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La gazette des éditions Erick Bonnier #H.S. SPÉCIAL FICTION diffusion Interforum Le premier semestre littéraire des éditions avec 11 romans et 1 recueil de nouvelles. De l’Orient, de Damas à Kaboul, en passant par Bagdad, Doha et Abou Dhabi. Mais aussi de la Bourgogne à Beyrouth sur le chemin de Constantinople, du Caire et de Chicago... Collection Encre d’Orient ou bien hors-collection, le semestre s’annonce rem- pli de voyages et, de découvertes de nouvelles plumes, comme d’autres déjà bien trem- pées dans l’encrier des chroniqueurs. Déjà, des lecteurs avisés et légitimes dans leur secteur ont donné leur avis, pour ne citer que Gilbert Sinoué à propos du premier roman de Merwann Abboud-Wazir Huis- clos avec Bachar al-Assad : “Il fallait oser. Il l’a fait. Le Bachar al-Assad que nous propose Merwann Abboud est aux antipodes de celui que l’on nous décrit depuis des années. Il ne serait donc pas cet odieux per- sonnage dont la tête est mise à prix par l'Occident ? Ce monstre froid qui jubile en éradiquant son peuple ? Le fait même de s'interroger démontre que le pari de l’auteur est réussi, et l’on ne peut que saluer le tour de force.” Ou bien la note de lecture de Pascal Vernus, grand égyptologue, au sujet du roman de Véronique Sédro Pharaons et voleurs : “ Véronique Sédro a su habilement tirer profit de son expérience profonde de l'Égypte moderne, qui n'est pas moins haute en couleur que l'Égypte pharaonique à qui sait l'observer. Et, à coup sûr, elle a su l'observer. C'est un plaisir que de revivre sous sa plume les "petits faits vrais" sur lesquels sont construites les descriptions de la vie cairote ou les tribulations inéluctables de ceux qui s'intéressent de près au commerce d'antiquités. Voilà une fiction qui dépasse la réalité, mais la recrée en même temps.” Mais c’est aussi 3 romans qui ont été traduits de l’arabe vers le français : un qatari, un émirati et un libanais. 3 entrées dans des mondes et lieux difficiles d’y pénétrer avec une écriture à l’accent oriental si cher à notre fonds littéraire français. Point d’orgue, le Burkini qui sort avant les plages de sable et les hamacs de l’été. Comme nous l’écrit Antoine Jockey , critique au al-Hayat : “Mieux que tous les romans qui abordent le sujet du voile islamique, et ils sont peu nombreux, Burkini permet à ses lecteurs de glisser sous la peau d’une jeune femme voilée et de comprendre ses interrogations, ses désirs et surtout son rapport, souvent contradictoire, avec le voile, mais aussi avec le monde qui l’entoure”. À suivre sur : www.erickbonnier-editions.com https://www.facebook.com/erickbonniereditions éditions Erick Bonnier – 5 rue du Helder – 75009 Paris [email protected] – 06 09 91 41 77 2

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La gazettedes éditions Erick Bonnier

#H.S.SPÉCIAL FICTION

diffusion

Interforum

Le premier semestre littéraire des éditions avec 11 romans et 1 recueil de nouvelles.

De l’Orient, de Damas à Kaboul, en passant par Bagdad, Doha et Abou Dhabi.Mais aussi de la Bourgogne à Beyrouth sur le chemin de Constantinople, du Caire et deChicago... Collection Encre d’Orient ou bien hors-collection, le semestre s’annonce rem-pli de voyages et, de découvertes de nouvelles plumes, comme d’autres déjà bien trem-pées dans l’encrier des chroniqueurs.

Déjà, des lecteurs avisés et légitimes dans leur secteur ont donné leur avis, pourne citer que Gilbert Sinoué à propos du premier roman de Merwann Abboud-Wazir Huis-c los avec Bachar al -Assad : “Il fallait oser. Il l’a fait. Le Bachar al-Assad que nous propose MerwannAbboud est aux antipodes de celui que l’on nous décrit depuis des années. Il ne serait donc pas cet odieux per-sonnage dont la tête est mise à prix par l'Occident ? Ce monstre froid qui jubile en éradiquant son peuple ? Lefait même de s'interroger démontre que le pari de l’auteur est réussi, et l’on ne peut que saluer le tour de force.”Ou bien la note de lecture de Pascal Vernus, grand égyptologue, au sujet du roman deVéronique Sédro Pharaons e t vol eurs : “ Véronique Sédro a su habilement tirer profit de son expérienceprofonde de l'Égypte moderne, qui n'est pas moins haute en couleur que l'Égypte pharaonique à qui sait l'observer.Et, à coup sûr, elle a su l'observer. C'est un plaisir que de revivre sous sa plume les "petits faits vrais" surlesquels sont construites les descriptions de la vie cairote ou les tribulations inéluctables de ceux qui s'intéressentde près au commerce d'antiquités. Voilà une fiction qui dépasse la réalité, mais la recrée en même temps.”

Mais c’est aussi 3 romans qui ont été traduits de l’arabe vers le français : un qatari,un émirati et un libanais. 3 entrées dans des mondes et lieux difficiles d’y pénétrer avecune écriture à l’accent oriental si cher à notre fonds littéraire français. Point d’orgue, leBurkini qui sort avant les plages de sable et les hamacs de l’été.

Comme nous l’écrit Antoine Jockey, critique au a l-Hayat : “Mieux que tous les romansqui abordent le sujet du voile islamique, et ils sont peu nombreux, Burkini permet à ses lecteurs de glisser sousla peau d’une jeune femme voilée et de comprendre ses interrogations, ses désirs et surtout son rapport, souventcontradictoire, avec le voile, mais aussi avec le monde qui l’entoure”.

À suivre sur :

www.eri ckbonnier- edi t ions. comhtt ps ://www.facebook.com/er ickbonnier ed i t ions

éd i t ions Er ick Bonnier – 5 rue du Helder – 75009 Par iseb@er ickbonnier- edi t ions.com – 06 09 91 41 77

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LA LANGUE OUBLIÉE DE DIEUROMAN - 236 pages - Collection Encre d’OrientFormat 145X190 - 20€EAN 9782367600642

•••••Hanté par une histoire accablante que lui ont transmise ses grands-parents, rescapés du pogrom des chrétiens en Turquie au débutdu XXe siècle, Aram s’efforce de traduire leur mémoire rédigéepar Sowo, le grand-père, en araméen, la langue des Syriaquesd’Orient…Deux univers parallèles se télescopent, l’un au présent et l’autreau passé. C’est ce passé pesant dans lequel le héros est plongé àson corps défendant qui rendra son présent écrasant.L’histoire se dévoile à travers une lente évolution de sentimentsdualistes comme un clair-obscur.Dans cette œuvre exutoire, à mi-chemin entre les mémoires etl’autofiction, l’auteur règle ses comptes avec ses origines, sonpassé, son éducation et son exil forcé.

•••••

Saïd Ghazal est un libano-canadien francophone. Il fuit la guerredu Liban en 1975 sous la pression de ses parents. Il poursuit sesétudes à Montréal. La langue oubliée de Dieu est son premier roman.

Attaché de presse :Eric Poupet01 40 20 01 22 - 06 60 49 87 [email protected]

L’auteur se partage entre Paris et Beyrouth.

CHICAGO BANG BANGPOLAR - 430 pages - Hors collectionFormat 145X190 - 20€EAN 9782367600765

•••••Chicago n’est plus en paix depuis que le dénommé Chicago Bang-Bang fait des cartons sur de gentilles filles mineures à la peau plusnoire que la réglisse !Holmes, Sherrinford de son prénom, prétend que son arrière-grand-père serait le maître des détectives, l’immense SherlockHolmes, preuves à l’appui, bien sûr. Nombre des protagonistes decette histoire ne sont-ils pas les descendants de personnages pré-sents dans l’œuvre de Sherlock Holmes ? Ce beau gosse de Sher-rinford, détective privé comme grand’pa, n’est pas payé pourretrouver ce fondu de Chicago Bang-Bang !Il a assez de mal à joindre les deux bouts et c’est une bénédictionquand le colonel Appledore, un amazing colonel, le charge de re-trouver Amy, sa fille de dix-sept ans plus faite pour la Silicone val-lée qu’à fuguer avec sa copine Laura. Un colonel milliardaire, çafait la pelote d’Holmes Jr mais ça excite les convoitises…Avec ça, du sang partout comme s’il en pleuvait, des femmes à labeauté du Diable, du Chinois, du Cosaque, du Sicilien, du Blackmuslim, du métèque, de l’hybride, difficile pour un jeune et talen-tueux détective d’y retrouver un chien perdu sans collier, voire unepetite chatte tatouée mais non pucée…

•••••Parachutiste colonial, rugbyman, assistant de Max Meynier, « Les rou-tiers sont sympa », inspecteur de police judiciaire, secrétaire particulierd’un prince du sang, chargé de mission dans les contrées les plus cu-rieuses et les moins accueillantes de la planète, journaliste au Luxem-bourg, l’auteur a fini par poser ses valises pour cause de Pascale, jolieblonde, femme d’affaires et tête pensante, son rêve de toujours.Amoureux du pays de Caux en terre de Normandie, notre homme yvit désormais avec Jouvette, sa chatte British et ses chihuahuas Bar-nabé, Gribouille et sa petite majesté Shasha. Adhérent à SOS Chihua-hua et au souvenir éternel de « Raoul, » il est l’auteur du très remarquéLucky Lux, des petits saints qui tombent (2014), déjà un collector chez lemême éditeur.contact presse : [email protected]’auteur vit en Seine-Maritime (76).

HUIS-CLOS AVEC BACHAR AL-ASSADROMAN - 208 pages - Collection Encre d’OrientFormat 145X190 - 19€EAN 9782367600819

•••••Depuis le déclenchement de la révolution syrienne en mars 2011,Bachar al-Assad est présenté comme l’ennemi public n° 1, le dic-tateur qui a réprimé l’élan démocratique de son peuple dans lesang et plongé la Syrie dans le chaos. Mais que sait-on de la vie del’homme qui se cache derrière le masque politique et médiatique ?Est-il réellement ce monstre sanguinaire que l’on nous décrit jouraprès jour ?Qui se souvient que Bachar était le cadet des fils de Hafez al-Assad, « le Lion de Damas », et que c’est Bassel, son frère aîné,qui était censé prendre la succession de son père sur le « trône »de Syrie ? Qui se souvient qu’à cette époque, Bachar vivait à Lon-dres et qu’il était un ophtalmologue très apprécié par ses collègueset ses patients ? En observant la crise actuelle, qui s’est réellementdonné la peine d’analyser les décisions prises par le président sy-rien depuis le début des événements qui ont plongé la Syrie dansle chaos ?C’est à travers une approche romanesque, mais néanmoins extrê-mement rigoureuse et respectueuse des faits, que l'auteur apporteun nouvel éclairage sur ce personnage ô combien trouble.

•••••Scénariste et réalisateur de formation, Merwann Abboud-Wazir a vécuvingt ans en France, à Rennes, avant de s'installer à Beyrouth, dansson pays d'origine. De retour en France après quinze ans « d'exil », ilcollabore avec le romancier Gilbert Sinoué en tant que documenta-liste. Cette expérience le pousse à se lancer dans la réalisation d'un deses rêves d’enfant : écrire des histoires.

contact presse : [email protected]’auteur vit à Rennes (35).

“Il fallait oser. Il l’a fait. Le Bachar al-Assad que nous propose Merwann Abboudest aux antipodes de celui que l’on nous décrit depuis des années. Il ne serait donc pascet odieux personnage dont la tête est mise à prix par l'Occident ? Ce monstre froidqui jubile en éradiquant son peuple ? Le fait même de s'interroger démontre que lepari de l’auteur est réussi, et l’on ne peut que saluer le tour de force.” Gilbert Sinoué

PHARAONS ET VOLEURSROMAN - 420 pages - Collection Encre d’OrientFormat 145X190 - 20€EAN 9782367600734

•••••Isis Vatjian, jeune égyptologue, découvre un mot mystérieux quiva l'entraîner dans une palpitante aventure archéologique: la re-cherche d'une tombe datant de trois mille ans et qui contiendraitde fabuleux trésors, plus extraordinaires encore que ceux de la sé-pulture de Toutankhamon.À l'occasion du Nouvel An 2011, elle retrouve, en Égypte, sonamant Tarek Khoury, marchand d'art et expert international, etses amis Béatrice, archéologue fantasque et François journalistefree-lance. Celui-ci enquête sur les trafiquants d'objets d'art. À Louxor, la montagne thébaine attire les pillards depuis la plusHaute Antiquité, mais aussi les scientifiques et les amateurs farfe-lus qui rêvent de découvrir une tombe inviolée. Tous ceux qu'Isisva croiser, voire aimer, sont de potentiels truands: l'égyptologuePietro Rossano, un ami pilote de montgolfière, le capitaine Allan,la famille Abdel Mansour, les Seta, employés sur les fouilles, ZakiAbas, le charismatique directeur des Antiquités, et même TarekKhoury, un affairiste.L'enquête de François et celle d'Isis se recoupent dans un savantchassé-croisé d'intrigues archéologiques et policières. Tout bascule,lorsque la Révolution égyptienne éclate.

•••••Diplômée de Lettres classiques et égyptologue, Véronique Sédroa vécu douze ans au Moyen-Orient, en Syrie et en Égypte, où ellea travaillé comme conceptrice et décoratrice de boutiques hôtels.Dans ce premier roman, elle mêle l'Égypte moderne et l'Égyptepharaonique et s'amuse à brouiller les genres littéraires: historique,policier, érotique. Voilà une fiction qui dépasse la réalité !

contact presse : [email protected]

L’auteur vit à Marrakech et Paris.

Office du jeudi 19 janvier 2017 Office du jeudi 16 février 2017 Office du jeudi 09 mars 2017Office du jeudi 26 janvier 2017

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DÉCOUVERTE JEUNE AUTEUR DÉCOUVERTE DOCU-FICTIONUN POLAR DÉTONANT...DÉCOUVERTE GRANDE PLUME

UN MONDE SANS MOIROMAN - 144 pages - Hors collectionFormat 145X190 - 15€EAN 9782367600826

•••••« C’est cela, une mère : un puits d’amour que les enfants saventne pas pouvoir tarir, même s’ils devaient y puiser par période deforte sécheresse. À moi, l’image du héros lointain, du Zeus ton-nant (pas trop quand même) et du deus ex machina. À elle, tout cefatras de l’angoisse et de la dépendance enfantines que l’on lancechaque jour à la tête de sa maman lorsque l’on appartient à la raceétrange et monstrueuse des petits d’homme.Pendant vingt ans, j’ai cherché à toucher du doigt l’héroïsme surmoult champs de bataille ; et je ne savais pas que l’héroïsme dor-mait chaque nuit à mes côtés lorsque la guerre me donnait congé. »

Au crépuscule de sa vie, un homme emprisonné dans le silence seraconte enfin. Dans sa traversée du siècle et de la guerre, sa bous-sole fut son amour d’enfance, Marie.Par sa lucidité, son humour et sa mélancolie, Michel révèle, toucheaprès touche, une histoire empreinte d’humanité, une flèche quiva droit au cœur.

•••••Franck Lucas, après ses études à Sciences Po et l’Université de la Sor-bonne, se dirige finalement vers l’aventure entrepreneuriale. Lecteur etvoyageur avant tout, il se passionne pour le roman polyphonique, pourla fusion de la poésie et de la prose. Il s’agit donc d’aller à l’essentiel, decréer des correspondances entre l’intime et l’universel.Dans Un monde sans moi, il s’inspire de la vie de ses parents et donne laparole à un homme que sa traversée violente du siècle a rendu muet.

Attaché de presse :Eric Poupet01 40 20 01 22 - 06 60 49 87 [email protected]

L’auteur vit à Paris.

LES FAVORITES DU RENÉGATROMAN HISTORIQUE - 430 pages Collection Encre d’OrientFormat 145X190 - 20€EAN 9782367600857

•••••Le comte de Bonneval, futur Ahmed Pacha, a été l’un des plus célèbres,l’un des plus doués, mais aussi l’un des plus décriés aventuriers de la pre-mière moitié du XVIIIème siècle. Brillantissime et courageux officier, unsens exacerbé de l’honneur et un tempérament sourcilleux ont, à plusieursreprises, failli le conduire à sa perte et l’ont, à chaque fois, obligé à changerde pays. Depuis lors, quelques écrits – dont des mémoires apocryphes – ont narréses trois vies successives : le service du Roi de France, l’allégeance à l’Em-pereur d’Autriche, la carrière dans l’Empire Ottoman. La plupart de cesrécits se sont contentés, avec autant de fantasme romanesque que d’im-précision historique, de rapporter la partie la plus visible de la vie de cegénéral : ses aventures militaires et ses exils successifs. Mais, jusqu’à aujourd’hui, aucun auteur ne s’est réellement attaché à lapersonnalité la plus intime du comte de Bonneval, en particulier en ana-lysant sa vie rocambolesque sous l’angle du seul sentiment qui - de façonconstante et en dépit des vicissitudes - a accompagné ses pérégrinations::une profonde passion pour les femmes et une indéfectible fidélité à cellesqui lui ont été les plus proches. Associant la vérité historique pour les événements à une vraisemblanceromanesque pour les rapports entre les personnages, c’est à travers la mé-moire des femmes de sa vie que le présent ouvrage observe l’homme horsdu commun qu’a été le comte de Bonneval, par la vision que ses « favo-rites » ont eu de ses rebondissements successifs et par l’amour éternelqu’il a su leur inspirer. Par leur reconnaissance, aussi. Car c’est grâce à l’extravagance, à la générosité et à la fidélité de BonnevalPacha que ces femmes ont pu avoir ce à quoi leurs origines ne les pré-destinaient pas : un destin d’exception.

•••••Ancien dirigeant d’entreprises multinationales, Alain de Savigny est de-venu un spécialiste de L’Empire Ottoman, l’une des plus grandes multi-nationales de l’Histoire, ainsi que de la Turquie d’aujourd’hui, piècemaîtresse dans l’échiquier du Proche-Orient. Auteur de quatre romanshistoriques sur le sujet, il a reçu un Prix Méditerranée avec mention spé-ciale du jury.

contact presse : [email protected]’auteur vit à Paris.

TOUT LE MONDE N’A PAS LA CHANCE DE CONNAÎTRE UNE FIN HEUREUSEROMAN - 192 pages - Collection Encre d’OrientFormat 145X190 - 18€EAN 9782367600925

•••••L'ouvrage que vous tenez entre les mains est le premier roman enprovenance des Émirats Arabes Unis traduit en français.À la manière d'une symphonie, ce roman commence doucement,puis le rythme va crescendo, les événements s'enchaînent à unecadence folle, jusqu'à la note finale.L'action se déroule dans le royaume d’Éden, pays fictif, mais lelecteur devine sans peine quel est le pays pastiché.Le narrateur, Ibrahim Matar, dresse habilement le portrait de sagrande famille qui, confrontée à la pauvreté dans un pays qui dé-borde de richesse, devra faire face à des problèmes beaucoup plussérieux.Iconoclaste, subversif et impertinent, l'auteur casse les codes es-thétiques et littéraires, en adoptant un style simple et clair, et dé-nonce aussi l'hypocrisie et les contradictions des sociétés arabes.Bien que le titre augure clairement du dénouement, ne vous y fiezguère ! Ce roman regorge de rebondissements.

•••••Mohamed Khamis est un auteur originaire des Émirats ArabesUnis, il appartient à la nouvelle génération d'écrivains très promet-teurs qui tente de réinventer la littérature arabe. À tout juste qua-rante ans, il est un auteur confirmé, il a écrit de nombreux romans,pièces théâtrales et scénarios. Il est très apprécié dans les pays duGolfe pour son franc-parler, son style frais et son ton irrévéren-cieux.

contact presse : [email protected]

L’auteur vit à Abou Dhabi (EAU)Traduit de l’arabe par Nesrine Briki.

RACINES D’UNE VIEROMAN - 144 pages - Collection Encre d’OrientFormat 145X190 - 15€EAN 9782367600840

•••••« Sur le chemin de la vie, je recherche les traces de ma voie. Tell’arbre qui se nourrit de terre et d’eau, notre vie se nourrit de sen-timents et d’émotions, ils sont en sont l’essence même, Une graineest jetée en bonne terre, sur place il en sort des brindilles et desracines ». Fatima contemplait son fils Madjid. Une multitude de souvenirsdéfilaient sous ses yeux. Elle lui narrait l’histoire de la famille pétriede valeurs de renoncement, d’abnégation et de résignation. « Dèslors que la graine est nourrie d’amour elle germera, fleurira etprendra racine ». Elle lui avait donné le nom de son père que la famille croyait mort.Pourtant ce dernier était bel et bien en vie. Il avait chuté de samonture et perdu la mémoire. Il avait été secouru et hébergé parun homme qui le maria à sa fille dont il eut un fils, Saïd, devenumédecin. Ce frère, par le père, pratiquera une fécondation in vitrosur Fatima qui enfantera de Madjid. Une seule question existentielle tourmentera ce dernier: celle desavoir qui était son père et quelles étaient ses racines.

•••••Romancier qatari, Hachem al-Sayyed s’est spécialisé dans le do-maine des finances et des banques et compte à son actif plusieurspublications sous forme de livres scientifiques spécialisés sur lesthèmes économiques et financiers. Il a également fait ses preuvesdans le domaine de la création littéraire avec notamment « Ha-massat Essaif » (Murmures d’été), « Nihayat Al-tariq » (La Fin dela route) et Kifaya Dhûl (Trêve à l’humiliation). Sa contributionartistique consiste en des feuilletons et des textes adaptés au théâ-tre comme « Malhamat Al Ghadr » (La Saga de la trahison) ou en-core « Malhamat Edhâd » (Épopée de la langue arabe).

contact presse : [email protected]’auteur vit à Doha (Qatar).Traduit de l’arabe par Zina Tchaf

Office du jeudi 23 mars 2017 Office du jeudi 18 mai 2017 Office du jeudi 18 mai 2017Office du jeudi 06 avril 2017

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ROMAN DÉCOUVERTE ÉMIRATI DÉCOUVERTE ROMAN QATARIROMAN HISTORIQUEDÉCOUVERTE GRANDE PLUME

PLEINE LUNE SUR BAGDADROMAN - 236 pages - Collection Encre d’OrientFormat 145X190 - 20€EAN 9782367600901

•••••Le 20 mars 2003, par une nuit de pleine lune, les États-Unisd’Amérique et leurs alliés déclenchent l’invasion de l’Irak pourrenverser le président Saddam Hussein et son régime. Au mêmemoment, de Bagdad à Casablanca, de Gaza, Tunis, Washington àParis, des destins basculent, des drames se nouent à huis-clos. Deux contrebandiers s’enfoncent dans le Najd saoudien, un cou-ple de Koweïtis se retrouve face à ses démons, des amis récitentdes vers dans une vieille demeure de Damas, un chirurgien algérienévoque la guerre, un commando mène un coup de force à Bey-routh tandis qu’un chauffeur de taxi jordanien et ses passagersfont une bien étrange rencontre dans le désert irakien. Au fil de quatorze nouvelles, l’écrivain et journaliste Akram Bel-kaïd revient à sa façon sur un moment clé de l’histoire du Moyen-Orient et, plus particulièrement, de l’Irak. Des textes indépendantsmais liés par une unité de temps et irrigués par la puissance évo-catrice de la poésie arabe.

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Akram Belkaïd, est né à Alger. Il partage son temps entre la Franceet le monde arabe qu’il sillonne depuis les années 80. Collabora-teur du Monde diplomatique, du site Orient XXI et d’Afrique Méditer-ranée Business (AMB), il est aussi chroniqueur au Quotidien d’Oran.

contact presse : [email protected]

L’auteur habite à Paris.

KABOUL CHICKENROMAN - 128 pages - Collection Encre d’OrientFormat 145X190 - 15€EAN 9782367600895

•••••« La guerre pour l’Afghanistan, c’est à Paris que je l’ai faite. An-noncer à son père qu’on a un visa pour aller faire un reportage enAfghanistan, c’est comme lui annoncer qu’on va se marier en Gui-née équatoriale : à la base, l’information est positive, mais il suffitde préciser le lieu des festivités pour que ça gâche tout. »Bridget Jones en Afghan istan aurait pu être le titre de ce livre. Partie couvrir une course de ski, la journaliste Marie de Douhetlivre avec humour et poésie un regard nouveau sur ce pays enguerre. Du chauffeur de taxi hazara qui explique pourquoi sonpeuple déteste Massoud, à l’homme de ménage qui refuse d’écra-ser une araignée pour des raisons religieuses, on apprend sur laculture afghane à travers les rencontres et les difficultés quoti-diennes d’une jeune Occidentale. Ni guide touristique, ni manuelgéopolitique, Kaboul Chicken est un autre genre.C’est l’Histoire avec des petites histoires. On rit, mais on seconfronte aussi à la complexité des échanges culturels et à leurslimites. Le ton est léger, les enjeux pas tant que ça.

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Marie de Douhet est journaliste indépendante. Elle travaille pourLe Point, Le Figaro, France 24, LCI, RTS et Sud-Ouest, sur l’actualitéinternationale et sur les sujets de société. Pendant sept ans, elle aparcouru le monde et vécu entre autres au Pakistan, en Israël, auCameroun et en Angleterre.

contact presse : [email protected]

L’auteur vit à Toulouse.

L’ENFANT VOYAGEURROMAN - 208 pages - Collection Encre d’OrientFormat 145X190 - 19€EAN 9782367600758

•••••« Le voyageur est un enfant à la taille des chemins qu’il a, bon grémal gré, empruntés ! Il est cet être qui se met au service de l’enfantet s’efforce vainement de lui épargner les douleurs du dépayse-ment : un pied là où résident les prémices de son âme, le ciel bleude sa pensée, les nuages blancs et floconneux de son imagination,la rosée de ses rêves, l’eau limpide de son regard…et un pied dansles contrées où les orages d’un destin, ni voyant ni aveugle, l’ontentraîné. Entre les deux pieds s’étale et se creuse l’abîme d’uneimpossible union de ses amours, dispersées aux quatre vents del’exil. »« Toutefois, subtile et progressive, l’œuvre du temps reste bienplus clémente que celle des humains. Aveugle et ravageuse, la ré-pression élimine les épris de liberté, de dignité et de fraternité, lesjette dans les geôles ou sur les chemins après avoir réduit leurs de-meures en ruines. Rêves d’ailleurs, désirs inassouvis et graines d’évasion qui peuplezmon éveil et mon sommeil, où irez-vous désormais germer, étan-cher votre soif et trouver un abri ? L’imaginaire, éclosion de l’esprit, n’a plus de refuge ! L’horreur,divinité insolente, insondable, maléfique et intarissable, a étoufféles cris, brûlé les larmes et figé les esprits ! »

•••••Auteur et poète français et syrien, Khaled Roumo nous livre iciun récit d’enfance dont l’intarissable et chatoyante richesse offreun contraste impitoyable avec l’effroyable tragédie que connaîtson pays d’origine. L’Enfant voyageur recèle, comme tous les écritset engagements de l’auteur, une passion pour la quête du sens quitend à triompher du règne de l’absurde.

contact presse : [email protected]

L’auteur vit à Paris.

BURKINIROMAN - 192 pages - Collection Encre d’OrientFormat 145X190 - 18€EAN 9782367600949

•••••Burkini, le titre du roman, est une juxtaposition de « burqa’ » et « bikini ».Ce mot anglais, entré dans le dictionnaire australien en 2012, désigne l’ha-bit de bain conçu par une Australienne de confession musulmane. Maisce mot exprime surtout le penchant double et contradictoire de l’héroïne,qui tente de se libérer par l’art, en peignant des corps presque nus, touten restant conservatrice puisqu’elle-même porte le voile. L’histoire d’une jeune peintre, vivant sous son voile, un conflit ignoré detous, partagée entre son beau physique et le voile qui le cache.L’auteur ouvre les portes de l’équivoque de la femme voilée avec soncorps. Le roman n’en perd pas moins sa dimension sociale : il révèle unecertaine conception de la femme au sein de la société orientale, souventperçue comme un objet de honte et de désir. À la différence des autresromans arabes, l’héroïne ne se sent pas victime de la société patriarcale :c’est une femme libre qui choisit délibérément de se voiler tout en regret-tant ce choix.Avec Burkini, Maya el Hajj fait renaître l’atmosphère des années 60-70,au cours desquelles les idées de gauche émergent, faisant apparaitre unconflit entre liberté et traditions, avec des romans comme J’existe de LeilaBaalbaki, ou Rebelle de Ghada Samman. Bien que le lieu où se déroulel’action ne soit pas mentionné, on comprend qu’il s’agit d’une société cos-mopolite, libre et ouverte, néanmoins rattachée au monde arabe où lescourants salafistes progressent, comme c’est le cas à Beyrouth.Paru en 2014, Burkini résonne avec l’actualité. Sa version française contri-buera à éclairer la question du port du voile dans la société contempo-raine, dès lors que le roman brise un tabou existant autour de la « femmevoilée », ses phantasmes et son corps.

•••••Maya el Hajj est journaliste littéraire pour le quotidien panarabeAl Hayat. C'est son premier roman.

contact presse : [email protected]

L’auteur vit à Beyrouth (Liban).Traduit de l’arabe par Antoine Jockey

Office du jeudi 01 juin 2017 Office du jeudi 15 juin 2017 Office du jeudi 15 juin 2017Office du jeudi 08 juin 2017

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DÉCOUVERTE ROMAN SYRIEN DÉCOUVERTE ROMAN LIBANAISDÉCOUVERTE ROMAN GIRLYDÉCOUVERTE NOUVELLES