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ELLE EST PAS BELLE LA VIE ?! Février 2014 - n° 51 - www.lebonbon.fr PARIS 18 e

Le Bonbon - Paris 18eme - Février 2014

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Découvrez le magazine Le Bonbon Paris 18eme arrondissement du mois de Février 2014

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ELLE EST PAS BELLE LA VIE ?!

Février 2014 - n° 51 - www.lebonbon.fr

PARIS 18e

Photographe!: Flavien Prioreauwww."avienprioreau.com "[email protected] photo!: Bettina Armandi-Maillard Modèle : Thomas Bonnet, joueur de foot au Bonbon FC

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PrésidentJacques de la ChaiseRédacteur en chef

Raphaël Clément BreuilAssistante rédac chef

Justine Knapp Graphiste

Gaëlle LepetitSecrétaire de rédaction

Louis HaeffnerStagiaire

Julia InvernizziRejoignez-nous

[email protected]

[email protected] 48 78 15 64SAS Le Bonbon

12, rue Lamartine Paris 9e

SIRET 510 580 301 00032Imprimé en France

Chère Scarlett Johansson,

J’avoue, tu nous as tous mis une bonne fessée lorsque tu as déclaré dans la presse américaine que nous autres, Parisiens, étions des gens pas très cools, limite agressifs, mal éduqués, bref des gros blaireaux. Damned. L’heure est grave. Scarlett (tu permets que je t’appelle Scarlett!?), j’aimerais juste savoir dans quel coin et avec qui tu traînes. Tu sais, des glandus, y’en a vraiment partout et je mets ma barbe à raser que tu n’as pas encore découvert le Paris «!made in Bonbon!».Voilà l’instant précis où je vois tes jolies lèvres se mouvoir, et où je t'en-tends dire avec une moue interrogative!: «!made in Bonbon!?!». Oui Scarlett, le Paris «!made in Bonbon!». C’est le Paris que tu trouveras dans nos magazines, tu verras, on est un peu des obsessionnels compulsifs, on met des «!bons!» partout (bons plans, bons shops, bon homme, bon potin… etc), sans doute parce que nous sommes des éternels optimistes.Et tu sais, vu qu’on est des gros fans de ta "lmographie, on te propose même d’être notre bonne étoile du mois prochain (tu n’imagines pas la chance que tu as).Et puis tiens, nous sommes en février, le hasard fait bien les choses, passe donc à la rédaction le soir de la Saint-Valentin, on te préparera un bon repas avec les meilleurs produits du quartier grâce aux coupons de nos potes les commerçants. Peut-être, je dis bien peut-être, que commencera pour toi une vraie romance avec la capitale.

MPK

PS : If you agree on doing the zine cover, don't hesitate to contact me#! [email protected]

La référence de l’aquabiking individuel2, rue de Turin - 8e / Tél.#: 09 83 75 66 75

Du lundi au vendredi de 8h à 20h30 / Samedi 10h à 17hliegesaintlazare.waterbike.fr*Voir conditions en magasin

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Mardi au samedi 10h - 19h30 Dimanche 11h - 19h30 Facebook#: ateliernota

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#Depil techLe bazar Exquis

Victor

Bérangère Krief Raw Vision

Tinariwen

Les Cadets

Frequence School

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La GRRRRR session revient le 13 février pour sa neuvième édition déjà. Après un passage chez Raymonde le mois dernier, c'est à la Petite Taverne que les amateurs de bières se retrouveront. Aux platines, Dresde, jeune Dj mélangeant house chaleureuse et techno brute, fera vibrer votre mousse.

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Luz, dessinateur à Charlie Hebdo, et Sarah Constantin, chanteuse, journaliste et scénariste de BD, ont dessiné une série de croquis et de dessins réalisés sur des bibles écrites en latin. Un pari osé que vous déciderez (ou pas) de relever en vous rendant à cette expo décalée pour 10$, ou 6$ pour les étudiants. Le plus!: c'est ouvert jusqu'à 2h, une occasion pour les noctambules de se cultiver (un peu).

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Au programme de la soul, une basse funky, un parfait cocktail mixant électro, hip-hop et indie rock à la Caiman Philippines, histoire d'être sûr de passer une bonne soirée sans plan galère. Le concert est à 21h00 et coûte 6$, vous n'aurez donc pas d'excuses.!Le club quant à lui est ouvert à partir de 00h30 pour 20$ avec 2 consos, de quoi prolonger la soirée sur de good vibes.

Jean-Nicolas Meiffret Texte Photos Florie Berger

permet de donner de la vie et de regarder travailler l’équipe. On peut donc voir le chef Thomas Liard s’éclater sur ses créations, un plaisir qu’on retrouve dans l’assiette.

Le chef et Yann sont catégo-riques!: une carte courte, des produits de saison, la part belle aux libres inspirations. Ici, c’est cuisine de marché et véri-table recherche sur la qualité des produits, comme l’illustre parfaitement cette côte de bœuf de Galice pour deux (1,2kg minimum) avec minimum 50 jours de maturation. La Rolls-Royce de la viande pour 68$, vous pouvez vous accrocher avant de trouver des prix comme ça!ailleurs#!

À notre passage, un velouté de topinambours à la vanille, des poireaux vinaigrette fringants dans leur assiette, œuf mollet parfait, mais aussi "let de bar nacré sur risotto moelleux, volaille fermière, estragon et pommes de terre sautées. Pour les gourmands, on termine avec

une tarte au citron meringuée ou un magni"que comté af"né 24 mois. E/P/D à 32$, que demande le peuple!?! L’adresse est éga-lement brûlante à midi avec une formule à 14,50$, entrée à la carte et plat du jour. Exemple!: un magni"que pavé de rums-teack, salade de jeunes pousses, oignons marinés au vin rouge et au vinaigre, sauce champignons carottes relevée au poivre et pommes de terre grenailles fon-dantes à souhait.

Le soir, pas de réservation pour le deuxième service. On passe à l’improviste, on s’installe au bar pour siroter un verre de vin parmi une carte complète, éclectique, et on écoute un peu de bonne musique avant de passer à table. Une bonne nouvelle!? Tous les mardi soirs c’est coupe à volonté pour les "lles!!

Aux manettes de cette nou-velle enseigne on retrouve Yann Raguénes dans le rôle du taulier, Grégoire Galian et Matthieu Siboni (fondateurs de l’agence de prod' musicale Schmooze). Notre Yann est un vieux de la vieille, il a déjà roulé sa bosse avec Le Mati-nal (rue Lepic) et le café Burq. Avec Victor, ils ont concocté un restaurant agréable, intimiste et à la décoration supra-quali’. On adore le style, à mi-chemin entre design épuré et chaises récup’ chinées aux puces. Service relax mais très pro et géniale cuisine semi-ouverte, qui

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Raphaël Breuil Texte Photo#Marie Planeille

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Tinariwen, ce n'est pas un groupe, la formation n'étant jamais "xe, les membres jamais identiques. Ce n'est ni de la "world music", pour la simple et bonne raison que ce terme est une honte, pour commencer, et que c'est autant de la world music que le serait Hervé Villard dans l'Himalaya. La musique est peut être envoûtante, mais ras-surez-vous, Tinariwen n'est pas une secte non plus.

Le rendez-vous était "xé dans le 19ème arrondissement, rue Jean Jaurès, dans un appart’ que leur attachée de presse, Frédérique, avait loué pour l’occasion. «!C’est beaucoup mieux qu’à l’hôtel!» me glisse-t-elle. Effectivement, je ne pense pas qu’il aurait été possible de mettre autant de gens dans un si petit espace au Novotel. Dans la cuisine sont assis les doyens, des quinquagénaires présents dans le groupe depuis la création, les autres anciens préférant rester dans le désert et laisser les jeunes faire la tournée et répondre aux questions de ces maudits journalistes. Fuite du music business ou fatigués de faire la promo!? La décence fait que je ne poserai jamais la question.

Tous fument des cigarettes et boivent du thé, en écoutant sur un iPad la transmission d’un poète qui récite des vers en tamasheq. L’un d’entre eux les note et le traduit dans sa langue d’origine d’une complexité incroyable. Dif"cile de croire que ces vieillards sympathiques côtoient les plus grandes rock

stars américaines et se lancent dans une tournée mondiale. Dans la pièce principale, les plus jeunes, assis sur des lits dissémi-nés au quatre coins de la pièce, fument des cigarettes et boivent du thé. «!Ils tournent à ça là-bas, clopes et thé!», me con"e Frédé-rique. Eux sont peu bavards, mais on sent la gentillesse dans leurs yeux et l’accueil est chaleureux. On écoute l’album dans l’appar-tement en jouant aux dominos. «!À la fenêtre les cigarettes!», conseille Fred. «!Oui, oui!», dit le percussionniste en rigolant, sans trop s’exécuter. Je fume des clopes avec eux et accepte un thé. Je ne sais pas si vous vous rappelez de votre première gorgée de bière ou de café, mais l’effet de la boisson chaude était similaire, moi qui m’attendait au thé à la menthe du couscous du coin… La politesse m’oblige à sourire même si tous savent que mes papilles ont passé un sale quart d’heure. Et puis au bout de la troisième goulée, on se prend à avoir envie d’une quatrième, puis d’une cinquième.

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En fond sonore, toujours Emmaar. La musique est géniale, la production est incroyable. L'énergie du désert à l'état pur… Tout simplement peut-être parce que le disque y a été enregistré. À Joshua Tree précisément, le temple sans murs du rock stoner, démocratisé par Kyuss dans les années 90 et plus récemment par Queens of The Stone Age. Le mixage est signé Vance Powel, le producteur de Jack White. Et pourtant, ce n’est pas de la grosse production tape à l’œil qui dénature le produit original. L’Amérique n’apporte à Tinariwen qu’une profondeur de plus à la puissance de leur musique. Et

puis ça reste dans un désert, c’est tout ce qu’il leur fallait.

Plus je dominote et parle avec eux, plus je m’aperçois que chaque rencontre qu’ils font se transforme en amitié forte. De Fredérique, leur attachée (c’est le cas de le dire) de presse qui les suit depuis 10 ans et possède maintenant une maison avec vue sur mer de sable, à Flea, le célèbre bassiste des Red Hot Chili Peppers, qui offrit au bas-siste une magni"que Fender de 1959 avec laquelle il joue encore, en passant par ce journaliste de RFI, qui après un reportage sur le terrain, revient quelques années

après et pro"te de son voyage à Paris pour leur présenter son "ls. Je pense de plus en plus à aller habiter dans le désert. Est-ce la rencontre!? À moins que ce ne soit cette odeur suspecte sortant de la cigarette qu’on me propose!? Rendez-vous le 11 mars au Trianon pour en avoir le cœur net.

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Ici, pas de bling-bling ni de toc. Tout est d'une extrême "nesse, pureté et sobriété#: «#Je fais des bijoux atemporels, qu'on peut porter tous les jours, tout le temps. Je ne fais pas de grandes séries, ni de collections, je préfère renouveler régulièrement mes produits en fonction de ma créativité du moment.#» Chaque élément est traité de façon indé-pendante, au coup de cœur. Tout le monde y trouve son compte#: «#mes clientes sont aussi bien des jeunes "lles de 20 ans, que des femmes d'une soixantaine d'an-

nées#», nous con"e Victoria.Des bijoux, mais pas que#: des écharpes et des cravates en cachemire ornent le présentoir#: «#J'ai découvert mon fabricant lors de mon voyage de noces au Népal. Nous travaillons ensemble depuis maintenant 2 ans.#» Derniers nés de sa collection, ses luminaires#! «#Je pense que beaucoup du Bazar Exquis s'est fait par le hasard des belles rencontres.#» Modeste Victoria, quand on sait qu'elle s'occupe de la conception, du choix des matières et matériaux, ainsi que de la fabrication. Conséquemment, au Bazar Exquis, rien n'est laissé au hasard. La décoration est aussi

raf"née que les créations qui y sont présentées. «#J'aime qu'on se sente bien, c'est très impor-tant pour moi.#» Des œuvres de ses proches sont af"chées sur les murs colorés, en harmonie totale avec l'ambiance subtile et distin-guée de la boutique. Et en plus, une fois par trimestre, le Bazar Exquis vous propose des vernis-sages, apéros et autres surprises. Restez informé sur les réseaux sociaux et sur le site internet.–

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On vient pour des désordres de tous types, pour différentes maladies, pour prendre soin de soi, et surtout à cause du stress. «!Les gens sont très angoissés, encore plus à Paris!», nous explique-t-elle. Pas besoin d'avoir de petits ou gros bobos, le shiatsu est aussi une façon de les prévenir.

Cette technique japonaise

consiste à faire pression sur des points, auxquels correspondent des %ux d'énergie dont il faut maintenir l'équilibre, le maître mot du shiatsu. Le toucher, lui aussi, est primordial!: «!Je ne suis pas une guérisseuse ou un fakir. Je suis simplement à l'écoute de mon toucher et de la façon dont le corps y réagit, précise Valérie.!En Occident on a du mal à saisir cette importance. Il est perçu comme quelque chose de!bizarre et d'intrusif.!»

Valérie écoute vos problèmes et vos besoins avant de commencer la séance sur un futon, allongé et habillé. Des pressions sont exercées sur tout le corps, avec les doigts, les coudes ou les pieds pendant une heure. «!Les clients me disent souvent qu'ils

sentent en"n leur corps.!»

La séance se déroule au cabinet, sur votre lieu de travail ou même à votre domicile, les rendez-vous sont très %exibles. –

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Tarif!adulte!: 50 euros (1h) Étudiant!: 35 euros Enfant!: 30 euros (30 min) À domicile!: 70 eurosEntreprise!: 20 euros par per-sonne pour un minimum de 5 personnes (15 min).

Camille Clance Communiqué Photo Florie Berger

La première question qu’on se pose forcément lorsqu’on envi-sage un tel processus, c’est celle de la technique. La lumière pulsée a l’avantage par rapport au laser d’être moins destructrice (aucune cicatrisation) tout en apportant les mêmes résultats lorsque les bons protocoles sont appliqués.

En fait, la lumière pulsée, inven-tée en 1972, est tout simplement une amélioration du laser. Cette lumière a été "ltrée des rayons UV pour écarter tout effet néfaste. Environ 40 réglages sont dispo-nibles selon la couleur de votre peau pour un résultat optimal.

L’espace est design, clair, cha-leureux. Le petit salon d’attente donne tout simplement envie de se préparer un expresso en feuilletant un magazine de déco (ou un Bonbon – soyons corporate).

Chez Depil Tech on ne se contente pas d’envoyer paître vos ennemis pileux (pour tou-jours!!). On vous reçoit, vous conseille, vous oriente. Toute prise de contact débute par un entretien personnalisé. Si vous ne présentez aucune contre-indication, vous êtes éligible à un processus de mise en beauté radical!!

L’équipe, professionnelle et accueillante, saura vous orienter

sur les prestations adéquates. Formées en photothérapie, Sophie et Ophélie aiment à considérer leur rôle de conseil au moins autant que celui de prestataire esthétique.

Dépil Tech propose ainsi des forfaits illimités et s’avère être le seul institut du genre à garantir un résultat. Avec une moyenne de 6 séances par zone à épiler, il faut compter environ une année pour venir à bout des poils incriminés, à raison d’une séance tous les deux mois (comptez entre 30 et 50 minutes par séance). Dès la première séance, la surprise est de taille. On perd près de 20% de ses poils à chaque fois. Et dès la première fois c’est un (fantastique) choc. Ensuite, la repousse est de plus en plus "ne.

Comptez à partir de 33$/mois pour une épilation dé"nitive des aisselles.

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Mathilde Saliou Texte Photo Les Cadets

Les cinq artistes viennent d’un peu tous les horizons#: Anna Ley-mergie est architecte d’intérieur passée par Camondo, tandis que Violaine d’Harcourt revient de la Scuola Politecnica de Milan. Charlotte Arnal est, entre autres, scénographe sur des dé"lés new-yorkais, parisiens ou milanais. Hélène Degonzague et Guillaume Roguat, quant à eux, avaient déjà exposé pour des événements comme les Designer’s Days. Des

parcours divers qui permettent aux designers de la rue Cadet de présenter des œuvres qui ne se ressemblent pas. Pour autant, toutes suivent la même idée.

Car le charme des Cadets réside bien dans leur vision du design!: une constante réadaptation d’objets quotidiens, ou issus du design industriel. C’est la crise, certes, mais cela ne nous oblige aucunement à vivre dans un environnement gris et maussade. Bien au contraire. Et comment mieux lutter contre qu’en se fabriquant un chez soi cosy!? Cette idée guide ces représen-tants de la nouvelle génération qui, ensemble, conçoivent leur travail comme «!une médecine douce, un design doux!» contre la déprime ambiante.

Et l’on retrouve de cette douceur dans toutes les créations du collectif. La lampe L, d’Anne Leymerie, a par exemple la particularité de s’accrocher

aux angles. Comme une source lumineuse qui viendrait se blottir contre les objets qui l’entourent. Une certaine forme de poésie est également présente dans les œuvres d’Hélène Degonza-gue, dont tables et tabourets s’inspirent des origamis, pliures de papier léger auxquelles on peut désormais s’attabler. Quant à Violaine d’Harcourt et sa réin-terprétation des réverbères avec Lampione, si leur inspiration vient de la rue, elle n’utilise que des matériaux nobles, verre souf%é et bois de frêne.

À l’angle de la rue Cadet réside donc un joyeux collectif plutôt représentatif du slow design!: point d’objets qui ne passeront pas l’hiver, mais des créations faites pour durer, pour s’adapter à leur environnement.

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Le Montmartre de Picasso, c’est encore un village où s’alternent champs et potagers. C’est déjà celui des fringues folkloriques, du foisonnement artistique, des rencontres incessantes entre peintres, sculpteurs, écrivains et autres riverains.

L’artiste, qui peint ses pre-mières toiles à huit ans, entame

réellement sa carrière en 1889. Très vite, il vient à Paris avec son ami Casagemas, et s’installe dans l’atelier du peintre Nonell, à Montmartre. Il s’esquive du quar-tier "n décembre 1900. Casage-mas s’est suicidé. L’événement l’a si profondément marqué qu’il est à l’origine de sa période bleue, dont la toile Mort de Casagemas est fondatrice.

Il revient quatre mois plus tard#: au 130 ter, boulevard de Clichy, il donne libre cours à ses créations bleues, des toiles qui montrent le plus souvent la mort, la vieillesse ou la pauvreté, sans pour autant s’empêcher d’être satiriques.

En 1904, c’est au Bateau-Lavoir qu’il élit domicile. Le 13 de la place Emile-Goudeau a vu passer une joyeuse compagnie: lieu de rencontre depuis 1882, on y a croisé Paul Gauguin, Modigliani, Max Jacob et d’autres. Picasso est dans sa période rose, il peint

des arlequins et des clowns, beaucoup. Mais avec son copain Braque, il décide bientôt de se lancer dans une recherche sur la géométrie des objets qu’il représente. En 1907, il présente à l’atelier Les Demoiselles d’Avi-gnon – encore appelées El Burdel de Aviñon – qui deviennent l’un des exemples du mouvement cubiste.

Ensuite, Picasso s’échappe. Il voyage beaucoup, fait des in"-délités au 18e en s’installant bou-levard Raspail, penche sérieu-sement vers le Surréalisme sans oublier de s’engager politique-ment!: l’illustre Guernica "gure l’horreur de la guerre et la colère du peintre face aux massacres. Fervent paci"ste, il adhère au Parti Communiste Français en 1944. Il n'empêche que le Picasso de Montmartre reste le jeune peintre, celui aux toiles en bleu, en rose et en cubes.. –

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Restaurant italien41, rue Pierre Fontaine - 9e / Tél.#: 01 48 74 56 26

Facebook#: Dulcinea / Du lundi au dimanche de 11h à 23h45

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Mourmourou, j’ai hâte ;-)

Arnaud Chaillou Texte Photo Julien Weber

Bérengère,!peux-tu te présenter aux lecteurs du Bonbon?Je m’appelle Henri Salvador, j’ai 112 ans et je pratique le lancer de marteau-piqueur#! Voilà, comme vous avez pu le constater avec cette présentation factice, je suis humoriste, je suis également une "lle depuis 30 ans et 9 mois, je me produis actuellement dans mon One Woman Show au Grand Point Virgule.

Quel est ton parcours"?J’ai un parcours hyper classique en terme de scolarité. J’ai eu mon bac L (parce que j’étais vrai-ment trop une quiche en maths) puis j’ai été à la fac. Ensuite, je me suis inscrite à l’Acting Studio à Lyon. Comme je dis toujours, c’était comme la Star Ac', sauf qu’on nous voyait pas à la télé nous laver les chicos#! À partir de là, je n’ai plus changé d’avis, j’ai décidé de devenir comé-dienne!!!En 2006, je monte vivre à Paris, prends des cours de théâtre, puis passe mon temps chez Starbucks, mais pas façon Sex and the City puisque j’y sers

des cappuccinos… Et puis un jour, j’en ai marre d’écrire des prénoms pourris sur des tasses, je décide de faire un One Woman Show#! La première est le 24 juin 2009, je suis pétri"ée mais l’aventure est lancée#!

Justement, parle-nous un peu de ton spectacle si tu veux"!Carrément#! Je dirais que je suis une humoriste cupcake, c’est-à-dire que je parle des hommes et des femmes mais de façon girly#: j’adore Montaigne et l’avenue Montaigne, j’aime beaucoup Voltaire surtout quand il est en duo avec Zadig#! Je tiens à préciser quand même que GIRLY! n’est pas un vilain mot et qu’il ne signi"e pas «!aucun intérêt pour les garçons!»#!

Merci Bérengère, on note bien que tous les mâles sont les bien-venus alors"!

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On entre dans une salle obscure. À gauche, le genre de dessins qui fait se demander comment une œuvre est décrétée «!Art brut!». «!Maman, t’as vu, on dirait les dessins de Marie.!» Marie ne doit pas être très vieille. À droite, des toiles fantasmagoriques de Donald Pass, peintre qui s’est cantonné à des représentations bibliques après avoir eu une vision. Haute comme trois pommes, ça m’aurait plutôt fait %ipper. Le gamin se balade, tirant sa mère de ci, de là. Il s’arrête devant de grandes toiles tout en symétrie. Finalement, il revient aux machines de François Mon-châtre, jolies «!constructions poétiques!». Si la bibliothèque s’effondre, là, c’est parce que

l’artiste s’est inspiré d’un fait divers. «!Mais la dame, elle est morte!? Non, ne t’inquiète pas, on l'a trouvée à temps.!»

À l’étage du dessus, une "lle observe les sculptures de Dalton Ghetti. Je souris en la voyant se pencher tout près des œuvres. En fait, c’est obligatoire pour bien voir!: l’artiste modèle des mines de crayons. Un alphabet entier, le contenu d’une armoire ou d’un cimetière, le tout en mines de plomb. Détails sur 2,2 mm2. Un éclat de rire fuse quand un autre gamin comprend que les sculptures, plus loin, sont faites à partir de capsules de bières. Et puis les fusils d’André Robillard méritent le détour, composés

de boîtes de sardine, de vieux jouets Oui-oui et autres résidus de décharge.

Dessins enfantins côtoient visions mythologiques, la symétrie des uns se heurte aux délires tarabis-cotés des autres, les inspirations tribales des premiers se mêlent aux critiques de la société occi-dentale des seconds. Bon. L’Art brut a le mérite d’être ludique.–

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Lundi au vendredi!: 11h-18hSamedi!: 11h-19hDimanche!: 12h-18h

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Avec ma grosse touffe, je demande à Stéphane de désépaissir à gogo. J’en ai marre d’avoir un casque sur la tête, je galère même sous la douche. Que nenni!! Cette mauvaise habitude a tendance à abimer les cheveux et à les faire mourir. Bon, à 30$ la coupe, j’ai une leçon de coiffure en plus. Je me fais chouchouter, mes cheveux tombent comme la pluie en Bretagne et on discute comme deux vieux copains. Au bout d’un moment, Stéphane fait pivoter ma chaise et je me retrouve nez à nez avec le Dark Vador des bacs à shampoing. Un vaisseau amiral noir auréolé d’un bandeau led qui change de couleur. Il m’emmène là-dessous, je lui demande s’il compte me faire griller les neurones. Fausse alerte, c’est

juste une création ultra-design de l’artiste Karim Rashid, le gourou de la déco d’intérieur. Un shampoing relaxant plus tard, retour aux affaires. Il me sèche les cheveux et achève les "nitions de la coupe pas à pas. J’ai survécu, et pour une fois, je ne mets pas ma capuche en sortant. J’ai même eu un câlin de Vodka, chien/hôtesse d’accueil, qui passe en ce moment son diplôme de shampouineuse pro.C’est bon, j’ai trouvé mon coiffeur. –

Je rentre dans un petit salon intimiste, discrètement niché au détour de la rue des Martyrs. Ici on coupe les cheveux des hommes depuis 50 ans, j’ai atteint le nirvana de la coupe pour homme. J’ai même le droit à un authentique siège barbier, installé ici depuis 1973. D’un coup, Stéphane dégaine ses ciseaux et commence à tailler à tout va. Intense moment de panique. Dans quel bourbier je me suis fourré… Mais non, me rassure-il. La coupe à sec permet de contrôler l’évolution de la coiffure et de mieux dompter épis et cheveux bouclés. J’adore, c’est total gatage.

Jean-Nic & Julia Sélection Photos DR

• 23Paris Ouest

Bougie Keith Haring parfumée à la menthe, La Ligne Blanche, 32,50$Masters of sex, à télécharger (illégalement ou pas)…Nues, Willy Ronis, 59 photos, édition Terre Bleue, 39$Sex toy Pure wans, Soft Paris, 115$T shirt Cucul la praline, La Cie Vantis, 20$ en soldeVendôme, Louboutin, 450$Bracelet menottes, Dinh Van, 450$Champagne Janisson & %is, 26,50$Le Mâle, Jean Paul Gaultier, à partir de 47,20$

24 •

TournageMichelangelo Antonioni

Rien que des mensonges, de Michelangelo Antonioni, 1983. Ed. Jean-Claude Lattès

Le projet de Frequence School est clairement pédagogique!: éduquer à la citoyenneté grâce à l’exploitation de moyens audiovisuels. À l’origine de cette jolie idée, une équipe formée par Mélanie Antoine, journaliste, Tho-mas Belchi Serrano, comédien, Laura Ben Hayoun, documenta-riste et productrice et Romain Lamy, journaliste illustrateur. Ils organisent leurs ateliers autour de thématiques précises, comme la découverte professionnelle,

Mathilde Saliou Texte Photo DR

l’environnement, la sécurité…Lycées professionnels, éco–res-ponsables ou de Zones d’Édu-cation Prioritaire peuvent donc se voir investis pour former des reporters d’un jour. Les ateliers permettent effectivement de monter une émission radio ou de réaliser un JT dans son entier. Ces projets permettent aux participants de découvrir toutes les facettes du monde de la radio et de la télévision#: on se glisse dans la peau du réalisateur, du monteur, du journaliste ou du technicien du son!; on assiste à la conférence de rédaction, on réalise des reportages, on monte les images… Tout est possible!!

L’association n’hésite pas à revenir à des formats moins usités pour attiser la curiosité des jeunes. Ainsi peuvent-ils participer à la création de "c-

tions radiophoniques, un format un peu tombé dans l’oubli avec l’apparition des écrans. Les élèves deviennent alors écrivains, créateurs d’ambiances sonores ou acteurs.

Et puis, le groupe est aussi à l’ori-gine du projet Les Voix de la ville. Des audio-guides pour découvrir le quartier comme le vivent ses habitants. Déambulez dans les rues de la Goutte d’or au son des voix de ses riverains, vous décou-vrirez un quartier insoupçonné#!

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Vous foncez tête baissée et cela peut vous porter préjudice. Ne manquez pas de discernement face aux opportunités professionnelles qui vous sont proposées. Et ne vous inquiétez pas, votre mois ne sera pas si pourri. Vous ferez une belle rencontre qui se soldera par une histoire d’amour passion-nelle. En revanche, pour les couples, c’est la tem-pête qui se lève!: soyez à l’écoute de votre conjoint qui réclame en ces temps de grand froid beaucoup d’attention. Niveau "nances, calmez-vous!!

Après un mois de janvier dif"cile, vous voyez en"n la lumière au bout du tunnel. Au travail, votre petit collègue préféré daigne en"n vous regarder après tous vos efforts. Adieu les galères, bonjour l’idylle!! Mé"ez-vous tout de même de la jalousie qui plane au-dessus de cet amour parfait. Heureux en amour, malheureux en compte bancaire. Même si l’adage est approximatif, ce qui est sûr, c’est que vous êtes dans le rouge côté "nances. Calmez-vous sur les sorties à rallonge, arrêtez un moment les excès et reposez-vous!!

Le travail que vous fournissez est récompensé, vous n’avez pas passé des nuits blanches pour rien, tout ça sera suivi de belles opportunités. En couple, vous serez à l’aise et bien dans vos sneakers achetées en soldes au Citadium. Célibataire, c’est un peu le %ou, vous ne savez plus où donner de la tête. Prenez une décision une bonne fois pour toutes, et vous improviserez ensuite. Ce mois-ci sera également fructueux niveau chance, entreprenez et jouez avec le hasard, vous risquerez de voir votre vie changer.

Lâchez prise. Il fait froid, vous êtes surmené. Pensez à vous détendre et à vous ménager durant cette période hivernale, mais surtout déléguez sinon vous ne tiendrez pas le cap. Réfugiez-vous dans les bras de votre amoureux ou de votre amoureuse avec qui la météo sera au beau "xe. Célibataires, soyez attentifs, quelqu’un de votre entourage pourrait vous surprendre. Et si vous ne pouvez plus suppor-ter de voir la tête de François chaque matin dans l’open space, prenez votre mal en patience, tout va bientôt changer.

Sauvageon, sauvageonne, soyez à l’affût de la moindre opportunité qui pourrait vous faire décoller vers de nouveaux horizons. Au détour d’un kiosque à journaux, d’un portant H&M ou en sortant du ciné, vous pourriez bien être surpris. En couple, tout se passe plutôt bien mais restez sur vos gardes, on ne sait jamais. Restez au chaud pour ne pas attraper froid et prenez soin de vous, cela vous fera du bien. Au boulot, vous vous entendez bien avec votre équipe!: un exploit!! De nouveaux projets seront à votre portée.

Vous vous montrez vraiment trop borné dans vos histoires de cœur, quitte à délaisser vos potes. Changez un peu d’air, cela ne peut que vous faire du bien. Et surtout, décrochez votre téléphone pour pro"ter d’une bonne raclette avec toute la clique. Cela dit, une fois que vous aurez renoué les liens du passé, des rencontres avec de nouvelles personnes pourront vous faire évoluer. Aller de l’avant, oui, mais en ne négligeant pas le reste. Côté boulot vous êtes toujours à fond, continuez comme ca.

• 27

Il ne faut pas perdre le nord, vous allez parvenir à vos "ns très vite. Restez positif, niveau boulot vous allez entamer une belle période. Restez positif également si vous n’avez pas trouvé votre moitié, tout arrive à point à qui sait attendre. En attendant, justement, reposez-vous sur votre famille qui ne vous décevra pas ce mois-ci. Un petit gâteau chez mamie dimanche, et on repart. En couple!? La tempête se calme. Prenez du recul sur vous-même et acceptez vos erreurs pour avancer.

Il faut que vous vous posiez. Dans votre tête d’abord, en vous interrogeant calmement, pesez le pour et le contre concernant les situations délicates. Dans votre corps également, vous êtes trop surexcité. Le yoga pourrait être une bonne solution. Bien dans son corps, bien dans sa tête. Par ailleurs, prenez garde à vous-même, votre surme-nage impacte votre entourage avec qui vous avez la dent dure. Au boulot, des portes s’ouvrent à vous!: continuez à garder le rythme, le sourire et pensez à lâcher la pédale de temps en temps.

Vous êtes au bord de la crise de nerfs. Pas éton-nant, vu la charge de travail dont vous avez écopé dernièrement. Détendez-vous, tout cela va se calmer et vous pourrez pro"ter de vos proches. Prenez du temps pour vous et privilégiez les soirées canapé, histoire de bien récupérer. En "n de mois, l’alignement des planètes vous relancera comme un chef. Les prochaines vacances seront torrides pour les couples comme pour les célibataires. Alors que vous soyez à Paris en terrasse (chauffée) ou sur un transat’, écoutez vos pulsions.

Vous souhaitez hiberner sous la couette avec votre Jules mais vous ne l’avez pas encore trouvé!? Ne désespérez pas, sortez couvert, mais sortez. Des rencontres pointeront le bout de leur nez!! Pour les couples, passion tumultueuse au programme. Il fait frais dehors, mais ce n’est pas le cas partout appa-remment!! Continuez comme ça, gardez la forme. En revanche, ralentissez un peu au boulot. Ne fourrez pas votre nez dans les affaires de tout le monde. Faites-vous con"ance, vous êtes génial de toutes manières.

Toujours prévoyant, vous arrivez à saisir des offres alléchantes et à mettre vos collègues au tapis. Côté amour, c’est la routine. Pensez à privilégier le bon resto plutôt que la soupe du dimanche soir. Soupe que votre conjoint ne supporte plus d’ailleurs. Célibataires, idem, évitez la soupe. Les planètes vous seront favorables et nous vous conseillons de jouer au loto sous peine de gagner le gros lot pour la Saint-Valentin ! Si vous perdez, vous pourrez toujours vous en"ler une boîte de Mon Chéri.

Le moral dans les chaussettes, le changement ne vous va pas. Vous vous noyez et n’arrivez pas à reprendre votre souf%e. Respirez, tout ira bien. Vous avez le soutien de votre entourage qui vous permettra d’avancer dans les abysses de l’avenir. Côté cœur, tout va bien!: en couple, faites d’avan-tage con"ance, personne ne vous veut du mal. Célibataire, c’est le bon moment pour vous trouver une belle petite sirène ou un beau petit plancton. Foncez, les choses se mettent en place doucement mais sûrement.

Février 2014

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Courtney BarnettePour toutes les copines célibataires ou les amoureux cools, on vous propose un concert folk le jour de la Saint-Valentin. C’est quand même mieux qu’une boîte de chocolats. Au programme, Courtney Barnette qui sera sûrement l’une des sensations féminines de l’année 2014. Vous pourrez donc af"cher haut et fort que vous la connaissiez avant tous vos potes#! Elle sera accompagnée de Mariam qui vous fera vibrer au son de ses rythmiques pop. Ça se passe au Divan du Monde à partir de 19h30 le 14 février, pour seulement 16$.

14 février-Divan du Monde75, rue des Martyrs - 18e

Le Misanthrope de MolièreUn grand classique infatigable que petits et grands pourront voir ou revoir au théâtre de l’Œuvre. Du côté des acteurs, Fabrice Cals, Julie Depardieu et Edith Scob seront de la partie.

du 30 janvier au 8 avril, de 16h à 22h- Théâtre de l’Œuvre!55, boulevard de Clichy - 9e

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25 ansLa Halle Saint-Pierre présente une exposition célébrant le 25ème anniversaire de la revue anglo-saxonne Raw Vision. L’occasion de se cultiver et de retrouver les grands classiques qui ont marqué l’histoire de l’art contemporain. Des artistes d’Europe, d’Amérique, d’Afrique, d’Inde ou du Japon.!

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