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La lettre de Guillaume Larrivé, conseiller régional de Bourgogne, conseiller municipal d'Auxerre - Mai 2011

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La lettre de Guillaume Larrivé, conseiller régional de Bourgogne, conseiller municipal d'Auxerre. Edition de l'Auxerrois, la Puisaye, la Forterre, l'Aillantais et du Coulangeois. Mai 2011.

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Page 1: La lettre de Guillaume Larrivé, conseiller régional de Bourgogne, conseiller municipal d'Auxerre - Mai 2011

La lettre de Guillaume Larrivé conseiller régional de Bourgogne, conseiller municipal d’Auxerre

Numéro 1 – Mai 2011 – Edition de l’Auxerrois, la Puisaye, la Forterre, l’Aillantais et du Coulangeois

Edito

A votre service

Depuis quelques années, un dialogue s’est

engagé entre nous. Je vous propose de le

poursuivre et de l’approfondir.

Vous m’avez élu au conseil municipal

d’Auxerre et au conseil régional de

Bourgogne.

Je tiens à vous rendre compte de mon action.

Je me bats pour faire avancer - à Paris, à

Dijon, à Auxerre - les dossiers qui engagent

l’avenir de l’Yonne. Je m’efforce de mobiliser

les crédits nécessaires pour accompagner les

projets des élus, des associations, des

agriculteurs, des entreprises.

Parce que je travaille depuis six ans au sein de

l’équipe gouvernementale, je peux faire

entendre la voix des Icaunais dans les lieux

de décision – main dans la main avec notre

député Jean-Pierre SOISSON, le ministre Henri

de RAINCOURT et les sénateurs Pierre

BORDIER et André VILLIERS.

Ma conviction est que nous devons renforcer

Auxerre, car elle ne joue pas suffisamment le

rôle d’une vraie capitale économique

départementale. Mais nous devons, dans le

même temps, préserver l’identité de chacun

des territoires.

Et je tiens à ce que l’harmonie de la Puisaye et

de la Forterre soit sauvegardée, car nous

devons préparer l’avenir tout en restant

fidèles à nos traditions.

C’est un travail d’équipe, qu’il faut poursuivre.

Jean-Pierre SOISSON m’a demandé de devenir

son suppléant à l’Assemblée nationale, lors des

élections législatives de 2002. Je lui ai, ensuite,

succédé au Conseil régional de Bourgogne.

Ensemble, nous sillonnons les routes du

département. Je m’inscris dans sa démarche, à

l’écoute des habitants et des élus de l’Yonne.

Je suis à votre service, aujourd’hui et demain.

Page 2: La lettre de Guillaume Larrivé, conseiller régional de Bourgogne, conseiller municipal d'Auxerre - Mai 2011

A votre rencontre…

Je vous reçois sur rendez-vous et lors

de permanences à Auxerre et en

Puisaye.

Mon bureau à Auxerre : 15 rue de

Valmy.

Mon téléphone : 03 86 48 37 88.

Tous les derniers samedis du mois, à

partir de 10 heures, je tiens une

permanence à la mairie de Toucy.

… et sur internet

Site : www.larrive.com

E-mail : [email protected]

Facebook : www.facebook.com/guillaumelarrive

Twitter : twitter.com/glarrive

Mes priorités

���� Pour Auxerre et les communes de

l’Auxerrois : la priorité n°1, c’est de lutter

contre le déclin économique. Auxerre

s’appauvrit. Je refuse la fatalité. Je veux faire

avancer les grands chantiers permettant de

désenclaver la ville (contournement sud,

liaison routière Troyes-Auxerre). Je veux faire

d’Auxerre une vraie capitale départementale,

attractive, innovante et accueillante. Et je

veux que, dans tous les quartiers d’Auxerre,

chacun puisse vivre tranquillement, en toute

sérénité.

���� Pour la Puisaye et la Forterre : la réforme

des collectivités locales est en cours. Grâce

au sens de l’intérêt général dont font preuve

les élus, nos territoires ruraux seront

renforcés. La Puisaye et la Forterre ont su

sauvegarder leur art de vivre, tout en

préparant l’avenir. Je suis fidèle à cet

héritage et à cette ambition. Nous devons,

demain, améliorer encore les services rendus

à la population (logements, médecins, haut

débit, équipements pour les familles…).

� Pour l’Aillantais et le Coulangeois : je

veux accompagner les efforts des élus pour

que ces territoires se développent

harmonieusement, en respectant l’environ-

nement et en mettant en valeur leur

patrimoine.

Mes valeurs

Pour la France, je suis convaincu qu’il faut

poursuivre les réformes courageuses entreprises

par le président Sarkozy et le gouvernement de

François Fillon. Ils ont su préserver les intérêts

des Français, en faisant face à la crise

économique et financière mondiale la plus grave

depuis l’après-guerre. Le cap est clair : respecter

le travail, affirmer l’autorité de l’Etat, maîtriser

les dépenses publiques.