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PAR BARRY SISKIND I l y a quelques années, une simple carte d’invitation suffisait à attirer les clients au stand qu'on avait loué dans une foire commerciale. Mais de nos jours, les con- sommateurs sont inondés d'invitations de toute sorte et ils choisissent judicieuse- ment les salons qu’ils fréquentent.. L'envoi d'invitations demeure efficace à condition de le combiner à une bonne campagne de promotion pré-événemen- tielle. Je vous propose ici quelques conseils stratégiques pour vous aider à concevoir des cartes d'invitation qui accrochent : 1. Aiguisez-leur l'appétit! Le concept et l'apparence d'une carte d'invitation sont critiques, vous n'avez qu'à vous rappeler les invitations à par- ticiper à des activités sociales qui vous ont été envoyées par le passé. Des cartes d’invitation qui en mettent plein la vue Au rythme des tam-tams VOIR PAGE 4 UN CONDENSÉ MENSUEL POUR INFORMER ET ÉCLAIRER LES PLANIFICATEURS Tendances 9, 11, 13 et 18 Événement au cinéma 6 Sites Web utiles 7 Salle de rêve 8 Consolidation d’équipe 10 Loyauté 12 Table du chef 14 Nouvelles hôtelières 15 mai 2005 DANS CETTE PARUTION VOL. 3 numéro 4 SUITE À LA PAGE 3

Le Planificateur, Mai 2005

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* Des cartes d'invitation qui en mettent plein la vue * Tambouriner votre chemin vers un environnement de travail fructueux * Organiser un événement corporatif dans une salle de cinéma * Salle de rêve... comment choisir une salle * La consolidation d'équipe n'est pas un jeu * Un chef rien que pour vous

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Page 1: Le Planificateur, Mai 2005

PAR BARRY SISKIND

Il y a quelques années, une simple carted’invitation suffisait à attirer les clients

au stand qu'on avait loué dans une foirecommerciale. Mais de nos jours, les con-sommateurs sont inondés d'invitations detoute sorte et ils choisissent judicieuse-ment les salons qu’ils fréquentent..

L'envoi d'invitations demeure efficaceà condition de le combiner à une bonnecampagne de promotion pré-événemen-tielle.

Je vous propose ici quelques conseilsstratégiques pour vous aider à concevoirdes cartes d'invitation qui accrochent :

1. Aiguisez-leur l'appétit!Le concept et l'apparence d'une carte

d'invitation sont critiques, vous n'avezqu'à vous rappeler les invitations à par-ticiper à des activités sociales qui vous ontété envoyées par le passé.

Des cartes d’invitation qui enmettent plein la vue

Au rythme des tam-tams VOIRPAGE 4

UN CONDENSÉ MENSUEL POUR INFORMER ET ÉCLAIRER LES PLANIFICATEURS

Tendances 9, 11, 13 et 18

Événement au cinéma 6

Sites Web utiles 7

Salle de rêve 8

Consolidation d’équipe 10

Loyauté 12

Table du chef 14

Nouvelles hôtelières 15

mai 2005

DANS CETTE PARUTION

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Il n'y a rien de plus puissant qu'une idée dont le moment est arrivé.Victor Hugo

Au Planificateur, nous tentons de fournir des articles qui con-tiennent de bonnes idées et des méthodes reconnues, le tout

sur une pointe d'humour pour aider les planificateurs dans leurtravail et leur vie au quotidien.

Des nouvelles hôtelières aux résultats d'enquêtes (voir page11), en passant par les trucs et astuces, Le Planificateur se chargede dénicher ce que les planificateurs doivent savoir. Tout cela estrendu possible grâce à votre contribution. Continuez d’aviser lesfournisseurs que vous les avez découverts grâce au Planificateur.

Donc merci de nous lire et de toujours nous renvoyer vosimpressions.

Vous voulez modifier votre adresse?Écrivez-nous à :

[email protected]

Notre mission et notre butNotre mission est d’informer et d’éclairer les planificateurs. Chaquenuméro ne contiendra pas plus de 30 à 35 % de publicité (toute cette pub-licité sera à titre informatif) et le restant de la parution sera réservé à desarticles qui aideront les planificateurs d’événements dans leurs activitésquotidiennes. Notre but est d’annuellement remettre aux planificateursles profits accumulés, sous forme de bourses d’études continues.

Une bonne idéeMOT DU RÉDACTEUR

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Dons debourses éducatives

• Sondage: Lesvoitures idéales

des planificateurs

• Politiqueshôtelières

• Planifiez unévénement sous

une tente

• Personnalisation

Qu’aimeriez-vous lire? Veuillez m’envoyer vos suggestions par courriel à :[email protected]

Thèmesà venir

Publié par :

2105, rue de la Montagne, bureau 100 • Montréal (Québec) • H3G 1Z8Téléphone : (514) 849-6841 poste 333 • Fax : (514) 284-2282

Vos commentaires sont appréciés :[email protected]

Rédacteur : Leo GervaisRédactrice adjointe : Nathalie Caron

Traducteurs : Dominique Lamarche, Marc LevasseurAdministration : Patrick Galvin, Julie Boisvert

Ventes : Camille LayCollaborateurs : Mike Auctor, Anne Biarritz, Peter De Jager,

Aldo Mazza, Don Murray, Barry Siskind , Harriet Wezena

Le Planificateur est mensuellement diffusé à 11 000 professionnels de l’industrie du tourisme et des affaires.

Poste-publication No. 40934013

Dominique CyrVerint Systems Canada Inc.

Félicitations!

Notre gagnant du concours d’avril

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Qu'il s'agisse d'un mariage, d'une confirmation ou d'une sim-ple réunion de famille, la carte d'invitation doit non seulementindiquer l'heure, le lieu et la façon de se vêtir pour l'occasion, maisson apparence générale doit donner un avant-goût du genred'événement auquel on est convié.

S'agit-il d'un événement formel ou sans prétention? L'invitationreflète-t-elle une ambiance aventurière ou plutôt traditionnelle? Lacarte d'invitation donne le ton et crée des attentes. Elle peut soitcapter l'attention du client, lui ouvrir l'appétit ou au contraire sefondre dans le lot des nombreuses invitations qui passentinaperçues. À vous de choisir!

2. Un peu de créativitéIl est donc important de capter l'attention du client afin de s'as-

surer que votre nom et vos produits demeurent bien présents à sonesprit. Soyez créatif! Utilisez de l'animation, des représentationsgraphiques élaborées, des slogans percutants et des fioritures detoutes sortes, faites travailler votre imagination. L'usage de créati-vité signifie certes que vous devez prendre certains risques, ce quiest dans la nature même du marketing. Il est cependant bon de rap-peler que les expériences novatrices et les idées nouvelles attirentbeaucoup plus l'attention que les approches traditionnelles.

3. Pensez aux incitatifsUn incitatif est en somme une source de motivation supplé-

mentaire qui vise à s’assurer que le client potentiel va bel et biense rendre à votre stand. Incitez-le à venir déposer sa carte d’invita-tion dans une boîte de tirage, remettez-lui une clé qui ouvre uneporte qui cache un prix de présence, ou annoncez la remise d'uncadeau sur passage au stand. Les petits extras font la différenceentre les exposants que les gens veulent absolument visiter et ceuxqu’ils visitent par obligation.

4. Relancez-lesSi vous n’envoyez qu’une seule invitation à vos clients, les

chances sont grandes pour qu'elle se perde dans la masse de cellesde vos concurrents. À l'inverse, les relances inciteront les gens à serappeler de vous. À ce chapitre, une bonne stratégie consiste à

envoyer une première invitation 2 semaines avant l’événement, àrelancer 1 semaine avant le jour J et une dernière fois par courriel2 à 3 jours avant la date fatidique. Il existe aussi d’autres façonsd'inviter les gens à passer vous voir, par exemple assurez-vousque vos représentants en parlent systématiquement aux clientsdans le cadre de leurs échanges quotidiens. Vos représentants auservice à la clientèle devraient les imiter chaque fois qu’ils sont autéléphone. En bref, réinvitez les clients chaque fois que vous ouvotre personnel êtes en contact avec eux.

5. Fixez-leur un rendez-vousProfitez de l’envoi d’invitations pour fixer un rendez-vous avec

vos clients. Cette pratique peut s'avérer bénéfique à la fois pour vouset vos clients. Personne n’aime attendre pour obtenir un entretien dequelques minutes. Une planification judicieuse des rencontres devraitaussi contribuer à augmenter l’achalandage à votre stand.

6. Mesurez l’efficacité de votre campagnede promotion

Les professionnels du marketing mesurent systématiquementl’efficacité de leurs campagnes de promotion et vous devriez lesimiter. Si vous avez recours à la méthode du tirage, les billets dis-tribués au cours de la campagne de promotion devraient êtrenumérotés afin de pouvoir mesurer l’achalandage ainsi généré.Demandez également aux gens de ramener les invitations reçueset de commenter votre campagne de promotion. Il est importantd'obtenir un maximum d’information, ceci vous aidera à mieuxplanifier vos prochaines offensives.

7. Joignez le geste à la paroleRappelez-vous qu'une campagne de promotion donne le ton et

suscite des attentes. Si votre stand ne livre pas la marchandise pro-mise, vos efforts auront été vains. Pour réussir un salon, il faut savoirdoser les ingrédients qui composent une bonne stratégie d’exposi-tion dont la campagne de promotion est une des pierres d'assise.

Powerful Exhibit Marketing, est le titre du plus récent ouvrage deBarry, disponible dans toutes les librairies. Il vous invite également àvisiter son site Web : www.siskindtraining.com.

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Des invitations efficaces et sensationnellesSUITE DE LA PAGE PAGE 1

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Tambouriner votre chemin vers unenvironnement de travail fructueux

Au cours des dernières années, il y a eu unintérêt accru, mené principalement par les sociétésaméricaines, dans la création d’événements de con-solidation d’équipe. À l’aide de résultats prouvésstatisquement, les événements obtenant le plus de

succès sont les cercles de tambours ou les événements tambours. Enfait, des milliers d’entreprises parmi les meilleures et de plus en plusde sociétés de toutes les tailles, proposent dorénavant des activitésde tambours interactives de consolidation d’équipe lors de leurs con-férences et réunions.

Le cercle de tambours est dirigé par un batteur professionnel quitient le rôle de facilitateur de tambour. Chacune des personnes(membres du personnel et membres de la direction) joue sur un tam-bour à main, tambour à basque ou un djembe africain et apprend desrythmes simples. Pas besoin d’une expérience antérieure en per-cussions. À partir de ces rythmes de base, le facilitateur orchestreplusieurs rythmes différents à jouer par le groupe. Le concept quechacun des joueurs doit écouter et insérer dans sa partie pour êtresynchronisé avec l’ensemble est vital à cette expérience et est unpuissant outil d’apprentissage pour le travail. Les participantsapprennent qu’ils DOIVENT faire partie de l’ensemble et ne doivent

pas déroger ou mener l’ensemble à moins qu’ils soient mis dans laposition de tête (soliste). Un soliste est alors désigné par le facilita-teur de tambour à différents moments au cours de la session. Voiciquelques-uns des avantages des événements de consolidationd’équipe dans le lieu de travail.

L’énergie du groupe est la clé du travail d’équipe!Cette expérience unificatrice crée la plateforme par excellence

pour les équipes d’expérimenter la puissance de tous travaillerensemble pour atteindre un objectif commun. Les participantsexpérimentent la synergie d’une façon constructive et coopérative.

Construisez votre équipe…un battement à la foisTout dans l’orchestre tambour doit obéir au rythme de base. Il y a

toujours un élément dans une société, dans une équipe, dans un groupequi représente ce rythme de base. Cela peut être à propos de la philoso-phie de l’entreprise ou la devise de la société. Le rythme de base est cettechose qui rattache. Dans un cercle de tambours, un individu lance unrythme différent dans différentes sections, et lorsque le tout est misensemble, cela forme un tout meilleur que la somme de ces groupes.

DE ALDO MAZZA

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Group drumming est à propos du partage,de l’écoute des autres et de jouer sur lemême rythme…c’est à propos de faire de lamusique ensemble en tant que compagnie.

Participer à un exercice de communica-tion, d’habileté d’écoute efficace et à la puis-sance d’une équipe vraiment synchronisée ade grands avantages pour tout genre d’en-treprise. Tout sentiment d’isolation et de dis-sidence disparaît, alors que l’expérience dutambourinement lie chacun des participantsen devenant un groupe motivé et uni. Vousdevez être une équipe afin que les barrièresd’âge, de culture, de langues et de genre dis-paraissent. De même, vous devez recourirau travail d’équipe pour faire de la musiqueensemble. Les sociétés sont composées derythmes différents. Ces rythmes peuventêtre constitués de différents services tel lesventes, la commercialisation, l’admini-stration, les TI, la comptabilité, etc. Lorsqueces différents rythmes sont capables de jouersur la même mesure, les mêmes buts etvision et lorsque ces rythmes écoutent lesautres, alors en tant que société, nous pou-vons faire de la musique ensemble.

Dynamiser votre conférenceTraditionnellement, le tambourinement a

été utilisé comme prélude aux fonctionscommunautaires. Les percussions peuventêtre utilisé avec beaucoup d’escient autantpour les conférences ouvertes qu’à huis clos– attirer les gens ensemble, célébrer leurréussite et s’assurer que les participants quit-tent avec un sentiment stimulant et moti-vant. Au début de la conférence, les gensarrivent de divers secteurs d’une organisa-tion et parfois de diverses parties du monde.La consolidation d’équipe corporative et lesfacilitateurs de divertissement, mènent cesrassemblements à un départ formidable, encréant une énergie qui à son tour crée un lienet une rupture des barrières autant verticalesque latérales. À la fin de la conférence, il estimportant que les délégués quittent avec dessouvenirs mémorables, un sentiment d’ac-complissement et d’avoir eu du bon temps.Débuter ou clore une conférence avec un cer-cle de tambour permet aux gens de quitteravec de bonnes impressions, un sentimentd’appartenance et du plaisir.

Pourquoi choisir les percussions? Voici les 8 raisons principales :

1. Unité : tambouriner est une puissanteexpérience d’unité pour un groupe, cela rap-

proche les gens et il y a une vision commune.Cela laisse aux gens un sentiment d’apparte-nance à un grand orchestre. C’est un moyenunique de permettre à de très gros groupesde faire quelque chose ensemble de trèsamusant et d’interactif.

2. Déplacement mental : les effets du tam-bourinement sur l’état mental des genss’avèrent très profonds puisque la relâche dustress et l’énergie du groupe après un cerclede tambour de consolidation d’équipe per-mettent aux gens de se sentir à la fois stimuléset réceptifs. Ceci est un outil très efficace pourcréer un environnement idéal, par exemple,pour les discours et les récompenses.

3. Déplacement physique : tambourinerétant une activité très physique, permettrede bien évacuaer le stress. Cela brise la glaceet permet aux gens de se sentir à l’aise. Celapeut équivaloir à une méditation voire à unrajeunissement, surtout après un travail dif-ficile.

4. Plaisir : tambouriner est vraiment uneactivité amusante à réaliser ensemble. Toutle monde sourira et sera de bonne humeur.Cette forme de divertissement corporatifbrise la glace mieux que tout autre. C’estune vraie fête. Les gens perdent leurs inhibi-tions, et se permettent de vivre le moment.

5. Unique : utiliser le tambourinementpour un événement corporatif ou de con-solidation d’équipe est mémorable puisquecela est tellement inhabituel. La plupart desgens n’auront jamais tambouriné avant etn’auront probablement jamais vu un aussigrand groupe former instantanément unorchestre. C’est une bonne façon pour ungrand groupe de faire réellement quelquechose ensemble.

6. Développement d’habiletés : tam-bouriner est une excellente méthode pourmettre en valeur l’apprentissage d’une nou-velle habileté et d’être en mesure de favoris-er le changement au cours de la session.Non seulement les gens apprennent vrai-ment à s’écouter l’un l’autre, mais ils travail-lent d’une façon collaborative plutôt quecompétitive. C’est une bonne façon de sen-tir la manière dont votre groupe vous sup-porte et il y a un sentiment d’appartenance.C’est aussi une bonne façon d’apprendre àcoordiner aux gens, ce qui leur sera béné-fique dans d’autres aspects de leur vie. Lacomprendre de l’importance du rythmedans toutes les facettes de la vie peut être unbon aperçu. Les lobes de gauche et de droitedu cerveau sont utilisés en même temps cequi stimule vraiment la créativité et aug-

mente la concentration.7. Diversité culturelle : tambouriner est

excellent pour ouvrir les gens sur la beautédes diverses cultures. C’est un langage uni-versel au conséquent démontre le pouvoirdes autres cultures. Tout un événement peutse dérouler sans prononcer un mot d’anglais,de français ou d’une autre langue, seulementen utilisant le langage corporel.

8. Abattre des barrières : le tambourine-ment est couronné de succès parmi desgroupes de participants très diversifié. Âgé,jeune, homme, femme, n’importe quelle reli-gion et langage, TOUT le monde peut le faireensemble et c’est une activité très universelle.Dans n’importe quelle entreprise, il est sainde faire quelque chose ensemble avecd’autres secteurs dont environnement neutre.

• • •

Aldo Mazza est un artiste international derenom et un organisateur d’événements.C’est un percussionniste, un éducateur, con-cepteur d’événements, directeur artistique desprestigieux KoSA International PercussionWorkshops au Vermont, Cuba et directeur desKoSA Academy et World Music Centre. Pourplus d’information et un aperçu, veuillez vis-iter le www.kosamusic.com ou envoyez uncourriel : [email protected].

Les entreprises ont aussi du rythme

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C'est parce-que tout à une fin que tout est si beau.Charles-Ferdinand Ramuz

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Organiser un événement corporatif dans une salle de cinémaDE ANNE BIARRITZ

Les complexes de cinéma sont aujourd’hui au cœur de l’in-dustrie des événements commerciaux. Et pour cause, cesétablissements sont dotés d’équipement à la fine pointe de

la technologie et proposent un service clés en main, adapté à desgroupes de grande capacité.

Une visite des cinémas Famous Players, chef de file des chaînesde cinémas au Canada, s’imposait donc et Nina Iacono, Directricedes ventes et du marketing des événements pour l’Est du Canada([email protected]), s’est alors prêtée au jeu en nous don-nant les meilleures informations qui vous aideront à y tenir votreprochain grand événement.

Bien que les ciné-mas soient des lieuxpublics, ces placespeuvent être étonnam-ment personnaliséesafin de répondre auxattentes du client. Deséléments tels les moni-teurs, les panneaux àmessages numériqueset les accessoires dedécoration peuventvéhiculer un messagerelatif à l’événement.Les « joueurs », per-sonnel des cinémasFamous Players, pren-nent soin de guider lesinvités, privatiser etsécuriser les sectionsréservées. Si les sallesde cinéma sont util-isées comme sallesprincipales de con-férence, elles peuventégalement faire l’objet de salles d’ateliers où se tiennent diversesactivités, en amont de la conférence.

Dans chaque salle, les invités peuvent bénéficier d’unéquipement de haute technologie et prêt à l’emploi. En effet, lesprojecteurs sont tous numériques et multimédias et permettentdonc au client d’émettre son message à partir d’une sourcePowerpoint, d’un DVD, d’un CD ou autre. Les écrans géantsimpressionnent et transmettent mieux que jamais les informationsles plus importantes à l’auditoire. Le son ambiophonique est aussil’un des éléments clés d’un tel événement. Le confort est de miseavec les sièges feutrés disposés en gradins et la lumière ajustable

permettant la prise de notes et le contact entre le conférencier etson auditoire. L’atmosphère du site crée alors un impact indé-niable.

Les installations sont flexibles. Une scène peut ainsi être mon-tée à l’avant de l’écran (5 à 6 pieds de profondeur), un lutrin oumême une table d’honneur trouvent aussi bien leur place. Sanscela, les micros portatifs à disposition permettent aux con-férenciers de se rapprocher de leur public en ayant autant d’influ-ence qu’un jeu de scène.

Quant aux services supplémentaires offerts, la nourritureprovient généralement d’un traiteur connaissant déjà les lieux par-faitement, sans pour autant exclure d’autres possibilités. Un ser-vice de bar, dont les installations peuvent être privatisées, estégalement proposé, en évitant ainsi le souci de permis d’alcool.

Les cinémas sontsitués dans les centresurbains, offrant biensouvent des aires destationnement à proxi-mité qui deviennentalors très utiles lorsqueles groupes sontimportants. De plus,les groupes commer-ciaux trouveront leurbonheur durant leursjours d’activité enayant la possibilité deréserver les servicesdes cinémas FamousPlayers durant les septjours de la semaine.Aussi, le concept dediffusion simultanéepar satellite favoriseles conférencesnationales voire même

internationales. Ainsi,les complications de déplacements d’une ville à l’autre disparais-sent et la communication est uniforme et de meilleure qualité.

Les équipes de travail fournissent par conséquent un servicecomplet, personnalisé à la guise de leur client. Les cinémasreprésentent donc des sites à considérer de près, surtoutlorsqu’une entreprise désire créer une impression retrouvée nullepart ailleurs.

Pour obtenir plus de renseignements sur les cinémas Famous Players(Paramount, Star Cité, Colossus et Colisée) visitez le site :www.famousplayers.com, section services commerciaux.

Les cinémas Famous Players offrent leurs services aux groupes commerciaux.

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www.conferenza.comQuiconque s’intéresse aux technologies de pointe désire rester

à l’affût des nouvelles tendances. Les conférences spécialiséessont un excellent moyen d’atteindre cet objectif. Mais personnen’est en mesure d’assister à toutes les conférences qui existent.Comment faire alors pour bénéficier des enseignements d’uneconférence à laquelle on n’a pas assisté? Conferenza.com proposeune solution, il diffuse les résumés des principales conférenceshigh-tech (et des moins prestigieuses aussi). Ce site vous permetdonc, dans le confort de votre bureau, d'accéder au contenu deces conférences comme si vous y étiez. Le site propose notam-ment une classification des événements récents. Chaque con-férence répertoriée y est évaluée par un participant en fonctiondu contexte, du contenu, de la logistique et des rencontres effec-tuées sur place. La rubrique Event Navigator constitue quant àelle, une liste des conférences à venir.

www.timeandplacehomes.comCe site propose aux voyageurs d’affaires et aux touristes, des

maisons et des appartements haut-de-gamme, en location à courtterme. Mais en quoi different-ils des autres logis du genre?Concierges personnels, visites organisées sur mesure et chef attitrétransforment ces résidences en hôtels privés. On en trouve àNantucket Island (près de Cape Cod); à Palm Springs enCalifornie.; à Naples en Floride et à Paris. On peut égalements'abonner à une lettre d’information et le site propose plusieursliens d’intérêt. Veuillez noter qu'il est actuellement en restauration.

www.westin-hotelsathome.comQui n’a pas rêvé de ramener chez soi le peignoir en tissu

éponge, l’oreiller ou le couvre-lit d’un luxueux hôtel où on aséjourné? On peut maintenant se procurer certains accessoires duWestin Hotels & Resorts par l'entremise d'un site Internet. Enplus de proposer ces items à ses clients, le site commercialise unevaste gamme de produits de la chaîne d'hôtel : pantoufles, pom-meaux de douche, lits pour chien et même un registre de mariéesont ainsi mis en vente. Le paradis est donc au Westin ou tout aumoins on s’en approche.

www.thecenterforhospitalityresearch.orgCe site de l’université Cornell de New York propose une mul-

titude de données sur différents aspects de l’industrie touris-tique. On y a récemment acclamé le site Travelocity, leader dessites de voyages à rabais. Les prix raisonnables et la faible varia-tion des frais additionnels sont à l'origine de cette consécration.

www.thetravelinsider.infoDans un cyberespace qui contient des milliards de sites Web (des

milliers s’ajoutent chaque jour) n’est-il pas merveilleux d’en décou-vrir un qui contient de l’information utile sur les voyages et qui peutnous aider à économiser de l’argent? Ce site se nomme Travel Insider,une merveille d’ergonomie opérée par le néo-zélandais Dave Rowell,un homme pour qui les besoins des voyageurs n'ont plus de secrets.Désirez-vous soumettre un site intéressant? Envoyez-le-nous à :[email protected]

Sites Web utiles

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Salle de rêve... comment choisir une salle

Ne dit-on pas quedeux têtes valentmieux qu'une? Il esteffet avantageux depouvoir profiter dupoint de vue d'uneautre personne pour

évaluer une situation donnée. On peut parexemple regarder une même scène à plusieurset y voir des choses totalement différentesselon la perspective particulière à partir delaquelle on l'observe. Je crois que cephénomène explique bien l'importance d'im-

pliquer votre fournisseur audiovisuel le plustôt possible dans votre démarche pour choisirla salle où se déroulera votre prochaine réu-nion ou votre prochain événement corporatif.Vous pourriez bien entendu conclure que j'aiun parti pris à ce sujet, puisque je travaillepour un fournisseur audiovisuel, ce à quoi jerépondrai que mes propos reposent sur unedémarche structurée plutôt que sur unpréjugé favorable envers mon employeur. Quien effet est mieux placé pour juger si une salleparticulière satisfait à vos besoins spécifiquesque les gens qui vont vous aider à réaliservotre événement? Certaines complicationspeuvent être évitées si on s'y prend tôt, à con-dition, bien entendu, de savoir où regarder.

Il est donc important que votre fournisseuraudiovisuel examine la salle convoitée nonseulement pour constater ce qu'elle offre maisaussi pour évaluer son potentiel et connaîtreses limites. Le planificateur d'événement per-dra un temps fou à tenter d'utiliser une sallequi n'est pas conçue pour accueillir le genred'événement qu'il a planifié. Bien qu'il n'existepas de mauvaise salle en soi, certaines posentd'importants défis et d'autres offrent des pos-sibilités très limitées. Lorsqu'on examine unesalle, il est donc important de prêter une atten-tion particulière à ce qui n'est pas apparent dupremier coup d'œil. Il est notamment impor-tant de savoir si elle est desservie par desinstallations adéquates pour y apporter del'équipement. S'il n'y a pas d'ascenseur ou quel'ascenseur de service n'est pas conçu pourtransporter de l'équipement et que la salle estsituée ailleurs qu'au rez-de-chaussée, onrisque de faire face à certaines complications.La nécessité d'ajouter une source d'alimenta-tion électrique supplémentaire ou de louerune génératrice doit également être connue àl'avance afin de la prévoir au budget. Il est aussi important de savoir si la salle que

vous comptez louer est occupée immédiate-ment avant ou immédiatement après votreévénement. Ceci pourrait limiter l'ampleur duréaménagement prévu. Le temps n'étant pasélastique, les restrictions de ce genre peuventnécessiter une adaptation du concept et lim-iter les changements de décor. Il est donc trèsimportant de valider ces informations en fonc-tion du type d'événement qu'on compteorganiser et ce avant de choisir une salle. Lespoints de fuite visuels sont également impor-tants si on compte faire usage de matérielvisuel. La présence de fenêtres, de chandeliers,de miroirs, le type d'éclairage et la hauteur duplafond ne sont que quelques-uns des élé-ments à considérer pour choisir une salle quioffre la combinaison gagnante. Les raccourcisn'existent pas, ce n'est pas parce qu'un élémentpasse inaperçu au départ, qu'il ne reviendrapas vous hanter. À quoi bon dépenser tantd'argent si les invités ne peuvent ni voir nientendre ce que vous avez à leur montrer et àleur dire par ce que vous avez choisi la mau-vaise salle?

La perspectiveÀ titre de professionnel de l'audiovisuel je

n'ai pas la prétention de pouvoir évaluer unesalle de façon exhaustive, mais plutôt de pou-voir le faire d'une façon différente que le feraun planificateur d'événement. Comme on lesait, la perspective est dans l'œil de celui quiregarde et je crois que mon point de vue parti-culier est, dans ce cas-ci, un allié indispensablepour choisir la salle qui accueillera votreprochaine réunion ou votre prochain événe-ment. Je n'ai pas la prétention de voir tous élé-ments, de couvrir les critères de sélection,mais je peux par contre vous assurer qu'avecmon aide la salle choisie répondra à toutes vosattentes d'un point de vue audiovisuel.

BY DON MURRAY, CMP

MAI 20058

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Page 9: Le Planificateur, Mai 2005

Appelez-nous pour vos événements corporatifs!

Les transporteurs à rabais engagentune guerre de force face aux réseauxdes transporteurs américains

Les transporteurs à rabais tels que Ryanair Holdings PLC etJetBlue Airways comptent pour un huitième des vols à l’échellemondiale, le double comparativement à la période avant lesattaques terroristes du 11 septembre et la pression augmente surles transporteurs avec services complets.

Les compagnies aériennes à rabais opèrent maintenant 12 pourcent des 2,27 milliards de vols prévus annuellement à l’échellemondiale, selon le Official Airline Guide basé au Royaume-Uni.Le nombre de vols dépasse maintenant le premier trimestre de2001, avant la demande démolie par les attaques, disait le guide.

Tel que rapporté par Bloomberg News, la compétition destransporteurs à rabais a contribué à des pertes combinées de 9,2milliards de dollars pour le réseau américain des transporteursl’année dernière. Southwest Airlines, le plus gros transporteur àrabais, est la seule compagnie aérienne américaine encore rentabledepuis les attaques terroristes et a gagné 133 millions de dollarsl’année passée.

L’acquisition de Swiss par Lufthansaoffrira plus d’opportunités pourréclamer des points

Les voyageurs d’affaires peuvent envisager plus d’opportu-nités pour gagner et réclamer des milles aériens suite à la confir-mation selon laquelle Lufthansa acquèrera effectivement SwissInternational Air Lines. Les deux transporteurs planifient de faireconcorder leurs deux programmes de fidélité, toutefois aucunedate effective du changement n’a été annoncée.

Pendant ce temps, KLM et Air France, qui ont déjà fusionné,vont combiner leur programme de fidélité en juin. Les membresexistants des programmes aériens vont conserver leurs milles.

Des rumeurs de fusion dans l’airUS Airways et America West Airlines sont en pourparlers

avancés de fusion pour créer une compagnie aérienne à rabaispour rivaliser avec le roi Southwest en importance, selon un rap-port média récent.

Les obstacles à la fusion comprennent le fait que US AirwaysGroup est sous le chapitre 11 de la protection de la Loi sur les fail-lites et d’autres complications avec quelques-uns de ses créanciers.De plus, les deux syndicats des compagnies aériennes devronts’entendre sur les règles pour fusionner leurs membres. Mais siune entente survient, cela pourrait être le début d’une nouvellevague de consolidation dans l’industrie aérienne qui a souffertdepuis le 11 septembre et s’est débattue plus récemment avec lescoûts des pensions et les guerres de prix brutales.

US Airways est le septième transporteur aérien d’importance etAmerica West est le numéro 8. Les deux compagnies aériennes ontaffiché une perte combinée de 700,9 millions de dollars l’annéedernière sur des revenus de 9,35 milliards de dollars.

Les sociétés US Airways et America West Airlines seraient,selon certains médias, en pourparlers pour une éventuelle fusionqui donnerai le coup d'envoi à la création d'un transporteur àrabais d'envergure nationale capable de concurrencer la reine desvols à rabais Southwest Airlines. Ces négociations sont toutefoisvulnérables à un certains nombres de complications d'ordrejuridique, le US Airways Groupe étant sous la protection duchapitre 11 de la loi sur les faillites et en litige avec certains de cescréanciers. Il faut par ailleurs rappeler que cette fusion devraitégalement être approuvée par les syndicats représentants lesemployés des deux sociétés. Une éventuelle entente pourrait donclancer une nouvelle vague de consolidations dans l'industrie aérienne gravement affectée par les événements du 11 septembre2001 et plus récemment par l'augmentation des contributions auxfonds de pensions et une virulente guerre des prix. US Airways estle septième transporteur en importance alors qu'America West sesitue au huitième rang. L'an dernier, les deux sociétés ont rapportéun déficit combiné de l'ordre de 700,9 millions de dollars US et desrevenus de 9,35 milliards de dollars US.

� Tendances de l’industrie

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Page 10: Le Planificateur, Mai 2005

Il n’y a pas un employé en Amérique du Nordqui n’ait eu à subir, à un moment ou à un

autre, les affres d’un exercice de « consolidationd’équipe ». On s’accroche à ce mythe étrangeselon lequel des personnes qui réussissent àjouer au Monopoly™ ensemble sans s’en-tretuer développent leur aptitude à travailler

efficacement en équipe dans le cadre d’un vrai projet.Malheureusement, la consolidation d’équipe n’est pas un jeu.

Les gens ne se lassent pas de demander des « exercices de consoli-dation d’équipe », exigeant, le plus souvent, qu’ils soient amusants.Rarement la demande est-elle accompagnée d’une description duproblème; on ne fournit aucun détail sur les aspects du travail qui nesatisfont pas aux attentes et on n’offre bien entendu aucune indicationsur la nature même de ces attentes : on cherche plutôt à appliquer unremède à un problème qui n’a encore été diagnostiqué. Si les médecinstravaillaient de cette manière, nous servirions tous de cobayes.

Mais qu’est-ce qu’une équipe? Une définition utile d’« équipe » com-prend trois éléments : d’abord, un objectif clairement établi; deuxièmement, un groupe ciblé de personnes qui désirent travaillerensemble à la réalisation de cet objectif; troisièmement, une compréhen-sion commune du rôle de chaque participant en vue de cet objectif.

Même si cette définition semble simple, elle est suffisamment com-plexe pour tenir occupé n’importe quel gestionnaire. Chacun voit-ill’objectif de la même façon? Chacun désire-t-il véritablement réalisercet objectif? Chacun, enfin, comprend-il clairement le rôle de tous lesmembres de l’équipe, au-delà des responsabilités précises qui lui ontété assignées?

Il faut être conscient, de surcroît, que certains objectifs sont préjudi-ciables aux projets de carrière de certains membres de l’équipe.Affronter ces réalités et prendre les mesures pour que tous les mem-bres de l’équipe trouvent des avantages équivalents représente un défisuffisant pour mettre à rude épreuve l’aptitude à résoudre des problèmes des gestionnaires les plus chevronnés.

Un élément brille par son absence dans cette définition d’« équipe » :on n’y mentionne nulle part que les membres de l’équipe doivents’aimer bien, ni qu’ils doivent partager une bonne dynamique d’inter-action, même si ce genre d’esprit d’équipe, bien sûr, demeure un atout.

Lorsqu’un groupe ne fournit pas un bon travail d’équipe, il y a lieude revenir à la définition et de repérer quelle partie des objectifs n’a pasété expliquée adéquatement. La plupart du temps, une équipe néces-sitant une « mise au point » ne requiert rien de plus qu’un rappel despriorités de leur travail.

Il arrive que des personnes ne travaillent pas bien ensemble en rai-son de conflits interpersonnels volontaires ou involontaires. Parfois,les raisons pour lesquelles des personnes ne font pas un bon travaild’équipe sont tout à fait terre-à-terre.

Un exemple? Le problème d’une équipe gravement dysfonction-nelle a pu se régler en faisant tout simplement remarquer à uneemployée, discrètement et poliment, qu’il serait plus facile pour sescollègues de travailler avec elle si elle prêtait une plus grande attentionà son hygiène personnelle. Rien d’extraordinaire, aucun exercice deconsolidation d’équipe; il suffisait de découvrir l’élément fantômedont personne ne voulait parler.

Avant de tenter de régler quoi que ce soit, la toute premièredémarche, essentielle, est de découvrir pourquoi le travail d’équipe nefonctionne pas comme il le devrait. Quiconque dirigerait un exercicede consolidation d’équipe sans d’abord comprendre, voire sans s’in-former en quoi consiste véritablement le problème… manqueraittotalement de sérieux.

Les conflits interpersonnels sont susceptibles de perturber le fonc-tionnement d’une équipe. Quand c’est le cas, il est alors temps deprocéder à des exercices bien ciblés de « consolidation d’équipe ».

Même avec un objectif commun bien défini et des responsabilitésclairement établies, il peut parfois être difficile de travailler avecd’autres personnes. Prenons mon propre exemple, en l’exagérant unpetit peu (un tout petit peu). Je suis une personne impatiente, très con-centrée, qui se consacre à une tâche à la fois et s’attaque au travail sansdélai, et la résolution des problèmes me tient à coeur. Si on medemande de travailler dans le même isoloir qu’une personne décon-tractée, qui voit les situations globalement, jongle avec toutes les tâches à la fois, trouve que la semaine prochaine, c’est bien assez tôt ets’exclame « Oui!… intéressant! » même quand il n’a rien à voir avec leprojet en question… et on verra des étincelles.

À moins, bien sûr, que nous soyons l’un et l’autre conscients quenous travaillons différemment et que nos approches respectives sontutiles à des moments différents, et que CHACUN sache qu’il doit s’ac-commoder des particularités de l’autre : dans ce cas, nous pourronsbien travailler ensemble, même si en notre for intérieur, chacun penseque l’autre n’est pas vraiment dans le coup.

Si les membres d’une équipe éprouvent de la difficulté à s’adapteraux bizarreries (désolé, je voulais dire « aux styles de travail ») de leurscollègues, des exercices de consolidation d’équipe mettant l’accent surles raisons pour lesquelles chacun est différent et sur ce qu’il est possi-ble de faire à cet égard pourront résoudre le problème. En revanche,des exercices conçus comme un jeu visant surtout à amuser feront peuou prou pour régler les vrais problèmes.

© 2002, Peter de Jager

La consolidation d’équipe n’est pas un jeuDE PETER DE JAGER

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Page 11: Le Planificateur, Mai 2005

S’ENREGISTRER À SON RYTHME

Dans notre économie du 24h/24, principe apparuaux États-Unis et rapidement propagé autour dumonde, de nombreux voyageurs se demandent pourquoi tant d'hôtels sont encoreà l'âge de pierre en ce qui concerne les règles plutôt strictes des enregistrements. Latechnologie leur permet aujourd'hui d'en savoir beaucoup plus sur les emploi dutemps et les préférences d'arrivées de leurs invités. En y ajoutant un nombre plusimportant de chambres d'hôtel, cela change peu à peu le principe de l'enre-gistrement à 15 h et du départ à 11 h. Les États-Unis semblent accepter ce change-ment plus facilement. Et bien que certains hôtels à Londres s'améliorent, l'Europe aplus de mal à suivre la tendance. De plus, les hôtels reconsidèrent les frais de départtardif, qu'ils considèrent comme une « source de profit », surtout depuis que lesprogrammes de fidélité sont si importants pour eux de nos jours.

Le Planificateura interrogé seslecteurs :

Les départsdans les hôtelsdevraient-ils sefaire sur unebase de 24h?

58 % 42 %

OUI NON

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�Tendances de l’industrieDes milliards de dollars pour la C.-B.

Plus de personnes visitent la Colombie-Britannique, selon les revenus touristiquescanadiens de fin d’année. La province la plus occidentale a reçu près de 22,5 millions devisiteurs internationaux d’une nuit, du Canada et de la Colombie-Britannique qui ontgénéré près de 9,5 milliards de dollars en revenus touristiques l’an dernier.

« Plus de visiteurs internationaux ont découvert que cette province est la porte d’en-trée du Canada et ont choisi de passer leurs vacances en Colombie-Britannique en 2004 »disait John Les, Ministre des petites entreprises et du développement économique et ministre responsable du tourisme.

Il a ajouté qu’il y a un optimisme renouvelé ainsi que la confiance et la croyance en cequ’ils peuvent réussir « durant la décennie dorée de l’industrie du tourisme de laColombie-Britannique. »

ADM lance un plan d’hôtel à DorvalAéroports de Montréal a annoncé qu’un hôtel de 250 à 300 chambres se dresserait au-

dessus du complexe des douanes américaines. Ce projet facilitera l’accès des visiteurs àdes services d’affaires tels que des salles de réunions et un transfert rapide à l’aéroport.Situé hors de la zone sécurisée, ces installations seront d’autant plus accessibles pour desrencontres locales sans que les interlocuteurs locaux n’aient à prendre l’avion.

Page 12: Le Planificateur, Mai 2005

L'auditoire du séminaire était constitué de cadres et de spé-cialistes des ressources humaines. Le conférencier était un psy-chologue industriel américain bien connu. Le sujet : la nouvellerace des travailleurs nord-américains. Le ton était sérieux, voiregrave.

Le conférencier remarqua qu'aujourd'hui les employésétaient moins enclins à faire leurs les buts de leur employeur carils ne se sentaient pas attachés à lui. Il ajouta que, selon desrecherches, ce manque de liens étroits caractérisait toutes lesrelations des jeunes, même celles nouées en dehors du travail.

En fait, constata-t-il, ils tendent à fuir tout attachementdurable, jugeant que même les rapports les plus intimes peuventêtre rompus unilatéralement sans préavis. Comment s'étonnerque des gens qui ont si peu le sens de la permanence refusent dese donner pleinement à un travail qu'ils peuvent quitter à toutmoment ?

Pour décrire ce phénomène, le psychologue se servit d'unnombre impressionnant de termes techniques tels que détache-ment, aliénation et dissociation. Une personne moins savante etdémodée aurait tout bonnement parlé d'un manque de loyauté.

Mais, les moins de 35 ans connaissent-ils seulement ce mot?En saisissent-ils pleinement le sens? Il semblerait que, dans notresociété, la loyauté soit une notion désuète, le souvenir pit-toresque d'une ère plus candide.

Même sa définition a quelque chose de suranné. Le Laroussedéclare que la personne loyale est celle qui obéit aux lois del'honneur, de la probité et de la droiture. Il y a longtemps que lemot « droiture » ne vient plus à l'esprit en pensant à l'appuisans réserve accordé à un leader ou à un idéal. Quant à l'« hon-neur », il ne figure pratiquement plus dans le vocabulaire civilcourant des pays occidentaux.

Certains dictionnaires remontent encore plus loin et, seréférant à la féodalité, parlent d'« allégeance absolue ». Motdérivé de l'ancien français, l'allégeance (li jance) était le sermentde fidélité prêté par un vassal à son suzerain. Au Moyen-Âge, laféodalité était le régime politique auquel étaient assujettis desmillions de personnes en Europe, en Inde, en Chine et au Japon.

Ce système devait son existence à la loyauté. La hautenoblesse jurait fidélité au souverain, les petits nobles à leurseigneur et ainsi de suite jusqu'aux serfs. Dans sa forme la plus

pure, la loyauté féodale consistait en un échange de promesses.Lorsqu'un fief, c'est-à-dire un domaine, était concédé à un vas-sal, « ce dernier, s'agenouillant devant son suzerain, lui présen-tait les mains et prêtait serment de fidélité tandis que le seigneurscellait le pacte en l'embrassant et en le relevant ».

Le seigneur promettait ainsi de veiller sur son vassal et de leprotéger. Le vassal, lui, s'engageait à lui payer un loyer enespèces ou en nature, et à lui prêter main-forte. Ces sermentsreposaient sur la théorie que la loyauté est un engagementréciproque.

Il ne fait aucun doute que, dans le cadre des sociétés féodales,la pratique s'éloignait souvent de la théorie. La loyauté du vas-sal s'obtenait parfois sous la contrainte. Le système n'aurait pucependant exister sans l'honnêteté de la plupart de ceux quidétenaient le pouvoir. La féodalité fut généralisée et perdura denombreux siècles. Si elle n'avait pas servi les intérêts de lamajorité, elle aurait été abolie par des révolutions.

Ni aveugle, ni sensible au point duvue de l’autre

D'ailleurs, la notion de loyauté politique, qui vit le jour sousla féodalité, ne disparut pas avec elle. Aujourd'hui, dans tous lespays du monde, le peuple jure de rester fidèle au symbole del'autorité suprême, qu'il s'agisse d'un monarque, d'un président,d'une constitution ou d'un drapeau. Dans les forces armées ouautres organisations en uniforme, l'allégeance est affichée pardes emblèmes et des cérémonies d'origine moyenâgeuse.

Le pragmatiste ne trouvera sans doute ni rime ni raison à cesactes symboliques mais il aura tort. La loyauté est essentielle àl'établissement d'une société civilisée. Elle perpétue les lienshumains les plus importants noués entre les couples, les parents,les collègues et les amis. Elle est garante de l'ordre civique. Lespays qui ne prennent pas au sérieux les serments d'allégeanceaux autorités établies invitent les luttes de pouvoir.

Où est passée la loyauté?

Venez ressentir la joie de vivre de Montréal à l'intérieur des murs historiques duFort Ste-Hélène! Célébrez avec nous nos 30 années dans l'industrie québécoisedu divertissement en assistant à une toute nouvelle production.Redécouvrez la

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Page 13: Le Planificateur, Mai 2005

Les drapeaux, les uniformes et autres symboles sont l'expres-sion visible de la fierté qu'un peuple porte à ses appartenances.Les êtres humains trouvent leur identité en intériorisant les caractéristiques des organismes dont ils sont membres : leurpays ou leur religion.

La loyauté institutionnelle est généralement accordée auxgroupes constitués de personnes qui nous ressemblent, c'est-à-direnos compatriotes, ceux avec qui nous partageons les mêmes croy-ances religieuses, politiques ou traits ethniques. Le revers de lamédaille d'associations aussi étroites est malheureusement lemépris, la crainte et la haine de ceux qui en sont exclus. On dit sou-vent que la loyauté est « aveugle ». Sans aller si loin, elle empêchecependant de considérer objectivement le point de vue de l'autre.

Rien ne renforce plus la loyauté entre deux personnes qu'unennemi commun. Lorsqu'une guerre éclate pour une bonne ouune mauvaise cause, la loyauté est une source de bravoure.Malheureusement, elle donne également naissance à la bigoteriequi, d'ailleurs, est souvent la raison même du conflit. Même sansintervention militaire, elle empoisonne les rivalités raciales etreligieuses qui bouleversent le monde.

La belligérance alliée à la loyauté renforce la théorie selonlaquelle cette dernière a pour origine la famille. À l'époquepréhistorique, le groupe familial devait se protéger contre les pil-lards, à moins qu'il ne s'adonne lui-même au pillage.

En cas de péril, il était impératif d'avoir une confianceabsolue dans les autres membres du groupe. D'un accord tacite,le chef de famille, le père ou le grand-père, s'assurait de cetteconfiance en punissant les traîtres, généralement par la peine demort qui sanctionnait ainsi l'abjection de leur crime. Un châti-ment plus clément était le bannissement, efficace en raison de lacrainte d'être mis au ban de la société et d'être considéré commeun traître.

Lorsque les êtres humains étendirent leurs liens familiauxaux autorités spirituelles, économiques et politiques, ce rôle dupatriarche, de législateur et de policier fut joué à l'échelle de lasociété. C'est ainsi que le roi devint le « père du peuple », que leprêtre donna des bénédictions paternelles et que l'entrepreneurse considéra comme le chef d'une famille nombreuse etheureuse. Les gens ordinaires, jugeant que ces « pères » étaientles gardiens de l'ordre public essentiel à la survie de leur localité,s'inclinaient devant leur volonté.

L'ennui avec l'autorité patriarcale, c'est que les « pères » nesont pas tous à la hauteur de leur tâche. Ils sont souvent prêts àexiger l'obéissance par la force et à trahir ainsi la confiance qu'onleur porte. L'histoire de l'Écosse nous donne un exemple typiqued'un tel abus de confiance commis à l'encontre des « Highlanders », qui témoignaient une loyauté absolue à leurchef de clan. Selon un observateur anglais du 18e siècle, « Leshabitants ordinaires des Hautes Terres estiment qu'il y va de leurhonneur d'aimer leur chef et de lui obéir aveuglément, mêmes'ils doivent ainsi s'opposer au gouvernement, aux lois du royaume, voire même à celles de Dieu. »

Initialement, les terres du clan appartenaient à tous, maiselles devinrent plus tard la seule propriété du chef de la famillequi était sortie des rangs et s'était imposée. Entre les membres du

clan et lui existait un accord implicite. Comme l'explique JohnPrebble dans son ouvrage Culloden, publié en 1961, « s'il avaitsur ses gens le droit de vie et de mort, il était également respon-sable de leur bien-être, obligation qu'honoraient la plupart deschefs. À titre de propriétaire, de « père », de juge et de générald'armée, son pouvoir était vaste, quoique non absolu, et ilarrivait qu'il débatte de questions importantes avec les princi-paux membres de sa famille et de son clan. »

À l'époque décrite par M. Prebble, en 1746, alors que les clanstentaient désespérément, à Culloden, de tenir tête pour ladernière fois à la couronne d'Angleterre, nombreux furent lesabus de confiance commis par les chefs à l'égard de leurs « kins-men ». Les consultations politiques n'existaient plus. Leshommes, quant à eux, n'étaient plus aussi prêts à prendre lesarmes et à mourir pour leur chef. Ceux qui perdirent la vie àCulloden en défendant la cause jacobite s'étaient engagés sous lamenace de voir leur maison incendiée.

La trahison ultime de la fidélité des Highlanders, décritedans un autre volume de John Prebble, intitulé The HighlandClearances, eut lieu graduellement au cours du siècle suivant.L'un après l'autre, les chefs chassèrent brutalement leurs « kins-men » de leurs terres ancestrales et les remplacèrent par desmoutons, plus rentables.

Note : première partie d’une série de loyauté.Repris et traduit avec la permission de la Banque Royale du Canada.Visitez son site Internet : www.rbcbanqueroyale.com

Visa hausse des frais d'utilisation de 1 %

Planificateurs, attendez-vous à payer des frais plus élevéssi vous utiliser vos cartes de crédit lors de vos prochainsdéplacements à l'étranger. Mastercard et Visa avaient jusquelà pour habitude de prélever des frais de 1 % sur les montantsdébités en devises étrangères.

Ces frais n'apparaissaient pas sur les relevés de compte decarte de crédit, ils étaient plutôt ajoutés au montant total de latransaction. À cela il fallait ajouter les frais imposés par lesbanques ce qui pouvait faire grimper à 3 % la somme des fraisde conversion de devises. Le consommateur pouvait par con-tre éviter ces frais en réglant ses achats à l'étranger directe-ment en dollars.

Mais la récréation est finie. Depuis avril 2005 Visa USAInc prélève des frais de 1 % sur toute transaction effectuéedans un pays autre que celui où réside le détenteur d'unecarte de crédit. Mastercard compte l'imiter à compter du moisd'octobre. American Express impose déjà des frais de 2 % surce genre de transaction.

Obéir aveuglément est dangereux

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�Tendances de l’industrie

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Un chef rienque pour

DE ANNE BIARRITZ

À combien de reprises avez-vous dû organiser un dîner degroupe pour accueillir l’un de vos clients, divertir une assembléeou bien encore remercier votre équipe de travail ? Les dîners degroupe, au début toujours enthousiasmants, paraissent à lalongue interminables et ennuyeux. Vous vous êtes alorsdemandés comment vous pourriez rendre un repas banal, sou-vent redouté par les invités jusqu’à ce qu’ils soient finalementréunis, en un moment inoubliable et apprécié de tous.

Selon Rosemary Naccarato, de Sun Microsystems of Canada,organiser une table de chef est le meilleur moyen de raviver ungroupe autour d’un dîner : « généralement, je prévoie une tabledu chef au début ou à la fin d’un gros événement pour organis-er une réunion corporative ou remercier mon équipe de travail.La nourriture est d’excellente qualité, c’est une bonne façon defaire plaisir à tout le monde. Une table du chef est beaucoup plusintime et personnalisée et le rapport qualité-prix est notable ».

Quelles sont donc les caractéristiques d’une table du chef ?

PrincipesUne table du chef se tient habituellement dans la cuisine

même du restaurant, dans un endroit semi-privé souvent séparépar une baie vitrée, lorsquel’établissement choisi le per-met. Dans le cas contraire, lasalle principale du restaurantou bien une salle aménagéeplus privée sont aussi carac-téristiques du concept.Beaucoup de restaurantsoffrent un nombre limité deplaces en plein cœur de leurcuisine, aux petits soins de leurpersonnel et en compagnie duchef lui-même. Quel honneur ! « La table du Chef » devient alorsle centre de l’attention et la cuisine, un vrai théâtre. En effet, lesinvités, qui se feront servir un menu sur mesure différent de celuiproposé en salle, assistent à un véritable show culinaire tout enétant plongés au cœur de l’action. Il n’y a pas un nombre requisde personnes pour ce type d’événement. Cependant, comptetenu de sa particularité, une table du chef peut convenir à desgroupes allant de deux à trente personnes. Si l’on tient à garantirun service de qualité exceptionnelle et profiter de l’attentiontoute particulière du chef, mieux vaut préférer gâter un grouped’une douzaine de personnes (plus ou moins) à la fois. Si vousn’êtes pas familier avec le concept, le Chef Alex Austriaco, del’hôtel Windsor Arms à Toronto, ON, nous fait part de sonexpérience grâce à laquelle ses tables rencontrent un vrai succès.Ses menus sur mesure peuvent être créés une à deux semainesavant l’événement. Dès son entrevue avec le client, il prend en

charge la conception de la table et tente de produire l’ambiancedésirée. Il se renseigne alors sur le type de célébration, le budgetalloué, le nombre de personnes participantes et se penche aus-sitôt sur le menu, prévoyant 5 à 8 services. Originaire desPhilippines, son parcours à travers plusieurs cuisine du monde(Canadienne, Américaine et Française), Chef Austriaco utiliseson savoir-faire que les convives retrouvent à leur table : desplats raffinés, une cuisine contemporaine aux touches exotiques,et des desserts dont il fait sa spécialité ! Lorsque le dîner a lieudans la cuisine du restaurant, les invités le voient à l’œuvre,assisté de son équipe, et perçoivent les « dessous de la scène ».Lorsque ça n’est pas le cas, le chef rend visite à sa table à chaqueservice, comme nous l’explique Loïc Chazay, Chef du restaurantLes Caprices de Nicolas, à Montréal, QC. En effet, chaque dégus-

tation sera précédée d’une rapi-de explication culinaire qui met-tra l’emphase sur les produitssélectionnés et les saveursretrouvées dans les plats. Aupréalable, il se sera renseignésur les goûts de ses hôtes, leurspréférences et leurs intolérancespour leur réserver les meilleursproduits qu’il ait et personnalis-er son service. Sa présence ensalle est rendue possible grâce

au soutien de son équipe en cuisine, à laquelle il confie la prépa-ration des créations suivantes. Dépendamment des produitssélectionnés (généralement de grande qualité), du nombre deservices durant le repas et bien entendu, des vins choisis enaccompagnement, le prix d’une table du chef varie de 150 $ à 300$ (et plus) par personne.

Cette expérience unique permet de voir, sentir et goûter auxplaisirs de la table. Bien que les invités ne cuisinent pas directe-ment, ils en retiennent suffisamment d’éléments pour reproduirechez eux les prodiges du chef. La table du chef est une façonunique d’impressionner ses clients et amis, un concept amusantet divertissant.

• • •Pour informations et réservations, contactez le Windsor Arms Hotel

au (416) 971 9666 à Toronto et Les Caprices de Nicolas au (514) 2829790.

vous

La table du chef au Windsor Arms hôtel à Toronto.

Cette expérience unique permet de voir, sentir et goûter aux

plaisirs de la table.

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Page 15: Le Planificateur, Mai 2005

Une chambre à cinq sousQuiconque a en sa possession une pièce de monnaie Jefferson

bison nickel remise à neuf, peut l'utiliser pour défrayer le prix d'unsurclassement dans une suite royale sur location d'une chambrestandard à l'hôtel Jefferson, un hôtel Loews de 100 chambres deWashington. Cette offre est valide les vendredis et samedis du 3juin au 5 septembre et conditionnelle à la disponibilité des cham-bres. Les week-ends, une chambre standard se loue entre 199 $ et259 $ la nuit alors qu'une suite royale coûte entre 419 $ et 689 $ lanuit, taxes en sus. Pour plus de renseignements, veuillez télépho-ner au (202) 347 2200.

Hôtel à prix raisonnable Le transporteur européen EasyJet se lance dans l'arène de

l'hôtellerie et accepte ce mois-ci ses premières réservations à soncomptoir de Londres. On y propose des chambres de couleurorange qui font 6 mètres carrés (60 pieds carrés) et équipée sobre-ment d'un lit et d'une salle de toilette. Pas de fenêtre, ni detéléviseur. Les prix de location sont eux aussi minimalistes, ilsvarient entre 5 et 60 £ (entre 10 $ et 115 $).

Prenez-le personnel, SVP!Les hôteliers sont constamment à l'affût de moyens novateurs

pour attirer et garder leurs clients, particulièrement dans l'é-conomie de l'après 11 septembre. Au chapitre des innovations onretrouve notamment une trousse complète de lendemain de veilleofferte par l'hôtel Loews de la Nouvelle-Orléans à ses clients quiont abusé des charmes du fameux French Quarter louisianais(Cette trousse comprend une pommade pour les pieds, de l'AlkaSeltzer et un vaporisateur facial) La chaîne Intercontinental (quigère de nombreux hôtels notamment ceux qui affichent les ban-nières Crowne Plaza et Holiday Inn) a quant à elle embauché unmédecin pour mettre au point un programme visant à aider sesclients qui souffrent de décalage horaire. On leur propose uncache-œil, des huiles aromatisées et des agrafes à rideaux tout cequ'il faut pour se détendre et rattraper le sommeil perdu dans unmilieu complètement obscur. Dans la catégorie divertissement,mentionnons le Scottsdale, AZ, propriété de la société torontoiseFairmont, qui propose à ces clients les services d'un conciergegolfeur prêt à recommander un terrain ou à établir un itinérairesur mesure à ceux qui savent très bien que le travail sans diver-tissement rend les planificateurs fatigués et de mauvaise humeur.

Traitement de luxe Le plus dispendieux et le plus difficile à utiliser des appareils

mis à la disposition des clients d'un hôtel, le téléphone de cham-bre, tente un retour. L'avènement du téléphone portable a forcé leshôteliers à faire appel à la technologie pour proposer des appareilsque les clients sont prêts à utiliser et à payer. L'hôtelCommonwealth de Boston propose ainsi un combiné sans fil munid'un écran de la taille d'un assistant numérique que les clients peu-vent utiliser partout à l'intérieur des limites du complexe hôtelier.Les clients réguliers ont droit à un numéro permanent et l'appareildonne accès à l'horaire des films à l'affiche. L'hôtel Valencia

Santana Row de San José en Californie propose quant à elle unsystème téléphonique qui laisse les clients consulter sans frais lamétéo et les tarifs des compagnies aériennes. Les appels locauxsont par contre facturés au coût de 75 cents. Le Mandarin Orientalde New York City permet à ses clients qui voyagent en groupe d'u-tiliser ses appareils pour tenir des conférences téléphoniques entreeux en utilisant le protocole VOIP (Voix sur protocole Internet, unprotocole généralement utilisé pour transmettre des données parle biais de connexions large bande à haut débit).

Bénéfice pour Hilton et Marriott aupremier trimestre

La société Hilton Hotels Corp. annonce une hausse de l'ordrede 73 % de son bénéfice qui serait principalement attribuable à unereprise des voyages d'affaires et d'agrément. Ce regain a favoriséune augmentation du prix de location des chambres d'hôtel. Lebénéfice net de la société est passé à 64 millions de dollars US parrapport à 37 millions pour la même période l'an dernier. La sociétéHilton opère aussi les hôtels qui affichent les bannières HamptonInn et Embassy Suite. Elle est également propriétaire du pres-tigieux Waldorf Astoria de New York City où la reprise du tauxd'occupation des chambres est la plus soutenue.

Marriott International, la plus importante chaîne d'hôtel aumonde, a pour sa part annoncé des résultats qui dépassent lesattentes de Wall Street. Une augmentation de 1,1 % du taux d'oc-cupation, qui se situe maintenant à 69 %, serait grandementresponsable de cette performance. Les revenus de la société ontatteint, au premier trimestre, 145 millions de dollars US contre 114millions pour la même période l'an dernier. Les analystesanticipent un bénéfice de 2,83 $ par action pour un revenu total de10,65 milliards de dollars US. En 2004, la société avait généré unbénéfice de 2,48 $ par action et enregistré un revenu total de 10,1milliards de dollars US.

L'armée hôtelière se prépareLe 30 juin prochain, les conventions collectives de la plupart

des hôtels syndiqués au Québec prendront fin. Au total, plus de 7 000 travailleurs et environ 40 hôtels sont impliqués dans les négo-ciations du secteur, dont les avis déjà entre les mains des patronsconfèrent un droit de grève à compter du 1er juillet prochain, selonla CSN. Sans règlement d’ici là, le risque de grève menace le bondéroulement de la saison estivale approchant. Les intentions de laCSN, au fort pouvoir négociateur, seront annoncées dès le 15 juinprochain afin de connaître les enjeux de tels événements.

Peau neuve pour l’hôtel Le Place d’Armes21 M$ auront suffi pour agrandir et rénover cet hôtel du Vieux-

Montréal, dorénavant surnommé Le Place d’Armes et Suites. Eneffet, l’établissement pourra se vanter dès le 2 juin prochain des135 chambres et suites disponibles, des 4 salles de conférence amé-nagées, d’un salon pour banquets, d’un bar lounge mais aussid’un spa et du premier Hammam (bain à vapeur oriental) de laville. A deux pas du Palais des congrès et du centre-ville, cetteétablissement accueille en majeure partie une clientèle d’affaires.

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Nouvelles hôtelières du Village Global

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PAR NATHALIE CARON

Monaco est une principauté de 197 hectares donnant sur laMéditerranée. Elle peut accueillir des congrès d'enver-gure grâce à ses 22 000 chambres, ses 17 palaces et hôtels

et ses 170 restaurants. Monaco est aussi reconnue comme la capi-tale du Grand Luxe, les plus élégantes boutiques se retrouventdans le fameux Cercle d'Or, au coeur de la cité. Le GrimaldiForum est le complexe de congrès par excellence, alliant moder-nité, haute technologie avec salles et esplanade multi-fonctions.

Après plus de 18 mois de préparatifs, le chapitre monégasquede MPI a accueilli officiellement ses premiers délégués ledimanche 10 avril 2005 pour la rencontre annuelle européennePEC-Europe 2005 qui s’est déroulée au Grimaldi Forum. Malgré ledeuil national de S.A.S. le Prince Rainier, les 515 délégués, unrecord de tous les temps, ont su tirer profit des opportunités deréseautage et d’apprentissage offertes.

L’ouverture officielle a été lancée par un cocktail de bienvenueet une vidéo montrant le cheminement du symbole de PEC-Europe à Monaco en hélicoptère, en navette et en SMART qui aroulé jusque sur la scène de la salle des Princes. La plénière étaitanimée par Colin Turner qui nous a fait part de ses vues sur lechangement personnel et organisationnel : le futur n’est plus cequ’il était. Il a été présenté par Hugh K. Lee, Président du conseild'administration qui nous a parlé des projets et développements àvenir pour MPI Europe ; quelques mots nous ont aussi été adresséspar Paul Kennedy de EIBTM. Le Québec était à l’honneur puisquela musique utilisée comme interlude entre les différentes interven-tions étaient celle du Cirque du Soleil et nous sommes sortis au sondu Blues du businessman interprété par Claude Dubois.

Le premier événement de réseautage a eu lieu lors d'un cocktaildînatoire à l'Exposition de la Collection de Voitures Anciennes deS.A.S. le Prince de Monaco. Champagne Laurent Perrier et vinaccompagnaient de succulentes bouchées chaudes et froides d’inspiration asiatique et méridionale. Les stations gourmandess’échelonnaient sur le parcours en forme de spirale de l’exposition.Sans oublier les fameux fromages de lait cru et de chèvre et lespâtisseries près du bar à café. L’enthousiasme était au rendez-vous.

Le lundi matin, PEC-Europe débuta avec le fameux BreakfastShow; les deux animateurs se sont entretenus entre autre avecJohn S. Parks de Leadership Synergies, LLC qui nous a expliquéplus en détail « Career Pathways » qui permettra, entre autres, auxmembres de MPI de poursuivre leur cheminement professionnelen ligne. (Ce projet sera abordé dans le Planificateur le moisprochain). Une autre personne nous a expliqué la collaboration dedeux offices des congrès et du tourisme (CVB) sur le marchéaméricain et comment MPI soutient le futur de notre industrie àtravers le forum des futurs leaders.

Les sessions couvraient plusieurs sujets parmi lesquels : lepotentiel créatif, comment être plus efficace, débuter sa propreentreprise, nouveauté dans la relation planificateur-fournisseur,faire des affaires avec l’Amérique, la situation des femmes chef defile en Europe, sélection d’un site (cette session était présentée parKaren Massicotte de Calgary), le langage corporel, les tendancesdans la commercialisation d’un événement, les changements del’industrie hôtelière pan-européenne et la gestion stratégique devos comptes.

Les délégués se sont tous retrouvés pour le déjeuner préparé parle chef des cuisines de l’hôtel Fairmont Monte Carlo. Cette entre-prise canadienne a acquis la propriété il y a environ deux mois. LesOiseaux du Paradis ont offert deux performances de leur répertoire,un élégant ballet aérien sur un mât rotatif inventé par l’un d’eux.

Aucune activité de réseautage n’était prévue en début de soiréeet le Foundation Party devant avoir lieu au Karément a été annuléen raison du deuil national à Monaco.

Les délégués se sont donc retrouvés le lendemain matin pourde nouvelles sessions dont une piste exécutive d'une demi-journéepour les planificateurs chevronnés relativement aux habiletés requises pour interagir avec des cadres supérieurs. C'était la pre-mière fois qu'une formation de ce niveau était offerte en Europe.Le sujet exploré concernait les approvisionnements et le systèmede mesure du rendement sur l'investissement.

Le déjeuner était commandité par le chapitre qui sera l'hôte duPEC-Europe 2006 à Davos en Suisse. Le sommet d'une montagneenneigée avait surgie au milieu de l'espace Ravel, des boîtes dechocolat ornaient toutes les tables, le drapeau de la suisse était pro-jeté sur les parois de la salle ainsi qu'un film avec des paysagesépoustouflants. Pendant le repas, une allocution a été prononcéepar deux représentants du chapitre suisse nous vantant les méritesde la Suisse et de ses habitants et pourquoi nous devions absolu-ment participer au PEC-Europe 2006 à Davos. Deux comédiensacrobates nous ont aussi divertis pour quelques minutes alors queles rires fusaient de partout!

Le dernier événement de réseautage de PEC-Europe 2005 étaitle dîner de gala de clôture qui s'est déroulé à la Salle des Étoiles duSporting Club de Monte-Carlo.

Tout au long de la conférence, j'ai demandé aux différentsdélégués avec lesquels je me suis entretenue s'ils étaient heureuxde participer à cet événement; tous ont répondu par l'affirmative.Un planificateur suédois me disait qu'elle travaille principalementen Suède pour ses clients, toutefois elle apprécie échanger avecd'autres planificateurs et comparer les problématiques inhérentesà chacun des pays. Pour plusieurs, le réseautage est l'élément clédu PEC.

Le prochain événement MPI d'envergure sera le WEC 2005 deMiami du 10 au 12 juillet 2005.

PEC-Europe 2005 au Grimaldi Forum de Monaco.

PEC-Europe 2005 en Monaco

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Page 17: Le Planificateur, Mai 2005

Le Château Bonne Entente s’associe auprestigieux parcours de golf La Tempête

La région métropolitaine de Québec comptera un premier terrain de cali-bre international. La date prévue pour l’ouverture officielle du parcours duClub de Golf La Tempête de Breakeyville est prévue pour le 1er juillet 2005.D’une longueur de plus de 7 000 verges et d’une normale 72 et comptera plusde 70 fosses de sable et offrira une surface recouverte de Bentgrass.L’aménagement combinera certaines composantes rappelant les parcours detype links et parkland. Le Château Bonne Entente s’associe à ce prestigieuxparcours et offrira, en exclusivité, à sa clientèle congrès la possibilité de réser-ver pour un groupe de joueurs et de vivre cette expérience unique. Le Château Bonne Entente prendra également en charge la concession durestaurant, ce qui permettra d’offrir un service 5 étoiles, et ce sur toute la ligne.

Découvrez le nouveau panache du Club degolf Deux-Montagnes

La métamorphose du Club de golf Deux-Montagnes a permis de jumeler lesdeux anciens parcours qui forme maintenant un superbe 18 trous. Ce nouveauterrain de championnat fait 6 650 verges et a nécessité un investissement de 800000 $. Parmi les 17 trous modifiés, quatre de ces derniers sont de catégorie sig-nature, il propose également quatre nouveaux verts et 17 nouveaux tertres dedépart. Une centaine de nouveaux arbres ont été plantés afin de préserver lecachet mature de ce parcours. Le restaurant, la terrasse et même le logo ont étérafraîchi pour célébrer les 20 ans du Club de golf Deux-Montagnes.

Lexique terminologie du golfVous êtes un néophyte du golf et toute cette terminologie vous trouble au

point que vous en oubliez votre latin. Qu’à cela ne tienne, Le Grand dicti-onnaire terminologique a préparé un lexique du golf. Il est présenté sousforme alphabétique et vous donne les significations de la terminologieanglaise. Gare à vous les pros, les néophytes sont prêts à vous faire la leçonavec le lexique en main. Pour information, consultez le site :www.olf.gouv.qc.ca/golf

Bromont investit 2 M$Le Chateau bromont investit 2 M$ pour refaire une beauté à son terrain

de golf et à sa boutique. Quatre-vingt nouvelles voiturettes électriques ontégalement été acquises.

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Page 18: Le Planificateur, Mai 2005

Événements à venir 26 maiInternational Association ofConference CentersAmazing Meeetings: Discover theMagic, Englewood Conference Resort& Spa, Itasca, IL, www.iacconline.org,(314) 993-8575.

12-14 maiAssociation for ConventionOperations Management, SummerLeadership Conference, Wynn LasVegas, NV, www.acomonline.org,(609) 799-37124.

9-12 juinMeeting Professionals InternationalWorld Education Conference, MiamiConvention Centre, FL, (972) 702-3000, www.mpiweb.org

11-15 juilletTrade Show Exhibitors AssociationTS-2The Trade Show About TradeShows, Washington (DC) ConventionCentre, DC, www.tsea.org, (703) 683-8500, poste 221.

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AGENDA

d i v e r t i r à m e r v e i l l e

One Front Street East, Toronto

DON QUARLESDirecteur de la restauration

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MARK HAMMONDDirecteur des programmes

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Le commerce inter-entreprise plus en vogue

Vous pensez toujours que les ventesdu commerce inter-entreprise surInternet est un engouement?

Repensez-y.Les ventes en ligne par des sociétés

canadiennes et les services gouverne-mentaux ont fait un bond de près de 50pour cent en 2004 puisque les sociétésont fait plus de transactions entre ellessur le net, tel que rapporté récemmentpar Statistiques Canada.

Les ventes totales en ligne ont montéà 28,3 milliards de dollars au Canadal’année dernière. Le secteur privé estredevable pour 93 cents de chaque dollar de biens et services vendus enligne, tandis que le secteur public estredevable pour 7 cents disait l’agencegouvernementale.

Dans le même ordre d’idée,Statistiques Canada a aussi noté queprès de 8 sur 10 des sociétés canadi-ennes ont maintenu un site Web l’annéedernière. En 2004, 37 pour cent descompagnies canadiennes avaient un siteWeb, une hausse de 34 pour cent parrapport à 2003. Et près des trois-quartsdes 17 000 entreprises interrogées utili-saient Internet haute-vitesse, une aug-mentation par rapport à un peu moinsde 50 pour cent en 2001.

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Selon Statistiques Canada...LE VIN

Plus de 4 bouteilles de vin sur 10 con-sommées au Québec sont produites enFrance (42 %), alors que seulement 3,6 %sont produites au Canada :• Consommation annuelle : 110 millions delitres (l’équivalent de 147 millions de bouteilles)• Consommation par personne : environ 17litres par année

BIÈREChaque année, les Québecois consom-

ment 65 millions de caisses de 24 bouteilles,dont de 40 à 45 % durant le temps des fêtes• Production annuelle totale : 625 millionsde litres au Québec (soit 70 millions decaisses de 24)• Consommation par personne : 94 litrespar an

�Tendances de l’industrie

Page 19: Le Planificateur, Mai 2005

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