filière, visait à :

Déterminer le périmètre de la filière maintenance

Aborder les enjeux économiques, technologiques et sociaux de la filière

Comprendre les besoins et parcours de professionnalisation

Recenser les activités principales des métiers de la filière

Préciser la cartographie des CQPM existants

Proposer une évolution des CQPM en réponse à l’évolution des besoins et enjeux de la filière

Du fait du périmètre d'activité large de la filière, il a été choisi d'étudier les maintenances liées à :

L’appareil de production industrielle et énergétique ;

Les biens et produits de consommation ;

Les produits industriels complexes.

MÉTHODOLOGIE

Pour déterminer les besoins en certification, le pilote a

choisi d'interroger un panel d'entreprises du territoire

français notamment sur les grands bassins de production,

des experts de différents secteurs et les Chambres

Syndicales Territoriales ayant en charge la responsabilité des

CQPM précédemment créées. C'est au total, plus de 57

personnes qui ont été interrogées dans ce processus.

A cela s'ajoute un travail d’analyse documentaire et

statistique. Les principaux outils utilisés dans le cadre de

cette étude sont :

- Des fiches métiers de l’Observatoire de la Métallurgie

- Des études de l’Observatoire de la Métallurgie et de la FIM

- Des enquêtes emplois de l’INSEE

- Et des bases de données comme celle du CEREQ, de l’Éducation Nationale de Pôle Emploi, ou

des greffes des tribunaux de commerce...

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PERIMETRE DE L’ÉTUDE

LA FILIÈRE MAINTENANCE

Selon la définition de l'AFNOR, la maintenance peut se définir comme" l’ensemble des activités

destinées à maintenir ou rétablir un bien dans un état spécifié ou dans des conditions données de

sûreté de fonctionnement, pour accomplir une fonction requise".

De nombreuses nomenclatures permettent de décrire les types de maintenance. On peut distinguer

trois grandes catégories de maintenance aux enjeux spécifiques : selon la nature de l’opération de

maintenance (réactive, préventive…), suivant la complexité de l’opération de maintenance, par

typologie des produits ou systèmes maintenus, par secteur d’activité, par technologie, domaine

technique, internalisation/externalisation...

Une des classifications les plus reconnues s'appuie sur la planification des actions de maintenance :

La maintenance réactive : il s’agit de dépanner/réparer en cas de panne, ce qui entraine un

arrêt de la production ou une baisse de la qualité.

La maintenance préventive : elle vise à réduire le risque d’apparition d’une future panne, via

des contrôles réguliers et est classée en deux méthodes :

• La maintenance préventive conditionnelle qui est réalisée uniquement lorsque le

bien le nécessite (ex : témoin d’usure)

• La maintenance préventive systématique qui est réalisée suivant un échéancier

(ex : remplacement tous les X heures de fonctionnement)

La maintenance prédictive : elle va plus loin que la maintenance préventive en mettant en

place et utilisant des outils de surveillance complexes (ex. : thermographie) pour pouvoir

déterminer les conditions de défaillance.

L'AFNOR distingue quant à elle, 5 niveaux de maintenance suivant la complexité des opérations :

Réglages et échanges de consommables

Echanges standards, graissage, contrôle du fonctionnement

Identification et diagnostic des pannes, réparation par échange d’éléments fonctionnels,

réparations mécaniques mineures, réglages généraux, réalignement des appareils de mesure

Travaux importants de maintenance corrective ou

préventive

Rénovation, reconstruction, réparations importantes

confiées à un atelier central ou à une unité extérieure

Concernant l'externalisation des activités, seulement un quart

des dépenses de maintenance sont sous-traitées. Cependant,

cette moyenne cache des disparités importantes en fonction

des secteurs et types d’industries (les secteurs de l'énergie et Crédit Photo : CQPM

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de la pétrochimie sont des utilisateurs d'une part importante des sous-traitants).

Les entreprises spécialisées dans la maintenance sont généralement de petite taille (1 entreprise sur 2

emploie moins de 5 salariés) et leur répartition géographique est proche de celle des sites industriels.

Moins de 5% des effectifs sont dans des grandes entreprises. En moyenne, le recours à la sous-

traitance se fait dans 80 % des cas par lots d’intervention séparés. 14% sont des lots groupes multi-

techniques.

LES MÉTIERS DE LA FILIÈRE MAINTENANCE

Les compétences et les métiers varient selon le degré de complexité de la maintenance, en allant du

simple réglage à des travaux de réparation importants ou encore en passant par la phase de diagnostic.

Ainsi, certaines opérations de maintenance sont de plus en plus traitées par les opérateurs de

production, plutôt que par le service maintenance (interne ou externe).

En plus de l’opérateur de production, l’étude a permis d’identifier quatre principaux métiers dans la

filière de la maintenance :

• L’agent de maintenance (niveau 1 et 2) : il entretient les machines, les composants ou les systèmes de production et intervient pour dépanner rapidement et réparer.

• Le technicien de maintenance (niveau 3) : il entretient, dépanne, répare le matériel de production, mais fait également des préconisations sur les matériels et les procédures. Il diagnostique également et interprète les pannes.

• L’agent de maitrise en maintenance (niveau 4) : il est responsable d’une équipe et fait réaliser l’entretien, le dépannage, la réparation du matériel de production. Son rôle est aussi de maintenir dans des conditions budgétaires acceptables et de travail/sécurité maximales.

• Le responsable de maintenance (niveau 5) : généralement titulaire d’un diplôme d’ingénieur, il a pour mission d’organiser et gérer les services techniques de l’entretien. Il doit garantir une forte disponibilité du matériel de production et démontrer le caractère bénéficiaire de son activité.

Notamment chez les techniciens de maintenance, le métier s'est spécialisé de deux manières :

- par le type de génie investit : mécanique, climatique, hydraulique, électromécanique,

électronique de puissance...

5

- par le type de système à maintenir : ascenseur, porte automatique, chauffage, engins de

manutention...

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PRINCIPAUX RÉSULTATS

LES ENJEUX ÉCONOMIQUES DE LA FILIÈRE

En France, la filière de la maintenance (interne/externe) représente près de 30 Mds €. Le taux

d’externalisation a tendance à augmenter notamment en raison de la baisse des dépenses de

maintenance interne.

La maintenance a un impact direct sur la productivité de l’entreprise. En effet, un arrêt de production

a des conséquences lourdes sur la quantité, la qualité des produits et la conformité au programme. Il

convient de trouver un juste équilibre entre maintenance réactive, préventive et prédictive. Ces deux

dernières catégories de maintenance ayant un rôle de plus en plus significatif face à la complexification

et au coût croissant du matériel.

Le choix de la sous-traitance est corrélé à la taille critique pour pouvoir internaliser la fonction de

maintenance - cette taille critique varie selon le secteur et le type d’industrie (continu / discontinu) -

également à la complexité de la maintenance et du besoin réglementaire d'un audit externe (ex.:

ascenseur).

LES ENJEUX TECHNOLOGIQUES

La généralisation de l’électronique entraine une raréfaction des opérations de maintenance

mécanique pure. Cela impacte les besoins en compétences, se traduisant par exemple par un recours

massif à l’électromécanicien plutôt qu’au mécanicien et une augmentation du nombre d'années de

formation.

Avec l’évolution rapide et la multiplicité des technologies, les métiers de la maintenance doivent se

former régulièrement pour répondre à la complexité des systèmes.

Il convient de distinguer les entreprises en processus continu de celles en processus discontinu. Les

premières font fonctionner leur appareil de production sans interruption rendant toute opération de

maintenance complexe et coûteuse, puisqu’il faut stopper le processus de production. Les secondes

assurent une souplesse puisqu’elles permettent les opérations de maintenance pendant les phases

régulières d’arrêt de l’appareil de production.

LES ENJEUX SOCIAUX

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La sécurité du personnel est un élément majeur et la maintenance apporte une sureté dans l'utilisation

des capacités de production. Les organes critiques sont clairement

identifiés au sein de l’entreprise et font l’objet d’une maintenance

préventive.

On observe également le déploiement d’unités autonomes de

production (UAP) puisque les opérateurs de production se voient

confier certaines tâches de maintenance (niveau 1 ou 2).

Par ailleurs, de plus en plus d’entreprises ont une approche TPM

(Total Productive Maintenance) de la maintenance, qui intègre la

notion de coût global de possession et implique une organisation

spécifique avec la participation de la direction, des services

méthode et production.

LES BESOINS DE PROFESSIONNALISATION

La complexité croissante des systèmes à maintenir requiert un besoin de formation récurrent pour la

main d’œuvre en exercice : 450 000 personnes en France, sous-traitance incluse (hors bâtiment). Les

besoins de formation des effectifs portent plus particulièrement sur les méthodes de maintenance

préventive et prédictive.

En matière de pyramide d’âge, les plus de 50 ans représentent

plus d’un quart des effectifs « ouvriers » de la filière et plus de

20% des effectifs « technicien/agent de maitrise » : les

effectifs « ouvriers » sont en déclin notamment en raison de

la progression du nombre de techniciens et agents de

maitrise. En effet, les profils de technicien et agent de

maitrise sont de plus en plus recherchés (parfois avec des

difficultés pour les recruter) par les entreprises : une tendance

qui se confirme depuis les années 1990 (prévision de plus de 30 000 créations nettes d’emplois pour

Crédit photo : Les Industries technologiques

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ces 2 profils sur la période 2010-2020). Près de la moitié des effectifs de la filière ont une ancienneté

moyenne de 10 ans ou plus.

Le secteur de la production/distribution d’énergie (nucléaire, éolien…) est le secteur qui devrait

embaucher le plus à horizon 2020 avec des difficultés de recrutement potentielles.

Les besoins de la filière portent également vers des profils d’opérateurs de production qui se voient

confier des tâches de maintenance de niveau 1 ou 2 : le recours au CQPM permet de certifier leurs

compétences en la matière. C’est également valable pour les ouvriers de plus de 50 ans à qui l’on

propose souvent d’évoluer vers des postes de maintenance.

Enfin, les entreprises font plus particulièrement face à des difficultés de recrutement pour les métiers

d’électroniciens et d’électrotechniciens.

LES PARCOURS DE PROFESSIONNALISATION DANS LA FILIÈRE

La tendance générale est à l’augmentation du niveau de diplôme moyen : plus les effectifs sont

jeunes et plus ils sont diplômés.

La majorité des effectifs de la filière ont un niveau de diplôme du CAP, BEP, BAC PRO au niveau BAC+2.

Niveau CAP, on distingue en particulier 3 formations : « Maintenance de bâtiments de collectivités »,

« Maintenance des matériels » et « Maintenance des véhicules ».

A l’échelle du BAC PRO, il existe un Bac PRO «maintenance des équipements industriels » et une vaste

offre intégrant les spécificités des secteurs (ex. : « Aéronautique option Mécanicien systèmes

cellule »), la complexité de l’opération de maintenance (ex. : « Techniques avancées de maintenance »)

ou encore la typologie des systèmes (ex. : « Technicien de maintenance des systèmes énergétiques et

climatiques »).

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Niveau BAC+2, le BTS propose une dizaine de formations différentes (ex. : « Maintenance des

systèmes »,« Maintenance d’exploitation des matériels aéronautiques »), le DUT en propose trois

principales (« Génie industriel », « Génie électrique », « Génie mécanique »). On notera également les

licences pro : «Maintenance des systèmes pluritechniques » et « Maintenance aéronautique ».

En septembre 2014, l’UIMM proposait 42 CQPM dans le champ de la maintenance, dont :

16 CQPM relevant des blocs « disciplines / génies » :

26 CQPM relevant des blocs « techniques » :

Cartographie des CQPM du champ de la maintenance en décembre 2013 :

blocs « disciplines/génies »

Mécaniq

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0137 B

0036 A

0021 A

0039 A 0039 A

0041 A

0018 A

0043 A

0269 B (process)

0268 B (process)

0214 B 0214 B 0214 B

0113 B

0092 B

0122 A

0248 B

0001 B (Inst. Auto.) 0001 B

0021 A

10

A ces 42 CQPM, il convient de rajouter 30 CQPM de logistique et production qui ont une approche

de la maintenance sur une capacité professionnelle.

PROPOSITION DE NOUVELLE CARTOGRAPHIE DU GROUPE DE TRAVAIL

PARITAIRE QUALIFICATION (GTPQ)

L’ensemble des partenaires sociaux ont travaillé pour la révision des CQPM existants pour répondre

aux besoins des entreprises et tenir les engagements des Accords nationaux :

sans pour autant augmenter la complexité de mise en œuvre dans les entreprises, la

complexité de création et de révision d’un CQPM

en gardant la lisibilité et la cohérence du dispositif

Des créations, rénovations, réécritures ou suppressions de plusieurs CQPM ont été suggérées :

Suppression du CQPM « Electromécanicien industriel » (0043) car doublon avec le CQPM

« Opérateur en maintenance industrielle » (0021)

Suppression des CQPM « Technicien d’essais en électronique de communication » (0092),

« Technicien d’essais en électronique » (0113) et « Agent de dépannage de cartes

électroniques » (0122) qui seront pris en compte dans le nouveau CQPM « Technicien tests,

essais et dépannage en électronique »

Suppression du CQPM « Technicien en pilotage et maintenance de système de production »

(0214) car doublon avec le CQPM « Technicien en maintenance industrielle » (0137)

Fusion à confirmer du CQPM « Mécanicien industriel d’entretien » (0041) avec le CQPM

« Mécanicien industriel en équipements automatisés » (0039)

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Rénovation à prévoir des CQPM « Electromécanicien » (0018) et « Electricien industriel en

équipements automatisés » (0036)

Réécriture du CQPM « Chargé de maintenance industrielle » (0223)

Création d’un CQPM (catégorie C) de maintenance productive intégrant notamment des

activités de surveillance, de suivi des paramètres techniques de l’installation et diminution des

risques

Suppression des CQPM « Technicien méthodes maintenance immotique » (0181),

« Retoucheur automobile dans l’industrie » (0192), « Technicien de maintenance en

chaudronnerie, tuyauterie et robinetterie en lieux sensibles » (0177), « Technicien de

décontamination et démantèlement en milieu nucléaire » (0222), « Agent de maintenance des

installations de comptage et distribution d’eau » (0266) et « Technicien d’intervention en

groupes électrogènes industriels » en raison de leur très faible (voire absence) utilisation

depuis 2006

Suppression du CQPM « Technicien de maintenance de groupes de pompage » (0152) car

doublon avec le CQPM «Mécanicien en machines tournantes sous pression » (0284)

Fusion (à confirmer) des CQPM « Agent de maintenance de matériels et engins de travaux

publics » (0270) et « Technicien SAV de matériels et engins de travaux publics » (0271)

Rénovation à prévoir des CQPM «Technicien en installation et maintenance en robinetterie

nucléaire » (0145), « Technicien de service maintenance en ascenseur » (0180) et « Mécanicien

en réparation navale » (0235)

Par ailleurs, une normalisation de la capacité professionnelle sur les CQPM hors cœur de la

maintenance ( 30 CQPM retenus) est proposée.

Pour compléter cette étude, une veille devra permettre d'évaluer les nouveaux besoins en

compétences, notamment en lien avec la robotisation de l'industrie et l'évolution des technologies

(impression 3D et réalité virtuelle par exemple).

Enfin, suite aux travaux de création des CQPM 0268 « Electricien maintenancier process », 0269

Mécanicien maintenancier process » et 0230 « Monteur(euse)-cableur(euse) en équipements

électriques », une étude plus spécifique pourrait-être menée sur l’utilisation des CQPM 0036

« Electricien industriel en équipements automatisés » , 0039 « Mécanicien industriel en équipements

industriels » et 0041 « Mécanicien industriel d’entretien ».

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Hervé DISSAUX, KATALYSE

Avec plus de 100.000 certificats dans 15.000 entreprises, le

dispositif CQPM/CQPI connait un grand succès.

Pour obtenir plus d’informations sur les CQPM, leurs utilisations

et connaitre la liste des CQPM disponibles, rendez-vous sur le site

www.CQPM.fr.